Museum. Vol XVI, n 4, 1963

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1 Museum Vol XVI, n 4, 1963 The museum as a cultural centre in the development of the community: UNESCO Regional Seminar, Tokyo, 1960 Le musée en tant que centre culturel et son rôle dans le développement de la communauté: Stage d études régional de l UNESCO, Tokyo, 1960

2 M U S E U M MUSEUM, qui succkde B blfomion, est publi6 i Paris par l'0rgar1isatio1-1 des Nations Unies pour l'tducation, la science et la culture. MUSEUM, revue trimestrielle, est i la fois un pkriodique d'information et un instrument de recherche dans le domaine.de lm muskographie. Les opinions exprimees par les auteurs ne reflktent pas nkcessaitement celles de YUmesco. EVfusEuM, successor to Moiiseima, is published by rhe United Nations Educational, Scientific and Cultural Organbation in Paris. MusEuAr serves as a quarterly survey of activities md "IC, o research in the field of menseogmphy. Opinions expressed by individual contributors are not necessarily those of Unesco. ROBERT P. GRIEEING : Reyexiom sw le stage d'&des de Tokyo / RejY~cfimis the Tokyo Semitiar J. W. EVANS : Le rôle des jwséex d'hijtoire tiatiirelle / The jmtìom of natmd histo9 ta"r?is I I t Le numero: 6 F. Absmmement amuel (4 numetss ou num6ros doubles 6quivdents): 20 F Pl Each number: $2.00 OP lo/- (stg.). hnal subscription rate (4 issues or correspondhg double issues): $6.50 or p/6 (stg.1 Rkdaction et Cdition / Editorial m d Publishing Offices : Unesco, place de Fontenoy, Parb-Te ( kìl.lce) RESUMEN / PE3K)ME XXXIX

3 Le musée en tant que centre culturel et son rôle dans le développement de la communauté Stage d études régional de l Unesco, Tokyo 1960 The museum as a cultural centre in the development of the community Unesco Regional Seminar, Tokyo 1960 museum Volume XVI No

4 Réflexions sur le stage d'études de Tokyo 1 par Robert P. Griffing I. ART GALLBRY OF NEW SOUTII WALES, Sydney. Façade. Ce bktiment néo-classique est un exemple typique de l'influence exercte par la tradition europkenne sur le style architectural des muskes australiens. I. Façade. A neo-classic building typical of the influence of European tradition on the architectural style of Australian museums. I. Le nombre total des stagiaires était de 25, dont 7 representant le Canada, la France et les Pays-Bas. Le personnel du stage comprenait le directeur (auteur de ces lignes) et deux représentants de l'unesco, appartenant à la Division des musées et monuments, du Département des activités culturelles : hw Raymonde Frin et M. Hiroshi Daifulru. Parmi les observateurs officiels se trouvaient M. Georges-Henri Rivikre, directeur du Musée des arts et traditions populaires, de P% dirë&tz le I'lcom, qui représentait cette organisation, et 8 experts représentant diverses organisations scientifiques et culturelles du Japon. 2. Document Unesco/CUA/r17, Paris, 27 juillet (En anglais et en français.) 206 Pendant tout le mois de septembre 1960, vingt représentants officiels de quatorze pays d'asie et du Pacifique se sont réunis à Tokyo pour s'y entretenir du thème: "Le musée en tant que centre culturel et son rôle dans le développement de la communauté". C'était le quatrième stage d'études de ce genre organisé par l'unesco, les autres (Brooklyn, 1952, Athènes, 1954, Rio de Janeiro, 1918) ayant p a e fason plus spécifique, sur le rôle éducatif du musée. Les deux premiers étaient de caractère international, le troisième et le quatrième de caractère régional ; la région, dans le cas de la réunion de Tokyo, était la vaste portion du monde qui englobe l'asie (en particulier l'asie du Sud et l'asie du Sud-Est) et le Pacifique. Le stage comptait également des participants qui représentaient les pays d'europe et d'amérique du Nord ayant des responsabilités dans certains territoires de la régiod. Le rapport officiel sur le stage2 fait clairement apparaître que la réunion de Tokyo a porté essentiellement sur les mêmes questions que les stages précédents. C'était inévitable, puisque tout rôle particulier joué par un musée met en cause l'ensemble de son organisation. Les participants ont donc procédé à un examen des conditions dans lesquelles le musée fonctionne dans tous les pays d'asie et du Pacifique et à une étude des problèmes qu'il rencontre dans ses efforts pour s'acquitter de ses responsabilités à l'égard du public (fig. 1-28). Le résultat des entretiens se présente sous la forme habituelle d'une série de déclarations générales et de recommandations, valables pour l'ensemble de la régioil, mais plus ou moins applicables dans chaque cas, selon le stade auquel sont parvenus, dans leur développement, les musées du pays dont il s'agit. Dans certains milieux, il est de bon ton de dénigrer les réunions de ce genre (ou même toute espèce de grande réunion où des tendances diverses sont représentées), sous prétexte qu'elles n'aboutissent qu'à des généralités pieusement exprimées sous la forme de ccconclusions'y que l'on a pris soin de rendre inoffensives et qui semblent ne jamais conduire à une action positive. Sans nul doute, d'aucuns feront au stage d'études de Tokyo les mêmes reproches. Mais la critique est le plus facile des arts ; et, quand elle vient principalement des non-participants, elle ne tient compte ni des résultats accessoires im édiats de telles réunions, poursuivies pendant un certain f temps, ni des résultat éhitifs, qui peuvent ne se manifester qu'à la longue. A ce propos, il n us faut d'abord jeter un rapide coup d'eil sur la région concernée par le stage d'études de Tokyo. I1 est tout à fait évident que ce n'est une ccrégionyy que dans le sens le plus arbitraire du mot. On y trouve une variété dkconcertante de systèmes politiques, de croyances religieuses, de conditions économiques, de coutumes sociales et de langues. Beaucoup des pays de cette région n'ont accédé que récemment à l'indépendance politique, tandis que d'autres n'ont jamais subi de dominatior, étrangère, au cours d'une histoire dont les origina se perdent dans la nuit des temps. Aussi n'est-il pas surprenant que, d'un pays à l'autre, le développement des musées diffkre du tout au tout, et que l'on trouve tous les degrés intermédiaires entre la situation de tel pays qui n'a aucun musée, au sens moderne du mot, et celle d'un pays comme le Japon, dont l e e d e musées compte parmi les plus complexes et les plus étendus du monde. Parmi les résultats accessoires du stage d'études de Tokyo, l'un des plus importants a été tout simplement de donner aux participants, qui étaient tous des spécialistes des musées, une conscience très vive et souvent nouvelle de ces différences considérables et de leurs conséquences. Pour certains, cette expérience a été une leson d'humilité. A d'autres, elle a ouvert de nouvelles perspectives. A tous, elle aura donné une conscience plus forte de l'homogénéité essentielle du monde des musées et de la valeur de l'échange direct des idées. Ce résultat a été obtenu grâce à la présentation, par les participants eux-mêmes, de leurs rapports individuels - c'était là le premier point du programme du stage, auquel ont été consacrées plusieurs

