Matériel informatique (négoce)

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1 Matériel informatique (négoce) Février 2007 / KRO-DFE / FBE 6-NEG-05/X7 NAF : 51.8G NACE : CITI : 5151 Prévisions 2007 Chiffre d affaires des négociants Prix à la consommation des ordinateurs Les chiffres clés (*) Chiffre d affaires des négociants Prix à la consommation des ordinateurs Taux de marge commerciale (**) +3,5% -12,1% +4,4% -13,1% 34,0% Taux de RCAI (***) 13,0% Ventes de microordinateurs (vol.) Ventes d imprimantes (vol.) Dépenses informatiques des entreprises (val.) Conso. des ménages en mat. informatiques (vol.) (*) données 2006 (**) Marge commerciale / chiffre d affaires (***) Résultat courant avant impôt / valeur ajoutée Les leaders (*) ACTEBIS DEXXON DATA MEDIA ETC METROLOGIE INGRAM MICRO TECH DATA FRANCE (*) classement alphabétique +4,9% +7,0% +3,6% +20,0% Zoom Chiffre d affaires des négociants unité : % des variations annuelles en valeur / (e) estimation, (p) prévision et source : Xerfi 14% 12% 10% 8% 6% 3,5% 4% 2% 0% (e) 2007(p) A retenir Le chiffre d affaires des grossistes de matériel informatique enregistrera une croissance de 3,5% en Il bénéficiera de la demande soutenue de ses principaux clients directs ou indirects. Les ménages seront ainsi le principal moteur de la croissance des ventes de matériel informatique, et les commandes des entreprises continueront de progresser (à un rythme toutefois plus modéré qu en 2006). L augmentation des ventes en volume permettra de compenser la baisse des prix des équipements informatiques qui frappera une nouvelle fois le marché. Malgré ce contexte favorable, les petits négociants de matériel informatique, qui constituent 80% des entreprises du secteur, devront faire face à de nombreuses difficultés. Leur taille les empêche en effet de s imposer face aux grands groupes leaders, et elle les pénalise de plus en plus dans leurs relations avec leurs fournisseurs. Leur rentabilité est par ailleurs mise à mal par des charges d exploitation croissantes. Pour surmonter ces obstacles, les opérateurs se sont lancés dans de nombreuses opérations de rachat pour atteindre des tailles critiques, et tenter d améliorer leur positionnement.

2 Le tableau de bord économique et financier (estimations, prévisions et source Xerfi) Croissance de la consommation des ménages en équipements informatiques unité : % des variations annuelles Dépenses informatiques des entreprises unité : milliard d euros Chiffre d affaires des grossistes unité : % des variations annuelles en valeur 80% 80 14% 60% 40% 20% % 10% 8% 6% 4% 2% 0% (e) (e) 0% e 07p Prix à la consommation des matériels de traitement de l information unité : % des variations annuelles 0% -5% -10% -15% -20% -25% Taux de marge commerciale des PME unité : % du chiffre d affaires 36% 34% 32% 30% 28% Taux de résultat courant avant impôt unité : %, RCAI / valeur ajoutée 30% 25% 20% 15% 10% 5% -30% (e) 07(p) 26% (e) 0% (e) Principales sociétés du secteur Sociétés Contrôle ou actionnariat Chiffre d affaires non consolidé (M d euros) Date de clôture TECH DATA FRANCE Tech Data (Etats-Unis) via Tech Data France Holding (100%) 1 225,6 31/01/2006 INGRAM MICRO Ingram Micro (Etats-Unis) 1 110,3 31/12/2005 ACTEBIS Otto Group (Allemagne) (100%) 455,4 31/12/2004 ETC METROLOGIE SCH France (100%) 359,9 31/03/2005 DEXXON DATA MEDIA Dexxon Groupe Holding (99%) 320,3 31/12/2005 ISA FRANCE (*) Nessink (nd) 210,8 30/04/2005 INMAC WSTORE Inmac Wstore via Wstore Europe (Cont.Maj.) 202,0 31/12/2005 BANQUE MAGNETIQUE Fayrewood (Royaume-Uni) (90%) 200,8 31/12/2005 UFP INTERNATIONAL UFP International (France) 200,2 31/12/2004 SPICERS FRANCE DS Smith (Royaume-Uni) via DS Smith France (99%) 174,0 30/04/2005 Source : Xerfi Performances économiques et financières (*) e Variation du chiffre d affaires nd 4,8% -1,3% 5,3% 1,8% 3,0% Taux de valeur ajoutée corrigée 68,1% 68,4% 70,2% 69,3% 68,5% 68,5% Taux d endettement 17,3% 14,0% 12,1% 14,1% 15,4% 16,2% Charges financières/ebe 8,0% 7,1% 4,9% 4,5% 7,7% 9,3% BFR (jours de CA) 14,3 13,4 11,6 12,9 16,3 17,4 Clients (jours de CA) 66,0 60,0 61,0 61,1 64,9 66,2 Fournisseurs (jours d'achats HT) 65,5 63,4 62,6 61,5 64,2 62,9 Stocks (jours de CA HT) 17,9 17,9 16,3 17,7 19,0 18,0 Frais de personnel / VA 71,9% 73,3% 70,0% 73,7% 76,5% 78,9% EBE / VA 25,6% 24,2% 27,4% 23,5% 20,1% 17,9% RCAI/VA 20,3% 20,3% 23,2% 19,8% 16,1% 13,0% RCAI/Fonds propres 31,6% 30,3% 32,7% 26,4% 22,1% 18,1% Résultat net/fonds propres 19,1% 19,6% 22,6% 18,4% 15,3% 12,6% (*) entreprises réalisant de 1 à 10 millions d euros de chiffre d affaires en 2005 Source : Xerfi 2

