ÉTAT DE SANTÉ SANTÉ PHYSIQUE T aux d hospitalisation en courte durée pour cardiopathie ischémique (2011-2012 à 2013-2014) DÉFINITION Mise à jour Février 2015 Nombre : Nombre annuel moyen de cas d hospitalisation en soins physiques de courte durée pour cardiopathie ischémique, enregistrés chez les résidents d un territoire donné au cours d une période donnée. Les hospitalisations hors Québec de résidents québécois sont incluses ici Taux pour 10 000 : Rapport du nombre annuel moyen de cas d hospitalisation en soins physiques de courte durée pour cardiopathie ischémique, enregistrés chez les résidents d un territoire donné au cours d une période donnée, à la population totale du même territoire au milieu de la même période. À noter que le taux est ensuite ajusté selon la méthode de standardisation directe avec la population du Québec de 2006 comme population de référence. 1 Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, fichier des hospitalisations MED-ECHO, années financières 2011-2012 à 2013-2014, traitement des données réalisé par l Infocentre de santé publique. Le passage en 2006-2007 de la 9 e révision de la Classification internationale des maladies à la 10 e révision occasionne la coupure de la série chronologique. Il est préférable de ne pas comparer les données postérieures à l année financière 2006-2007 à celles antérieures. De plus, les tests statistiques établissent une comparaison entre la région et le reste du Québec, c est-à-dire l ensemble du Québec excluant la région. Néanmoins, les données québécoises présentées dans le tableau se rapportent bien à l ensemble du Québec.
Taux d hospitalisation en courte durée pour cardiopathie ischémique (2011-2012 à 2013-2014) Sexes réunis Hommes Femmes Territoires N. moy/ an Tx moy/ an / 10 000 N. moy/ an Tx moy/ an / 10 000 N. moy/ an Tx moy/ an / 10 000 CSSS du Témiscamingue 140 72 104 109 36 36 CSSS de Rouyn-Noranda 240 53 155 72 86 36 CSSS des Aurores-Boréales 171 67 106 86 64 48 CSSS Les Eskers de l Abitibi 124 46 84 65 39 28 CSSS de la Vallée-de-l Or 217 49 157 73 60 26 Région Abitibi-Témiscamingue 891 55 606 78 285 34 Québec 32 155 35 22 008 53 10 147 20 2 N. moy/an Nombre annuel moyen Tx moy/an/10 000 Taux annuel moyen ajusté pour 10 000 personnes Situation plus défavorable que celle du reste du Québec (différence statistique significative) La somme des parties peut différer du total en raison de l arrondissement des nombres. Pour plus de détails sur les maladies de l appareil circulatoire, consultez le fascicule : En avoir le coeur net : les hospitalisations et les décès dus aux maladies cardiovasculaires en Abitibi-Témiscamingue
3 Du milieu des années 1990 jusqu au milieu de la décennie 2000, le taux d hospitalisation pour cardiopathie ischémique a quelque peu diminué dans la région, comme au Québec. Au cours des 6 dernières années disponibles, il a très légèrement fléchi. Pour la période 2011-2012 à 2013-2014 (voir la page 2), il se situait à 55 hospitalisations pour 10 000 personnes, un résultat significativement supérieur à celui du reste du Québec (35). Le taux se révèle plus élevé chez les hommes (78) que chez les femmes (34). Dans les deux cas, il demeure une fois de plus significativement supérieur à celui du reste de la province.
4 Après une hausse dans les années 1990, le taux d hospitalisation pour cardiopathie ischémique a quelque peu diminué au Témiscamingue dans la première moitié de la décennie 2000. Au cours des 6 dernières années disponibles, il a légèrement augmenté. Pour la période 2011-2012 à 2013-2014 (voir la page 2), il se situait à 72 hospitalisations pour 10 000 personnes, un résultat significativement supérieur à celui du reste du Québec (35) et le plus élevé de la région. Le taux se révèle beaucoup plus élevé chez les hommes (109) que chez les femmes (36). Dans les deux cas, il est significativement supérieur à celui du reste de la province.
5 Du milieu des années 1990 jusqu au milieu de la décennie 2000, le taux d hospitalisation pour cardiopathie ischémique a quelque peu diminué à Rouyn-Noranda. Au cours des 6 dernières années disponibles, il a très légèrement fléchi. Pour la période 2011-2012 à 2013-2014 (voir la page 2), il se situait à 53 hospitalisations pour 10 000 personnes, un résultat significativement supérieur à celui du reste du Québec (35). Le taux se révèle plus élevé chez les hommes (72) que chez les femmes (36). Dans les deux cas, il demeure une fois de plus significativement supérieur à celui du reste de la province.
6 Du milieu des années 1990 jusqu au milieu de la décennie 2000 et malgré quelques soubresauts, le taux d hospitalisation pour cardiopathie ischémique a quelque peu diminué dans ce territoire. Au cours des 6 dernières années disponibles, il a légèrement fléchi. Pour la période 2011-2012 à 2013-2014 (voir la page 2), il se situait à 67 hospitalisations pour 10 000 personnes, un résultat significativement supérieur à celui du reste du Québec (35). Le taux se révèle plus élevé chez les hommes (86) que chez les femmes (48). Dans les deux cas, il demeure une fois de plus significativement supérieur à celui du reste de la province.
7 De la fin des années 1990 jusqu au milieu de la décennie 2000, le taux d hospitalisation pour cardiopathie ischémique a quelque peu diminué dans ce territoire. Au cours des 6 dernières années disponibles, il a légèrement fléchi. Pour la période 2011-2012 à 2013-2014 (voir la page 2), il se situait à 46 hospitalisations pour 10 000 personnes, un résultat significativement supérieur à celui du reste du Québec (35) mais le plus bas de la région. Le taux se révèle plus élevé chez les hommes (65) que chez les femmes (28). Dans les deux cas, il demeure une fois de plus significativement supérieur à celui du reste de la province.
8 Après une hausse dans les années 1990, le taux d hospitalisation pour cardiopathie ischémique a quelque peu diminué dans la Vallée-de-l Or dans la première moitié de la décennie 2000. Au cours des 6 dernières années disponibles, il a été relativement stable. Pour la période 2011-2012 à 2013-2014 (voir la page 2), il se situait à 49 hospitalisations pour 10 000 personnes, un résultat significativement supérieur à celui du reste du Québec (35). Le taux se révèle plus élevé chez les hommes (73) que chez les femmes (26). Dans les deux cas, il demeure une fois de plus significativement supérieur à celui du reste de la province.