Rapport de stage surla gestion des organismes sociaux

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rapport de stage surla gestion des organismes sociaux"

Transcription

1 REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DU TRAVAIL ET DE LA SECURITE SOCIALE 44, rue Mohamed BELOUIZDAD Alger Tél.(213) Rapport de stage surla gestion des organismes sociaux Réalisé par les stagiaires : - ABDENEBI Salem, CASNOS de Batna - ADEL Zoubida, CASNOS d'alger - AFGHOUL M.Abdellah, CNR d'ain Temouchent - BOURAOUI Yasmina, CNR de Béjaia - HAOUCHINE Mustapha, Ministère - CNAS - MAAROUF Abderrahmane, CNR d'ain Temouchent - MANSOURI Rabah, M inistère Stage effectué du 20 Novembre 2006 au 08 Décembre 2006 et organisé par : INSTITUT NATIONAL D ASSURANCE MALADIE-INVALIDITÉ COOPERATION TECHNIQUE BELGE BELGIAN TECHNICAL COOPERATION Agence de coopération au développem ent Et ab liss emen t pu b lic i nstit u é p ar l a l oi du 9 /8 / AVEN UE DE T ERVU REN BRU XE LL ES RU E H AUT E BR U XE L LE S.

2 Introduction Dans le cadre des relations bilatérales entre l'algérie et la Belgique, le programme indicatif de coopération (PIC) Algéro-Belge 2006 de la Coopération Technique Belge (CTB) et le gouvernement Algérien ont conçu un programme de stages de formation pour le renforcement des connaissances des cadres du secteur socio-économique. C'est ainsi que le stage de formation de sept cadres Algériens de la sécurité sociale a été organisé à l'institut National d'assurance Maladie Invalidité (INAMI) en Belgique, qui a pour mission entre autres, la gestion administratif et financière de l'assurance soins de santé, de l'assurance indemnités (incapacité de travail et frais funéraires) et de l'assurance maternité (voir document sur les missions de l'inami dans son site: Cette formation, qui a portée sur la gestion des organismes de sécurité sociale, a pour but de compléter leurs connaissances, qui lui permettront de découvrir un mode d organisation approprié à un système de sécurité sociale homologue, en particulier dans l'inami, l'onp et l'unms. Objectifs de la formation Le stage a comme objectif spécifique d'amener les stagiaires à acquérir des connaissances sur les nouvelles méthodes de gestion des organismes sociaux et connaître le fonctionnement du système de sécurité sociale Belge : - Structuration et compétences des différents organismes. - Interactions entre différents intervenants dans la gestion de chaque organisme. Méthodologie La méthodologie conçue pour la transmission des savoirs n'était pas adaptée au pré requit des stagiaires qui n'étaient pas complètement néophytes dans la gestion des organismes de sécurité sociale. Cette méthodologie se caractérisait par des : - Exposés magistraux des spécialistes de l'inami, l'onp et de l'unms. - Exposés avec projection des diapositives expliquées par des intervenants. - Travaux dirigés avec des séances de "questions réponses", valorisant ainsi la méthode participative de la formation et par ricochet, la méthode d'évaluation continue des connaissances des stagiaires. - Séances de travail avec des spécialistes de l'inami, selon les besoins de chaque stagiaire (l'actuaire et l'informaticien). - Travaux pratiques : participation au réunion du staff juridique de l'inami et visite des lieux de l'unms, etc. Programme de travail - Accueil et présentation générale. - Tarification et nomenclature des actes de soins. - Contentieux. Les stagiaires Algériens en Belgique, mission pour découvrir... 2

3 I. Accueil et présentation générale L'accueil de la coopération technique Belge (CTB) était très chaleureux, surtout au niveau de différents organismes tels que l'inami en premier lieu, l'onp puis UNMS. La formation a débuté le 20/11/2006 à l'inami, ou le superviseur de cette formation Mr MICHEL VIGNEUL à ouvert la séance avec la présentation des encadreurs de l'entreprise, qui ont exposé leur système générale de la sécurité sociale, dont la méthode de travail, problèmes et moyens des solutions les plus rapides et dont peu de temps, l'échange des informations"tarifs et référence", et échange d'expertise. Le système de sécurité sociale Belge à une bonne réputation par rapport à d'autres pays relevant de la communauté européenne, il est qualifié de généreux, né après le 2 eme guerre mondiale de mouvements sociaux et libéraux qui se sont développés des liens existant entre mesures et travail résultant de la relation patrons travailleurs. En parallèle des commissions d assistance publique ont commencé à exister avec une logique d accompagnement des mouvements libéraux : l intervention de l état à pris forme. Par le temps s est développé ce système d assurance (basé sur le paiement des cotisations) qui rejette la notion d assistance, pour qu une fois l assuré confronté aux difficultés de la vie, il est pris en charge par le système ; c est le principe de mutualisation des risques ou il faut disposé de cotisations pour recevoir des avantages dans un esprit de solidarité commune. Le système de sécurité sociale Belge s'est évolué par l institutionnalisation de certains organismes à caractère publique visant à répondre aux grands défis sociaux, et cette action intervient sous différentes formes ex : par le centre publique d action social qui a crée le fond de mazout en Après cette présentation, les stagiaires ont été priés d exprimer leurs attentes par rapport à la formation. Un stagiaire a fait projeter un exposé PowerPoint sur le système de sécurité sociale Algérien et les autres stagiaires ont présenté oralement le fonctionnement de leurs organismes (Ministère du travail et de la sécurité sociale, caisse des travailleurs salariés CNAS, caisse des travailleurs non salariés CASNOS et caisse de retraite CNR) avec un débat très intéressant. Le deuxième organisme qui nous a accueilli, au cours de ce stage, est l Office National des Pensions (ONP), une institution publique de sécurité sociale créé en 1987 à l'issue de la fusion de l Office National des Pensions pour travailleurs salariés et de la caisse nationale des pensions de retraite et de survie. L'office a pour missions principales l'attribution de la pension de retraite et de survie des travailleurs salariés ainsi que la garantie de revenus aux personnes âgées (GRAPA) et le paiement de ces droits aux travailleurs salariés, indépendants, GRAPA ainsi que certains allocations aux personnes âgées handicapées et autres rentes (voir document sur les missions de l'onp dans son site : Le troisième organisme programmé dans cette formation est l'union National des Mutualités Socialistes (UNMS) qui est un organisme de droit privé en terme de structure et publique dans son travail chargé de la gestion financière de l'assurance obligatoire et des éléments de l'assurance libre et complémentaire. Cette gestion implique le paiement régulier des hôpitaux, laboratoires, pharmaciens et autres prestataires (système du tiers payant, c est-à-dire là où l affilié ne doit pas avancer l argent pour se faire rembourser après) rentes (voir document sur les missions de l'unms dans son site : 3

