Fiche thématique n 9 Les infractions au code de la consommation et au droit de la concurrence en 2012
|
|
- Sylvain Cormier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les infractions au code de la consommation et au droit de la concurrence en 2012 Principaux enseignements En 2012, les enquêteurs de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ont visité établissements différents pour lesquels ils ont réalisé contrôles soit, en moyenne, plus de 5 contrôles pour un établissement visité. En 2012, 60,2 % des contrôles ont été effectués dans le secteur de la protection économique du consommateur, 30,8 % dans le secteur de la sécurité du consommateur et 9,0 % dans le secteur de la régulation concurrentielle des marchés infractions ont été constatées par les agents de la DGCCRF en Elles font suites à 18,9 % des contrôles effectués. Entre 2011 et 2012, le nombre d infractions constatées est en baisse de 9,2 % (soit infractions). Parmi les mesures prises par les agents de la DGCCRF suite aux infractions constatées en 2012, tous secteurs confondus, on dénombre rappels à la réglementation et notifications d informations réglementaires. Par ailleurs, infractions ont été relevées par procès-verbaux et mesures de police administrative ont été ordonnées en Ces mesures qui sanctionnent des infractions majeures sont moins fréquentes que les autres types de sanctions. 2 Baisse du nombre d établissements visités et baisse de la fréquence des contrôles en 2012 Au cours d un même déplacement dans un établissement, plusieurs «actions de contrôle» peuvent être réalisées. Ces «actions de contrôle» correspondent à autant de «vérifications» ou de «points de réglementation contrôlés». En 2012, les enquêteurs de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ont contrôlé établissements différents pour lesquels ils ont réalisé contrôles, ainsi, un peu plus de cinq contrôles ont été réalisés, en moyenne, par établissement visité (tableau 1). Entre 2011 et 2012, le nombre de contrôles est en baisse de 13,3 % (en 2011, il s établissait à ) et celui du nombre d établissements contrôlés de 7,8 %. La diminution du nombre de contrôles est plus marquée que celle du nombre d établissements contrôlés et le rapport entre ces deux valeurs qui s établissait à 5,6 en 2011 est inférieur de 0,4 point en Cela signifie que, en moyenne, le nombre de contrôles par établissement visité est moindre en 2012, en comparaison à Entre 2010 et 2011, le nombre de contrôles était en baisse de 1,9 % et le nombre d établissements différents contrôlés de 4,0 %. Ainsi, entre ces deux années le nombre de points de réglementation contrôlés par établissement était en hausse (En moyenne, 5,6 contrôles pour un établissement contrôlé en 2011, 5,4 en 2010). En 2012, près de 19 % des contrôles effectués se sont soldés par le constat d une infraction En 2012, infractions ont été constatées par les agents de la DGCCRF. Elles font suite à 18,9 % des contrôles effectués (tableau 2). Entre 2011 et 2012, le nombre d infractions constatées est en baisse de 9,2 %, (soit infractions). La baisse du nombre de contrôles étant plus marquée que celle du nombre d infractions, le rapport entre le nombre d infractions constatées et le nombre de contrôles est supérieur en 2012, en comparaison à 2011 (près de 1 point supplémentaire). Cela signifie que, en moyenne, pour cent contrôles effectués, le nombre d infractions constatées est supérieur en 2012 en comparaison à Entre 2010 et 2011, le nombre de contrôles était en baisse de 1,9 % et le nombre d infractions constatées de 3,7 %. Ainsi, entre ces deux années le nombre moyen d infractions par contrôle a diminué de 0,3 point pour s établir à 18,0 % en 2011.
