Appel à contributions

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1 Appel à contributions Le Laboratoire de Recherche en Gestion, Economie et Sciences Sociales (LARGESS) Faculté Polydisciplinaire - Université Chouaib Doukkali El Jadida organise un Colloque International sur le thème L insertion du Maroc dans l économie de la connaissance : Défis, Enjeux et Perspectives. Quel nouveau modèle de croissance pour la prochaine décennie? En collaboration avec : Le Laboratoire d'etudes et de Recherches Interdisciplinaires sur l'afrique (LERIA) Institut des Etudes Africaines - Université Mohammed V Souissi Rabat Les 20 et 21 Mars 2014 à la FPD d El Jadida 1

2 À propos du LARGESS Le Laboratoire de Recherche en Gestion, Economie et Sciences Sociales «LARGESS» est un laboratoire de recherche accrédité et domicilié à la Faculté Polydisciplinaire (FPD) de l Université Chouaib Doukkali - El Jadida. Il rassemble plusieurs chercheurs et experts de compétences et de sensibilités différentes, avec des approches complémentaires assurant la pluridisciplinarité exigée pour une analyse appropriée des questions de l économie de la connaissance et de l immatériel, de l innovation, du capital humain, de développement (Territorial, Régional, Humain, Solidaire et Social) et de management et compétitivité des entreprises. Le LARGESS a pour objectif de créer un esprit novateur, ouvert sur le questionnement et la remise en cause des acquis académiques sur la thématique générale de l économie de la connaissance et de l immatériel et du développement et croissance intelligente et durable, et ambitionne d asseoir le savoir sur des données empiriques susceptibles d assurer à ses recherches le maximum de pertinence. Pour ce faire, les chercheurs du LARGESS privilégient un certain nombre d outils de recherche dont les enquêtes, les études, la modélisation et les études de cas. Le LARGESS ambitionne de promouvoir la production et le partage du savoir à travers l organisation de manifestations scientifiques, la publication et la formation. Il entend, aussi, développer un réseau autour de son programme scientifique mobilisant des collaborations et partenariats fructueux associant chercheurs, décideurs et acteurs publics et acteurs privés relevant de différents sphères et différents niveaux (local, régional, national et international). C est dans ce cadre que le laboratoire organise cet événement scientifique international sur le thème: «L insertion du Maroc dans l économie de la connaissance : Défis, Enjeux et Perspectives. Quel nouveau modèle de croissance pour la prochaine décennie?» à El Jadida, les 20 et 21 Mars Ce 1 er colloque international du LARGESS est une occasion propice qui vise à «croiser les regards» pour l échange de points de vue et de réflexions entre chercheurs, praticiens et décideurs sur un sujet d une importance cruciale dans le contexte actuel. Les contributions devront se focaliser sur ce fil conducteur «Economie de la connaissance et de l immatériel au Maroc», tout en s insérant dans un ensemble large de thématiques envisageables. 2

3 Contexte et Problématique du colloque Avec la fin du modèle économique qui a marqué les Trente Glorieuses, certains ont cru voir s accomplir, dans le chaos pronostiqué de la mondialisation, la mort des espoirs de croissance et des perspectives de créations de richesses mais l avenir n est pas mort. Il est désormais ailleurs : dans l immatériel, les idées, la connaissance, le savoir. Aujourd hui, dans une économie hyper concurrentielle, la véritable richesse n est pas concrète, l avantage compétitif qui permet l insertion d un pays dans les nouvelles chaînes de valeurs internationales réside dans le savoir et les compétences, dans les aptitudes créatives de ses hommes et de ses femmes et dans leur capacité à innover, à créer des concepts, à inventer, à produire des idées et à améliorer les processus de production et de management. Ainsi, les forces motrices de la croissance, du développement économique et social et de la compétitivité des entreprises et des Nations se déplacent de la matière et de l énergie vers l information, l innovation, la connaissance et l immatériel. La dépendance de plus en plus étroite des produits et services des progrès de la connaissance, avec ses effets immédiats sur la compétitivité de produits, de secteurs et de pays, fait que