Payer le déficit à même la dette

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Journal de Québec en édition électronique - Le Journal de Quebec - 5 sept. 2014 - Payer... http://edition-e.lejournaldequebec.com/epaper/showarticle.aspx?article=8054d4c5-4f0c-4... Page 1 sur 2 Classement de l'article 5 sept. 2014 Le Journal de Quebec Payer le déficit à même la dette Un économiste propose une solution-choc pour résoudre la crise «On a cédé aux lobbys des groupes d intérêt et On s est rassuré tant qu une crise ne nous éclatait pas en pleine face. la prévention, connais pas» Pierre Fortin, économiste AGENCE QMI L État québécois a une lourde responsabilité dans le déficit des régimes de retraite des employés municipaux, estime l économiste Pierre Fortin, qui propose que la moitié du déficit actuariel (total de 4 G$) soit portée sur la dette de la province. Le Code du travail défavoriserait systématiquement les villes dans leurs négociations avec les employés municipaux. Dans une lettre d opinion publiée mardi sur le site de l Association des économistes québécois, M. Fortin souligne d abord que la rémunération globale des employés municipaux est en moyenne 36 % supérieure à celle de leurs confrères du gouvernement provincial, selon une étude de l Institut de la statistique du Québec. Cet écart fait en sorte que l employeur verse en moyenne 12 000 $ par année dans le régime de retraite

Journal de Québec en édition électronique - Le Journal de Quebec - 5 sept. 2014 - Payer... http://edition-e.lejournaldequebec.com/epaper/showarticle.aspx?article=8054d4c5-4f0c-4... Page 2 sur 2 de ses employés, alors qu au sein de la fonction publique provinciale, le montant n est que de 3000 $. Cherchant la cause d un tel écart, M. Fortin en arrive à la conclusion qu il résulte d un vice de structure des relations de travail, qui a défavorisé systématiquement les employeurs municipaux, qui en sont venus à accorder de meilleurs avantages à leurs employés au fil des conventions. «Les municipalités n ont pas le droit au lock-out, alors que les employés municipaux ont droit de grève, sous réserve des services essentiels», a expliqué M. Fortin lors d'un entretien à la chaîne Argent. ARBITRAGE «D autre part, les différends chez les policiers et pompiers doivent être soumis obligatoirement à un arbitrage, et le Code du travail commande aux arbitres de tenir compte des situations dans les autres municipalités. Évidemment, tout le monde cherche à s égaliser au niveau le plus élevé et d année en année, la marge avec le reste des salaires dans l économie s accroît.» M. Fortin montre aussi du doigt le comportement des élus de l État, qui n ont pas corrigé le vice de structure du Code du travail qui crée ce rapport de force au désavantage des villes. «On a cédé aux lobbys des groupes d intérêt, et on s est rassuré tant qu une crise ne nous éclatait pas en pleine face. La prévention, connais pas», a-t-il illustré. SOLUTIONS En conséquence, «pour soulager la crise financière actuelle et pour reconnaître la responsabilité de l État», le gouvernement doit assumer une lourde part de responsabilités dans le déficit actuariel. M. Fortin suggère que l État assume la moitié du déficit, soit 2 G$. De plus, afin de régler le problème pour l avenir, l économiste propose d amender le Code du travail de manière à rétablir une fois pour toutes l équilibre du rapport de force dans les relations de travail au niveau municipal. Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Régime de retraite des élus : les... http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=03716d2a-3796-489... Page 1 sur 1 5 septembre 2014 Le Soleil STÉPHANIE MARTIN Régime de retraite des élus : les cols blancs scandalisés Les cols blancs de Québec sont scandalisés par les chiffres dévoilés par une radio de Québec sur l ampleur des déficits des régimes de retraite des élus provinciaux. Le FM93 a révélé mercredi que le fonds de pension des députés de l Assemblée nationale est en déficit de près de 200 millions $. Un montant qui n a pas de commune mesure avec les déficits de retraite des employés municipaux, jugent-ils. Les députés bénéficient de conditions beaucoup plus avantageuses que les employés municipaux, une situation inéquitable, déplore le Syndicat des fonctionnaires municipaux de Québec ( SFMQ). «Nous savions que les députés ne payaient que 21 % des coûts de leurs régimes de retraite, mais voilà qu on nous confirme qu ils accumulent 4 % de crédits de rente par année. C est donc dire qu un député qui cumule 25 ans de carrière politique engrange 100 % de son salaire pleinement indexé. Des avantages incomparables à ceux d un fonctionnaire», écrit le SFMQ dans un communiqué publié hier. «Il est scandaleux de penser qu au Québec, il y a deux catégories de citoyens, les élus et les autres. Que penser du fait que ces gens ont un tel régime qu ils ne veulent pas toucher et qu ils imposent aux autres des conditions qui remettent en question des principes fondamentaux comme le respect des contrats passés.» Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.

Régimes de retraite: une pétition pour appuyer le projet de loi 3 Le Huffington Post Québec Par Christian Duperron Publication: 04/09/2014 14:22 EDT Mis à jour: 04/09/2014 14:31 EDT Pierre Moreau PC Une pétition a été mise en ligne jeudi matin afin d'encourager le gouvernement à aller de l'avant dans le dossier du projet de loi 3 sur la réforme des régimes de retraite des employés municipaux. «Le premier ministre Philippe Couillard doit aujourd'hui résister à la tentation d'acheter la paix, à court terme, en pelletant la facture au suivant», font valoir les auteurs de la pétition. À l'origine de celle-ci se trouve un groupe de personnes auparavant liées au Réseau Liberté-Québec (actif de 2010 à 2013) dont Joanne Marcotte, Éric Duhaime, Lynda Delorey, Philippe David, David Gagnon et Stéphane Lessard. Joanne Marcotte, également blogueuse au Huffington Post Québec, souhaiterait atteindre au moins 3000 signatures. «On touche à une corde sensible. Le ministre entend des groupes, entend des syndicats, entend des maires, soutient-elle. Mais le contribuable n'était pas à la commission parlementaire. Notre objectif est de faire entendre sa voix.» Cette pétition se veut un contrepoids à la marche familiale et pacifique organisée par la Coalition syndicale pour la libre négociation le 20 septembre prochain. «J'espère que cette pétition peut au moins envoyer un signal de la part des gens qui paient leurs factures», lance Mme Marcotte. Nous sentons le besoin d'appuyer publiquement le projet de loi 3 du gouvernement du Québec afin d'assurer une certaine équité entre les différentes catégories de travailleurs