2 Tableau 1. Evolution du nombre d établissements contrôlés et du nombre de contrôles effectués entre 2010 et 2012 Tableau 1. évolution du nombre d établissements contrôlés et du nombre de contrôles effectués entre 2010 et Nombre % d'établissements des infractions contrôlés constatées). Ces mesures qui 160 sanctionnent 094 des 153 infractions 763 majeures sont moins fréquentes. Variations En annuelles comparaison (en volume) avec l année 2011, le nombre de rappels - à la règlementation a diminué de 7,7 % et celui des notifications est en baisse de 14,8 %. Entre 2010 et 2011, ces Variations types annuelles d infractions (en %) étaient également en baisse (respectivement - - 0,6 %- 4,0 et - 10,6 %). - 7,8 Nombre Entre de contrôles 2011 et effectués 2012, le nombre d infractions relevées 871 par 219 procès-verbaux est en baisse 740 de 471 1,3 %. Leur nombre était en hausse l année précédente (+ 4,3 % entre 2010 et 2011). Variations Le annuelles nombre (en volume) d injonctions et de mises en demeures - par la police administrative a 768 augmenté successivement de 10,2 % entre 2010 et 2011 et de 1,3 % entre 2011 et Variations annuelles (en %) - - 1,9-13,3 Fiche thématique n 9 Ratio "nombre de contrôles effectués / nombre 5,4 5,6 5,2 d'établissements contrôlés" Tableau 2. Evolution du nombre de contrôles effectués et du nombre de Source : manquements rapport d activité annuelle, constatés DGCCRF selon de l activité générale de contrôle selon le type d action entre 2010 et 2012 Tableau 2. évolution du nombre de contrôles effectués et du nombre d infractions constatés En 2012, près de 19 % des contrôles effectués se sont soldés par le constat selon l activité générale de contrôle et d une infraction le type d action entre 2010 et En 2012, infractions ont été constatées par les agents de la DGCCRF. Elles font Nombre de contrôles effectués suite à 18,9 % des contrôles effectués (Tableau 2). Entre 2011 et 2012, le nombre Variations d infractions annuelles (en constatées volume) est en baisse de 9,2 %, (soit infractions) La baisse du 768 nombre de contrôles étant plus marquée que celle du nombre d infractions, le rapport Variations annuelles (en %) - - 1,9-13,3 entre le nombre d infractions constatées et le nombre de contrôles est supérieur en 2012, en comparaison à 2011 (près de 1 point supplémentaire). Cela signifie que, en moyenne, Nombre d infractions constatées pour cent contrôles effectués, le nombre d infractions constatées est supérieur en 2012 Variations en annuelles comparaison (en volume) à Variations Entre annuelles 2010 (en et %) 2011, le nombre de contrôles était en - baisse de 1,9-3,7 % et le nombre - 9,2 Rappels d infractions à la réglementation constatées de 3,7 %. Ainsi, entre ces deux années 66 le 757 nombre moyen d infractions par contrôle a diminué de 0,3 point pour s établir à 18,0 % en Variations annuelles (en %) - -0,6-7,7 Des infractions pour la plupart mineures Infractions relevées par procès-verbaux Variations Parmi annuelles l ensemble (en %) des infractions constatées par les agents de la DGCCRF en 2012, on dénombre rappels à la réglementation 1-4,3-1,3, qui font suite à plus de 44 % des Notifications d'informations réglementaires infractions constatées, notifications d informations réglementaires (37,1 % des Variations infractions annuelles (en %) constatées) (Graphique 1). Ces dernières sont - des infractions -10,6 mineures qui, -14,8 en général, ne donnent pas lieu à sanction si l entreprise corrige le manquement Injonctions de police administrative constaté. Variations annuelles (en %) Par ailleurs, procès-verbaux 3-10,2 1,3 ont été dressés (près de 10 % des infractions Ratio "nombre d infractions constatées / nombre constatées) et mesures de police administrative 18,3 4 ont été ordonnées 18,0 en 2012 (8,8 18,9 de contrôles" (en %) Graphique 1. Répartition du nombre d infractions constatées en Graphique 1. Répartition du nombre de mesures prises par les agents de la DGCCRF suite aux infractions constatées en Avertissement adressé par l administration à une entreprise, en cas d infraction peu grave, suivi d un second contrôle. 2 Information communiquée par l administration à une entreprise sur la réglementation applicable, en cas Rappels à la réglementation d infraction mineure. 8,8 3 Transaction possible au parquet, soit une transaction financière sans suite judiciaire sur autorisation du procureur de la République. 9,9 44,1 Notifications d'informations réglementaires 4 Infractions relevées par procèsverbaux une entreprise de prendre des dispositions pour: Mesures ordonnées par l administration mettant en demeure 37,1 une mise en conformité, un retrait du marché d un produit dangereux, le rappel d un lot de produits ou une fermeture d établissement. Injonctions de police administrative