3 Table des matières 0. SYNTHESE 6 1. L ACTIVITE Le cadre de l étude 10 Le cadre de l étude 10 Le poids du secteur dans la filière 11 Les sources statistiques Les fondamentaux du secteur 14 L offre de matériel informatique 14 La distribution des produits 15 La vente directe et indirecte 16 Le rôle des grossistes au sein de la filière La réglementation 18 Composition des équipements informatiques et élimination des déchets ANALYSE & PERSPECTIVES DU MARCHE L environnement 22 Les déterminants du chiffre d affaires La demande des ménages 23 Consommation en équipements informatiques 23 Taux d équipement 24 Prix à la consommation La demande des entreprises 26 Les dépenses informatiques Le marché de la micro-informatique 27 Ventes de micro-ordinateurs : professionnels et grand public Le marché des équipements d impression 28 Ventes d imprimantes 28 et copieurs L'analyse du commerce extérieur 29 Exportations et importations L'activité des grossistes 30 Chiffre d'affaires des grossistes 30 Le chiffre d affaires par type d'opérateur Les perspectives Le scénario prévisionnel 32 Le prix à la consommation matériel informatique 34 Le chiffre d'affaires des grossistes 35 3

4 3. STRUCTURE DE LA CONCURRENCE Structure économique et commerciale 37 Démographie du secteur 37 Chiffres clefs 38 Concentration Structure économique et commerciale 40 Diversification 40 Matrice de contrôle financier Les monographies 42 Tech Data 42 Ingram Micro 43 Otto Group 44 SCH 45 Dexxon 46 Fayrewood 47 UFP International 48 DS Smith Ephéméride 50 Vie des entreprises Les compétiteurs 51 Le classement des groupes 51 Le classement des entreprises par chiffre d affaires 52 Le classement des entreprises par taux de valeur ajoutée 54 Le classement des entreprises par taux de résultat net MARGES & RESULTATS ( ) Les pressions sur les marges 59 Définition du panel 59 Le taux de marge commerciale 60 Les autres achats et charges externes 61 Le taux de valeur ajoutée La productivité 63 Frais de personnel et rendement du travail salarié 63 Les politiques d investissement Situation financière & résultats 65 Le besoin en fonds de roulement 65 La situation financière 66 Le résultat courant avant impôt Indicateurs économiques & financiers 68 Le compte de résultat en % du chiffre d affaires 68 Le bilan 69 Les ratios 70 4

5 5. SOURCES D INFORMATION ANNEXES L analyse des exportations 77 Destination des exportations L analyse des importations 78 Origine des importations NOTE METHODOLOGIQUE 79 5

6 0. Synthèse 6

7 Nouvelle progression d activité en 2007 Le chiffre d affaires des négociants de matériel informatique progressera encore en 2007 (+3,5%), mais sa croissance affichera un léger recul par rapport à l année 2006 (+4,5%). Les grossistes devront faire face au ralentissement des commandes issues du marché des professionnels. Les investissements informatiques des entreprises subiront en effet le contrecoup du fléchissement de la croissance française, et les services publics réduiront leurs dépenses au cours de l année électorale Mais en contrepartie, la demande sera toujours soutenue de façon indirecte par la consommation des ménages (portée par l amélioration du contexte économique, le recul du taux de chômage, la hausse du pouvoir d achat, l engouement croissant pour l internet et les technologies multimédias, etc.). La baisse des prix est compensée par une forte demande en volume Le développement des offres à prix réduits contribuera une fois de plus à la hausse de la demande du grand public. Les prix à la consommation du matériel informatique n ont eu de cesse de diminuer au cours des dix dernières années, sous l effet des nombreuses évolutions technologiques et des politiques tarifaires agressives des opérateurs. Cette baisse des tarifs a permis une forte augmentation des ventes en volume, et s est traduite par une envolée du taux d équipement des ménages (53% d entre eux possédaient un ordinateur à fin 2006). Les grands groupes bénéficient d un meilleur positionnement Les négociants de matériel informatique, qui appliquent pour la plupart un taux de marge commerciale fixe, ont pu tirer pleinement profit de cet accroissement des ventes en volume. Néanmoins, les performances d activité réalisées par les différents segments d entreprises n ont pas été égales au cours des cinq dernières années. Les leaders et les suiveurs, qui ne représentent que 20% des sociétés du secteur, ont enregistré une croissance d activité deux fois plus importante que celle des PME. Ils disposent de plus de poids face à leurs clients et leurs fournisseurs. Ils possèdent également une assise financière suffisante pour faciliter le développement de nouveaux services venant compléter leur offre produits (aide au financement, centres d appels, etc.). 7

8 La rentabilité des PME est grevée par la hausse des charges d exploitation Pour éviter la concurrence des grands grossistes, les PME cherchent à se développer sur des marchés de niche et à proposer des services de proximité (formation, installation et prestation sur site, services de maintenance, etc.). Ce positionnement leur permet de conserver une marge commerciale élevée (plus de 30% du chiffre d affaires), et bien supérieure à la moyenne du secteur (17% du chiffre d affaires selon l INSEE). Il reste malgré tout insuffisant, car les entreprises de taille moyenne se heurtent à des charges de fonctionnement de plus en plus importantes (alourdissement des frais de personnel, nécessité de mettre en place des processus spécialisés pour l'élimination des déchets électroniques, etc.). L analyse financière du panel étudié par l institut Xerfi met ainsi en évidence une dégradation du résultat courant avant impôts des PME de près de 40% en trois ans. La taille des négociants devient un enjeu de plus en plus important Cette situation est d autant plus préoccupante que les relations entre les petits négociants et leurs fournisseurs se sont tendues. Certains producteurs d'ordinateurs et d'imprimantes souhaitent en effet réduire le nombre d interlocuteurs diffusant leurs produits, pour réaliser des économies d échelle sur le plan logistique. La taille des grossistes, qui était déjà déterminante par rapport aux marchés en aval, devient désormais un facteur décisif vis-à-vis des fournisseurs situés en amont. Ces nouvelles contraintes n ont pas été sans conséquences sur la structure économique du secteur, puisque le nombre de négociants recensés par l Unedic a chuté de 43,5% depuis Pour surmonter ces difficultés, les entreprises se sont lancées dans des opérations de croissance interne et externe afin d atteindre des dimensions suffisantes, qui leur permettront d accroître leur force de négociation, et d améliorer leur positionnement. Kévin Rondeau et Damien Festor, le 01 février