4 II.Tarification et nomenclature des actes de soins «Le tarification d un pays traduit sa politique en matière de soins de santé». C est une étude réfléchis des dépenses de soins de santé moyennant un rapport : BUDGET DE SOINS DE SANTE et comme on nous l a assez répéter à l INAMI «un budget de soins de santé n est jamais une somme de dépenses de santé.». C est un travail qui se fait en collaboration dans des commissions ; le système de sécurité sociale Belge se glorifie de la particularité que tout se fait par consensus ; dans le but de créer une jonction entre la nomenclature des soins de remboursement et le tarifs payés par les organismes de soins de santé : Les mutualités. Une autre spécificité de ce système de santé est qu il repose à la base sur un ensemble de structure à caractère privé qui constitue l unique contacte des assurées sociaux avec le système de santé : ce sont les guichets du système. Ainsi, à la décision politique (nomenclature des soins remboursés fixée par arrêté royale) vient se joindre le résultat des différentes commissions de conventions des tarifications. Ces commissions se réunissent chaque année au niveau de l INAMI qui constitue un centre de réflexion des problèmes posés et à venir en matière de soins de santé. Ces tarifs, qui revêtent d un caractère officiel pour les prestataires de soins, les citoyens et autres, obéissent aux règles suivantes : - Publication (aspect communication). - Structuration (aspect apparence). - Adaptation (aspect dynamique). Et une fois établit, ils sont transmis au service communication pour être publié dans le site (on évite les dates, numéro et signature électronique pour se protéger), et seule la publication dans le serveur de l INAMI est signée. Dans les tarifs, chaque secteur est représenté par une lettre clé, formé de 06 chiffres après la virgule et la valeur de la lettre est un nombre décimal. A la lettre on associe une valeur cœfficient fixé par un arrêté royale de nomenclature qui est fixé par la commission de convention. Une fois que la convention est signée et présentée à l INAMI, celle-ci fixera la valeur de la lettre clé. Et si on veut revalorisé la lettre-clé ; c est-à-dire une prestation ; on change dans la commission correspondante, on signe un courriel de convention, on transmet à l actuariat de l INAMI, on change : délai un (01) mois. Le cœfficient est fixé par la commission de convention car il y a une (01) seule valeur clé par prestation ce qui constitue l avantage de souplesse. Et moyennant la clé on à les honoraires qui paie l acte à sa juste valeur : la lettre clé constitue la politique de santé. Et la différence entre les honoraires affectés aux tarifs et le remboursement INAMI constitue le ticket modérateur qui représente la contribution du patient. La lettre clé représentée en valeur par le cœfficient est l honoraire qui fixe le prix de remboursement par rapport au tarif de référence, et les tarifs fixés sur commission convenant à la réalité donne le juste prix de l acte de soins. Ainsi l INAMI apparaît comme un appareil législatif qui agit économiquement sur les consommations et non pas sur les prix par deux actions, l une par la nomenclature et l autre par le ticket modérateur. Et plus de ce rôle l INAMI est le chantier des lois, textes, mesures d application et de suivie des jurisprudences qui se fait autour du système Belge de soins de santé. Ces tarifs subissent au premier jour du premier mois de chaque année une indexation dite adaptation au coût de la vie, le taux de l indexation est fixé par un arrêté royale et à l INAMI après avoir fixé le budget on l augmente du taux d indexation et on demande le budget de l état. 4

5 Le budget étant un problème d état avec la logique maîtresse que les recettes vont couvrir les dépenses. L équation sera que le total des dépenses pour une année donnée soit égal à la somme des dépenses prestées, ce qui se traduit au niveau de l INAMI par la règle suivante : Un volume de prestations égal au volume comptable du budget. Cette maîtrise des dépenses publiques (bloqué de l argent et donc des prestations) va empêcher des dépenses d arrivée en fin d année aux comptabilités, pour qu à la fin de l exercice le total comptable soit inférieur au total du budget fixé au début d année. Le tarif et le budget qui en découle devront toujours traduirent une politique des soins de santé qui impose des économies contre l abus et la surconsommation, et si on ne peut signer une convention, on peut soit reconduire l ancienne sans l avoir indexé, soit la promulguer par un arrêté royal. Les conventions prévoient deux régimes de remboursement : - Régime préférentiel des médecins conventionné (ou il n existe pas de ticket modérateur : tout est gratuit). - Prestation non conventionnée (ou la contribution du paient s opère obligatoirement par le biais du ticket modérateur). La politique de l INAMI est de mener une politique aux prestations conventionnées ; on interdit ou on attribue. Cette politique se heurte au libre choix du prestataire garanti par la loi : on n oblige pas le patient de payer le ticket modérateur mais si on demande il ne peut refuser. A la fin, ces tarifs fixerons les salaires proprement dit des prestataires de soins (médecins, hôpitaux, etc.). Rôle des mutualités dans l application de la tarification Le système Belge, libéral de naissance donne aux gens le libre choix de sa mutualité dans une logique multi mutualités qui est à la recherche de la performance et qui existe pour défendre ses affiliés. Ces mutualités ont pour missions de payer l acte de soin et de vérifier la légalité de l incapacité de travail et avec d autre institution de l invalidité. Elles facturent l acte de santé dans ses deux volets les prestations médecin hôpital et les médicaments par le biais du tiers payant. Les mutualités se sont retrouvées, grâce à leur système de collecte d information dans une situation de banque de données médicale et sociale qui servira par la suite dans la négociation des conventions à l INAMI. III. Contentieux Concernant la partie contentieuse de L'INAMI (institut nationale d'assurance maladie indemnité), est le point le plus important de tous les autre services, parce qu'il se base sur l'évocation de quelques moyens de nature à prévenir les contestations et le déroulement d'une procédure contentieuse initiée par un assuré social contre une décision prise par un organe du service des soins de santé de l'inami. La fonction de contrôle au sein de l'inami, qui vise les dispensateurs de soins, s'exerce par le service contentieux qui est gérée par le service d'évaluation et de contrôle médicaux. L'administration du service est dirigé par un comité composé de façon paritaire et présidé par un magistrat. Sa mission est de contrôler en matière de réalité la conformité des prestations tarifées par les dispensateurs de soins et plus précisément vérifier si la nomenclature est appliquée correctement. Le déroulement du contrôle se fait sur la base de plainte ou déclaration communiqué par d'autres instances. Les procédures vont de la simple audition sans suite par un arrangement à l'établissement du procès verbale de constatation ou le comité est tenu de délibérer en séance. L'appel se fera devant la chambre de recours (1 mois) et le pourvoi de cassation devant le conseil d'état (60 jours). 5

