Titre : Un système de distribution de matériels didactiques destiné aux enseignants

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1 Titre : Un système de distribution de matériels didactiques destiné aux enseignants Mots clés : Education à distance, e-learning, Webservices, nouvelles technologies de l Information et des Communications, UDDI, Objet pédagogique Auteurs : Madian dit Tieman DIARRA, Ph.D. student Politechnika Gdańska, ul. G. Narutowicza 11/12, Gdańsk tel: fax: mtdiarra@hotmail.com cell : Jerzy KACZMAREK, Prof. Politechnika Gdańska, ul. G. Narutowicza 11/12, Gdańsk tel: fax: jkacz@eti.pg.gda.pl Abstract L Internet devient actuellement une base immense de connaissance dans tous les domaines de la vie. A l avenir il pourrait devenir, une source fondamentale des matériels didactiques. Cependant dans le domaine scolaire il existe assez de problèmes non solutionnés à ce jour, entre autres : les modes de création ou de production et de stockage des données et les méthodes de recherche sur un thème précis. Des normes internationales de création des matériels didactiques existent et seront présentées dans cet article. La conception complète d un système du type e-learning serait aussi présentée dans cette publication. Dans sa conception, notre système est en quelque sorte une bibliothèque de matériels didactiques de diverses disciplines. Un système comme tel pourrait être utilisé sur toute l étendue du territoire national. Le système d assistance aux enseignants, dont l analyse SWOT est insérée dans cet article, est actuellement sur la table de conception. En se basant sur le langage XML, nous décrivons la méthodologie de production des matériels didactiques. Les approches de solution aux problèmes d écriture, de stockage et de recherche des objets pédagogiques sont présentées en se servant des serveurs UDDI. Au fait, ce système se réalise pour les enseignants du Mali, mai il pourrait être exploité dans tout autre pays. L utilisation des nouvelles technologies et des normes des Webservices rend possible la réalisation de systèmes efficaces et fiables pour l éducation à distance 1. INTRODUCTION La naissance et l évolution de Internet a accru les possibilités de transmission de l information. Cela facilite la communication entre les personnes, la transmission du savoir et des connaissances ou la recherche des données. Internet apporte un changement fondamental dans le fonctionnement de multiples domaines de l activité de l homme, entre autre l éducation aussi où a vu jour une nouvelle technique d Education à distance dénommée e-learning. E-learning possède assez de qualité entre autre : la possibilité du choix élastique des contenus de l apprentissage et la flexibilité temporelle et spatiale de l apprentissage. On apprend au rythme de son choix en temps et lieux de convenance. La réduction des coûts et l attraction particulière que les matériels multimédia éducatifs présentent influe sur le rehaussement de la motivation de l apprenant. L éducation à distance a néanmoins des contraintes d ordre psychologiques comme ceux liés à l indépendance dans le travail et des coûts onéreux de création des objets pédagogiques. Le problème d accès à Internet dans beaucoup de pays, les coûts de liaison et les problèmes de bande passante des réseaux télécommunications constituent quelques contraintes non les moindres. En dépit de cela, l évolution du marché de e-learning semble inévitable. On estime que son chiffre d affaire pour l an 2004 atteindra 23 milliards de dollars US. 2. LES ACTEURS DANS LE PROCESSUS DE L EDUCATION Le marché de l éducation est un jeune domaine de l industrie dans lequel nous rencontrons divers acteurs notamment ceux du domaine scolaire ou académique, d édition, d informatique et enfin de multimédia. On peut actuellement classifier les acteurs de ce marche en 4 grands groupes : 492 MSAS'2004