le domaine du savoir est devenu incontournable dans les stratégies et dans les politiques économiques de pays, d entreprises et de régions. Il doit s'interroger sur la performance de l économie des nations, les modes de compétitivité des entreprises et les modes d'attractivité des territoires qui peuvent permettre de tisser la trame locale capable de dessiner une société d'acteurs, entreprises, réseaux et territoires, performante, équitable et responsable. De nouveaux acteurs émergent et prospèrent sur cette nouvelle scène de la connaissance. Ne nous trompons pas : l économie de la connaissance et de l immatériel sera le moteur déterminant et la plus forte source de croissance des pays dans ce 21 ème siècle. C est par là que se créeront richesses et emplois. Le développement de cette économie est aujourd hui considéré comme le défi essentiel des sociétés contemporaines. Il est évident que l économie de la connaissance n est pas un effet de mode mais correspond à un nouveau mode de développement. Elle s impose de plus en plus à toutes les sociétés compte tenu des progrès rapides qu elle peut générer dans tous les domaines économiques et sociaux. Mais elle est aussi un concept, voire un objectif politique qui s est notamment illustré dans les pays en développement. Ainsi, les principaux piliers constitutifs d une économie de la connaissance sont : 1) la recherche-développement et innovation (RDI) ; 2) le capital humain, l éducation et la formation ; 3) les technologies de l information et de la communication (TIC) ; 4) la tertiarisation, les services et l accélération de la production immatérielle ; 5) l'intelligence économique territoriale et les pôles de compétitivité. Par ailleurs, le Maroc connaît plusieurs projets de réformes économiques, sociales et humaines, particulièrement le projet e-maroc, qui visent à reconstruire l image de «marque Maroc» comme un élément stratégique essentiel de compétitivité dans le but de faire connaître les capacités créatives du Maroc non seulement au niveau de ses produits et services, mais également au niveau de ses ressources immatérielles. Dans cette perspective, le positionnement géographique du Maroc- au carrefour de l Europe, de l Afrique et du Monde arabe-, son histoire, sa culture, la jeunesse de sa population et les capacités créatives prouvées de son peuple, constituent des atouts indéniables dans l économie de la connaissance et de l immatériel. Ce sont ces atouts qui sont à mobiliser pour la définition d une stratégie focalisée pour le futur. Le Maroc a les capacités de développer une stratégie, fondée sur la connaissance et l immatériel, lui permettant de devenir la «Californie» de l Afrique et du Monde Arabe. En effet, il est évident que le Maroc n a pas d autre choix que de s engager dans l économie de la connaissance, c est une des conditions fondamentales du succès des nouveaux projets. La richesse immatérielle représente certainement l une des sources principales de croissance dans notre pays, dans un contexte de mondialisation où le savoir, la connaissance, l innovation deviennent des facteurs de compétitivité internationale. 3

4 L analyse rétrospective de la croissance économique au Maroc montre que celle-ci a été handicapée par une faible insertion dans l économie de la connaissance et de l immatériel. Notre pays est appelé par conséquent à s investir davantage dans le développement du capital immatériel dont les préalables résident particulièrement dans la qualité des institutions, l efficacité du système d éducation et de formation et la place réservée à la recherche et développement. À nous de la saisir. Bien réelle, l économie de la connaissance est une chance exceptionnelle de réinventer le futur pour le Maroc : une chance de croissance, une chance de retrouver dynamisme et optimisme, une chance de créer de nouveaux emplois et d offrir un avenir et une occasion d une vraie mutation de l économie marocaine. L immatériel peut être le moteur, la source d énergie d une dynamisation de l économie et constitue le «point de croissance» qui nous manque. Il faut pour cela savoir être inventif, audacieux dans les transformations de notre société, et penser autrement. Mais pour cela, le Maroc doit changer des réflexes et de modèle pour faire de la formation, de son capital humain, de son potentiel de recherche, de ses valeurs de solidarité