6 Quand aux assurés sociaux, ils ont la possibilité légale d'initier une procédure contentieuse contre les décisions prise par un organisme de soins de santé de l'inami. Cette procédure se déroule devant la juridiction du travail par requêtes échangé. l'inami ne se représentant que par un avocat. La loi Belge a fixé le cadre légal de la forme et sur le contenue des actes administratifs ainsi que sur sa publicité. Ces actes doivent être clair et compréhensible respectueux des principes de publicité active à savoir : - Devoir d'information. - Obligation de conseil. Et la publicité passive qui comporte : - Droit de consultation des documents administratifs. - Droit d'explication des documents administratifs. - Droit de communication des documents administratifs. Des dispositions légales énoncées ci dessus, il à été convenue que toutes correspondance administratif doit contenir sous peine de nullité des mentions de tels que la référence du dossier, du service, le nom qualité, adresse, numéro de téléphone de la personne qui peut donner des explications, la motivation de l'acte, etc. A l'occasion de ce stage, les stagiaires ont été invités à assister à la réunion du staff du service "juridique accessibilité" qui s est tenue le 5 décembre 2006, de 10h15 à 12h au siège de l'inami. Les travaux ont débuté par la présentation des membres du service et des stagiaires, l'ordre du jour était l état de situation et d avancement des projets et les problèmes rencontré, ainsi que les nouveauté au service qui s occupe de tous les projets réglementaires et autres dans le domaine de soins de santé. L INAMI est le chantier des lois, textes, mesures d application. C est le suivie de toutes la jurisprudence qui se fait autour du système belge de soins de santé IV. Technologies de l'information et de la Communication- TIC Conscient de l'évolution fulgurante des nouvelles technologies de l information et de la communication, le gouvernement Algérien place, en effet, ces technologies au cœur de ses préoccupations de développement socio-économique durable à travers une politique hardie d'encouragement à l'intégration de leur usage dans tous les sphères de la société, notamment dans le domaine de sécurité sociale qui s ouvre de plus en plus sur l évolution et la modernisation des méthodes de gestion. C est dans ce cadre que notre tutelle a organisé avec l appui du partenaire au développement (CTB) ce stage, dans le but d'avoir une idée générale sur l'impacte des nouvelles technologies sur les méthodes de gestion des organismes sociaux. Tout au long du stage, les exposés et les séances de travail, abordant ces technologies, ont tourné autour des sujets suivants : - Missions et moyens de communication. - Systèmes d'information, études de cas suivies de mises au point pratiques. - E-gouvernement dans la sécurité sociale, présentation de la Banque Carrefour de la Sécurité Sociale (BCSS). - Be-Health, un avant-projet de portail électronique de santé sécurité sociale qui utilise les nouvelles technologies, à savoir, les serveurs Internet et Intranet, les serveurs de téléphone mobile et d'autres nouveaux médias (ex: les cartes à puce SIS) pour offrir aux citoyens des services de soins de santé de haute qualité (high quality of care). 6

7 1. Communication La cellule communication est un service de staff chargé de conseiller la direction et de soutenir les services opérationnels en matière de communication. La mission principale de cette cellule est d'identifier et de proposer des canaux de communication de qualité pour fournir une information fiable, claire et adaptée à différents groupes cibles dont l'objectif est d'aider à la réalisation du stratégie globale de l'institution. Le staff chargé de la communication externe gère le contenu des sites Internet, répond à la presse et veille à la qualité de l'information communiquée à l'extérieur (dispensateurs de soins, mutualités, assurés sociaux et pensionnés). Cette information comprend notamment les nouveautés de la nomenclature des soins de santé parues au moniteur Belge, ainsi que la politique de sécurité sociale défendue par les institutions compétentes. Parmi les moyens utilisés, nous citons ici : - Le site Internet est le canal d'information privilégié dans la communication externe. L'information y est actualisée systématiquement par les services opérationnels en collaboration avec la cellule qui assure la convivialité du site web. Le site comprend notamment les nouveautés de la nomenclature des prestations de santé, parues au Moniteur belge et plusieurs compléments d information pour les dispensateurs des soins et les assurés. - Les brochures (ex : info box jeunes médecins), les rapports annuels, les dépliants, les newsletters "Medflash", les magazines et les journaux (ex : journal Renouer de UNMS), les affiches, etc. - Centres de contact (call center) qui répondent aux questions d ordre général ou personnel concernant les prestations. - Envoi de communiqués de presse qui comprend notamment les nouvelles règles relatives à la nomenclature, le contrôle des médecins généralistes, les campagnes de feedback, etc. - Certains services organisent et participent à des événements, notamment les journées d étude et les séminaires sur l'assurance SSI et la contractualisation, les maladies chroniques, etc. La mission primordiale du staff chargé de la communication interne est le soutient, l'entretient et l'organisation des moyens de communication (intranet, newsletter, les affiches, les folders, etc.) pour aider les responsables de services et les chefs de projet dans leur rôle communicateur. La cellule est responsable aussi de la mise en ligne et d une partie du contenu lié à l Intranet. La majeure partie du contenu provient des différents services et est mise à jour par ceux-ci. Presque 95% des agents de l INAMI ont accès à l intranet qui lui donne des informations utiles, surtout sur les Ressources Humaines. L équipe de communication de l'inami coordonne et organise également les Midis de l info, séances d informations mensuelles destinées au personnel et portant sur des sujets d actualité ou d intérêt général relatifs à l assurance soins de santé et invalidité. Un projet de cette cellule a retenue notre attention est appelé THESORUS pour la gestion des connaissances. Cette application est partie d une idée simple; les méthodes évoluent en même temps que les techniques, ces derniers évoluent technologiquement mais les méthodes disparaissent avec leurs personnes et ceux qui quittent le groupe de travail on ne retient que les souvenirs. Ainsi l idée est venue de réunir les informations relatives à qui fait quoi et comment dans un système accessible à tout le monde par intranet. C est un grand moteur de recherche qui utilise des mots clé parfois multiples et qui donne accès à un bureau (PC) ou un service, où on peut consulter l expérience d une méthode de travail, le comment, ceux qui le font, le qui fait quoi, et les difficultés rencontré ainsi que les problématiques posés. Le but étant de créer un espace d échange d idées et de savoirs faire par la contribution de tous un chacun.ce programme est l un des projets d entreprise qui se base sur une idée simple au départ. 7

8 2. Systèmes d information Les services ICT (Information and Communication Technology technologies de l information et de la communication) assurent l installation et l entretien de l infrastructure ICT et développent des applications informatiques spécifiques pour la gestion interne, dont l'objectif final est de fournir, de manière efficace, des prestations de haute qualité à l attention des différents services opérationnels. Les services ICT ont également poursuivi le développement des flux de données de la Banque Carrefour de la Sécurité sociale (BCSS) sur la plateforme.net. La communication avec la BCSS se fait en ligne via l extranet (TCP/IP) et en batch (par lots) via FTP. Concentration pendant la transmission des savoirs au centre de données de l'unms. Les services ICT créeront, à cet effet, les Centres de compétences suivants soutenant ces technologies horizontales. - Les flux de travail (Workflow). - Gestion des documents numériques (ex scanning de certificat de vie de pensionnés à l ONP). - Le projet DATA WAREHOUSE qui touche à tout ce qui nécessite le traitement d énormes masses de données avec des outils d analyse numérique, data-mining, statistiques. - Gestion des connaissances (Knowledge Management). - Gestion du contenu des sites Web (Internet et intranet). Les applications informatiques qui ont fait l objet d une démonstration à l'inami sont : - Circulaires OA, une application base de données qui permet d introduire le texte des circulaires, de l approuver, de l identifier par un numéro unique et de le publier de manière centralisée plus rapide vers les Organismes Assureurs (OA). - NOMENSOFT, une application Web interactive pour consulter les tarifs, les règles d'application et les règles interprétatives des actes de la nomenclature de soins de santé. - Application chiffres de production pour le suivi des dépenses de rééducation fonctionnelle par Organisme Assureur (OA). A l ONP, une grande sérénité dans le travail y règne, au fur et à mesure de l évolution de la formation on a commencé à y percevoir le mystère : Il s agissait de l un des projets de gestion par Workflow appeler THESEOS. Une méthode de travail de différents flux englobé dans une application Intranet interactive où les taches de travail à accomplir pendant le processus sont définies dans chaque partie du programme par des privilèges pour chaque employé selon son profil et sa fonction. L employé accède à la seule partie du programme correspondante à son profil par un code et reçoit directement les taches à exécuter. Après, le responsable direct peut consulter la performance, directement de son bureau et en ligne (vitesse et qualité d exécution), de chaque opération exécutée par tous ses subordonnés. L évaluation qualitative et quantitative du travail se fait en temps réel. L employé ayant la possibilité de transférer la tache de travail jugée trop compliquée par notion correspondante à son supérieure. Dans le cadre du volet travaux pratique du stage, nous avons eu une séance de travail avec le chef de centre de données de l UNMS. Notre objectif étant de nous inspirer du model de fonctionnement de cette structure, cette étape de stage était particulièrement importante pour nous. Cette séance de travail a commencé par la présentation du schéma organisationnel de la structure informatique au sein de la Mutualité socialiste. 8