2 - Des acteurs traditionnels de l éducation les enseignants, les élèves ou étudiants ainsi que des éditeurs qui cherchent profits des nouvelles possibilités de Internet. - De nouveaux experts qui se spécialisent dans l enseignement par Internet - Des sujets de l industrie Informatique et de télécommunication. - Des nouveaux courtiers qui tirent profits de la vulgarisation et popularisation des données et des cours en ligne. Ces acteurs travaillent dans les domaines des technologies, des contenus pédagogiques et des services connexes de l éducation. Des plateformes commerciales voient le jours et servent à administrer et gérer le processus de l enseignement. Des organisation de commerce, les établissement d enseignement et même des personnes privées créent ou produisent des contenus pédagogiques au besoin de l éducation à distance. La sphère des services dans l éducation garantie avant tout le stockage, l accessibilité, la recherche de contenus pédagogiques ainsi que les consultations et les conseils de l enseignant. L établissement des preuves de compétence et la certification des diplômes délivrés et des titres obtenus. 3. CONCEPTION DU SYSTEME D ASSISTANCE A L ENSEIGNANT AU MALI Dans le nouvel ordre d économie de marché chaque Etat doit supporter les dépenses en éducation qui garantie l accroissement économique et le rehaussement du niveau de vie des habitants. Le Mali dont le système éducatifs souffre, entre autre, de l insuffisance des salles de classes, de la faiblesse des taux de scolarisation, de l insuffisance du nombre d enseignants embauchés, de la pénurie de matériels didactiques ou pédagogiques, etc. devrait doubler d effort pour apporter des solutions urgentes convenables à ces contraintes et pouvoir insérer son système éducatif au rang de ceux compétitifs. De ce point de vue, nous avons voulu élaborer un programme de distribution du savoir ou des matériels didactiques qui a une portée nationale. La conception du système suppose la création d un dépôt de matériels didactiques distribué. Les matériels pédagogiques seront divisés en unité de connaissances dénommées objets pédagogiques (ang. learning object). La bibliothèque rendra disponible des matériels didactiques des niveaux des écoles fondamentale et secondaire ; le but étant de faciliter pour l enseignant la recherche des matériels dont il a besoin dans la conduite du cours. Il doit en conséquence avoir la possibilité de retrouver et des objets déterminés,de toute la leçon comme la complétion du programme de la matière. La figure 1 présente la conception du système SEM (ang. System of Education in Mali) Fundamental School 1 st Part Fundamental School 2 nd Part Teacher Librairy for Teachers Learning materials for class 1 Mathematics for class 10 Chemestry for class Secondary level School Learning Objects Geography for class 8 Figure 1. Conception du system SEM 3.1. Analyse stratégique Informations générales Le système éducatif malien souffre de plusieurs problèmes dont les plus importants sont entre autres un faible taux de fréquentation de l école estimé à peu près 56%,l insuffisance d infrastructures techniques convenables (insuffisance du nombre d école et de salles de classe), l insuffisance du nombre d enseignants, l insuffisances de matériels didactiques pour les enseignants et les élèves, la disparité chronique aiguë entre les niveaux des connaissances et des aptitudes parmi la masse enseignante. Le développement de l éducation et celui de la santé sont les priorités du gouvernement du Mali. La réalisation d un système de distribution des connaissances 493 MSAS'2004

3 destinés aux enseignants est l un des projets qui sous tendent l amélioration de la qualité du processus didactique au Mali. Mission Mission et objectifs du projet Rehaussement du niveau de formation et de qualification du citoyen malien grâce à l augmentation et l amélioration de la qualité du processus. Objectifs à court terme Faciliter aux enseignants l accès aux matériels didactiques Rehausser la qualification et le niveau des connaissances des enseignants. Revitaliser l enseignant (Incitation à l acquisition de plus de connaissances et à se recycler). Objectifs à long terme L accroissement de la masse d élèves fréquentant les écoles fondamentales et secondaires Le rehaussement de la qualité du processus de formation au Mali. L augmentation du niveau de qualification du citoyen. La diminution des coûts de formation e de perfectionnement de l enseignant Analyse stratégique SWOT Forces (Strengths) Le Mali possède un grand nombre de citoyens bien qualifiés : ingénieurs de différentes spécialisations, des techniciens, des opérateurs des réseaux de télécommunication, etc. Ces sujets pourraient aider à volontiers dans la réalisation et la mise en oeuvre du système de distribution du savoir. Le développement de l éducation est une priorité du gouvernement du Mali. Plus du ¼ du budget national est alloué à ce ressort : Dans le cadre de la reforme de l enseignement, le projet PRODEC a été initié ave l appui des partenaires au Développement.. L existence de IPN (Institut Pédagogique National) qui pourrait faire parti des acteurs du processus de création des objets