23ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES
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- Noël Boudreau
- il y a 8 ans
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1 23ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université Paris Ouest - Mercredi 6 avril
2 La diffusion des crédits recule toujours En 2010, le taux de détention des crédits s établit à 49,5 %. Dans le contexte de la crise ouverte en 2008, le recul tient au moindre usage des crédits à la consommation (recul du multi-endettement et de la diffusion des cartes de magasin), alors que la diffusion des crédits immobiliers n enregistre qu un très léger repli : l accession à la propriété se stabilise même à haut niveau. Le rapport au crédit des ménages s est encore amélioré en 2010 : les conditions spécifiques aux crédits (taux, durée ) n ont jamais été aussi bonnes par le passé et les ménages considèrent que leur situation financière ne se dégrade plus. 2
3 1. Les tendances des crédits aux ménages 2. Les évolutions récentes 3. Des situations contrastées 4. Un large diffusion des crédits 3
4 1. LES TENDANCES DES CREDITS AUX MENAGES 4
5 Rappel : Le taux de diffusion des crédits immobiliers aux ménages s est quasiment stabilisé en 2010, en raison d une bonne tenue de l accession à la propriété. En revanche, l usage des crédits à la consommation a de nouveau reculé après deux années de crise Globalement, il s est établi à un de ses niveaux les plus bas depuis vingt ans ,8 52,9 52,6 52, ,6 50,9 50,9 50,3 50,0 49,1 49,8 50,7 50,4 50,2 51,8 51,3 49,7 50,2 50,9 52,0 50,8 49,
6 Le recul de l usage de ces crédits a notamment été porté par une baisse sensible dans l utilisation des cartes (magasin, grande surface ) : 6,8 % des ménages en détenaient en 2010 contre 9,6 % en En 2010, les crédits à la consommation servent principalement à réaliser des projets d équipement (auto, moto, équipement ménager, travaux) : ces usages n ont que modérément diminué entre 2009 et Les autres utilisations ont en revanche connu un recul rapide. Diffusion (en %) parmi les ménages avec crédits à la consommation : année 2010 Une automobile, une moto Un bien d'équipement de la maison 58,8 23,3 13,6 9,0 8,6 6,0 2,7 2,7 2,0 Des travaux d'amélioration dans le logement Les dépenses de consommation courante Une facture d'un montant exceptionnel ou imprévu Le réaménagement des crédits Les impôts Des dépenses de loisirs, des vacances Des frais de santé 6
7 Le poids des charges de remboursement : nette amélioration en 2010, après une stabilisation en ,1 % le considèrent comme supportable ou très supportable (48,8 % en 2007) 34,1 % élevé mais supportable (33,3 % en 2007) 9,3 % le considèrent trop élevé (11,7 % en 2007) 4,5 % beaucoup trop élevé (6,2 % en 2007) 100% 80% 60% 59,1 58,2 57,5 55,0 51,4 52,9 48,8 50,9 50,5 52,1 Supportable ou très supportable Elevé 40% 20% 0% 28,0 28,7 30,2 31,2 34,5 33,3 33,3 33,7 33,9 34,1 9,0 9,2 8,1 9,4 9,8 9,3 11,7 10,5 10,7 9,3 3,9 3,8 4,2 4,4 4,3 4,5 6,2 4,9 4,9 4, Trop élevé Beaucoup trop élévé 7
8 2. LES EVOLUTIONS RECENTES 8
9 Le recours au crédit chez les moins de 30 ans est en baisse sensible en 2010 Repli important des crédits à la consommation (au plus bas depuis 1989) et légère baisse voire stabilisation des crédits immobiliers (un taux d accd accédants à haut niveau : 19,7 % contre 11,4 % en 1996). Durant les années 2008 et 2009, le recours au crédit avait augmenté chez les moins de 30 ans : avec une diffusion de l accession à la propriété qui s élargissait, mais un usage des crédits à la consommation toujours en recul ,8 55,8 55, ,1 48,6 53,5 50,9 49,8 50,2 50,4 50,7 49,2 48,3 52,6 52,9 51,8 51,3 50,6 51,0 49,7 50,2 52,6 54,4 54,8 52,4 52,6 52,0 50,9 55,1 50,8 51,1 49, Jeunes ménages Ensemble des ménages 9