une opportunité afin de gagner cette bataille des idées, du talent, de créativité et de l intelligence. Dans le processus d adopter ces nouvelles voies prometteuses, le Maroc devrait se munir d instruments lui permettant le renforcement de l insertion de l économie de la connaissance. Cette insertion plus poussée dans cette économie exigerait des implications au niveau du système d éducation- formation régulière et continue, une meilleure utilisation de la R&D, des systèmes efficients de développement d entreprises nouvelles et innovantes et un confort dans les modalités institutionnelles et financières comme des vecteurs clés du succès. Et c est sur ces quatre critères que notre économie présente des faiblesses importantes et durables. Il est illusoire de considérer que le Maroc pourra demain apparaître comme un acteur majeur de l économie mondiale sans remédier à ces faiblesses. Le Maroc ne peut développer une stratégie fondée sur la connaissance et l immatériel avec un capital humain insuffisant, un système éducatif en partie défaillant ; une stratégie patiente et articulée est à définir à ce niveau, en s inspirant des meilleurs pratiques mondiales, et en favorisant l innovation, avec comme point de focalisation à l excellence internationale. Le concept de la nouvelle gouvernance s'impose dans les discours. Des réformes profondes s imposent pour préparer notre pays à cette économie qui sera la seule capable de générer le point de croissance manquant dans un monde de bouleversement Objectifs majeurs du colloque Ce colloque s'adresse à un large public issu de différentes disciplines management, économie, sociologie, démographie, géographie, droit, sciences politiques et de l'ingénieur comportant des managers, des professionnels et des décideurs issus du monde de l entreprise, des consultants, des acteurs sociaux et politiques, des membres de notre gouvernement, de hauts fonctionnaires, des enseignants-chercheurs, des doctorants-chercheurs, mais aussi des praticiens, des entrepreneurs qui seront mobilisés autour des enjeux et des défis liés à l économie de la connaissance dans notre société. Ce colloque s'inscrit donc dans une perspective interdisciplinaire et vise à croiser différentes approches académiques dans le but de repérer et de faire émerger les tendances qui se dessinent aujourd'hui dans l'économie de la connaissance. Ce colloque international a un double objectif : Le premier est de faire un bilan sur les avancées des analyses théoriques et pratiques présentant les enjeux, les défis et les perspectives considérables pour le Maroc, dans un environnement en mutation, liés à l économie de la connaissance et de l immatériel ; Le second n est pas d établir une liste détaillée de recommandations mais plutôt de faire ressortir les idées clés, susceptibles de fonder une trajectoire stratégique pour le Maroc, lui permettant de tirer le meilleur parti possible des opportunités offertes par l économie de la connaissance et de l immatériel. Enfin, le défi de notre colloque est d élaborer les étapes d un plan d action pour la fécondation et le développement de l'économie de la connaissance au Maroc, d une part et de ressortir avec un état des lieux et une feuille de route d une stratégie globale et commune de l intégration du Maroc dans l économie et la société de la connaissance traduisant un fort degré d implication de l ensemble des parties prenantes de la société, d autre part. En effet, l économie de la connaissance ne peut être mise en application d une façon effective qu en mobilisant les opérateurs nationaux et internationaux nécessaires à son établissement. Pour cet effet, il faut faire évoluer les rôles des leaders et des preneurs de décisions ainsi que quelques groupes cibles dont les ONG, les jeunes et spécialement les femmes dans le renforcement de l insertion de l économie de la connaissance au Maroc. 4