3 4 Des infractions pour la plupart mineures Parmi l ensemble des mesures prises par les agents de la DGCCRF en 2012, on dénombre rappels à la réglementation 1, qui font suite à plus de 44 % des infractions constatées, notifications d informations réglementaires 2 (37,1 % des infractions constatées) (Graphique 1). Ces dernières sont des infractions mineures qui, en général, ne donnent pas lieu à sanction si l entreprise corrige le manquement constaté. Par ailleurs, procès-verbaux 3 ont été dressés (près de 10 % des infractions constatées) et mesures de police administrative 4 ont été ordonnées en 2012 (8,8% des infractions constatées). Ces mesures qui sanctionnent des infractions majeures sont moins fréquentes. En comparaison avec l année 2011, le nombre de rappels à la réglementation a diminué de 7,7 % et celui des notifications est en baisse de 14,8 %. Entre 2010 et 2011, ces types d infractions étaient également en baisse (respectivement - 0,6 % et - 10,6 %). Entre 2011 et 2012, le nombre d infractions relevées par procès-verbaux est en baisse de 1,3 %. Leur nombre était en hausse l année précédente (+ 4,3 % entre 2010 et 2011). Le nombre d injonctions et de mises en demeures par la police administrative a augmenté successivement de 10,2 % entre 2010 et 2011 et de 1,3 % entre 2011 et Trois secteurs de compétence L activité de contrôle de la DGCCRF concerne trois principaux secteurs : la régulation concurrentielle des marchés : agir contre les pratiques faussant le jeu de la concurrence ; la protection économique du consommateur : faire respecter les règles relatives à l information des consommateurs et à la loyauté des pratiques commerciales à leur égard ; la sécurité du consommateur : garantir leur sécurité physique et leur santé. En 2012, contrôles ont été effectués dans le secteur de la protection économique du consommateur et dans le secteur de la sécurité du consommateur. Ces deux secteurs représentent respectivement 60,2 % et 30,8 % de l ensemble des contrôles effectués en 2012 (graphique 2). Le secteur de la régulation concurrentielle des marchés concentre 9,0 % de l activité de contrôle. Le nombre contrôles dans ce domaine s établit à en Tous secteurs confondus, pour contrôles réalisés en 2012, les agents de la DGCCRF ont relevé 18,7 infractions par procès-verbaux, 16,6 mesures de police administrative, 83,2 rappels à la réglementation et près de 70 notifications d information réglementaires (tableau 3). Pour 1000 contrôles réalisés dans le secteur de la régulation concurrentielle des marchés en 2012, les agents de la DGCCRF ont relevé 15,3 infractions par procès-verbaux, 1,5 mesures de police administrative, 51,6 rappels à la réglementation et 71,7 notifications d information réglementaires (tableau 3). En 2012, dans le secteur de la protection économique du consommateur, pour 1000 contrôles, on dénombre près de 90 rappels à la réglementation, 75,5 notifications, plus de 19 infractions relevées par procès-verbaux et près de 12 mesures de police administrative. Ce secteur dont le nombre de contrôles est le plus important, est aussi celui dont on dénombre la part la plus importante des intentions de suites aux contrôles. Dans la majorité des cas, ces mesures restent mineures. Dans le secteur de la sécurité du consommateur, le ratio relatif aux injonctions et mesures de police administrative, qui sanctionnent des infractions majeures, est nettement supérieur à ceux des deux autres secteurs. Pour 1000 contrôles effectués en 2012, 30,2 injonctions et mesures de police administrative ont fait suite, alors que ce ratio s établit à 12 pour 1000 dans le domaine de la protection économique du consommateur et à 1,5 pour dans le domaine de la régulation concurrentielle des marchés. (1) Avertissement adressé par l administration à une entreprise, en cas d infraction peu grave, suivi d un second contrôle. (2) Information communiquée par l administration à une entreprise sur la réglementation applicable, en cas d infraction mineure. (3) Transaction possible au parquet, soit une transaction financière sans suite judiciaire sur autorisation du procureur de la République. (4) Mesures ordonnées par l administration mettant en demeure une entreprise de prendre des dispositions pour : une mise en conformité, un retrait du marché d un produit dangereux, le rappel d un lot de produits ou une fermeture d établissement.
4 marchés. Graphique 2. Répartition des «actions de contrôle» selon le secteur de compétence en 2012 Graphique 2. Répartition des «actions de contrôle» selon le secteur de compétence en ,8 9,0 Régulation concurrentielle des marchés Protection économique du consommateur Fiche thématique n 9 60,2 Sécurité du consommateur Tableau 3. Les intentions de suites aux contrôles effectués en 2012 selon le secteur de compétence Tableau 3. Les intentions de suites aux Ratio "Nombre contrôles effectués en 2012 selon le secteur En volume d'infractions de compétence. contrôles" Nombre total de contrôles Rappels à la réglementation ,2 Infractions relevées par procès-verbaux* ,7 Notifications d'informations réglementaires ,9 Injonctions et police administrative ,6 "Régulation concurrentielle des marchés" Rappels à la réglementation ,6 Infractions relevées par procès-verbaux ,3 Notifications d'informations réglementaires ,7 Injonctions et police administrative 98 1,5 "Protection économique du consommateur" Rappels à la réglementation ,9 Infractions relevées par procès-verbaux ,2 Notifications d'informations réglementaires ,5 Injonctions et police administrative ,9 "Sécurité du consommateur" Rappels à la réglementation ,3 Infractions relevées par procès-verbaux ,4 Notifications d'informations réglementaires ,6 Injonctions et police administrative ,2 * Le total des infractions relevées par procès-verbaux (13 879) Source est différent : rapport de la d activité somme des annuelle, infractions DGCCRF relevés par procès-verbaux dans les trois secteurs de compétences de la DGCCRF (13 095) car 784 infractions, ne sont * Le total des infractions relevées par procès-verbaux (13 879) est différent de la somme des infractions pas affectables à un secteur particulier. relevés par procès-verbaux dans les trois secteurs de compétences de la DGCCRF (13 095) car 784 infractions, ne sont pas affectables à un secteur particulier.
