DEPISTAGE DU DIABETE GESTATIONNEL PAR LE SCREENING TEST DE O SULLIVAN
|
|
- Grégoire Lafleur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 , pp DJOHAN Y.F. 1* NIAMKE A.G. 2 MONDE A.A. 1 KOFFI G. 2 DERE K.A. 3 CAMARA-CISSE 1 SESS E. 1 DEPISTAGE DU DIABETE GESTATIONNEL PAR LE SCREENING TEST DE O SULLIVAN Cette étude avait pour objectif d évaluer la pertinence du screening test de O Sullivan dans le dépistage du diabète gestationnel en milieu tropical. Il s agissait d une étude transversale réalisée chez 178 gestantes venues en consultation prénatale à la formation sanitaire de Marcory (Abidjan -Côte d Ivoire). Elles ont toutes bénéficié d un screening test de O Sullivan suivi d une épreuve d hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) lorsque le screening test était positif. Des prélèvements de sang veineux ont été effectués chez les gestantes dans des tubes contenant un antiglycolytique et un anticoagulant. Les plasmas obtenus après centrifugation ont servi au dosage de la glycémie selon la méthode enzymatique à la glucose oxydase. Au terme de notre étude, nous avons constaté que : - le screening test de O Sullivan était positif chez 69 gestantes soit 38,8% de la population d étude. Seulement 53 femmes sur les 69 ont accepté l épreuve RESUME d hyperglycémie provoquée par voie orale. Sur ces 53 femmes, 24 avaient un diabète gestationnel soit 47,2%. - 20,28% (14/69) des gestantes ayant un screening test positif ne présentaient aucun facteur de risque de diabète gestationnel ; - toutes les gestantes d âge gestationnel inférieur à 24 semaines d aménorrhée et ayant le screening test positif présentaient au moins un facteur de risque de diabète gestationnel ; - les différences observées concernant la prise de poids excessive pendant la grossesse et l indice de masse corporel supérieur à 25 kg/m² avant la grossesse sont statistiquement significatives aussi bien pour le screening test (p=0,03) que pour l épreuve de HGPO (p=0,02). Par contre, celles observées pour les antécédents de macrosomie et de diabète familial sont statistiquement significatives pour l épreuve de HGPO (p=0,02) mais ne le sont pas pour le screening test (p=0,31). 1- Service de Biochimie, CHU de Cocody, Abidjan, Côte d Ivoire 2- Service de Biochimie, CHU de Treichville, Abidjan, Côte d Ivoire 3- Service de Biochimie, CHU de Bouaké, Côte d Ivoire * Correspondance : DJOHAN Y.F, 09 BP 3669 Abidjan 09 Cel : , ferdinand_johan2@ yahoo.fr
2 78 Le screening test de O Sullivan bien qu étant un bon test de dépistage du diabète gestationnel présente parfois de faux positifs. En l absence d un facteur de risque de diabète gestationnel, le screening test de O Sullivan n est pas nécessaire avant 24 semaines d aménorrhée. Certains facteurs de risque tels que la prise de poids excessive pendant la grossesse, l indice de masse corporel supérieur à 25 kg/m² avant la grossesse, les antécédents de macrosomie et de diabète familial sont presque toujours associés à un diabète gestationnel. Mots clés : Diabète gestationnel, Screening test, Dépistage. The objective of this study was to assess the relevance of O Sullivan screening test in detecting gestational diabetes in a tropical environment. It was a descriptive survey performed among 178 pregnant women who came for a prenatal visit to the health community center of Marcory (Abidjan - Ivory Coast). ll of them were screened by O Sullivan test and then by hyperglycemia provoked by oral way (HGPO) when the screening test was positive. Venous blood samples were taken on these pregnant women in tubes containing an antiglycolytic and an anticoagulant. The serum obtained after centrifugation was used for the dosage of the glycemia according to the glucose oxidase enzymatic method. The O Sullivan screening test was positive for 69 out of 178 (38.8%) women. Only 53 out of 69 (78.8%) women consented for the HGPO; of those 53 women, 24 (47.2%) had a gestational diabetes. Among women screened positive by O Sullivan test, 20.3% (14/69) had no gestational diabetes risk factor. For all women pregnant SUMMARY for less than 24 weeks and screened positive by O Sullivan test, there was at least one gestational diabetes risk factor. Depending on the excessive weight gain during pregnancy and the body mass index (BMI) superior to 25kg/m² before pregnancy, the difference in the results of the O Sullivan test (p=0,03) as well as the HGPO (p=0,02) are statistically significant. Nevertheless, for the history of macrosomia and history of family diabetes, the difference in the results are statistically significant for HGPO (p=0,02) but not for the screening test (p=0,31). Although being a good gestational diabetes screening method, the O Sullivan test gives sometimes false positive results. In the absence of gestational diabetes risk factor, this test is not necessary before 24 weeks of amenorrhoea. Some risk factors like excessive weight gain during pregnancy, BMI superior to 25kg/m² before pregnancy, history of macrosomia and history of family diabetes are almost always associated to gestational diabetes. Key words : Gestational Diabetes, Screening Test, Screening.
