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1 Enfants d Asie Rapport d activités 2014

2 RAPPORT MORAL Introduction La priorité de notre association est de rester attentive au bien-être des enfants que nous soutenons, et partout, nous constatons qu Enfants d Asie remplit bien son rôle. Son but est aussi de préparer ces jeunes à leur insertion dans la société, avec un métier. L association poursuit cet objectif de préparation de leur avenir en mettant en place de nouveaux moyens, toujours dans la mesure de ses financements. L année 2014 a été une année charnière à bien des égards. Sur le plan de nos moyens, de notre organisation, nous avons franchi une belle étape d amélioration qualitative. Cette consolidation va nous aider à affronter un environnement plus difficile qui doit être pris en compte dans la forme de nos actions. Nous devons maintenant nous pencher sur les limites de notre modèle et faire évoluer celui-ci pour qu il soit stable, plus performant et mieux compris En France 2. L environnement général Si l Asie du Sud-Est a toujours une économie qui se développe, les populations défavorisées que nous soutenons n en voient pas toujours les retombées et même parfois, en subissent des effets défavorables. Les tensions sociales qui avaient surgi au Cambodge, se sont certes un peu atténuées. L inflation, notamment celle concernant les produits alimentaires, reste relativement modérée par rapport au passé, mais est toujours bien au-dessus de celle que nous connaissons en Europe. Cette dernière subit toujours une crise économique mais la solidarité des citoyens vis à vis des plus démunis n est pas abandonnée. L équilibre financier des comptes d Enfants d Asie s est maintenu, mais la deuxième partie de l année a vu naître une tendance moins favorable, accentuée par la forte dévaluation de l Euro, devise de nos ressources. Nous travaillons bien entendu à inverser cette tendance par des mesures appropriées. 3. Les faits marquants en France et dans les quatre pays Malgré les défis des modifications apportées par le système bancaire à certains canaux de paiements, nous avons pu progressivement intégrer pendant toute l année 2014 nos processus dans la nouvelle base de données de l association. Notre nouveau site internet a aussi vu le jour. Nous avons donc des outils de fonctionnement stables et sécurisés grâce à l équipe, salariés et bénévoles, qui ont contribué à leur mise en place. Nous avons appliqué les conclusions d une étude interne d organisation et avons atténué nos fragilités, notamment par le renforcement de l équipe du bureau central de l association. Nous vous avons annoncé l arrivée au dernier trimestre de notre nouvelle Directrice Générale qui nous amène ses très bonnes connaissances de l Asie du Sud-Est et de l environnement du parrainage. Le choix d une responsable salariée, tournant pour l association, répond aux exigences de gestion qui ne font que croître face aux défis de l environnement. Nous poursuivons nos efforts pour plus de communication vis à vis de nos membres et donateurs et plus de transparence vis à vis du monde extérieur. Les lettres d information émanant des Philippines et du Cambodge suivent cette démarche, et nous les étendrons aux deux autres pays. Le rapport financier 2014 en est aussi un bon exemple! La confiance et la motivation que nous inspirons doivent se mériter, dans un environnement plus exigeant sur la mesure de l impact de nos actions. Nous restons à l écoute des grandes associations similaires à la nôtre pour nous comparer et retenir les meilleures pratiques. Nous poursuivrons ces échanges qui favorisent l efficacité de notre dispositif Au Cambodge L événement peut-être le plus marquant de l année a été la sévérité manifestée par le Ministère Cambodgien de l Education dans le contrôle des examens scolaires. La forte diminution du taux de réussite en découlant a entrainé une situation compliquée à gérer par l équipe chargée de l orientation professionnelle et du suivi des étudiants! Ces réformes sont toutefois nécessaires et nous les soutenons. Rappelons que la libre circulation des personnes au sein de l ASEAN (Organisme régional de l Asie du Sud-Est) en 2015, va offrir certes des opportunités plus larges aux jeunes Khmers, mais aussi une concurrence accrue sur leur marché du travail national. Les programmes concernant la santé des enfants se sont bien déroulés, avec l accentuation de la formation de l encadrement à l hygiène et à la détection des symptômes. Les visites médicales annuelles couvrent l ensemble des enfants mais il est parfois difficile de faire venir certains enfants externes. Nos actions, qu elles concernent l éducation ou la santé, couvrent nos 24 centres ainsi que les enfants externes (dans leurs familles). Ces actions développées sur ce vaste réseau, nécessitent une coordination et un encadrement centralisé pour faire les choix, les recrutements, la mesure de l efficacité de nos efforts. Ce sont les équipes locales, appuyées par nos volontaires de solidarité internationale, qui fournissent ce suivi. Elles ont adopté en 2014 de nouvelles méthodes qui permettent un meilleur suivi des enfants. Le dévouement de ces équipes reste admirable. Au Cambodge, la diminution du nombre d enfants dans les centres «ASPECA», notamment dans les orphelinats d état, est notable. Nous souhaitons pouvoir reporter notre action vers des populations défavorisées et parfois isolées, mais la diminution du nombre de nos parrainages ne le permet pas encore. Cette diminution pose le problème du poids relatif de l encadrement. Nous analysons les possibilités de resserrer le réseau des centres que nous soutenons. L augmentation des subventions du Ministère des Affaires Sociales, déjà évoquée l année dernière ne s est toujours pas concrétisée, malgré nos démarches pressantes. Nous continuons à rechercher cette réévaluation dont la nécessité est largement démontrée par l inflation cumulée. 2 3

