CODE ET MANUEL D APPLICATION POUR LE CALCUL ET L EXECUTION
|
|
- Yolande Morency
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CODE ET MANUEL D APPLICATION POUR LE CALCUL ET L EXECUTION DU BETON ARMI. Rédigé par une Commission d Experts de l UNESCO, DUNOD PARIS 1968
2 CODE ET MANUEL D APPLICATION POUR LE CALCUL ET L EXECUTION DU BETON ARME par Rédigé une Commission d experts de l UNESCO Pour faciliter l exécution de divers projets d assistance technique dans les pays en voie de développement, l UNESCO procède à des études ap rofondies dans des domaines tee que la normalisation, les règles technologiques et les guides pour la conception et la construction d ouvrages techniques, domaines qui semblent se prêter le mieux à la transmission des connaissances technologiques à ces pays. L absence de normes, règles et guides de ce genre, risque d entraver sérieusement le progrès économique. On utilise souvent des nomes ou des règles étrangères qui ne sont pas toujours les plus appropriees, eu égard aux conditions climatiques ou au niveau de développement social et économique des pays intéressés. Aussi la rédaction et la mise au point de tels documents constituent-t-elles une question importante pour le progrès économique des pays en voie de développement. Rédigée par une Commission internationale d experts nommés par U UN ESCO, la première partie ou ((Code pour le calcul et l exécution du béton armé ) constitue une tentative d unification dans un domaine particuiièremeht important pour le développement économique. En effet, l existence d un code international du béton armé devrait faciliter dans une large mesure la Voir suite sur le deuxième rabat tâche des entreprises contribuant aux grands travaux de développement économique dans diverses régions et permettre la réaiisation plus aisée des projets entrepris sous une forme communautaire par les différents pays. A ce titre, nul doute que cet ouvrage intéressera non seulement les pays en voie de développement, mais aussi les ingénieurs et techniciens des pays industrialisés. E&, l unification des règles du béton armé devrait se révéler particulièrement utile dans le domaine de l enseignement et de la formation des ingénieurs et techniciens. Les professeurs des universités techniques et des écoles d ingénieurs, et tout particulièrement les experts chargés de mission pédagogique dans les divers pays en voie de développement, accueilleront sans doute très favorablement cette initiative de ~ UNE~CO, de nature à faciliter singulièrement leur tâche. Dans cet ordre d idées, il est apparu dès le début des travaux de la Commission qu il était indispensable de compléter le Code par une seconde partie, dont l objet serait de faciliter l enseignement ainsi que la mise en a plication des prescriptions du Coz. C est dans cet esprit que U UN ESCO a chargé divers experts de préparer des chapitres complémentaires développant les bases théoriques de certaines prescriptions, ou en facilitant l application pratique. Ces chapitres ont été groupés dans une seconde partie, intitulée G MaNuel d application pour le calcul et l exécution du béton armé n. Les deux parties de l ouvrage sont ainsi susceptibles d intéresser ceux qui, à différents titres, s occupent de la construction en béton armé : maîtres d œuvre, architectes, ingénieurs et constructeurs, bureaux d engineering, d études et de contrôle, professeurs et étudiants des écoles d ingénieurs, membres des commissions nationales de réglementation du béton armé.
3 CODE ET MANUEL D APPLICATION POUR LE CALCUL ET L EXÉCUTION BETON DU ARME 0 9
4 COMPOSITION DE LA COMMISSION Président : Yves SAILLARD, Dr. Ifig., Directeur Technique de la Chambre Syndicale Nationale des C0nstructeur.s en Ciment Armé et Béton Précontraint de France, Secrétaire Permanent du Comité Européen du Béton, 9, rue La Pérouse, Paris (16e). Rapporteurs et Conseils : Jean DESPEYROUX, Ing. Civil, Directeur Technique de la Société de Contrôle Technique et d'expertise de la Construction, 4, rue du Colonel-Driant, Paris (le'). A.M. HAAS, Prof. Dr. Ing., Department of Civil Engineering, Technological University Delft, 25, Oostplantsoen, Delft (Pays-Bas). Telemaco VAN LANGENDONCK, Prof. Dr. Ing., Escola Politecnica de Universidade de Sao-Paulo, Caixa Postal, 30086, Sao-Paulo (Brésil). Franco LEVI, Prof. Dr. Ing., Istituto Universitario di Architettura di Venezia, Président du Comité Européen du Béton et de la Fédération Internationale de la Précontrainte, Corso Casale, 182, Turin (Italie). Alan H. MATTOCK, Prof. Dr. Ing., Department of Civil Engineering, University of Washington, Seattle, Washington, (U.S.A.). Jacques NASSER, Prof. Dr. Ing., Université Américaine de Beyrouth, B.P. 2660, Beyrouth (Liban). André PADUART, Prof. Dr. Ing., Université Libre de Bruxelles, 49, square des Latins, Bruxelles-5 (Belgique). Raymond C. REESE, Ing. Conseil, Ancien Président de 1'American Concrete Institute, Membre de la Commission ACI-318 (Standard Building Code», 743, South Byrne Road, Toledo, Ohio (U.S.A.). Stefan SORETZ, Dr. Ing., Ing.-Conseil, Klopsteinplatz, 1, A: 1030, Vienne (Autriche). Secrétaire : Stéphane BERNAERT, Ing. Civil, Prof. à 1'Ecole Spéciale des Travaux Publics, Paris, M. Sc. (Illinois, U.S.A.), 9, rue La Pérouse, Paris (16e).