pédagogiques (- cet institut est sous la supervision du Ministre en charge de l Education et est responsable de la création des manuels scolaires au Mali). La contribution de l IPN à la création des objets pédagogiques aurait une importance particulière dans la premiers moments de l existence du système il est envisageable que le nombre d enseignants prenant part à la création d objets pédagogiques d auteurs croîtra. Faiblesses (Weaknesses) Le Mali à l instar de beaucoup de pays africains est économiquement faible et cet état est sans aucun doute la cause principale qui fait que beaucoup d enfants ne peuvent pas fréquenter l école. (Le taux de fréquentation est de 56%) L insuffisance de l infrastructure technique : peu d écoles et de salles didactiques. L insuffisance du nombre de maîtres. La disparité très grande entre les niveaux des connaissances des enseignants La trop petite quantité de matériels didactiques pour les enseignants et les élèves. La faiblesse de la production et de la distribution de l électricité La non couverture du territoire national par le réseau de télécommunication (la campagne en est surtout touché par cette pénurie) Le taux de possession des ordinateurs est très faibles au sein de la population du Mali. (0,1%) Opportunités (Opportunities) Le développement de l infrastructure de télécommunication ( nous assistons actuellement un positionnement remarquables d un grand nombres de firmes sur le marché de télécommunication au Mali SOTELMA, IKATEL, MALITEL, etc. Le développement de la téléphonie mobile ( Accroissement des possibilités et opportunités d accès à Internet). 494 MSAS'2004

4 Des programmes internationaux qui aident au développement de l Education au Mali. La création des centres informatiques (salles d ordinateurs) pour les enseignants. Ces centres seront fournis en ordinateurs et moyens d accès à Internet ainsi qu en périphériques (imprimantes, camera numériques, etc. grâce auxquels les enseignants pourront pleinement tirer profit des possibilités du système. L ONG «CLIC» et le gouvernement malien oeuvrent actuellement à la construction et l équipement de ces centres Risques ou menaces (Threats) Le système aura un nombre restreint d utilisateurs du fait du très faible taux d accessibilité des maîtres à Internet, l incompétence d une partie des enseignants à se servir d Internet ou le service très complexe ou sophistiqué du système. Le manque d argent pour ravitailler chaque école en nombre convenable d ordinateurs. La résistance d une partie des maîtres devant des changements quelconques (le conservatisme de l enseignant). Le système serait peu utile du fait de l insuffisance du nombre d objets pédagogiques enregistrés. L insuffisance des moyens financiers alloués à la maintenance du système. Le manque de récompenses convenables ou de motivation pour les enseignants qui créent leurs propres objets pédagogiques. L aversion des enseignants pour le recyclage et l utilisation du système 4. PROBLEMATIQUE TECHNOLOGIQUE EN E-LEARNING Les nouveautés dans l éducation à distance De nouvelles tendances s observent actuellement en e-learning, notamment : le m-learning (mobile learning), des Universités virtuelles, des e-livres, les agents intelligents, le pédagogue virtuel et des compagnons d études virtuels. L éducation à distance utilise non seulement Internet mais également des téléphone cellulaires et le PDA. Cette forme porte le nom de m-learning. Les agents intelligents permettent la recherche des matériels didactiques distribués dans le réseau Internet suivant des critères tels que: le niveau d avancement et le prix. Les pédagogues virtuels apparurent pour guider l apprenant tout au long des étapes de sa formation.. Ils sont capables d évaluer le niveau des connaissances et de sélectionner les matériels pédagogiques en liaison avec les objectifs de la formation Les objets pédagogiques Indépendamment des nouveautés technologiques, les matériels didactiques multimédia demeurent importants dans le processus d apprentissage. La connaissance dans un domaine donné est un ensemble de questions traitées à des niveaux d approfondissement variés. Pour cette raison, les matériels didactiques se subdivisent en plus petites unités appelées dans e-learning objets pédagogiques Un objet pédagogique est en fait un ensemble de données relatives à une problématique déterminée et adapté aux besoins de l apprentissage. Un tel objet, du point de vue méthodologique, ne devrait pas renfermer trop d information. Dans l esprit des normes de création et de recherche d objets chaque objet doit avoir son Manifest qui sert à le représentater dans un dépôts d objets. Ce Manifest devrait renfermer des mots clé (facilitant la recherche), le niveau d avancement du thème traité dans l objet, l adresse de localisation dans la base de connaissances, celle de la copie de l objet ainsi qu éventuellement son prix. La figure 2 représente l idée de l objet et son Manifest. Packaging Interchange File Manifest File PACKAGING Manifest Metadata Organizations Resources (sub)manifest PHYSICAL FILES (Texts, Graphics, Sounds, Links and others) 495 MSAS'2004

