La fonte de la banquise favorise-t elle le réchauffement de la mer et donc la fonte de la banquise?
|
|
- Aubin Lévesque
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La fonte de la banquise favorise-t elle le réchauffement de la mer et donc la fonte de la banquise? On pourrait penser en première approche que la fonte de la banquise se traduisant par un apport liquide froid est de nature à refroidir les eaux océaniques de surface. En fait, les effets observés sont contraires à cela. La fonte de la banquise favorise le réchauffement de la mer qui ensuite accélère le processus de fusion des glaces marines. L expérience proposée a pour objectif d approfondir ces aspects et notamment les interactions entre rayonnement solaire, eau et banquise, à l aide d un modèle. La banquise : La banquise est de la glace de mer. Lorsque la température de l eau de mer descend en-dessous de 2 C, des cristaux commencent à se former en surface, puis la couche de glace s épaissit jusqu à atteindre deux à trois mètres, voire plus si elle est pluri annuelle. En arctique, la banquise correspond à une immense couche de glace très étendue (plusieurs millions de km²), mais très fine vis-à-vis de la profondeur de l océan, qui est de l ordre de 3000 à 4000 m. La surface de la banquise varie considérablement au cours d une année ainsi que le montrent les deux images ci-dessous issues de mesures effectuées par des satellites. Extension comparée de la banquise arctique le 1 er juin 2007 (à gauche) et le 27 août (à droite) de la même année. Trois mois séparent ces deux dates et permettent de mesurer l importance de la régression de la glace. Selon les années, l étendue de la banquise arctique varie entre 14 ou 15 millions de km², lors de son maximum d extension, début mars, et environ 5 millions de km² lors de son minimum d extension, début septembre. Pour l année 2007, la banquise avait fortement fondu pendant l été, sa surface passant de 12 millions de km² le 1 er juin à 4, 5 millions de km² fin août et 4,3 millions de km² à son minimum, vers le 15 septembre Le disque noir correspond à l absence de données. OSI-SAF ( 1
2 Etat de surface de la banquise : L image satellitaire ci-contre acquise au nord du Spitzberg par le satellite européen Envisat montre qu elle est organisée en plaques plus ou moins étendues, isolant parfois des zones d eau libre. Cet ensemble, soumis aux mouvements de la mer et au vent est mobile, peut évoluer rapidement et se disloquer, comme on peut le voir ici à la limite des eaux libres de glaces. La surface de la banquise est loin d être rigoureusement plane. Les plaques sont séparées soit par des crêtes de compression (dont certaines peuvent atteindre une dizaine de mètres de hauteur) lui donnant un aspect chaotique, soit par des fissures ou des zones d eau libre plus ou moins étendues (on parle alors de polynies) qui varient au gré de la saison, des courants et des vents. ESA - Envisat Fissures et chenaux : Ci-contre : A gauche, une fissure dans la glace. A droite : quelques jours plus tard, la fissure s est largement ouverte et un chenal est apparu. La situation est peu prévisible et son évolution incertaine. Les deux rives du chenal peuvent se rapprocher ou s écarter en fonction des conditions de vent. Ci-contre : Large chenal ouvert dans la banquise. Les trois photos précédentes ont été prises par Jean-Louis Etienne, lors de la mission banquise (dérive arctique), en Septième Continent. 2
3 Expérience L expérience proposée vise à faire comprendre le processus de régression rapide de la banquise pendant la saison estivale, lorsqu elle est soumise au rayonnement solaire. Matériel nécessaire : - un récipient transparent, d une contenance d environ 2 L : une cuvette, si possible de forme carrée - une plaque de contrecollé de 3 ou 5 mm d épaisseur, destinée à simuler la banquise, découpée aux dimensions de la cuvette moins 5 mm sur chacun des côtés. - un thermomètre numérique à sonde extérieure (ou un thermomètre à liquide, lesté pour rester immergé) - un minuteur - une source de lumière (lampe à incandescence, de l ordre de 50 W). L idéal est de disposer d une ampoule de phare de voiture ancien modèle, alimentée en 12 V. On peut également utiliser une lampe de TP, type lampe de bureau, mais éviter si possible un dispositif alimenté en 220 V, pour des raisons de sécurité (dans ce cas, seul le professeur peut réaliser l expérience). Ne jamais manipuler le montage électrique ou l interrupeur avec les doigts mouillés ou humides. Etude qualitative ; mode opératoire : L expérience s effectue en deux phases : 1) Verser 0,5 L d eau dans la cuvette ; agiter, immerger la sonde du thermomètre et noter la température initiale de l eau. - allumer la source de lumière et déclencher le minuteur. - au bout de 15 minutes, puis de 30 minutes, noter la température de l eau. 2) réitérer la même expérience, mais en ayant pris soin de disposer la plaque de contrecollé qui flotte à la surface de l eau (renouveler l eau, pour que sa température initiale soit quasiment identique à celle de la situation précédente). En fin d expérience, on constate que l élevation de température de l eau est maximale dans le cas n 1, c'est-à-dire lorsque la surface libre de l eau est directement atteinte par le rayonnement. 3
