01.4. COMPARATEURS REVENDIQUÉS Les comparateurs revendiqués sont les «stimulateurs médullaires conventionnels».

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "01.4. COMPARATEURS REVENDIQUÉS Les comparateurs revendiqués sont les «stimulateurs médullaires conventionnels»."

Transcription

1

2

3

4

5 Un syndrome régional douloureux complexe de type I ou II persistant depuis au moins six mois. Douleur chronique d origine ischémique, en échec des alternatives thérapeutiques secondaires à la maladie de Buerger COMPARATEURS REVENDIQUÉS Les comparateurs revendiqués sont les «stimulateurs médullaires conventionnels». 02 HISTORIQUE DU REMBOURSEMENT Il s agit d une seconde demande d inscription sous nom de marque. Le système de stimulation du ganglion spinal AXIUM a été évalué par la Commission le 25 février 2014 [lien]. Le service attendu était insuffisant au motif de l insuffisance et des limites méthodologiques des données cliniques fournies. 03 CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT MARQUAGE CE Classe III / Dispositif Médical Implantable Actif. Les marquages CE des différents composants du dispositif ont été délivrés par l Organisme Notifié BSI Product Services (n 0086) DESCRIPTION Le système de stimulation du ganglion spinal AXIUM est composé d un stimulateur implantable non rechargeable à quatre canaux possédant un marqueur radio-opaque, d un stimulateur de test, d un programmateur clinique, d un programmateur patient, d une ou plusieurs électrodes qui peuvent être utilisées en association avec une extension et des accessoires et instruments utilisés pour l implantation du système. Les électrodes faisant l objet de la demande possèdent quatre plots. Le stimulateur est raccordé à des électrodes placées dans l espace épidural à proximité du ganglion de la racine dorsale. Au maximum quatre électrodes peuvent être placées et raccordées au stimulateur. Les principales spécifications techniques du stimulateur implantable non rechargeable du ganglion spinal AXIUM sont répertoriées dans le tableau suivant (issu de la notice d utilisation du dispositif) : Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles - 5 -

6

7 aménagement des libellés existants serait à envisager ou des libellés d actes spécifiques pourraient être créés. 04 SERVICE ATTENDU INTÉRÊT DU PRODUIT ANALYSE DES DONNÉES : ÉVALUATION DE L EFFET THÉRAPEUTIQUE / EFFETS INDÉSIRABLES, RISQUES LIES A L UTILISATION RAPPEL DE L AVIS PRÉCÉDEMMENT ÉMIS PAR LA COMMISSION Dans son rapport d évaluation sur les systèmes implantables de neurostimulation médullaire dans la prise en charge de la douleur chroniques de mars , la CNEDiMTS a édicté les données cliniques minimales qu elle attend en vue de l inscription de tout nouveau dispositif ayant des caractéristiques techniques de stimulation distinctes des systèmes pris en charge, des modalités d implantation différentes ou pour tout système pour lequel le fabricant formule une revendication particulière : une étude contrôlée, randomisée, de supériorité ou de non infériorité visant à comparer le nouveau système par rapport à un système implantable de neurostimulation médullaire pris en charge en France ou tout autre traitement de référence. Réalisation d une période de stimulation test préalable à l implantation définitive. Pour être implantés de façon définitive et être randomisés, la diminution des douleurs doit être d au moins 50%. Le critère de jugement principal doit être la diminution de la douleur par rapport à l état basal, observée après au moins 6 mois d utilisation. En plus de la supériorité objectivée sur ce critère, la pertinence clinique de l amplitude de l effet antalgique observé doit être systématiquement démontrée. Si le dessin retenu est une étude de non infériorité, il doit être montré la non infériorité du nouveau dispositif par rapport au comparateur avec une perte d efficacité consentie sur la douleur cliniquement acceptable et argumentée (borne de non infériorité), mais avec une démonstration de sa supériorité sur un autre critère clinique. Les données retenues dans le cadre de la première demande d inscription du dispositif AXIUM consistaient en deux études spécifiques: étude Deer (10 patients implantés). Il s agissait d une étude prospective, multicentrique, non comparative, en ouvert qui avait pour objectif d évaluer la sécurité et la réduction de la douleur du stimulateur externe AXIUM chez des patients douloureux chroniques. Etude Liem (32 patients implantés). Il s agissait d une publication regroupant deux études observationnelles indépendantes. Ces études étaient prospectives, multicentriques, non comparatives et réalisées en ouvert. L objectif était de déterminer la sécurité et l efficacité du dispositif AXIUM. Par ailleurs, la Commission avait noté qu un certain nombre d études spécifiques au dispositif AXIUM étaient en cours : une étude multicentrique contrôlée randomisée nommée ACURATE visant à comparer le dispositif AXIUM aux systèmes de neurostimulation cordonnale conventionnels. Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles - 7 -