9 Ensuite, nous avons visité le centre de données qui possède un système d accès sécurisé et une infrastructure DRP (Disaster Recovery Plan), très évoluée, alimentée par un système électrique No-Break, avec un dédoublement des serveurs de données (mainframe IBM), des lignes de télécommunication (Intranet et Internet) et les fibres optiques qui véhiculent un grand nombre de transactions électroniques 24/24 et 7/7, des supports de sauvegarde de grande capacité pilotés par des serveurs d'applications Backup. Ces mesures spéciaux accroît la disponibilité générale de la structure informatique au sein de l organisation et en réduit l indisponibilité en cas d incidents majeurs (incendie, inondation, etc.) à travers une surveillance en permanence et à distance (intervention immédiate sur un coup téléphone programmé à n'import quelle moment). Pour ce qui est de la gestion du parc informatique, tous le matériel est régis par des contrat de leasing auprès de vendeurs qui assurent l entretient et le changement automatique des différentes équipements informatiques à chaque arrivée sur le marché de nouvelles gammes plus performantes. «Le prix de la performance devient moins cher à la facturation». 2. E-gouvernement dans la sécurité sociale: la Banque Carrefour La Banque Carrefour (BCSS) est un organisme publique de sécurité sociale créé en 1990 et mis en œuvre en 1991, il est considéré comme un moteur et un coordinateur de l'e-gouvernement dans le secteur social qui est souvent associé à des services électroniques offerts par les pouvoirs publics via des portails électroniques, l'internet ou d'autres nouveaux médias (le front office) pour offrir aux citoyens des services rapides, efficaces et intégrés, en fonction de leur cadre de vie, tout en garantissant le moins de formalités administratives possible. Sous la coordination de cette Banque Carrefour, 2000 institutions de sécurité sociale ont repensé et automatisé de nombreuses relations mutuelles (37 transactions opérationnelles d'application à une application et sur le portail). Les ordinateurs de ces institutions s'échangent mutuellement, à travers un réseau, des données de manière sécurisée ( messages échangés en 2005 avec un temps moyen de réponse inférieur à trois seconde). Un schéma conceptuel cohérent pour l'ensemble du secteur social a été élaboré afin de garantir que les données qui sont collectées par une institution de sécurité sociale puissent être utilisées par toutes les institutions de sécurité sociale qui en ont besoin (la déclaration multifonctionnelle). Chaque institution qui souhaite avoir accès à l'extranet peut se connecter à l'infrastructure de communication centrale, appelée aussi backbone ou colonne vertébrale, qui gère les services électroniques (messagerie électronique, annuaire électronique centralisé, accès central et sécurisé à des réseaux externes Extranet, service VPN «Virtual Private Network», serveur d'applications, etc.). La protection est assurée par des firewalls installés sur chaque connexion entrante à savoir, d'une part, entre l'institution et le backbone et, d'autre part, entre le backbone et l'internet et entre le backbone et les réseaux privés; une gestion centralisée des protections anti-virus y est également assurée (pour plus d'information, voir le site Web : Enfin, il est important de noter que l'expérience de certains pays étrangers dans l'usage des technologies de l'information et de la communication, telle qu elle a été figurée dans le système Belge, nous montre l utilité et l intérêt de préparer, tout d'abord, une plateforme adéquate en fonction du progrès technique et à travers l'élaboration des nouvelles dispositions relatives aux échanges électroniques pour protéger les données à caractère personnel. Les caisses de sécurité sociale Algériennes, qui ont engagés un vaste programme d informatisation de toutes leurs structures, doivent s adapter à cette réalité dans le but d accroître la qualité et l efficacité de leurs services. Pour cela, il devient indispensable de former des cadres de haut niveau, dans des institutions disposant d'un modèle de référence (INAMI, UNMS, ONP et BCSS), capables d appliquer ces nouvelles technologies et concevoir un système d'information innovant et cohérent. 9

10 V. Actuariat et audit interne Parmi les activités liées aux développements économiques celles relevant du secteur de la sécurité sociale, occupent une place prépondérante et stratégique. Aujourd hui et avec la nouvelle donnée économique l Algérie va faire face à de profonds changements qui disposent d un impact direct sur le système de sécurité social. Pour faire face a d éventuels aléas, engendrés par les fluctuations socio-économique. Aujourd hui l actuariat considérée comme outil indispensable pour permettre de prendre des décisions adéquates au moment opportun afin de garantir la périnité et la continuité du système de la sécurité social Algérien. La formation avait pour objectif de permettre au stagiaire actuaire d'analyser les données usuellement collectées et les techniques actuarielles utilisées pour l'évaluation des régimes de sécurité sociale en terme de soin de santé. Ainsi l'obtention et la préparation de données, séries et autres distributions statistiques nécessaires aux projections actuarielles, de comprendre et de réaliser des projections démographiques et financières. Les séances de travail ont porté sur les sujets suivants: - Gouvernance financière et gestion des risques en sécurité sociale - Extrapolation et estimation techniques méthodologie de base ; - Extrapolation et estimation techniques exemples pratiques, recalcule ; - Objectif budgétaire global et répartition ; - Financement des prestations (modélisation, analyse actuarielle) ; - Aspects actuariels de l'assurance maladie de la sécurité sociale ; - Principes directeurs de l INAMI pour les évaluations actuarielles ; - Indexation des prestations. La formation en actuariat a été encadré par une équipe d experts qui ont fait profiter les participants de leurs expériences respectives et de leurs compétences dans le domaine de l'actuariat, il s'agit de: MICHEL VIGNEUL, inspecteur en actuariat MICHEL BREDA, expert en actuariat JOHAN PEETRMANS, actuaire Les modules actuariels préconisés par l INAMI sont basés sur la méthode des projections qui ont comme point de départ l observation de la : - Population assurée (effectif); à une époque donnée (date d évaluation). Moyennant la formulation d hypothèses démographiques, on suit l évolution de cette population pendant une longue période en prévoyant en même temps son renouvellement. D autre part, à l aide d hypothèses économiques et financières et tout en tenant compte de la réglementation «mesures économique, indexation via divers indices tel que ; l indice des prix, de santé et d inflation» on parvient à la prévision des montants des assurances sociales en terme de soins de santé, via l extrapolation de deux variables : - Le coût moyen, - La consommation par un million habitant. Michel Vigneul pendant son exposé: Audit interne de l'inami. Le but de ces modules est de fournir une image numérique de l évolution probable du régime des soins de santé quant à ses aspects et à ses répercussions démographiques et financières, ainsi présenter un avis actuariel visant à déclarer si les arrangements financiers du régime dans le cadre de la législation en vigueur sont appropriés pour couvrir les futurs coûts du régime 10