3 79 Le diabète gestationnel est un trouble de la tolérance au glucose de gravité variable, ayant débuté ou ayant été découvert en cour de grossesse, et sans préjuger de la persistance éventuelle d un trouble de la tolérance au glucose après l accouchement [NDDG 1979]. La physiopathologie est liée à la mauvaise compensation de l insulinorésistance physiologique observée au second trimestre de la grossesse. Les cellules bêtapancréatiques ne pouvant plus produire suffisamment d insuline, se développe alors une hyperglycémie à l instar de celle observée au cours des diabètes de types 2. Officiellement reconnu comme entité clinique en 1979 [ACOG 2001], le diabète gestationnel a fait l objet de plusieurs conférences internationales en vue d harmoniser les critères diagnostics. La définition du diabète gestationnel n est pas univoque [Lepercq 2004] dans la mesure où les modalités de dépistage et les seuils glycémiques de positivité diffèrent en fonction des équipes. En effet, si le INTRODUCTION MATERIEL ET METHODES MATERIEL METHODES L étude a été réalisée chez 178 gestantes de tout âge maternel et de tout âge gestationnel venues en consultation prénatale à la formation sanitaire de Marcory (Abidjan, Côte d Ivoire). Les gestantes qui présentaient un antécédent de diabète sucré n ont pas été incluses dans notre étude. Les prélèvements de sang ont été faits avec des aiguilles et des tubes vacutainer stériles à usage unique. Chaque tube contenait un antiglycolytique (fluorure de sodium) et un anticoagulant (oxalate de potassium). Les dosages ont été réalisés sur un automate multiparamétrique, le LYASYS (Analyser Medical System, Rome - Italy). diagnostic repose dans tous les cas sur la pratique de mesures de glycémie après charge en glucose, l importance de cette charge ainsi que les seuils de glycémie retenus pour affirmer le diagnostic sont loin d être universels. Plusieurs auteurs [Carpenter 1982, Pinget 1979] ont proposé des schémas diagnostics qui, dans l ensemble, sont à la fois pénibles et coûteux pour les gestantes dans nos pays en voie de développement. Face à cette situation, O Sullivan [1973] a proposé un test de dépistage du diabète gestationnel qui avait l avantage d être moins contraignant et moins coûteux. En l absence d un consensus concernant le diagnostic du diabète gestationnel et vu les conséquences néfastes de cette pathologie tant pour la mère que pour l enfant, il nous a paru opportun d évaluer le pouvoir de dépistage du diabète gestationnel par le screening test de O Sullivan en milieu tropical. Il s agissait d une étude transversale descriptive au cours de laquelle toutes les gestantes sélectionnées ont bénéficié du screening test de O Sullivan. Les gestantes pour lesquelles le screening test était positif ont bénéficié ultérieurement d une épreuve d hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) de O Sullivan. Le screening test a consisté à faire deux prélèvements de sang veineux pour le dosage de la glycémie chez chaque gestante. Le premier prélèvement a été fait à jeun et le second une heure après avoir fait boire à la gestante une solution de 50 g de glucose pur anhydre (Cooper, France) dans 100 ml