4 Etude quantitative ; mode opératoire : Il est globalement similaire au précédent, mais le matériel mis en œuvre diffère. Ci-contre : montage Le thermomètre à affichage numérique est remplacé par un dispostif d acquisition de données qui permet de piloter la mesure de température, à des intervalles de temps réguliers et choisis par l opérateur, puis d enregistrer les données pour exploitation ultérieure à l aide d un tableur-grapheur. Le dispositif ci-contre est une interface d acquisition portable et autonome (environ 8 heures d autonomie) sur laquelle on peut connecter simultanément 4 capteurs si nécessaire. Les données peuvent être traitées et restituées diretcement sur l écran de l appareil sous forme de tableaux ou de graphes à l aide du logiciel intégré. Elles peuvent être également exportées à l aide d un câble ou d une clé USB vers un autre système de traitement. Ci-contre : Affichage simultané des courbes traduisant l évolution de la température pour les deux phases de l expérience, d une durée de 1800 s. La courbe 1 correspond à l élevation de température de l eau libre (environ 6 C en 30 min) La courbe 2 correspond à l élevation de température de l eau sous «la banquise» (environ 3,2 C en 30 min). La plaque de contrecollé empêche donc très sensiblement l absorption du rayonnement par l eau. Résultats : Du point de vue qualitatif, l expérience, quel que soit le matériel utilisé met clairement en évidence les aspects suivants : - malgré son aspect «miroir» en surface, l eau absorbe l énergie véhiculée par le rayonnement, ce qui se traduit par une élevation de température appréciable. - l interposition d un écran blanc réfléchissant le rayonnement incident limite très sensiblement ce réchauffement de l eau. 4
5 Du point de vue quantitatif : pour élever la température de 1 kg d eau de 1 C, il faut un apport énergétique de 4185 joules. Dans l expérience précédente, la quantité d eau étant égale à 0,5 L, soit 0,5 kg, une élévation de température de 6 C correspond à l absorption par l eau d une quantité d énergie égale à ,5. 6, soit joules. Cette absorption s étant effectuée en 30 minutes (ou 1800 s), La puissance moyenne absorbée est de 6,97 W, pratiquement 7 watts. Ces résultats peuvent paraître faibles, mais ils sont cohérents car la source lumineuse utilisée ici, d une puissance rayonnée de 60 W, diffuse un faisceau s étendant beaucoup plus largement que la surface d eau exposée. Cela montre bien qu il est nécessaire de disposer d une source de rayonnement suffisamment puissante pour que le phénomène puisse être clairement mis en évidence. Interprétation Dans cette expérience, ce sont les phénomènes d absorption et de réflexion du rayonnement incident qui sont en cause. L eau est un mileu très absorbant, et peu réfléchissant, alors que la plaque de contrecollé blanche est peu absorbante et bien réfléchissante.. Le schéma ci-dessus illustre la situation pour la banquise. L albédo exprime la capacité d un milieu à réfléchir le rayonnement solaire. La glace, qui est plutôt un bon réflecteur présente un albédo de l ordre de 0,7, alors que l eau, très absorbante offre un albédo de 0,05 à 0,1. Conclusion : Lorsque la banquise, soumise au rayonnement solaire, se fracture et libère des chenaux, l eau ainsi exposée au rayonnement solaire absorbe pratiquement 95 % de l énergie véhiculée par ce rayonnement. Elle s échauffe donc en surface et cette élévation de température fait fondre la glace environnante. Il en résulte que la nappe d eau libre s élargit, favorisant encore davantage l exposition de l eau au rayonnement solaire et son échauffement et ainsi de suite. Cette «boucle de rétroaction thermodynamique» est donc un facteur important dans le processus de fonte de la banquise. Celle-ci tend à s accélérer lorsque des zones d eau libre de glace apparaissent. 5
6 Ressources documentaires : Pour tout ce qui concerne la définition de la banquise, sa formation, sa structure, se reporter à l Encyclopédie polaire du site jeanlouisetienne.fr : Pour illustrer à l aide de photographies : consulter le diaporama de l Encyclopédie polaire : Pour illustrer à l aide d images satellitaires : consulter la rubrique ressources/documentation/images satellitaires du site jeanlouisetienne.fr : Pour suivre quotidiennement l évolution de la banquise arctique : - les cartes établies par l OSI-SAF (EUMETSAT, Ocean and sea Ice facilities (OSI-SAF) : - les courbes et commentaires du NSIDC (National Snow And Ice Data Center) 6
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailLa solution à vos mesures de pression
Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure
Plus en détailla comparaison des ampoules
description la comparaison des ampoules 6 e année, Sciences et technologie Source : Adapté de TDSB, Heat in the Environment Au cours de cette activité d apprentissage, les élèves exploreront leur utilisation
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailKIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE
PARALLELE ENERGIE KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE Ce kit solaire est un système solaire facile à utiliser. Il s agit d un «générateur solaire» qui convertit la lumière du soleil en électricité, et qui peut
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailCHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE
CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailFilm DATACENTER INTRODUCTION. 1 Depuis le début de l année 2009, la région de Chartres est le centre d une intense activité.
