Opération nationale d inventaire : Patrimoine industriel, scientifique et technique.

Documents pareils
LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET

Qu est-ce que l Inventaire?

Aménagements de l avant-gare de Paris Montparnasse

Management des organisations

Programme national de numérisation. Ministère de la Culture et de la Communication. Appel à projets de numérisation 2010

MASTER PROFESSIONNEL REGIE DES OEUVRES ET MEDIATION DE L'ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

Titre du MASTER : Lettres, Langues et Sciences humaines Mention : Sciences de l Information et Métiers de la Culture Spécialité : Archivistique

La bibliothèque. Département des restaurateurs

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III

Questionnaire sur le patrimoine des congrégations religieuses

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Master Information et communication spécialité Produits et services multimédia

Cas de la Plateforme du Niger

Synthèse du questionnaire en ligne

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Admission de professionnels et d étudiants internationaux

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Licence Langues étrangères appliquées, spécialités anglais-espagnol

Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.

Annonces internes. Sonatrach recherche pour sa DC Informatique et Système d Information :

MASTER LANGUES, LITTÉRATURES ET CIVILISATIONS ETRANGÈRES ET RÉGIONALES. Parcours Langues et Technologies (LT)

Le réseau régional des acteurs du paysage

DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL

MODALITES DE SUIVI DU PROJET ANNUEL DU MASTER 2 SOLUTIONS INFORMATIQUES LIBRES

Thème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise?

POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR du 06 Mai 2009

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

EP LOIRE Plateau collaboratif d échange. Intranet / Internet. du plan Loire grandeur nature Note de cadrage

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (C.C.A.P.)

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine

Règlement de la Consultation

Christelle MAZIERE (30 ans)

SOMMAIRE ARTICLE 1 - OBJET DU MARCHE ET DE LA CONSULTATION - DISPOSITIONS GENERALES

DROIT- ECONOMIE - GESTION. Sciences économiques. Sciences économique Santé, Emploi - Formation

Systèmes et réseaux d information et de communication

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

PRIX EUROPÉEN D INTERVENTION SUR LE PATRIMOINE

LES METIERS DES ARCHIVES

ARCHIVISTIQUE ET INGÉNIERIE DOCUMENTAIRE

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives

Séminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université

I partie : diagnostic et proposition de solutions

La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité

CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON

MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE

SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS

DécliCC. savoir. cahier des charges

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain

Répertoire des Métiers 2012

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion

Décrets, arrêtés, circulaires

Admission de stagiaires internationaux

INITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE

ISF et intermédiation : Collecte 2009

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte

Gestion technique de l immobilier d entreprise

DE MAI À OCTOBRE 2015 EN PICARDIE. Appel à partenaires. DIRCOM RÉGION PICARDIE - Photo : Ludovic Leleu / Région Picardie

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

ORGANIGRAMME DES ETUDES

Nom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint)

Le cabinet de conseil 100% e-commerce et relation client multicanale

Système d Information du CNRST - SIC -

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté

Ministère de la Culture et de la Communication

Questionnaire sur la situation de l archivage dans les laboratoires du CNRS

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive

APPEL A PROJETS du Conseil Régional de Lorraine «TECHNOLOGIES NUMERIQUES POUR LES NOUVEAUX USAGES DE L IMAGE»

Les audits de l infrastructure des SI

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015

Plan de rédaction d un projet de programme d études UQAM

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006

progression premiere et terminale

Diplôme Universitaire Responsable Mutualiste. En formation continue. Responsable Pédagogique Irène POLITIS PRAG FORMATION CONTINUE PANTHEON SORBONNE

Prestations de nettoyage et d entretien des locaux, y compris la vitrerie de la Maison des Services Publics (MSP)

CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE EN LIGNE DE TITRES DE TRANSPORT SUR REMONTEES MECANIQUES

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial

«Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de

Master Marketing et Pratiques Commerciales parcours Management de la marque et communication Apprentissage Master 2

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

Transcription:

