COMITÉ PARITAIRE DE PILOTAGE DE LA GPEC



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Transcription:

P.V. N 1 CONVENTION COLLECTIVE DU PERSONNEL DES INSTITUTIONS DE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE COMITÉ PARITAIRE DE PILOTAGE DE LA GPEC REUNION DU 26 MAI 2015

COPIL GPEC Ordre du jour de la réunion du 26 mai 2015 I. Désignation du Président et du Vice-président du Copil GPEC page 2 II. Point sur les activités 2014/2015 des outils de la branche : a) les outils existants : - Observatoire des métiers et des qualifications page 2 - Bourse de l emploi page 4 annexe n 1 - Centre de formation et des expertises métiers page 5 annexe 2 - Accompagnement du changement et de la transformation page 9 annexe n 3 b) les outils issus de l accord du 30 septembre 2014 - la constitution du réseau des référents GPEC page 12 annexe n 4 - la GPEC opérationnelle page 12 annexe n 4 - état des lieux des accords GPEC dans les entreprises de la branche page 13 III. Fonctionnement du Copil GPEC page 13 - organisation des travaux et articulation avec les travaux de la CPNEF page 15 IV. Fixation du calendrier des réunions pour 2015 page 16

P.V N 1 CONVENTION COLLECTIVE DU PERSONNEL DES INSTITUTIONS DE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE COPIL GPEC Réunion du 26 mai 2015 Étaient présents : Délégation des employeurs M. BIGNALET - Mmes DOLLE DELMOTTE - DESBORDES - FRANCIETTA - GENIEYS - MM. GIN - LANDAIS - LE SAUX Délégation des salariés CFDT Mmes ADELINE - LACOMBE - MM. LARMET - LEGRAND CFTC Mmes CAJAZZO - PAILLÉ - MM. POUGET - QUALITÉ CFE-CGC MM. LALANDE - MANSOURI CGT MM. CHARLIER - COUTY - GERVILLIERS CGTFO M. BELNY Mme GUELMANI Assistaient également à la réunion : M. BRISSON - Mmes HAMMES - HOLTZINGER - KRAMER - M. LOUADOUDI - Mme MATHIEU Étaient excusés : M. ACHALME - Mmes AIT MOKHTAR - d ALÉO - MM. de VILLELE - LÉZIER - MESNARD PARPEYRAT - SALON

2 M. LANDAIS ouvre la séance à 14 h 15. I DÉSIGNATION DU PRÉSIDENT ET DU VICE-PRÉSIDENT DU COPIL GPEC M. LANDAIS rappelle que, conformément aux dispositions de l accord relatif à la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC), signé le 30 septembre 2014, le comité désigne, en son sein, un Président et un Vice-président appartenant l un au collège des employeurs et l autre au collège des salariés, avec alternance des postes tous les 2 ans ; le collège d appartenance du Président doit être différent de celui du Président de la CPNEF. Le Président de la CPNEF étant actuellement un membre du collège employeurs, M. LANDAIS demande quelles sont les candidatures proposées par le collège des salariés pour la Présidence du Copil GPEC. M. LALANDE (CFE-CGC) propose, au nom du collège des salariés, Mme Isabelle ADELINE, représentant la CFDT, pour la Présidence du Copil GPEC. M. LANDAIS propose, au nom de la délégation des employeurs, M. François GIN, Directeur général du groupe AGRICA, pour la Vice-présidence du Copil GPEC. Les deux candidats sont élus à l unanimité. Mme ADELINE et M. GIN sont élus respectivement Présidente et Vice-président du Copil GPEC pour un mandat de deux ans. Mme ADELINE remercie les membres du comité pour leur confiance et exprime sa volonté de réaliser le travail confié à cette instance en lien avec la CPNEF. II POINT SUR LES ACTIVITES 2014/2015 DES OUTILS DE LA BRANCHE a) Les outils existants L Observatoire des métiers et des qualifications M. LOUADOUDI présente le programme d études et des manifestations pour 2015. Il indique que l étude d éclairage des impacts de la DSN sur les activités et compétences des métiers de la gestion est en cours de réalisation et que l étude d éclairage technique sur les mobilités professionnelles au sein des GPS sera engagée à compter d octobre 2015. Il ajoute que cette dernière étude est financée par UNIFORMATION. Il fait part de l organisation d un atelier débat en décembre prochain sur le développement du Big Data et des métiers de la gestion du risque et de la conformité.

3 Il indique enfin la finalisation d un dictionnaire des compétences clés des métiers de la branche retraite complémentaire et prévoyance afin de fournir un outil permettant de partager un vocabulaire commun sur les compétences métiers. A l issue de cette présentation, une discussion s engage. M. LALANDE constate que l étude des impacts RH de la DSN sera présentée à la CPNEF du 8 juin prochain et demande si les éléments complémentaires demandés concernant les données quantitatives en matière d assurance de personnes seront présentés à la CPNEF de septembre 2015. M. LOUADOUDI précise, s agissant du domaine assurance de personnes, que la méthodologie et le calendrier seront présentés en septembre 2015, le résultat de l étude sera, quant à lui, livré en mars 2016. M. LARMET (CFDT) demande pour quelle raison l étude menée par UNIFORMATION sur les managers de proximité ne figure pas dans le programme d études et des manifestations 2015 de l Observatoire des métiers. M. LANDAIS indique que l étude portant sur les managers de proximité est en fait la présentation par UNIFORMATION d une synthèse des études menées par 3 branches professionnelles (Mutualité, RSI et UCANSS). Il ajoute que la première réunion du comité de pilotage paritaire ad hoc institué par UNIFORMATION et rassemblant les membres titulaires de la SPP se tiendra le 27 mai prochain. Mme ADELINE rappelle que, UNIFORMATION a indiqué, lors de la dernière réunion de la SPP, que la livraison de l étude transverse serait effectuée en juin 2015. Elle demande que le rapport d étude soit communiqué aux membres du Copil GPEC dès l achèvement des travaux. M. LALANDE rappelle qu il a participé à l élaboration du cahier des charges de cette étude. Il considère que l étude menée ne sera pas très approfondie et prendra la forme d une synthèse et non d une étude comparative. M. LARMET s étonne de l organisation d un seul atelier-débat en 2015. Il estime que la problématique RH devrait donner lieu à un atelier-débat. M. LOUADOUDI indique que l Observatoire des métiers devrait mener sur la période 2016/2017 une étude sur l évolution des métiers de la RH. Le programme d études et de manifestations pour la période 2016/2017 comprenant des ateliers-débats ainsi que la conférence métiers sera proposé au Copil GPEC de septembre 2015.