Film DATACENTER INTRODUCTION 1 Depuis le début de l année 2009, la région de Chartres est le centre d une intense activité. 2 Les lignes téléphoniques et accès ADSL ont été modernisés, les capacités électriques
Plus en détailThermomètre portable Type CTH6500
Etalonnage Thermomètre portable Type CTH6500 Fiche technique WIKA CT 55.10 Applications Etalonnage de thermomètres Mesure de température pour les besoins d'assurance qualité Mesures dans des applications
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailA- Observez la vidéo A présentant le fonctionnement de deux objets techniques que nous
Nous savons qu'un système d'alarme permet de protéger une habitation en détectant et en signalant une ouverture de porte, de fenêtre ou un mouvement dans une pièce. Mais comment détecter et existe il un
Plus en détailLampes à DEL EcoShine II Plus
Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailCH 11: PUIssance et Énergie électrique
Objectifs: CH 11: PUssance et Énergie électrique Les exercices Tests ou " Vérifie tes connaissances " de chaque chapitre sont à faire sur le cahier de brouillon pendant toute l année. Tous les schémas
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES
CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailRAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS
RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.
Plus en détailGuide d utilisation :application LIGHTIFY
Guide d utilisation :application LIGHTIFY La lumière connectée intelligente La lumière pour moi c est réinventer ma maison. Et la lumière pour vous c est.? Une nouvelle expérience de la lumière Contrôlez
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailService correctionnel du Canada Direction des services techniques Systèmes électroniques NORMES EN ÉLECTRONIQUE
Service correctionnel du Canada Systèmes électroniques SE/NE-0401 Révision 1 NORMES EN ÉLECTRONIQUE SYSTÈME DE DÉTECTION À LA CLÔTURE SYSTÈME PÉRIMÉTRIQUE DE DÉTECTION DES INTRUSIONS Préparé par : Approuvé
Plus en détailTotem Digital LED 50 pouces touten-un
Totem Digital LED 50pouces touten-un EP5012-L Le totem digital 50pouces EP5012-L est une solution tout-en-un autonome d'une conception compacte et élégante. Ce modèle affiche des annonces très attrayantes
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailSystème d automation TROVIS 6400 Régulateur compact TROVIS 6493
Système d automation TROVIS 6400 Régulateur compact TROVIS 6493 pour montage encastré (dimensions de la face avant 48 x 96 mm / 1.89 x 3.78 ) Application Régulateur compact à microprocesseur avec logiciel
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailSpécifications d'impression Jusqu'à 12 ppm
MULTIFONCTION HP COLOR LASERJET CM1312 Réf : CC430A Fonctions Multitâche Tout-enun pris en charge Vitesse noire (normale, A4) Vitesse couleur (normale, A4) Fonctions Impression, copie, scan Oui Spécifications
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailFax Server. Blue Line IP ISDN ISDN PRI
Blue Line IP PRI Blue Line Solution de télécopie complète pour l entreprise Persistance de la télécopie La télécopie conserve un rôle clé dans la communication des entreprises. Le fax présente en effet
Plus en détailAnalyse des bruits de clavier d ordinateur
Analyse des bruits de clavier d ordinateur Introduction 1 Enregistrement des bruits de clavier 2 Analyse des bruits de clavier 3 Analyse du niveau de pression acoustique vs. temps 4 Sonie vs. temps 4 Acuité
Plus en détailOptimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches
Optimisation des performances de refroidissement d un rack à l aide de panneaux-caches Par Neil Rasmussen Livre blanc n 44 Révision n 1 Résumé de l étude L espace vertical inutilisé dans les racks à cadre
Plus en détailLe satellite Gaia en mission d exploration
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)
Plus en détailC. C. F TECHNOLOGIES CATALOGUE. Nos solutions pour le contrôle de la chaîne du froid
Nos solutions pour le contrôle de la chaîne du froid CATALOGUE Présentation Les indicateurs de temps/température jetables CCF-Technologies, spécialisée dans la fabrication des indicateurs temps / température
Plus en détailcontact@station-energy.com
