Biodiversité actuelle
Écosystème
Écosystème biocénose + biotope
Une biocénose est l'ensemble des être vivants coexistant dans un espace défini ( le biotope ).
Une biocénose est l'ensemble des être vivants coexistant dans un espace défini ( le biotope ). BIOCÉNOSE : ESPÈCES VÉGÉTALES + ÉSPÈCES ANIMALES
Une biocénose est l'ensemble des être vivants coexistant dans un espace défini ( le biotope ). BIOCÉNOSE : ESPÈCES VÉGÉTALES + ÉSPÈCES ANIMALES BIOTOPE : ENVIRONNEMENT GÉOLOGIQUE, ÉDAPHIQUE, HYDROLOGIQUE, CLIMATIQUE
Une biocénose est l'ensemble des être vivants coexistant dans un espace défini ( le biotope ). BIOCÉNOSE : ESPÈCES VÉGÉTALES + ÉSPÈCES ANIMALES BIOTOPE : ENVIRONNEMENT GÉOLOGIQUE, ÉDAPHIQUE, HYDROLOGIQUE, CLIMATIQUE
Il existe 3 niveaux d'étude de la biodiversité :
LA DIVERSITÉ ÉCOSYSTÉMIQUE
LA DIVERSITÉ SPÉCIFIQUE
LA DIVERSITÉ GÉNÉTIQUE
Problématique : Que devient la matière le long des chaînes alimentaires?
Consigne : À partir des renseignements fournis sur son régime alimentaire, relier les êtres vivants par une flèche qui signifie «est mangé par» et qui indique pour nous le sens de transfert de la matière organique. MULOT Beaucoup de graines d arbres, de jeunes plantes, des champignons, de petits fruits. CHOUETTE Campagnols, mulots, petits oiseaux, insectes. MYRTILLE Eau, sels minéraux, CO2. LOMBRIC Matière organique morte contenue dans la litière. On obtient alors une représentation graphique des relations alimentaires entre quelques êtres vivants de l écosystème «hêtraie sapinière».
Les éléments constituant un écosystème développent un réseau d'échange d'énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie.
Les éléments constituant un écosystème développent un réseau d'échange d'énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie.
Les éléments constituant un écosystème développent un réseau d'échange d'énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie.
Un réseau trophique est un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la biomasse circulent.
Regardons de plus près ce transfert de matière...
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. On peut représenter le transfert de matière dans l écosystème par un graphique pyramidal : chaque niveau se trouve figuré par un rectangle dont la surface est proportionnelle à la biomasse. Pour l écosystème considéré, on prend en compte la production au cours du temps, on obtient une pyramide de productivité. 1 Construire la pyramide des productivités en prenant en compte chaque niveau trophique.
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. 2 Proposer une explication à la perte de biomasse lorsqu on passe d un niveau à l autre.
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. L agriculture est un processus par lequel les hommes aménagent leurs écosystèmes pour satisfaire les besoins alimentaires. On ne parle plus d'écosystème mais alors d'agrosystème.
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. Contraction des mots français «agro» et «écosystème» (agro- signifie «champs» en grec) De nos jour le préfixe agro signifie «qui concerne l'agriculture».
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. 1 Construire les deux chaînes alimentaires évoquées dans les documents, et justifiez les niveaux trophiques différents occupés par l Homme. 2 Rappeler quelles sont les causes des pertes énergétiques constatées entre chaque niveau.
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. 3 Calculer pour chaque production le pourcentage de ce qui reste pour l alimentation humaine. 4 En considérant qu il faut 4,1 millions de KJ pour nourrir un Homme pendant un an, calculer le nombre d humains qui pourront être nourris par les 2 surfaces cultivables sachant que : => Pour un champ de blé la productivité en grains utilisables par l Homme est de 47,9 millions de KJ /ha/an ; les grains sont digestibles à 80%, il reste donc 38,3 millions de KJ /ha/an pour la consommation humaine. => Pour une prairie pâturée la productivité secondaire (viande + lait) est de 21,7 millions de KJ /ha/an ; après nourrissage des veaux avec le lait, il reste 11,1 millions de KJ /ha/an digestibles à 90%, donc 10 millions sont consommés par l Homme. Que peut-on en déduire sur l impact écologique d une alimentation carnée?
CHAPITRE 4 : LA PLACE DE L'HOMME DANS LES ÉCOSYSTÈMES. Bilan : Les réseaux trophiques montrent qu il existe toujours des pertes de biomasse et d énergie lorsqu on passe d un niveau trophique à l autre. Plus la chaîne est courte, moins il y a de pertes. L agriculture repose sur la création et la gestion d agrosystèmes dans le but de fournir des produits (dont les aliments) nécessaires à l humanité. Dans une perspective de développement durable, en privilégiant une alimentation végétale, l Homme réduit les pertes de matière et d énergie.