5 Principaux axes thématiques du colloque Les spécialistes de tout horizon (universitaires, institutionnels et opérateurs socio-économique nationaux et internationaux), sont invités à apporter leurs précieuses recherches et expériences à ce colloque répondant aux six axes de réflexion suivants : Axe A : Economie de la connaissance et de l immatériel : concepts structurants et enjeux théoriques A1. Définition, typologie, caractéristiques, contexte et facteurs d évolution A2. Origine, déterminants et évolution des modèles économiques de la connaissance A3. De la nouvelle économie à l économie de la connaissance A4. Dimensions, fondements et piliers de l'économie de la connaissance (Incitation économique et régime institutionnel ; capital humain, éducation et formation ; système d'innovation et R&D ; TIC, infrastructures d information et de réseaux, économie de services ) A5. Intégration de la connaissance dans les théories (théorie de la croissance endogène, économie de l innovation, théorie du capital humain, économie de la R&D, théorie de la création et de la diffusion des connaissances techniques, économie de la propriété intellectuelle, approches cognitives de la firme, théories du management, économie de l éducation, approches néo- institutionnelles, sociologiques et philosophiques, théorie des sites ). Axe B : La place du Maroc dans l économie de la connaissance et de l immatériel B1. Économie de la connaissance au Maroc : Mythe ou réalité? B2. État des lieux et indicateurs clés de l économie de la connaissance et de l immatériel au Maroc et comparaisons internationales B2.1. Capital humain, politique éducative et système de formation B2.2. Recherche et développement et systèmes d innovation (modèle d organisation, effort national et moyens consacrés à la R&D par les entreprises, systèmes nationaux d innovation) B2.3. Technologies de l information et de la communication et intelligence économique (Infrastructures, fractures numériques, utilisation des TIC par les PME (e-commerce, e-business, e-gestion e-administration, e- logistique, e-marketing, e-crm, e-production, e-publicité ) et usages sociaux d Internet par les marocains) B2.4. Régionalisation et création de pôles de compétitivité régionaux B3. Économie de la connaissance et croissance durable B4. Les dynamiques de marché dans l économie de la connaissance et de l immatériel B5. L appréhension et l intégration de la valeur des actifs immatériels dans les préoccupations de politique économique au Maroc Axe C : Les entreprises dans l'économie de la connaissance : Enjeux, modes d action et analyse sectorielle C1. L'environnement de la firme dans l'économie de la connaissance et l émergence de nouvelles stratégies (entreprise réseau, entreprise apprenante, entreprise innovante, entreprise 2.0, web 2.0 ) C2. Les pratiques de management des entreprises à l ère de l économie de la connaissance (management des connaissances et des compétences, management des RH, gouvernance d entreprise, entreprenariat, organisation de production, supply chain management, Marketing, Réseaux sociaux et entreprise 2.0, système d information et intelligence économique ) C3. Le capital immatériel comme source de création de richesses et enjeu stratégique par les entreprises (cartographie, systèmes de mesure, audit et contrôle de gestion du CI ) C4. Effets à court et long terme des investissements immatériels sur la performance des entreprises C5. L analyse des secteurs et des activités immatérielles (services, TIC, banques, biotechnologies, pharmacie, e-commerce, jeux, édition de logiciels ) 5

6 Axe D : Le cadre législatif, réglementaire et financier de l économie de la connaissance au Maroc D1. Le marché des brevets dans l économie de la connaissance D2. Le droit d auteur et le droit de la propriété intellectuelle (les droits de propriété, l innovation et le nouveau rôle des pouvoirs publics, protection de l image D3. La réglementation des TIC (Internet, télécommunications ) D4. Les contrefaçons, le téléchargement illégal, le plagiat, le copiage, le piratage et développement de nouveaux modèles de diffusion D5. Le système fiscal face à la nouvelle logique de l économie de la connaissance (développement des transactions dématérialisées) D6. Le financement des actifs immatériels (les difficultés de financement des PME innovantes, l évolution des modalités de financement, le capital-risque, le soutien financier de l Etat, les normes de la comptabilité et des finances dans l économie de la connaissance ) Axe E : Economie de la connaissance et dynamiques régionales : Réseaux, territoires et pôles de compétitivité E1. Les nouvelles politiques d attractivité du territoire E2. Les pôles de compétitivité marocains, clusters et réseaux (modèles territoriaux d innovation : districts industriels, milieu innovateur, systèmes