et entre les générations. La majorité d'entre nous avons des revenus inférieurs à ceux des employés municipaux, ne disposons pas de régime de retraite payé à plus de 50% par les contribuables et ne bénéficions pas d'une permanence d'emploi. - Extrait de la pétition Près de 1000 signatures avaient été recueillies au moment de la mise en ligne de cet article. Parmi les commentaires des signataires, plusieurs font référence à la capacité de payer des contribuables ou aux pressions exercées par les syndicats. «J'ai payé toute ma vie, j'ai 65 ans et je n'ai pas de régime de retraite, assez c'est assez», écrit un visiteur. «Écoeuré de payer pour des conditions de travail obtenues par l'intimidation et l'extortion!», lance un autre. La commission parlementaire tenue à la fin du mois d'août a permis à plusieurs groupes de défiler devant le ministre des Affaires municipales Pierre Moreau afin de faire valoir leur point de vue. Le porte-parole de la Coalition syndicale, Marc Ranger, a toutefois accusé le gouvernement d'avoir «bulldozé» le processus pour arriver à ses fins. Les déficits des régimes de retraite municipaux seraient de 3,9 milliards $ selon Québec. Un chiffre contesté par les syndicats, qui avancent un total de 2,2 milliards $. La pétition Projet de loi no 3: Résistez! est disponible sur le site Petitions24.net.

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Au tour des cadres de s opposer http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=607903c0-966b-414... Page 1 sur 2 5 septembre 2014 Le Soleil JASMIN LAVOIE La Presse Au tour des cadres de s opposer Les chefs pompiers affirment que le projet de loi 3 nuira au recrutement de leur relève MONTRÉAL Les pompiers ne sont pas seuls dans les casernes à s opposer au projet de loi 3 : leurs patrons aussi. Dans un mémoire passé inaperçu à la commission sur les régimes de retraite, l Association des chefs en sécurité incendie du Québec se dit «très inquiète» devant ce projet de loi. Le directeur général de l organisme, Gilles La Madeleine, affirme même dans une entrevue à La Presse que le projet de loi nuira carrément au recrutement de dirigeants, parce qu «il n y aura plus aucun avantage à être cadre [chez les pompiers] au Québec». PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, ERICK LABBÉ Alors que les pompiers manifestent leur mécontentement devant le projet de loi 3, l Association des chefs en sécurité incendie du Québec se dit «très inquiète».

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Au tour des cadres de s opposer http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=607903c0-966b-414... Page 2 sur 2 C est bien beau, avoir des Indiens, mais s il n y a plus de chefs, ça ne marche pas Gilles La Madeleine, directeur général de l Association des chefs en sécurité incendie du Québec L association des chefs pompiers affirme aussi dans son mémoire que le projet de loi 3 constitue une menace à la sécurité civile parce que les pompiers n auraient tout simplement plus avantage à obtenir une promotion, «une situation que nous jugeons dramatique et qui, à la limite, pourra mettre en péril, dans une perspective plus ou moins lointaine la protection de la population». «C est bien beau, avoir des Indiens, mais s il n y a plus de chefs, ça ne marche pas», lance Gilles La Madeleine, cosignataire du mémoire et directeur général de l association. Celui qui représente environ 1000 cadres en sécurité incendie, dont ceux de Montréal et de Québec, souhaite que le gouvernement modifie «en profondeur» le projet de loi 3. Selon lui, le personnel recruté doit compter de nombreuses années de services et, par conséquent, alimenter davantage et sur une période plus courte le fonds de pension. Le nouveau plafonnement à 20 % des contributions prévues dans le projet de loi viendrait donc désavantager «encore plus» les chefs en sécurité incendie du Québec. «En mettant en oeuvre cette mesure, l iniquité sera des plus flagrante, obligeant les cadres des services incendie à diminuer de façon tellement importante leurs avantages qu aucun syndiqué n aura d intérêt à postuler pour devenir chef», peuton lire dans le mémoire. ÉCARTÉ PAR LE GOUVERNEMENT? Même si leur mémoire a été déposé en commission, l Association des chefs en sécurité incendie du Québec aurait bien aimé se faire entendre de vive voix aux audiences publiques de la commission en août dernier. «Ils [le gouvernement] nous ont dit : s il y a quelqu un qui se retire, on va vous permettre de venir vous exprimer. On a vu le barreau se retirer, mais on n a pas été appelé», indique Gilles La Madeleine. Selon l ui, l e gouvernement du Québec a préféré ne pas entendre ce qu avait à dire son regroupement. «J ai cru comprendre que le gouvernement ne souhaitait pas nous entendre», conclut le représentant. Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.