5 Définitions et méthode de collecte Lors de la visite d un établissement, chaque intervention des enquêteurs de la DGCCRF fait l objet d un enregistrement comportant la nature des «actions de contrôle» effectuées et les suites prévues. Il arrive très souvent que plusieurs contrôles soient associés à la visite d un même établissement. Si le contrôle se solde par le constat d une infraction, un dossier contentieux est alors ouvert. Il existe deux possibilités de mesures en cas d infraction majeure : «la police administrative» et «les procès-verbaux». Toutefois, pour les manquements les moins graves, lorsqu une infraction est constatée, la DGCCRF utilise les «rappels à la réglementation» ou les «notifications d informations réglementaires» qui lui permettent de ne pas engager une procédure contentieuse si l établissement contrôlé corrige le manquement constaté. La DGCCRF n a pas un retour exhaustif des suites données par les parquets à ses procédures. à l instar des statistiques de la direction générale des impôts ou de celles de la direction générale des douanes et des droits indirects, les statistiques de la DGCCRF dépendent de l activité de ses services et des priorités fixées par les autorités ministérielles. Les infractions constatées par les agents de la DGCCRF sont essentiellement révélées par les contrôles effectués dans les entreprises Ainsi, depuis quelques années, la DGCCRF oriente ses contrôles en direction des secteurs les plus sensibles et les plus propices à la commission d une infraction relevant de son champ de compétence. Par conséquent, plus les contrôles seront ciblés vers des secteurs à risque, plus le nombre d infractions révélées pourra être important. D importantes variations saisonnières peuvent également être constatées en fonction des priorités fixées par l administration centrale. Ainsi, durant les périodes estivales, les infractions concernant la réglementation sur l hygiène dans les restaurants, sont généralement en forte hausse par rapport au reste de l année puisque, en été, une grande majorité des agents concentre ses contrôles vers les établissements susceptibles de contrevenir à cette réglementation. Il est donc très difficile d interpréter les statistiques de la DGCCRF qui ne permettent pas nécessairement d indiquer si une augmentation des procès-verbaux pour certaines infractions tient à un meilleur ciblage (donc à des contrôles plus efficaces) ou est vraiment révélatrice d une évolution de fond du phénomène. 6 * * * INHESJ/ONDRP Rapport 2013
Dossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état
Dossier de presse Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état le mercredi 11 janvier 2015 à la Clusaz Contact : Service
Plus en détailLa responsabilité pénale dans l entreprise
La responsabilité pénale dans l entreprise PLATO Le Lieu : CCI Granville. 1 Plan de l intervention Déterminer les zones de risques pénales dans l entreprise. Qui peut voir sa responsabilité pénale engagée?
Plus en détailLe secteur du dépannage à domicile : évolution comparée des plaintes de consommateurs et des prix à la consommation
N 7 Novembre 2012 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Le secteur du dépannage à domicile : évolution
Plus en détailRéguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010. Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL
Réguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010 Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL SOMMAIRE la loi n 2010-476 du 12 mai 2010 la régulation, point
Plus en détailCONTENTIEUX JUDICIAIRE DU PERMIS DE CONSTRUIRE
II. CONTENTIEUX JUDICIAIRE DU PERMIS DE CONSTRUIRE Il convient de rappeler que le permis de construire est un acte administratif individuel. Il ne peut pas être apprécié ni interprété par un Tribunal civil.
Plus en détail(BON. 1930 du 21-10-1949) (BON. 2039 du 23-11-1951) Que l on sache par les présentes puisse Dieu en élever et en fortifier la teneur!
