Dr Buttard Service de cardiologie CH W.Morey Chalon sur saone.
|
|
- Floriane St-Pierre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1
2 Dr Buttard Service de cardiologie CH W.Morey Chalon sur saone.
3 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
4 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
5 Pourquoi informatiser : aspect réglementaire Circuit du médicament (d après arrêté du 31 Mars 1999) Administration infirmière au malade Compte-rendu infirmier Prescription médicale Ordonnance médicale individuelle Analyse pharmaceutique de la prescription Contrôles préalables Supports de distribution des médicaments Dotation pour besoins urgents Délivrance des médicaments prescrits Informations nécessaires au bon usage des médicaments Préparation des doses à administrer E. Schmitt & F. Locher
6 Circuit du médicament
7 Pourquoi informatiser? Gains de productivité et de sécurité pour les médecins : Meilleure connaissance du traitement et de son historique Possibilité d'accéder aux prescriptions médicamenteuses en réseau Aide à la prescription : livret, proposition de substitution, contrôle des interactions.
8 Pourquoi informatiser? Gains de productivité pour les personnels de la pharmacie : Analyse pharmaceutique de l'ordonnance Edition des plans de préparation des médicaments Gestion automatisée des sorties de stock
9 Pourquoi informatiser? Gains de productivité pour les infirmiers(ères) : Lisibilité des prescriptions Gain de temps de préparation Gestion automatique des commandes de médicaments Edition du plan d'administration des médicaments avec validation (traçabilité assurée).
10 Pourquoi informatiser? Meilleure gestion des dépenses hospitalières : Diminution des dépenses de médicaments (ordres de grandeur communément cités par rapport à un circuit traditionnel de demandes globales sans ordonnances : 10 à 20 %).
11 Pourquoi informatiser? Gains pour le patient : Meilleure sécurité dans l'application des traitements et des soins
12 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
13 DEMARCHE INFORMATISATION Informatisation du Dossier patient Priorité ARH Contrat de bon usage du médicaments ( T2A) 1ère étape : le circuit du médicament Informatiser le circuit du médicament : progression vers le circuit «idéal» Prescription signée et datée Analyse pharmaceutique Validation infirmière des administrations
14 Prescription au lit du malade Ordinateur portable Validation de la prescription par un pharmacien Validation des administrations par infirmière Gestion informatisée de l'armoire Validation des actes infirmiers dans le plan de soin informatisé Feuille de T = pancarte Utilisation
15 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
16 Logiciel Cristal net Technologie WEB ( intranet ) Développé par le CRIH des Alpes ( CHU Grenoble) Différents modules ( circuit du médicament, dossier patients, agendas etc..) 40 centres ( CHU grenoble,, Hospices civils Lyon )
17
18 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
19
20 Prescription au lit du malade Ordinateur portable
21
22 Visualisation de la prescription
23 Faire une prescription
24 SIGNATURE
25 Validation de la prescription par un pharmacien
26
27
28
29
30 1) Validation des administrations par infirmière 2) Validation des actes infirmiers dans le plan de soins informatisé 3) Gestion informatisée de l'armoire
31 DPLAN planning
32
33
34 Feuille de T = pancarte
35
36
37
38 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
39 Utilisation au CHWM 105 lits 220 lits moyen sejour maison de retraite long sejour Difficultés actuelles à étendre à d autres services 100 % des services informatisés en 2009 mais problème avec certains services spécifiques à prévoir ( réanimation, pédiatrie, maternité )
40 Utilisation dans le service de Un des deux services pilote Début: novembre 2003 cardiologie Intégralité des prescriptions médicamenteuses ( sauf adaptation posologique des traitements anticoagulants avec une feuille spécifique ) A l USIC l : Prescriptions informatisées à l ouverture du service en mai 2005 Plus d intervenants, plus d oublis, plus de traitement unique en urgence,plus de modifications ( PSE ) ce qui entraine plus de difficulés
41 Utilisation au CHWM : Avantages Qualité de la prescription, lisibilité Traçabilité Meilleure gestion des stocks de médicaments dans les services Réduction du temps infirmier dédié à la gestion des médicaments livret thérapeutique intégré Intervention ( validation ) du pharmacien Coopération pharmacie / service +++ Gain de temps sur les ré-hospitalisations.