9 1. L Activité 9

10 1.1. Le cadre de l étude Le cadre de l étude La NAF 2003 donne naissance à la classe 51.8G A l occasion du passage à la NAF (Nomenclature d Activités Française) 2003, l INSEE a procédé à une recomposition de l ancienne classe 51.6G «Commerce de gros de machines de bureau et de matériel informatique» donnant ainsi naissance à deux nouveaux codes NAF : G «Commerce de gros d ordinateurs, d équipements informatiques périphériques et de progiciels», H «Commerce de gros d autres machines et équipements de bureau». Précision sur le champ de l étude Objet de cette étude, le code NAF 51.8G regroupe l ensemble des opérateurs spécialisés dans la vente en gros d ordinateurs, de périphériques, de logiciels et de progiciels, soit les grossistes, les importateurs et des revendeurs (par ailleurs le plus souvent clients des grossistes). Cependant, la présente étude ne traite que des grossistes en matériel informatique ainsi que de certains revendeurs à l image des «Corporate resellers» impliqués dans des activités de répartition. Par ailleurs, les filiales commerciales des constructeurs, notamment ceux pratiquant la vente directe (tels que Dell) n entrent pas dans le champ d analyse. Nomenclature d activité Code NAF / Intitulé 51.8G Commerce de gros d ordinateurs, d équipements informatiques périphériques et de progiciels Source : INSEE, NAF rév.1 CPF rév.1, Edition 2003 Code produit concerné Vente en gros d ordinateurs, de périphériques et de logiciels 10

11 1.1. Le cadre de l étude Le poids du secteur dans la filière Une activité clef Le commerce de gros d équipements industriels comprend deux grands secteurs d activités : la vente en gros d autres équipements industriels et la vente en gros de machines de bureau et de matériel informatique. Cette dernière activité a représenté 27,6% du chiffre d affaires total en 2003, et elle a regroupé près d un quart des effectifs salariés et des entreprises de la filière. Nomenclatures d Activités Françaises (NAF) Intitulé Commerce de gros d équipements industriels Codes NAF 51.8 Commerce de gros de machines-outils 51.8A Commerce de gros de machines pour l extraction, la construction et le génie civil 51.8C Commerce de gros 51.8E Commerce de gros d ordinateurs, 51.8G d équipements informatiques périphériques et de progiciels Commerce de gros d autres machines et équipements de bureau Commerce de gros de composants et d autres équipements électroniques 51.8H 51.8J Commerce de gros de matériel électrique 51.8L Commerce de gros de fournitures et équipements industriels divers Commerce de gros de fournitures et équipements divers pour le commerce et les services 51.8M 51.8N Commerce de gros de matériel agricole 51.8P Source : INSEE, NAF rév.1 CPF rév.1, Edition

12 Commerce de gros d équipements industriels (*) Commerce de gros d équipements industriels CA HT : 105,5 MdE entreprises salariés au 31/12 Taux d exportation (***) : 14,0% Commerce de gros de machines de bureau et de matériel informatique CA HT : 29,1 MdE entreprises salariés au 31/12 Taux d exportation (***) : 5,0% Commerce de gros d autres équipements industriels (**) CA HT : 76,4 MdE entreprises salariés au 31/12 Taux d exportation (***) : 17,4% Commerce de gros d équipements informatiques, d ordinateurs, de périphériques et de progiciels CA HT : 23,0 MdE entreprises salariés au 31/12 Taux d exportation (***) : 5,1% Commerce de gros d autres machines et équipements de bureau CA HT : 6,1 MdE entreprises salariés au 31/12 Taux d exportation (***) : 4,5% Source : Xerfi données primaires SESSI, dernières données disponibles 2003 (*) entreprises de 20 salariés et plus (**) ce macro-secteur regroupe 8 secteurs répertoriés sous les NAF 51.8A (Machines-outils), 51.8C (Machines pour l'extraction, la construction et le génie civil), 51.8E (Machines pour l'industrie textile et l'habillement), 51.8J (Composants et autres équipements électroniques), 51.8L (Matériel électrique), 51.8M (Fournitures et équipements industriels divers), 51.8N (Fournitures et équipements divers pour le commerce et les services), 51.8P (Matériel agricole) (***) taux d exportation : Exportations / CAHT 12

13 1.1. Le cadre de l étude Les sources statistiques Qualité du suivi statistique Le marché français de la micro-informatique est correctement suivi statistiquement par le biais d organismes officiels tels que l INSEE, la presse professionnelle (support papier ou sites Internet), les cabinets d étude et les instituts (IDC, Pierre Audoin ou Médiamétrie). Toutefois, les données spécifiques à l activité de vente en gros de matériel informatique restent rares. L INSEE La presse spécialisée Les sites spécialisés Les cabinets d étude et instituts L Unédic Xerfi L INSEE fournit des informations sur l évolution des prix du matériel informatique, ainsi que sur la consommation des ménages en matériel informatique (ordinateurs, consommables et accessoires) dans sa publication : «La consommation des ménages en 2005». Les journaux spécialisés, tels que 01 Informatique, Le Monde Informatique et Distributique, publient également des informations sur le secteur. Autres sources d information de poids, les sites Internet 01net. et LeJournalduNet qui relatent l information quotidienne du secteur et fournissent des chiffres-clés sur Internet et les nouvelles technologies en France et dans le monde. L institut GFK fournit des informations sur la croissance du marché et le taux d équipement des ménages et des professionnels. Les cabinets d études IDC et Gartner publient également des statistiques sur l évolution des ventes. Enfin, Médiamétrie publie un baromètre Multimédia qui porte notamment sur le taux d équipement multimédia des ménages français (micro-ordinateurs et accès Internet). L Unédic via UNIstatis réalise des séries statistiques sur l emploi en France par secteur. Enfin, pour compléter ces sources officielles, l Institut Xerfi a créé un indicateur de chiffre d affaires sur la base des comptes publiés d un échantillon de sociétés représentatives de la profession. Par ailleurs, des prévisions économiques et financières ont été réalisées sur l évolution à court terme des grossistes en matériel informatique (modèle Mapsis). 13