de production locaux, Réseaux locaux d innovation, système local d innovation, proximité et territoire, construit socio-économique et culturel, gouvernance ) E3. Les villes créatives, intelligentes et du savoir et la nouvelle gouvernance (action des pouvoirs publics, engagement des acteurs, développement fondé sur le savoir, infrastructures modernes, partage de la connaissance et de l innovation, codification du savoir, démocratie horizontale locale, négociation, concertation, humanisation et capital social, gouvernance des compétences et du savoir, responsabilité sociétale, architecture numérique ) E4. La créativité et le développement des territoires E5. Les sociétés de la connaissance et les universités (l université dans la ville ou la ville dans l université?) Axe F : Les nouvelles stratégies d insertion du Maroc dans une économie de la connaissance et de l immatériel : Vers un nouveau modèle de Croissance. F1. Valorisation de la «Marque Maroc» pour la croissance intelligente et le renforcement de la compétitivité et de l attractivité immatérielles du Maroc F2. Renouvellement des rôles, des modes et des secteurs d intervention de l Etat F2.1. Révision de la politique éducatif et du système de formation F2.2. Réorganisation de la recherche publique (moyens, financement par projet, valorisation ) F2.3. Adaptation et modernisation du cadre général (législatif, réglementaire, financier, normes de la comptabilité, de la fiscalité) afin de favoriser l immatériel F3. Participation active des entreprises dans la R&D F4. Implication de l ensemble des parties prenantes de la société dans l économie et la société de la connaissance F5. Amélioration du financement des PME innovantes Notes : La liste des thèmes n'est pas exhaustive. Toute proposition de communication se rapportant au thème du colloque sera examinée par le comité scientifique 6

7 Comité Scientifique Prof. ABOU EL FARAH Yahia, Directeur du LERIA, Directeur de l IAE-Université de Souissi, Rabat, Maroc, Prof. ALIJ Noureddine, FSJES, Université Hassan II, Mohammedia, Maroc, Prof. AMOKRANE Abdellaziz, Doyen de la FSEGC, Université de Tizi-Ouzou, Algérie, Prof. AMRI Mostapha, ENCG d'agadir, Université Ibn Zohr, Maroc, Prof. BARZI Redouane, Vice-président CIEMS Research, ENCG, Université Ibn Tofail, Kenitra, Maroc, Prof. BELATTAF Matouk, LED, FSEGC, Université de Béjaïa, Algérie, Prof. BELKACEM Djamila, Directrice du LEQAD, ENSEA-Alger, Algérie, Prof. BENCHIKH Houari, LAREEM, FSEGC, Université d Oran, Algérie, Prof. BENDRIOUCH Abdelghani, Doyen de la FCG, Université Internationale, Casablanca, Maroc, Prof. BENESSRIGH Driss, FSJES, Université Hassan I, Settat, Maroc, Prof. BENJELLOUN Salah-Eddine, Astrolabe Consulting, Maroc & Réseau ESIRAMED, France, Prof. BENLAKOUIRI Abderrahim, EST, Université Hassan II, Casablanca, Maroc, Prof. BENMAHANE Mustapha, FPD, Université Chouaib Doukkali, El Jadida, Maroc, Prof. BERRADA Abdelkader, FSJES, Université Mohammed V Agdal, Rabat, Maroc, Prof. BERRADA Mohamed, Président du Centre LINKS, FSJES, Université Hassan II, Casablanca, Maroc, Prof. BOULENOUAR Bachir, Doyen de la FSEGC, Université d Oran, Algérie, Prof. BOUNFOUR Ahmed, Chaire européenne de management de l immatériel, Université Paris-Sud 11, France, Prof. BOUSSEDRA Faouzi, FPD, Université Chouaib Doukkali, El Jadida, Maroc, Prof. CALLENS Stéphane, Directeur de l EREIA, Université d'artois, France Prof. DEGOS Jean-Guy, IAE, Université Montesquieu Bordeaux IV, France, Prof. DIANI Morad, FSJES, Université Cadi Ayyad, Marrakech, Maroc, Prof. DJEFLAT Abdelkader, Réseau Maghtech Labo. CLERSE, Université de Lille1, France, Prof. DRIOUCHI Ahmed, Doyen, Institute of economic analysis and prospective studies, Al Akhawayn, Ifrane, Maroc, Prof. EL HIKI Lahcen, Université de Mons, Belgique, Prof. EL KHAYAT Mustapha, Président de l'amlog, Casablanca, Maroc, Prof. EL YAHYAOUI Yahya, Université Mohamed V-Souissi, Rabat, Maroc, Prof EZZAKI Tarik, FSJES, Université Hassan II, Casablanca, Maroc, Prof FAKIHI Mohamed, Directeur Exécutif CMIESI, FSJES, Université Sidi Mohammed Ben abdellah, Fès, Maroc, Prof. FERREOL Gilles, Directeur du Laboratoire C3S, Université de Franche comté, France, Prof. GALLOUJ Faïz, CLERSE et IFRESI-CNRS Université Lille 1, France, Prof GHARBI Nejib, ESC Tunis, Tunisie, Prof GOUIA Riad, Université Tunis el Manar, Tunisie Prof. GÜNTER