Les relations commerciales et la stratégie internationale du développement : réflexions sur la carence de la troisième session de la CNUCED

Documents pareils
La conception d'une architecture et d'un urbanisme adaptés au milieu méditerranéen

Les obstacles à l'industrialisation du Tiers-Monde

LE PRESTIGE DU NOM LA FORCE DE L ENSEIGNE!

WP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif mai 2003 Londres, Angleterre

NOTE TRIMESTRIELLE SUR LES STATISTIQUES DU COMMERCE EXTÉRIEUR

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)

Notice d information option Sécurité (3, 6 ou 9 ) pour les offres avec abonnement

Systèmes sylvopastoraux. Pour un environnement, une agriculture et une économie durables

BULLETIN OFFICIEL. durable.

L'équilibre général des échanges

L achat de médicaments sur Internet

- Par - La Direction Technique Chargée de la Comptabilité Nationale

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

mémoire p.6 au lycée p.3 être gay en lycée pro

TABLEAUX STATISTIQUES

C. LISTE DES ACCORDS INTERNATIONAUX CONCLUS PAR LA BELGIQUE EN 1963

Câblage des prises Projets de câblage Plans de circuits TECHNIQUES ÉLÉMENTAIRES DE RÉNOVATION Revêtements de sol...

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

P h i l h a r m o n i s

Conditions Générales. 24 h/24 et 7 jours/7 NOV AUT CGE (09.07) 1 rue Geneviève de Gaulle Anthonioz CS Rennes Cedex 2

dysfonctionnement dans la continuité du réseau piétonnier DIAGNOSTIC

LE MANUEL DE L INITIATIVE DE LAVAGE DES MAINS

Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq

EMPLOI MODE D EMPLOi Chantier et entreprise d insertion, régie DE quartiers MODE D EMPLOi

Par Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Dépenses nationales totales

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005

Thuraya XT-LITE Simple. Fiable. Abordable.

Agreement regarding monitoring of the stratosphere. Signed at Paris on 5 May 1976

BANQUE ALIMENT BETAIL Présenté par Seidi Mohamed Abdourahmane

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Inscription en ligne FQSC. Guide d utilisation

Cloud. Personnel. Tout sur le. Travaillez, stockez, jouez et échangez dans le nuage

TENDANCES DANS LE COMMERCE DE MARCHANDISES INTERNATIONAL : UN EXAMEN DES PAYS MEMBRES DE L'OCI

I L import : A Domiciliation du titre d importation : 1 Le titre d importation : Aux termes de l'article préliminaire de l'instruction 01 de l'o.c.

Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

Comparaison des états financiers d une entreprise et d une banque

ECO ECO. Probablement le chauffe-eau solaire le plus évolué du monde. Eco 200 / Eco 250 / Eco 300 / Eco 450 ENERGIE CATALOGUE 13

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique

Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers.

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Fonds social européen. en Investit pour votre avenir MODE D EMPLOI. Mobilité, logement MODE D EMPLOI

Afrique. Membre du Groupe SEA-invest

CHAPITRE 9 De l internaconalisacon à la mondialisacon des produccons et des échanges

N L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e

Le compte épargne temps

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

CONDITIONS PARTICULIÈRES

Comment s installer aux Canaries

Conseil économique et social

Une premiere approche des elements nis sur un exemple tres simple

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

Qu est-ce que le commerce équitable?

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal

Rapport de l AERES sur l unité :

M. BONUS Louis. mercredi 15 octobre Le 10/11/2014

a g c d n d e s e s m b

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR

DOSSIER DE PRESSE. Signature d un Agenda entre l Etat et l Union Sociale pour l Habitat. Paris, le jeudi 25 septembre 2014

BASE DE DONNEES - MONDE

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain

Progressons vers l internet de demain

Un exemple d étude de cas

qff TD4 - Calcul du résultat par la méthode du coût variable I) Distinction entre charges variables et charges lïxes 2ème année LicenceAES TD4

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP

L INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015

GUIDE À L INTENTION DES ÉLÈVES

Notre planète mobile : Canada

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

Révision des Principes des Nations Unies pour la protection du consommateur. Dernières évolutions. Tunis, 18 mars 2014