14 1.2. Les fondamentaux du secteur L offre de matériel informatique Les micro-ordinateurs Les autres produits Les principaux types d'ordinateurs sont les PC («Personnal Computer») et les Macintosh. Les critères de distinction se situent au niveau de l architecture (carte mère, microprocesseur, etc.) et du système d exploitation. Cependant, la frontière entre ces deux modèles tend à s estomper depuis le lancement des Macintosh basés sur les microprocesseurs Intel, le cœur des PC. Le marché de la micro-informatique comprend par ailleurs toute une gamme de périphériques et de consommables qui peuvent être utilisés conjointement avec les micro-ordinateurs. Les caractéristiques de la micro-informatique (*) Produits Caractéristiques Les micro-ordinateurs Leurs composants Les périphériques Les consommables (*) liste non exhaustive / Source : Xerfi PC ou MACINTOSH : la différence se situe en partie au niveau des composants. Les PC fonctionnent sous Windows et les Macintosh sous Mac OS. Desktop ou Laptop : les Desktop sont les ordinateurs de bureau avec des éléments séparés (moniteur, clavier, souris, unité centrale) alors que les Laptop sont des ordinateurs portables, pour lesquels tous les éléments sont intégrés. Processeur : il exécute les tâches lors d un échange de données (calcul, transfert, etc.) Carte mère : elle est l unité de contrôle centrale de l ordinateur où sont installés le processeur, la mémoire, etc. Mémoire : elle mémorise les données de façon temporaire pour pouvoir les traiter rapidement par le processeur. Disque dur : il mémorise les données de façon permanente. Carte vidéo : elle génère l affichage de l ordinateur. Carte audio : elle génère le son. Carte réseau : elle permet de se connecter à des réseaux locaux. Ventilateur : il évite la surchauffe de l ordinateur. Lecteur CD/DVD/Disquette : ils peuvent être internes ou externes et permettent de lire des supports CD, DVD ou des disquettes. Graveur CD/DVD : ils permettent de graver sur support CD ou DVD des données. Etc. Moniteur (ou écran) Clavier / souris Imprimantes Scanner Modem : il permet notamment de se connecter à Internet ou à un réseau à distance. Web cam : caméra miniature permettant de voir d autres utilisateurs à distance. Etc. Cartouches d encre Papier pour imprimantes Support CD/DVD/Disquettes vierges Etc. 14

15 1.2. Les fondamentaux du secteur La distribution des produits La grande distribution, un poids grandissant concurrençant les circuits professionnels La distribution a fortement évolué avec la montée en puissance des grandes surfaces et des multispécialistes depuis Ces circuits ont comme cible prioritaire le grand public mais se sont également tournés vers les professionnels pour accroître leurs périmètres d activité. Face à ce mouvement, les circuits qualifiés de professionnels comprenant les chaînistes et les VAR («Value Added Resellers», distributeurs qui achètent des produits et les améliorent pour les revendre sous leur propre marque) voient leurs parts de marché diminuer, passant de 45,0% à 36,4% entre 2002 et Cependant, ils constituent toujours le premier circuit de distribution pour ce type de produits. Evolution des circuits de distribution (*) unité : part en % en valeur par circuit de distribution 60% Chaîniste et Var Revendeurs micro Grandes surfaces Revendeurs bureautiques Multispécialistes Malgré la montée en puissance des parts des multispécialistes et de la grande distribution, les chaînistes et les VAR détenaient encore 36,4% du marché en % 20% 0% (*) inclus les ventes de PC, disques durs, onduleurs, copieurs, MFD, imprimantes, scanner, fax et cartouches d encre Source : CRN Evolution des circuits de distribution (*) unité : part en % en valeur par circuit de distribution Chaîniste et Var Revendeurs bureautiques Revendeurs micro Multi spécialistes Grandes surfaces ,0% 8,8% 16,1% 17,1% 13,0% ,6% 9,3% 15,2% 18,1% 13,8% ,8% 10,6% 15,1% 19,2% 15,3% ,4% 11,9% 13,9% 19,8% 18,0% (*) inclus les ventes de PC, disques durs, onduleurs, copieurs, MFD, imprimantes, scanner, fax et cartouches d encre Source : CRN 15

16 1.2. Les fondamentaux du secteur La vente directe et indirecte La vente directe sans intermédiaire Le circuit de distribution en vente directe sans intermédiaire se caractérise par une absence d intervenant entre le client final et le constructeur informatique. Pour diffuser leurs produits, les constructeurs doivent posséder une force commerciale importante, leurs propres boutiques ou/et un site Internet marchand. La principale cible de la vente directe est essentiellement professionnelle. Toutefois, certains groupes ont développé leurs business model sur cette forme de vente pour écouler leurs produits auprès du grand public. On peut citer l exemple du groupe texan Dell. La vente indirecte La vente indirecte suppose la présence d intermédiaires entre le constructeur et le distributeur. Ce sont en général des centrales d achats ou des grossistes qui se rémunèrent par l intermédiaire d une marge. C est le circuit le plus onéreux pour les constructeurs. En contrepartie, cette forme de distribution permet une large diffusion des produits. Répartition des investissements informatiques par circuit de distribution unité : % des ventes totales en volume en France Vente directe 51% Les investissements informatiques se répartissent à part égal entre la vente directe (51%) et la vente indirecte (49%). Vente indirecte 49% Source : IDC 2005 Données

17 1.2. Les fondamentaux du secteur Le rôle des grossistes au sein de la filière Les grossistes au cœur du modèle de distribution indirecte Constructeurs et fournisseurs (PC et serveurs, périphériques dont imprimantes et copieurs, logiciels et progiciels, produits bruns, accessoires, consommables, téléphonie, etc.) Grossistes (1) Répartition mais également intégration, assemblage, audit, activités d OEM (2), SAV, etc. Revendeurs de tous types (3) 90% des volumes de ventes des grossistes Ventes directes 10% Utilisateurs finaux Professionnels, Ménages et «SoHo» (4) (1) y compris «Corporate Resellers» ou revendeurs grands comptes ayant développé une activité de commerce de gros, (2) Original Equipment Manufacturer, (3) grandes enseignes via les centrales d achat, superstores, chaînes et boutiques, acteurs de la VPC, VARs («Value Added Resellers» ; ce sont des distributeurs qui achètent des produits et les améliorent pour les revendre sous leur propre marque) et «Corporate Resellers», SSII (Société de Services en Ingénierie Informatique), prestataires de services, mainteneurs, intégrateurs et assembleurs, e-commerce, etc. (4) «Small office Home office» ou acteurs des professions libérales évoluant au sein de TPE ou à domicile Source : Xerfi 17