5 journées. L intérêt porté par chaque participant aux préoccupations des autres a fait de la région, au moins pour la durée du stage, une entité véritable. Un autre résultat important est apparu très tat et très clairement : le stage a réfuté l opinion, commune à beaucoup de ceux qui critiquent l Unesco, selon laquelle les réunions muséologiques qu elle orgariise concerneraient exclusivement les grands musées, d importance et de renommée internationales. Le stage d études de Tokyo n était aucunement axé sur les grands musées. En fait, c était plutôt le contraire, et l attention s est portée essentiellement sur les problèmes quotidiens des petits musées, qui doivent faire face à de nombreuses difficultés. En d autres termes, on n a tenté d imposer aux participants aucune sorte de grand dessein. Le premier groupe de déclarations générales consiste essentiellement en appels aux gouvernements ou autres organismes officiels - dont certains n ont encore jamais eu à assumer des responsabilités de cet ordre - pour qu ils reconnaissent l importance du musée et prennent conscience des divers services qu il peut rendre à la société. I1 y est notamment affirmé: a) que les musées jouent un ròle unique dans la vie culturelle du pays et que, par conséquent, leur organisation, leur implantation, leurs buts et leurs activités méritent tout l intérêt des pouvoirs publics ; b) que les musées, qu ils soient nouveaux ou qu ils existent depuis longtemps, doivent avoir un statut défini avec précision et leur conférant une assez large autonomie pour qu ils puissent exercer leurs activités en accord avec leurs obligations traditionnelles; c) qu il est très souhaitable de créer des musées régionaux et des musées sp- à cause de l intérêt qu ils présentent comme centres communautaires de caractère éducatif et culturel; d) que les musées d histoire naturelle,. d ethnologie et de techbe ont un ròle important à jouer dans l éducation actuelle, car ils peuvent contribuer pour beaucoup à inculquer à la communauté des principes qui s accordent avec la vie moderne (ces trois catégories de musées remplissent une mission capitale, en préservant pour l avenir les œuvres du passé et du présent) ; e) que les musées ne peuvent s acquitter de leurs fonctions de centres culturels que si l on considère comme des tâches également imdortantes le rassemblement des e, collections, la conservation, -.. la kecherche / et l œuvre éducative. I1 est vrai aue ce -.s -- I sont là des généralités et des redites, mais seulement pour ceux qui vivent dans les parties du monde où, depuis plusieurs générations, le musée se développe dans le cadre de la vie culturelle national, de fason ordonnée et ininterrompue..p out le monde n a pas eu cette chance. Bien que le but de ces déclarations soit clair, un commentaire ne sera pas superflu. Dans une grande partie de la région, en particulier dans certaines zones de l Asie du Sud et de l Asie du Sud-Est, il arrive que le musée soit de crcation si récente que son rôle potentiel dans la vie culturelle de la communauté n apparaît pas toujours clairement aux administrations responsables. Dans ces conditions, il n est pas surprenant que le musée ne resoive parfois que des skbventions trop modiques pour lui permettre de s acquitter efficacement de ses fonctions, et qu il ne jouisse pas de l autonomie administrative nécessaire pour mettre en œuvre le programme et exercer l activité dont le besoin est évident. Dans ces zones, il est également fréquent que le nombre de musées soit limité; il n existe souvent, dans un pays, que le musée national, avec, parfois, une ou deux annexes dans d autres parties du pays. Les déclarations soulignent l intérêt qu il y aurait, pour la vie culturelle de chaque pays, à ktendre le réseau des musées de c- manière qu il comprenne des petits musées de caractère local ou spécialisé, afin de. -_ - -- NEW SOLITH WALES, Sydney. Le laboratoire de conservation. La ntcessité urgente de développer les laboratoires des mustes, dans la majeure partie de l Asie et de la rtgion du Pacifique, ressort clairement des rapports prtsentés par les participants au stage. 2. The Conservation Laboratory. The great need for strengthened laboratory facilities throughout most of Asia and the Pacific was made clearly evident by the reports of participants in the seminar. 2. ART GALLERY OF 20;

6 J. NATIONAL GALLERY OF VICTORIA, Melbourne. Un éducateur du musée - donne des explications à. deswles groupées autour de la maquette du nouveau centre culturel en construction B Melbourne. Des croquis du centre sont accrochcs aux murs. Ce nouveau centre culturel concrétisera certaines des idées les plus modernes en matiere d'architecture c de musées. 3. An education officer is shown lecturing to children grouped around a model of the new Cultural Centre under construction in hielbourne. Sketches for the centre are eshibited on the walls. The new Cultural Centre will embody some of the most advanced concepts in museum design. 208 I - mieux répondre aux aspirations d'ordre éducatif et culturel de l'ensemble de la population. Cela n'implique d'ailleurs pas nécessairement que ces nouveaux musées soient d'une installation compliquée ; une telle interprétation serait même contraire à l'intention des participants. On a souligné, tout au long des entretiens, la valeur immense des musées régionaux, même les plus petits, en tant que centres culturels locaux; il se peut- collections'se bornent à l'histoire naturelle ou à l'ethnologie du voisinage immédiat, mais, en raison même de cette spécialisation, ils peuvent fournir à la population locale des Cléments de base qui lui permettent de mieux saisir les liens qui l'unissent à son milieu cuiiurel ou naturel. Les rapports et les discussions ont également montré que, dans beaucoup de pays de la région, la collecte de spécimens d'histoire naturelle et d'ethnologie avait pratiquement cessé le départ de l'étranger, au détriment du progrès général des connaissances. Dans toute la région (à l'exception des pays les plus évolués) il est rare que l'on constate un développement quelconque des musées consacrés à la,tec-hologie, bien que la région entière soit de plus en plus orientée dans cette direction par ses efforts pour se joindre au reste du monde dans la marche vers le progrès technique et bien que la démonstration visuelle (le musée est particulièrement bien placé pour la fournir) soit peut-être la méthode d'instruction la plus efficace, surtout lorsque le faible taux d'alphabétisation constitue une pierre d'achoppement. Enfin, il faut se souvenir à ce sujet que, dans les pays qui ne sont parvenus que récemment à l'indépendance politique, la nature même du musée a totalement changé. Fondé par des Européens, c'était une Gtitution scienmtifique destinée, en premier I lieu, an savant ou à l'étudiant européen ; c'est maintenant une institution destinée à l'éducation des masses indigènes. Le changement a été brusque, ses conséquences ne seront entièrement comprises qu'au bout d'un certain temps, et c'est seulement alors qu'on pourra pleinement en tenir compte dans la pratique. D'autres déclarations générales se rapportent à des fonctions particulières, d'une importance spéciale. En voici quelques exemples: a) les échanges d'objets de musée (objets de toute sorte, susceptibles d'être exposés, qu'il s'agisse d'art, d'archéologie, d'histoire naturelle ou d'ethnographie ou même d'animaux xrivants destinés aux jardins zoologiques) sont d'excellents facteurs de progrès pour l'éducation et la science, et il est souhaitable de les faciliter ; b) il est urgent de créer des la- * de former des techniciens de laboratoire et de proc à des recherches sur la préservatiqn et la restauration des - objets, en particul ns des conditions txapicales et subtropicales ; c) les musées ont un rôle importa oissant à jouer en vue d'une meilleure compréhension mutuelle, en fournissant aux voyageurs daous les pays les explications et les renseignements qui leur sont nécessaires ; d) les musées devraient mettre leurs ressources à la disposition de l'industrie, pour favoriser le développement de l ' e s t e l l e ; e) les musées devraient encourager le plus possible l'art contemporain sous toutes ses formes ; f) il faudrait faciliter 'la formation d'associations nationales et régionales de musées là oil il n'existe pas d'associations de - - ce genre. Cette deuxième catégorie de déclarations générales éclaire certains aspects de la gestion des musées dans une grande partie de la région et mérite, pour cette raison, un commentaire plus détaillé. L'importance des échanges pour le progrès de l'éducation et de la science est sans doute universellemaeconnue. Mais il est probable qu'en aucune autre région du monde les échanges ne présentent la même importance qu'en Asie et dans le Pacifique; car, en règle générale, les collections des musées, souvent magnifiques et très riches, sont composées, en majeure partie ou même entièrement, de pièces qui illustrent exclusivement l'héritage culturel et scientifique