5 Pubiié en accord avec l'unesco 0 UNESCO, Touie reproduction même partielle. de cet ouvrage est interdite. Une copie ou'reproduction par quelque proc6d6 que ce soit. photographie. microlilm. bonde magnélique, disque ou outre CO~SIIIU~ une contrefacon possible des peines prévues por 1; io, du I I mars 1957 sur Io proieciion des droils d'auteur.
6 Le présent document comporte, en un volume unique, - d une part le Code pour le calcul et l exécution du béton armé, - d autre part le Manuel d application, destiné à faciliter l utilisation pratique du Code par les projeteurs et les constructeurs. Seul, le Code présente un caractère réglementaire (*). Les divers chapitres du Manuel d application, dont chacun est rédigé sous la responsabilité propre de son auteur, constituent des Commentaires explicatifs, développant certaines bases théoriques des prescriptions du Code ou donnant des indications utiles en vue de leur application. (*) Nota : Toutefois, les paragraphes du Code présentés en petits caractères (identiques à ceux de ce Nota), constituent des commentaires explicatifs, qui, en principe, ne sont pas réglementaires, à moins d une mention particulière dans les documents contractuels.
7 AVANT-PROPOS Pour faciliter l exécution de divers projets d assistance technique dans des pays en voie de développement, l Unesco procède à des études approfondies dans des domaines tels que la normalisation, les règles technologiques et les guides pour la conception et la construction d ouvrages techniques, domaines qui semblent se prêter le mieux à la transmission des connaissances technologiques à ces pays. L absence de normes, règles et guides de ce genre risque d entraver sérieusement le progrès économique. On utilise souvent des normes et des règles étrangères, qui ne sont peut-être pas toujours les plus appropriées, eu égard aux conditions climatiques ou au niveau de développement social et économique des pays intéressés. Aussi la rédaction et la mise au point des normes et règles fondamentales constituent-elles une question d une urgence et d une importance capitales pour le progrès économique des pays en voie de développement. Les pays industrialisés possèdent une masse énorme de connaissances dans le domaine des normes et des règles technologiques, mais pour pouvoir être appliquées dans les pays en voie de développement, ces connaissances doivent être judicieusement triées, soumises à un examen critique et rectifiées par des ingénieurs et chercheurs expérimentés, en coopération avec les associations techniques internationales et les organisations de normalisation. Voilà un terrain particulièrement favorable à l assistance technique, qui peut ainsi contribuer à mettre efficacement et rapidement les connaissances existantes au service du développement. Les pays en voie de développement n ont pas besoin de règles aussi complexes que celles qu on élabore actuellement en Europe et en Amérique. I1 importe, en revanche, de leur fournir d urgence un manuel aussi bien fait et aussi simple que possible, qui puisse constituer un guide efficace pour leurs cadres technologiques toujours plus nombreux. Le présent Code pour le calcul et l exécution du béton armé est l un des premiers recueils de règles technologiques qu on ait faits à l intention des pays en voie de développement. Deux autres études du même genre sont en préparation (I). Nous espérons que ces études constitueront les premiers (1) Roures dans les pays en voie de développemeni, el Recommandations concernanl les barrages el les reservoirs.