10 Le recours au crédit chez les 55 à 64 ans continue de progresser Les crédits à la consommation reculent et l usage des crédits immobiliers augmentent rapidement (investissement locatif et travaux). Le recours au crédit chez les 55 à 64 ans avait progressé en 2009 sous l effet de la hausse des crédits à la consommation ,1 49,8 50,2 50,7 50,4 47,9 44,2 45,1 45,5 43,7 44,2 51,8 49,2 52,9 51,3 49,7 50,2 46,5 46,2 46,6 48,0 52,6 50,9 44,9 43,7 52,0 52,6 43,9 50,8 45,8 46,2 49, à 64 ans Ensemble des ménages 10
11 Utilisation des crédits à la consommation par tranche d âge Les jeunes utilisent désormais le crédit à la consommation dans la même proportion que les autres ménages. Pour 68,8 % des jeunes, ce crédit finance l achat d une automobile ou d une moto. Pour 20,7 %, un bien d équipement de la maison ,1 33,8 34,5 36,3 31, , Tous Moins de 30 ans 30 à 44 ans 45 à 54 ans 55 à 64 ans 65 ans et plus 40 37,2 37,9 38,5 31,7 32, ,5 Rappel Tous Moins de 30 ans 30 à 44 ans 45 à 54 ans 55 à 64 ans 65 ans et plus 11
12 Recours aux crédits immobiliers par tranche d âge Un effet d âge d toujours très s marqué. Des 30 à 44 ans qui se singularisent : une plus large diffusion des crédits immobiliers en Observatoire des Crédits aux Ménages - novembre , , ,5 23,3 24, ,2 0 Tous Moins de 30 ans 30 à 44 ans 45 à 54 ans 55 à 64 ans 65 ans et plus 50 51, , ,8 24,8 23,6 8,5 Rappel Tous Moins de 30 ans 30 à 44 ans 45 à 54 ans 55 à 64 ans 65 ans et plus 12
13 Diffusion des crédits à la consommation selon les revenus L effet revenu a un impact limité sur la diffusion des crédits à la consommation. Ces crédits sont plus largement diffusés parmi les ménages à revenus moyens. Mais les ménages plus modestes disposent aussi de ces crédits, sous réserve de leur capacité à en assurer le remboursement. En 2010, recul pour tout le monde Graphique : La diffusion des crédits à la consommation selon le niveau de revenu du ménage (source : Observatoire des Crédits aux Ménages) ,0 19,8 29,3 27,5 36,8 34,4 36,0 34,8 26,8 25,8 0 Moins de 1 SMIC 1 à 2 SMIC 2 à 3 SMIC 3 à 5 SMIC 5 SMIC et plus En 2009 En
14 3. DES SITUATIONS CONTRASTEES 14
15 Nouvelle amélioration du budget des ménages avec crédit(s) : retour à la situation des années % Observatoire des Crédits aux Ménages - novembre ,8 % se considèrent à l aise (13,5 % en 2008), 38,9 % l estiment suffisant (36,5 %), 31,4 % juste suffisant (34 %), et c est difficile pour 14 % d entre eux (16 %). 80% 60% 40% 20% 0% A l'aise Suffisant Juste suffisant Difficile ou des dettes 15
16 Une proportion de ménages fragiles avec crédit(s) en recul Après une année 2007 atypique (surréaction des ménages), 2010 connaît une amélioration. 8,0 6,0 4,0 7,5 6,6 6,9 4,3 3,9 4,0 6,9 6,2 6,2 6,3 6,5 6,3 3,7 3,8 4,1 4,1 4,3 3,8 6,8 4,4 8,2 5,1 6,6 7,0 4,2 4,4 6,1 3,8 2,0 1,1 1,1 1,1 1,2 1,2 1,7 1,7 1,7 1,0 1,9 1,7 1,5 1,6 1,5 0, Proportion de ménages fragiles Proportion de ménages fragiles sans crédit Proportion de ménages fragiles avec crédit(s) 16
17 Ménages fragiles, quelques situations spécifiques : des évolutions intéressantes en ,1 % des ménages fragiles sont des jeunes ménages contre 16,6 % en 2009 (28,3 % en 1997). Les jeunes ménages représentent 21,1 % des ménages avec crédits. 16,3 % des ménages fragiles ont plus de 65 ans contre 16,4 % en 2009 (6,6 % en 1997). Les ménages de plus de 65 ans représentent 13,6 % des ménages avec crédits. Mais remontée de la part des accédants à la propriété : 21,4 % des ménages fragiles contre 19,4 % en 2009, (22,1 % en 2007 et 31,9% en 1997). Les accédants à la propriété représentent 46,9 % des ménages avec crédits. Ménages fragiles = ceux qui connaissent au moins une de ces trois situations : - ont un dossier en Commission de surendettement - estiment leurs charges beaucoup trop élevées - déclarent que les dettes sont nécessaires pour boucler les fins de mois 17