7 national. Autrement dit, elles ne donnent auvisiteur aucune possibilité de s'initier au patrimoine d'autres pays, même voisins. De ce point de vue, le musée caractéristique de la majeure partie de l'asie et du Pacifique est complètement différent de son homologue européen ou américain, et sa valeur éducative est moindre.._ De tous les problèmes qui seposent aux musées de la région, celuj de la conser- vatio"m& n des objets est certainement le plus urgent. Une grande partie de la région est soumise àun Glimat tropical, et les forces de la nature peuvent y être extrêmement destructives. Elles ont déjà, à elles seules, causé des dégàts immenses aux œuvres d'art, aux objets ethnographiques et aux spécimens d'his- toire naturelle. En l'absence de laborat&- et de techniciens'ccompétents, ce processus de destruction continue, jour après jour, à un rythme inquiétant. La situation exige de toute urgence des mesures énergiques et constitue un grave sujet de préoccupation dans le monde entier. Heureusement, grâce à la multiplication des voyages par avion, ce problème a été reconnu par un grand nombre d'observateurs ; certaines mesures ont été prises pour le résoudre, mais une action beaucoup plus radicale s'impose. Le passage, dans la région considérée, d'un grand nombre de voyageurs de toute a clairement fait apparaître le musée comme l'institution la mieux t adaptée pour raconter à l'étranger l'"histoire du pays". Le voyageur est curieux par nature. I1 a l'habitude de chercher le musée partout oil il va et, dans la mesure où le musée satisfait ce nouveau public international, il stimule le désir de compréhension culturelle ientifique. S'il est vrai que le touriste ne peut guère attendre d'une visite de m u'elle lui enseigne tout ce qu'il y a à savoir d'un pays, elle peut, néanmoins, l'aiguiller dans d'innombrables voies qui, avec le temps, le conduiront à une compréhension plus intime des choses. N'oublions pas que beaucoup des centres créés en Occident pour l'étude des cultures d'asie doivent leur existence à des particuliers dont l'intérêt avait été éveillé par une confrontation, souvent brève, avec l'inconnu sur son terrain d'origine. Tous les observateurs de la scène asiatique sont immédiatement frappés par les changements qui se sont produits dans l'ensemble de cette région. Dans le grand Clan de modernisation, la culture nationale a perdu une bonne part de ce qui lui était traditionnel et, dans bien des cas, les produits de l'industrie, souvent copiés sur les objets analogues fabriqués en Occident, ont complètement évinct ceux de l'artisanat. I1 a semblé aux stagiaires que, si les arts industriels devaient remplacer désormais les arts populaires - ce processus paraît devoir se poursuivre et s'accélérer - le musée pouvait jouer un rôle capital en inspirant, par ses collections, un 4 renouveau de l'esthétique industrielle, ce qui serait à la fois une source de satisfaction pour la population locale et une source de profits pour l'industrie sur les marchés d'exportation. Enfin, l'enthousiasme provoqué par les travaux du stage a mis clairement en évidence l'intérêt que peuvent présenter la constitution d'associations nationales -de musées là où il n'en existe pas encore et le groupement de ces associations en fédérations régionales (c'est-à-dire multinationales) qui pourraient examiner, entre autres, les problèmes déjà mentionnés et déterminer les mesures pratiques en vue de les résoudre. 11 ne s'agit pas ici simplement de conclusions générales. Si l'on ne peut pas encore faire état de réalisations consécutives aux travaux du stage, quelques premières mesures ont néanmoins été prises. Le problème de la conservation fait l'objet ? d'études sur lesquelles nous reviendrons ultérieurement. Une exposition de la plus f. NATIONAL GALLERY OF VICTORW ï%lbourne. Vue d'une partie de la collection d'art chinois. Exception faite des pays qui plus étroitement liés i l'europe - et qui sont particulitrement kvoluts - les collections des musées d'asie et de la region du Pacifique comprennent rarement de la docymfftation sur la culture d'autres nations. La National Gallery de Victoria possede une importante collection d'œuvres d'art de 1'ExtrPme-Orient, qui s'enrichit SanS 4. Part of the collection of Chinese art. Eycept in those countries of Asia and the Pacific which are most closely allied to Europe or which are most highly developed, the collections rarely contain documentation of the cultural achievements of other nations. The National Gallery of Victoria has an important and growing collection of Far Eastern art. le 209 i

8 J. MUSÉE NATIONAL, Phnom-Penh. Construit en 1917, dans le style cambodgien traditionnel, pour abriter les splendides collections nationales d art et d archéologie qui couvrent la période comprise entre le ve siècle de notre ère et la fin du classicisme khmère, au XIII~ siècle, ce musée servait aussi, primitivement, d école des bezpx-arts. Aujourd hui, les deux inautions occupent des bâtiments distincts et sont administrées séparkment. J. Built in 1917 in traditional Cambodian style as a setting for the splendid collections of the art and archaeology of the country from the 5th century A.D. to the end of the classic Khmer development in the 13th century. The museum originally also served as an art school; but the school of art is now independently housed and administered. 3. Le Japon avait publit, à temps pour le stage, un répertoire de ce genre, particulièrement complet et utile : hfzi~ezuns b Japan, Tokyo, Japanesê National Commission for Unesco, 1960, p I I haute importance a été récemment organisée par un musée d Asie, avec une abondante documentation bilingue, qui a été vivement appréciée par les nombreux visiteurs ve-. Lors de son dixième congrès, qui s est tenu à Honolulu en I 961, la Pacific Science Association (Association scientifique du Pacifique) a vivement recommandé, elle aussi, la formation d associations régionales - de musées, et un grand nombre de personnes s y emploient avec conviction. Sans tozdans un optimisme exagéré, je crois que l on peut prévoir le succès de ces efforts. Après les déclarations générales, le rapport du stage présente une série de recommandations. Certaines d entre elles font écho à d autres stages d études et, pour des / raisons évidentes, continueront probablement d être formulées à des réunions ultérieures. On peut citer, à ce propos, les recommandations visant à ce que tou les fitats membres de la région observent les termes de l Accord visant à faciliter la circulation internationale du matériel visuel et auditif de caractère éducatif, scientifique et culturel; à ce que, dans les pays où des répertoires nationauxdes musées font défaut ou sont périmés, il en soit &ablis; à ce que les pays où il n en existe pas encore établissent, en tenant compte de toutes les catégories de musées, un comité national pour l Icom,-qui devrait collaborer étroitement avec l a_ssociation - nationale des musées et la emission -I nationale pour -- l Unesco. Pour répondre au besoin de publications donnant des directives, d autres recommandations invitent à attirer l attention de l Unesco sur la nécessité d un manuel a-9 traitant spécifiquement du problème de la conservation des objets de musée sous un climat tropipcal; ce manuel pourrait être préparé en collaboration avec la Pacific \ Science Association; il est recommandé, d autre part, quejicom rédige, dans un proche avenir, un petit manuel fournissant les rehseignemgnts pratïques nécessaires pour la constitution dg collections d objets ethnographiques et archéologiques. Le pillage des ressources ethnologiques par des gens qui ne se soucient pas de recueillir les renseignements indispensables sur le lieu où chaque objet a été trouvé et sur l ensemble dont il faisait partie est constant dans une grande partie de la région, r, ce qui est préjudiciable aux progrès de la science. La recommandation concernant l éducation -msrit>%etre citée ici iiz extemo : Il est recommandé que les musées et les établissements d enseignement coordonnent - leurs activités et que soit intensifiée l éducation des adultes dans la région. Cette recommandation est assez vague pour réjouir les critiques les plus acerbes des stages d études. Aussi n est-il peut-être pas inutile d expliquer pourquoi le sujet de l éducation par le musée semble avoir été traité de manière aussi sommaire. Dans presque toute la région, les musées sont définis officiellement comme des institutions éducatives. Dans beaucoup de pays, en particulier au Japon, dans les pays du Commonwealth, en Iran et en Thaïlande, leur róle éducatif est de tradition et ils s en sont acquittés de fason remarquable. Mais, dans les autres pays de la région, la situation est très différente. A Taïwan, par exemple, l idée que le musée est une institution éducative n est apparue que tout récemment, dans un diplôme d histoire de l art. Dans deux des pays représentés au stage, les groupes scolaires n ont pas régulièrement accès aux musées, pour cause d organisation incomplète. En Birmanie, les élèves des-éc-ques visitent parfois les musées. Au Cambodge, le gouvernement exige des musées qu ils accueillent au moins une fois par mois -l des groupes scolaires. Aux Philippines, des services éduc&fs sont assurés aux écoles sur leur demande. Sauf en Inde et en Thaïlande, les écoles 8 rivées ne font guère ou pas du tout usage des ressources qu offrent les musée L éducation _. des adultes ne-tient que très peu de place dans es programmes des musées Idë toute la région, sauf là où il existe des liens très étroits avec le monde occidental. I1 convient cependant de noter que, dans de nombreux pays de la région - en particulier en Asie du Sud-Est - le musée organise ou patronne des i contribuent à la survivance avec intérêt que ces activités sont souvent considérées par les musées eux-mêmes comme purement récréatives. Sans s en rendre compte, le musée de l Asie du Sud-Est qui offre au public de telles cdistractionsyy a peut-être trouvé la meilleure fason d aborder l éducation des adultes en général : en faire un plaisir. I1 est certain que les concerts de gamelan qui ont lieu chaque dimanche au Musée de Djakarta y attirent une foule d Indonésiens ravis. L