4 La Bourse de l emploi M. LOUADOUDI présente le rapport d'activité 2014 ainsi que les actions 2015 de la Bourse de l emploi qui figure en annexe n 1. Il indique que la fréquentation du site internet est en forte augmentation. Il ajoute que la problématique de la double saisie des offres d emploi est quasiment résolue, ce qui a permis de publier davantage d offres d emploi. Il souligne que l emploi cadre progresse significativement au sein de la branche. M. LOUADOUDI précise que 41 offres ont été pourvues en 2014 via la Bourse de l emploi notamment dans les familles développement, conseil et pilotage et de la finance et il souligne que la majorité de ces salariés ont obtenu un CDI. A l issue de cet exposé, une discussion s engage. M. GERVILLIERS (CGT) demande si les offres d emplois informatiques liées au programme ITAC ou au GIRC, figurent sur le site de la Bourse de l emploi. Il fait observer que le taux de recrutement via la Bourse de l emploi est faible ; celui-ci est inférieur à 5% (41 recrutements pour 834 offres). Il note, par ailleurs, que la part des candidats de la branche est en nette diminution. M. LOUADOUDI répond, sur le premier point, par l affirmative. Il relève, par ailleurs, que la branche a un effort à accomplir quant à la promotion des métiers de la branche. Mme PAILLE (CFTC) constate que le nombre de candidats est important par rapport au nombre de postes offerts. Elle relève que 55% des offres sont à pourvoir en région Ile-de -France. Elle demande pour quelle raison seulement 15,7% des candidats proviennent de la branche. M. LOUADOUDI rappelle que le site internet a été ouvert au public, ce qui a généré une fréquentation du site plus importante. M. LALANDE observe que les candidats sont majoritairement des employés (68%) alors que seulement 45,8% des offres concernent cette catégorie. Il demande si cela signifie que les employés recherchent, par ce biais, une évolution professionnelle ou si les agents de maîtrise et les cadres n utilisent pas cet outil pour rechercher ou changer d emploi. Il demande ce que signifient (page 9) les termes «GPS potentiellement concernés par la mise en place de l interface Multiposting en 2015».

5 M. BELNY (CGT-FO) considère, au vu du nombre de salariés recrutés via la Bourse de l emploi, que les GPS ne sont pas concernés. Il rappelle que la diffusion des offres d emploi auprès de la Bourse de l emploi constitue une obligation conventionnelle. M. LANDAIS souligne que la publication des offres d emploi a progressé de 152% par rapport à 2013. La Bourse de l emploi est désormais un canal largement utilisé et il s en félicite. Mme ADELINE relève que la mise en œuvre du nouvel outil utilisé par la Bourse de l emploi a été laborieuse. Elle constate que certains GPS jouent le jeu, d autres pas. Elle relève que 45,8% des offres concernent des postes de la catégorie employés. Pour ces postes, les entreprises donnent la priorité aux candidatures internes, ce qui n est pas le cas pour les offres concernant des postes d agents de maîtrise ou de cadres. Elle rappelle la nécessité de diffuser largement auprès des salariés l accès à la Bourse de l emploi via notamment le lien internet. M. LARMET demande s il y a encore des GPS qui ne font pas paraître des offres d emploi par le biais de la Bourse de l emploi et dans l affirmative, quels sont ces groupes. M. GIN tient à préciser que, même si une entreprise ne dispose pas de l outil informatique, la Bourse de l emploi est alimentée. M. LOUADOUDI indique que la refonte du site internet de l Observatoire des métiers est en cours de développement pour une mise en ligne du nouveau site au 1 er juin 2015. Mme ADELINE demande que le nouveau lien informatique soit communiqué aux partenaires sociaux de la branche ainsi qu aux groupes en vue d une large diffusion auprès des salariés de la branche. M. LALANDE indique que le journal Interactions constitue un outil utile pour informer l ensemble des salariés des évolutions en cours. Mme KRÄMER précise qu un article sera consacré à la refonte du site internet de la Bourse de l emploi dans le numéro de juin 2015. Le Centre de formation et des expertises métiers (CFEM) M. BRISSON présente l activité 2015 du CFEM ainsi que les données budgétaires du CFEM et l offre du catalogue 2016 (annexe n 2).

6 S agissant de l activité du CFEM, il cite les nombreux chantiers d accompagnement des évolutions métiers en cours dans les GPS, menés en lien avec l accompagnement du changement et de la transformation (ACT) et notamment : - la mise en place avec le CTIP, d un dispositif de formation destiné aux formateurs relais des institutions de prévoyance, - la mise en place d une formation sur l évolution des contrats responsables, - la création d une formation au système d information rénové en action sociale. Il indique que cette année est marquée essentiellement par la mise en œuvre de dispositifs de formations pour accompagner la mensualisation du versement des cotisations et le déploiement de la DSN. Par ailleurs, pour maintenir les compétences et les connaissances des salariés, des formations courtes sont mises en œuvre sur l actualité des régimes de retraite ainsi que des séminaires. Il souligne que, sur les 4 premiers mois de l année 2015, l activité du CFEM progresse par rapport à celle des premiers mois de 2014. Il ajoute que l activité intra (formations sur mesures) est plus importante que l inter. Cette tendance est observée depuis maintenant plusieurs années. Il relève que l offre de formation 2016 a fait l objet d un travail de co-construction avec le réseau des responsables formation des GPS. Il indique que des schémas d aide à la décision (page 17) ont été intégrés dans le catalogue 2016 afin d identifier la formation la plus adaptée aux besoins des salariés. Concernant le dispositif de certification, des travaux ont été menés pour faciliter l accès au CQP conseiller retraite. Désormais 3 voies d accès permettent de préparer le CQP conseiller retraite : le parcours de formation, la VAE et les formations modulaires par le biais d un parcours en 3 CCP. Il indique que l offre de formation s ouvre aux nouvelles technologies et le CFEM souhaite développer des modules d e-learning ainsi que des classes virtuelles. Concernant les données budgétaires, M. BRISSON indique que, au titre de l exercice 2014, le résultat net du CFEM se rapproche de l équilibre (-119 M contre - 479 M en 2013) du fait notamment de la baisse significative des charges et d une politique tarifaire plus adaptée. A l issue de cette présentation, un débat s engage. Mme PAILLE demande si tous les groupes participent au réseau des Directeurs et responsables formation. M. BRISSON répond par l affirmative.