42 Difficultés Difficultés à l'utilisation : prescription Changement des habitudes Appropriation du logiciel temps prescription +/- selon utilisateur Exigence +++ : précision Prescription spéciales AVK en relation avec paramètres biologiques Perfusion / PSE
43 Difficultés Difficultés à l'utilisation : prescription Prescripteurs d'autres services Présence ou non du médecin du service Accès prescription Quel support de prescription? Transmission d information aux services non informatisés (Impression feuille de température ) Médecins à temps partiels ou de passage dans le service Formation Absence de pratique! Système fonctionne correctement
44 Difficultés Difficultés à l'utilisation : administration Gestion des stocks plus difficile que prévu Entrée d'un patient Automédication Prescription non adaptée / papier / orale = perte de temps +++ Inventaire par préparateur. Difficultés à l'utilisation : aspect technique Connexion / accès Dépannage Disponibilité du service informatique, du CRIH des Alpes
45 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
46 CONCLUSION Pas de difficultés insurmontables Perte de temps médical / gain en rigueur / répond en partie aux exigences de qualité de la prescription médicamenteuse Gain en fiabilité pour les patients chroniques Nécessité de temps pharmacien Excellente adaptation du personnel paramédical
47 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. ARCHITECTURE DU PROCESSUS 4. UTILISATION 5. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
48 Définition de l EPP L évaluation des pratiques professionnelles est définie comme l analyse de la pratique professionnelle en référence à des recommandations et selon une méthode validée comportant la mise en œuvre et le suivi des actions d amélioration des pratiques
49
50 Les références EPP dans la V2 REF 40 Évaluation de la pertinence des pratiques REF 41 Évaluation du risque lié aux soins REF 42 Évaluation de la prise en charge des pathologies et problèmes de santé principaux Pertinence = adéquation aux besoins des patients,des indications d hospitalisation, des durées de séjour, des actes et prescriptions.
51 METHODES Approche par comparaison à un référentiel 1 Audit clinique 2 Revue de pertinence des soins 3 Enquêtes de pratique Approche par processus Méthode d analyse et d amélioration d un processus Chemin clinique Méthodes spécifiques de la gestion des risques Approche par problème Méthodes de résolution de problème Revue de mortalité-morbidité Méthodes d analyse des causes d un évènement indésirable Approche par indicateurs La recherche évaluative
52 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
53 Le circuit du médicament PRIORITE ACCREDITATION V2 CONTRAT DE BON USAGE ( spécialités couteuses ) THEME EPP (circuit du médicament cité comme thème d EPP dans le risque lié aux soins) L informatisation étant un outil de gestion du circuit
54 Le risque lié aux soins ( REF.41 ) Les professionnels ayant des pratiques à risque doivent les identifier et prévenir leur survenue grâce à des conditions de sécurité adaptées. Exemples d actions d EPP sur ce thème : sécurité transfusionnelle, sorties thérapeutiques, circuit du médicamentm dicament, mise en chambre d isolementd isolement,
55
56
57 L informatisation du circuit du médicament Permet circuit le fonctionnement en temps réel du
58 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. ARCHITECTURE DU PROCESSUS 4. UTILISATION 5. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
59 Les logiciels d aide d à la prescription peuvent- ils aider à l évaluation des pratiques professionnelles? Les logiciels d aide d à la prescription certifiés s constituent un outil susceptible d aider d le praticien dans sa démarche d EPP,grd EPP,grâce à certaines de leurs fonctions : - visualisation de l'historique des prescriptions pour un patient ; - constitution de tableaux résultant r de recherches multicritères. res. Portail internet HAS à propos des LPA «ambulatoires «