9 Sans doute la recommandation est-elle vague, mais il n était pas nécessaire de la rendre plus spécifique. Les techniques éducatives doivent être mises au point par les musées eux-mhes, compte tenu des besoins de la population qu ils desservent et des moyens dont ils disposent. Elles seront très différentes, par exemple, au Sarawak, dont la population est, en grande partie, illettrée, en Nouvelle-Zélande, qui a déjà un système d éducation remarquablement efficace, et au Japon, qui est un pays très évolué. Le but de la recommandation est de souligner combien il est important pour les musées et les écoles de coordonner leurs efforts (en dehors des pays du Commonwealth, il semble qu on ne l ait guère essayé) pour que l éducation par le musée ait une plus grande portée; elle souligne aussi que les programmes éducatifs destinés aux adultes peuvent ètre extrêmement utiles et efficaces s ils sont établis en fonction des circonstances locales. Ici encore, l Indonésie fournit un exemple : l aquarium, qui, au début, intéressait surtout le spécialiste de biologie marine, est maintenant utilisé pour apprendre au non-spécialiste à distinguer les poissons comestibles des poissons vénéneux. Dans de nombreux pays de la région, c est un rôle de ce genre que doit jouer l éducation des adultes. L importance que cet aspect de l activité du musée prtsente pour le public est exposée de fason plus complète dans l article de M. Harrisson sur le &f..exuch.íngl La question de la formation du personnel muséographique a constamment retenu l attention des stagiaires au cours de leurs travaux, et cela pour d excellentes raisons : le manque de centres de formation, notamment dans les universités de la région; le brusque départ d équipes entières dans beaucoup de pays, dès la fin du régime colonial ; les difficultés financières qui empèchent le personnel muséographique de la région de se rendre dans des musées de pays plus avancés pour s y initier, par l observation, 2t la fason de s acquitter des tâches professionnelles dont il s est trouvé chargé, parfois du jour au lendemain, et pour lesquelles il n a rep qu une formation théorique et pratique insuffisante ou nulle. On peut tirer un parti très précieux de c;)ncours bénévoles (le Musée du Sarawak en offre un exemple excellent) et il est so;vent indispensable d y ;courir pour que le musée puisse continuer à fonctionner. Mais, si importante que soit la bonne volonté, si grande que soit 6. nfusée NATIONAL, Phnom-Penh. La galerie sud est domince par une splendide statue prkkhmire de Harihara, entourte d autres divinitts brahmaniques. 6. The South Gallery is dominated by a splendid pre-khmer sculpture of Harihara, surrounded by other Brahman divinities. 4. Voir p. 234.

10 7. TAIWAN PROVTNCIAL MUSEUM, Taipeh. Ce musée contient de vastes collections, principalement d histoire naturelle et d ethnologie. On y organise aussi des expositions temporaires sur des sujets très varits (art momarts de la Chine ancienne, production agricole et autres aspects du développement tconomique de Taïwan). Ces expositions attirent des centaines de milliers de vis eurs. / 7. The museum contains extensive collections primarily of natural history and ethnology. Here too are held temporary eshibitions attracting hundreds of thousands of visitors. Such temporary exhibitions have been devoted to modern art, to the arts of ancient China, and to agricultural products and aspects of the economic development of Taiwan. 8. TAIWAN PROVINCIAL MUSEUM, Taipeh. Groupe d habitat des singes de rochers de Formose. 6. A habitat group of the Formosan rockmonkey. 5. South Pacific Association, East-West Centre. 212 / l aptitude d amateurs à acquérir certaines techniques utiles il serait difficile de justifier la perpétuation de cette pénurie de professionnels ualifiés. Les stagiaires se sont mis d accord sur les recommandations suivantes : I. Pour que les musées jouent pleinement leur rôle dans la collectivité, il est indispensable qu ils emploient un personnel scientifique et pédagogique compétent ; c.. les pays qui ne disposent pas d un personnel local qualifié devraient solliciter l aide d organisations internationales. I1 est parfois désirable que le personnel appelé à s occuper de l exposition, de la conservation et de la restauration - des objets de musée soit formé da% un pays dont la situation soit, à cet égard, plus ou moins analogue. 2. L Unesco devrait étudier la possibilité d accroître le nombre de bourses destinées à stimuler le développement des musées sous tous ses aspects. 3. L Unesco devrait envisager de mettre au point, en coopération avec un État membre, un projet pilote visant à assurer la formation du personnel de musée dans les pays d Asie et du Pacifique. Bien que le mot urgence n apparaisse pas dans ces recommandations, telles qu elles ont été publiées, il devrait y figurer pour exprimer comme il convient la gravité de la situation. Notre critique hypothétique serait, nous l espérons, heureux de savoir que l élaboration du projet pilote recommandé est déjà fort avancée et que plusieurs organisations5 s emploient à en assurer le lancement dès le début de l année académique I j. Le mot urgence apparaît dans trois des dernières recommandations, que nous citerons textuellement : I. Étant donné que les sites naturels sont en voie de destruction rapide dans le monde, il est recommandé que des collections de pièces d histoire naturelle soient -----TCconstituées d urgence, à condition toutefois que cela soit compatible avec la - conser- -3 vation. De même, les cultures traditionnelles étant rapidement transformées par c la vie moderne, la constitution de collections ayant trait à l ethnologie et à la technique / - est d une nécessité pressante. 2. I1 convient de prendre de toute urgence des mesures propres à sauvegarder les sites et monuments préhistoriques et historiques qui présentent une valeur culturelle. En conséquence, il est recommandé qu un programme gouvernemental visant à protéger les biens culturels soit établi dans chaque pays où il n existe pas de programme de ce genre et exécuté en étroite collaboration avec les musées nationaux. I1 est recommandé, en outre, que, dans les pays où doivent être entrepris de grands travaux publics, tels que la construction de routes ou de barrages, des mesures soient prises pour sauvegarder le patrimoine culturel et naturel, y compris les plantes et animaux qui risquent de disparaître. 3. De l avis général, les recherches archéologiques revêtent une grande importance et sont d une grande urgence; en conséquence, il est recommandé qu à ce sujet soient mises en application des lois confor es aux principes posés par l Unesco dans sa recommandation internationale. / Le lien entre ces trois recommandations est évident. Dans toute la région, le milieu naturel est dévasté, à un rythme inquiétant, par l homme, qui a besoin de place pour ses constructions. Dans ce processus, des espèces entières de plantes et d animaux sont menacées d extinction ou sont même déjà éteintes. D autre part, le bulldozer ne respecte pas plus les œuvres de l homme que le milieu naturel nécessaire à la perpétuation de la flore et de la faune. Tous les jours des sites et des m_onuments de la plus haute importance pour l histoire culturelle de l humanité sont éventrés, transformés, ou même pulvérisés afin d étendre les surfaces cultivables, de faciliter l accès à des engrais naturels, d augmenter les quantités d eau disponibles ou de permettre la construction de routes et d aéroports. I1 n y a pratiquement pas de limite à la destruction du milieu par l homme, sous la pression des exigences du moment. En même temps, l homme se laisse aller à une orgie de pillages dans beaucoup de sites archéologiques, soit pour son plaisir, soit en vue d un profit commercial. L archéologie a toujours fasciné l amateur ; le pillage des sites archéologiques par des amateurs fait rage dans une grande partie de la région. Nous avons déjà rappelé les effets très graves de la nature tmicale sur les œuvres de l homme. Ces effets posent au spécialiste des musées, en Asi& dans la région du Pacifique,