Dahir du 5 kaada 1368 (30 août 1949) relatif à la répression des infractions à la réglementation des changes, tel qu il à été modifié et complété par le dahir du 25 moharrem 1371 (27octobre 1951). LOUANGE
Plus en détailCongo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo
Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailForum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012
Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012 Instruments juridiques de protection des infrastructures et de la vie privée des citoyens contre les cyber
Plus en détailLOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS
LOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS Article premier. - Constitue un prêt consenti à un taux d'intérêt excessif, tout prêt conventionnel consenti à un taux d'intérêt effectif
Plus en détailAcheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles
Acheter sur internet: réglementation et contrôle, pièges à éviter, conseils utiles Journée de formation Clés pour consommer intelligemment Fraud Prevention Month 14 mars 2014 PROGRAMME Réglementation et
Plus en détailVu la loi modifiée du 14 février 1955 concernant la réglementation de la circulation sur toutes les voies publiques;
Projet de règlement grand-ducal modifiant le règlement grand-ducal modifié du 26 août 1993 relatif aux avertissements taxés, aux consignations pour contrevenants non résidents ainsi qu'aux mesures d'exécution
Plus en détailRESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL
RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2002/66 NOTE COMMUNE N 44/2002
BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2002/08/35 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2002/66 NOTE COMMUNE N 44/2002 O B J E T : Commentaire des dispositions
Plus en détailCONTRAT DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DES FOURRIERES
CONTRAT DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DES FOURRIERES Entre les soussignés : - La commune de CLERMONT, Oise représentée par son Maire, Monsieur Lionel OLLIVIER, autorisé par délibération du conseil municipal
Plus en détailMINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE ET DU NUMÉRIQUE
MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE ET DU NUMÉRIQUE SECRÉTARIAT D ÉTAT AU COMMERCE, À L ARTISANAT, À LA CONSOMMATION ET À L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Résultats 2014 de la DGCCRF Direction générale
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Circulaire du 19 décembre 2014 de présentation des dispositions applicables à compter du 1 er janvier 2015 de la loi n 2014-535 du 27 mai 2014 portant transposition de la directive 2012/13/UE du Parlement
Plus en détailComité de pilotage du plan régional de lutte contre le travail illégal
Comité de pilotage du plan régional de lutte contre le travail illégal Limoges le 4 avril 2014 DIRECCTE du Limousin 2, allée saint Alexis 87000 Limoges Dossier de presse DIRECCTE du Limousin Contact presse
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l
Plus en détailEtude Fraude Sociale. Rencontres provinciales printemps 2014
Etude Fraude Sociale Rencontres provinciales printemps 2014 Contexte En 2013, la secrétaire d Etat à l intégration sociale a chargé la société de consultance PwC de réaliser une étude sur l impact de la
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détail) Découvrez les métiers de la Justice. Informez-vous sur www.justice.gouv.fr
) Découvrez les métiers de la Justice Informez-vous sur www.justice.gouv.fr PENITENTIAIRE Sommaire SOMMAIRE Magistrat............................................................. p. 4, 5 Greffier en chef......................................................
Plus en détailCONVENTION PORTANT SUR L INSTRUCTION DES AUTORISATIONS D OCCUPATION ET D UTILISATION DU SOL
COMMUNE DE... Textes législatifs CONVENTION PORTANT SUR L INSTRUCTION DES AUTORISATIONS D OCCUPATION ET D UTILISATION DU SOL Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment l article L5211-4-2
Plus en détail50 Ans. nivirec@nivi.it
50 Ans nivirec@nivi.it NIVI CREDIT offre aux Municipalités un service efficace pour la notification et le recouvrement des procès-verbaux dressés contre des citoyens résidents à l étranger et des véhicules
Plus en détailLes principales dispositions de la LOPPSI 2
Les principales dispositions de la LOPPSI 2 (Présentation rédigée à partir du projet de «loi d orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure» adopté au Sénat le 10 septembre
Plus en détailCharte du contrôle et du Contentieux change
Charte du contrôle et du Contentieux change Décembre 2012 SOMMAIRE P R E A M B U L E.....4 INTRODUCTION......5 PREMIERE PARTIE : PROCEDURE DE CONTROLE...6 SECTION I : CADRE JURIDIQUE......7 A. MISSION
Plus en détailInstitutions économiques et financières
Clara BARILARI et Marion STUCHLIK Institutions économiques et financières 350 QCM sur les instances nationales, européennes et mondiales, 2006 ISBN : 2-7081-3495-7 Sommaire Préface......................................
Plus en détailCharte d'usage et de contrôle du Label Hosted in Luxembourg
Charte d'usage et de contrôle du Label Hosted in Luxembourg La présente charte a pour objet de définir les conditions et modalités d'exploitation de la marque Hosted in Luxembourg ci-après désignée «Le
Plus en détailLES OUTILS. Connaître et appliquer la loi Informatique et Libertés
LES OUTILS Connaître et appliquer la loi Informatique et Libertés SEPTEMBRE 2011 QUE FAUT-IL DÉCLARER? Tous les fichiers informatiques contenant des données à caractère personnel sont soumis à la Loi Informatique
Plus en détailIntroduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)
Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS
Circulaire du 6 juillet 2011 relative à la présentation des dispositions de droit pénal et de procédure pénale relatives à la lutte contre la violence routière résultant de la loi n 2011-267 du 14 mars
Plus en détail----------------------------------------
REGULATION DU SECTEUR DES JEUX D ARGENT ET DE HASARD EN LIGNE COMMISSION DES SANCTIONS instituée par l article 35 de la loi n 2010-476 du 12 mai 2010 relative à l'ouverture à la concurrence et à la régulation
Plus en détailCode de l'éducation. Article L131-1 En savoir plus sur cet article...