7 Mme PAILLE demande, s agissant de la réforme sur la formation professionnelle, combien de groupes ont procédé à l information des salariés sur leurs nouveaux droits et notamment sur l ouverture du Compte Personnel de Formation (CPF). M. LANDAIS précise, qu en principe, tous les GPS ont effectué cette information qui constitue une obligation légale. Mme PAILLE demande, s agissant de la qualité des liquidations, quel est le taux d anomalies constaté en 2014. M. LANDAIS précise que l amélioration de la qualité des liquidations est un objectif inscrit dans les contrats d objectifs et de moyens. M. GIN ajoute que ce sujet mobilise tous les groupes. Mme PAILLE constate, une forte hausse du nombre de formations en matière d assurance de personnes. Elle ajoute que, malgré les orientations adoptées en mars 2012, l activité du CFEM est, en baisse constante, ce qui est inquiétant. Elle estime que la hausse du tarif journalier ne résoudra pas toutes les difficultés et constate que l activité intra reste la formule préférée des groupes. Elle demande si la réforme des retraites, actuellement mise en œuvre, figure au programme 2015 et si le CFEM pourra être réactif, notamment à l égard des CICAS et des centres d appel car les questions et l inquiétude sont déjà bien présentes. M. BRISSON précise que les salariés des centres d appel bénéficient d un dispositif particulier de formation. Les besoins de formation sont définis avec les superviseurs des plateformes téléphoniques. Mme PAILLE constate le développement des formations en e-learning concernant notamment la bureautique. Elle demande combien de formations en e-learning ont pu être identifiées à ce jour et quel est le taux d utilisation dans les groupes. M. BRISSON indique que les formations en e-learning sont principalement utilisées pour des formations obligatoires portant sur la bureautique ou la lutte contre le blanchiment d argent et prochainement sur la DSN. Il rappelle qu au début des années 2000, une formation en e-learning avait été mise en place avec l AG2R-La Mondiale en vue de développer la culture de la protection sociale. M. LARMET demande des précisions (page 7) sur le système d information décisionnel de la retraite complémentaire (SID-RC).

8 M. BRISSON précise que le SID-RC livrera des données aux responsables des GPS. Il ajoute que le contenu des données livrées est décidé de manière communautaire. Toutefois, les GPS conservent la possibilité de formuler des requêtes spécifiques. Il souligne que, pour être nommé correspondant SID-RC, il est nécessaire d avoir suivi la formation au logiciel Cognos. M. LARMET considère que l attentisme des GPS sur la mise en œuvre de la réforme de la formation professionnelle, évoqué page 12, peut s expliquer notamment du fait que les groupes sont dans l attente du résultat de la négociation de branche sur cette thématique. Il rappelle que la formation est un outil incontournable de la GPEC et fait part de son inquiétude sur la formule inscrite page 12 qui indique que «la recherche d économies de gestion a peut-être comme conséquence une diminution des budgets consacrés à la formation». Il ajoute que le Copil GPEC restera vigilant sur le budget consacré à la formation. Il rappelle que la mesure 5 de la résolution 1 vise à homogénéiser le recours à la soustraitance en gestion contentieuse et constate que 3 formations sur les 15 retirées de l offre 2016 concernent le contentieux. Il demande s il y a un lien. M. BRISSON indique que ces formations n avaient pas trouvé leur public. M. LARMET rappelle, s agissant du schéma d aide à la décision (p.17), la nécessité pour les équipes d avoir connaissance du contenu du catalogue de formations et pour les managers d être formés pour apprécier les besoins de formations au sein des équipes. Concernant le CQP réalisé par des formations modulaires (3 CCP), il demande que les prérequis nécessaires à l exercice de cette formation apparaissent dans le catalogue notamment. M. BRISSON précise que le CFEM travaille à une nouvelle présentation plus adaptée qui contiendra les prérequis. M. BELNY relève que le CFEM assure la formation des salariés des plateformes téléphoniques et souligne que cette activité est fortement sous-traitée. Il demande qui procède à la formation des sous-traitants. M. BRISSON précise qu il n y a pas d intervention du CFEM auprès de sous-traitants. M. LALANDE demande si l Association d employeurs peut confirmer l externalisation du traitement de l activité téléphonique retraite complémentaire.

9 M. COUTY fait observer que les salariés des plateformes téléphoniques, qui assurent des réponses de niveau 1, tant en retraite complémentaire qu en assurance de personnes, sont majoritairement formés sur le tas. M. LALANDE demande sur quels fondements les stages sont mis ou retirés du catalogue et si cela signifie que le contenu du stage n est plus adapté ou que la formation n a pas trouvé son public. Il s étonne du maintien au catalogue d une formation sur la gestion des cotisations des établissements d enseignement privés, dont les adhésions sont concentrées sur quelques groupes. M. BRISSON précise que cette formation concerne un public limité. Il souligne cependant la nécessité de maintenir cette compétence au sein des groupes pour gérer ces adhésions. L Accompagnement du changement et de la transformation Mme MATHIEU commente le document qui figure en annexe n 3. Elle présente l activité de l unité «Accompagnement du changement et de la transformation». Elle indique que, dans le cadre de la GPEC opérationnelle, des instruments sont mis en œuvre pour accompagner l évolution des compétences et l accroissement de la performance. Des outils sont mis en place pour aider les salariés sur le terrain à faire face aux transformations. Elle précise que, pour que le dispositif soit efficace, il est nécessaire d anticiper les changements organisationnels notamment : - en identifiant les projets de la branche qui peuvent impacter l organisation des GPS ; - en identifiant les impacts métiers en lien avec les groupes. Elle rappelle la nécessité d accompagner les groupes dans la mise en œuvre des dispositifs de conduite du changement en leur fournissant des méthodes et des outils construits ensemble et en accompagnant les managers de terrain pour s approprier les nouveaux sujets de la retraite et les diffuser auprès des équipes. Elle souligne qu une des missions de l ACT consiste à partager et à mutualiser les expériences en matière de conduite du changement notamment en organisant les témoignages, en échangeant les bonnes pratiques et en recueillant les besoins des équipes. Puis, elle présente le réseau des porteurs du changement ainsi que les dispositifs de conduite du changement en cours en 2015. A l issue de cet exposé, une discussion s engage.