18 1.3. La réglementation Composition des équipements informatiques et élimination des déchets L Europe à la source du droit L informatique et les produits électroniques sont devenus des produits courants, devenant rapidement obsolètes en raison d une évolution technologique incessante. Ces deux facteurs conjugués ont provoqué une hausse du volume des déchets et de la pollution chimique. La Commission européenne a souhaité mettre un terme à ces dérives en rédigeant deux directives : - la directive 2002/95/CE, qui définit la composition autorisée des produits électroniques ; - la directive 2002/95/CE modifiée par la directive 2003/108/CE du 8 décembre 2003, qui statue sur l élimination des déchets d équipements électriques et électroniques (DEEE). Une transposition effective Un large champ d application Ces deux directives ont été transposées dans le Droit français le 20 juillet 2005 et publiées le 13 août 2005 dans le Journal Officiel. Le décret ainsi promulgué s applique à 10 catégories d équipements : les gros appareils ménagers (produits blancs), les petits appareils ménagers, les équipements informatiques et de télécommunications (produits gris), le matériel grand public (produits bruns), le matériel d éclairage (à l exception des appareils d éclairage domestique et des ampoules à filament), les outils électriques et électroniques (à l exception des gros outils industriels fixes), les jouets, les équipements de loisirs et de sport, les dispositifs médicaux (à l exception de tous les produits implantés ou infectés), les instruments de surveillance et de contrôle et les distributeurs automatiques. 18

19 Définitions : - Selon les directives de la Commission européenne, est considérée comme producteur toute personne qui fabrique, importe ou introduit sur le marché domestique à titre professionnel des équipements électriques et électroniques (EEE), sauf si ces équipements sont vendus sous la seule marque d un revendeur. Dans ce cas, le revendeur est considéré comme un producteur. - Est considérée comme distributeur toute personne qui, quelle que soit la technique de distribution utilisée, y compris par communication à distance, fournit à titre commercial des EEE à un utilisateur. Les producteurs soumis à l obligation de recycler La réglementation concernant les distributeurs Sous peine de sanctions pénales, les producteurs d équipements électriques et électroniques se doivent de : - pourvoir ou contribuer à la collecte, à l enlèvement et au traitement des DEEE ménagers. Cette collecte pose des problèmes au niveau de l application car il n existe pas de filière spécialisée possédant les capacités de recyclage pour ce type de produits. - pourvoir ou contribuer à l enlèvement et au traitement des DEEE professionnels mis sur le marché après le 13 août mettre sur le marché des produits conformes aux nouvelles normes relatives à la composition des équipements électriques et électroniques (EEE) depuis le 1 er juillet respecter ou faire respecter les opérations de traitement sélectif (valorisation ou destruction) des composants d EEE. - fournir au consommateur les informations relatives à leur identité, la date de mise sur le marché du produit, son appartenance à la classe des EEE, et le coût unitaire correspondant à l élimination des EEE ménagers mis sur le marché avant le 13 août fournir aux exploitants d installations chargées du traitement des EEE les informations nécessaires au traitement de chaque nouvel équipement mis sur le marché après le 13 août 2005 et transmettre régulièrement à l ADEME (Agence de l environnement et de la maîtrise de l énergie) des informations concernant les quantités d EEE mises sur le marché et les modalités de traitement des DEEE ; Les distributeurs encourent également des sanctions dans le cas où ils n assureraient pas la reprise à titre gracieux des EEE usagés dans le cadre du rachat d un appareil du même type. Ils sont aussi dans l obligation d informer les acheteurs du coût correspondant à l élimination des DEEE mis sur le marché avant le 13 août Depuis le 15 novembre 2006, les distributeurs ont répercuté les frais de traitement des déchets sur le prix d'achat des nouveaux équipements. A titre d'information, ces coûts moyens sont de un euro pour une unité centrale, 30 centimes d'euros pour un ordinateur portable, 50 centimes d'euros pour une imprimante. 19

20 Les principales mesures relatives à la composition et l élimination des déchets issus des équipements électriques et électroniques (DEEE) Définitions et champ d application Les 10 catégories d équipements à destination des ménages et des professionnels sont concernées par la DEEE. Le matériel informatique rentre dans le champ d'application par cette mesure Les équipements électriques et électroniques intégrés à un autre type d équipement lui-même non répertorié ainsi que ceux liés à la protection des intérêts essentiels de sécurité de l Etat sont exclus du champ d application. La composition des EEE A l exception des dispositifs médicaux et des instruments de surveillance et de contrôle, les EEE ne devront plus contenir de plomb, de mercure, de cadmium, de chrome hexavalent, de polybromobiphényles ou de polybromodiphényléthers à compter du 1 er juillet Les EEE doivent être conçus et fabriqués de façon à faciliter leur démantèlement et leur valorisation. Un pictogramme caractéristique est apposé par les producteurs sur les EEE de même qu un marquage d identification. Les producteurs fournissent aux exploitants des installations de traitement des DEEE des informations nécessaires à ce traitement. La collecte des DEEE ménagers Lors de la vente d un EEE, le distributeur reprend gratuitement (ou fait reprendre pour son compte) les équipements usagés que lui cède le consommateur. Les producteurs pourvoient à la collecte sélective des DEEE par le biais d un système individuel adapté ou contribuent à cette collecte en versant une participation financière à un organisme coordonnateur agréé. L enlèvement et le traitement des DEEE ménagers Les producteurs sont tenus d enlever puis de traiter les DEEE collectés par le biais d un système individuel ou de s acquitter de ces obligations en adhérant à un organisme agréé. A compter de l entrée en vigueur du décret jusqu au 13 février 2011, les producteurs ou les distributeurs informent les acheteurs, par une mention particulière figurant au bas de la facture de vente, du coût correspondant à l élimination des DEEE mis sur le marché avant le 13 août Source : Xerfi L enlèvement et le traitement des DEEE professionnels Les producteurs assurent l organisation et le financement de l enlèvement et du traitement des DEEE professionnels mis sur le marché après le 13 août 2005 sauf accord avec l utilisateur. L enlèvement et le traitement des DEEE professionnels mis sur le marché avant le 13 août 2005 est à la charge des utilisateurs sauf accord avec le producteur. Autres dispositions Les modalités de traitement des DEEE (traitement sélectif, valorisation et destruction) sont fixées conjointement par les Ministres chargés de l écologie et de l industrie. Un registre national des producteurs d EEE géré par l Agence de l environnement et de la maîtrise de l énergie recueille les informations relatives aux quantités d EEE et aux modalités d élimination des déchets issus de ces équipements transmises par les producteurs. 20