18 4. UNE LARGE DIFFUSION DES CREDITS 18
19 Plus de 13,5 millions de ménages détenaient des crédits en 2010 Crédits immobiliers 30,5 % (8,45 millions) Crédits consommation 30,1 % (8,34 millions) 19,4 % (5,38 millions) 11,1 % (3,07 millions) 19,0 % (5,27 millions) La diffusion des crédits parmi les ménages en 2010 (Source : OCM /2011/) 49,5 % de ménages avec un ou plusieurs crédits (13,72 millions de ménages) Pour la première fois depuis 1996, le nombre de ménages détenant des crédits immobiliers est supérieur à celui des ménages détenant des crédits à la consommation. 19
20 En 2010, près de 9,6 millions de crédits ont été accordés aux ménages (+ 5,4 % sur un an) Le redémarrage du marché est ainsi confirmé, après une année 2009 marquée par la dépression de la demande (- 7,8 % sur un an). Le recul de la production de crédits à la consommation avait été rapide entre 2007 et 2009 (- 10,4 % au total), alors que la demande était particulièrement déprimée. Compte tenu de la durée moyenne des crédits accordés, le taux de diffusion de ces crédits parmi les ménages n a donc commencé à reculer qu en 2009 : et le mouvement s est poursuivi en 2010, alors même que la demande et donc la production commençaient à se redresser (+ 1,8 %)! L impact du redressement de la production ne commencera donc à se faire ressentir véritablement sur le taux de diffusion de ces crédits qu en
21 Plus de 6,8 millions de ménages ont souscrit un crédit en 2010 (+ 6,2 % sur un an, après - 9,2 % en 2009) Crédits immobiliers 5,0 % (+ 18,5 % sur un an) (1,38 million) En 2010 : 6,83 millions de ménages ( 24,7 % de l ensemble des ménages) Crédits consommation 21,5 % (+ 4,5 % sur un an) (5,95 millions) 3,2 % (0,88 million) 1,8 % (0,50 million) 19,7 % (5,45 millions) Crédits immobiliers 4,2 % (- 11,5 % sur un an) (1,16 millions) En 2009 : 6,43 millions de ménages (23,4 % de l ensemble des ménages) Crédits consommation 20,7 % (- 6,4 % sur un an) (5,69 millions) 2,7 % (0,74 million) 1,5 % (0,42 million) 19,2 % (5,27 millions) Le nombre de nouveaux ménages avec un ou plusieurs crédits (Source : OCM /2011/) Le recul du nombre de ménages ayant souscrit des crédits à la consommation avait été rapide entre 2007 et 2009 (- 10,9 % au total). Compte tenu de la durée moyenne des crédits accordés, le taux de diffusion de ces crédits parmi les ménages n a donc commencé à reculer qu en 2009 : et le mouvement s est poursuivi en 2010, alors même que les ménages retrouvaient de l appétence pour ces crédits (+ 4,5 %)! L impact du redressement de la production ne commencera donc à se faire ressentir véritablement sur le taux de diffusion de ces crédits qu en
22 EN CONCLUSION En 2010, le taux de détention des crédits s est établi à un de ses plus bas niveaux, à 49,5 % du fait d un moindre recours aux crédits à la consommation. Sous l effet d une reprise sensible des flux de l accession à la propriété, la diffusion des crédits immobiliers a cependant mieux résisté. Et dans leur ensemble, les ménages avec crédits ont le sentiment que leur situation financière et budgétaire s est stabilisée. Leur sentiment sur le poids des charges de remboursement s améliore en conséquence. 22
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