4 80 d eau. Le test était positif pour une glycémie post charge supérieure ou égale à 1,30 g/l (7,2 mmol/l). Le test était négatif pour une glycémie post charge inférieure à 1,30 g/l (7,2 mmol/l) [Hidar 2001]. L épreuve de HGPO de O Sullivan a consisté à faire quatre prélèvements de sang veineux pour le dosage de la glycémie. Le premier prélèvement a été fait à jeun. Les trois autres prélèvements ont été faits chaque heure pendant trois heures après avoir fait boire à la gestante une solution de 100g de glucose pur anhydre (Cooper, France) dans 250 ml d eau [Bastard 2002]. Selon la NDDG [1979] les valeurs seuils étaient les suivantes : 1,05 g/l à jeun, puis 1,90 g/l ; 1,65 g/l et 1,45 g/l respectivement une, deux, trois heure(s) après. Ont été déclarées diabétiques toutes les gestantes chez lesquelles deux des valeurs étaient supérieures aux valeurs seuils. Dans les deux cas, les gestantes étaient à jeun pendant au moins 12 heures depuis la veille. Les prélèvements obtenus ont été homogénéisés, centrifugés à 3000 tours par minute pendant cinq minutes. Les plasmas obtenus ont servi au dosage de la glycémie par la méthode enzymatique à la glucose oxydase. Le poids et la taille des gestantes ont été mesurés respectivement à l aide d un pèsepersonne et d une toise. L indice de masse corporelle (IMC) a été calculé selon la formule suivante : IMC = Poids (kg) / Taille (m²). Les limites standards de l IMC ont été fixées comme suit : IMC inférieur à 25 kg/m² : sujet de poids normal ; IMC supérieur ou égal à 25 kg/m² et inférieur à 30 kg/m² : surpoids ; IMC supérieur ou égal à 30 kg/m² : sujet obèse [WHO 2004]. De nombreux facteurs de risque orientent le dépistage du diabète gestationnel. Pour notre étude, nous nous sommes intéressés aux facteurs de risque suivants : âge supérieur à 30 ans, antécédent familial de diabète, antécédent personnel de diabète gestationnel, index de masse corporelle supérieur à 25 kg/m², antécédent de macrosomie et la prise de poids excessive au cours de la grossesse. L analyse statistique des données a été faite sur le logiciel Epi info version 6.0. Nous avons utilisé le test de CHI deux et le test exact de Fisher. Une valeur de p<0,05 a été considérée comme statistiquement significative. Le screening test de O Sullivan était positif chez 69 gestantes soit 38,8% de la population d étude. Seulement 53 femmes sur les 69, ayant un screening test positif, ont accepté l épreuve d hyperglycémie provoquée par voie orale. Sur ces 53 femmes, 24 avaient un diabète gestationnel soit 47,2%. Nous n avons trouvé aucun facteur de risque de diabète gestationnel chez 20,28% (14/69) des femmes chez lesquelles le screening test était positif et chez 4,17% (1/24) des femmes chez lesquelles le diagnostic de diabète gestationnel a été retenu. Toutes les gestantes dont l âge gestationnel était inférieur à 24 semaines RESULTATS d aménorrhée et ayant un screening test positif présentaient au moins un facteur de risque de diabète gestationnel. Dans notre étude, les facteurs de risque majeurs de diabète gestationnel étaient : l indice de masse corporel supérieur à 25 kg/m² avant la grossesse, la prise de poids excessive pendant la grossesse, l antécédent de macrosomie et l antécédent de diabète familial. Selon nos résultats, l âge de la femme, la parité et l âge gestationnel apparaissent comme des facteurs de risque mineur (Tableau).