Page 1 sur 5 Code de l'éducation Version consolidée au 31 mars 2011 Partie législative Première partie : Dispositions générales et communes Livre Ier : Principes généraux de l'éducation Titre III : L'obligation
Plus en détailMODELE D ACTE D ENGAGEMENT A ETABLIR SUR PAPIER A ENTETE DE L ENTREPRISE POUR L OPERATION
POUR GROUPEMENT D ENTREPRISE MODELE D ACTE D ENGAGEMENT A ETABLIR SUR PAPIER A ENTETE DE L ENTREPRISE POUR L OPERATION Extension et remise en conformité de la salle polyvalente de la Commune de Thézy-Glimont.
Plus en détail1. POLICE ADMINISTRATIVE (sous l angle des compétences de l agent de police administrative conformément à l article 3.5 de la LFP)
En ce qui concerne l'accès à www.poldoc.be, il est utile de consulter l'infonouvelles n 1719 du 19 octobre 2006 avec comme titre: " PolDoc, le site documentaire de la police, accessible à tous sur l'internet!
Plus en détailLe Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :
Le Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : CHAPITRE I er. Dispositions générales et définitions Article premier Le présent décret règle, en application de l article
Plus en détailLOI CONSOMMATION. Suppression des frais de restitution de dossier en cas de changement d autoécole
LOI CONSOMMATION La loi consommation du 17 mars 2014 redonne du pouvoir au consommateur. Nous vous proposons de découvrir cette série de mesures en faveur des français selon différentes thématiques : VOITURE
Plus en détailMajeurs et mineurs mis en cause par les services de Police en 2013
La criminalité en France Rapport annuel 2014 de l ONDRP Premier ministre Majeurs et mineurs par les services de Police en 2013 Antoine le graët, Chargé d études statistiques à l ONDRP 2 Principaux enseignements
Plus en détailHabitat indigne Habitat dangereux Habitat insalubre Immeuble menaçant ruine
Habitat indigne Habitat dangereux Habitat insalubre Immeuble menaçant ruine Circulaire de la DACG n CRIM07 14/G4 du 4 octobre 2007 relative à la présentation des dispositions de la loi du 13 juillet 2006
Plus en détailCoordonné par Jean-Michel GUÉRIN, avec la collaboration de Marthe GALLOIS. Quatrième édition
Coordonné par Jean-Michel GUÉRIN, avec la collaboration de Marthe GALLOIS LA COPROPRIÉTÉ Quatrième édition Groupe Eyrolles, 1998, 2000, 2002, 2006 De Particulier à Particulier, 1998, 2000, 2002, 2006 ISBN
Plus en détailLutte contre la fraude
Lutte contre la fraude Agence pour la Lutte contre la fraude à l assurance 1 Sommaire I. Présentation d ALFAd II. Lutte contre la fraude et expertise III. Le blanchiment de capitaux en IARD 2 L Agence
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Plan de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée
DOSSIER DE PRESSE Plan de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée lundi 18 novembre à 11h30 La lutte contre les cambriolages est une priorité du Ministre de l intérieur, affirmée par le
Plus en détailLes 12 points pour protéger son permis de conduire en 2012
Les 12 points pour protéger son permis de conduire en 2012 Si en 2012 la législation se durcit en matière de répression des infractions au code de la route, le cap pour tous les automobilistes reste le
Plus en détailLOI N 013-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT AU BURKINA FASO
BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 013-2013/AN PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT
Plus en détailLoi modifiant la Loi sur l assurance automobile
DEUXIÈME SESSION TRENTE-SIXIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 37 Loi modifiant la Loi sur l assurance automobile Présentation Présenté par Madame Pauline Marois Ministre des Finances Éditeur officiel du
Plus en détail10 - SUITES ADMINISTRATIVES ET JUDICIAIRES
10 - SUITES ADMINISTRATIVES ET JUDICIAIRES Les contrôles doivent toujours avoir des suites, soit pour indiquer au pétitionnaire que son IOTA est en règle, soit pour mettre en oeuvre des suites administratives
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailLe stationnement irrégulier de véhicules appartenant à la communauté des gens du voyage.