10 Mme PAILLE fait la déclaration suivante : «Le monde de la retraite change, c est vrai. Transformation de la culture, des environnements, des méthodes de travail, les gestionnaires subissent de nombreuses évolutions. Il y a aussi les exigences du service client toujours plus hautes, la productivité toujours plus active et tout cela avec une obligation de maîtrise des coûts. Est-ce que les dirigeants se rendent compte que, dans tous les groupes, la souffrance au travail est de plus en plus fréquente. Les médecins du travail le constatent chaque jour. Quel est le nombre d arrêts maladie en lien direct avec cette souffrance? La CFTC a déjà alerté les employeurs sur ce sujet. Elle a d ailleurs abordé ce sujet lors de la rencontre bilatérale avec le nouveau Président de l Association d employeurs qui a convenu que la souffrance au travail était un sujet qui lui tenait particulièrement à cœur et il a lui-même évoqué les conséquences sur l emploi. La CFTC s adresse directement à M. SELLERET afin qu il fasse réaliser une enquête sur les risques psychosociaux au sein de la branche. Dans cet accompagnement au changement, lorsqu un métier ou un service est concerné, si l information est faite, bien souvent, les entretiens avec les salariés concernés ne sont pas réalisés dans les temps et l on arrive aussi à des situations de risques psychosociaux car trop vite devant le fait accompli. Tout ce qui est écrit est bien joli, c est d ailleurs comme cela que ça devrait se passer, mais malheureusement ce n est pas toujours le cas. Alors, écouter la voix du terrain, c est bien, encore faut-il que ce soit réellement «le vécu qui parle». Y a-t-il des groupes qui ont osé mettre en place une enquête sur la qualité de vie au travail?» M. GIN indique qu il convient de nuancer les déclarations sur la souffrance au travail. Si quelques situations individuelles existent, il ne faut pas généraliser. Mme PAILLE indique que la souffrance au travail existe réellement aujourd hui. Les nombreux regroupements, les fusions et les réorganisations intenses pèsent sur les salariés. De nouveaux changements interviennent au moment où les salariés n en peuvent plus. M. LARMET remercie Mme MATHIEU pour cette présentation. l ACT. Il se félicite de la prise en compte de la dimension humaine dans la démarche menée par Il demande qui compose le réseau des porteurs du changement et si ceux-ci disposent des moyens pour exercer leur mission. M. LANDAIS précise que les désignations des référents GPEC et des porteurs du changement ont été opérées à la suite de la publication par le Gie Agirc-Arrco de 2 instructions en octobre 2014, lesquelles précisaient de façon détaillée les profils recherchés.

11 Mme MATHIEU ajoute que le réseau des porteurs du changement est très varié. Tout dépend du groupe et de la place laissée au porteur du changement pour mettre en place les actions d accompagnement. Certains membres du réseau disposent de moyens propres, d autres s appuient sur des structures. Le réseau leur permet d échanger, de partager et de s enrichir mutuellement. M. BELNY demande si cet exposé vise à présenter les orientations des employeurs ou celles du Copil GPEC. Il ajoute qu il n appartient pas à son organisation syndicale d accompagner les changements dont les effets sont préjudiciables aux salariés. Il ajoute qu environ 30% des salariés d un groupe vont devoir bientôt choisir entre l activité retraite et l activité prévoyance. La CGT-FO intervient pour aider les salariés qui refusent la dégradation de leurs conditions de travail et elle ne s associe pas à la démarche présentée par l ACT Il considère que c est le rôle de l employeur d accompagner le changement car cette démarche s inscrit dans le cadre de la diminution des coûts de gestion. M. CHARLIER (CGT) partage le point de vue de la CGT-FO. Il estime qu il n appartient pas aux organisations syndicales de demander aux salariés d actualiser leurs compétences pour être amenés à changer régulièrement de métier sans contrepartie. Il appartient aux organisations syndicales d aider les salariés à ne pas subir le changement. Mme ADELINE fait observer que, si certains changements voulus par des Directeurs généraux ne sont pas forcément nécessaires, d autres, comme la DSN, sont inéluctables. Elle considère que l ACT constitue un outil permettant d aider les salariés à faire face aux changements. Elle relève que, si les salariés se sentent bien dans leur entreprise et leur emploi, ces derniers travaillent mieux et sont plus performants. Les salariés ont besoin de savoir où ils vont. Elle constate que la baisse des coûts de gestion est engagée et elle souhaite que la démarche engagée par l ACT soit opérationnelle et au service des salariés. M. LALANDE précise que la démarche présentée ne doit pas uniquement concerner la retraite complémentaire mais aussi l assurance de personnes. Il constate que certains groupes ne vivent pas actuellement la démarche présentée. M. LARMET demande s il ne serait pas opportun que l ACT couvre l ensemble des activités retraite complémentaire et assurance de personnes.