3 3.3. Au Laos 3.4. Aux Philippines Le nombre des parrainages individuels qui ne concernent que la région de Vientiane est en légère diminution, mais notre représentante locale, est maintenant aidée par deux anciens filleuls, comme elle-même. La communauté française de Vientiane apporte également un soutien bienvenu. Dans les minorités ethniques du Nord Laos, nos programmes se sont encore développés : constructions de classes et dortoirs, adduction d eau pour les écoles, bourses pour les jeunes filles pauvres, rémunération d enseignants et apport de fournitures scolaires. Nous bénéficions de soutiens institutionnels précieux pour ces programmes dans une des régions les plus reculées du pays. Notre équipe s est consacrée en début d année aux actions de soutien et de réhabilitation après le passage du cyclone Haiyan de fin Grâce à la mobilisation de nos membres et donateurs, Enfants d Asie a pu contribuer à la reconstruction des locaux de l école de Daanbantayan et aux réparations des dégâts subis par les familles des enfants soutenus par nous dans cette ville du Nord de l ile de Cebu. L accent de nos actions dans les bidonvilles de Cebu City est mis sur la qualité et l efficacité de celles-ci. Cela entraîne une implication plus directe de l association dans le soutien aux enfants de ces quartiers très miséreux. La priorité a également été donnée à l orientation scolaire et à l aide à l insertion professionnelle. Notre équipe aux Philippines s est ainsi renforcée au cours de l année pour atteindre 12 personnes. Parallèlement, les efforts faits pour trouver des bailleurs de fonds localement procurent des résultats appréciés qui seront poursuivis. Nos bailleurs de fonds privés et institutionnels continuent à nous faire confiance et leur soutien est en augmentation. Sur le terrain, de nombreux partenaires nous accompagnent, notamment dans les domaines de la santé et de la formation professionnelle des enfants, et nous leur sommes très reconnaissants. Nos équipes de salariés, en France et dans les quatre pays, se professionnalisent en étant ouverts aux changements proposés. L accent est mis vers une meilleure information des parrains et marraines sur la vie de leurs protégés, et l association poursuivra ses efforts dans ce sens. Notre conseil d administration poursuit sa politique de bonne gouvernance et reste accompagné par IDEAS dans le cadre de son label obtenu fin Toutes ces évolutions reflètent les efforts de nos salariés sans oublier les bénévoles qui sont la grande richesse de l association. Leur dévouement mérite notre reconnaissance. 5. Conclusions Notre association Enfants d Asie, après une phase de consolidation de ses moyens et du renforcement qualitatif de ceux-ci, doit maintenant entamer une réflexion sur son modèle très diversifié. La brutalité potentielle de l évolution de l environnement, comme celle qui nous affecte durement en matière de cours des changes, doit nous obliger à prendre des mesures qui réduiront nos vulnérabilités, au-delà des décisions d anticipation à court terme. Nous serons guidés par le seul intérêt des enfants. Nous fêterons en 2016 le premier quart de siècle de l existence d Enfants d Asie, et c est une fierté pour nous tous, particulièrement ceux d entre nous qui ont pu constater sur place le résultat de cette œuvre, et déjà l entrée dans la vie active et même familiale de leurs protégés. Continuons! Avec mes sentiments amicaux, 3.5. Au Vietnam De nouvelles infrastructures ont pu être réalisées, ainsi que des rénovations, principalement en faveur des enfants des minorités ethniques dans la région de Pleiku. Le soutien à ces populations défavorisées reste un thème important, à côté des programmes de parrainage et de promotion féminine des écolières dans le delta du Mékong, ainsi que des étudiantes à Ho Chi Minh ville. Dans la périphérie de cette ville, le centre de Thu Duc continue son soutien très complet en faveur des enfants de son voisinage, des nourrissons aux plus grands. Les marraines et parrains de notre association qui sont concernés particulièrement par le Vietnam font preuve d un beau dynamisme dans la recherche de fonds additionnels aux parrainages! 4. Les partenaires, nos salariées et nos bénévoles Nous constatons un effritement global du nombre de parrains dans l association, phénomène enregistré par la plupart des autres associations similaires. Il se traduit plus par une baisse du recrutement que par une augmentation des départs, et doit faire l objet d une réaction de la part de tous nos membres. En effet, au-delà des ressources perdues que cela représente, c est aussi l axe essentiel d Enfants d Asie que nous souhaitons tous conserver. Roland Girault, Président RAPPORT financier 2014 Dans un environnement changeant, l activité en 2014, supérieure aux prévisions, a de nouveau généré un résultat positif qui permet de consolider la structure financière de l Association. Les ressources de l exercice (produits courants) ont progressé de près de 6 %. Cette évolution favorable ne doit cependant pas masquer une érosion continue de la collecte sous forme de parrainages alors que la progression des dons, alimentée par la contribution accrue de quelques grands donateurs est très significative. La gestion dynamique du risque de change, alors que l euro s est considérablement affaibli par rapport au dollar au cours des derniers mois de l année a cependant permis d amplifier nos actions (+14 %) dans la plupart des pays, tant en matière de soutien aux enfants que d infrastructures locales. Les investissements réalisés, notamment au plan humain, au niveau du bureau de Paris, dans un souci de gestion plus efficace, se reflètent dans l évolution de frais généraux qui restent cependant 4 5