5 Figure 2. Objet pédagogique et son Manifest. Organisation des dépôts d objets pédagogiques Concernant l accessibilité effective aux ressources, Internet possède encore d innombrables défauts. Malgré l abondance du réseau global en ressources pédagogiques, l utilisateur d Internet n y a pas accès pour cause de manque d efficacité dans les domaines suivants : - La recherche et collection des données, - La sémantique des données, - L accès aux ressources d Internet Profond, - Le format et structure des données, - L identification, la localisation et l accessibilité des ressources, - La communication et collaboration des systèmes, - Le suivi des modifications et du versioning. La découverte dans Internet des données fiables de bonne qualité est une question difficile. Les méthodes de découverte actuellement utilisées et appelées dans le jargon informatique «méthode de collection par force et d indexation de données relatifs aux objets du réseau» sont à l analogie de celles usitées dans des bibliothèques lors de la création d index ou de catalogue (où pour accéder à un livre déterminé on doit lire par ordre les cartes d identification des livres). L absence de sémantique de données est à l origine de l échec des méthodes d indexation et de recherche appliquées par des moteurs de recherches généraux de Internet. Les ressources de Internet Profond, c est-à-dire celles se trouvant dans des bases de données et sur les disques durs des utilisateurs, ne sont pas disponibles aux moteurs de recherche et pourtant elles constituent jusqu à 80% des ressources placées sur le réseau global. L absence de compatibilité des ressources partagées prend racine sur le problème de format et structures des données. En dépit de l accès physique aux ressources, leur utilisation semble souvent impossible. Il en est ainsi parce que les logiciels chargés de les manager ne parviennent pas à les lire ou interpréter. Pour que deux systèmes informatiques différents puissent correctement s échanger des données et les interpréter il est indispensable que les champs d information des documents inter changés obéissent aux normes descriptives de leur format et de leur structure. L application des normes populaires admises en la matière est pour cette raison très importante lors de la création des matériels éducatifs. L utilisation du langage XML dans la création des objets est l une des solutions. Ce langage sépare le contenu de la forme de présentation du document. Le problème de l identification, de la localisation et de l accessibilité aux ressources est lié au repérage correct et la découverte des objets pédagogiques ainsi qu à la fiabilité de la transmission Il arrive souvent que les ressources ne sont pas disponibles du faits de l avarie du serveur ou de la surcharge du réseau. Pour cette raison des emplacements alternatifs sont utilisés lors du stockage des données. L absence de technique commune de communication rend impossible l échange des données entre les utilisateurs et cela, en dépit d un accès physique à celles-ci. Il en est ainsi du fait que les utilisateurs utilisent soit des applications incompatibles soit des systèmes d exploitation différents. Dans le cas d un tel grand Dépôt qu est Internet, le suivi des changements ou modifications et de l évolution des versions est une question très difficile qui doit être pris en compte. L utilisation des nouvelles technologies de création des objets pédagogiques et de leur stockage apporte une solution satisfaisante aux divers problèmes soulevés ci haut. L objet pédagogique produit suivant les normes populaires aura une structure identique indépendamment du producteur et du thème traité. Décrit par son Manifest qui renferme les mots clé, l objet serait facilement repérable dans le dépôt. Cependant un problème pertinent persiste. C est la localisation physique de cet objet. Cette question difficile trouve sa réponse dans l utilisation des nouvelles technologies basées sur des serveurs UDDI (Universal Discovery, Description and Intégration). L adresse UDDI est une sorte d adresse Internet semblable à URL mais qui est relative à l objet et non à une page Web. Le serveur UDDI dont le fonctionnement est, similaire au serveur des adresses Internet DNS (Domain Name System), permet la localisation des objets pédagogiques en se basant sur la sémantique contenu dans le Manifeste de l objet. Ce serveur change ou convertit l adresse logique en adresse physique de l emplacement dans le dépôt partagé. 