Koch, Adj. Prof. at the IICM Institute at the Graz University of Technology, Autriche, Prof HANANE Larbi, FSJES, Université Mohammed V-Agdal, Maroc, Prof. HARAKAT Mohamed, Président du Global Governance Center, Université Mohammed V-Souissi, Maroc Prof. IBENRISSOUL Abdelmajid, Directeur du LAMIE, ENCGC, Université Hassan II, Casablanca, Maroc, Prof. KASBAOUI Tarik, Directeur du LARGESS, Université Chouaib Doukkali, El Jadida, Maroc, Prof. LEGSSYER Mohamed, Doyen de la FSJES, Université Mohamed 1 er, Oujda, Maroc, Prof. MACHRAFI Mustapha, Institut des Etudes Africaines, Université Souissi, Rabat, Maroc, Prof. MAYRHOFER Ulrike, Directrice du Centre de Recherche Magellan, IAE, Université Lyon 3, France, Prof. MAZOUZ Bachir, ENAP-Université du Québec, Canada, Prof. MILLIOT Eric, IAE, Université de Poitiers, France, Prof. MOFLIH Youssef, FSJES, Université Hassan II, Mohammedia, Maroc, Prof. MOUTMIHI Mohamed, FSJES, Université Hassan II, Mohammedia, Maroc, Prof. NACHOUI Mostafa, FLSH, Université Hassan II, Casablanca, Maroc, Prof. NECHAD Hamid, FSJES, Université Hassan II, Mohammedia, Maroc, Prof. NGOBO Paul-Valentin, IAE, Université d Orléans, France, Prof. NIVOIX Sophie, IAE, Université de Poitiers, France, Prof. OUBRICH Mourad, Président du CIEMS Research, INPT, Rabat, Maroc, Prof. PESQUEUX Yvon, Past-President of IFSAM, CNAM, France, Prof. RAHMANIA Nadji, Université de Lille I, France, Prof. REGUIEG ISSAAD Driss, Université d Oran, Algérie, 7

8 Prof. REIFFERS Jean-Louis, Président du Conseil scientifique de la FEMISE, France Prof. RIGAR Mohamed, FSJES, Université Cadi Ayyad, Marrakech, Maroc, Prof. SAHIBEDDINE Abdelhak, Directeur du LERSEM, ENCGJ, Université Chouaib Doukkali, El Jadida, Maroc, Prof. TCHIKO Faouzi, Doyen de la FSEGC, Directeur du CEDIMES, Université de Mascara, Algérie, Prof. TEBBAA Jamal Eddine, FSJES, Université Hassan II, Casablanca, Maroc, Prof. YOUSSEF Said, ENCG, Casablanca, Université Hassan II, Maroc, Prof. ZAOUIA Abdellah, INPT, Rabat, Maroc, Comité d Organisation Président d Honneur du Colloque : Prof. Boumediene TANOUTI. Président de l'université Chouaïb Doukkali (UCD), El Jadida. Président du Comité d organisation : Prof. Abdelaziz CHAFIK, Doyen de la Faculté Polydisciplinaire (FPD), UCD, El Jadida. Coordonateur Responsable du Colloque : Prof. Tarik KASBAOUI, Directeur du LARGESS de la FPD, UCD, El Jadida. Membres du Comité d Organisation (LARGESS, FPD,Université Chouaib Doukkali, El Jadida) Prof. ABOUSSAAD Mohamed Prof. AMAHMOUD Hanane Dr. BIYAZE Abderrazzak Prof. EL BENNISSI Leila Prof. EL CADI Latifa Prof. ENNASRAOUI Driss Prof. EZZAHIRI Mustapha Prof. HARGUIG Leila Prof. IBN ZIAT Abdelhak Prof. JARRAF Mohamed Prof. KAMRI Abdelkrim Prof. KHATMI Samira Prof. RABHI Dounia Secrétariat du colloque : Mr. MBARKI Abdelilah, Secrétaire général et Responsable financier, FPD, UCD, El Jadida Mme. BENABDELRHANI Bouchra, Responsable du service Communication, FPD, UCD, El Jadida Calendrier indicatif et dates importantes 20 octobre 2013 Date limite d envoi des propositions de communication (résumé en deux pages maximum) 10 novembre 2013 Notification du Comité Scientifique aux auteurs 01 décembre 2013 Date limite de réception du texte intégral de la communication 15 décembre 2013 Date limite de notification d acceptation définitive des communications retenues par le comité scientifique 26 janvier 2014 Remise des présentations en format Powerpoint 16 février 2014 Envoi du programme définitif 20 et 21 mars 2014 Tenue du Colloque (Lieu la FPD, UCD, Maroc) Mai 2014 Réception des versions définitives retenues pour les éditions d un Ouvrage collectif et d une Revue et préparation du manuscrit rédigé aux normes de publication Juin 2014 Accord et remarques du Comité Scientifique pour la publication Septembre 2014 Publication 8