Cahier des clauses scientifiques et techniques Opération nationale d inventaire : Patrimoine industriel, scientifique et technique. Première phase : Etat des lieux scientifique et méthodologique. L évolution du regard mémoriel et les changements sociaux, économiques, techniques et paysagers des 40 dernières années ont progressivement modifié la prise en compte et élargi les champs du patrimoine. Si l Inventaire général tel que fondé par Malraux en 1964 au sein du Ministère chargé de la Culture se consacrait à l étude des monuments et des richesses artistiques de la France, il traite aujourd hui du patrimoine culturel. La création, en 1983, de la cellule du «patrimoine industriel», au sein de la Sous-direction chargée de l Inventaire, répondait à des besoins propres au type de patrimoine concerné : la création d outils et de repères, la présence de compétences spécifiques (en histoire des techniques, histoire économique, etc.), l animation d un réseau. A l origine, la cellule centre ses études sur les sites et les bâtiments ayant abrité ou abritant des activités industrielles, en relation avec l histoire des techniques liées à ces industries ainsi que celle des infrastructures et des machines de production s y rapportant. A partir de 1993, la cellule élargit son champ d étude par la prise en compte du patrimoine scientifique et technique (observatoires astronomiques, patrimoine ferroviaire, médical, ). Depuis 1994, le recensement des machines vient compléter celui du bâti. En 1995, la cellule du patrimoine industriel disparaît en tant que telle. L approche de ce type de patrimoine est alors inscrite dans une démarche globale d étude de l architecture et des objets. Les actions d Inventaire menées depuis 25 ans sur le patrimoine industriel, scientifique et technique sont partagées entre les missions de connaissance d urgence et la nécessité d études approfondies. 1. Contexte institutionnel Corrélativement à la mise en place de la loi du 13 Août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, l étude du patrimoine industriel, scientifique et technique est présentée par le Ministère de la Culture comme «opération nationale d inventaire». Au-delà de la poursuite des enquêtes en cours dans les différents services régionaux de l Inventaire, s impose aujourd hui la réalisation d un bilan méthodologique et scientifique des 25 années d études effectuées sur tout le territoire national, portant sur le patrimoine industriel, scientifique et technique, et ce, afin d établir un état des lieux des connaissances et des pratiques et d en offrir une synthèse. En corollaire, s amorce une réflexion générale sur les modalités d étude, de protection et de valorisation de ce même patrimoine dans toute sa dimension archéologique, 1

ethnologique, architecturale, urbanistique, paysagère, etc. La mise en place de réponses transversales rapides aux problèmes rencontrés par les collectivités en ce qui concerne le patrimoine industriel, scientifique et technique est souhaité ; elle vise à augmenter la réactivité et la synergie des services de l Etat et des collectivités territoriales. La consolidation et l élargissement d un réseau de professionnels déjà actif, le développement de nouvelles études menées par les services régionaux de l Inventaire et la comparaison avec les expériences européennes sont aussi prioritaires. Les finalités de cette opération nationale, engagée sur plusieurs années, sont : - la réalisation d un bilan méthodologique et scientifique des études de l Inventaire général menées sur le thème, sa publication, peut-être sous forme d un Cahier du patrimoine, et sa mise en œuvre cartographique dans le cadre de l Atlas de l architecture et du patrimoine ; - la poursuite et le développement d opérations d Inventaire dans ce cadre et en partenariat avec les Conseils régionaux ; - la réalisation d un document de prescriptions d études et/ou de bonnes pratiques à destination des services de l Inventaire ou de tout autre service visant la connaissance et la valorisation du patrimoine. Le présent cahier des clauses scientifiques et techniques s attache à décrire une des phases de travail inscrite dans l opération nationale et prévue pour l année 2007. Consacrée à la réalisation d une partie du bilan méthodologique et scientifique des actions d inventaire menées sur le patrimoine industriel, scientifique et technique 1, elle est cadrée par une convention signée pur un an renouvelable par le Ministère de la culture et de la communication (DAPA/SDARCHETIS) et l Université de technologie de Belfort-Montbeliard (UTBM) représentée par le laboratoire Récits. Le coût de l opération est réparti entre les partenaires. Le laboratoire Récits inscrit cette première étape à son programme de recherches. 2. Descriptif de l opération a. Objectifs En application de la convention précitée, le laboratoire Récits étudiera l évolution de la prise en compte à l Inventaire général, du patrimoine industriel, scientifique et technique et de ses modalités de protection. Mise en forme dans un rapport, cette recherche s attachera à : - définir la notion de patrimoine industriel, scientifique et technique ainsi que sa représentativité au sein de l Inventaire général ; - établir un historique des politiques menées en faveur de ce type de patrimoine à la sous-direction chargée de l Inventaire général et plus particulièrement au sein de la cellule qui lui était consacrée ; - étudier la mise en place et le développement en régions, des enquêtes ainsi que leurs moyens scientifiques et techniques ; - observer les interactions entre les missions de l Inventaire général et les actions des autres services patrimoniaux et culturels ; - faire un état des lieux des protections Monuments historiques concernant ce type de patrimoine ; 1 C est dans la deuxième phase, cadrée par une nouvelle convention, que l intégralité des aspects du bilan méthodologique et scientifique des actions d inventaire menées sur le patrimoine industriel, scientifique et technique sera abordée. 2