5. ARCHITECTURE DU SYSTEM SEM L architecture du dépôt de matériels didactiques pour l enseignant du Mali est présentée sur la Figure 3. La placement des objets pédagogiques dans le dépôt permet la découverte des matériels didactiques intéressants sur un thème donné et leur assemblage (en nombre convenable pour obtenir un contenu logique) en matériel complet de cours. 496 MSAS'2004

6 Quelques objets pédagogiques crées par différents auteurs et placés en dépôt peuvent concerner un même thème. Cependant ces matériaux peuvent différer de part leur niveau d avancement, leur approche du thème et les outils didactiques utilisés. Grâce à cela, l enseignant peut faire le choix de matériels didactiques les plus convenables au niveau de ses élèves. Obiekty Metadata Obiekty IMS MD UDDI ADL SCORM IMS CP Figure 3. Objets pédagogiques et topologie du system SEM. L idée du dépôt suppose sa distribution et sa dispersion. Cela signifie que les serveurs des objets peuvent être placés dans les écoles pilotes ou dans des administrations scolaires servant ainsi de noeuds du réseau. C est grâce à une telle organisation que le problème de l indisponibilité physique de certains serveurs ou de surcharge du réseau sera résolu. 6. LES NORMES TECHNOLOGIQUES La communication a toujours été un côté névralgique du réseau Internet car il s agit d interconnecter un nombre imposant d ordinateurs en vue de la création d un réseau. L application du protocole TCP/IP a résolu certains des problèmes de façon satisfaisante. L évolution de Internet a fait qu on eut aperçu une nouvelle possibilité de création de réseau global (comme sil s agissait d un ordinateur global) sur lequel fonctionneront des applications inter-opérables c est-à-dire collaborant mutuellement les uns avec les autres. Les matériels didactiques crées doivent être, dans le monde entier, distribués, enregistrés, stockés et découverts. Les protocoles TCP/IP, HTTP, ou FTP ont montré leur limitent pour pouvoir satisfaire à ces exigences. Pour cette raison, de nouvelles résolutions technologiques vont voir le jour. Les nouvelles tendances dans les résolutions technologiques dans l éducation à distance consistent à l application de XML, un langage universel de description des documents ainsi que des Infrastructures de services réseau Webservices - basés sur la gestion des objets au moyen des serveurs UDDI. Le langage XML permet la séparation du contenu de la forme de présentation de l information. Cela permet la standardisation des structures de données éducatives ; ce qui facilite une représentation uniforme des objets dans le système et simplifie le processus de création des objets. On pourrait citer quatre groupes de normes technologiques [2] : 1) Technologies résolvant les problèmes de compatibilité des systèmes au niveau des données. Il s agit de XML, XSD et RDF. Elles définissent respectivement le format, la structure et le sens la sémantique - des données. XML Langage de balises extensible (ang. extensible Markup Language) est un format de texte, simple, élastique qui prit naissance de SGML Il est utilisé dans le processus d échange sur le réseau des données de toute sorte. 497 MSAS'2004

7 XSD Langage de définition de schéma XML (ang. XML Schema Definition language) est une norme définissant la structure syntaxique des documents XML. Il décrit tous ses éléments et attributs de façon formelle. Il est utilisé pour assurer la conformité entre les diverses instances des mêmes données. Il demeure un mécanisme fondamental pour la publication des données sur le réseau. RDF Le cadre de description des ressources (ang. Resource Description Framework) est une norme décrivant la sémantique des ressources. Il définit la technique d attribution aux objets de sens compréhensible par l ordinateur. Il sert généralement à la définition des métadonnées, c est-à-dire de l information décrivant les données. Il constitue une technologie de base pour la construction de Internet Sémantique. 