12 M. LANDAIS précise que l ACT intervient dans le cadre de la GPEC opérationnelle c est-àdire pour les activités de la retraite complémentaire pour lesquelles la procédure budgétaire est placée sous pilotage fédéral. Mme ADELINE souligne que l ACT existait avant la conclusion de l accord GPEC. b) Les outils issus de l accord du 30 septembre 2014 La constitution du réseau des référents GPEC M. BRISSON rappelle que, conformément aux instructions publiées en octobre 2014, chaque GPS a désigné un référent GPEC ainsi qu un porteur de la conduite du changement. Ces 2 nouveaux acteurs associés aux directeurs et responsables formation des groupes travaillent avec les unités GPEC, ACT et le CFEM du GIE AGIRC-ARRCO (cf annexe n 4). M. BIGNALET s interroge sur les capacités des GPS à absorber, dans un cadre économique contraint, des salariés dont l activité va changer ou évoluer. Il souligne que, désormais, des activités vont être centralisées au niveau des Fédérations et l activité assurance de personnes des groupes ne pourra pas absorber l ensemble des salariés concernés par ces changements. Mme ADELINE souligne la nécessité de mettre en relation les 3 réseaux (GPEC, conduite du changement et responsable de formation) pour répondre aux changements en cours. La GPEC opérationnelle M. BRISSON indique, s agissant du programme ITAC, que la 2 ème projection des effectifs informatiques est en cours de finalisation en vue d être présentée à la Commission informatique en juin prochain. Il indique que la cible a évolué et des modifications ont été prises en compte (cf annexe n 4). Mme ADELINE constate, s agissant de l informatique, que le volume des collaborateurs salariés estimés en cible 2017 est de 1 173 ETP. Elle demande quel est le nombre actuel de collaborateurs y compris avec les prestataires. M. BRISSON précise qu il y a actuellement 1 711 collaborateurs, prestataires compris. M. GERVILLIERS (CGT) constate (page 8) que le volume de personnel nécessaire pour réaliser l activité informatique retraite complémentaire serait à terme de 1 400 à 1 500 salariés. Par rapport aux 1 711 collaborateurs recensés à ce jour, cela représente des salariés en moins. Il demande si cette diminution est liée aux préconisations de réduction des coûts de gestion et à la mutualisation de l activité.

13 M. BRISSON répond par l affirmative. Mme ADELINE demande que les fiches emplois communautaires soient transmises aux membres du Copil GPEC. M. BRISSON fait droit à cette demande. Mme ADELINE estime qu il est important de partager les besoins de recrutement et de formation des salariés. Elle rappelle la nécessité d établir une cartographie du réseau CICAS car il y a encore de nombreuses incertitudes concernant cette activité. Elle note (page 14) que les conclusions de l étude menées sur le domaine gestion des particuliers (hors CICAS) seront présentées lors de la CPNEF du 24 novembre 2015. Concernant le SID-RC, elle observe que de nombreux managers des groupes contribuent au pilotage de ce projet. Etat des lieux des accords GPEC dans les entreprises de la branche M. LANDAIS rappelle que l accord GPEC signé le 30 septembre 2014 prévoit, en son article 9, que : «Les entreprises s engagent à ouvrir une négociation dans l année qui suit la signature du présent accord afin d en décliner les dispositions.» Il précise que 6 GPS ont indiqué avoir engagé des négociations depuis la conclusion de l accord du 30 septembre 2014. Il ajoute que les accords conclus par les groupes en matière de GPEC seront transmis au Copil GPEC ainsi qu à l OPNC. III Fonctionnement du Copil GPEC M. GIN souhaite clarifier le rôle et les missions du Copil GPEC. Il rappelle la nécessité, pour cette instance, d établir des constats sans refaire les débats qui ont lieu dans d autres instances ; sinon, le Copil GPEC aura des échanges, certes, intéressants mais qui n aboutiront sur rien. Il ajoute que les groupes sont actuellement face à de nombreux changements. Par exemple, s agissant de la situation du groupe AGRICA, il souligne que la suppression des clauses de désignation constitue un changement majeur. Il rappelle qu une part du chiffre d affaires de ce groupe, en matière d assurance de personnes, repose sur des désignations prévues par des accords collectifs. Avec l invalidation de ces clauses, le groupe perd sa clientèle captive.

14 Il est nécessaire désormais de démarcher l ensemble des entreprises. Le réseau commercial d Agrica qui compte peu de salariés s interroge face à cette situation nouvelle. Ces interrogations sont légitimes mais ne peuvent avoir de réponses immédiates et très précises. C est pourquoi, il rappelle la nécessité de s inscrire dans une démarche GPEC avec de bonnes pratiques, de la formation afin de rassurer le personnel et d instaurer la confiance. M. GIN indique que le Copil GPEC doit adopter une approche et une méthode de travail qui reposent sur du concret et du factuel pour répondre de façon pragmatique aux changements et aux interrogations des salariés. Il estime que retenir une approche générale ne constituerait pas un bon levier d action. M. BELNY indique que la CGT-FO a saisi la Cour européenne de justice sur l invalidation des clauses de désignation. Il rappelle que son organisation syndicale n est pas signataire de l accord du 30 septembre 2014 relatif à la GPEC mais elle siège au sein de cette nouvelle instance. Il souligne que l Association d employeurs s inscrit dans une démarche de réduction des coûts de gestion et la CGT-FO est en désaccord avec cette position. Il relève qu une grève massive des salariés de la branche conduirait à ne pas appliquer les dispositions de l article 8 de l ANI du 13 mars 2013. M. COUTY indique que le collège employeurs et celui des salariés ne partagent pas la même vision du fonctionnement du Copil GPEC et n appréhendent pas le changement de la même façon. Il ajoute que l accord GPEC n a pas reçu l assentiment de toutes les parties à la négociation. La démarche ACT et le Copil GPEC proposent d accompagner les salariés dans le changement et de mettre en œuvre les outils nécessaires pour y faire face. La CGT s oppose à cette vision. Il relève que la souffrance existe, celle-ci est accentuée par les dispositions de l article 8 de l ANI du 13 mars 2013. Il observe la dégradation des conditions de travail et les changements subis par les salariés. Il demande quels sont les effets du changement sur les conditions de travail. travail. Il estime que les décisions prises par le passé ont conduit au mal être actuel des salariés au M. LALANDE souligne que chacun est dans son rôle, employeurs et organisations syndicales de salariés. stress. Il relève que, de nos jours, la dématérialisation donne de la vitesse aux choses et crée du