8 VI11 AVANT-PROPOS éléments d une longue série de recueils technologiques concernant une vaste gamme de questions techniques applicables à diverses régions géographiques. Le présent (Code pour le calcul et l exécution du béton armé ) a été rédigé, après un examen approfondi, par un groupe de travail international comprenant certains des principaux membres du Comité Européen du Béton et de 1 American Concrete Institute : Y. Saillard (France), président ; J. Despeyroux (France) ; A. M. Haas (Hollande) ; T. van Langendonck (Brésil), F. Levi (Italie) ; A. H. Mattock (États-Unis d Amérique) ; J. Nasser (Liban) ; A. Paduart (Belgique) ; R. C. Reese (États-Unis d Amérique) ; S. Soretz (Autriche) et S. Bernaert (France), secrétaire. L Unesco tient à exprimer sa reconnaissance et sa gratitude à tous les membres du groupe pour l excellent travail qu ils ont accompli avec beaucoup de compétence, d efficacité et de promptitude. Le Code sera révisé dans deux ou trois ans à la lumière de l expérience de son application effective à la conception et à la construction d ouvrages techniques.
9 TABLE GENERALE PREMIERE PARTIE CODE POUR LE CALCUL ET L EXECUTION DU BETON ARME 1. DOMAINE D APPLICATION ET OBJET DU CALCUL 1.1. Domaine d application Objet du calcul Notion de a mise hors-service D Notion d «état-limite ) Processus général du calcul UNITES ET NOTATIONS 2.1. unités Unités de base Unités secondaires Unité de force Unité de travail et d énergie Unité de pression et de contrainte Correspondance entre les unités S.I. et les unités anciennes Notations Lettres minuscules de l alphabet latin Lettres majuscules de l alphabet latin Lettres minuscules de l alphabet grec Exposants Indices Exceptions autorisées... avec. en Annexes, tableau alphabétique des notations du code. 3. DETERMINATION DES CARACTERES DES MATERIAUX 3.1. Acier Dèjinition des aciers utilisés Barres lisses Barres A haute adhérence Treillis soudés Profilés
10 X TABLE DES MATIÈRES Définition des diamètres utilisés Caractères mécaniques de référence de l acier Limite d élasticité de l acier Diagramme de traction de l acier Aciers naturels Aciers écrouis Béton Résistances mécaniques de référence du béton Détermination expérimentale des résistances mécaniques de référence du béton Résistance à la compression Résistance à la traction Détermination forfaitaire des résistances mécaniques de référence du béton Résistance à la compression Résistance à la traction Module de déformation du béton Cas des charges instantanées (module instantané) Cas des charges de longue durée (module différé) CoefJicient de Poisson du béton CoefJicient de dilatation thermique du béton Déformations linéaires difiérées du béton DETERMINATION DE LA SECURITE 4.0. Principe de vérification de la sécurité Détermination des sollicitations caractéristiques Charges permanentes et surcharges fixes d exploitation Surcharges variables d exploitation Surcharges dynamiques d exploitation Surcharges climatiques et actions sismiques Retrait, fluage et variations de température Eflet du procédé de construction Détermination des résistances de base Définition des résistances de base Résistance de base de l acier Résistance de base du béton DETERMINATION DES EFFETS DES CHARGES PERMANENTES. SURCHARGES ET AUTRES ACTIONS 5.1. Structures constituées de pièces linéaires Structures planes Structures planes chargées perpendiculairement à leur plan moyen (dalles)... 44
11 TABLE DES MATIÈRES XI Structures planes chargées parallèlement à leur plan moyen Parois et murs porteurs Evaluation des effets des charges verticales Détermination des charges Répartition des charges Détermination de l excentricité de calcul Excentricité initiale Excentricité complémentaire Excentricité totale de calcul Évaluation des effets des charges horizontales Poutres. cloisons DETERMINATION DES SECTIONS 6.1. Actions et contraintes normales Etat-limite ultime Flexion droite (simple ou composée) Hypothèses fondamentales de calcul Prise en compte du béton en compression Largeur de la zone comprimée Poutres en T sur appuis libres Poutres en T sur appuis continus Poutres en T à goussets Raccourcissement unitaire maximal du béton Diagramme de répartition des contraintes du béton Prise en compte de l armature de traction Prise en compte de l armature de compression Flexion déviée (simple ou composée) Compression centrée Pièces non frettées Hypothèses fondamentales de calcul Raccourcissement unitaire limite du béton et de l acier Prise en compte du béton en compression Prise en compte de l armature de compression.. 2. Pièces frettées Objet du frettage Conditions nécessaires d efficacité du frettage Hauteur maximale de la zone frettée Epaisseur maximale de la zone frettée Nature et disposition des frettes Pourcentage minimal des frettes Prise en compte de l effet de frettage Section de référence d une pièce frettée Contrainte de compression d une pièce frettée Coefficient de frettage Traction centrée... UNESCO.. Béton armé