11 I un des problèmes les plus délicats qu il ait à résoudre. Mais l homme est lui-même tout aussi impitoyable que la nature. I1 est difficile de parler de la situation qui a inspiré ces trois recommandations sans paraître verser dans le mélodrame. Pourtant les milieux officiels montrent, en mainte partie du monde, une incurie qui va parfois jusqu à l indifférence totale. A une époque où toute activité, quelle qu elle soit, est considérée comme un Clément de progrès, il semble qu il faille des efforts surhumains pour convaincre l homme qu il n a rien à gagner à se comporter comme un vandale, que ce soit à l égard du milieu naturel ou à l égard des œuvres de ses ancêtres. Pour résoudre ces problèmes, il faut évidemment que les gouvernements prennent des mesures positives et, si l on veut sauver ce qui peut encore être sauvé, dans les pays où la situation est actuellement le plus critique, il faut commencer par mettre en œuvre des programmes gouvernementaux de protection du patrimoine culturel - - et de la nature. Dans les pays où des lois de cet ordrysont déjà en vigueur et strictement appliquées (comme au Japon), l effet en a été frappant; on a là un modèle de résolution et de bonne administration. La surveillance efficace des travaux archéologiques soulève, il faut le reconnaître, un problème énorme, du fait qu elle risque d empiéter sur le droit qu a l individu de jouir librement de ce qu il possède en propre, et du fait que les sites archéologiques se trouvent souvent dans des régions écartées, oil la surveillance est difiicile à assurer. Ici encore, il faut commencer par élaborer une politique officielle puis en mettre au point les modalités d application. Dans ce domaine également, on trouve des exemples de réussite. Les mêmes méthodes, adaptées aux conditions locales, pourront être utilisées ailleurs avec profit. Pour l administrateur du petit musée typique d Europe ou d Amérique, tout ce que je viens de dire peut sembler contredire ce que j écrivais au début, à savoir que le stage ne visait à imposer aux musées d Asie et du Pacifique aucune sorte de grand dessein. Or, j ai employé à maintes reprises des expressions telles que il faut que les musées ou les gouvernements devraient. Mais ces impératifs n ont rien d abstrait. I1 s agit des mesures pratiques qu il faut prendre parce qu elles intéressent la structure meme des musées dans les pays en cause. Les musées qui étaient représentés au stage sont, pour la-plupart, des institutions d État, dont la prospérité - et parfois l existence même - n est possible que si le gouvernement- reconnaît leur rôle dans la vie nationale. L Occidental doit se rappeler aussi que le musée, dans maint pays de la région considérée, est le musée parfois unique, ou complété seulement par quelques musées annexes en province; souvent le musée national de la capitale (qu on l appelle ainsi ou autrement) est le seul qui ait une certaine importance. Autrement dit, ce n est pas simplement une unité entre beaucoup d autres, un Clément d un ensemble vaste et complexe de musées; il ne peut donc pas se consacrer exclusivement à une spécialité. 11 constitue, en lui-même, le principal effort culturel ou scientifique du pays, dans le domaine des musées, et son activité doit, par conséquent, embrasser tous les aspects du problème. I1 convient également de se rappeler que les déclarations générales et recommanr/ dations citées sont le fruit des discussions des stagiaires. Elles représentent un synthèse des problèmes que les spécialistes de la région, à la lumière de l expérien e qu ils ont acquise dans l administration de leurs musées, considèrent comme appelant des mesures immédiates et radicales, si l on veut que le musée puisse s acquitter de ses responsabilités à l égard de la communauté qu il dessert, c est-à-dire, en général, de l ensemble du pays. Les musées de la région sont presque partout en pleine évolution. Ils sont souvent installés dans des bâtiments qui ne leur conviennent guère, ayant été consus pour d autres usages ; de nouvelles constructions, des agrandissements ou modifications des locaux existants sont à l état de projet ou en voie de réalisation dans une douzaine de pays. La rationalisation des aménagements - aspect de la muséographie longtemps négligé dans cette partie du monde - préoccupe les spécialistes du monde entier, et l expérience a montré, dans beaucoup de pays de la région qui nous occupe, l intér6t d une réinstallation complète selon des méthodes modernes. Des programmes ambitieux (cons$itution de collections d ethnologie, d histoire naturélle, d art et d archéologie) ont été entrepris, pas toujours avec succès ; cependant, même dans les cas les moins heureux, ils auront aidé à planifier l activité future. Bien que la 9. CENTRAL MUSEUM, Taichung. Les expositions temporaire? d objets provenant des vastes collections d art classique chinois qui se trouvaient autrefois dans le Palais de Pkkin ont lieu aujourd hui dans ce hall des expositions, de construction rkcente. Outre la population locale de Taïwan, elles attirent des visiteurs du monde entier. 7. Temporary exhibitions from the vast collections of classical Chinese art formerly housed in the Peking Palace are shown in a rzcently constructed exhibition hall at the Central Museum and are a mecca fur visitors from all over the world as well as for the local population of Taiwan. I 213