STATION ENERGY est un fournisseur spécialisé de solutions d électrification pour les pays africains. Nos produits innovants sont développés pour répondre aux besoins d énergie : du besoin basique de la
Plus en détailSciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE
Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant
Plus en détailDP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur
DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée
Plus en détailPoste de travail d enregistreur vidéo en réseau
Poste de travail d enregistreur vidéo en réseau Les solutions de surveillance de bout en bout d Avigilon fournissent un degré de détail d image qu aucun autre système ne peut atteindre. Le logiciel Avigilon
Plus en détailHippo : La réactivité d une tablette, la taille d un tableau blanc interactif!
Écran plat interactif Hippo : La réactivité d une tablette, la taille d un tableau blanc interactif! Hollande Hippo, c est un écran géant permettant d utiliser les capacités d un ordinateur avec la facilité
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailALIMENTATION PORTABLE 9000 AVEC DEMARRAGE DE SECOURS POUR VOITURE
ALIMENTATION PORTABLE 9000 AVEC DEMARRAGE DE SECOURS POUR VOITURE Guide d'utilisation 31889 Veuillez lire attentivement ce manuel avant l'utilisation de ce produit. Dans le cas contraire, cela pourrait
Plus en détailIII.2 SPECTROPHOTOMÈTRES
instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100
Plus en détailCOLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF»
COLLOQUE «SOLAIRE THERMIQUE et HABITAT COLLECTIF» LE MONITORING AU SERVICE DE LA MAINTENANCE Michel BOURLOUX 06/03/2013) LE MONITORING AU SERVICE DE LA MAINTENANCE Sommaire 1. Préambule 1.1 Les Besoins
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailWWW.PROSENSOR.COM NOUVEAU SITE INTERNET S O N D E À C O M P O S T
Le ministère de l écologie a par arrêté du 22 avril 2008, fixé les règles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de compostage ( NOR : DEVP0810090A). Cet arrêté stipule que la température
Plus en détailSMA Solar Technology AG Avenir Solaire pour les enfants. À la maison
À la maison Combien d énergie consommons-nous réellement à la maison? Comment la mesurer? Solarine et L Ourson Soleil vont te donner quelques astuces pour faire des économies d énergie chez toi, afi n
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailI00 Éléments d architecture
I00 I Exemples d ordinateur Pour les informaticiens, différentes machines de la vie courante sont des ordinateurs : par exemple les ordinateurs portables, les ordinateurs fixes, mais aussi les supercalculateurs,
Plus en détailEtudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté
Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique
Plus en détailGASMAN II MANUEL D UTILISATION
ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------
Plus en détailLA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES:
DOSSIER NOUGATINE LA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES: La qualité des nougatines, est variable en fonction de la quantité d'amandes par rapport aux matières édulcorantes(saccharose, glucose, fondant,
Plus en détailPES PILOT HDpro. La nouvelle référence en matière de vidéo-endoscopie
PES PILOT HDpro La nouvelle référence en matière de vidéo-endoscopie PES Pilot HDpro Dernier né de la famille PES, le système endoscopique portable Pilot fixe de nouvelles références en matière de qualité
Plus en détailMaîtrisez votre confort en toutes saisons
Maîtrisez votre confort en toutes saisons CF2 de Danfoss La régulation sans fil des planchers chauffants/rafraichissants Plus de confort et moins de consommation d énergie Une des vocations de Danfoss
Plus en détailRELEVÉ DES RÉVISIONS
RELEVÉ DES RÉVISIONS Révision Paragraphe Description 0 s.o. Version originale 1 6.4 Exigences de conception Suppression de l exigence relative à la commande locale 6.14 Exigences de conception Suppression
Plus en détailRépondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions
Répondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions extérieures. Lorsque les conditions sont rudes... Les villes,
Plus en détailCes ateliers ont pour but d initier les participants à la réalisation d images en mouvement, à la conception d une esthétique et d une mise en scène.