2) Les normes de technologie pour solutionner le problème d identification, de localisation et d accessibilité des ressources. Elles sont encore à la phase d élaboration. En Janvier 2003 un groupe de travail a été constitué à cette fin par OASIS. La norme s appelle XRI (extensible Resource Identifier) identificateur extensible des ressources. Il devrait devenir la base de définition des références des objets du réseau. Une telle référence ou pointeur dépendra de la l emplacement courant de l objet. La localisation physique serait déterminée par le service d intermédiation à la suite de la réception de la requête pour l obtention de l objet. Le principe de fonctionnement serait analogique à celui de la technique de détermination des adresses IP par le service DNS se basant sur le nom de domaine. Cependant, dans le cas des références aux objets, il faudrait de surcroît qu un identificateur simple pointe diverses localisations alternatives du même objet. 3) Les technologies servant à niveler le problème de Internet Profond et à satisfaire aux exigences des systèmes de communication et d interopérabilité. Pour cette fin, nous avons respectivement SOAP et WSDL. WSDL Le langage de description des services en réseau (Web Service Description Langage) est une norme définissant les interfaces des systèmes informatiques. Il permet, de façon universelle, l élaboration de description formelles des opérations réalisées par des applications. Aussi pouvons nous, à travers WSDL définir les interfaces abstraites qui pourront être plus tard implémentées par des applications quelconques. L utilisation de WSDL garantit l entière compatibilité entre les différents systèmes. SOAP (Simple Object Access Protocol) est un protocole pour l accès aux objets simples dans des environnements décentralisés et distribués. Il permet la transmission des communiqués entre différents systèmes et plateformes informatiques Ces communiqués peuvent renfermer aussi bien des données que des requêtes d exécution des fonctions distantes (remote functions). 4) Les technologies résolvant le problème de recherche et de collecte de l information ainsi que des problèmes de suivi et monitoring des modifications. Elles s appuient sur des registres de métadonnées autrement dénommés des registres UDDI. Ceux-ci stockent des informations au sujet des services et de leurs fournisseurs. Fonctionnant suivant le principe des services de catalogage très avancés, UDDI permet la recherche et la découverte des informations enregistrées. C est un service logiquement centralisé et physiquement dispersé qui se compose de plusieurs nœuds dénommés opérateurs UDDI, qui régulièrement dupliquent des données entre eux. Un fournisseur de services peut s enregistrer chez un opérateur et l information d enregistrement est aussitôt propagée et dupliquée chez tous les autres opérateurs. La technique de fonctionnement de UDDI est analogique au principe de fonctionnement des services DNS où plusieurs serveurs collaborant ensemble concoururent à la réalisation d une même fonctionnalité [2]. 7. SERVEUR UDDI ET LES WEB SERVICES UDDI est une spécification technique permettant de publier et de rechercher des services Web en utilisant des standards tels que HTTP, SOAP, WSDL, XML. et connexes. La philosophie initiale était d'offrir une place de marché où chaque usager, qu il soit une entreprise ou un particulier mais prestataire de services, quels que soient sa taille, son domaine d'activité et sa localisation, pourrait publier les services dont elle dispose, et trouver de façon dynamique les services dont elle a besoin. Cependant l implémentation concrète de cette technologie s observe dans un domaine restreint : les intranets où le propriétaire dispose des moyens de contrôle efficaces. Un Web service est un logiciel conçu pour l usage public par des logiciels des tiers, accessible via Internet. Répertorier ses services est un fait nécessaire au sein de l entreprise ou l organisation, si nous désirons les faire utiliser et partager. Sa création n offre cependant aucune garantie en ce qui concerne son utilisation, car tout comme une page Web non référencée ( par un moteur de recherche ne pourrait être visitée), un Web service doit être répertorié dans un registre central servant d annuaire. Ce registre central est le registre UDDI [1] Les registres UDDI offrent un mécanisme qui permet la navigation et la découverte des webservices et d interagir avec eux de façon compréhensible. Si nous prenons l exemple sur des moteurs de recherche comme 498 MSAS'2004