12 ' IO. DJAKARTA MUSEUM, Djakarta. L'art, l'architologie et l'ethnologie de l'archipel indonésien occupent la double cour inttrieure du musée et les galeries qui l'entourent. Une vaste salle est consacrée à la riche collection de céramiques chinoises, annamites et siamoises mises au jour en Indonésie. La chambre du trtsor, au second Ctage, contient des objets faits de métaux précieux, notamment des armes ornées de pierres prkcieuses. IO. Art, archaeology and ethnology of the Indonesian archipelago occupy the double inner court and surrounding galleries of the museum. A large gallery is also devoted to a vast and important collection of Chinese, Annamese and Siamese ceramics discovered on Indonesian sites. A treasure room on the second floor contains objects made of precious metals, including weapons decorated with gems. II. DJAKARTA MUSEUM, Djakarta. Des tcoliers examinent la maquette d'un temple balinais. Les collections rela-l'ethnologie indontsienne sont trks compktes. Tous les dimanches, des concerts de gamelan attirent au musée une foule nombreuse. II. Schoolchildren studying a model of a Balinese temple. The collections are most comprehensive in their documentation of the ethnology of the Indonesian islands. Regular Sunday gamelan concerts attract throngs to these galleries. circulaiion d'expositions étrangères se soit heurtée, dans beaucoup de pays, à des difficultés i n v p o s i t i o n s itinérantes --. de l'unesco ont pu &re montrées au public dans la plupart des musées représentés au stage; dans les cas les plus favorables, des programmes d'échanges intergouvernementaux ont permis de monter des expositions intéressantes, 'avec des Cléments venus d'europe, du Moyen-Orient et des Amériques. Depuis la deuxième guerre mondiale, c'est le monde occidental qui a le plus profité de ces échanges, puisque des ex ositions complètes venant de 2-- l'inde, de l'iran, de la République de Chine, du Japon et de Corée ont, par des témoignages directs, révélé à des millions d'eurppéens et d'américains les créations les plus importantes de ces pays... L'Unesco et des institutions privies ont organisé des -ans,cplusieurs des pays de la région et permis aux administrateurs de musées de ces pays d'aller se perfectionner dans des centres européens et américains; tout cela a eu pour effetcl'õüzi2-dex-horizons nouveaux, selon un processus dont on peut espérer qu'il s'accélérera au cours des années à venir. Certaines techniques éducatives ont aussi été essayées, pas toujours avec le succès -, désiré, mais l'experience, par elle-même, a kté précieuse. Dans l'ensemble, les musées de la région bénéficient d'une coopération totale de 1% presse et de la r@hcdes,-. ainsi que de la téwn-quand elle existe. En général, les autres organisations, par exemple celles qui s'occupent de tourisme, reconnaissent pleinement l'attrait du musée et contribuent à le faire connaî-du public local que des touristes étrangers. Les matières premières - c'est-à-dire les ressources culturelles qui sont à la disposition du musée typique d'asie ou de la région du Pacifique - ne sont pas seulement importantes en quantité: elles le sont aussi par leur qualité. On peut espérer que le respect de l'asie pour son passé l'aidera à les développer.

13 En&, la ferveur - le mot n'est pas trop fort - manifestée par ceux qui ont participé à cette réunion régionale, la première du genre dans cette partie du monde, est la meilleure preuve de la vigueur de la profession dans cette région. Le fait que le stage se soit déroulé sans rouvrir de vieilles blessures et en développant, au contraire, constamment la cohésion et la camaraderie est d'heureux augure pour l'avenir de la coopératiog régionale. Les problèmes examinés et élucidés étaient d'une réalité tr2s actuelle et d'une gravité indéniable; mais les aspects positifs que révkle l'examen d'ensemble de la situation apporte une note d'optimisme pour l'avenir. On ne saurait parler du stage d'études de Tokyo sans mentionner l'admirable organisation matérielle mise sur pied par le pays hôte, le Japon. Cette organisation minutieuse, parfaite dans les moindres dktails, aura grandement contribué aux fructueux résultats de ce stage. [Traduit de /'avxzaz!ss] II. DJAKARTA MUSEUM, Djakarta. Une des salles du muske est consacrce i l'évocation des premiers établissements de la Compagnie hollandaise des Indes orientales en Indonésie. 12. One room of the museum is devoted to a display evocative of the early days of the Dutch East India Company's presence in Indonesia. 13. MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE, Téhéran. Vue partielle d'une galerie consacrée 1 l'art islamique. Le musée a participt. activement à des expositions d'art persan en Europe et ailleurs. I1 joue aussi un rôle capital dans la surveillance des fouilles archkologiques faites en Iran. La loi irazgne permqt.à des Cquipes ktrangkres agrékes de faire des fouilles; les objets dkcouverts sont partagés sur un pied d'kgalité, mais les pièces uniques doivent rester dans le pays. 13. Part of a gallery devoted to Islamic art. The museum has participated estensively in exhibitions of Persian art shown in Europe and elsewhere. It also plays an essential role in the control of archaeological activities in Iran. Iranian law allows archaeological investigation by approved foreign teams with an equal division of objects discovered, provided that objects which are unique remain within the country. Q

14 Reflections on the Tokyo seminar I by Robert P. Griffing I. Five participants represented Canada, France, and the Netherlands, bringing the total number of participants to tmenty-five. The staff consisted of a Director (the writer) and two representatives of the Museums and bfonuments Division, Department of Cultural Activities, Unesco, Mlle Raymonde Frin and Mr. Hiroshi Daifuku. Among the official observers were hlr. Georges-Henri Rivikre, Director of the Musée des Arts et Traditions Populaires in Paris, Director of Icom and representing this organization, and eight experts representing various scientific and cultural organizations in Japan. 2. UNESCO/CUA/II~, Paris, 27 July 1962 (in French and in English). Throughout the month of September 1960, twenty oficial representatives of fourteen countries of Asia and the Pacific met together in Tokyo to discuss the theme of The museum as a cultural centre in the development of the community. It was the fourth such seminar organized by Unesco, the- others (in Brooklyn, 1952; Athens, 1954; and Rio de Janeiro, 1958) having dealt more specifically with the educational role of the museum. The first two seminars were international in character, the third and fourth regional, the region in the instance of the Tokyo meeting being that vast portion of the world represented by Asia (including south and south-east Asia) and the Pacific. The seminar included participants from countries in Europe and in North America with responsibilities in certain territories in this region.1 From the official report on the seminar2 it becomes clear that the Tokyo meeting covered substantially the same ground as that with which the preceding seminars had been concerned. This was inevitable, since the performance of any particular role on the part of the museum involves the organization as a whole. What the seminar concerned itself with, then, was an examination of all the circumstances under which the museum functions in the various countries of Asia and the Pacific, and an elucidation of the problems encountered in the attempt by the museum to discharge its responsibilities vis-à-vis the public (fig. 1-28). The results take the familiar form of a series of general statements and recommendations, generally applicable to the region as a whole, but of a greater or less degree of applicability in the individual case, depending upon the state of development of the museum movement in the particular country. In some quarters it is fashionable to derogate gatherings of this sort (or, for that matter, any kind of large meeting with diversified representation) on the ground that thky lead only to piously expressed generalities in the form of carefully inoffensive ccconclusions77 which never seem to result in positive action. No doubt there are those who will criticize the Tokyo seminar on the same basis. But derogation is the easiest of all arts to master and, being indulged in primarily by the nonparticipant, completely overlooks either the immediate by-products of the very process involved in meeting together over a sustained period of time, or the end- 14. Mnsri~ DE CHIRAZ, Chiraz. Ce petit pavillon octogonal, entouré d une roseraie, conserve l atmosphkre de la Perse du XVIII~ siècle. 14. A small octagonal pavilion with adjacent rose garden preserves the atmospherc of I 8thcentury Persia. 216