9 Logistique et Frais d inscription Une fois l article accepté une lettre d acceptation et d invitation à la participation aux travaux du colloque sera transmise aux auteurs ; Les frais du transport vers El Jadida et l hébergement sont à la charge des participants ; Les questions logistiques et les frais d inscription qui comportent les supports, le CD des actes, les pauses café et les repas de midi du jeudi et du vendredi seront arrêtés ultérieurement et les participants seront tenus informés. Contacts Pour tout renseignement concernant ce colloque veuillez contacter : Coordonateur Responsable du colloque : Professeur Tarik KASBAOUI (HDR) Tél. : s : tarik.kasbaoui@gmail.com, colloq2013.largess@gmail.com ( Recommandations et Instructions aux auteurs Processus de soumission Les communications, relevant des divers champs disciplinaires des sciences économiques, de gestion, juridiques, humaines et sociales, peuvent porter sur des aspects théoriques ou empiriques et s inscrire dans un ou plusieurs des axes proposés. Afin d assurer une bonne représentativité des auteurs dans le cadre de la pluridisciplinarité de l économie de la connaissance et de l immatériel, il est demandé aux auteurs de limiter leurs propositions de communication à deux (communications signées par un ou plusieurs auteurs). Les communications doivent impérativement présenter les caractéristiques suivantes: Les propositions de communications sous forme de résumé en 2 pages maximum devront être envoyées, sous format Word uniquement par courrier électronique, le 20 octobre 2013 au plus tard impérativement à l adresse électronique suivante: colloq2013.largess@gmail.com et tarik.kasbaoui@gmail.com. Le fichier envoyé doit être nommé comme suit : initiale(s) du prénom et nom complet de l'auteur ou du premier auteur en cas de travail collectif. Par exemple, pour Tarik KASBAOUI, il s'agirait du fichier tkasbaoui.doc (avec un numéro en cas de soumissions multiples). Types de contributions Papier de recherche : L appel à communication est ouvert à tous les enseignants-chercheurs et praticiens ayant conduit une recherche sur les thèmes proposés et, plus généralement, dans les domaines de l économie de la connaissance et de l immatériel. Toutes les communications seront soumises à une évaluation internationale. Ateliers «doctoral» s adressant aux doctorants préparant une thèse en champs disciplinaires des sciences économiques, de gestion, juridiques, humaines et sociales qui a un rapport avec la problématique centrale du colloque. Deux sessions seront consacrées à la présentation des travaux de thèses à un stade intermédiaire d avancement. Le Colloque leur donne l occasion de présenter leur travail de recherche et de discuter notamment des choix méthodologiques et de la validation empirique. Les doctorants pourront ainsi bénéficier des commentaires et suggestions des professeurs et des chercheurs participants. Les doctorants qui désirent présenter leur avancement en thèse doivent soumettre pour évaluation, un résumé de 10 pages. Les avancements en thèse doivent être envoyés à l adresse suivante tarik.kasbaoui@gmail.com avant le 27 octobre

10 Processus d évaluation et publications Les communications seront soumises à une évaluation selon une procédure dite «en double aveugle» par deux relecteurs émanant du comité scientifique. Les décisions du comité pourront prendre deux formes : acceptation sans modification, acceptation moyennant des modifications (mineures ou majeures) ou refus (rejet). Les communications ne respectant pas les normes de présentation seront renvoyés par le comité scientifique du colloque pour remodelage. Sur la base des papiers soumis, le colloque vise à «croiser les regards» et permettre des échanges entre participants. Les articles sélectionnés (seulement pour les auteurs inscrits et présents au Colloque) seront publiés dans les actes du colloque et distribués aux participants sous format CD et le cas échéant seront publiés sous format papier. Les meilleures communications feront l objet d une parution dans un ouvrage collectif et dans des revues académiques nationales et internationales. Tous les manuscrits qui seront sélectionnés par les organisateurs et le CS du colloque feront l objet d une évaluation par les pairs selon les règles de l anonymat double. Prix LARGESS décernés Prix LARGESS du meilleur papier sur la base de l originalité du sujet traité et de la rigueur de la recherche menée, qu elle soit conceptuelle et/ou méthodologique. Prix LARGESS du meilleur papier «junior» c'est-à-dire réalisé par un doctorant dans le domaine de l économie de la connaissance et de l immatériel et du territoire. Prix LARGESS de la meilleure thèse de doctorat soutenue en 2012 dans le domaine de l économie de la connaissance et de l immatériel et du territoire. Déroulement du colloque Les activités scientifiques du colloque se dérouleront au sein des locaux de la FPD d El Jadida au cours du jeudi et la matinée du vendredi. Il est prévu de consacrer l après-midi du dernier jour à une visite guidée de la ville d El Jadida. La matinée du jeudi sera consacrée à la séance d ouverture et la séance plénière (3 à 4 experts). Première moitié de l après midi fera l objet de la première série des sessions parallèles des communications sur des sujets spécifiques au thème majeur du colloque. Vendredi matin deuxième série des sessions parallèles des communications et séance de clôture. Des ateliers parallèles seront organisés. Chaque communication dure 15 à 20 min maximum et le débat se fera à la fin de chaque session. 10