8 Yahoo ou MSN, il est important de savoir que le fonctionnement de ceux-ci se base sur des mots clés ou des suites de caractères. L utilisateur les fournit et le service de recherche les cherche dans un registre contenant des métadonnées des sites Web. Un moteur de recherche devrait aussi permettre une caractérisation avancée de la procédure de recherche, par exemple en procédant à une nouvelle recherche à partir des résultats de recherche déjà obtenus tout en excluant des enregistrements contenant certains mots clés. La recherche, quel que soit son niveau d avancement, dépendra toujours des mots clés. Par contre les futures moteurs de recherche qu on dénomme ici «smart Web crawler»[7] seront meilleurs à ceux-ci parce que ne recherchent pas seulement les mots clés, mais essayent de situer la capacités des sites Web. Par exemple un touriste voulant chercher des hôtels dans une ville qui répondent à certains critères de nuitée, cherchera ceux possédant des WebServices qui présentent leurs fonctionnalités par la fourniture des cotations et réservations automatisées. Un moteur conventionnel aurait fournit la liste des URL de ces hôtels que le touriste lui-même parcourira pour situer les coûts. UDDI avec des options de Smart web Crawler utilise les protocoles HTTP et SOAP et le langage WSDL pour obtenir la liste des hôtels et situer «lequel publie ses tarifs et permet la réservation automatisée». Les Web crawlers peuvent servir un simple utilisateur d Internet comme les portails B2B. Dans le premier cas, ils apportent de la valeur ajoutée aux services qu ils offrent pour un simple utilisateur d Internet qui surfe le Web au moyen d un navigateur quelconque (navigateur sur PC ou micro navigateur sur engin portable). Ainsi peut-on surfer à travers des classifications et des catégorisations d objets pour trouver des WebServices appartenant par exemple à une industrie ou une entreprise et parcourir leurs interfaces pour situer si éventuellement ils offrent des services qui nous intéressent. Un opérateur UDDI, dans le but de satisfaire à ses objectifs, aura besoin d une interface d utilisateurs graphique intelligente, ergonomiquement amicale permettant à un particulier de tirer le maximum de profits de cette nouvelle technologie. Dans le second cas, supposons que vous soyez un propriétaire d entreprise ayant son catalogue de WebServices fournissant en ligne des informations pour touristes et e-commerce. La recherche d hôtels est sans doute une partie de vos affaires. Avec un moteur conventionnel de recherche, vous trouverez manuellement et séquentiellement des hôtels avec lesquels vous établirez des dialogues pour les confronter avec les préférences de vos clients et partenaires et voir ce qui convient le mieux à vos partenaires et à vos propres systèmes de bases de données. Imaginez que vous ayez une centaine de partenaires dont chacun possède sa propre base et ses formats de données. Vous aurez recours dans ce cas, à l implémentation de la coordination et de l échange de données électroniques avec chacun de vos partenaires. Chose indubitablement coûteuse, encombrante et moins efficace. Avec UDDI, donc les smart web Crawlers, toutes ces opérations se font de façon automatique et doucereuse (confortable). Le WSDL et les Fingersprint permettent aux utilisateurs, des particuliers ou des propriétaires des B2B, d interagir de façon compréhensive avec des services qu offrent leurs partenaires. Cependant toute fois qu un nouvel hôtel devient membre du registre UDDI avec lequel vous travaillez, il apparaîtra automatiquement sur votre Site B2B, indépendamment de la nature de l architecture des applications de son site. En somme on pourrait penser des registres UDDI comme des moteurs conventionnels de recherche avec des possibilités supplémentaires leurs permettant de fonctionner comme des courtiers de services présentant des affaires à leurs clients éventuels [7] UDDI définit la structure complexe des données qui renferment l information nécessaire à la recherche des services afin de pouvoir interagir avec eux. La figure4 suivante présente un simple enregistrement UDDI qui contient une hiérarchie de petits blocs. Un registre UDDI complet pourrait renfermer des milliers d enregistrements de cette nature. Le grand bloc représente l enregistrement UDDI qui renferme le «Bussiness Entity «qui comprend plusieurs champs tels que le nom, la description, les contacts. Ici cette représentation est très simplifiée. Par exemple «contacts» est une liste de structures de contacts Deux opérations s exécutent sur le registre UDDI : publier et chercher. On publie ses services pour que d autres puissent les découvrir. Nous pourrons découvrir les services de nos partenaires qui en ont aussi publiés. La publication des Webservices nécessite la possession d une certaine ressource cognitive par rapport au modèle de données utilisées dont les éléments principaux sont : o o o o Information sur le fournisseur/prestataire ( ang. Business Information), Information sur le service (ang. Service information), Information sur les liaisons/rapports (ang. Binding Information), Information sur les métadonnées (ang. Meta-data Information). 499 MSAS'2004