8 Trois études observationnelles prospectives non comparatives postcommercialisation qui étaient en cours en Europe (Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède). Les études fournies à l appui du dossier ne correspondant pas aux exigences de la CNEDiMTS et compte tenu de l existence d essais en cours de réalisation, la Commission avait octroyé un service attendu insuffisant NOUVELLES DONNÉES SPÉCIFIQUES Sont fournis : le protocole et le rapport de l étude ACCURATE (non publiée) ; deux publications issues de l étude de Liem fournies lors de la première demande d inscription. Les deux publications n ont pas été retenues aux motifs que : ces études sont issues de l étude de Liem fournie en 2014 ; les résultats disponibles ne remettent pas en cause les résultats de l étude contrôlée, randomisée ACCURATE. L étude ACCURATE (financée par Spinal Modulation) étant un essai multicentrique, prospectif, contrôlé, randomisé en ouvert de puissance suffisante, seul cet essai a été retenu (Annexe I Résumé tabulé). Cette étude visait à comparer le dispositif AXIUM aux dispositifs conventionnels de stimulation cordonnale (RESTOREULTRA et RESTORESENSOR 2 ) pour des patients ayant des douleurs chroniques réfractaires (antériorité d au moins 6 mois) liées à un syndrome régional douloureux complexe de type I ou II. L objectif était d évaluer d abord en non infériorité et ensuite en supériorité un critère composite d efficacité et de sécurité alliant le soulagement de la douleur ( 50% par rapport à l état basal) et l absence de déficit neurologique à 3 mois de suivi. Le calcul du nombre de sujets nécessaires devait permettre l inclusion de 76 patients par groupe. La perte d efficacité consentie choisie a priori était de 10% sur le critère de jugement principal. Il était prévu au protocole de réaliser l analyse principale sur la population en ITT modifiée avec en sus des analyses de sensibilité. Les critères de jugement secondaires et tertiaires concernaient : le succès du traitement à 6, 9 et 12 mois de suivi ; l influence des effets posturaux sur les paresthésies ressenties à 3 mois de suivi ; le soulagement de la douleur avec ou sans paresthésies à 3 mois de suivi ; l évaluation de la qualité de vie des patients selon le questionnaire SF-36 à 3, 6 et 12 mois de suivi ; l humeur selon le questionnaire POMS à 3, 6 et 12 mois de suivi ; la satisfaction des patients à 3, 6 et 12 mois de suivi ; la spécificité de la stimulation à 3 mois de suivi. Pour être implantés de façon définitive, les patients devaient subir une phase de stimulation test pouvant durer de 3 à 30 jours. Seuls les patients ayant un soulagement de leur douleur d au moins 50% pouvaient prétendre à une implantation définitive. Pendant les 3 premiers mois de traitement, il était demandé aux patients de ne pas modifier leurs médications. Les résultats liés au critère de jugement principal sont décrits dans le tableau suivant : 2 RESTORESENSOR diffère de RESTOREULTRA par la présence d une fonctionnalité complémentaire, nommée ADAPTIVESTIM. Il s agit d un capteur destiné à détecter en temps réel la position tridimensionnelle du patient afin d adapter automatiquement l amplitude de la stimulation délivrée et prévenir les paresthésies intempestives. Il était prévu au protocole de l étude ACCURATE de ne pas activer la fonctionnalité ADAPTIVESTIM. Il était prévu au protocole que les patients ne changent pas leur médication pendant l étude. Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles - 8 -