21 2. Analyse & perspectives du marché 21

22 2.1. L environnement Les déterminants du chiffre d affaires Les déterminants du chiffre d affaires des grossistes et distributeurs d équipements informatiques en 2006 (les flèches et représentent la tendance d évolution de l indicateur en 2006) Ménages Entreprises (1) Consommation en équipements informatiques (vol.) Investissements informatiques (val.) Le marché Ventes des ordinateurs de bureau (vol.) Ventes des portables (vol.) Ventes d imprimantes (vol.) Ventes informatiques autres (2) (vol.) Exportations (val.) CA des grossistes & distributeurs (3) +4,4% Importations (val.) Prix à la consommation (1) grands comptes, PME/PMI, TPE et opérateurs publics divers (2) périphériques de son, claviers et souris, consommables, copieurs connectés, etc. (3) intègre également les "Corporate Ressellers" ou revendeurs grands compte ayant développé une activité de commerce de gros Source : Xerfi 22

23 2.2. La demande des ménages Consommation en équipements informatiques Une croissance à deux chiffres La croissance en volume de la consommation des ménages en ordinateurs s est maintenue à un niveau élevé en 2006 (+20%). Elle a été entraînée par l engouement croissant du grand public pour l informatique et notamment l internet. Elle a été largement supérieure aux dépenses en valeur en raison du caractère déflationniste du marché des équipements informatiques. Ce phénomène a pris de l ampleur à partir de 2001, lorsque les constructeurs ont développé une stratégie basée sur le volume pour conquérir des parts de marché. Par ailleurs, les évolutions technologiques rapides, qui réduisent la durée des cycles de vie des produits, contribuent également à une baisse régulière des prix du matériel informatique. Consommation des ménages en ordinateurs et autres équipements informatiques unité : % des variations annuelles 80% Volume Valeur Les résultats obtenus en 2006 ont été à l image des précédentes années avec une croissance en volume supérieure à 20%. De son côté, la croissance en valeur a atteint 5%. Entre 2000 et 2006, la consommation en volume a augmenté de 260%, contre 23% seulement en valeur. 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% -10% (e) (e) estimation Xerfi / Source : INSEE, «La Consommation des Ménages en 2005» Consommation des ménages en ordinateurs et autres équipements informatiques unités : indice en valeur et en volume, base 100 en 1995, % des variations annuelles Indice en volume Croiss. Indice en valeur Croiss nd 100 nd ,7 58,7% 115,5 15,5% ,2% 140,6 21,7% ,4% 134-4,7% ,5 27,6% 137,1 2,3% ,6 28,2% 144,1 5,1% ,6 30,8% 161,2 11,9% ,4 20,4% 164,7 2,2% 2006 (e) 834,5 20,0% 172,9 5,0% (e) estimation Xerfi / Source : INSEE, «La Consommation des Ménages en 2005» 23

24 2.2. La demande des ménages Taux d équipement Les Français s équipent de plus en plus Internet, une croissance exponentielle qui a dopé les ventes d ordinateurs Le taux d équipement des Français en matière d équipements électroniques a dépassé les 50% en La France rattrape progressivement son retard par rapport à l Europe du Nord (le taux d équipement du Danemark est situé au-dessus des 80% depuis 2004). Le développement de l informatique et le réseau Internet sont complémentaires. Le succès d Internet stimule notamment la vente de matériel. Ainsi, plus de la moitié des ménages possédaient un ordinateur à l issue du troisième trimestre 2006, tandis que plus de 40% ont accès au réseau Internet. Cette situation est la résultante du développement des offres de dégroupage total des opérateurs alternatifs, et d une couverture géographique grandissante. Taux d équipement des ménages français : Internet et micro-ordinateurs unité : part en % des foyers français 60% Micro-ordinateurs Accès à Internet Un peu plus de la moitié des ménages possède au moins un ordinateur dans leur foyer. 50% 40% L'accès à Internet s'est démocratisé malgré les difficultés de certaines zones à accéder au réseau très haut débit. 30% 20% T1-03 T2-03 T3-03 T4-03 T1-04 T2-04 T3-04 T4-04 T1-05 T2-05 T3-05 T4-05 T1-06 T2-06 T3-06 Source : Médiamétrie Taux d équipement des ménages français unités : part en % des foyers français, variation en points Microordinateurs Variation Accès à Internet Variation T ,3% 0,2 30,8% 0,2 T ,0% 0,7 31,7% 0,9 T ,3% 1,3 34,4% 2,7 T ,5% 1,2 35,5% 1,1 T ,1% 0,6 37,7% 1,2 T ,6% 1,5 38,8% 1,1 T ,5% 0,9 41,6% 2,8 T ,9% 1,4 42,6% 1,0 Source : Médiamétrie 24

25 2.2. La demande des ménages Prix à la consommation Méthodologie : Une baisse continue des prix Selon l INSEE, «l indice des prix à la consommation est un indicateur de l évolution des prix à structure et qualité constantes». L échantillon de biens est réactualisé tous les ans. Mais, lorsque les produits disparaissent de l offre en cours d année, et afin de maintenir un indice à qualité constante, «certains de ces remplacements nécessitent un ajustement lors du calcul de l indice, afin d éliminer l effet qualité, c est-à-dire toute évolution des prix qui serait imputable à une différence qualitative entre produit remplacé et produit remplaçant». Le marché de l informatique est caractérisé par une baisse des prix continue. Elle est la conséquence à la fois des évolutions technologiques et de la guerre des prix que mènent les constructeurs pour conquérir de nouvelles parts de marché. Cette politique tarifaire très agressive est possible grâce aux importantes économies d échelles réalisées par les constructeurs. Par ailleurs, les produits sont généralement importés en provenance des pays à faibles coûts salariaux. Prix à la consommation des matériels de traitement de l information et micro-ordinateurs unité : % des variations annuelles 0% Les évolutions technologiques ont conduit à une baisse continue des prix dans la méthodologie de l INSEE. Au cours de l année 2006, les prix à la consommation du matériel informatique ont ainsi diminué de 13,1%. -5% -10% -15% -20% -25% -30% -25,7% -14,9% -14,5% -13,1% -16,6% -18,1% -19,5% -18,7% (e) (e) estimation Xerfi / Source : INSEE Prix à la consommation des matériels de traitement de l information et micro-ordinateurs unités : indice de prix, base 100 en 1998, et % des variations annuelles Prix à la consommation Croissance ,0 nd ,9-18,1% ,9-19,5% ,6-18,7% ,6-14,9% ,0-14,5% 2006 (e) 33,9-13,1% (e) estimation Xerfi / Source : INSEE 25