15 Il ajoute que, pour éviter les mobilités géographiques notamment, on pourrait désormais déplacer les données plutôt que les salariés. Il rappelle qu il appartient aux organisations syndicales de veiller à ce que les dispositifs mis en place au sein de la branche agissent pour éviter les situations évoquées et apporter des réponses aux salariés. Il ajoute que les changements proviennent de la loi, des progrès techniques et des Partenaires sociaux. Il considère, par ailleurs, que la réponse organisationnelle apportée dans un groupe, à la suite de la mise en œuvre de la directive Solvabilité II, constitue une erreur. Il souligne que les salariés d aujourd hui ne sont plus ceux d il y a 20 ans, les salariés ne sont pas tous dans le front du refus. Les organisations syndicales doivent rester humbles et à leur écoute. Il ajoute que, pour donner une image concrète de la démarche GPEC, les réunions du Copil GPEC pourraient se tenir dans les locaux de GPS. Mme ADELINE souligne que face à des changements inéluctables, le Copil GPEC restera vigilant et tentera de mettre en place une méthode de travail opérationnelle. Organisation des travaux et articulation avec les travaux de la CPNEF Mme ADELINE propose, afin de pouvoir suivre l avancement des projets en cours, que les membres du Copil GPEC soient destinataires des documents relatifs aux travaux menés par les outils de la branche au fur et à mesure de leur livraison, à chaque étape de leur évolution, sans attendre l échéance de la réunion suivante. S agissant de la dimension communication, elle évoque les différents canaux permettant l information des partenaires sociaux et des salariés de la branche sur ce qui se passe au sein de la branche. Concernant l articulation des travaux du Copil GPEC avec ceux de la CPNEF, elle estime qu il convient d être dans l analyse et ne pas traiter en CPNEF la présentation des travaux des 2 anciens CPG (Centre et Observatoire) pour éviter les redondances. M. GIN considère que, pour être communiqués, les travaux doivent être suffisamment avancés. M. LALANDE considère que le Copil GPEC doit avoir un mode de fonctionnement opérationnel pour mettre en œuvre les décisions de la CPNEF et proposer des orientations. Il rappelle la nécessité d éviter le traitement des mêmes sujets par la CPNEF et le Copil GPEC et de rechercher le calendrier le plus approprié pour l articulation des réunions de ces 2 instances.

16 IV - FIXATION DU CALENDRIER DES REUNIONS POUR 2015 La Comité paritaire de pilotage de la GPEC se réunira : - le jeudi 17 septembre à 14h30, - le jeudi 5 novembre à 14h. La séance est levée à 17h20.

Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 1

Sommaire : 1. Statistiques de la Bourse de l Emploi : Point sur l année 2014 p.3 2. Les actions de dynamisation de la Bourse de l Emploi en 2014 et 2015 p.7 2.1 Diffusion automatique des offres d emploi des GPS sur le site de la Bourse de l Emploi p.7 2.2 Refonte du site internet de l Observatoire des métiers et des qualifications p.10 Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 2

1. Activité 2014 : Nombre de visiteurs uniques* entre 2010 et 2014 sur le site de la Bourse de l Emploi * A la première connexion, l adresse IP du visiteur est mémorisée. Le visiteur n est donc comptabilisé qu une fois quelque soit le nombre de ces visites. Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 3

Activité 2014 : L essentiel Les Offres 834 offres publiées au 31 décembre 2014, soit une augmentation de 152% comparativement à fin 2013. 45,8% des offres sont destinées aux Employés, soit une diminution de 6,9 points par rapport à 2013. 15,7% concernent les Agents de maîtrise, soit une diminution de 4,3 points par rapport à 2013. 38,5% d entre elles les Cadres, soit une augmentation de 11,2 points comparativement à l année précédente. Visent principalement les candidats avec un niveau d étude égal à Bac+2 (40,2%). Concernent particulièrement les Familles Développement (27,9%), Gestion (21,7%), Conseil & Pilotage (13,2% ) et Système d Information (12,2%). 55% sont à pourvoir en Ile de France. Les Candidats 1 564 nouveaux candidats inscrits du 1 er janvier au 31 décembre 2014, soit une augmentation de 78,9% par rapport à 2013. 3 657 candidats inscrits à la candidathèque au 31 décembre 2014. La part des candidats «branche» s élève à 15,7% soit une diminution de 18,2 points par rapport à 2013. La part des candidats «hors branche» s élève à 84,3%, soit une progression de 20,2 points comparativement à 2013. La catégorie professionnelle la plus représentée est celle des Employés (68%). Recherchent un emploi principalement au sein des familles Gestion (17,3%), Développement (17,1%) et Conseil et Pilotage (17,1%). Les candidats déclarés travailleurs handicapés sont principalement à la recherche d un emploi lié à la Finance (Achats et Comptabilité). Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 4

1. Activité 2014 : les offres pourvues 41 offres pourvues 35 en Ile de France 1 en Maine et Loire 5 en Ile de France 1 en Charente 2 en Aquitaine 3 en PACA 76% 1 contrat en alternance* 2% 1 emploi de la famille Conseil et Pilotage: 1 Rédacteur de contrats frais de santé et Prévoyance * Durée du contrat alternance : 12 à 24 mois % 4% 8 recrutements en CDD* 20% 2% 1 emploi de la famille Action Sociale : 1 Gestionnaire Action Sociale 7 emplois de la famille Gestion : 1 Assistant support Réglementaire 1 Gestionnaire de Contrat Individuel 2 Gestionnaires Participants 3 Gestionnaires Santé * Durée du CDD : 9 mois 1 mise à disposition* 1 emploi de la famille Conseil et Pilotage : 1 Assistant Organisation * Durée de la Mise à disposition : 7 mois Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 31 recrutements en CDI 2 emplois de la famille Conseil et Pilotage : 1 Chargé d'audit 1 Chargé d'etudes Qualité 1 emploi de la famille Finance : 1 Comptable 11 emplois de la famille Gestion : 5 Gestionnaires de Contrat Individuel 2 Gestionnaires Frais de santé 4 Gestionnaires Prévoyance 2 emplois de la famille Management : 1 Responsable de Pôle 1 Responsable de Service 2 emplois de la famille Support : 2 Assistants de Direction 13 emplois de la famille Systèmes d information : 4 Administrateurs d Outils/Systèmes/Réseaux et Télécoms 2 Architecte Logiciel 3 Analystes de Conception 2 Intégrateur 2 Ingénieur Systèmes 5