5 81 Tableau : Facteurs de risque du diabète gestationnel avec les tests de O Sullivan. Screening test de O Sullivan Epreuve de O Sullivan Aspects % positif % négatif Valeur de p % diabète % normal Valeur de p épidémiologiques (n = 69) (n = 109) gestationnel (n = 29) (n = 24) Age < 30 ans 28,2 71,8 33,3 66,7 30 ans 53,3 46,7 0,001 53,1 46,9 0,15 Parité Paucipares 36,0 64,0 53,8 46,2 Multipares 56,0 44,0 0,052 46,2 53,8 0,23 Age gestationnel < 24 semaines 31,8 68,2 62,5 37,5 24 semaines 41,0 59,0 0,36 42,2 57,8 0,24 IMC avant la grossesse < 25 kg/m² 32,8 67,2 30,0 70,0 25 kg/m² 50,8 49,2 0,03 65,2 34,8 0,02 Antécédent de diabète familial Oui 47,6 52,4 75,0 25,0 Non 38,8 61,2 0,6 48,5 51,5 0,03 Antécédent de macrosomie Oui 48,4 51,6 77,0 23,0 Non 36,7 63,3 0,31 35,0 65,0 0,02 Prise de poids excessive pendant la grossesse Oui 77,8 22,2 85,7 14,3 Non 36,7 63,3 0,018 39,1 60,9 0,02 Nos résultats montrent que le screening test de O Sullivan est un bon test de dépistage du diabète gestationnel. Toutes les gestantes devraient bénéficier d un dépistage systématique du diabète gestationnel par le screening test et non pas seulement celles présentant un facteur de risque. En effet, 20,28% des gestantes de notre étude, ne présentaient aucun facteur de risque mais avaient un screening test positif. Selon plusieurs auteurs [Beuchimol 2006, Schmidt 2001, Hidar 2001, Olarinoye 2004], près de la moitié des diabètes gestationnels apparaissent en l absence de facteurs de risque. Les recommandations existantes conseillent la réalisation du screening test de O Sullivan entre la 24 e et la 28 e semaine DISCUSSION de grossesse en l absence de facteur de risque historique ou de suspicion clinique [ADA 2003, ADA 2004, Ross 2006, Friedman 2006]. Dans notre étude, toutes les gestantes dont l âge gestationnel était inférieur à 24 semaines de grossesse et ayant un screening test positif présentaient au moins un facteur de risque. Il ressort qu avant la 24 e semaine de grossesse, en absence de facteurs de risques, le dépistage n est pas nécessaire. Le screening test de O Sullivan était positif chez 38,8% des gestantes testées. Notre résultat corrobore celui de Touzet [2002] qui a trouvé un taux de 37,3%. Par contre, Carlotti [1996] et Yang [2002] ont trouvé respectivement 18% et 9,4%. Les taux élevés retrouvés dans notre étude et celle de
6 82 Touzet pourraient s expliquer par le fait que notre valeur seuil choisie était de 1,30g/l (7,2 mmol/l) alors que celle des deux autres était de 1,40 g/l (7,7 mmol/l). Une valeur supérieure à la valeur seuil de1,30g/l (7,2 mmol/l) et inférieure à 2 g/l (11,1 mmol/l) signifie une suspicion de diabète gestationnel et impose la réalisation de l épreuve de HGPO. Toutefois, si la glycémie à une heure au screening test est supérieure ou égale à 2 g/l (11,1 mmol/l), le diagnostic de diabète gestationnel est posé d emblé, il n est plus nécessaire de réaliser l épreuve de HGPO. La gestante doit être traitée [Bush-Brafin 2001, Lassmann-Vague 1996]. Notre étude montre qu en présence de certains facteurs de risque tels que l indice de masse corporel supérieur à 25 kg/m² avant la grossesse, la prise de poids excessive pendant la grossesse, l antécédent de macrosomie et l antécédent de diabète familial, l épreuve de HGPO s impose même si le screening test est négatif. Le screening test de O Sullivan bien qu étant un bon test de dépistage du diabète gestationnel présente parfois de faux positifs. En l absence d un facteur de risque de diabète gestationnel, le screening test de O Sullivan n est pas nécessaire avant 24 semaines d aménorrhée. Certains American College of Obstetricians and Gynaecologists. (2001) Gestational Diabetes. ACOG practice