La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Le blogue de Léo-Paul Lauzon http://blogues.journaldemontreal.com/lauzon/politique/la-verite-sur-les-regimes-de-retrait... Page 1 sur 6 Mardi 9 septembre 2014, 11h37 ARGENT AUTOS MAISON PETITES ANNONCES ACCUEIL ACTUALITÉ ENQUÊTES SPORTS SPECTACLES JM LE SAC DE CHIPS OPINIONS ARGENT VACANCES + LE BLOGUE DE LÉO-PAUL LAUZON La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Léo-Paul Lauzon - 5 septembre 2014 L employeur canadien, le plus chiche de tous Mes amis, au Canada les régimes de retraite et autres avantages sociaux consentis par l employeur à leurs employés sont en baisse constante depuis une trentaine d années. Pas seulement les régimes de retraite, mais aussi les salaires des travailleurs qui ont au mieux stagné durant cette période que ne cesse de nous répéter Statistique Canada. Pour les dirigeants, toutefois, ce fut tout le contraire avec au menu des hausses orgiaques de leur rémunération et, grâce à leurs parachutes blindés et dorés, des pensions à la retraite à coups de millions chaque année. Parachutes blindés à faire rougir les conventions collectives et qui assurent la sécurité d emploi à vie. Et si les entreprises au Canada octroient de moins en moins de bénéfices marginaux à leurs employés c est certainement pas en raison d un manque de moyen financier. Toujours moins aux employés afin d engranger plus de milliards en profits pour leurs actionnaires et leurs dirigeants, tout ça facilité par des politiciens affranchis qui affaiblissent sans cesse les syndicats, les lois du travail, encourageant la sous-traitance et facilitant la venue au pays de travailleurs étrangers exploités. En 2013, les 150 entreprises canadiennes non financières avaient la coquette somme de 575 milliards$ de gros «cash» dans leur petit cochon. (Le Devoir, 30 janvier 2013). Et puis en 2009, Statistique Canada a dit que: «Les entreprises canadiennes sont sorties de la crise en pleine forme. En fait, leur santé financière n a jamais été aussi bonne depuis 40 ans». (La Presse, 18 novembre 2009). Les responsables de la crise financière s en sortent plus riches et la population, victime de cette même crise et prise en otage, doit payer. Un vrai hold-up orchestré par la classe dominante. Qu à cela tienne même si l argent leur sort par les oreilles et par le nez, le journal Les Affaires du 13 avril 2013 nous apprenait que : «De tous les pays industrialisés de l OCDE, c est au Canada que l on cotise le moins aux régimes publics de retraite». L employeur canadien cotise plusieurs fois moins qu au Royaume-Uni, qu en Allemagne, qu au Japon et même qu aux États-Unis, des pays nettement plus compétitifs. Qu en pensez-vous? Je suppose que c est bon pour les jeunes et les générations futures? Tiens prenons, aussi, tant qu à y être, le nombre minimal de jours de vacances obligatoires chaque année. Il est de 28 jours au Royaume-Uni, de 25 jours en Suède et en France, de 20 jours au Japon, de 16 jours au Mexique et d un gros 10 jours au Canada et en Chine, tel que mentionné dans La Presse du 20 juillet 2013. Chiches et hypocrites en plus de ça nos entreprises canadiennes. Séraphin Poudrier a l air d un père Noël à côté d elles. Prenons le cas de nos riches banques canadiennes Nos six banques canadiennes réalisent des profits records de plusieurs milliards annuellement et détournent des milliards de revenus et en impôts chaque année dans leurs filiales logées dans les paradis fiscaux. Ça, c est un fait incontestable que ne peuvent nier nos trois ministres libéraux économiques du Québec (Carlos Leitoa, Jacques Daoust, Martin Coiteux) qui proviennent tous du milieu bancaire. Ils sont au fait des combines et des passes fiscales commises par les banques, mais ne font rien. Ils savent qu elles réalisent chaque année des milliards en revenu net, mais n augmenteront pas leurs impôts et leurs taxes préférant taxer le monde ordinaire dont les revenus végètent ou régressent. Plusieurs pays européens ont décidé de hausser les impôts de leurs banques, mais pas nos ministres banquiers du Québec en signe de solidarité avec leurs exemployeurs qui vont sûrement les réembaucher après leur service politique s ils font une bonne job, comme ce fut le cas pour l ex-ministre libéral Clément Gignac. Ce n est pas parce qu elles sont bonnes que nos banques canadiennes si elles engrangent des profits records régulièrement, c est simplement parce qu elles arnaquent les consommateurs dû au fait qu elles forment au pays «un oligopole confortable» tel que mentionné par The Economist. (Le Affaires, 22 mai 2010). Les riches banques, les premières à couper Même si elles nagent dans l argent, Ellen Whelan de Mercer a signalé en 2006 que les grandes banques canadiennes avaient été parmi les premières à sabrer dans les bénéfices marginaux de leurs employés : «Retraités. Les employeurs sabrent dans les avantages sociaux». (Le Journal de Montréal, 19 septembre 2006). Tiens, tiens, mieux encore, le Journal de Montréal du 1er février 2007 mentionnait que la Banque de Montréal abolira 1000 postes afin de: «Donner un coup de pouce à ses résultats financiers». C est vraiment ce que les boss de BMO ont dit. Faut pas être gêné. Coup de pouce aux profits et coup de pied aux employés cavalièrement «flushés». Ben avant 2006, en 1993 pour être précis, on apprenait que:«la Banque Royale sabre les avantages sociaux des employés» (La Presse, 22 décembre 1993). Dire que ce sont ces mêmes banquiers qui nous donnent tout le temps leurs conseils, qui sont plus des ordres, sur comment gérer l État, en coupant naturellement et que les médias écrits et parlés invitent à chaque budget provincial ou fédéral à formuler leurs critiques sur les politiques fiscales, économiques et sociales des gouvernements. Pour l indépendance et l objectivité, on repassera. Une vraie joke très cynique. Heures supplémentaires non payées En plus de varger dans les bénéfices marginaux de leurs employés et d en congédier quelques milliers, les banques canadiennes ne paient pas ces derniers pour leurs heures supplémentaires travaillées ce qui a donné lieu à des recours collectifs:«recours collectif. La requête contre la CIBC suscite des milliers d échos». (Le Journal de Montréal, 14 juin 2007). Et aussi:«la cour autorise deux poursuites contre les banquiers CIBC et Scotia». «Because l overtime» impayé. (La Presse, 27 juin 2012). Malgré cela, pas question pour les élus de changer les lois du travail afin de permettre aux employés des banques de se syndiquer. Léo, que t est donc pas réaliste Embauche au Canada d employés étrangers Tous les moyens sont bons pour les banques canadiennes d économiser à tout prix afin de doper leurs gros bénéfices. Comme celui de congédier des employés canadiens et de faire venir au pays des travailleurs étrangers afin de remplacer ceux qui ont passé à la trappe: «La Banque Royale dans l embarras pour l embauche au Canada de travailleurs étrangers». (Le Devoir, 8 et 11 avril 2013). Comme pour l évasion fiscale dans les paradis fiscaux, elles disent respecter les lois. Des lois confectionnées sur mesure pour le patronat par leurs commis. Pour ceux qui méconnaissent la nature intrinsèque de nos chers banquiers, lisez le titre de cet article du Devoir du 12 avril 2013:«La Royale s excuse, mais persiste». Pas de problème, elles respectent «leurs» lois. Pas question itou pour les politiciens de modifier les lois du travail à la faveur des employés. Depuis 30 ans au contraire, ils prennent un plaisir démoniaque de rétrécir le pouvoir des syndicats. Concernant les paradis fiscaux, lisez le titre de cet article du Journal de Montréal du 19 avril 2014: «La Royale cache encore des documents. La banque canadienne est accusée de transactions illégales dans les filiales aux îles Caïmans et aux Bahamas». Bienveillantes banques, va! Ce sont les mêmes qui appellent les gouvernements et les syndicats à plus de transparence.