> Équipements de protection individuelle. Le devoir de se protéger

ANALYSE DE LA STRUCTURE DU COMMERCE EXTERIEUR DE BIENS ET SERVICES DE L'UEMOA

MAC3 Balance des paiements. Présentation de l unité. novembre 2012

RAPPORT TECHNIQUE CCE

Le commerce extérieur de la Suisse en 2013

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

MASTER TRADUCTION ET INTERPRETATION PARCOURS TRADUCTION ECONOMIQUE ET JURIDIQUE

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC

Le Lean Management. * James P. Womack, Daniel T. Jones, Daniel Roos : The machine that changed the world. MacMillan Publishing. New York.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

Le recours à l Aide complémentaire santé : les enseignements d une expérimentation sociale à Lille

Rejoignez le. No 1 mondial. de la franchise *! Créez votre entreprise en Franchise avec SUBWAY.

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE LA COMMISSION

Ce chapitre offre un aperçu du processus de

Responsable marketing

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

Présentation Générale

Transcription:

Les rions commercias stratégie internationa développemt réfxions sur carce troisième session CNUCED Bourrin J. Commerce Méditerranée Paris CIHEAM ptions Méditerranénes; n. 5 9 pages 9 Artic avaib on line / Artic disponib ligne l adresse http//om.ciheam.org/artic.php?idpdf=ci035 To cite this artic / Pour citer c artic Bourrin J. Les rions commercias stratégie internationa développemt réfxions sur carce troisième session CNUCED. Commerce Méditerranée. Paris CIHEAM, 9. p. 9 (ptions Méditerranénes; n. 5) http//www.ciheam.org/ http//om.ciheam.org/

CIHEAM ptions Mediterranenes I Jacques BURRINET Université d'aixmarseil s rions commercias stratégie internationa développemt (Réfxions sur carce troisième session CNUCED) La Nations Unies développemt, avait, sa 9), déhi possibilités d'action. La secon session notam voie développemt l'esquisse d'une globa développemt. début Nations Unies loppemt qui fixait comme objectif, développemt, un tx sance annuel s pays voie développemtd'moins %, (San 9) ce but. situation cia début 9 constituait, national, négociations multi GATT 93), défi qui ne pouvait un fondamtal s ncinants commt sistante s pays voie développemt dial? fonctionnemt séchanges développemt? s pays voie contexte économique mondial 9, nationa que communté une non seumt s politiques suivies dial développemt, s pays développés sont point loppemt explique s difficultés que suscite définition politiques nouvels d'ai pn mondial. A une quab expansion s tations mondias a été, 950 90, multipliée cinq, passant 0 mt s échanges ne peut sion ntemt dépassé Le développe l'étu situation économique mon 98 s Nations Unies, 98 a été 5, %,8 % voie développemt, % s économies socialistes tandis que s tx s'évait 8,9,,5 8, % (). a été mts composition esstiels. La 50 % jusqu' 93, dépassait % 99, neuf a échanges sont l'expansion ces questions A vita s pays voie développe () l'évolution ces sujs. cf. étu, Les Échanges intersi nationx (pays Thémis, ' no 3, 9. ptions méditerranénes 5 9.