bulletin clinical management guidelines for obstetrician gynaecologists. Obstet Gynaecol; 30, 98(3): American Diabetes Association. (2004) Gestational diabetes mellitus. Diabetes Care ; 27: American Diabetes Association. (2003) Report of the expert committee on the diagnosis and classiþcation of diabetes mellitus. Diabetes Care; 26:5-20. Bastard JP, Fonfrede M et Heutrier A. (2005) Les diabètes glucidiques : apport du laboratoire dans le diagnostic et le suivi. Biotribune magazine N 2 :p.31. Beuchimol M, Cosson E, Faure C et al. (2006) Comparaison de deux politiques de dépistage du diabète gestationnel : expérience de l hôpital Jean-Verdier. Gynécologie Obstétrique & Fertilité ; 345 : Bush-Brafin MS et Pinget M. (2001) Le diabète gestationnel. Médecine nucléaire-imagerie fonctionnelle et métabolique ; 25(2): Carlotti N, Maugendre D, Laurent M-C et Grall J-Y. (1996) Dépistage du diabète gestationnel par le test de O Sullivan dans une consultation hospitalière. J Gynecol Biol Reprod ; 25: CONCLUSION REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES facteurs de risque tels que la prise de poids excessive pendant la grossesse, l indice de masse corporel supérieur à 25 kg/m² avant la grossesse, les antécédents de macrosomie et de diabète familial sont presque toujours associés à un diabète gestationnel. Carpenter MW et Coustan DR. (1982) Criteria for gestational diabetes. Am J Obstet Gynaecol ; 144: Friedman S, Khoury-collado F, Dalloul M, Sherer DM et AbulaÞa O. (2006) Glucose challenge test threshold values in screening for DG among black women. Am J Obst Gynaecol ; 194:e46-e48. Hidar S, Chaïeb A, Baccouche S et al. (2001) Apport de la mesure de la glycémie post-prandiale dans le dépistage du diabète gestationnel : étude prospective randomisée. J Gynecol Obstet Biol Reprod ; 30: Lassmann-vague V., Basdevant A, Cathelineau G et al. (1996) Recommandations de l ALFEDIAM. Grossesse et contraception chez la femme diabétique : diabète gestationnel. Diab Métab, 22: Lepercq J (2004) [Is there a standard biologicolscreening of gestational diabetes mellitus?]. Gynecol Obstet Fertil, 32(6): National Diabetes Data Group. (1979) ClassiÞcation and diagnosis of diabetes mellitus and other categories of glucose intolerance. Diabetes ; 28(12): O sullivan JB, Mahan CM, Charles D et Dandrow RV. (1973) Screening criteria for high-risk gestational diabetic patients. Am J Obst Gynaecol ; 116(7):
7 83 Olarinoye JK, Ohwovorioe AE et Ajayi GO. (2004) Diagnosis of gestational diabetes mellitus in Nigeria pregnant women: comparison between 75g and 100g oral glucose tolerance tests. West Afr J Med ; 23(3): Pinget M, Dorner M, Brettes P et al. (1979) L épreuve d hyperglycémie provoquée par voie orale au cours de la grossesse normale. La Nouvelle Presse Médicale ; 8(45): Ross G. (2006) Gestational diabetes. Australian Family Physician ; 35(6): Schmidt M. (2001) Gestational diabetes mellitus diagnosed with a 2-h 75g oral glucose tolerance test and adverse pregnancy outcomes. Diabetes Care ; 24(7): Touzet S, Rocher L, Dureau-drevrard E et al. (2002) Etude d observation des pratiques de dépistage du diabète gestationnel à partir d une cohorte de 701 femmes. J Gynecol Obstet Reprod ; 31 : WHO expert consultation. (2004) Appropriate body-mass index for asian populations an dits implications for policy and intervention strategies. The Lancet, Yang X, Hsu-Hage B, Zhang H et Lichun Y. (2002) Gestational diabetes. Diabetes Care ; 25(5):
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détaild e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique
COL L ÈGE N ATIONAL DES GYNÉ COLOGUES E T OBS TÉ TRICIENS FR A NÇ A IS Président : Professeur F. P u e ch EXTRAIT d e s Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Publié le 10 décembre 2010 N o t a. Le