Ces ateliers ont pour but d initier les participants à la réalisation d images en mouvement, à la conception d une esthétique et d une mise en scène. Chaque atelier est animé par deux intervenants, un
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailNumérisation. Copieur-imprimante WorkCentre C2424
Numérisation Ce chapitre contient : «Numérisation de base», page 4-2 «Installation du pilote du scanner», page 4-4 «Réglage des options de numérisation», page 4-5 «Récupération des images», page 4-11 «Gestion
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailMode d emploi du kit de mesure
Conseil en maîtrise de l énergie et énergies renouvelables Mode d emploi du kit de mesure Présentation Dans le cadre du défi «Familles à Energie positive», ce kit est remis au capitaine de chaque équipe.
Plus en détailQuel système d équations traduit cette situation? x : la hauteur du rectangle. y : l aire du rectangle. C) y = 4x + 25.
1 La base d un rectangle dépasse sa hauteur de 4 cm. Si on ajoute 17 au périmètre de ce rectangle, on obtient un nombre égal à celui qui représente l aire de ce rectangle. Soit x : la hauteur du rectangle
Plus en détail40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.
«Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détail1AN. e n 19" FicheS Techniques. PLV - Dynamique. caractéristiques techniques. dimensions dela structure
Démarrage automatique du contenu audio et vidéo haut-parleurs integrés Totem métal pliable et transportable Ecran 19 4/3 Habillage quadri numérique sur panneaux aimantés inclus. Couleur : noir Poids :
Plus en détailLes séries. Les pictos sont répartis en plusieurs séries ayant chacune ses propriétés et ses emplois.
Les séries Les pictos sont répartis en plusieurs séries ayant chacune ses propriétés et ses emplois. 1. Les séries opaques 4 séries : Pictos opaques Ciel Pictos opaques Marine Pictos opaques Noir Pictos
Plus en détailUP 588/13 5WG1 588-2AB13
Informations Technique Description du produit et de ses fonctionnalités Dans le menu «Réglage» vous avez le choix entre 4 styles d affichage. Les accessoires suivants sont nécessaires: è è è 5WG1 588 8AB14
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailDATA CENTER. Règles d'ingénierie du Data Center DATA CENTER
Règles d'ingénierie du Data Center SOMMAIRE La problématique La climatisation Les planchers techniques L énergie L urbanisation L industrialisation Conclusion LA PROBLEMATIQUE Rappel sur les Tiers Chaque
Plus en détailProjet d auto-construction d un chauffe-eau solaire au pays des Cigales
Projet d auto-construction d un chauffe-eau solaire au pays des Cigales Par Joseph 13 Aix en Provence Bonjour et bienvenue sur mon blog. après plusieurs mois de réflexion et de recherches sur Internet
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailTraitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009
Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture
Plus en détailConfiguration de la Borne Interactive
Configuration de la Borne Interactive La configuration de la borne interactive est réalisée en plusieurs étapes suivant vos besoins et votre équipement. Les explications de configuration ci-dessous sont
Plus en détailModel: PSB100. Système de sonde pour parking en marche arrière. Guide d installation TABLE DES MATIERES
Système de sonde pour parking en marche arrière Model: PSB100 Guide d installation TABLE DES MATIERES Avertissements...2 Descriptions du produit...3 Bordereau de marchandises...3 Instructions d installation...4
Plus en détailBallon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques
ccessoires allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques Page 21 allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques allon d'eau chaude sanitaire de 3 l 155 12 9 9 8 7 555 P 3 25 215 55 5
Plus en détailTP DOMOTIQUE. 01 avril 2012. Objectifs : Etre capable : Découvrir quelques possibilités domotiques.
Objectifs : 1 Etre capable : Découvrir quelques possibilités domotiques. Appréhender les technologies utilisées dans ce domaine. Comparer ces technologies en fonction des contraintes d installation. Simuler
Plus en détailConneCtez-vous au soleil. au soleil
ConneCtez-vous au soleil ConneCtez-vous au soleil «L éclairage intérieur est un trait de caractère majeur de l ambiance d un bâtiment. Une lumière naturelle engendre une sensation de bien-être et de confort
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détail