4 maitrisés et représentent globalement 16 % des emplois. Le résultat financier est largement positif, grâce à une bonne couverture du risque de change 1. Ressources de l exercice Les produits courants L érosion des parrainages se poursuit (-6,6 %), largement compensée par une forte hausse des dons (+ 32,6 %) marquée par une contribution accrue de quelques grands donateurs. Au-delà du caractère cyclique des subventions publiques, d un montant marginal, la baisse des ventes diverses et artisanat s explique largement par l affectation, à compter de 2014, d une partie de ces produits à des programmes spécifiques. Au plan géographique, la progression des produits courants dépasse 30 % pour le Laos et le Vietnam, alors que le Cambodge est en retrait (-5 %). 2. Emplois 2014 Le total des emplois (cf. CER) progresse de + 12,4 % à dont + 18,9 % pour les missions sociales. A noter cependant que les missions sociales, dans le compte emplois ressources, font désormais apparaitre les frais d animation et de suivi des parrainages supportés par le bureau parisien et auparavant inclus dans les frais de fonctionnement. En ce qui concerne les actions réalisées directement (+ 13,9 %) il s agit des actions dans les pays, figurant au compte de résultat (CR) auxquelles s ajoutent des charges (personnel, achats et services extérieurs) supportées par le bureau de Paris mais considérées comme des frais pays Actions dans les pays 1.2. Fonds dédiés Les fonds dédiés sont constitués par l ensemble des produits courants collectés au cours de l exercice ou des exercices précédents et non encore utilisés. Il s agit, à hauteur de 20 %, de parrainages et compléments perçus d avance et pour 80 % de dons affectés à des projets restant à réaliser. Le solde au 31/12/2014 affiche une certaine stabilité par rapport à l exercice précédent et reflète une utilisation régulière des fonds collectés au cours de l exercice. La rubrique «commun» inclut le montant des prélèvements effectués sur les ressources collectées et conservées en fonds dédiés. Ces prélèvements sont destinés à couvrir les frais de structure du bureau de Paris. Au Cambodge, la relative stabilité de nos actions reflète le fléchissement de la collecte mais aussi l impact de l augmentation des coûts fixes, cependant limité par les couvertures de change réalisées en Aux Philippines, les actions entreprises prennent en compte des ressources collectées en 2013, ce qui explique les écarts entre collecte et emplois Pour le Laos et le Vietnam, l augmentation significative de nos actions est en ligne avec l évolution très positive de la collecte. 6 7