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailéquilibre glycémique du diabétique insuliné
La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailPREVENTION OF MSL FOR VDT USERS IN A LARGE SERVICE ORIENTED BUSINESS
INTERVENTION POUR PRÉVENIR LES TMS CHEZ LES UTILISATEURS DE TEV DANS UNE GRANDE ENTREPRISE DE SERVICE ROBERT ALIE Régie régionale de la santé et des services sociaux de la Montérégie 12, rue Beauregard,
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailLa Cohorte des Grossesses du Québec
La Cohorte des Grossesses du Québec Outil pour la recherche en pharmacoépidémiologie périnatale Anick Bérard PhD FISPE Professeur titulaire, Faculté de pharmacie, Université de Montréal, Titulaire de la
Plus en détailFaut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?
Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE
ÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE BOUTIN MARIO Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM), 550, rue Sherbrooke Ouest, Bureau 100,
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détail1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.
1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détailNatixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking
European Commission DG MARKT Unit 02 Rue de Spa, 2 1049 Brussels Belgium markt-consultation-shadow-banking@ec.europa.eu 14 th June 2012 Natixis Asset Management Response to the European Commission Green
Plus en détailLe passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past!
> Le passé composé le passé composé C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! «Je suis vieux maintenant, et ma femme est vieille aussi. Nous n'avons pas eu d'enfants.
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailJournées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS
Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailCONNAISSANCES, ATTITUDES ET PRATIQUES DE L HYGIENE EN RESTAURATION SCOLAIRE A ABIDJAN RESUME
CONNAISSANCES, ATTITUDES ET PRATIQUES DE L HYGIENE EN RESTAURATION SCOLAIRE A ABIDJAN RESUME Auteurs SACKOU K.J. OGA A.S. CLAON S. KIRÉ K.N. BLEDOU T.D. POHÉ L. *DIBY Y. KOUADIO K.L. Services Département
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailUNIVERSITE DE BORDEAUX INSTITUT DE SANTE PUBLIQUE EPIDEMIOLOGIE DEVELOPPEMENT
UNIVERSITE DE BORDEAUX INSTITUT DE SANTE PUBLIQUE EPIDEMIOLOGIE DEVELOPPEMENT Master Sciences, Technologies, Santé Mention Santé Publique Spécialité Santé Internationale Promotion 2013-2014 PRÉVALENCE
Plus en détailTex: The book of which I'm the author is an historical novel.
page: pror3 1. dont, où, lequel 2. ce dont, ce + preposition + quoi A relative pronoun introduces a clause that explains or describes a previously mentioned noun. In instances where the relative pronoun
Plus en détailINSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM
INSTITUT MARITIME DE PREVENTION For improvement in health and security at work Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM Maritime fishing Shellfish-farming Sea transport 2005 Le pilier social
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION
Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par
Plus en détailQUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE?
QUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE? Regard critique sur nos filières de formation Symposium GSASA, Berne, 12 mai 2009 André Pannatier 1 PLAN 1. Les filières de formation de base et postdiplôme
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailMedication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.
Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure
Plus en détailHENDRICH FALL RISK MODEL (HFRM)
HENDRICH FALL RISK MODEL (HFRM) Hendrich, A. L., Bender, P. S., & Nyhuis, A. (2003). Validation of the Hendrich II Fall Risk Model: a large concurrent case/control study of hospitalized patients. Appl.Nurs
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailExemple PLS avec SAS
Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailImproving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises
Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical
Plus en détailObésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention. PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV
Obésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV Menu du jour Épidémie de l obésité chez l enfant Epidémiologie Facteurs
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailFÉDÉRATION INTERNATIONALE DE NATATION Diving
QUALIFICATION SYSTEM - 2 ND SUMMER YOUTH OLYMPIC GAMES - NANJING 2014 FÉDÉRATION INTERNATIONALE DE NATATION Diving A. Events (5) MEN S EVENTS (2) WOMEN S EVENTS (2) MIXED EVENTS (2) 3m individual springboard
Plus en détailglycémique en réanimation
Les techniques de surveillance glycémique en réanimation M. Kopff-Uberall, M. Hasselmann Service de Réanimation Médicale, Hôpitaux Universitaires Université Louis Pasteur - Strasbourg Les Hôpitaux Universitaires
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailDiabète et hypoglycémies
Diabète et hypoglycémies Docteur Karim LACHGAR Chef de service de diabétologie endocrinologie Hôpital Simone Veil Eaubonne Montmorency Karim.lachgar@ch-simoneveil.fr 15 e journée des associations du Val
Plus en détailArchived Content. Contenu archivé
ARCHIVED - Archiving Content ARCHIVÉE - Contenu archivé Archived Content Contenu archivé Information identified as archived is provided for reference, research or recordkeeping purposes. It is not subject
Plus en détailDiabète:généralités DEFINITION DIABETE DE TYPE 1
DEFINITION Diabète:généralités Recommandations OMS: -glycémie à jeun normale:
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailApplication Form/ Formulaire de demande
Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailConnaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse
Faculté de médecine Université de Montréal Connaissance et observance de la rééducation périnéale en grossesse Fanny Parent Résidente 1, médecine familiale HMR Projet d érudition 30 mai 2014 Introduction
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailLes Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment?
Les Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment? Pascal Staccini IRIS Department - School of Medicine of Nice Nice-Sophia Antipolis University UMR 912 - SESSTIM - INSERM et pour quoi faire? Les données
Plus en détailPOLICY: FREE MILK PROGRAM CODE: CS-4
POLICY: FREE MILK PROGRAM CODE: CS-4 Origin: Authority: Reference(s): Community Services Department Cafeteria Services and Nutrition Education Division Resolution #86-02-26-15B.1 POLICY STATEMENT All elementary
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCAHIER SPÉCIAL www.contrelediabete.fr Nathalie Ferron
CAHIER SPÉCIAL 2 e Semaine nationale de prévention du diabète Se prémunir contre le diabète Du 3 au 9 juin 2013 aura lieu partout en France la seconde Semaine nationale de prévention du diabète organisée
Plus en détailInstructions Mozilla Thunderbird Page 1
Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Ce manuel est écrit pour les utilisateurs qui font déjà configurer un compte de courrier électronique dans Mozilla Thunderbird et
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailsur le réseau de distribution
EDF-R&D Département MIRE et Département EFESE 1, avenue du Général de Gaulle 92141 Clamart Impact qualité du site photovoltaïque "Association Soleil Marguerite" sur le réseau de distribution Responsable
Plus en détailPROJET DE LOI 15 BILL 15. 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007
1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1 re session, 56 58 e législature Nouveau-Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 BILL 15 PROJET DE
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations
Plus en détailQualité des soins Campagne de sensibilisation
Qualité des soins Campagne de sensibilisation INAMI Service des Soins de Santé Direction Recherche, développement et promotion de la qualité Dr Carl Cauwenbergh et Isabelle Collin Carl.cauwenbergh@inami.fgov.be