La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Le blogue de Léo-Paul Lauzon http://blogues.journaldemontreal.com/lauzon/politique/la-verite-sur-les-regimes-de-retrait... Page 2 sur 6 Le privé a amplement les moyens d offrir des régimes de retraite à leurs travailleurs Oui, elles en ont largement les moyens d offrir des régimes de retraite à leurs employeurs, pas seulement à leurs dirigeants, mais elles ne sont nullement intéressées. Et elles ne veulent pas non plus que le gouvernement du Québec les contraignent à cotiser plus au Régime des rentes du Québec, ce qu a exactement fait le docile Philippe Couillard contrairement à la première ministre libérale, madame Kathleen Wynne. Les REER et les Céli, c est plus payant pour les banques. Pas les régimes de retraite publics. Oubliez le gouvernement fédéral conservateur de Stephen Harper qui s objecte farouchement à augmenter la cotisation de l employeur au fonds de pension gouvernemental même si c est au Canada que les compagnies cotisent le moins tel que mentionné au début de mon texte. Comme lobbyistes, nos banquiers ont embauché à titre de vice-président, afin d obtenir encore plus «d attention» d Ottawa, deux ex-ministres conservateurs, soit Michael Fortier à la Banque Royal et Jim Prentice à la CIBC. Je n ai reçu à ce jour aucune offre d emploi de leur part. Continuons à normaliser vers le bas Je le répète, le Canada est le pays occidental où l employeur cotise le moins aux bénéfices marginaux de leurs employés et la moitié des travailleurs canadiens ne jouissent d aucun régime de retraite financé en partie par l entreprise, et ce même si les compagnies en ont largement les moyens. Mais qu à cela ne tienne, ils veulent plutôt ramener à zéro les régimes de retraite consentis par les employeurs à leurs employés tant au privé qu au public afin de supposément «responsabiliser» ces derniers et de ne pas hypothéquer l avenir des générations futures. Faut bien que les compagnies et leurs détenteurs de capitaux continuent de s enrichir toujours plus, comme dans l annonce de cette autre bonne nouvelle publiée dans le Journal de Montréal du 26 août 2014 : «Nouvelle séance record à la Bourse de Toronto». Après, ils osent venir nous dire que le Québec est pauvre et qu il faut réduire nos attentes «démesurées» face à l État. Faites-moi rire bande de clowns. J aime 1,7k Tweeter 49 1 Partager Catégories: Politique Abonnez-vous à cet article D'autres articles La «Banque» Desjardins et sa petite morale 24 commentaires PPM dit : 5 septembre 2014 à 13 h 55 min Qui le premier idiot américanisé qui va lui dire d aller à Cuba si le communisme est si beau? Alain D dit : 5 septembre 2014 à 14 h 15 min M.Lauzon je suis d accord avec vous. Felicitation a Madame Kathleen Wynne. Pour l instauration de la Bonification du regime de pension. Elle n a pas peur de ce tiendre debout meme si tout les affairistes de l Ontario pleurniche qu ils n ont pas les moyens. Ici au Québec les travailleurs ne merite pas une retraite décente. Seulement une minorité merite ca 4 sur 10. Pis les autres cé pas graves. Une realité qui va faire mal a bien du monde. Cé ca les vrais affaires. Les deputés du Quebec apres une carriere de 2 mandats vont revevoir une pension a vie. Une vrai farce. alain lauzon dit : 5 septembre 2014 à 14 h 36 min C est révoltant! scandaleux! tous des bandits! Jessie James était un enfant de coeur comparé à eux! Alain Cro dit : 5 septembre 2014 à 16 h 23 min Je me répète, un régime universel de retraite 9% employé / 9% employeur géré par la RRQ. Fini les compagnies qui se sauvent avec la caisse. Même chose pour les prêts étudiants, faits par la RRQ; au moins on garde les intérêts au lieu des banques. En plus le remboursement se ferait avec le 9% employé / 9% employeur car les 2 profitent des études faites. Me semble que ce n est pas compliqué! En passant 10 jours de congé au Canada? Juste les normes du travail au Qc après un an c est 18 jours minimum (4% + jours fériés) Bertram dit : 5 septembre 2014 à 16 h 56 min Le gouvernement ne bougera pas. ce serait trop simple d augmenter les cotisation au RRQ. Pourquoi faire simple quand on peut s attaquer aux travailleurs avec une loi sans queue ni tête. Et eux leur régime de pension, quand accepteront-ils de contribuer 50-50? Louis Belanger dit : 5 septembre 2014 à 18 h 50 min Bravo encore une foi Mr.Lauzon. Je suis bien d accord avec vous. Quand est-ce que le monde va réaliser que nos régimes politiques ça s appelle «Au plus fort la poche» quand aux gagnes petit, serrezvous la ceinture jusqu à étouffement pis comme c est pas encore assez, concédez ce que vous avez acquis (lois 3/employés municipaux qu on traite d enfants gâtés). A ce train, que va t.il rester au jeunes pour leurs vieux jours. Pensez-y tous! Marie L. dit :