12 XII TABLE DES MATIÈRES Etat-limite d instabilité Hypothèses fondamentales de calcul Etat-limite d instabilité des poteaux et colonnes en compression centrée État-limite d instabilité des poteaux et colonnes en compression excentrée État-limite d instabilité des plaques chargées parallèlement à leur plan Prise en compte de l effet du fluage Etat-limite de fissuration Hypothèses fondamentales de calcul Définition de l état-limite de fissuration Bases de vérification pratique de la fissuration Classification des ouvrages d après les conséquences de la fissuration Classe (1) Classe (2) Classe(3) Règles générales de vérification de la fissuration Conditions de validité des règles Définition de la section de béton d enrobage de l armature Détermination du diamètre maximal des barres de l armature Prise en compte de l effet du gonflement du béton Règles particulières à certains éléments de structures Poutres de grande hauteur Dalles et structures planes Etat-limite de déformation Hypothèses fondamentales de calcul Définition de l état-limite de déformation Bases de calcul pratique des déformations Valeurs maximales des flèches admissibles Ponts et ouvrages d art Bâtiments à usage public ou privé Règles générales de calcul Cas des pièces fissurées Cas des pièces non fissurées Règles simplifiées pour les bâtiments courants Actions et contraintes tangentes Règles générales de calcul Dénifitions des coutures Hypothèses fondamentales de calcul («Règle des coutures») Effort tranchant Base du calcul de la résistance à l effort tranchant Pourcentage minimal de l armature transversale Règles pratiques de calcul
13 TABLE DES MATIERES XII1 1. Calcul des poutres et nervures Capacité de résistance à l effort tranchant de l armature transversale Capacité de résistance à l effort tranchant du béton de la zone comprimée Capacité totale de résistance à l effort tranchant 2. Calcul des zones d appui des poutres Calcul des jonctions tables-nervures Calcul des dalles et coques Adhérence Définition de l adhérence Adhérence par ancrage Adhérence par entraînement Ancrage des armatures Principes de base des calculs d ancrage Vérification de l ancrage Dimensionnement des coutures d attache Ancrage droit Ancrage d une armature de traction Ancrage d une armature de compression Ancrage par courbure Ancrage d une armature de traction Processus du calcul Condition de non-écrasement du béton Crochets normaux Ancrage des cadres et étriers Ancrage d une armature de compression Danger de l ancrage par courbure en compression Poussée au vide Arrêt des armatures longitudinales Jonction des armatures par recouvrement Recouvrement des armatures de traction Barres sans dispositifs d ancrage (barres droites) Barres avec dispositifs d ancrage (crochets) 52. Recouvrement des armatures de compression Entraînement des armatures Entraînement global de l ensemble des barres d armature Vérification de l entraînement dans l état-limite ultime Torsion Base du calcul de la résistance à la torsion Pourcentage minimal de l armature transversale Règles pratiques de calcul Contribution de l armature transversale à la résistance à la torsion Contribution du béton de la zone comprimée à la résistance à la torsion Capacité tota1e.de résistance à la torsion
14 XIV TABLE DES MATIÈRES Poinçonnement Hypothèses d applicabilité du calcul Détermination de la résistance du poinçonnement Cas particulier d un contour de forme allongée Cas particulier de la présence d une ouverture Cas particulier du voisinage d un bord libre Cas particulier du voisinage d un angle libre os DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES 7.0. Conformité des dispositions constructives avec les hypothèses de calcul Dispositions générales relatives aux armatures Utilisation simultanée de diverses nuances ou types d acier Courbures admissibles des barres d armature Condition de non-écrasement du béton Condition de façonnage de l acier Rayons minimaux de courbure Diamètre minimaux des mandrins de cintrage Arrêts des barres d armature I. Dispositifs d arrêts Changements brusques de sections Jonction des barres d armature Jonctions par recouvreme 1. Recouvrement des armatu 2. Recouvrement des armatures de compression Jonctions par soudure Nature des jonctions par soudure Emplacement des jonctions par soudure Résistance des jonctions par soudure Espacements des barres d armature Espacements des barres d une même file verticale d armatures Espacements des barres d un même lit horizontal d armatures Groupements de barres au contact Espacements des barres d une croisée de poutres Enrobage des barres d armature Dispositions communes à toutes les barres d armature Dispositions particulières aux barres d armature principale Groupements de barres au contact Dispositions particulières à divers éléments de structures Dispositions particulières aux poteaux i. Section minimale Armature longitudinale Limite élastique minimale