CIHEAM ptions Mediterranenes Composition par proit commerce mondial Part s exportations mondias par principas catégories proits Pourctages Alimtation Meres premieres 50 % s mondias 955 90; n s s pays développés (cf. tab ). s base gine végéta ou anima, développemt consommation s pays développés bute s obstacs une man faib ésticité, un usages pçant Nations Unies, base l'ésticité man s Combustibs Artics non Bboré Anics Bbores chlmiques Machines 955 95 959 9 93 95 9 99 90 Source Politiques commercias rions économiques internationas..c.d.e. Paris 9, p. 9. Composition par proit Commerce s principas zones s prinipxc pays Part pourctage variations points pourctage trois groupes proits, 90 90 l 90 90 % 90 90 base non base non base non..... développés....... 35. 3 développemt....... 5 voie développemt 85... 8 développemt....... 8 3 3 3 3 5 3 3 35 9 9 3 3 8 9 9 3 5 8 8 8 0 développés....... voie développemt 9 3 8 35 3 3 30 3 3 Sources Nations Unies, Bullin Msuel Statistique; CDE, Statistiques Commerce Extérieur. Note La cssification s proits est conforme CTCI (CssificationType pour Commerce International) s proits base comprnt s proits alimtaires (CTCI l), s matières premières ( ) s combustibs (3); s artics non éborés comprnt s artics manufacturés éborés comprnt s prodqits chimiques (5) s machines (). Les artics s transactions non cssés par gre (CTCI 9) s différtes es fait que s chiffres sont arrondis, sont inclus s chiffres qui se rapportt x proits base.. Les exportations mondias s exportations importations s pays voie développemt sont fondées sur s données préliminaires pour 90. Les exportations importations ne comprnt pas cels?a stination ou provance s pays économie pnifiée. Non compris s pays économie pnifiée. Référce Politique commercia rions économiques internationas, CDE, Paris, 9, p. 5. ptionsméditerranénes 5 9

CIHEAM ptions Mediterranenes 9090, ux fois plus que base (cf. tab j. cel n'est donc pas l'semb tx même, s vtes sec mon 955 95, s pays voie développemt ont chaque 8 %, cels s % cels 3,5 % seumt. où tives d'expansion sont mt qu'un cinquième total tations base l'esstiels (plus 5 % total moyne). Une tel s explique que tx s pays phique ). El explique ssi voie développemt (csse économique nomcs Nations Unies) qui 950, mondias totas mais ne plus que, % ce même total 90 moins % tations (j. Le base n'a pas cepdant connu stagnation 5 % 90 90). ont été acquis difficis man, nationx, ou Etats, vtes ssous inté donc s base (actuelmt 5 % moyne s totas qu'exige toute na ou développemt. L'inésticité man con voie dévemondix Part tx d'expansion, Composition, par proit, commerce mondial pourctage, suivant s groupes proits, 9090 Exportations Groupes proits mondias, total.... Proits alimtaires.. premières. Combustibs....., Proits chimiques....... Autres proits..,....... Proits base (= Proitsalimtaires matières premières + combustibs)............ Proits manufacturés (= Proits chimiques machines + tres arti,8,3 9,9, 0,,9, cs manufacturés)........ 53,5 Artics manufacturés éborés (= Proits chimiques + machines)..., Source Nations;Unies, Bullin Msuel Statistique. 3, 0, 9,, 8, 9, 3 3,5 5, 3,3 Tx croissance composé paran 90 90 98 8,9 5,9,3 3,l 0,3. A partir s chiffres préliminaires 90.. cssemt s proits est conforme (CssificationType pour Commerce national) exportations mondias, total 09) proits alimtaires ); matieres premieres ( ); combu.stibs (3); proits chimiques (5); machines (); tresartics manufacturés ( 8). Politiques commercias rions internationas, Paris, 9, p. 5. 5,, Tx annuel croissance composé s exportations 900 (Zone ou pays xportation) voie diveloppemt Australie. NvelZin, Afrique Sud ExtraAELE EtsUnis pays a lconomie pnifi ~xtr8t~~ Autres pays d'europe. occinta IntraAELE Canada IntraCEE Japon () Sur détérioration position interaationa J. Échanges internationx (pays voie no, Paris, P.U.F., 9, chapitre 8 8 0 0% Source Politiques commercias rions économiques internationas. Paris 9, p. 8. ptionsméditerranénes 5 9 3