15 . products which, however long a time may be necessary for their achievement, do materialize. In this regard, it is of the essence here to èxamine very briefly the region involved in the Tokyo seminar. Quite obviously, it is a region only in the most arbitrary sense. It contains within itself an almost bewildering array of political systems, religious beliefs, economic determinants, social customs, and a vast profusion of languages. Large parts of the area have only recently achieved political self-assertion, while other parts have never experienced domination from the outside throughout a history stretching so far backwards that its origins are utterly lost in the remote recesses of time. Against such a background, there can be no cause for wonder that the development of museums, country by country, differs dramatically throughout the area-a difference ranging all the way from the situation of a particular country which has no - museums at all in the modern sense to that of a country (Japan) where the museum system is among the most elaborate and extensive on earth. One of the most important immediate by-products of the Tokyo seminar was the simple fact that it macle the participants-museum professionals all-vividly aware of these dramatic differences and their implications, in many cases for the first time. To some the experience was humbling. To others it opened new vistas. To all it brought a reinforced consciousness of the essential homogeneity of the world of museums and of the value of face-to-face interchange of ideas. It was the individual reports by the participants themselves which accomplished this-the first order of business occupying the opening days of the seminar. By the mutual involvement of the participants with one another s concerns, the area became, at least for the duration of the seminar, very much a region. Another important result soon made itself quite clear : it dispelled the notion, widely held by critics of the Organization, that Unesco meetings of this sort are preoccupied exclusively with the great museum of international importance and renown. The Tokyo seminar was anything but big-museum dominated. Rather the reverse was true, the day-today problems of the smaller, struggling institutions being the general focus of attention. There was no attempt, in other words, to impose any sort of grand design. The first group of these general statements are essentially pleas to governments or other official bodies-in some instances utterly new to the assumption of such responsibilities-to recognize the nature of the museum as an organization and the types of contribution it can make to society: (a) that museums play a unique role in the cultural life of the nation, and therefore that their establishment, position, purposes and activities merit full governmental recognition; (b) that museums, whether long established or newly founded, deserve a clearly defined status-and sufficient autonomy to act in accordance with the traditions and obligations of museum service; (c) that the provision of regional and specialized museums is highly desirable because of their value as community centres ;(d) that natural history, ethnological and technological museums have an important part to play in presentday educational systems, since they can do much to help instruct a community in principles associated with modern life, all three types having a vital function in preserving the past and the present for the future; (e) that museums are restricted in acting as true cultural centres unless collecting, conservation, research and education are considered of equal importance and are provided for. Certainly these are generalizations and restatements-but only to those who live in parts of the world in which the development of the museum has been an orderly and I/. MUSÉE D ISPAHAN, Ispahan. Les collections sont installtes dans un palais du temps des Séfévis, connu sous le nom de Tchehel Soutoun (ou Palais aus quarante colonnes) et construit par le chah Abbas Ier,.B la fin du XVF ou au commencement du XVII~ siitcle. 11. The collections are installed in a palace of the Safavid period lmoum as the Tchehel s011~014h, dr the Palace of forty columns, constructed by Shah Abbas I at the end of the 16th or beginning of the 17th century. 2=7

16 16. NATIONAL MUSEUM, Bangkok. Cet ancien palais abrite depuis de nombreuses années les riches collections nationales d art bouddhique, d arts décoratifs, de manuscrits, etc. A côté du musce se trouve un où l on donne fréquemment des spectacles de danse classique thaï. Le muste est maintenant trop petit pour ses collections, que l on envisage de transférer dans des locaux plus vastes. 16. Originally built as a palace, the building has been used for many years to house the extensive national collections of Buddhist art, decorative arts, manuscripts, etc. Adjacent to it is a theatre in which frequent performances of the classical Thai dance-drama are organized. Now inadequate in size for its expanding collections, the museum is considering moving to larger quarters. 218 _ uninterrupted process in the national cultural life for generations. Not everyone has been so fortunate. What such statements as these reflect may be implicit in their wording, but they deserve some elaboration. In a large part of the region-notably sections of south and south-east Asia-the museum may be of such relatively recent introduction that its potential role in the cultural life of the community may be as yet incompletely assessed by responsible oficial bodies. Under such circumstances, it is not surprising that the museum may receive too little support to enable it to function effectively and insuficient administrative freedom to develop programmes and activities for which there is a clear and demonstrable need. In such areas it is the usual case too that the number of museums is restricted, the museum being limited to the national museum itself, perhaps with one or two branches elsewhere in the country. The statements emphasize the potential value to the cultural life of the country of an extension of the museum system to include small museums of a local or specialized character in order that the educational and cultural interests of all the people may be better served. This does not by any means necessarily imply, however, that such additional museums need be elaborate organizations; indeed the reverse was the participants intent. The immense value of even the smallest regional museums was reiterated throughout the discussions, as localized cultural centres, the collections of which might be restricted to the natural history or ethnology of the immediate area but which, because of the very fact of their specialized concerns, could provide the basic raw materials from which the people of the area could more satisfactorily relate themselves to their particular cultural or natural environment. It was also made clear through the reports and discussions that in many parts of the area the collecting of specimens of natural history and ethnology had more or less ceased since the departure of the foreigner, to the detriment of the advancement of knowledge generally. Practically nowhere in the region (again outside its most highly developed sections) has there been any development of the museum devoted to technology, in spite of the fact that the enti;e region is becoming more and more technologically oriented in its efforts towards joining the rest of the world in the march towards technological progress, and in spite of the fact too that visual demonstration (which the museum of all institutions is best equipped to provide) may be the most effective method of instruction, especially-in areas in which the low degree of literacy is a compelling factor. Finally, in this connexion, one must keep in mind the fact that in countries which have only recently reached the stage of political self-determination, the very nature of the museum has changed drastically. Founded by Europeans as scientific organizations of interest primarily to the European scholar or student, they have now become institutions which address themselves to the problem of mass education for the indigenous population. The change came abruptly, often carrying with it implications which will require considerable time simply to be absorbed, let alone to be fully implemented. Other general statements have to do with particular functions of special relevance and importance such as : (a) that exchanges of museum objects (in essence all l&ds of exhibitable material, whether of art and archaeology, natural history or ethnography, and even living animals for zoological gardens) are most important in the interest of the advancement of education and science and should be facilitated ; (b) that the establishment of laboratory facilities, the training of laboratory technicians, and the continuing study of the problems of preservation and restoration, especially

17 in relation to tropical and sub-tropical conditions, are matters of urgency; (c) that museums have an important and growing role in advancing mutual understanding by providing explanatory and interpretative services for the international traveller ; (d) that museums should make their resources available to industry for the impiovement of standards of design; (e) that museums should give the fullest possible encouragement to the living arts; and (f) that the establishment of national and regional associations of museums should be encouraged in areas where such associations do not exist. This latter group of general statements lends illumination to certain aspects of the conduct of museums in much of the area and therefore deserves more detailed comment. The importance of exchange, in the interest of the advancement of education and science, may he universally recognized. But it is probably true that nowhere in the world could exchange play a role of such great significance as in Asia and the Pacific, where it is the general rule that the museum contains collections which, while often magnificent as well as vast, are almost if not entirely composed of objects Uustrative only of the national heritage, cultural or scientific. They provide little or no opportunity, in other words, for the museum visitor to become better acquainted with the heritage of other countries, even neighbouring ones. In this sense, the characteristic museum of most of Asia and the Pacific is quite different from its European or American counterpart, and its usefulness as an educational tool is therefore comparably restricted. 17. CHILDREN S SALA, Bangkok. L tducation des enfants tient une grande place dans l activitt des musées thaïlandais. Ce musée des enfants est un des rares sptcimens du genre qui existent en Asie. 17. Children s education is a strong feature of Thai museums, the children s museum being one of the rare examples of its type in Asia. Of all the problems faced by the museums of the region, that of preservation and restoration is no doubt the most pressing of all. Much of the area is tropical, which means that the forces of nature can be destructive in the extreme. The amount of damage already done to works of art, ethnological objects or specimens of natural history by the ravages of nature alone is so vast as to be incalculable. Without developed laboratory facilities and competent technicians, this process of destruction proceeds day by day at an alarming rate. The situation in very fact cries out for the most urgent measures and is truly a matter for profound concern all over the world. Fortunately, thanks to the phenomenon of mass air travel, this problem has been recognized by a great many observers and some steps have been taken to solve it, but more fargoing measures are required. The presence within the area of travellers in such numbers from all parts of the world has also been responsible for making it clearly apparent that of all institutions it is the museum which can most effectively be used to tell the national story to the foreigner. The traveller is naturally curious. He is in the habit of seeking out the museum wherever he goes, and to the extent to which the museum serves this new international audience is the desire for cultural and scientific understanding