La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Le blogue de Léo-Paul Lauzon http://blogues.journaldemontreal.com/lauzon/politique/la-verite-sur-les-regimes-de-retrait... Page 3 sur 6 5 septembre 2014 à 19 h 11 min Oui il y en a de l argent! Des milliards. Mais faisons payer la classe moyenne. Coupons lui sa retraite «dorée» pour enrichir encore plus les riches. Merci M. Lauzon de nous rappeler ces faits. Malheureusement votre l-o-n-g texte ne sera pas lu au complet par les gens analphabètes fonctionnels. Robert Grospapa dit : 5 septembre 2014 à 19 h 16 min Tant que les finances du Québec seront administré par des banquiers ( en congés des banques pour un ou deux mandats) le citoyen ordinaire sera exploité sur ses impôts et taxes. Idem en santé, administré par des médecins ont constate les résultats désastreux. Ont est pas sorti du bois avec ces clowns. Parti Québécois ou Parti Liberal même résultats, pourquoi ne pas essayer la CAQ???? Froide Réalité dit : 5 septembre 2014 à 19 h 36 min Je dois admettre que vous avez raison cette fois-ci monsieur Lauzon. Les entreprises se désengagent complètement de leurs responsabilités envers leurs employés et les conditions de travail sont en régression. Eric D. dit : 5 septembre 2014 à 21 h 30 min Nos gouvernements doivent mettre fin aux paradis fiscaux une fois pour toutes et instaurer une taxe sur les transactions financières. De plus, augmenter les taxes foncières pour contrer la spéculation immobilière. Enfin, nous devons nationaliser les banques pour les libérer de la corruption politique. En faire des organismes sans but lucratif pour financer nos programmes sociaux et non quelques actionnaires. Stef dit : 5 septembre 2014 à 21 h 52 min Les québécois sont des jaloux et les politiciens et leurs amis bien nantis l ont bien compris. On se chicane actuellement sur la place publique pour couper les bénéfices de travailleurs qui gagnent environ 50 000 $ par année en moyenne. Tout ça, parce que la moitié de la population n a pas de régime de retraite et sont jaloux de l autre moitié Pendant ce temps, on paie collectivement des salaires astronomiques aux médecins, aux recteurs et aux cadres supérieurs. Connaissez-vous les régimes SURcomplémentaires de retraite? À ne pas confondre avec les régimes complémentaires de retraite des syndiqués dont on discute actuellement dans les médias Les régimes surcomplémentaires de retraite sont mis en place pour permettre aux employeurs (privés et publics) de verser de plus grosses rentes de retraite aux haut salariés au-delà de ce qui est permis par la Loi de l impôt fédérale (qui maximise les régimes complémentaires de retraite) Ces régimes existent dans les gouvernements, les villes et les universités. En ce qui me concerne, je suis fier que mes taxes et impôts permettent aux travailleurs de la classe moyenne de maintenir un niveau de vie correct et ce, même après leur retraite. Par contre, ça me lève le cœur que mes taxes et impôts servent à donner des augmentations de salaire aux médecins, à donner des primes bidon à Yves Bolduc, à financer le régime des élus et des juges à 80% et à financer des régimes SURcomplémentaires de retraite pour hauts salariés. Et on essaie de nous faire croire que le syndicats mènent le Québec Yves.g dit : 5 septembre 2014 à 22 h 01 min On paie trop de taxes au Québec de tous genre pour être en mesure D économiser pour une retraite D un autre côté on est tous comme des» Spring»aussitôt que l on a un dollar On veux en dépenser 2 À vrai dire on serait prêt pour mettre le 3 dollar en banque pour notre retraite Mais les gouvernement en prennent déjà plus qu un dollars On fait quoi? Parce que l on fait dur! Mais c est pas bien mieux ailleurs! On a trop soif de taxes au Québec Alain G. dit : 5 septembre 2014 à 22 h 33 min SI les Québécois sont assez morons pour croire les mensonges qu on leur jette à la figue, alors oui, ils méritent leur sort. Les moutons sont fait pour être tondus et c est ce qui va leur arriver. Ils vont chialer un peu puis, après assez de propagande, ils vont baisser la tête et se trouver une raison pour se dire qu ils ne sont pas si mal après tout.. J ai vu aux nouvelles une femme qui disait qu elle avait toujours travaillé au salaire minimum et qu elle se débrouillait, alors elle ne voyait pas pourquoi ceux qui ont des retraites ne payaient pas plus. On peut se tirer dessus nous même.merveilleuse société Québécoise.. Quelle bande de morons insignifiants nous pouvons être parfois. Snowden Rules dit : 5 septembre 2014 à 23 h 32 min Recherchez sur le net: L arnaque de la dette et des banques expliquée en quelque minutes Snowden Rules dit : 5 septembre 2014 à 23 h 33 min Le système bancaire, La PLUS GRANDE ARNAQUE dans toute l histoire de l humanité!