9 Ces informations sont représentées dans des structures XML suivantes : businessentity: Tout service est la propriété d une organisation identifiée par son nom, sa description, son adresse de contact, par un ou plusieurs catégories ou profils, etc. businessservice: renferme des informations non technique en liaison avec le service. Il s agit entre autres du nom du service, sa courte description. bindingtemplate: définit l emplacement (URL) et la façon d accès à un service donné (le protocole). tmodel: Renferme des liens aux informations technique du service tel que par exemple le fichier WSDL (Web Service Description Language) décrivant les diverses méthodes disponibles. Concernant la recherche, elle est toujours pratiquement limitée. La recherche, même suivant la dernière spécification de UDDI, peut se faire exclusivement suivant le nom seulement et non sur la base de la description du service. Toutefois UDDI offre la possibilité de classification des services en catégories ; ce qui permet l exécution du premier tri. La structure logique et fonctionnelle du registre UDDI est présentée sur la figure 4. On y comprend aisément que un Bussiness Entity se composent de Business Services lesquels sont liés aux contenus par des binding template UDDI s adresse : - aux grandes entreprises ou organisation comme par exemple Fortune 500, Global 2000, large manufacturers, international financial institutions, healthcare providers, etc - aux PMI : Regional distributors, services / consulting firm, local retailers of goods and services, restaurants and hospitality companies, etc - aux vendeurs indépendants de logiciels et intégrateurs : ERP vendors, networking companies, Big- 5 consulting firms, local software houses, etc. - aux créateurs de place de marchés virtuels : Net market makers, horizontal marketplaces, corporate exchanges, etc - aux organisations industrielles et de Normalisation : IT standards bodies and industry vertical organizations and associations Business Entity Name - Business Name Description Business description (multi Languages) Contacts - Name,Phone, Fax,Web Sites Business Services IdentifierBag - identifier for business (Tax Code) CategoryBag - any one of three defined categories : 1. Industry 2. Products/services 3. Location Business Service (1..n) Name - Service name Description -Service Description Building Templates CategoryBag - (industry, product, location) Building Templqte(1..n) Description QAccess Point Hosting Redirector tmodelinstancedetails tmodel Name Description Overview Doc IdentifierBag CategoryBag tmodelinstanceinf tmodelkey Description InstanceDetails UDDI Register 500 MSAS'2004

10 Figure 4. Relations entre ressources cognitives au sein du registre UDDI 7. MOTS DE LA FIN L utilisation des nouvelles technologies et normes des services en réseau rendent possible la création de systèmes effectifs et fiables pour l éducation à distance. La réalisation d un système facilitant la création, le stockage et la recherche des données prédestinées aux enseignants pourrait améliorer l efficacité du processus d éducation à l échelle de tout le pays LITERATURA 1. Diarra M., Kaczmarek J.: Nowoczesne technologie dla systemów zdalnej edukacji, Zeszyty Naukowe Wydziału Elektrotechniki i Automatyki Politechniki Gdańskiej,, Diarra M., Kaczmarek J., Gwoździńska A.: Poziomy komputeryzacji procesu dydaktycznego, Zeszyty Naukowe Wydziału Elektrotechniki i Automatyki Politechniki Gdańskiej, numer 18, str.18-76, Bruner R. : Java w komercyjnych usługach sieciowych, Helion, Graham S : Java. Usługi www. Vademecum profesjonalisty, Helion, Mc Cormack C. : Web-Based Education System, Wiley Laurent Boatto, Domaine IT - Groupe Développement page9bag.html 7. Bilal Sidiqui : Using UDDI as a Search Engine. Smart Web Crawler for all., ( viewed April 2004, 2 nd ) 501 MSAS'2004

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