- réfléchir à la gestion cartographique des connaissances relatives au patrimoine industriel, scientifique et technique. b. Enjeux scientifiques Plusieurs problématiques seront plus particulièrement abordées : - l adaptation des méthodes et des outils d analyses patrimoniales de l Inventaire général à l étude du patrimoine industriel, scientifique et technique ; - la répercussion des enquêtes d inventaire sur les choix d aménagement du territoire à savoir la conséquence des missions de connaissance sur les politiques de protection et de valorisation. - la transformation progressive du regard porté par les professionnels sur le patrimoine industriel, scientifique et technique ; - l évolution des procédés de mise en valeur de ce type de patrimoine. - l utilisation des compétences des chercheurs du domaine en poste dans les services régionaux de l Inventaire pour les nécessités de connaissance et de sauvegarde d urgence. c. Modes d approches Pour aborder les différentes problématiques précitées, le travail de recherche du laboratoire Récits s appuiera sur une double approche, à la fois nationale et régionale. L approche nationale centrée sur l histoire de la Sous-direction chargée de l Inventaire général, concernera la prise en compte du patrimoine industriel, scientifique et technique et la mise en place d outils correspondants. L approche régionale, appuyée dans un premier temps mais de manière non exclusive, sur les quatre régions tests 2, s appliquera à définir l implication progressive des services déconcentrés, aujourd hui décentralisés, dans les missions de connaissance de ce type de patrimoine. Le travail réalisé en un an permettra : - d établir des contacts avec les Conseils régionaux ; - de réaliser des sondages ou études de faisabilité pour la mise en œuvre de tous les aspects du bilan méthodologique et scientifique prévu dans l opération nationale ; - de mettre en place des habitudes de travail et de collaboration entre l UTBM et la DAPA en vue d un renouvellement de la convention ; - de permettre une première réflexion sur les possibilités de restitution informatique et cartographique des résultats du bilan global. d. Modalités d enquêtes Pour réaliser cette première phase de travail, seront mis à disposition de l UTBM par la DAPA : - les archives de la cellule patrimoine industriel de la sous-direction chargée de l Inventaire général, comprenant les éléments permettant de dresser son histoire, son implication dans la réalisation de document méthodologique et son activité comme moteur de réseau ; - dans la mesure du possible et en relation avec les Directions régionales des affaires culturelles, une liste des protections Monuments historiques concernant le patrimoine industriel, scientifique et technique. 2 Sont appelées régions test, les quatre régions qui ont initié dès 1986, le repérage du patrimoine industriel. Sont concernées les régions Poitou-Charentes Picardie, Basse Normandie et Champagne-Ardenne. 3

La mise à disposition des données donne un droit d exploitation scientifique mais ne permet pas l exploitation commerciale. La reproduction des éléments fournis à l UTBM est soumise à une autorisation préalable de la DAPA. Parallèlement, deux formes d enquêtes orales sont prévues : - dans un premier temps, des interviews seront réalisées des différents acteurs de la connaissance du patrimoine industriel, scientifique et technique à l Inventaire général. Seront par exemple, concernés Catherine Chaplain, Claudine Cartier, Paul Smith, Jean-François Belhoste, etc. - dans un second temps, des rencontres réunissant successivement les chercheurs installés dans les Services régionaux de l Inventaire œuvrant sur le patrimoine industriel ou non seront programmées. Elles se focaliseront sur des questions méthodologiques et scientifiques précises préparées au préalable à l aide de questionnaire. e. Les modes de restitution La recherche réalisée en un an sera présentée au début de l année 2008, dans un rapport écrit et illustré dont les modalités de présentation restent à l appréciation du laboratoire Récits. Ce rapport sera composé de deux parties : - tout d abord, il résumera les problématiques et répondra aux questions évoquées dans les parties a) et b). - ensuite, il présentera en termes prospectifs, les axes de recherches à privilégier et les modalités de mise en œuvre de la deuxième phase d enquête, soit du bilan global. f. Les moyens mis en œuvre Les moyens mis en œuvre pour cette opération sont multiples : - les moyens financiers concernés sont les apports en industrie des deux partenaires et l apport en numéraire de la DAPA à travers une subvention de 50 000 versée en deux fois. - les moyens humains mobilisés par le laboratoire Récits se décomposent en 50% d un ETP de maître de conférence et 12% d un ETP d emploi support. Des crédits de vacations prélevés sur la subvention versée par la DAPA, sont affectés à un emploi dont les modalités restent à définir. Un suivi scientifique et administratif sera assuré par la DAPA mobilisant 30% d un ETP d un agent de catégorie A. - les moyens documentaires concernent d une part l accès aux bases de données du Ministère de la culture et de la communication en lecture, aux sources écrites de la cellule du patrimoine industriel ou si nécessaire à celles de la Sous-direction chargée de l Inventaire et d autre part l acquisition par l UTBM d ouvrage de références. - les moyens informatiques restent à l appréciation du laboratoire en fonction des choix d enquête et de rendu. 3. Suivi et évaluation g. Rôle de la DAPA 4

La Sous-direction chargée de l Inventaire préviendra les services régionaux de la mise en place de cette opération nationale et de la convention initiée avec l UTBM. Elle motivera le réseau des chercheurs spécialisés du domaine. Enfin, elle assurera le secrétariat du comité d experts et l intendance nécessaire au bon déroulement de l enquête réalisée par le laboratoire Récits. Au sein de cette sous-direction, deux personnes sont responsables de l opération : - Catherine Chaplain, département recherche, méthode et expertise - Jehanne Lazaj, mission Inventaire général du patrimoine culturel h. Comité d experts Le comité d experts sera composé de : - un chef de service régional chargés de l Inventaire général du patrimoine culturel - un chercheur spécialisé en poste en région - un correspondant Monuments historiques - un ethnologue - un archéologue - un universitaire - un représentant du laboratoire Récits Ce comité se réunira en fin d enquête pour formuler un avis sur le travail effectué et sur ses perspectives de développement. 5