11 Comme dans tout modèle de prévision, la crédibilité des résultats dépend largement des données et des hypothèses employées. A cet effet pour plus de précision en terme d extrapolation les actuaires de L INAMI effectues des corrections pour l année n+1 on se référant aux données réelles des cinq premiers mois de l année n. En se basant sur la technique de l audit actuariel les actuaires, vérifient les estimations (données extrapolées de l année (n-1)) et de l année en cour (n), en utilisant des méthodes mathématiques, statistiques, pour établir un état de rapprochement entre les estimations et données réelles pour des éventuels vérification en terme de dépassement de l enveloppe budgétaire, ainsi permettre une gouvernance financière rationnelle. Ce rapprochement entre les deux états (données extrapolées et données réelles) s effectue via l analyse des divers tendance des différentes rubriques en soins de santé ainsi constater et mieux comprendre les fluctuations antérieures, dans le but de réaliser de meilleures estimations. Les enseignements reçus dans le domaine de l'actuariat Nonobstant l'enrichissement personnel que chaque individu tire d'une pareille expérience, la formation a été enrichissante au plan de l'accumulation des connaissances dans le domaine actuariel et notamment dans l'élaboration des études actuarielles. A cet égard, l'apprentissage a porté sur les principes généraux, les méthodes d'analyse, les formules de calcul ainsi que la méthodologie de la construction des modules de projection démographique et financier. Toutefois, la maîtrise des techniques acquises nécessite un approfondissement des connaissances auprès des institutions disposant du modèle et des logiciels de référence (INAMI). 11

12 Conclusion Au terme de ce rapport de stage, nous ne pouvons nous retenir d'exprimer notre satisfaction et notre admiration pour le système de sécurité sociale Belge en générale et en particulier, le rythme de travail de l'inami qui est la cheville ouvrière de ce système. Le programme de formation était judicieusement montée pour donner la possibilité aux stagiaires, non seulement de scruter tout le système, mais aussi de s'y imprégner tout en s'abreuvant de son savoir faire. La méthodologie conçue pour la transmission des savoirs n'était pas bien dosée et adaptée au pré requit des stagiaires. De la formation théorique à la formation pratique en passant par les séances de travail avec les formateurs, une logique, semblable à un fil conducteur, nous conduisait jusqu'à la compréhension claire de ce qui se passait dans tout le système, Les relations entre encadreurs et stagiaires se sont vite transformées en relations du genres collègues de service. Ceci favorisait les échanges comme disait le Mr Vignuel :«noussommeslà pour échanger, parce que vous aussi vous avez à nous apprendre». Ainsi, l accueil au sein de l INAMI, l'onp et à l'unms, où nous passions toutes nos journées était convivial. Le seul petit désagrément de ce voyage, est l accueil à l aéroport : en effet la pratique actuelle en Belgique consiste à faxer tout simplement le contrat relatif à l'octroi d'une bourse de stage signé par la CTB, à un étranger, pour avoir la conscience tranquille d avoir bien accueilli son invité. Heureusement que l atmosphère au sein de l INAMI nous a fait vite oublier ces déboires. Perspectives Au dîner les échanges continus avec l Administrateur Général de l INAMI. L idée du programme indicatif de coopération (PIC) Algéro-Belge d organiser ce stage à l'institut National d'assurance Maladie Invalidité (INAMI) a été un choix pertinent à plus d un titre : - Sur le plan scientifique, cette institution réunie toutes les capacités techniques du moment en la matière et l expertise adéquate pour cette formation et le suivi des stagiaires. - Sur le plan politique, l INAMI est un organisme gouvernemental Belge. La Belgique se trouve liée par des accords de coopération avec l'algérie dont les initiatives communes d homologation de sécurité sociale, en l occurrence les groupes de travail sur la modernisation de ce secteur sont concernés par ce stage. Donc l exigence relative à la modernisation des méthodes de gestion est une préoccupation mutuelle. Cependant, la Belgique est très avancée dans ce domaine de par son expertise et ses structures de contrôle (audit interne, dispositifs de mise en application des tarifs, etc.). Du coté de l Algérie, malgré la prise de conscience qui commence à se faire sentir à travers la manifestation de la volonté politique du gouvernement, pour la mise en place des structures solides et harmonisées dans le secteur de la sécurité sociale, les moyens font cruellement défaut. Tous les efforts consentis, pour essayer d atteindre ce but se frottent à la carence des structures et de l expertise adéquates. Des initiatives dans le cadre des accords entre la Belgique et l'algérie, doivent être prises pour trouver des solutions à cette situation. Ce stage, organisé par la CTB, dans le cadre des minis projets signés avec le gouvernement Algérien est un bel exemple de coopération Nord Sud. 12

Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données

Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données www.coopami.org Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire PLAN de l exposé : Partie 1 : Contexte général du système de remboursement

Plus en détail

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014 L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,

Plus en détail

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 1 - La sécurité sociale en Belgique et les mutualités. Plan 1- INTRODUCTION 2- GRANDS PRINCIPES DE LA SÉCURITÉ

Plus en détail

L Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale

L Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale L Institut national d assurance maladie-invalidité Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale 6 Juillet 2015 1. INTRODUCTION Les principales caractéristiques du système de soins

Plus en détail

Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013

Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 LE SYSTEME DES SOINS DE SANTE EN BELGIQUE 1. LA PROTECTION SOCIALE BELGE 2. LE FONCTIONNEMENT QUOTIDIEN

Plus en détail

Les sept piliers de la sécurité sociale

Les sept piliers de la sécurité sociale Les sept piliers de la sécurité sociale 1) L Office National des Pensions (ONP) Très brièvement, il y a en Belgique un régime de pension légale, mais aussi des pensions complémentaires. On parle souvent

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Contrat d adaptation professionnelle INFORMATIONS A L USAGE DE L ENTREPRISE FORMATRICE ET DE SON SECRETARIAT SOCIAL

Contrat d adaptation professionnelle INFORMATIONS A L USAGE DE L ENTREPRISE FORMATRICE ET DE SON SECRETARIAT SOCIAL Contrat d adaptation professionnelle INFORMATIONS A L USAGE DE L ENTREPRISE FORMATRICE ET DE SON SECRETARIAT SOCIAL Si vous vous posez des questions en matière de PROCESSUS DE FORMATION, voyez les rubriques

Plus en détail

L'assurance maladie de la sécurité sociale

L'assurance maladie de la sécurité sociale Association internationale de la sécurité sociale Conférence régionale de l'aiss pour l'afrique Lusaka, Zambie, 9-12 août 2005 L'assurance maladie de la sécurité sociale Mise en place des régimes de soins

Plus en détail

Notre engagement de service

Notre engagement de service Heures d ouverture Lundi 8.30-12h 13-16h Mardi 8.30-12h 13-16h Mercredi 8.30-12h Jeudi 8.30-12h 13-16h Vendredi 8.30-12h Ou sur rendez-vous en dehors des heures d ouverture Notre engagement de service

Plus en détail

LA SECURITE SOCIALE EN FRANCE

LA SECURITE SOCIALE EN FRANCE LA SECURITE SOCIALE EN FRANCE La Sécurité sociale française, créée en 1945, repose sur le principe de la solidarité nationale où chacun est aidé pour faire face aux aléas de la vie. Ainsi, elle couvre

Plus en détail

AMMA vous épaule en toutes circonstances.