5 Le soutien aux enfants progresse encore en L augmentation des rémunérations locales est liée, comme en 2013, au contexte inflationniste des pays concernés (Cambodge et Philippines) mais aussi à la montée en charge du dispositif (Philippines). De nouveaux projets de construction, financés par quelques grands donateurs au Laos et au Vietnam se traduisent par une très nette augmentation des fonds investis dans ce type d actions Frais de fonctionnement Comme les frais de recherche de fonds, les frais de fonctionnement (7,5 % des emplois) représentent les charges du bureau de Paris de l Association, à l exclusion des charges pays incluses dans les Missions Sociales du Compte Emplois Ressources. Les frais d animation et de suivi des parrainages (3,6 % des emplois) supportés à Paris, sont désormais inscrits dans les missions sociales du CER. Globalement ces frais reflètent les investissements réalisés en matière de ressources humaines au cours de l exercice, notamment la mise en place d une direction salariée à Paris. De même, l augmentation de la charge d amortissement est due à l impact sur la dotation de la nouvelle base de données Produits et charges financiers La forte chute du cours de l euro par rapport au dollar tout au long du 2ème semestre a ramené le cours moyen, utilisé dans la consolidation de nos comptabilités locales au Cambodge et au Laos à un niveau très proche de celui de Les couvertures de change réalisées en début d année, dans des conditions favorables, à hauteur de $, ont cependant permis d obtenir pour l Association un cours moyen de 1,35 supérieur au cours officiel et à celui obtenu en Ce taux, comme celui de l euro par rapport au peso philippin, reste toutefois relativement proche de celui de L évolution de nos actions dans les pays, exprimées en devises est donc voisine de celle constatée en euros. Les opérations pour le Vietnam sont réalisées en euros. L essentiel de l évolution des produits financiers est le résultat des couvertures de change favorables réalisées début La progression des plus-values sur instruments financiers est obtenue par le choix de placements plus rémunérateurs, qui demeurent liquides et sans risque en capital dans un contexte de taux d intérêts très bas Frais de recherche de fonds et de communication 2.5. Dotation aux provisions Les provisions réglementaires pour indemnités de départ en retraite et celles liées au portefeuille de L augmentation (+5 %) des frais de recherche de fonds est essentiellement liée au coût des supports microcrédit ont fait l objet d une dotation en léger retrait (-3,5 %) par rapport à utilisés pour promouvoir la recherche de nouveaux donateurs. Ils sont intégralement financés par Aucune nouvelle provision pour restructuration n a été constituée. La provision de enregistrée des ressources collectées auprès du public et comptent pour 4,9 % des emplois. en 2013 pour la réorganisation du bureau de Paris a fait l objet d une reprise pour utilisation. 8 9

6 3. Bilan au 31 décembre Budget Immobilisations corporelles et incorporelles Aucun investissement de cette nature n a été réalisé en Créances financières Il a été décidé, en avril 2014, de mettre fin à tout nouvel octroi de prêts et de mettre un terme à l activité de microcrédit au Cambodge. Les actions entreprises ont permis de dégager un solde positif exceptionnel de sur des créances considérées comme irrécouvrables. Dans le même temps, la dotation aux provisions pour créances douteuses a pu être ramenée à Engagements hors bilan Il s agit du dépôt de garantie, effectué en août 2014 auprès de Western Union, afin de sécuriser une option d achat de $, à échéance du 02/01/2015, avec un cours de protection de 1,3260. Cette option a été levée à sa date d échéance, permettant à l Association de bénéficier d une enveloppe de ce montant, disponible pour l exercice 2015, à un taux très favorable par rapport au taux du marché au comptant Placements Ils se situent à un niveau similaire à celui de l exercice précédent ( ) et constituent la partie stable de la trésorerie de l Association, investie sous forme de livret et bons de caisse bancaires Fonds associatifs La répartition du résultat 2013 s est faite conformément à la résolution de l Assemblée Générale. Il est proposé à la prochaine Assemblée Générale une affectation du résultat 2014 en report à nouveau. Les fonds associatifs progressent de 11,3 % à Afin d atteindre l objectif d équilibre financier que l Association s est fixée pour 2015, dans un contexte de change très défavorable, le budget prévoit : Une progression continue des ressources, notamment des ressources non affectées, destinées à couvrir l évolution des frais de structure. Une stabilisation de la collecte sous forme de parrainages. Une maitrise accrue des coûts fixes dans les pays, notamment au Cambodge. Un coût moyen EUR/$ de 1,20 - objectif rendu possible par la couverture de change mise en place pour l exercice. Très amicalement, Denis Quillet, Trésorier 11

7 Compte de résultat Compte emploi des ressources

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