La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Le blogue de Léo-Paul Lauzon http://blogues.journaldemontreal.com/lauzon/politique/la-verite-sur-les-regimes-de-retrait... Page 4 sur 6 Snowden Rules dit : 5 septembre 2014 à 23 h 37 min La solution se trouve à Ottawa et lisez les articles 90-91-92 de la constitution canadienne qui dit que La Banque du Canada de subvenir au financement de la Santé, Education, Infrastructures etc et pour le bien être de tous les citoyens du pays. Les politiciens nous ont trahis en cours de route avec ces banksters du monde. Le chef libéral Mackenzie King disait en 1935: «Dès qu une nation a cessé de contrôler elle-même sa monnaie et son crédit, il importe peu qui fait ses lois. L usure une fois au contrôle ruinera n importe quel pays. Tant que le contrôle de l argent et du crédit n aura pas été restitué au gouvernement et reconnu comme sa responsabilité la plus évidente et la plus sacrée, il est vain de parler de démocratie et de souveraineté du parlement.» Un revenu garanti pour tous est de plus en plus de mise avec le chomâge accéléré et la pauvreté qui s en vient pour les plus vieux de la société. Sylvain Payeur dit : 5 septembre 2014 à 23 h 39 min M Lauzon former un party politique vous devez rien a personne choisissez vos candidats et voyons si les moutons vont se mettre a hurler Frank Audette-Siminski dit : 6 septembre 2014 à 0 h 39 min Les percepteurs de l Agence de Revenu Canada, se font payer 350,000.00 $ par années et ils REFUSENT d appliquer les lois du Québec: en particulier l article 553.7 du C.p.c.: ils ont même obtenu en 2001, venant de trois (3) juges de la Cour d appel fédéral, qui ont admis l insaisissabilité de l article 553.7 du C.p.c. ils ont quand même donné le droit à l agence de Revenu Canada de saisir nos caisses de retraites chèrement gagnés toute notre vie: La seule façon de faire travailler ces fonctionnaires à 100% de leurs temps, c est de ne pas leurs donner leurs permanences, seulement quand ils seront prêt à leurs retraites ils seront bien obligés de travailler à 100% de leurs temps, sans cela c est DEWORS, qu ils vont se retrouver; Je le sais j ai été fonctionnaire, 12 ans pour DoRval et 34 ans pour la C.U.M./Ville de Montréal et retraité depuis 2006; Olivier dit : 6 septembre 2014 à 2 h 25 min Ce qui me fait toujours rire avec ce genre de textes, ce sont les attentes que des gens comme son auteur se font envers les entreprises. Leur objectif est de faire le plus grand profit possible pour enrichir leurs actionnaires, point final. Si elles réussissent, tant mieux! Si elle n ont pas besoin de certains employés, qui êtes-vous pour les forcer à les garder? Ce qui me fait moins rire ce sont les gens qui ont cru que leur régimes de retraite privé payé par l employeur allait leur assurer une belle retraite, mais que l employeur s est amusé à piger dedans. Résultat: la caisse est vide. La même situation va arriver avec le régime des rentes du Québec un jour ou l autre. Pour la retraite, on n est jamais mieux servi que par soi-même. larry dit : 6 septembre 2014 à 9 h 27 min C est tristes individus du monde des affaires, aidés par le gouvernement Couillard sont en train de nous faire accroire que les riches au Québec ce n est pas les Desmarais et compagnie mais les gras dur syndiqués du secteurs publics. Je vois à la lecture de plusieurs blogues qu il y a beaucoup de béotiens qui les croient. Désabusé dit : 6 septembre 2014 à 9 h 51 min Vous avez parfaitement raison M. Lauzon et c est la raison pour laquelle que vous remarquerez qu au Québec plus particulièrement depuis quelques années, il y a de plus en plus de faillites et ces derniers ne feront que retravailler au noir après leur libération car ils décrochent à vie une fois pour toute du système si encrassé et pollué par l état collusionné et corrompu que l on voit depuis 2 ans à la CC. Une fois décroché du système, ils ne font plus parti du payroll de l État, ils se feront «low profil» en acquit capitalisant et ils auront donc beaucoup plus d argent dans leur poche et ils le préfèreront davantage car 50 % de leur salaire reviendront donc dans leur poche, ce qui fait 100 % de revenu gagné dorénavant. Je le sais, j en fais parti et suis très fier de ne plus me faire voler car voler un voleur dans mon jargon Ce n est pas volé Tout simplement! Fin de la discussion André Lefebvre dit : 6 septembre 2014 à 11 h 53 min Comment expliquer le peut d importance que les Travailleurs Québécois ont vis a vis les Syndicats. Est-ce que le Travailleur craint l implication nécessaire a son Syndicat? Le Travailleur au Québec a été tellement écrasés par toutes sortes de manœuvres patronales ou gouvernementale qu ils ne croient plus en rien. Un peu de confiance en la SOLIDARITÉ ouvrière ferait grand bien. Monsieur Lauzon j admire votre courage en opposition a nos opportunistes langues de bois politique Merci Diane dit : 7 septembre 2014 à 12 h 50 min vous devriez préciser GRANDES entreprises quand vous parlez des employeurs parce que nous les propriétaires de PME.on essais de garder nos employés sans leur faire faire de chomage (ça coute cher).on essais d offrir un minimum d augmentation de salaires par année pour le coût de la vie avec ça on essais d augmenter nos frais horaires (en région assez difficile) et sincèrement à part la valeur de notre batiment notre retraite à nous ne sera pas plus dorée! Et de toute facon par expérience d avoir un peu de $ lorsqu on finit sa vie au foyer.toute cette argent va encore au gouvernement.aussi ben etre pauvre si on est pas capable d etre riche Réjean Rioux dit : 8 septembre 2014 à 15 h 26 min Je cite ici un extrait de l article de Richard Le Hir :