15 TABLE DES MATIÈRES Poiircentage minimal... Y. Dispositions constructives Armature transversale Diamètre minimal 2. Pourcentage minimal Espacement maximal Dispositions constructives Mise en place de l armature Dispositions particulières aux pièces frettées Dimensions géométriques de la zone frettée Pourcentage minimal des frettes Dispositions des frettes Frettage en hélices ou en cerces Frettage en nappes Dispositions particulières aux pièces fléchies Armature longitudinale de traction Armature longitudinale de compression Armature longitudinale de répartition Armature transversale Changements de sections géométriques Dispositions particulières aux dalles et structures planes Armature de travée Diamètre maximal Espacement maximal Rapport des sections dans les deux directions perpendiculaires Armature de rive Armature d angle Armature de poinçonnement Cadres verticaux ou inclinés Barres relevées Autres dispositifs... xv PRESENTATION DES PROJETS 8.1. calculs Bases des calculs Précision arithmétique des calculs Communication des calculs Dessins Dessins d avant-projet Dessins d exécution Dispositions communes à tous les dessins d exécution Dispositions particulières aux dessins de coffrage Dispositions particulières aux dessins de ferraillage Conditions d exbution
16 XVI TABLE DES MAT&RES 9. EXECUTION DES OUVRAGES 9.1. Dispositions particulières aux coffrages Classement et constitution des cograges Coffrages ordinaires Coffrages soignés Joints des coffrages Etanchéité des coffrages Caractères mécaniques des coffrages Résistance mécanique Flèches et contre-flèches Préparation des coflrages Nettoyage Humidification Huilage Entretien Processus de décoffrage Dispositions particulières aux armatures Essais des aciers Essais en usine avant livraison Essais sur chantier après livraison Contrôle des caractères mécaniques de référence Nombre des éprouvettes Interprétation des résultats Contrôle des caractères de façonnage Nombre des éprouvettes Interprétation des résultats Façonnage des armatures Mode de façonnage Diamètre minimal du mandrin de centrage Aciers doux Aciers mi-durs Aciers durs Vitesse de centrage Interdiction du dépliage Soudage des armatures Mode de soudage Exécution du soudage Mise en place des armatures Dispositions particulières aux bétons Composition du béton Définition Ciments
17 TABLE DES MATIERES XVII Granulats Eau de gâchage Adjuvants Dosages Essais de résistance du béton Nature des essais Prélèvement des échantillons Moules des éprouvettes Nombre des éprouvettes Confection et conservation des éprouvettes Processus d essai Fabrication du béton Approvisionnement du malaxeur Processus de malaxage Transport et mise en œuvre du béton Contrôle avant bétonnage Transport du béton Mise en œuvre du béton Vibration du béton Interruption et reprise de bétonnage Etuvage du béton Cure du béton Bétonnage par temps froid Bétonnage par temps chaud Tolérances Tolérances de dimensions Tolérances d aplomb Tolérances de rectitude Tolérances de ferraillage Tolérances sur la distance minimale des armatures au 178 parement Tolérances sur la position des armatures principales Tolérances sur la position des armatures transversales Stimultanéité de plusieurs tolérances DEUXIÈME PARTIE MANUEL D APPLICATION POUR LE CALCUL ET L EXECUTION DU BETON ARME 1. VALEURS USUELLES DES SURCHARGES ET ACTIONS DU VENT 1.1. Préambule Définitions Les surcharges fixes d exploitation Les surcharges variables d exploitation Les surcharges dynamiques d exploitation Les surcharges climatiques
18 XVIII TABLE DES MATII~RES 1.3. Surcharges variables d exploitation Domaine d application Valeurs nominales des surcharges Terrasses Habitation Bureaux Hôpitaux Ecoles Boutique et magasins de vente Salles de spectacles et lieux publics Entrepôts et ateliers Garages, passages ou cours accessibles aux véhicules Règles particulières aux surcharges variables Loi de dégression des surcharges dans les bâtiments à étages Cloisons légères de distribution susceptibles d être déplacées Toitures Organes mobiles Efforts horizontaux subis par les garde-corps Charges d épreuve Effets du vent Processus de vérification Domaine d application Définitions et principes généraux Direction du vent Exposition des surfaces Maître-couple Action exercée par le vent sur une des faces d un élément de paroi Pression dynamique et coefficient de pression Pression dynamique Définition Pression dynamique normale et pression dynamique Régions Valeurs des pressions dynamiques Réductions Actions extérieures et intérieures Définition Actions extérieures Actions moyennes Actions locales Actions intérieures _ Actions résultantes unitaires sur les parois Actions d ensemble Blocs accolés en une seule file à toiture unique Cas spéciaux
19 TABLE DES MATIÈRES XIX DETERMINATION PROBABILISTE DE LA SECURITE Préliminaires... Rappel des principes des théories probabilistes de la sécurité... Méthode semi-probabiliste de calcul C.E.B.IC.1.B.... Valeurs caractéristiques et valeurs de calcul des charges permanentes. surcharges et autres actions Définition générale Valeurs caractéristiques et valeurs de calcul des charges permanentes Valeurs caractéristiques et valeurs de calcul des surcharges et autresactions... Résistances caractéristiques et résistances de caicui de l acier et du béton Définition générale Résistances caractéristique et résistance de calcul de l acier Résistance caractéristique et résistance de calcul du béton... Mode de vérification de la sécurité Correspondance entre la méthode semi-probabiliste C.E.BJC.1.B. et la méthode simplifiée U.N.E.S.C.O FLEXION DROITE. CALCUL THÉORIQUE Rappel des hypothèses fondamentales de calcul Condition de compatibilité des déformations Prise en compte des bétons en compression Prise en compte de l acier en traction Prise en compte de l acier en compression... Calcul d une section symétrique de forme quelconque Détermination du type de rupture... Y Expression de - en fonction des caractères de la section et h des sollicitations extérieures Expression de limite... 6) Détermination pratique du type de rupture Détermination du moment de rupture Expression des équations d équilibre Expression du moment-plafond Récapitulation. Processus général de calcul le cas : (;)limite < (i)... plafond e cas :