CIHEAM ptions Mediterranenes LES CNTRAINTES DÉCULANT DE LASATURATIN DESMARCHÉS Le mécanisme tion d'une économie Le un momt donné un national ou fonction fonction s ux se un point unique qui, seul, l'égalisation s quan s quantités mandées, ainsi l'équilibre plus, orieate consommation s s changemts s quantités quantités mandées, finamt, s fac ffre man mondias café ( millions sacs 0 kg) MNDIALE l Ce système signx économiques (3) ne peut, cepdant, tation suffisante s hypothèses d'atomicité ne sont conjonc plussouvt d'une dis consommation calcul s ésticités man x ou x ésticités d'anticipation ou substitution s man s disponib possibilités << timeg >> décision modè Cobweb) démt s conclusions l'analyse s cssiques squels blissemt tomatique man un impossib continue ou constatés base; bi s cas ne cesse plus vite que man ou continue même que man diminue ou stagne. L'étu s base, 98 exemps, que, 95 98, l'évolution café est dominée un (cf. 3). sation limitation s contingts s quan nationas, s (3) Économie manuel Thémis, t. () sur s proits base, 98. F. 9, 50 0 0 95 Source NationsUnies. Etu s proits base. 98, p. 30. national café 9 pas tisst qu' une simp atténuation ce 9 98. L'excént mondial, campagne 98 nive s stocks qu'il souhaitab une sasante café mondial. La fondamtx constitue une situation économique spécifique, situa 0 0 ptions méditerranénes 5 ctobre 9

CIHEAM ptions Mediterranenes I tion s ayant man, une quel ne jout plus ou ne jout que faibmt, s x s quantités l'eff analysé s économistes puis dixseptième sièc un ché ction tation s quantités mises Les pays n'ont donc cune nive ssibmt s quantités En man, sexcéntsface une indépdants man. Si seuil satud'un n'est pas fixe (évoluant fonction s climatiques, socix ou politiques), il est cte esstielmt s faib ésticité man ces bis, synthèse dont bénéficit pays voiedéveloppemt dont s économiques sont sifiées qui un ou quelques base voit échec cte dix La ou une passage d'un l'évolution s seu, eff, (( un nouve, extsib cte fxibilité l'économie, déj diffici souvt impossib s ne sont tantes ou cowt ou moy terme, un changemt d'un A déft d'une économies développemt conçus l'échel nationa ou d'une s tées montant s fluctuations. tabilité c. palme Cacao. Tungstène...,. Caoutchouc... 3 court terme tdance généra s prix certains proits primaires, 9090 Café. Aman pal. miste. Sisal Thé hain d'instabilité a 90 95 I 35, 3,3, 5, 3,5 8,,5,3,9 9 8, 9, 9, 9,,3,9 8, %,8 5,3,,,3 3,l,5,,o 0, 0, 9, 9,o 8,9 8,9 8,9 8,,8,3 Tdance s 90 95 + 33, + 9,,,o + 0,s,9 0,3 + 8,9 l,o 0,9 0,l + 5,8, + 3, + 0,, + 3,9, + 0,s % b 3,5 0,, +,s 3,5, +,8 0,l,8 0, + 3,3 + 3, 0,9 +, +, 9,,5, pays voie développemt (moyne 99) millions,53,3 55 9 0 8 33 58 98 0,9 0 59 5 3 50 0 5 Commodity FA, statistiques nationas a) tdance b) Tdance calculée base s moynes msuels. c) dont l'indice d'instabilité dépasse 0 '% dont l'indice d'instablité est yo 9590. T, 9, p. 5. un pays pnt s flucs bis dont man est tuations bis d'équipemt) ne peut une souvt ssib ses fin une échanges. Au total, vt sous une nationa blocage. A LES ALÉAS bis échangés, LE une se d'insta un tel s mondix s s ptions mediterranénes 5 9 A) Fluctuations s prix terme tantes sont soumis s tempo mouvemts man s consommation. Le tab 3 que ce phénomène s tdance hsse ceux squels tdance est soit statique, soit baisse,