La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Le blogue de Léo-Paul Lauzon Page 5 sur 6 Le gouvernement fédéral explique le plus banalement du monde que dans le cas où une banque d importance systémique comme l une des cinq grandes banques canadiennes (RBC, TD, CIBC, BMO, ou Scotia et dans certaines circonstances possiblement aussi la BN et certaines autres banques régionales importantes), épuiserait ses fonds propres, elle pourrait être recapitalisée et redevenir viable grâce à la conversion très rapide de certains de ses passifs en fonds propres réglementaires, dans le but de réduire les risques pour les contribuables. Cela veut tout simplement dire que les DÉPOTS de ses DÉPOSANTS (passifs pour elle) pourraient être convertis (quel euphémisme!) en fonds propres de la banque, sans le consentement des intéressés, pour éviter que le gouvernement ne soit lui-même obligé de la recapitaliser. Il s agit d une expropriation, d une confiscation des dépôts, d un vol au sens du code criminel (aller au delà de l intérêt spécifique qu on a dans la chose), en toute légalité. On croit rêver! Hey oui! Vous avez bien lu. Les banques ont le droit, grâce à notre gouvernement à Ottawa, qui veut le bien des gens ordinaires, cela va de soi, de prendre votre argent, sans votre permission, pour se recapitaliser en cas de risque de faillite. Référence : vigile.net, «La Banque du Canada est au bord de la faillite! «La banque centrale la plus lamentablement sous-capitalisée en Occident» Laisser un commentaire Votre commentaire sera affiché aussitôt qu'il aura été approuvé. Nom (requis) E-Mail (ne sera pas publié) (requis) Site internet Envoyer un commentaire J accepte les termes et conditions. 2000 caractères disponibles À propos de Léo-Paul Bien connu dans les médias, Léo-Paul Lauzon est professeur au Département des sciences comptables de l'université du Québec à Montréal et titulaire de la Chaire d'études socio-économiques de l'uqam. Articles récents La vérité sur les régimes de retraite dans le privé La «Banque» Desjardins et sa petite morale Bravo Argon 18 et Louis Garneau Cimenterie McInnis : l environnement est une nuisance aux vraies affaires. L éponge Bombardier : Accepter comme normal l anormal (3e partie) Bombardier et l argent des contribuables (2e partie) Bombardier : combien ça coûte aux contribuables d enrichir les Beaudoin-Bombardier? (1ère partie) Je hais McDonald s Couper des milliards sans toucher aux services Commentaires récents Réjean Rioux dans La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Diane dans La vérité sur les régimes de retraite dans le privé André Lefebvre dans La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Désabusé dans La «Banque» Desjardins et sa petite morale Désabusé dans La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Archives Choisir un mois septembre 2014 L MaMe J V S D 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11121314 1516 17 18192021 2223 24 25262728 «août http://blogues.journaldemontreal.com/lauzon/politique/la-verite-sur-les-regimes-de-retrait...

La vérité sur les régimes de retraite dans le privé Le blogue de Léo-Paul Lauzon http://blogues.journaldemontreal.com/lauzon/politique/la-verite-sur-les-regimes-de-retrait... Page 6 sur 6 L MaMe J V S D 2930 «août Contribuez au blogue Nétiquette Termes et conditions Recherchez dans le blogue Abonnez-vous au blogue RSS 2.0 Recherche D'autres blogues... Le blogue de Benoit Girouard Isabelle aime Montréal Ygreck Le blogue de Sophie Durocher François Doré Le blogue de Stéphane Berthomet Julien Cabana Le blogue Rodger Brulotte Le blogue de Michel Hébert Le blogue humour du Journal More...

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Un ancien de Montréal comme... http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=e5a5fd1d-b6e0-4148... Page 1 sur 2 5 septembre 2014 Le Soleil VALÉRIE GAUDREAU vgaudreau@lesoleil.com Un ancien de Montréal comme chef des pompiers de Québec Les pompiers de Québec auront un nouveau chef. L actuel directeur adjoint chez les pompiers de Montréal, Christian Paradis, succédera à Richard Poitras, alors que règne un climat plutôt tendu dans les casernes. Le comité exécutif de la Ville de Québec recommandera la candidature de M. Paradis au poste de directeur du Service de protection contre l incendie au prochain conseil d agglomération. Pompier à Montréal depuis 1986, M. Paradis a aussi été chef aux opérations de 2009 à 2013. Depuis l an dernier, il était directeur adjoint à la direction de la prévention et de la planification au Service de sécurité incendie de Montréal. Il remplacera Richard Poitras, parti à la retraite en juin. M. Paradis touchera 160 000 $ par an. «Il arrivera dans un contexte assez particulier sur le plan des relations de travail», a commenté le président du syndicat des pompiers, Éric Gosselin. «On est sans convention collective depuis des années. J espère qu il a hâte de venir régler des choses chez nous. J espère qu il aime le travail, car il y a beaucoup de travail à faire», a-t-il ajouté. Les pompiers, qui sont sans contrat de travail depuis 2006, verront leur nouvelle convention tranchée par un arbitre dans une décision attendue ces prochaines semaines. Cela dit, M. Gosselin se réjouit de voir que Christian Paradis est un pompier et non un gestionnaire. Le chef syndical assure aussi ne pas avoir «eu de commentaires négatifs» sur la recrue de l administration Labeaume. «On va apprendre à connaître la personne et se faire une tête, a-t-il ajouté. On va laisser la chance au nouveau directeur de prendre sa chaise.» CONTEXTE PARTICULIER Il faut dire que le nouveau directeur des pompiers arrivera dans un contexte où l ambiance est loin d être au beau fixe entre l administration Labeaume et ses pompiers. En plus du dossier des relations de travail, la Ville de Québec contestera une décision de la Commission des relations du travail (CRT) qui la force à réintégrer dans ses fonctions l ancien chef de peloton Charles Marcoux. En mai 2012, M. Marcoux avait été relevé de ses fonctions et transféré au service de police parce que la Ville lui reprochait notamment de ne pas adhérer à la réorganisation du service des incendies. Hier, Éric Gosselin a déploré le fait que la Ville en appelle de la décision de la CRT. «Alors qu on se fait dire qu il faut prendre en considération la capacité de payer des contribuables, la Ville n a aucune gêne à contester toutes les décisions, a-t-il dit. Ça représente des frais juridiques incroyables. C est de l orgueil mal placé.» M. Paradis a été choisi parmi 23 candidatures dont la sélection a été pilotée par l École nationale d administration publique. Un comité de sélection a aussi tranché. Il était notamment composé de la directrice adjointe Chantale Giguère et du conseiller municipal Patrick Voyer.