20 xx TABLE DES MATIERES 3.2. Calcul d une section rectangulaire Calcul général Détermination du moment de rupture Expression générale du moment de rupture... Y Expression du moment relatif en fonction de -.. h Dimensionnement et vérification de l armature Données ler cas : f < O Y e cas : O, 50 < - < O, h e cas : O, 75 <?< Calcul d une section rectangulaire en flexion simple Dimensionnement de la section ler cas. La hauteur utile h est imposée au constructeur e cas. La hauteur utile h est laissée au choix du constructeur Vérification de la section l e tentative e tentative e tentative Calcul d une section rectangulaire en flexion composée avec compression Dimensionnement de la section ler cas. La hauteur utile h est imposée au constructeur e cas. La hauteur utile h est laissée au choix du constructeur Vérification de la section l e tentative e tentative e tentative Calcul d une section rectangulaire en compression excentrée Dimensionnement de la section ler cas. La hauteur utile h est imposée au constructeur e cas. La hauteur utile est laissée au choix du constructeur Vérification de la section Calcul d une section rectangulaire en compression simple Dimensionnement de la section Vérification de la section... h
LE GÉNIE PARASISMIQUE
LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège
Plus en détailDISPOSITIONS GÉNÉRALES
DISPOSITIONS GÉNÉRALES ÉTAIEMENT 2 MANUTENTION La manutention manuelle est aisée en raison de la légèreté des poutrelles FILIGRANE. Toutefois, en cas de manutention par grue avec élingues ou palonnier,
Plus en détailGLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ
GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ Accessoires Articles, à l'exception des barres d'armature; par exemple, les supports de barre. Adhérence Force de liaison entre l'acier d'armature et le béton. Armature en cisaillement
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678
Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailProduits préfabriqués lourds
Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi
Plus en détailC0nstruire une mais0n. Sommaire
Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détailChapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique.
12.1 Chapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique. 12.1. Introduction. Il existe des solutions mixtes acier-béton très diverses dans le domaine du bâtiment. A côté des classiques ossatures
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détailLe boulon d ancrage sert à fixer les pattes d attache des panneaux de coffrage pour murs alignés d un seul côté.
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Le coffrage une face Rédaction : Adrian Vonlanthen / Etudiant ETC 3 Date : 7 octobre 2008 Système d ancrage et de stabilisation Les systèmes
Plus en détailGuide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP
Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier
Plus en détailEN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs
EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel
Plus en détailTUBES ET ACCESSOIRES Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux
TUBES ET ACCESSOIRES 47 Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux Possibilité d autres sections sur demande. Les caractéristiques indiquées sont théoriques et non garanties. TUBES 48 TUBES
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailMACONNERIE/GROS OEUVRE
GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage
Plus en détailParois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61
Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailLong Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence
Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars Poutrelle Angelina L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Poutrelle Angelina Une idée audacieuse adaptée à un produit industriel Plus
Plus en détailLATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO
LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO NERGALTO, NERLAT, GALTO Facilité d emploi, Adaptabilité, Performance Les lattis métalliques nervurés NERLAT et NERGALTO sont la solution LATTIS adoptée par les
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailEt6. Octobre 2007. Armatures Manchonnées en Attente Pour l Industrie de la Construction
CI/SfB (29) Et6 Octobre 2007 rmatures Manchonnées en ttente Pour l Industrie de la Construction 2 La société ncon conçoit et réalise des produits en acier de grande fiabilité pour l industrie de la construction.