AMMA vous épaule en toutes circonstances. L allocation gratuite de l INAMI pour médecins, dentistes, pharmaciens et kinésithérapeutes Maladie, accident, pension, AMMA vous épaule en toutes circonstances. A L L O C A T I O N I N A M I Qu est-ce

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section «Sécurité sociale»

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section «Sécurité sociale» Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section «Sécurité sociale» CSSS/10/101 AVIS N 10/21 DU 7 SEPTEMBRE 2010 CONCERNANT LA DEMANDE DU MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES RELATIVE AU PROTOCOLE,

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

Nous pouvons faire beaucoup ensemble

Nous pouvons faire beaucoup ensemble Santé Prévoyance Protéger Prévenir Aider Soigner Solidariser Nous pouvons faire beaucoup ensemble Protéger Pour préserver ce bien inestimable qu est la santé En complément de la Sécurité sociale, la Mutuelle

Plus en détail

Le processus de concertation & de maîtrise des dépenses (estimation technique et audit financier) dans la gestion de l assurance soins de santé

Le processus de concertation & de maîtrise des dépenses (estimation technique et audit financier) dans la gestion de l assurance soins de santé République Tunisienne Royaume de Belgique Premier Ministère Le processus de concertation & de maîtrise des dépenses (estimation technique et audit financier) dans la gestion de l assurance soins de santé

Plus en détail

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/07/166 DÉLIBÉRATION N 07/062 DU 6 NOVEMBRE 2007 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL DU CADASTRE

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/14/091 DÉLIBÉRATION N 14/045 DU 3 JUIN 2014 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL CODÉES PAR

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS Avril 2010 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1.

Plus en détail

GRÈCE. Les dépenses sociales sont exprimées en millions d Euros (EUR).

GRÈCE. Les dépenses sociales sont exprimées en millions d Euros (EUR). GRÈCE Nomenclature IKA LAEK OAED OGA TEAM TEBE Organisme d assurance sociale Fonds pour l'emploi et la formation professionnelle Agence pour l emploi et la main-d œuvre Organisme d assurance de l agriculture

Plus en détail

Tableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent

Tableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent www.coopami.org Tableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire La bonne gestion financière d un système d assurance de soins de

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/12/197 DÉLIBÉRATION N 12/050 DU 3 JUILLET 2012 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL AU SERVICE

Plus en détail

PROTECTION SOCIALE EN FRANCE

PROTECTION SOCIALE EN FRANCE Qu est-ce que la protection sociale? PROTECTION SOCIALE EN FRANCE La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières

Plus en détail

EN PRATIQUE. Le médecinconseil. votre mutualité

EN PRATIQUE. Le médecinconseil. votre mutualité EN PRATIQUE Le médecinconseil de votre mutualité Une brochure des Mutualités Libres Rue Saint-Hubert, 19-1150 Bruxelles T 02 778 92 11 - F 02 778 94 04 commu@mloz.be Photos > Isopix, Reporters www.mloz.be

Plus en détail

Service d encadrement ICT. 1 Service d encadrement ICT

Service d encadrement ICT. 1 Service d encadrement ICT Service d encadrement ICT 1 Service d encadrement ICT Service d encadrement ICT 2 1 PRÉSENTATION A. Mission et objectifs Directie Generaal Le service d encadrement (SE) Technologie de l Information et

Plus en détail

I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité

I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité CIRCULAIRE AUX KINESITHERAPEUTES 2008/1 SOINS DE SANTE Correspondant : Tél. : 02/739.74.79 E-mail : kine@inami.fgov.be Website : www.inami.be

Plus en détail

TABLE DES MATIERES A. DISPOSITIONS LEGALES. 1. A.R. n 38 du 27 juillet 1967 organisant le statut social des travailleurs indépendants

TABLE DES MATIERES A. DISPOSITIONS LEGALES. 1. A.R. n 38 du 27 juillet 1967 organisant le statut social des travailleurs indépendants TABLE DES MATIERES A. DISPOSITIONS LEGALES 1. A.R. n 38 du 27 juillet 1967 organisant le statut social des travailleurs 2. Loi du 9 juin 1970 portant programmation sociale en faveur des travailleurs 3.

Plus en détail

La mise en ordre de mutuelle

La mise en ordre de mutuelle Version n : 1 Dernière actualisation : 04-07-2008 1) Mode d emploi de la fiche et abréviations utilisées 2) Mise en contexte 3) Pourquoi s affilier auprès d une mutuelle? 4) Qu est-ce qu un «organisme

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

Connaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés

Connaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés 1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé

Plus en détail

Activité des programmes de médicaments

Activité des programmes de médicaments Chapitre 4 Section 4.05 Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Activité des programmes de médicaments Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.05 du Rapport annuel

Plus en détail

SOUTIEN INFORMATIQUE DEP 5229

SOUTIEN INFORMATIQUE DEP 5229 SOUTIEN INFORMATIQUE DEP 5229 Le Diplôme d études professionnelles D.E.P. en soutien informatique a une durée totale de 1800 heures à temps plein. Le programme permet de développer les compétences nécessaires

Plus en détail

SANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX

SANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX Circulaire n 23/2012 Cl. C 451 / C 456 Colmar, le 05 juin 2012 CENTRE de GESTION du HAUT-RHIN FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 22, rue Wilson - 68027 COLMAR CEDEX 03 89 20 36 00-03 89 20 36 29 - cdg68@calixo.net

Plus en détail

DELIBERATION N 2015-35 DU 25 MARS 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DU

DELIBERATION N 2015-35 DU 25 MARS 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DU DELIBERATION N 2015-35 DU 25 MARS 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AVIS FAVORABLE A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES AYANT POUR

Plus en détail

3. Un crédit à la consommation responsable

3. Un crédit à la consommation responsable 3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme

Plus en détail

Lexique de la CIMR. Les termes les plus courants sur la retraite et leur définition

Lexique de la CIMR. Les termes les plus courants sur la retraite et leur définition Lexique de la CIMR Les termes les plus courants sur la retraite et leur définition Plus d informations sur 0522 424 888 ou sur www.cimr.ma - www.cimrpro.ma EDITO Pour vous aider à comprendre les termes

Plus en détail

La mise en ordre de mutuelle

La mise en ordre de mutuelle Version n : 1 Dernière actualisation : 14-12-2007 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu une mutuelle? 3) Qu est-ce que la mise en ordre de mutuelle? 4) Qu entend-on par «remboursement des soins de

Plus en détail

Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire.

Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire. www.inami.be www.coopami.org Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire. Nouakchott 31 janvier 2011 Michel Vigneul Cellule

Plus en détail

Numéro du rôle : 4315. Arrêt n 136/2008 du 21 octobre 2008 A R R E T

Numéro du rôle : 4315. Arrêt n 136/2008 du 21 octobre 2008 A R R E T Numéro du rôle : 4315 Arrêt n 136/2008 du 21 octobre 2008 A R R E T En cause : la question préjudicielle concernant l article 118, alinéa 2, de la loi relative à l assurance obligatoire soins de santé

Plus en détail

SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE

SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE I.- PRINCIPES FONDAMENTAUX DU SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE L assurance vieillesse n a été instituée pour l ensemble des salariés qu en 1953 ; avant cette date, quelques corporations

Plus en détail

Synthèse des questions-réponses

Synthèse des questions-réponses Synthèse des questions-réponses La feuille de soins, même non remplie par le PS (professionnel de santé) doit être jointe à la PM (prescription médicale) et aux factures. Signaler à la section, à l unité

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/14/087 DÉLIBÉRATION N 14/042 DU 3 JUIN 2014 RELATIVE À L ÉCHANGE DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL ENTRE L'OFFICE NATIONAL

Plus en détail

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ; MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE. matière d assurance maladie

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE. matière d assurance maladie REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Présentation des réformes en cours en Algérie en matière d assurance maladie 2011 1 PRESENTATION

Plus en détail

Numéro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T

Numéro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T Numéro du rôle : 3717 Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T En cause : la question préjudicielle relative aux articles 147, 148, 149 et 152 du Code des droits de succession, posée par le Tribunal

Plus en détail

La protection sociale en France

La protection sociale en France 18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir

Plus en détail

Bienvenue chez votre pharmacien

Bienvenue chez votre pharmacien Bienvenue chez votre pharmacien En première ligne Le pharmacien Prestataire de soins à part entière, le pharmacien occupe aujourd hui une place centrale au cœur de notre système de santé. Disponible sans

Plus en détail

CHAPITRE VI : MODERNISATION DE L'INFRASTRUCTURE DES SYSTEMES DE PAIEMENT

CHAPITRE VI : MODERNISATION DE L'INFRASTRUCTURE DES SYSTEMES DE PAIEMENT CHAPITRE VI : MODERNISATION DE L'INFRASTRUCTURE DES SYSTEMES DE PAIEMENT Après une phase de diagnostic et d'études, la Banque d'algérie et les banques de la place ont entrepris, à partir de 2003 et d'une

Plus en détail

Mieux comprendre la protection sociale

Mieux comprendre la protection sociale Mieux comprendre la protection sociale www.cnrs.fr Direction des ressources humaines Service du développement social Septembre 2010 1 - En préambule Premier volet : ma protection sociale en quelques lignes

Plus en détail

RÉFORMES DES STATUTS ET DU RÈGLEMENT MUTUALISTE PAR L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 OCTOBRE 2010

RÉFORMES DES STATUTS ET DU RÈGLEMENT MUTUALISTE PAR L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 OCTOBRE 2010 Siège social : 37 Quai d Orsay 75007 PARIS Relevant des Livres I et II du code de la Mutualité RÉFORMES DES STATUTS ET DU RÈGLEMENT MUTUALISTE PAR L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 OCTOBRE 2010 SERVICES ADMINISTRATIFS

Plus en détail

[LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] Abidjan, le 02 Février 2015. MUGEFCI - TOURE Laciné. MUTREPCI - SERY Jean-Pierre

[LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] Abidjan, le 02 Février 2015. MUGEFCI - TOURE Laciné. MUTREPCI - SERY Jean-Pierre Abidjan, le 02 Février 2015 MUGEFCI - TOURE Laciné MUTREPCI - SERY Jean-Pierre PASS - HUCHET Jean-Philippe [LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] 1 Des mutuelles pour participer à la réussite

Plus en détail

Gros plan sur les statuts Omnio et BIM!

Gros plan sur les statuts Omnio et BIM! EN PRATIQUE Gros plan sur les statuts Omnio et BIM! Une brochure des Mutualités Libres Rue Saint-Hubert, 19-1150 Bruxelles T 02 778 92 11 - F 02 778 94 04 commu@mloz.be Photos > Reporters www.mloz.be (

Plus en détail

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR Regio Basiliensis et ARFE COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR LES POPULATIONS, L ECONOMIE ET LES REGIONS II. Forum ARFE du 22 février 2008 en coopération avec la Regio Basiliensis

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

La Commission de la protection de la vie privée (ci-après "la Commission") ;

La Commission de la protection de la vie privée (ci-après la Commission) ; 1/13 Commission de la protection de la vie privée Délibération STAT n 18/2013 du 17 juillet 2013 Objet : demande formulée par le Département des Études de la Banque nationale de Belgique afin d'obtenir

Plus en détail

COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015

COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015 COMMENTAIRE DU FORMULAIRE DE DEMANDE 2015 Après avoir lu la circulaire, nous vous invitons à suivre le présent guide pour vous aider à remplir les différentes rubriques de votre (vos) formulaire(s) de

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE

O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE 5.1. Subventions pour la sécurité sociale Le SPF Sécurité sociale prépare les engagements et la liquidation des subventions de l État pour la sécurité sociale. Nous communiquons

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

INFORMATION SUR LES ASSURANCES

INFORMATION SUR LES ASSURANCES Delémont, le 29 octobre 2014 INFORMATION SUR LES ASSURANCES Aux employés de l'etat Récapitulatif des différentes assurances sociales Les termes utilisés dans le présent document pour désigner des personnes

Plus en détail

1. Code de la sécurité sociale

1. Code de la sécurité sociale Points-clés de la loi du 17 décembre 2010 portant réforme du système de soins de santé et modifiant : 1. le Code de la sécurité sociale ; 2. la loi modifiée du 28 août 1998 sur les établissements hospitaliers.

Plus en détail

LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES

LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : janvier 1995 Réédité

Plus en détail

FUSIONS, CESSIONS, SCISSIONS, DE PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE

FUSIONS, CESSIONS, SCISSIONS, DE PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE FUSIONS, CESSIONS, SCISSIONS, IMPACT SUR LES RÉGIMES DE PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE SOMMAIRE 1. RESTRUCTURATION D ENTREPRISE ET INCIDENCES SUR LA PROTECTION SOCIALE Principes 2. SITUATION DU RÉGIME

Plus en détail

La mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) -

La mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) - La mutualité Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 2011-1012 1/10 Table des matières SPECIFIQUES :... 3 I Introduction et historique :... 4 II Objet d une mutuelle :...4

Plus en détail

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 3 - Assurance Maladie Invalidité les indemnités. Plan A- INCAPACITÉ PRIMAIRE(1)(2) B- INVALIDITÉ (1)(2) (3)Principes

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998)

LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998) LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998) Comme indiqué plus haut, l'ordonnance de 1828 avait organisé l'administration centrale

Plus en détail

Réseau CNAS pour le. M. AKKA ABDELHAKIM Chef Département Systèmes et Réseaux Informatiques

Réseau CNAS pour le. M. AKKA ABDELHAKIM Chef Département Systèmes et Réseaux Informatiques Réseau CNAS pour le projet carte CHIFA M. AKKA ABDELHAKIM Chef Département Systèmes et Réseaux Informatiques Sommaire Projet de la carte CHIFA Description du réseau de la CNAS Services et avantages Conclusion

Plus en détail

Politique et charte de l entreprise INTRANET/EXTRANET

Politique et charte de l entreprise INTRANET/EXTRANET Politique et charte de l entreprise INTRANET/EXTRANET INTRANET/EXTRANET LES RESEAUX / 2 DEFINITION DE L INTRANET C est l internet interne à un réseau local (LAN) c'est-à-dire accessibles uniquement à partir

Plus en détail

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Le système belge et. Henri Lewalle AEIP Rome 25 03 2011

Le système belge et. Henri Lewalle AEIP Rome 25 03 2011 Le système belge et ses dernières res péripp ripéties Henri Lewalle AEIP Rome 25 03 2011 1 1830 : The Kingdom of Belgium Population: 11 millions Flanders : 6,2 millions Brussels : 1,2 millions Wallonia