~ CIHEAM ptions Mediterranenes Proit a Blé Maïs Riz Sucre Café Cacao Laine Sisal Caout chouc Monnaie unité considérée dolr/ 0 livres dolr/tonne dolr/tonne cts /livre cts /livre cts /livre cts/livre dolr/tonne cts /livre nee Janvier,î 90 9, 90 3, 9, 905 938 90 3,0 9,î 9 9, f9 9, 90 33,9 9. 90 93 9 903 93 90,9 9, Février,,3, 3,3 50 8 3,5,8 8,, 30, 5.5 93,8 5,l Mars l,,,, 39 3,38,9 9, 5,l 30.,5 90 50 8 0,l 5,3 Avril Mai Juin,; 5, 9, 39 3,5;,5( 50,,3 9,8.8 9 5 3 9,l,,',3 39 3, 5.,3 9 5 8,9, ~ 3,9 50,9, 88 5 8, Juill,3 8, 3,8 5, 8,9 88 5, Août,;, I 3,8i 5, 33,5 85 I9.9 Septembre,s 5,8 I0 3,8 5, 33,9 9 I, ctob re,( 3, 5 3,9 5,9 3,l 39 5,8 vembre,,3 0,' 50, 30, 88 3, Décembre I 3 38 Moy. ne msuel,,! 3,5 9, 50,5 8,9 30, 9,5, 3,5 55 5 8,5,8 Variation 99 ir 90 (moyne) msuel) a) Spécifications CotonE.U. Memphis Territory "; Laine 's Dominion, proit vé, c.a.f. RoymeUni; lute Pakistan brut P.W.D., f.o.b. ChittagongChalna; Sisal East African, U.G., c.a.f. Londres; Abaca Philippines, Manil NonDavao c.s.f. ports europés; Caoutchouc Singapour No RSS f.o.b., bals. Source CNUCED Conseil Commce développemt TD.B.C.09, p. 3 39. t 3 + 5 30 5 3 9 s tants s pays voiedéveloppemt dont s sont instabilité hsse ou tous s cas, un s base; tab ps ces fluctuations début 9. se Toute s doit quelques exem 90 bais tdance selon s ou s base consécutif s s pays voie développemt ont eu tdance Cte tdance a été plus ux s qui se m dont vt ntemt qui tnt mondial. Selon Etu (5), s s pays voie développemt s a 3 % politique s base., 9. ptions méditerranénes 5 ctobre 9

~ CIHEAM ptions Mediterranenes an l semb déce). l gmtation volume s qui ces pays voie développemt sont décnie métx, l évolution s années 90 a été becouplus pays Ainsi, 95 98, pdant gmtt souvt s tation (cf. tab 5). que non voie mondix. ces conditions, baseconsistedonc, comme souligne avec (Q, mécanisme un pce toutes selon quel il ft x session 9, n a dépassé sta cipe. La s négociations n a pas donné nationx blé,l huid olive). Et, s cas, comme nous l avons souligné ces ne Compte tu ces difficultés, sification s pays dont sont un pit s dant s années 90. Sans &valuation décnie 90 que déclin s on lution s ont plus dynamique tab ) doivt une base tx Variation s reces d exportation certains pays voie dévelopemt *, 9598.......... ombustibs...... Libye............... métx........ Soudan............ Tan zanie a....... unie.......... sons bois Ghana a........ Costa... El.....,... Colombie.. uganda. Ceyn....... Ethiopie..... Guatema.......... t tabac Tunisie......,.............. 9 50 503 309 995 9 30 0 03 5 35 05 3 8 3 3 9 89 5 88 35 85 35 8 9 3 0 593 9 9 30 555 930 8 38 33 8 5 5 55 59 5 83 5 8 0 9 5 8 38 5 8 o 33 99 80 9 ou l année 95 9 9 3 9 8 30 3 0 8 5 8 3 5 5 5 3 3 9 3 5 5 3 9 5 3 l année 98 8 0 8 5 3 0 5 5 9 8 3 5 9 3 8 3 r se 5 8 5 9 3 0 9 9 8 3 3 9 5 Source Financial Statistics, novembre 98. * Pays voie développemt qui tirt groupe proits indiqués moins moitié ur rectes d exportation. a) A l exclusion commerce avec s tres pays d Afriqueorita, ancines possessions britanniques. Nations Unies, Etu sur s proits base 98, op. cot., p. 0. () La développemt action. Nations Unies, 99. ptions méditerranénes 5