Plus en détailGuide de conception. Sécurité incendie des halls industriels
Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.
Plus en détailCOMMENT FAIRE DES ESCALIERS?
COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailGUIDE DE DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES POUR LE BATI NEUF SITUE EN ZONE D ALEA DE TYPE FONTIS DE NIVEAU FAIBLE
GUIDE DE DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES POUR LE BATI NEUF SITUE EN ZONE D ALEA DE TYPE FONTIS DE NIVEAU FAIBLE Document établi par : CSTB 84, avenue Jean Jaurès Champs-sur-Marne F-77447 Marne-la-Vallée Cedex
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailExemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée
Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF
Plus en détailProjet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen
Génie Civil Septembre 2006 Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen Tournier Guillaume, élève ingénieur 5 ème année Partie résidentielle Atrium & jardins intérieurs Espace
Plus en détailCours de Résistance des Matériaux (RDM)
Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION
Plus en détail26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.
Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron
Plus en détailLe Plancher Nouvelle Génération
Le Plancher Nouvelle Génération ISOLTOP ZAC du Plan 191 Avenue du counoise 84320 Entraigues sur la sorgue Tel : 04 90 23 52 42 Fax : 04 90 23 51 83 contact@isoltop.com www.isoltop.com Version 5 1 Bien
Plus en détailPrise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation.
Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation. Projet de Fin d Etude Auteur : GODARD Sandy Elève ingénieur en
Plus en détailDocument Technique d Application BERLIMUR
Document Technique d Application Référence Avis Technique 3/14-767 Annule et remplace l Avis Technique 3/10-657 Mur à coffrage intégré une face Incorporated shuttering wall one side Wand mit integrierter
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailConstruire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques
La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET
Plus en détaildes giratoires en béton
Chapitre Réalisation des giratoires en béton.1 Les giratoires en béton à dalles courtes.1.1 Les joints et leur calepinage.2 Les giratoires à dalles courtes goujonnées.3 Les giratoires en béton armé continu.
Plus en détailÉ L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER
I N S T I T U T C A N A D I E N D E L A T Ô L E D A C I E R P O U R L E B Â T I M E N T É L É M E N T S D O S S A T U R E L É G E R S EN ACIER Tables des charges admissibles : colombages et solives ICTAB
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailConstruire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88
Construire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88 P.Dantec (consultant expert) Ch.Peyral (DIRMC) PLAN Enjeux et risques
Plus en détailMarchés publics de travaux CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES GÉNÉRALES. Fascicule n 62 - Titre I - Section I
Ministère de l Equipement, des Transports et du Logement Secrétariat d Etat au Logement Secrétariat d Etat au Tourisme Direction des Affaires Economiques et Internationales BULLETIN Officiel Marchés publics
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailINFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailFixateurs pour murs périmétriques 3.2.4. 3.2.4.1 Description de l'application. 3.2.4.2 Description du produit. 3.2.4.3 Composition.
s pour murs périmétriques.....1 de l'application Les murs périmétriques, en tant que partie intégrante des murs-rideaux et des charpentes claires, sont courants dans les structures métalliques. Des profilés
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailMurs poutres & planchers
Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailII - 2 Schéma statique
II - 2 Schéma statique Philippe.Bouillard@ulb.ac.be version 7 septembre 2006 Schéma statique Définition Appuis et liaisons [Frey, 1990, Vol. 1, Chap. 5-6] Éléments structuraux Sans références Les dias
Plus en détailProtection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre
D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailConcepts généraux de la surveillance électronique des ponts routiers au ministère des Transports du Québec
Concepts généraux de la surveillance électronique des ponts routiers au ministère des Transports du Québec Marc Savard, ing, Ph. D. et Jean-François Laflamme, ing, M. Sc. Service de l entretien, Direction
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailArval. Planchers collaborants. Cofraplus 60
Cofraplus 6 es photos : Image de synthèse (a Tour) Sport City Tower, Doha (Qatar) Architecte : Concept Architect Hadi Simaan, Floride (USA) Structure : Arup, ondres (Royaume-Uni) Au milieu, à droite Parking
Plus en détailRÈGLE ALPHA MGSI. www.mgsi.pt. 52 Rue de la Belle Île - 77500 Chelles - France - Tel./Fax:+33 1 60 20 89 95 - E-mail:mgsifrance@yahoo.