Le stationnement irrégulier de véhicules appartenant à la communauté des gens du voyage. Une des problématiques récurrente pour les collectivités en matière d occupation illégale de son territoire tient
Plus en détail(Ordonnance n 109/08) Efficace le 1 septembre, 2008 CODE DE DÉONTOLOGIE VISANT LES TRANSACTIONS D ACHAT DIRECT
OBJECTIF CODE DE DÉONTOLOGIE VISANT LES TRANSACTIONS D ACHAT DIRECT Le Code de déontologie («Code») établit les normes minimales que les intermédiaires en gaz naturel doivent respecter lorsqu ils achètent,
Plus en détailHabiter. Le travail illégal FICHE 15
FICHE 15 Habiter Le travail illégal Sont interdits par la loi : > le travail dissimulé : absence de déclarations obligatoires, de remises de bulletin de paie, dissimulation d heures de travail ; > le prêt
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailUne saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure
Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Ce projet est cofinancé par l Union européenne 2 Europe Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Prise de position
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détailAT/MP 3. - Responsabilité pénale et délégation de pouvoirs. Maître Olivier BARRAUT 09/10/2014
AT/MP 3. - Responsabilité pénale et délégation de pouvoirs Maître Olivier BARRAUT 09/10/2014 Plan 1. Le responsable pénal dans l entreprise La responsabilité du chef d entreprise La responsabilité de la
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006)
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) Circulaires de la Direction des affaires criminelles Signalisation des circulaires du 1 er avril au 30 juin 2006 Circulaire
Plus en détaille Fichier central des chèques (FCC) et le Fichier national des chèques irréguliers (FNCI),
Le rôle du Fichier central des chèques et du Fichier national des chèques irréguliers Note d information La Banque de France a reçu du législateur la mission de «veiller au bon fonctionnement et à la sécurité
Plus en détailLoi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux
PRINCIPAUTÉ DE MONACO Loi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux RAINIER III PAR LA GRACE DE DIEU PRINCE SOUVERAIN
Plus en détailResponsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs
Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs La responsabilité d une personne est toujours définie par le juge sur la base de faits précis et circonstanciés. Direction
Plus en détailIntroduction. Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP 27/06/2012. Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel
Introduction Jean-Philippe Thierry, vice-président de l ACP Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel Sommaire Conférence animée par Fabrice Pesin, secrétaire général adjoint de l ACP 1. La veille
Plus en détailEfficience de l actif de l entreprise
Solutions d assurance-vie Efficience de l actif de l entreprise Gérer. Profiter. Préserver. Une solution intelligente pour les professionnels : l assurance-vie permanente, un actif unique pouvant offrir
Plus en détailLa cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012
La cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012 Jorick Guillaneuf, chargé d études statistiques à l ONDRP DOSSIER
Plus en détailSCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille
SCPI GEMMEO COMMERCE L immobilier de commerce français en portefeuille AVERTISSEMENT Facteurs de risques Avant d investir dans une société civile de placement immobilier (ci-après «SCPI»), vous devez tenir
Plus en détailLoi fédérale concernant des mesures en matière de lutte contre le travail au noir
Loi fédérale concernant des mesures en matière de lutte contre le travail au noir 18.01.2008 - Page 1 Travail au noir Pas de définition juridique univoque du travail au noir Activité salariée ou indépendante
Plus en détailLoi sur l hébergement, la restauration et le commerce de détail de boissons alcoolisées
- - 95. Loi sur l hébergement, la restauration et le commerce de détail de boissons alcoolisées du 8 avril 00 Le Grand Conseil du canton du Valais vu les articles 7 et 05 de la Constitution fédérale; vu
Plus en détailProposition de DÉCISION DU CONSEIL
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.5.2015 COM(2015) 194 final 2015/0101 (NLE) Proposition de DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion, au nom de l'union européenne, du protocole pour éliminer le
Plus en détailDocument technique Outil d évaluation des risques et orientation
Promotion de la bonne gouvernance et lutte contre la corruption Activité T3.3 : (SNAC Tunisie) Apporter des outils et des méthodologies ainsi que consolider les capacités pour soutenir la conception de
Plus en détailCertification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux, Direction des dépendances et de l itinérance Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Plus en détailMODALITÉS ET CONDITIONS DU PROGRAMME DE RÉCOMPENSES MASTERCARD DE LA BANQUE WALMART DU CANADA
MODALITÉS ET CONDITIONS DU PROGRAMME DE RÉCOMPENSES MASTERCARD DE LA BANQUE WALMART DU CANADA Les présentes conditions s appliquent au programme de Récompenses MasterCard de La Banque Wal-Mart du Canada
Plus en détailASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
Le présent document est établi à titre provisoire. Seule la «Petite loi», publiée ultérieurement, a valeur de texte authentique. TEXTE ADOPTÉ n 237 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME
Plus en détail15 ACTIONS POUR LA JUSTICE DU QUOTIDIEN
Le citoyen au coeur du service public de la Justice 15 ACTIONS POUR LA JUSTICE DU QUOTIDIEN citoyen au coeur du service public de la Justice UNE JUSTICE PLUS PROCHE UNE JUSTICE PLUS EFFICACE UNE JUSTICE
Plus en détailPROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE
PROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE Le traducteur ou l interprète non salarié doit en permanence veiller à la préservation de ses droits tant dans l établissement de sa relation avec
Plus en détailLes travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques. FRATEL Jeudi 12 mai 2011
Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques FRATEL Jeudi 12 mai 2011 Le panorama institutionnel en matière de protection des
Plus en détailCirculaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage
MINISTERE DES PME, DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DES PROFESSIONS LIBERALES Circulaire du 13 avril 2006 relative aux ventes au déballage Les ventes au déballage, quelle que soit leur dénomination (vide-greniers,
Plus en détailPIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES
PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des
Plus en détailThèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Achat-Vente Objectifs communicatifs
Plus en détailLETTRE CIRCULAIRE N 2009-084
Montreuil, le 03/11/2009 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION, DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084 OBJET : Loi de simplification et clarification du droit et d allègement des procédures
Plus en détailLa fraude par complaisance et la justice alternative chez les mineurs
La fraude par complaisance et la justice alternative chez les mineurs Présentation personnelle 1996-2001 Représentante service à la clientèle pour la Banque Laurentienne du Canada (BLC) pendant mes études
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détailLe Président du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de Lot-et-Garonne,
RÈGLEMENT INTERNE CONCOURS ET EXAMENS PROFESSIONNELS CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE DE LOT-ET-GARONNE Le Président du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de Lot-et-Garonne,
Plus en détailLEQUERRE et Lucas PAEAMARA
CA/il ASSEMBLEE TERRITORIALE DELA POLYNESIE FRANÇAISE Papeete, le 29 Août 1991 COMMISSION PERMANENTE N 84-91 RAPPORT portant avis de l'assemblée Territoriale sur un projet de loi relatif à l'adaptation
Plus en détailLa recherche des preuves. des pratiques anticoncurrentielles
La recherche des preuves des pratiques anticoncurrentielles 23 juin 2011 - BAKER & MCKENZIE André MARIE Sous Directeur adjoint, Chef du bureau des pratiques anticoncurrentielles àla DGCCRF Rôle DGCCRF
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailDIAPOSITIVE 2 Cette présentation est axée sur les mesures réglementaires, les rappels et les rapports d écarts des produits.
Application des réglementations et qualité des produits DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à l application des réglementations et à la qualité des produits. Elle constitue une suite de la présentation
Plus en détail6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité
6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté
Plus en détailLe Parlement wallon a adopté et Nous, Gouvernement wallon, sanctionnons ce qui suit :
DÉCRET modifiant certaines dispositions du Code wallon de l action sociale et de la santé relatives au transport médico-sanitaire Le Parlement wallon a adopté et Nous, Gouvernement wallon, sanctionnons
Plus en détailEPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 7 septembre 2011
J. 11 1203 MINISTERE DE L INTERIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION BEPECASER EPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 7 septembre 2011 Question 1 Dans le cadre de l apprentissage
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détailLutte contre les spams par SMS et vocaux. et les prospections téléphoniques non-désirées
Lutte contre les spams par SMS et vocaux et les prospections téléphoniques non-désirées Lundi Hervé NOVELLI Secrétaire d Etat chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du
Plus en détailCommerce International Douanes Transport - Logistique. Sommaire
Commerce International Douanes Transport - Logistique Sommaire La Douane : notions de base... 3 Comment déclarer en douane... 4 Déterminer la Valeur en Douane... 5 Déterminer l Espèce en Douane... 6 Déterminer
Plus en détailDirecteur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP
repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef
Plus en détailCOUR DES COMPTES. L Inspection économique. La protection du consommateur et du commerce honnête
COUR DES COMPTES L Inspection économique La protection du consommateur et du commerce honnête Rapport de la Cour des comptes transmis à la Chambre des représentants Bruxelles, décembre 2002 COUR DES COMPTES
Plus en détailLA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX
LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX Par Michel LEDOUX Avocat Associé CABINET MICHEL LEDOUX ET ASSOCIES 10 RUE PORTALIS 75008 PARIS Tél : 01.44.90.98.98
Plus en détailLa Commission des jeux de hasard
La Commission des jeux de hasard Commision des jeux de hasard Vous voulez savoir quels sont les jeux de hasard autorisés en Belgique? Vous êtes curieux de connaître les autorisations dont les exploitants
Plus en détailEnquête sur les investissements dans l industrie
Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailDISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailRépertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo
Répertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo Par G. KAHASHA ka NASHI Avocat Avec l assistance d une équipe du Cabinet KAHASHA
Plus en détailLes arnaques : précautions à prendre pour s en prémunir. Fiche pratique n 29. Septembre 2011. Fiche pratique n 29. CCIT d Alençon.
Les arnaques : précautions à prendre pour s en prémunir Page 1/8 Page 2/8 Sommaire Avertissement 4 Déroulement d une arnaque 4 Les pratiques déloyales en cause 5 Moyens juridiques pour lutter contre ces
Plus en détail