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Un ancien de Montréal comme... http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=e5a5fd1d-b6e0-4148... Page 2 sur 2 Le maire Régis Labeaume n a pas commenté hier l arrivée de Christian Paradis, préférant attendre que sa nomination soit officiellement entérinée par le conseil d agglomération. Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.

Journal de Québec en édition électronique - Le Journal de Quebec - 5 sept. 2014 - La vill... http://edition-e.lejournaldequebec.com/epaper/showarticle.aspx?article=ed4c77cb-7963-4... Page 1 sur 1 Classement de l'article 5 sept. 2014 Le Journal de Quebec TAÏEB MOALLA Le Journal de Québec La ville nomme un nouveau chef des pompiers Après avoir vu Montréal mettre le grappin sur ses anciens directeur général et trésorier, la Ville de Québec est allée chercher son tout nouveau directeur du Service de protection contre l incendie, Christian Paradis, dans la métropole. Le comité exécutif de la Ville de Québec a approuvé mercredi la nomination de M. Paradis, 49 ans, qui a été sélectionné parmi 23 candidats au cours de l été. Son entrée en service nécessite cependant l approbation du conseil municipal du 15 septembre. Le nouveau chef, dont le salaire annuel sera de 160 000 $, remplace Richard Poitras, parti à la retraite en juin dernier. DE MONTRÉAL En fonction au Service de sécurité incendie de Montréal depuis 1986, Christian Paradis y occupait jusqu à très récemment le poste de directeur adjoint. «Il a gravi tous les échelons», selon l expression de la chargée des relations avec les médias, Louise Tremblay. «On est bien peinés de le perdre. L annonce de son départ a suscité une petite commotion ici. Nous perdons une personne très compétente», a ajouté Mme Tremblay. DÉFIS À VENIR Éric Gosselin, président du syndicat des pompiers de Québec, voit d un bon oeil l arrivée de ce «pompier de carrière» même s il ne le connaît pas. «J espère que c est un homme qui aime les défis. Car côté relations de travail, c est très difficile à Québec, a-t-il signalé. J ai hâte de le connaître, de le voir.» Sans convention collective depuis le 31 décembre 2006, les pompiers de Québec sont toujours en attente d une décision de l arbitre qui doit régler les conditions de travail des années 2007, 2008 et 2009. «Quel que soit le résultat de l arbitrage, on retombera tout de suite en négociations», a rappelé M. Gosselin. Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Bye-bye «vélo boulevard», bie... http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=a2883675-7394-44f2... Page 1 sur 2 5 septembre 2014 Le Soleil VALÉRIE GAUDREAU vgaudreau@lesoleil.com Bye-bye «vélo boulevard», bienvenue «corridor Père- Marquette» Trois ans après sa mise en chantier, l axe cyclable entre l Université Laval et la colline parlementaire aura finalement un nom : le corridor Père- Marquette. Cette décision, entérinée mercredi par les élus du comité exécutif, vient clore le long épisode visant à trouver une solution de rechange à l expression fautive «vélo boulevard». En 2011, la Ville de Québec a l ancé dans un premier temps un projet-pilote en prévision de l aménagement de la voie cyclable aujourd hui complétée dans la rue Père- Marquette. Ce corridor facilite les déplacements à vélo entre Sainte-Foy et la haute ville. Or, la dénomination finale de cet aménagement routier n est pas anodine, puisque à l époque, la Ville utilisait l appellation «vélo boulevard», une expression critiquée par l Office québécois de la langue française (OQLF). Non seulement «vélo boulevard» est un anglicisme, traduction littérale de bicycle boulevard (ou bike boulevard), l OQLF y note aussi un problème de sens. Un boulevard est en effet une voie de circulation d au moins quatre voies. L Office avait alors proposé «itinéraire cyclable partagé», puisque vélos et voitures se côtoient sur le trajet empruntant la rue Père-Marquette. Mais la Ville de Québec avait jugé la proposition peu accrocheuse. L OQLF a alors été mandaté pour trouver «un nom intéressant» à inscrire sur les panneaux de signalisation. Le Soleil avait aussi à l époque fait un appel à ses lecteurs, qui avaient été nombreux à soumettre des idées. L Office québécois de la langue française a finalement tranché pour le terme vélorue, inscrit dans son Grand Dictionnaire terminologique depuis 2013. «CORRIDOR» EN COHÉRENCE Mais la Ville de Québec a plutôt retenu l appellation corridor pour faire écho aux autres axes cyclables que son les corridors du Littoral, des Cheminots, des Beauportois et de la rivière Saint-Charles. «Par souci de cohérence et de continuité, nous proposons que le corridor cyclable soit dénommé corridor Père- Marquette», peut- on lire dans la décision du comité exécutif. La proposition sera soumise au vote au prochain conseil

LeSoleilSurMonOrdi.ca - Le Soleil - 5 septembre 2014 - Bye-bye «vélo boulevard», bie... http://lesoleil.newspaperdirect.com/epaper/showarticle.aspx?article=a2883675-7394-44f2... Page 2 sur 2 municipal, le 15 septembre. Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.

Journal de Québec en édition électronique - Le Journal de Quebec - 5 sept. 2014 - Julie... http://edition-e.lejournaldequebec.com/epaper/showarticle.aspx?article=e2dcdcbf-b984-4... Page 1 sur 1 Classement de l'article 5 sept. 2014 Le Journal de Quebec Julie Lemieux en mission en France La vice-présidente du comité exécutif de la ville, Julie Lemieux, participera la semaine prochaine à une mission culturelle et économique en France. Du 9 au 14 septembre, la conseillère municipale prendra part, à Bordeaux, aux différentes activités V-P, comité exécutif dans le cadre de la biennale d architecture «Agora». Ensuite, elle se rendra à Nantes du 15 au 18 septembre pour l inauguration du symposium «Intelligences numériques» et pour la saison culturelle québécoise. Les frais de mission autorisés sont de 4000 dollars. Printed and distributed by NewpaperDirect www.newspaperdirect.com, US/Can: 1.877.980.4040, Intern: 800.6364.6364 Copyright and protected by applicable law.