1. Activité 2014 : les candidats recrutés 41 candidats recrutés Situation des candidats avant recrutement Niveaux d études Catégories professionnelles Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 Répartition des candidats par durée de recherche d emploi * * entre l inscription à la Bourse de l emploi et le recrutement Expérience professionnelle 6

2.1 Les actions de dynamisation de la BE : Diffusion automatique des offres d emploi des GPS sur le site de la Bourse de l Emploi Partenariat Bourse de l Emploi Talentsoft Objectifs Augmenter le nombre d offres d emploi issues des GPS sur le site de la Bourse de l Emploi en permettant à chacun des GPS de diffuser automatiquement leurs offres sur la Bourse de l Emploi (annulation de la double saisie : saisie sur l outil de recrutement du GPS + saisie sur l outil de recrutement de la BE). Solutions proposées Pour les GPS dotés de l outil de recrutement Talentsoft,(identique à celui de la Bourse de l Emploi), mise à disposition d un lien technique par Talentsoft. Pour les GPS équipés d un autre outil de recrutement (Foederis, Neeva,.), créer un lien technique entre l outil de recrutement des GPS et celui de la Bourse de l Emploi (par l intermédiaire de Multiposting). Process de diffusion automatique d une offre d emploi 1. Saisie de l offre d emploi sur l outil de recrutement du GPS 2. Interface de multidiffusion : Bourse de l Emploi 3. Diffusion instantanée de l offre d emploi sur le site de la BE Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 7

2.1 Les actions de dynamisation de la BE : Diffusion automatique des offres d emploi des GPS sur le site de la Bourse de l Emploi GPS concernés et calendrier de mise en place de l interface Talentsoft en 2014 : Septembre 2014 Octobre 2014 Novembre 2014 Décembre 2014 Janvier 2015 Atelier mapping référentiels offre et emplois/métiers (4 Septembre) Réalisation de l export des mapping référentiels (TS) Tests / validation (GPS +BE) Mise en production de l interface Mise en œuvre de l interface au 1 er Janvier 2015 A savoir : Groupes équipés de l outil recrutement Talentsoft : Ag2r La Mondiale Apicil Klésia Malakoff Médéric Groupes non équipés de l outil recrutement Talentsoft : Humanis Agrica Audiens Irp Auto Pro BTP Groupes ne disposant pas d outil de recrutement interne : B2V Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 8

2.1 Les actions de dynamisation de la BE : Diffusion automatique des offres d emploi des GPS sur le site de la Bourse de l Emploi GPS concerné et calendrier de mise en place de l interface Talentsoft au 1 er semestre 2015 : Calendrier prévu Mars 2015 Avril 2015 Mai 2015 Juin 2015 Ateliers mapping référentiels offre et emplois/métiers Réalisation de l export des mapping référentiels (TS) Tests / validation (GPS +BE) Mise en production de l interface Mise en œuvre de l interface au 1 er Juin 2015 GPS potentiellement concernés par la mise en place de l interface Multiposting en 2015 : Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 (Périmètre Réunica inclus) 9

2.2 Les actions de dynamisation de la BE : Refonte du site internet de l Observatoire des métiers et des Qualifications Nombre de visiteurs uniques entre 2012 et 2014 sur le site de l Observatoire des métiers + 130% + 61% + 43% Les pages les plus visitées en 2014 : 1. Les métiers de la Gestion 2. La Bourse de l Emploi 3. Les Actualités 4. Nos groupes paritaires de protection sociale * A la première connexion, l adresse IP du visiteur est mémorisée. Le visiteur n est donc comptabilisé qu une fois quelque soit le nombre de ces visites. Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 10

2.2 Les actions de dynamisation de la BE : Refonte du site internet de l Observatoire des métiers et des Qualifications Le contexte de la refonte du site internet de l Observatoire des métiers et des qualifications L Observatoire des métiers et des qualifications souhaite redynamiser son site internet (http://obsmetiers.rcp pro.fr) afin de renforcer son image et ses audiences. La refonte porte sur deux aspects : Optimisation des contenus éditoriaux et ajout de nouveaux contenus Refonteergonomiqueetgraphiquedusiteinternet Les étapes et le calendrier du projet Décembre 2014 Janvier 2015 Février 2015 Mars 2015 Avril 2015 Mai 2015 Juin 2015 Rédaction du cahier des charges et choix du prestataire Recherche graphique et ergonomique: Graphisme et iconographie de la page d accueil Développement des maquettes Développement et intégration : Spécifications fonctionnelles Développement des gabarits Intégration des contenus Mise en ligne du nouveau site le 1 er Juin 2015 Comité Paritaire de Pilotage de la GPEC 26 Mai 2015 11

COPIL GPEC 26 mai 2015 Activités 2015 du CFEM Agirc- 1

Sommaire De nombreux chantiers d accompagnement des évolutions métiers, en lien avec l ACT Des séminaires pour les responsables des GPS L activité 2015 est soutenue Le réseau des responsables de formation La construction de l offre 2016 Des aides à la construction de son parcours formation Des travaux pour faciliter l accès au CQP Conseiller retraite La digitalisation de l offre de formation Des axes de professionnalisation Page 3 Page 9 Page 10 Page 13 Page 14 Page 17 Page 18 Page 20 Page 21 Agirc- 2