11 Normes de présentation des communications Les communications peuvent être soumises en français, en anglais ou en arabe. Les communications seront rédigées sous format Word/PC 2007 uniquement (pas de pdf), en Times New Roman 12, sur format A4, avec numérotation des pages, des marges haute, basse, droite et gauche de 2,5 cm (1 pouce), alignement justifié et un interlignage de 1,5. Les communications doivent comprendre signes maximum (espaces compris), soit 20 pages maximum (sans compter les notes, graphiques, tableaux, figures, références, annexes, bibliographie et les deux pages de garde). Les titres et sous-titres respecteront la hiérarchie suivante : Titre principal : centré, gras, Times New Roman Justifié, Gras, Minuscules, Times New Roman Justifié, Gras, Minuscules, Times New Roman Justifié, Italiques, Minuscules, Times New Roman 12 Les pages seront numérotées en bas au centre sous le format 1, 2... à compter de la page 2. Les notes bibliographiques seront en bas de page (en interligne simple, times new roman 10). Hauts et bas de page sont proscrits. La 1 ère page de garde contient le titre de la communication, l axe du colloque dans lequel elle s inscrit, le prénom et nom du (ou des) auteur(s) avec leur fonction et le nom de leur institution ainsi que les coordonnées complètes de l auteur ou des auteurs principaux (adresse postale, téléphone, courriel). Les abstracts doivent préciser l axe retenu, la problématique, la méthodologie appliquée, les principaux résultats préliminaires ou discussions et les mots-clés avec classification (maximum deux pages). Une communication proposée sans abstract ne sera pas retenue. La 2 ème page de garde contient le titre de la communication en français et en anglais, un résumé de 250 mots maximum en français et en anglais et les mots clefs (5 au maximum). Le texte principal sera suivi des annexes, des renvois numérotés de façon continue, des tableaux (numérotés) et des figures (numérotées) à intégrer dans le texte. La place des tableaux et figures sera indiquée dans le texte Références bibliographiques sont rappelées en fin de document par ordre alphabétique des auteurs présentées selon les normes suivantes : Pour un article : Kasbaoui T. (2012), «La migration du capital humain qualifié des pays en développement (le cas du Maroc) : Réalités et perspectives», Les Cahiers de l Association Tiers-Monde (France), Numéro 27, juin 2012, pp Pour un ouvrage : Cohendet P., Creplet F., Dupouet O. (2005), La gestion des connaissances, Editions Economica. Pour un article dans un ouvrage collectif : Soulier E. (2005), «Les communautés de pratique pour la gestion des connaissances», in I. Boughzala, J.L. Ermine (Dir.), Management des connaissances en entreprise, Hermès-Lavoisier, p Articles présentés lors de conférences Kasbaoui T., «Economie de la Connaissance et Mondialisation : Quelles Perspectives pour les Pays en Voie de Développement?», exposé présenté lors du Colloque international intitulé Croissance, emploi et répartition dans un contexte de mondialisation ( Juin 2012), Université de Tunis, Hammamet (Tunisie), 21p. Thèses - rapports internes Kasbaoui T. (2004), «Du rôle des investissements immatériels dans le développement économique : l expérience du Maroc», thèse de doctorat ès Sciences Economiques, Faculté d économie appliquée, Université Paul Cézanne d Aix- Marseille III, Aix en Provence, p Conseil des sciences du Canada (CSC) Agriculture durable : priorité à la recherche. 43 e rapport annuel. Conseil des sciences du Canada. Ottawa (Ontario). Canada. 50 p. Textes électroniques Stiglitz, J. (date de consultation : 07 août 2001). What I Learned at the World Economic Crisis. the Insider. [en ligne]. URL : 11