CIHEAM ptions Mediterranenes ~ TABLEAU Vr s exportations s pays voie développemt par principx groupes proits (Variations annuels pourctage). 953955 9395.. 95890 9395... 9 95... 95 9........ 9 9...... Proits alimtaires matières brutes. 3.9 3. '. (.) Combustibs....5 (9.) Sottrce Nations Unies. fitu sur s proits base, 98, op. cit., p.. semt volume s s même un peu plus faib que pdant décnie 90 si s politiques actuels sont maintues sans changemt. s tx tions totas l'semb s pays voie développemt estimés, 90 980, 8 % sont s tions,3 % an), puis cels ( 9,8 0, % an), que s s base ne que3 % Cesévolutions s ssibs s s pays voie développemt secon décnie développemt (cf. tab ). TABLEAU C) La s échanges Proits manufacturés 8..5 3..3 (9.8) n sait donnt l'indice s moys l'indice s base. Les méthos calcul c indice soulèvt difficultés méthodologiques tant notammt s indices globx inconvénits d'une temps basée seu évolution (). () Cf. ce point étu L'évolution s l'échange, in nationx (pays voie développemt), ci. p. 30. Pays voie développemt répartition s exportations par principx groupes proits (En pourctabe s exportations totas) 'r Groupe ce proits Proits alimtaires...... Matières premières agricos.. Minérx métx I I l 3 8 (combustibs non compris).. Artics manufacturés..... 9 Combustibs......... Total..... 8 99 0 38 980 Variante Variante 5 0 5 loo I loo Sources Perspectives commercias besoins capitx s pays voie d&eloppemt. F.. p.. ptions méditerranénes 5 9 s conit une gmtation s disponibilités nationas voie développemt ont peu chances une tel hypothèse sont bis d'équipemts manu cessus développemt économique. C'est une vises une baisse d'achat s qui Tel semb bi tdance domi selon s étus (8), un échantillon 8 pays voie développemt, s moys 90 90,stagné pays même ssibmt baissé pays. En tation, notammt s bis d'équipemt ces mêmes pays voie développemt, connu, années 90, une % an. En s donc été % plus évés moyne qu' 9590. ft lin 9, se sont équivante coût s dont Au total, 90 90, une dation 9 pays voie développemt tx moy dation mêmedépassé % an fléchissemt s tation ont été, s cas, plus que compsés volume ces il convit l'échange a spays voie développemt une écono un qui ont subi tante, spays plus base squels s sont dont ont, conséquce, souvt connu une baisse voie développemt mises d'une qui sont donc s fluctuations excessivess s tdances baisse s s l'échange. La mise action déve (8) notammt s documts 8.

CIHEAM ptions Mediterranenes tion développemt économique. tous ces points, session souligné son 9 s pays s échanges C est donc s voie conséquce <( l immse ception >> s pays (9). LES LA Un session s échanges pays voie développemt s moins domaines d activité nouvex confé techniques, décision nive discussion tous eux un vital, G.A.T.T. 93 ne sousestimés. L échec est, mt n s domaines esstiels financemt. Le manque dynamisme nationa a dominé l semb s qui ttait s pays voie développemt développemt. cte sont l.n.u. un pn suivante c S il y a eu blèmedéveloppemt, il communté cte conscice nouvels s avant >> (0). (9) Selon vant Conseil économiqu social s Nations Unies 8 juill 9. (0) Nations Unies, documt 9, p. 3. Les session Santiago ne dépasst pas, eff, nive s loppemt. Cte absce déve significative, compte tu s Comme nous l avon souligné, s its s s pays voie développemt man mondia ces est A cte dynamisme man hte technicité dont s pays développés sont, plus s années soixante tx man mondia s moitié tx La thétiques d accès x s pays déve donc une action sification Les pays voie développemt attdait effectivemt s d amés conditions faite ux décisions obstacs non x pays voie développemt (ll), pu simp 5 (III) un 3 texte d un s Etats national développemt. même, cias développemt visage une division pays voie développemt économie l accès x développés. Aul comme 98, session n a pu notammt base politique stocks, limitation s () synthé natu ptions méditerranénes 5 9 * * compxité d une session se pas effectivemt obtus quelques semaines, l absce décisions, session Santiago Chili, s tion effectivemt développemt économique social s pays voie développemt n ont pas atteint exigé temps. 9