9

10

11

12

13 L enquête EPSIDONE (Enquête, Patients, Soins, et Intervenants de la DOuleur Neuropathique) 6, réalisée en 2008 chez patients, rapporte que les principales causes de douleur chronique d origine neuropathique sont : une hernie discale (22,7 %) ; une discopathie (16 %) ; une intervention chirurgicale (9,3 %) ; une lésion nerveuse périphérique (9,3 %) ; un syndrome douloureux régional complexe (6,7 %). Cette étude rapporte que moins de 3 % des patients bénéficiaient de la stimulation médullaire. Cependant les résultats de cette enquête sont de faible niveau de preuve avec un biais de recrutement majeur et une absence de représentativité de la population générale. Concernant la maladie de Buerger, la prévalence parmi les patients atteints d artériopathie périphérique oscille entre 0,5 et 5,6% en Europe de l Ouest IMPACT La neurostimulation médullaire présente un intérêt pour la santé publique au vu de l amélioration attendue de la qualité de vie des patients concernés en impasse thérapeutique. Le système de stimulation du ganglion spinal AXIUM répond à un besoin déjà couvert par les techniques de stimulation médullaire conventionnelle CONCLUSION SUR L INTÉRÊT DE SANTÉ PUBLIQUE Le système de stimulation du ganglion spinal AXIUM a un intérêt pour la santé publique compte tenu du handicap et de la dégradation de la qualité de vie engendrés par les douleurs d origine neuropathique secondaires à un syndrome régional douloureux complexe de type I ou II. 6 Van Belleghem V, Bouhassira D. Prise en charge des douleurs neuropathiques chroniques sévères : résultats de l'«enquête patients, soins et intervenants de la douleur neuropathique» (Epsidone). Douleurs 2009;10(6): Arkkila P. Maladie de Buerger. Encyclopédie Orphanet, Avril, 2006, [consulté le 20/10/2015]. Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles

14 En conclusion, la Commission Nationale d Evaluation des Dispositifs Médicaux et des Technologies de Santé estime que le Service Attendu est suffisant pour l inscription sur la liste des Produits et Prestations prévue à l article L du code de la sécurité sociale. La Commission recommande une inscription sous nom de marque et retient comme indication les douleurs chroniques d origine neuropathique, après échec des alternatives thérapeutiques, secondaires à un syndrome régional douloureux complexe de type I ou II persistant depuis au moins six mois. Dans ces conditions, la Commission Nationale d Evaluation des Dispositifs Médicaux et des Technologies de Santé estime que le Service Attendu est insuffisant dans les indications suivantes : dans les douleurs chroniques d origine neuropathique, après échec des alternatives thérapeutiques, secondaires à un syndrome douloureux radiculaire persistant depuis un an en post-opératoire ; dans les douleurs chroniques d origine neuropathique, après échec des alternatives thérapeutiques, secondaires à un syndrome douloureux chronique tronculaire d origine diabétique, zostérienne, traumatique ou chirurgicale persistant depuis au moins un an ; dans les douleurs chroniques d origine ischémique, après échec des alternatives thérapeutiques, secondaires à une maladie de Buerger. 05 ÉLÉMENTS CONDITIONNANT LE SERVICE ATTENDU SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES MINIMALES Aucune exigence supplémentaire par rapport aux spécifications techniques proposées par l industriel MODALITÉS D UTILISATION ET DE PRESCRIPTION La réalisation d un bilan de pré implantation est obligatoire. Ce bilan consiste en l évaluation des patients dans une structure d étude et de traitement de la douleur chronique avec l implication d une équipe pluridisciplinaire avec a minima un algologue et un psychologue ou un psychiatre. Ce bilan doit inclure une évaluation psychosociale, une évaluation de la douleur sur une échelle validée et une évaluation de la qualité de vie des patients. Le bilan de pré implantation doit être accompagné de la rédaction d un compte rendu annexé au dossier médical du patient. Lors de ce bilan, le patient doit pouvoir disposer des résultats d une IRM médullaire récente. Le bilan de pré implantation doit être suivi d un bilan neurologique incluant éventuellement un volet neurophysiologique (visant à évaluer les potentiels évoqués somesthésiques). Ces bilans doivent être suivis de la réalisation obligatoire d un test de stimulation épidurale préalable à l implantation définitive. Ce test doit être réalisé au domicile du patient sur une durée d au moins sept jours. La CNEDiMTS recommande d implanter les seuls patients pour lesquels il a été observé pendant la période de test une réduction des douleurs d au moins 50 % objectivée par une échelle validée (identique à celle employée au cours du bilan pré implantation). En termes de suivi, la CNEDiMTS recommande un suivi à trois mois, un an puis annuellement afin de réaliser une visite de contrôle et le cas échéant de procéder à des ajustements des paramètres de stimulation. Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles

15 Concernant l information aux patients, la CNEDiMTS précise que sur la carte d identification remise au patient doit figurer la mention du caractère IRM compatible ou non de l ensemble du système implanté (boîtier, électrodes et le cas échéant, extension). De même, les patients doivent être informés sur le risque de réintervention lié aux complications de la technique (fractures d électrodes, migrations d électrodes, infection de la loge, perte d efficacité au cours du temps). 06 AMÉLIORATION DU SERVICE ATTENDU COMPARATEURS RETENUS Au regard de l étude ACCURATE, les comparateurs retenus sont les systèmes de stimulation médullaire inscrits sur la LPPR NIVEAUX D ASA Les données cliniques fournies rapportent un meilleur soulagement de la douleur avec le dispositif AXIUM par rapport aux systèmes conventionnels de stimulation médullaire dans la prise en charge des douleurs secondaires à un syndrome régional douloureux complexe. Cependant, l étude a été réalisée en ouvert sans évaluation de l effet placebo et le résultat du critère lié au ressenti des paresthésies intempestives n est pas interprétable. La Commission s est prononcée pour une l amélioration mineure du service attendu (ASA IV) par rapport aux systèmes de stimulation médullaire inscrits sur la LPPR. 07 CONDITIONS DE RENOUVELLEMENT ET DURÉE D INSCRIPTION CONDITIONS DE RENOUVELLEMENT AXIUM doit faire l objet du même suivi que celui préconisé par la CNEDiMTS pour GENESIS, EON, EON C et Eon Mini : registre analysant l ensemble des patients implantés, portant notamment sur l efficacité à long terme, les complications, les taux de révision et d explantation définitive du système. Le renouvellement sera subordonné à la présentation des résultats complets de l étude DURÉE D INSCRIPTION PROPOSÉE 5 ans. 08 POPULATION CIBLE La population cible représente le nombre de patients susceptibles de bénéficier de l implantation d un neurostimulateur médullaire implantable. Son estimation est habituellement réalisée en prenant en compte d une part, les données épidémiologiques aux Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles

16 pathologies visées par l emploi de ces dispositifs et d autre part, leur place dans la stratégie thérapeutique. Dans le cas de ces dispositifs, il n existe pas de données épidémiologiques spécifiques dans la littérature relatives aux situations cliniques proposées par le groupe de travail. La population cible peut être approchée à partir de la population rejointe correspondant aux patients traités par un système implantable de neurostimulation médullaire. Seules les données de 2012 sont exploitées compte tenu de l importante progression du nombre d implantations depuis L analyse menée par la HAS concernant l Évaluation de l activité hospitalière entre 2009 et 2012 permet d estimer le nombre de patients ayant reçu un implant en 2012 : dont 396 (22 %) ont reçu un stimulateur rechargeable 8. Ce pourcentage est confirmé par le groupe de travail, l implantation des stimulateurs rechargeables s adresserait à 15 % de la population éligible à la neurostimulation médullaire. Les données du Programme Médicalisé des Systèmes d Information (PMSI) de 2013 et 2014 estiment respectivement à 1897 et 1846 le nombre de patients ayant reçu un neurostimulateur, rechargeable ou non. La population rejointe des systèmes implantables de neurostimulation médullaire serait d environ avec la répartition suivante (80 % / 20 %) : pour un système non rechargeable (80 %) ; 370 pour un système rechargeable (20 %). Les indications retenues concernent une sous-population des indications retenues pour les stimulateurs médullaires conventionnels. Selon l étude EPSIDONE 6, le syndrome régional douloureux complexe concernerait 6,7% des patients ayant une douleur chronique d origine neuropathique. Au total, la population rejointe est d environ 100 patients par an en France. 8 Evaluation des systèmes implantables de neurostimulation médullaire, mars 2014, Saint-Denis La Plaine [lien] Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles

17

18

19 Nombre de sujets analysés et durée de suivi Nombre du sujets analysés pour le critère de jugement principal : n=69 dans le groupe AXIUM et n=70 dans le groupe stimulateurs conventionnels. Certaines parties du document ne sont pas lisibles car le demandeur a souhaité que certaines données commerciales et industrielles demeurent confidentielles

20

21

22

23

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau Innovation

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

PRADO, le programme de retour à domicile

PRADO, le programme de retour à domicile , le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques

Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques

Plus en détail

Exemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville

Exemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

TOPCHAI. Demandeur. Indications retenues : pour les. Comparateu retenu(s) : Amélioration. raison de. d autonomie. 5 ans - 1 -

TOPCHAI. Demandeur. Indications retenues : pour les. Comparateu retenu(s) : Amélioration. raison de. d autonomie. 5 ans - 1 - COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 28 janvier 2014 CONCLUSIONS TOPCHAI IR-S, fauteuil roulant électrique monte-marches Demandeur

Plus en détail

AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON

AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

fréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque

fréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 01 juillet 2014 CONCLUSIONS ELUNA 8 SR-T, stimulateur cardiaque implantable simple s chambre

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Estelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1

Estelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal

Plus en détail

La prise en charge des lombalgiques

La prise en charge des lombalgiques La prise en charge des lombalgiques Approche au Grand-Duché de Luxembourg Dr Nicole Majery Service de Santé au Travail Multisectoriel FMP, Bruxelles,17.4.08 Plan: Projet STM: 2001-2007: Financement Contenu

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS

Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS GUIDE MÉTHODOLOGIQUE Choix méthodologiques pour l évaluation économique à la HAS Octobre 2011 1 Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis La Plaine

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

La prise en charge de votre épilepsie

La prise en charge de votre épilepsie G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES VALANT NOTICE D INFORMATION DU CONTRAT «COMPLEMENTAIRE SANTE»

CONDITIONS GENERALES VALANT NOTICE D INFORMATION DU CONTRAT «COMPLEMENTAIRE SANTE» CONDITIONS GENERALES VALANT NOTICE D INFORMATION DU CONTRAT «COMPLEMENTAIRE SANTE» La présente notice est relative au contrat d assurance de groupe n 23 C 060 0041. Elle définit les garanties d assurance

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES

IMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Service évaluation des actes professionnels

Service évaluation des actes professionnels TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

TOPCHAIR-S, fauteuil roulant électrique monte-marches

TOPCHAIR-S, fauteuil roulant électrique monte-marches Véhicule pour personne handicapée Nouvelles données L essentiel SYNTHÈSE D AVIS DE LA COMMISSION NATIONALE D ÉVALUATION DES DISPOSITIFS MÉDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ TOPCHAIR-S, fauteuil roulant

Plus en détail

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008 Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose

Plus en détail

RÉSUMÉ DU PROGRAMME. Octobre 2014 - Police n o 53072. Programme d assurance de l Association des jeunes médecins du Québec, administré par

RÉSUMÉ DU PROGRAMME. Octobre 2014 - Police n o 53072. Programme d assurance de l Association des jeunes médecins du Québec, administré par Prix compétitifs Couverture à valeur ajoutée Service personnalisé RÉSUMÉ DU PROGRAMME Octobre 2014 - Police n o 53072 Programme d assurance de l Association des jeunes médecins du Québec, administré par

Plus en détail

SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault

SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c

Plus en détail

Les défibrillateurs cardiaques implantables

Les défibrillateurs cardiaques implantables Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE

La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,

Plus en détail

A. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)

A. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française) Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775

SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008

LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008 LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Droit d accès

GUIDE PRATIQUE. Droit d accès 111 GUIDE PRATIQUE Droit d accès QU EST-CE QUE LE DROIT D ACCÈS? page 2 COMMENT EXERCER SON DROIT D ACCÈS? page 3 POUR ACCÉDER A QUOI? page 5 QUELLE RÉPONSE ATTENDRE? page 6 QUAND ET COMMENT SAISIR LA

Plus en détail

Décret n 2010-1229 du 19 octobre

Décret n 2010-1229 du 19 octobre Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif

Plus en détail

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule

Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule SÉRIE DE CRITÈRES DE QUALITÉ POUR L ÉVALUATION ET

Plus en détail

CONTRAT D ASSISTANCE PREMUNIL

CONTRAT D ASSISTANCE PREMUNIL CONTRAT D ASSISTANCE PREMUNIL Toutes marques Défibrillateurs en accès public Vous accompagner dans L accès public à la défibrillation Z031013-12 1 Référence Tarif H.T 2014-2015 ANNUEL PAR APPAREIL SERVICES

Plus en détail

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

LE TEMPS PARTIEL THÉRAPEUTIQUE? SALARIÉS, MÉDECINS, EMPLOYEURS En toute concordance!

LE TEMPS PARTIEL THÉRAPEUTIQUE? SALARIÉS, MÉDECINS, EMPLOYEURS En toute concordance! LE TEMPS PARTIEL THÉRAPEUTIQUE? SALARIÉS, MÉDECINS, EMPLOYEURS En toute concordance! C O M M E N T V O U S Y R E T R O U V E R?. www.polesantetravail.fr Réglementation (Art. L323-3 Code SS) «En cas de

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires

Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires 1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

RÉSUMÉ DU PROGRAMME. Mars 2014 - Police n o 31943

RÉSUMÉ DU PROGRAMME. Mars 2014 - Police n o 31943 Prix compétitifs Couverture à valeur ajoutée Service personnalisé RÉSUMÉ DU PROGRAMME Mars 2014 - Police n o 31943 Programme d assurance de l Association québécoise des informaticiennes et informaticiens

Plus en détail

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité

Plus en détail

composés de : urs de son

composés de : urs de son COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 244 février 2015 CONCLUSIONS Systèmes s d implants cochléaires, composés de : Mi1200 SYNCHRONY

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

Offre MMJ - Ouverture

Offre MMJ - Ouverture M U T U E L L E D U M I N I S T E R E D E L A J U S T I C E Bulletin d adhésion Offre MMJ - Ouverture MES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS Merci de renseigner les informations demandées EN LETTRES CAPITALES N

Plus en détail

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon»

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon» Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Observatoire Régional de la Santé du Languedoc Roussillon 135 Allée Sacha Guitry - ZAC Tournezy

Plus en détail

Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail

Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques

Plus en détail

Qu avez-vous appris pendant cet exposé?

Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux

Plus en détail

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2 Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille

Plus en détail

ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE

ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE DE BASE Convention nationale Entre Les Organismes Gestionnaires Et Les Chirurgiens Dentistes CONVENTION NATIONALE Etablie sous l égide de l Agence Nationale de l Assurance

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des

Plus en détail