26 2.3. La demande des entreprises Les dépenses informatiques Méthodologie : les dépenses informatiques des entreprises concernent les investissements réalisés dans le matériel, les logiciels, mais également les services (développement de logiciels, de site internet, location de parc informatique, etc.). La relance des investissements informatiques Les entreprises ont relancé leurs programmes d investissements dans le domaine de l informatique après plusieurs années de ralentissement budgétaires. Ces investissements sont liés au renouvellement du parc de microordinateurs, mais elles concernent également l acquisition et le développement de nombreux logiciels applicatifs (relation clients, progiciel décisionnel, applications en lien avec internet, etc.). De plus, les activités de conseil et de service redémarrent avec le développement de la location de parc informatique. Les dépenses informatiques des entreprises ont augmenté de 3,6% en 2006 pour atteindre 78,3 milliards d euros. Dépenses informatiques en matériel et services unités : % des variations annuelles (échelle de gauche), milliard d euros (échelle de droite) 10% 8% 6% Ces investissements prennent 4% plusieurs formes : acquisition de matériels, prestations de services 2% (location, développement de site Internet, développement de platesformes B to B, etc.) et achat de 0% logiciels. -2% (e) (e) estimation Pierre Audoin Consultants Source : Pierre Audoin Consultants Après une période difficile, les entreprises ont augmenté leurs investissements dans le domaine informatique de 14% entre 2004 et Dépenses informatiques unités : milliard d euros, % des variations annuelles Dépenses informatiques Croissance ,8 nd ,1 7,6% ,9 6,2% ,2 6,6% ,7 0,7% ,7-1,4% ,4 2,5% ,6 7,4% 2006 (e) 78,3 3,6% (e) estimation Pierre Audoin Consultants Source : Pierre Audoin Consultants 26

27 2.4. Le marché de la micro-informatique Ventes de micro-ordinateurs : professionnels et grand public Les professionnels, le premier débouché Le grand public, une montée en puissance Les entreprises constituent le premier marché des constructeurs informatiques. Elles ont représenté 57,4% des ventes réalisées de juin 2005 à juin Le développement des offres à prix réduits et l augmentation de l usage d Internet à titre privé ont provoqué une hausse de la consommation des ordinateurs par le grand public. Pour accroître leurs ventes, les constructeurs de microordinateurs ont cherché à mettre l accent sur le concept de la convergence numérique. L ordinateur fait désormais office de plate-forme pour les loisirs numériques (films et musiques). Cependant, sa place est remise en cause par le développement des nouvelles télévisions haute définition, qui possèdent une multitude de connectiques (port USB), des disques durs, des décodeurs TNT intégrés, etc.. Vente de micro-ordinateurs : grand public et professionnel unités : millier d unités vendues La part du grand public voit son poids augmenter sur le marché de la vente de micro-ordinateurs Grand public Professionnel juin 05 à juin 06 Source : GfK via Tableau de bord de l innovation Ministère de l Economie Vente de micro-ordinateurs au grand public et professionnel unités : millier d unités vendues, % des variations annuelles en volume, part en % des ventes totales Ensemble Grand public Professionnels Ventes Evolution Ventes Part Ventes Part nd ,0% ,0% ,1% ,9% ,1% ,1% ,3% ,7% ,2% ,3% ,7% ,3% ,8% ,2% ,9% ,8% ,2% Juin 2005 à juin ,9% ,6% ,4% Source : GfK via Tableau de bord de l innovation Ministère de l Economie 27

28 2.5. Le marché des équipements d impression Ventes d imprimantes et copieurs Stabilisation du rythme de croissance en 2006 Les ventes d imprimantes ont enregistré une croissance de 7% en Ce taux de progression équivalent à celui de 2005 s appuie notamment sur les ventes d imprimantes photos et des modèles multifonctions. Ce type de produits rencontre un succès grandissant, lié au développement du marché des appareils photos numériques et des «photophones». Ils disposent de nombreuses fonctionnalités facilitant le transfert de données, telles que les lecteurs de cartes et de nouvelles connectiques (Bluetooth). Ventes d imprimantes (*) unités : millier d unités (éch. de droite) % des variations annuelles en valeur (éch. de gauche) 40% % des variations annuelles Vente Les ventes d imprimantes ont progressé de 7% en 2006, ce qui constitue un ralentissement par rapport à 2003 et Ces années avaient notamment été marquées par l explosion des ventes des modèles «classiques». 32% 24% 16% 8% ,0% % (e) (*) y compris imprimantes multifonctions (e) estimation Xerfi Source : GfK via Distributique Ventes d imprimantes (*) unités : millier d unités vendues et % des variations annuelles en valeur Ventes Croissance nd ,1% ,8% ,1% ,7% 2006 (e) ,0% (*) y compris imprimantes multifonctions (e) estimation Xerfi Source : GfK via Distributique 28

29 2.6. L'analyse du commerce extérieur Exportations et importations Méthodologie : le taux d exportation du secteur a été calculé sur la base d un échantillon représentatif de 245 opérateurs du secteur. La méthode exclut par construction les entreprises disparues et celles récemment créées. Les résultats reflètent par conséquent les performances des sociétés pérennes sur la période Les négociants revendent 95% de leur matériel sur le marché intérieur Le taux d exportation des grossistes en matériel informatique est très faible. Seulement 4,1% de leur chiffre d affaires a été réalisé à l étranger en Les exportations d ordinateurs et de périphériques comptabilisées par les douanes ont été réalisées dans leur quasi-intégralité par les producteurs et les assembleurs. Les négociants contribuent par contre à l accroissement des importations puisque les ordinateurs et équipements informatiques qu ils revendent sont fabriqués en grande partie en Asie. Taux d exportation des négociants en matériel informatique unité : %, chiffre d affaires réalisé à l export sur chiffre d affaires total 6% Le taux d exportation des négociants en matériel informatique tend à diminuer sur la période étudiée. Il est en effet passé de 5% en 2000 à 4,1% en % 4% 3% 2% 1% 5,0% 5,1% 4,7% 4,9% 4,8% 4,3% 4,1% 0% (e) (e) estimation et source Xerfi L ensemble des échanges commerciaux d ordinateurs et de matériel de bureau unités : million d euros et croissance en % Exportations Crois. Importations Crois. Solde ,2 nd ,4 nd , ,1-8,2% ,8-0,5% , (e) 5 563,8 7,0% ,5 1,5% ,7 (e) estimation Xerfi Source : Douanes 29