Une année marquée par de nombreuses formations sur les évolutions métiers Création d une formation sur la mise en place des prélèvements au format Sepa en version 2.3.2 de l Usine Retraite des sessions de formation d une journée à destination des formateurs relais des groupes sur la mise en place des prélèvements au format Sepa (Single Euro Payments Area - Espace unique de paiement en euros). L objectif de cette formation est d identifier les opérations préliminaires à la mise en place de ce nouveau système de paiement ainsi que de prendre connaissance des évolutions de la gestion consécutives à son application. Lettre du centre 175 formations en mai et juin 2015 Création d une formation à l applicatif de mutualisation des contrôles de persistance des droits (MCPD) La mesure 8 de la résolution 1 de l article 8 de l accord du 13 mars 2013 prévoit de mutualiser le contrôle de persistance des droits. A cet effet, un applicatif permettant la mutualisation de ces contrôles (MCPD) est mis en place. Une formation mutualisée à ce nouvel applicatif, d une durée d une journée, est créée par le Centre à destination des formateurs relais MCPD. Lettre du centre 174 formations en juin 2015 Agirc- 3

Une année marquée par de nombreuses formations sur les évolutions métiers Création de deux formations sur la DSN destinées aux formateurs relais des institutions de prévoyance. Afin de permettre aux personnels des institutions de prévoyance d être en capacité de répondre aux questions des entreprises aussi bien dans le cadre des processus commerciaux (prospection, appel d offre, souscription,..) que dans le cadre des processus de gestion (contrat, affiliations, radiations, mutations, gestion des cotisations prévoyance, support dématérialisation,..), le Centre organise, en lien avec le CTIP (Centre technique des institutions de prévoyance) un dispositif de formation destiné aux formateurs relais des institutions de prévoyance. La formation permettra aux futurs formateurs relais de comprendre les circuits de la DSN et de s approprier le cahier technique de la norme NEODES incluant les spécificités propres aux institutions de prévoyance. Elle est structurée en deux modules : le premier porte sur l implémentation de la DSN pour les institutions de prévoyance, le second est une aide approfondie à la lecture du cahier technique (phase 3 du déploiement). Lettre du centre 172 formations de juin à décembre 2015 Agirc- 4

Une année marquée par de nombreuses formations sur les évolutions métiers Dispositif de formation mis en œuvre pour accompagner la mensualisation du versement des cotisations et le déploiement de la DSN dans les institutions de retraite complémentaire Agirc et Arrco (lettre du centre 171) Dans le cadre du dispositif de sensibilisation des équipes, une journée de formation pour les managers et les référents techniques des GPS pour leur permettre d acquérir les clés de compréhension essentielles afin de préparer les équipes à intégrer progressivement ces évolutions (lettre du centre 165). Dans le cadre des outils de découverte des processus, principes et règles de gestion induits par la DSN et la mensualisation des cotisations, un e-learning a été conçu dans le cadre du GIP-MDS. Il a été mis à disposition des GPS au début du mois d avril 2015. Pour former les gestionnaires à la mise en œuvre des nouveaux processus, principes et règles de gestion, le Centre crée deux formations nécessaires et complémentaires destinées aux formateurs relais des GPS : «DSN et mensualisation des cotisations : socle commun de connaissances règlementaires», organisées entre juin et octobre 2015 Une formations à la gestion en deux temps : Nouvelle gestion - Lot 1 (v2.3.2 en service en janvier 2016) formations à partir de septembre 2015 Nouvelle gestion - Lot 2 (v3.0.1 en service courant 2016) - formations en 2016 Agirc- 5

Une année marquée par de nombreuses formations sur les évolutions métiers Création d une formation sur l actualité des contrats responsables 2015 : impacts sur la gestion et les paramétrages Un dispositif de régulation des dépenses prises en charge par l assurance maladie a été mis en place, dont les origines remontent à la réforme de 2004. Parmi les différentes mesures, une incitation à la création de contrats complémentaires responsables assortie d avantages fiscaux a été créée. Le décret du 18 novembre 2014 a modifié leurs caractéristiques et la circulaire DSS du 30 janvier 2015 a précisé certaines modalités techniques de mise en place. Une formation d une journée orientée sur les conséquences de cette réforme en matière de gestion et de paramétrage et destinée aux responsables ou référents gestion, techniciens supports, collaborateurs de la maîtrise d ouvrage, techniciens produits et prestations est organisée. Lettre du centre 169 formations en avril et mai 2015. Création d une formation au Système d Information Rénové en Action Sociale (SIRAS) Ce nouvel outil accessible à l ensemble des GPS, aux centres de prévention et aux fédérations Agirc et Arrco a été créé. Lettre du centre 167 formations en avril et mai 2015. Agirc- 6

Une année marquée par de nombreuses formations sur les évolutions métiers Création d une formation sur la comptabilité auxiliaire Grecco Ce nouvel outil, intitulé CODA, est en cours de déploiement dans les GPS. Une formation de cinq jours est mise en œuvre pour accompagner les gestionnaires dans la prise en main du dispositif et du processus. Une formation pilote a été effectuée, le déploiement de cette formation est en cours. Création d une formation à Cognos Le système d information décisionnel de la retraite complémentaire (SID-RC) est en cours de création et requiert l utilisation du logiciel Cognos. Des correspondants, les producteurs-standard, dans chaque GPS participeront à sa mise en œuvre. Une formation d une journée sera organisée à partir de septembre 2015. Agirc- 7

De nouvelles formations mises en œuvre pour maintenir les compétences des gestionnaires Création de formations intitulées «Liquidation : actualités», «L information aux actifs, le conseil sur la retraite : actualités», et «L information aux actifs pour corriger la carrière : actualités» Dans le cadre des dispositifs d'accompagnement, l'accompagnement du Changement et de la Transformation (ACT) a mis en place des baromètres qui ont permis aux équipes de gestion de s'exprimer notamment sur la nécessité de disposer d'outils de veille et d'actualisation des compétences. Le Centre organise trois rendez-vous annuels d'actualisation, l'un destiné aux équipes en charge de la liquidation, le second pour les équipes chargées de la relation client, et le troisième pour les équipes en charge de la correction des carrières. Ces rendez-vous permettent aux équipes concernées de mettre à jour leurs connaissances et d'appréhender toutes les nouveautés de leurs secteurs d'activités. Ces sessions, d une durée d une journée, sont mises en place pour les managers de proximité, les formateurs relais et les équipes en charge de l information aux actifs, la pré-instruction, la liquidation, la gestion allocataires. Lettre du centre 173 formations en juin et septembre 2015 Agirc- 8