18 I IR. NATIONAL MUSEUM, Seoul. Façade du musée. Les collections provenant de l ancien Muste national (détruit en grande partie pendant la guerre de Corée) et des palais des Yi (la dynastic Yi a régne sur le pays de sont maintenant logées dans le Palais Duksoo, tout proche du centre de la capitale. IR. Façade of the Museum. The collections of both the former National Museum (largely destroyed during the Korean War) and of the Yi Household (the Yi Dynasty ruled the nation from 1392 to 1910) are now housed in the Duksoo Palace, close to the centre of Korea s capital city. aroused. If one can hardly expect to learn all about a country from a museum visit, one can be directed by it to innumerable avenues of pursuit which can lead in time to a substantial measure of comprehension. It is important to recall that many of the Western world s centres for the study of Asian culture were originally started by individuals whose interest had been stimulated by more or less brief exposure to the unfamiliar on its home ground. All observers of the Asian scene are also immediately struck by the process of change which has affected the region as a whole. In this process, much of what has been traditional to the national culture has disappeared in the urge to modernize, and in a great many sections of the area the products of industry, often designed in imitation of similar lunds of products manufactured in the West, have come to replace those of the craftsman altogether. If the industrial arts are to take the place of the folk arts in our time-and it would seem that this is exactly what is going to continue to happen with greater and greater rapidity-the participants felt strongly thkt the museum could fdfïl a role of essential importance by providing inspiration, through its collections, for the improvement of standards of design, both for the satisfaction of the local population and for the benefit of industry itself on the competitive export markets. Finally, the enthusiasm aroused by the working of the seminar gave striking emphasis to the value of the formation of national museum associations where they do not now exist and of regional (i.e., multi-national) associations by means of which the problems already enumerated, as well as others, could be discussed and practical measures could be determined in a whole-hearted attempt to solve them. These are no mere generalized conclusions. If no actual exchanges resulting from the seminar itself can be pointed to, some preliminary steps have been taken. The problem of preservation is being tackled. (There will be more to say about this later.) One exhibition of the greatest importance has recently been organized by an Asian museum with complete bilingual documentation to the immense satisfaction of a large audience of international travellers. And the Pacific Science Association, at the tenth Pacific Science Congress held in Honolulu in 1761, also strongly recommended the formation of a regional museums association, towards the realization of which a considerable body of dedicated individuals is constantly working. I think it not too optimistic by any means to forecast success for these efforts. Following the series of general statements, the oficial repoit cites a series of specific recommendations. A number of these are familiar echoes of other seminars and for obvious reasons probably will continue to be put forward at subsequent 19. N,~TIONAL MusEuhr, Séoul. Vitrines abritant de petites statues de Bouddha. 19. Show-cases with small Buddhistic statucs. 220

19 10. N.ATIONAL ~IUSEUM, Seoul. Sculptures bouddhiques de la dynastie Silla (i gauche et au centre) et de la dynastie Koryo qui lui a succtd& (h droite). L amcnagement de cette salle illustre l effort de simplification, caractkristique de l aprks-guerrc. 10. Buddhist sculpture of the Silla Dynasty (left and centre) and of the succeeding Koryo Dynasty (right) is a feature of post-war simplification of installation. meetings. Among them are : that all Member States of the area adhere to the Agreement for Facilitating the International Circulation of Visual and Auditory Materials of an Educational, Scientific and Cultural Character ; that national directories of museums be prepared in those countries where they are lacking or obsolete3 and that in those countries where national committees for Icom do not now exist, such committees be established, account being taken of all categories of museums, to co-operate closely with the National Museum Association of the country and the National Commission for Unesco. Others, recognizing the need for direction in the form of publications, recommended that Unesco s attention be drawn to the usefulness of a manual, which might be prepared in co-operation with the Pacific Science Association, on the preservation of museum materials in a tropical climate; and that Icom prepare a brief manual in the near future setting forth the necessary practical data required in the collection of ethnological and archaeological objects. The looting of objects of ethnological significance, without reference to correlative evidence, goes on constantly throughout much of the area, to the prejudice of the advancement of knowledge. The recommendation regarding education can be stated in its entirety here: It is recommended that there be co-ordination between educational systems and museums and that there be a heightened development of adult education programmes in the area. This would seem to be vague enough to delight the most caustic critic of seminars. It may be of value to explain why the subject of museum education seems to have been dealt with so summarily. It is practically universal throughout the area that museums are officially defined as educational institutions. In many countries, notably Japan, the British Commonwealth countries, Iran, Thailand, they have traditionally acted in this capacity, with impressive results. In much of the rest of the area, however, the situation regarding education varies widely. In Taiwan, for example, the notion of museum education is of startlingly recent origin, having come by way of a Master of Arts thesis written only a few years ago. In two countries represented the museum provides no regularly scheduled access to school groups because of incomplete organization. In Burma students from government schools sometimes attend the museum. Cambodia requires at least one school-class visit per month. Educational services are supplied by the museum on request in the Philippines. Private schools throughout the area (except in India and Thailand) rarely, if ever, make use of the museum s resources. 3. Japan had published an extremely useful and comprehensive directory of the type in time for the seminar: rlfriseiinzs ila Japan, Tokyo, JapaneseNational Commission for Unesco, 1960, I23 PP. 221

20 PI. MUSÉE NATIONAL D ART MODERNE, Tokyo. Salle d esposition au rez-de-chausste. Présentation de l exposition Artprimiflf, A gauche, un bouclier de Nouvelle Guinée. Le bateau de gauche a kté fabriqui par des natifs de Formose et celui de droite par des natifs de Nouvelle Guinée. L exposition - la première tentative de ce genre au Japon - a suscitt un intérct considérable. 21. NATIONALMUSEUM OFMODERNART, Tokyo. Exhibition hall on the ground floor. Display of the exhibition Primitive AArt, On the left a New Guinean shield. Out of the two boats the left one is a work of Formosan natives, and the right one of New Guinean. The exhibition had considerable response as the first attempt of this kind in Japan. 4. See page Where adult education is concerned, very little provision is made for such programmes in the museums of any parts of the area except those which maintain the closest of ties with the Western world. It should be noted, however, that in many parts of the area-notably south-east Asia-the museum either presents or is associated in some way with the presentation of (and therefore assists in perpetuation of) performances of traditional music, drama and the dance. It is interesting to the Westerner that this is often thought df, by the museums themselves, as entertainment pure and simple. Without realizing it, the south-east Asian museum which provides such entertainment may have hit upon the ideal approach to the problem of adult education in general-making it highly palatable. Certainly, the regular Sunday gamelan concerts in the Djakarta museum attract throngs of delighted hdonesians into the museum. The recommendation was vague, but it would have been to no real purpose to be more specific. Educational techniques must be worked out by the museums themselves in accordance with the needs of the population served and the means at hand. These would be quite different in Sarawak with its high degree of illiteracy, in New Zealand (which already has a remarkably effective system) and in sophisticated Japan, for example. What the recommendation does is to emphasize the importance for museums and schools of co-ordimn%zg their efforts (outside the British Commonwealth countries this rarely seems to have been attempted) to make museum education more meaningful, and to point out that local circumstances of all kinds being taken into account, educational programmes for adults can be highly useful and effective. Again, Indonesia provides an example : the aquarium, originally started as a collection of particular interest to the marine biologist, is now used to enable the layman to distinguish edible from poisonous fish. In large parts of the area ths is the kind of function adult education should perform. How important this aspect of the museum s activity can be to the public is more thoroughly exposed later in this issue in the article on the Icuching museum by hiir. The training of museum staff entered into the discussions more or less constantly throughout the seminar for the best of all possible reasons: the lack of training centres, in universities, etc., in the area; the abrupt departure of whole staffs in many a country, following the end of colonialism; and the financial difficulties preventing museum professionals from visiting museums in more highly developed parts of the world to learn by observation how best to carry out the professional responsibilities which have more or less suddenly been thrust upon them and for which they may have little or no background training or experience. Much can be done with amateur assistance (the Sarawak museum offers an inspired example) and indeed has to be done in this manner if the museum is to function at all. But the importance of good will and the ability to learn certain useful skills notwithstanding,

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