30 2.7. L'activité des grossistes Chiffre d'affaires des grossistes Méthodologie : ces indicateurs de chiffre d affaires ont été réalisés sur la base d un échantillon représentatif de 245 opérateurs du secteur. La méthode les entreprises disparues et celles récemment créées. Les résultats reflètent par conséquent les performances des sociétés pérennes sur la période Une année de croissance Le chiffre d affaires des négociants de matériel informatique a affiché une hausse de 4,4% en La demande des ménages et des professionnels a permis de dynamiser de façon directe ou indirecte l activité des grossistes sur les ventes d ordinateurs (en particuliers d ordinateurs portables), d imprimantes, de périphériques ou encore de consommables. La baisse des prix a été compensée par la sortie de nouveaux produits à plus forte valeur (ordinateurs portables compacts, nouveau matériel dédié à la photo et la vidéo, etc.). Les ventes ont porté à la fois sur des nouveaux produits u matériel Chiffre d affaires des grossistes en équipement informatique unité : % des variations annuelles en valeur Le chiffre d'affaires des négociants de matériel informatique a affiché un taux de croissance de 4,4% en 2006, grâce à la demande soutenue des marchés des entreprises et de la consommation des ménages. 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% 12,3% 10,1% 7,6% 4,4% 3,5% 0,0% (e) (e) estimation et source Xerfi Chiffre d affaires des grossistes en équipement informatique unités : indice base 100 en 2000, % des variations annuelles en valeur Chiffre d'affaires Croissance ,0 nd ,3 12,3% ,8 7,6% ,8 0,0% ,0 10,1% ,7 3,5% 2006 (e) 143,7 4,4% (e) estimation et source Xerfi 30

31 2.7. L'activité des grossistes Le chiffre d affaires par type d'opérateur Le dynamisme des grosses structures Tous les opérateurs ont enregistré une augmentation de leur chiffre d'affaires en Néanmoins, les performances réalisées par les différents segments d entreprises n ont pas été égales sur la période étudiée. Les leaders et les suiveurs ont enregistré une croissance d activité supérieure à celle des PME. Catégories d'entreprises constituant l'échantillon CA 2005 (Million d euro) % du nombre d entreprises % du CA Leaders CA> 100 ME 3,3% 71,7% Suiveurs 20 ME <CA< 100 ME 11,6% 17,3% PME CA< 20 ME 85,1% 11,0% Source : Xerfi Chiffre d affaires des grossistes en équipement informatique unité : indice de chiffre d affaires base 100 en Leaders Suiveurs PME Les grossistes leaders et suiveurs ont enregistré une croissance de chiffre d affaires bien supérieure à celle des PME sur la période (e) (e) estimation et source Xerfi Chiffre d affaires des grossistes en équipement informatique unités : indice de chiffre d affaires, base 100 en 2000, % des variations annuelles en valeur Leaders Suiveurs PME CA Croissance CA Croissance CA Croissance ,0 nd 100,0 nd 100,0 nd ,4 11,4% 114,4 14,4% 114,3 14,3% ,8 10,2% 117,4 2,6% 114,0-0,3% ,7 0,7% 114,6-2,4% 112,5-1,3% ,9 9,1% 136,3 18,9% 117,4 4,4% ,1 3,9% 141,6 3,9% 118,3 0,8% 2006 (e) 146,4 4,5% 148,7 5,0% 121,3 2,5% (e) estimation et source Xerfi 31

32 2.8. Les perspectives 2007 Le scénario prévisionnel Chiffre d affaires des grossistes : nouvelle hausse en 2007 L activité des négociants de matériel informatique progressera encore en Leur chiffre d affaires augmentera de 3,5%, grâce à un accroissement de la demande en volume. Les grossistes fournissant les distributeurs à destination du grand public continueront de bénéficier de l engouement des ménages pour le matériel informatique. Le taux d équipement des particuliers poursuivra sa progression (la moitié d entre eux ne dispose pas encore d ordinateur). Les offres à prix de plus en plus réduits, et la sortie du nouveau système d exploitation de Microsoft (Windows Vista) accentueront notamment la demande, tant sur le premier achat que sur le renouvellement. Toutefois, une partie du panier moyen précédemment alloué aux achats informatiques commencera à se reporter vers de nouveaux produits technologiques, tels que les téléviseurs à haute définition, les baladeurs mp3, etc. Le marché des professionnels sera quant à lui moins dynamique qu en Les dépenses d équipement des entreprises seront freinées par le ralentissement de la croissance française. Les services publics (qui se présentaient jusqu alors comme un important client compte tenu de l importance du parc informatique à renouveler) réduiront quant à eux leurs investissements au cours de l année électorale Les grossistes chercheront par ailleurs de nouvelles sources de revenus avec le développement de services (hotlines payantes, formations, maintenance, configuration de matériel, prestations sur sites, etc.). Décroissance continue des prix Les prix du matériel informatique continueront de baisser à technologie comparable. Cette évolution affectera à la fois les ordinateurs de bureau, les portables et les périphériques. Elle sera intensifiée par les innovations technologiques (développement des processeurs à quatre cœurs, définition de plus en plus importante des écrans à cristaux liquides, etc.), et les politiques tarifaires agressives des distributeurs. La demande se partagera entre les nouveaux produits à prix élevés, et les produits marqués par une baisse tarifaire. Ainsi, malgré le caractère fortement déflationniste du marché, les distributeurs et les négociants enregistreront une croissance des ventes en volume comme en valeur. 32

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