Plus en détail

Direction de la sécurité sociale. Personne chargée du dossier : Huguette Hatil. La ministre des solidarités et de la cohésion sociale

Direction de la sécurité sociale. Personne chargée du dossier : Huguette Hatil. La ministre des solidarités et de la cohésion sociale MINISTERE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTE MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA REFORME DE L ETAT MINISTERE DES SOLIDARITES ET DE LA COHESION SOCIALE Direction de la sécurité sociale

Plus en détail

Vu la constitution, notamment ses articles 151, 154 et 155;

Vu la constitution, notamment ses articles 151, 154 et 155; Loi n 83-12 du 2 juillet 1983 relative à la retraite Le Président de la République, Vu la charte nationale, notamment son titre sixième V. Vu la constitution, notamment ses articles 151, 154 et 155; Vu

Plus en détail

Santé Offre collective. une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés

Santé Offre collective. une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés Santé Offre collective une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés La Mutuelle Audiens de la presse, du spectacle et de la communication Née de la fusion de la MNPLC,

Plus en détail

Sur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2);

Sur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2); Décret exécutif n 2006-223 du 25 Joumada El Oula 1427 correspondant au 21 juin 2006 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de l'organisme de prévention des risques professionnels

Plus en détail

Comment m informer au mieux?

Comment m informer au mieux? Comment m informer au mieux? Pour suivre le versement de ma pension d invalidité, j ouvre mon compte sur JE SUIS ACCOMPAGNÉ EN CAS D INVALIDITÉ L'ASSURANCE MALADIE EN LIGNE Pour en savoir plus sur l information

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

La nouvelle architecture de contrôle du secteur financier

La nouvelle architecture de contrôle du secteur financier Communication _2011_15 du 23 mars 2011 La nouvelle architecture de contrôle du secteur financier Champ d'application: Tous les établissements soumis au contrôle de la ou du CREFS. Résumé/Objectifs: La

Plus en détail

Objet : Application du dispositif d'aide à l'acquisition d'un contrat de couverture complémentaire santé.

Objet : Application du dispositif d'aide à l'acquisition d'un contrat de couverture complémentaire santé. CIRCULAIRE : 143/2002 Date : 25/10/2002 Objet : Application du dispositif d'aide à l'acquisition d'un contrat de couverture complémentaire santé. Affaire suivie par : Mme Bernadette MOREAU!01 42 79 34

Plus en détail

Prévoyance des expertsexperts-comptables

Prévoyance des expertsexperts-comptables Prévoyance des expertsexperts-comptables Faire les bons choix Objectifs de l intervention Répondre aux questions des experts-comptables relevant de la Cavec Au titre de la prévoyance, est-il préférable

Plus en détail

Salary Plan. L assurance de groupe flexible pour salariés

Salary Plan. L assurance de groupe flexible pour salariés Salary Plan L assurance de groupe flexible pour salariés Une assurance de groupe : oui ou non? La question ne se pose plus. Mais choisissez la bonne formule. La pension complémentaire : plus que jamais

Plus en détail

1. PROJETS COMMUNS POUR LA MOBILITE DES CHERCHEURS

1. PROJETS COMMUNS POUR LA MOBILITE DES CHERCHEURS AVIS D'APPEL A PROJETS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE DANS LE CADRE DU PROTOCOLE EXECUTIF DE COOPERATION SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE ENTRE L'ITALIE ET L'ALGERIE POUR LES ANNEES 2014-2016

Plus en détail

PRESENTATION DU PROJET DATAWAREHOUSE MARCHE DU TRAVAIL

PRESENTATION DU PROJET DATAWAREHOUSE MARCHE DU TRAVAIL CS/01/11 AVIS N 01/01 DU 6 FEVRIER 2001 RELATIF A LA CREATION D UNE DATA- WAREHOUSE MARCHE DU TRAVAIL EN VUE DE LA COMMUNICATION PAR LA BANQUE-CARREFOUR DE TABLES AGREGEES STANDARD A DES FINS SCIENTIFIQUES

Plus en détail

ACCORD RELATIF A L'INSTAURATION D'UN REGIME DE FRAIS MEDICAUX OBLIGATOIRE. Pour le personnel de la

ACCORD RELATIF A L'INSTAURATION D'UN REGIME DE FRAIS MEDICAUX OBLIGATOIRE. Pour le personnel de la BANQUE POPULAIRE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE ACCORD RELATIF A L'INSTAURATION D'UN REGIME DE FRAIS MEDICAUX OBLIGATOIRE Pour le personnel de la BANQUE POPULAIRE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE Entre La BANQUE POPULAIRE

Plus en détail

COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU).

COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU). www.coopami.org COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU). Abidjan 15 juillet 2014 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Mutuelle

Plus en détail

La retraite et l inaptitude au travail

La retraite et l inaptitude au travail La retraite et l inaptitude au travail 1 Le calcul de la retraite Salaire annuel moyen X Taux X Trimestres du RG Calculé sur les 25 meilleures années Varie entre 160 25% minimum et 50% maximum 2 Le taux

Plus en détail

ACCORD DU 24 MAI 2011

ACCORD DU 24 MAI 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3085 Convention collective nationale IDCC : 16. TRANSPORTS ROUTIERS ET ACTIVITÉS AUXILIAIRES DU TRANSPORT ACCORD DU 24

Plus en détail

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale

Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/12/200 DÉLIBÉRATION N 12/053 DU 3 JUILLET 2012 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL À LA DIRECTION

Plus en détail

VILLE DE SCEAUX N 12-f. Séance du 6 décembre 2012 NOTE DE PRESENTATION

VILLE DE SCEAUX N 12-f. Séance du 6 décembre 2012 NOTE DE PRESENTATION NOTE DE PRESENTATION OBJET : Participation à la protection sociale des agents municipaux Rapporteur : Philippe Laurent Suite à la loi du 2 février 2007 de modernisation de la fonction publique, le décret

Plus en détail

Définition. Caractéristiques. - Du partage des ressources : espace de stockage, imprimantes, lignes de communication.

Définition. Caractéristiques. - Du partage des ressources : espace de stockage, imprimantes, lignes de communication. CONNECTER LES SYSTEMES ENTRE EUX L informatique, au cœur des tâches courantes, a permis de nombreuses avancées technologiques. Aujourd hui, la problématique est de parvenir à connecter les systèmes d information

Plus en détail

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011 Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour

Plus en détail

La retraite IRCANTEC. A. La retraite complémentaire IRCANTEC

La retraite IRCANTEC. A. La retraite complémentaire IRCANTEC Mémento des droits des personnels des EPST Sntrs-Cgt E4 La retraite IRCANTEC A. La retraite complémentaire IRCANTEC I. Acquisition des droits II. Montant de la retraite IRCANTEC III. En cas de décès IV.

Plus en détail

PICRIS. Le progiciel des métiers de la Retraite, de la Santé, de la Prévoyance et du Social

PICRIS. Le progiciel des métiers de la Retraite, de la Santé, de la Prévoyance et du Social PICRIS Le progiciel des métiers de la Retraite, de la Santé, de la Prévoyance et du Social Comment construire un seul et même système d information pour supporter la gestion de différents produits d épargne

Plus en détail