ÈGLE ALPHA MGSI 52 ue de la Belle Île - 77500 Chelles - France - Tel./Fax:+33 1 60 20 89 95 - E-mail:mgsifrance@yahoo.fr ÈGLE ALPHA MGSI La règle Alpha MGSI est un système de coffrage de dalles en beton
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détail8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE
8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE De nombreux produits en acier (plats, tubes, barres, tiges, câbles, cornières ) sont utilisés pour les aménagements intérieurs et dans les éléments annexes
Plus en détailAUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS
Nice la Plaine 1 - Bt A3 RN 202 - Iscles des Arboras 06200 NICE Téléphone : 04 92 29 60 60 Télécopie : 04 93 83 83 36 Réf. client : NCA : /07 FT/FT MAIRIE DE NICE Direction des Bâtiments Communaux Service
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détailSSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détail[Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace.
Journal pour la clientèle de F.J. Aschwanden SA Septembre 2010 [Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace.
Plus en détailConstruction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests
Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Domaines d applications. Stockage / Mise en oeuvre. Caractéristiques physiques et techniques STOCKAGE MISE EN OEUVRE
FICHE TECHNIQUE PLANS DE TRAVAIL EGGER EUROSPAN Les plans de travail EGGER EUROSPAN se composent d un panneau support EUROSPAN à faible émission de formaldéhyde E1 et d un stratifié décoratif plaqué uniformément
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailEGCO. Technologies pour l industrie du bâtiment. Acoustique du bâtiment
EGCO Technologies pour l industrie du bâtiment Acoustique du bâtiment Acoustique du bâtiment Sommaire Page Produit Utilisation 6 Apérçu des produits 9 Découplage de paliers et arcades 10 Egcopal Introduction
Plus en détail(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01)
(19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 1 886 760 A1 (43) Date de publication: 13.02.2008 Bulletin 2008/07 (21) Numéro de dépôt: 0711197.6 (1) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailLexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ACADÉMIE DE CAEN L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN Lexique Abside Extrémité d'une église, en demi-cercle ou polygonale, entourant le chœur, où se plaçait le clergé.
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailLa présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round.
1 Objet La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. Le système complet comprend les éléments suivants: Panneaux Poteaux Accessoires tels que fixations
Plus en détailBéton. Fig. 1- Essai d'étalement sur table
Béton TD 1- Essai d'étalement sur table ou Flow-table test (Norme ISO 9812) Cet essai est particulièrement adapté au béton très fluide, fortement dosé en superplastifiant. Le diamètre du plus gros granulat
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailChapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailAnnexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3
Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement
Plus en détailNOTIONS ÉLEMENTAIRES SUR LES PNEUS
CE QU IL Y A DANS UN PNEU CEINTURES BANDE DE ROULEMENT ISOLANT DE NAPPES CARCASSE À ARCEAUX DROITS GARNITURE INTÉRIEURE CARCASSE TRINGLE FLANC La GARNITURE INTÉRIEURE du pneu maintient l air dans le pneu.
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA CONSTRUCTION DE PETITS BÂTIMENTS EN MAÇONNERIE CHAÎNÉE EN HAÏTI
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA CONSTRUCTION DE PETITS BÂTIMENTS EN MAÇONNERIE CHAÎNÉE EN HAÏTI M T P T C M I C T Septembre 2010 MTPTC : Ministère des Travaux Publics, Transports et Communications MICT
Plus en détailMise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes
RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailREHABILITATION DES LOGEMENTS DE LA CITE BAD A ABIDJAN - COCODY
REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ----------- BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT ---------- REHABILITATION DES LOGEMENTS DE LA CITE BAD A ABIDJAN - COCODY DESCRIPTIF LOT 02 GROS-OEUVRE MODE D'EXECUTION DES TRAVAUX
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version
Plus en détailSystèmes de levage et de fixation
Systèmes de levage et de fixation ocal Presence Global Competence Sommaire 01. rtéon: présentation de la société 04 02. Système de levage artéon 06 03. Système de levage par ancres plates 14 04. Système
Plus en détailInstallez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif
Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détail