Plus en détailIDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION
vice Direction des Partenariats Internationaux Pôle Mobilités Prrogrramme de bourrses Intterrnattiionalles en Mastterr (MIEM) Intterrnattiionall Mastterr Schollarrshiip Prrogrramme Sorrbonne Parriis Ciitté
Plus en détailJSIam Introduction talk. Philippe Gradt. Grenoble, March 6th 2015
Introduction talk Philippe Gradt Grenoble, March 6th 2015 Introduction Invention Innovation Market validation is key. 1 Introduction Invention Innovation Market validation is key How to turn a product
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailL ajustement de l insuline au quotidien
LA MAJORITÉ DES COMPLICATIONS chroniques du diabète sont liées, de près ou de loin, à l hyperglycémie 1. L hyperglycémie chronique peut entraîner d importantes séquelles à long terme et causer des lésions,
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailB. BOQUET, F. DEMARIA, J. ROSENBLATT, R. PORCHER, JM. JOUANNIC, JL. BENIFLA Hôpital Rothschild, 33 Bd de Picpus 75012 PARIS
ETUDE PRELIMINAIRE DU SPHINCTER URETHRAL CHEZ LA PARTURIENTE Caractérisation anatomique et fonctionnelle du sphincter uréthral par une évaluation échographique 3D et urodynamique en pré et post-partum
Plus en détailTraitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008
Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation
Plus en détailGestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine
CENTRE HOSPALIER UNIVERSAIRE VAUDOIS - 1011 Lausanne Service de médecine Centre des Maladies Cardio-vasculaires et métaboliques Service d endocrinologie, diabétologie et métabolisme Gestion de l insuline
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailthat the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on
ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Applicant(s) (In most cases, the applicant will be a children s aid society.) Full legal name & address for service street & number, municipality,
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailUniversité Victor Segalen Bordeaux 2, 2008
Université Victor Segalen Bordeaux 2, 2008 Contenu du dossier Énoncé. Article à analyser. Corrigé. Article avec texte surligné. Énoncé Université Victor Segalen Bordeaux 2 UFR des Sciences Médicales 1
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailRecommandations sur le traitement du diabète de type 2
RECOMMANDATIONS Forum Med Suisse 2009;9(3):50 55 50 Recommandations sur le traitement du diabète de type 2 Déclaration de consensus de la Société Suisse d Endocrinologie-Diabétologie Commentaire d experts
Plus en détailEU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership:
EU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership: Supporting policy dialogue on national health policies, strategies and plans and universal coverage Year 2 Report Jan. 2013 - - Dec. 2013 [Version
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailLoi sur la Semaine nationale du don de sang. National Blood Donor Week Act CODIFICATION CONSOLIDATION. S.C. 2008, c. 4 L.C. 2008, ch.
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION National Blood Donor Week Act Loi sur la Semaine nationale du don de sang S.C. 2008, c. 4 L.C. 2008, ch. 4 Current to June 9, 2015 À jour au 9 juin 2015 Published by the
Plus en détailCLIM/GTP/27/8 ANNEX III/ANNEXE III. Category 1 New indications/ 1 re catégorie Nouvelles indications
ANNEX III/ANNEXE III PROPOSALS FOR CHANGES TO THE NINTH EDITION OF THE NICE CLASSIFICATION CONCERNING AMUSEMENT APPARATUS OR APPARATUS FOR GAMES/ PROPOSITIONS DE CHANGEMENTS À APPORTER À LA NEUVIÈME ÉDITION
Plus en détailTHE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002
2-aes THE LAW SOCIETY OF UPPER CANADA BY-LAW 19 [HANDLING OF MONEY AND OTHER PROPERTY] MOTION TO BE MOVED AT THE MEETING OF CONVOCATION ON JANUARY 24, 2002 MOVED BY SECONDED BY THAT By-Law 19 [Handling
Plus en détailNotice Technique / Technical Manual
Contrôle d accès Access control Encodeur USB Mifare ENCOD-USB-AI Notice Technique / Technical Manual SOMMAIRE p.2/10 Sommaire Remerciements... 3 Informations et recommandations... 4 Caractéristiques techniques...
Plus en détaildiabète Le diabète est l assimilation, de glucose (sucre) apporté par On peut être diabétique sans
Tout savoir sur le Le est une maladie chronique incurable qui se traduit par une élévation anormale du taux de sucre dans le sang. Sans traitement approprié, cette maladie peut être à l origine de graves
Plus en détail