60 Que prévoit le référentiel r rentiel de certification des logiciels d aide d à la prescription? Le référentiel r rentiel demande que soient développd veloppées es : des fonctions permettant d améliorer la qualité de la prescription : interactions médicamenteusesm contre-indications en fonction du profil du patient allergies à certaines molécules dépassements de posologie prescription en dénomination d commune internationale Des fonctions destinées à faciliter le travail du médecin. m Ainsi, le logiciel permet de visualiser l ensemble l des traitements pris par un patient. Des fonctions participant à l optimisation du coût. Rq: : Il s agit s des LAP en cours. ambulatoires la réflexion r sur les LAP hospitaliers est
61 Informatisation circuit du médicament Elaboration de protocoles Prescription médicamenteuses Prescriptions d actes ( éducation, de surveillance) Validation de l indication Recueil exhaustif des données de surveillance
62 Base de données : outil d EPP Audit clinique Pertinence des prescriptions Mesures correctives Validation en COMEDIMS de protocoles d utilisation des médicaments
63 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. ARCHITECTURE DU PROCESSUS 4. UTILISATION 5. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES CONCLUSION 2
64 Les références Référence 40 : la pertinence des pratiques c) pertinence des prescriptions médicamenteuses
65 Lors de la prescription Choix de l indication validée
66 L indication apparait sur la prescription
67 REFERENCE EPP REF 42 Évaluation de la prise en charge des pathologies et problèmes de santé principaux Possibilités de faire des requêtes en rapport avec les indications Nombre de patients traités par indication Suivi des paramètres de surveillance ( biologique, cliniques, ).
68 ELABORATION DE PROTOCOLES
69
70
71
72
73
74
75
76 PLAN 1. SONDAGE 2. POURQUOI INFORMATISER LE CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. EXPERIENCE CHALONNAISE 1. CONTEXTE 2. PRESENTATION DU LOGICIEL 3. UTILISATION logiciel 4. BILAN 4. CONCLUSION 1 5. EPP 1. GENERALITES 2. EPP ET CIRCUIT DU MEDICAMENT 3. L INFORMATISATION COMME OUTIL D EPP 4. EXEMPLES 6. CONCLUSION 2
77 CONCLUSION L informatisation du circuit du médicament répond à certains critères de qualité S impose dans le cadre du contrat de bon usage Modifie la pratique sans bouleversement Peut aider à élaborer des processus d EPP
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite
Plus en détailPoitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit
Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailEdition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25
Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détail«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament»
«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» Prestations proposées par M. (Réactualisation 2010) Á moduler selon vos besoins 1 Contexte/Enjeux/Objectifs : La sécurisation du circuit
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailUn projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté
Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailRapport d audit interne
Rapport d audit interne Thème : Circuit du médicament Titre : Scan rapide du niveau de sécurisation du circuit du médicament dans l unité de soins. Date : Août 2010 Centre Médico-Chirurgical de Kourou
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailFORMATIONS SILLAGE GENOIS V15 & V15.1
FORMATIONS SILLAGE GENOIS PLANNING 2 au 6 février 2015 RÉF. INTITULÉ DE LA FORMATION LUNDI 2 FÉVRIER 2015 MARDI 3 FÉVRIER 2015 MERCREDI 4 FÉVRIER 2015 JEUDI 5 FÉVRIER 2015 VENDREDI 6 FÉVRIER 2015 SIL15DINJ
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailGuide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur Guide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailSystème d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)
Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn
Plus en détailOrganisation du circuit du médicament dans les hôpitaux et cliniques
Département chantiers pilotes Organisation du circuit du médicament dans les hôpitaux et cliniques Rapport final - septembre 2006 - Hervé LABORIE Sébastien WOYNAR Chargés de projet MeaH 50, rue du faubourg
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailCollaboration MRS (MRPA) - Pharmacie
Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?
Plus en détailtraçabilité en milieu médical
traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailOrganisation du circuit du médicament en établissement de santé
Références : OPC 9 manuel d accréditation version 1 N 36 manuel d accréditation version 2 Titre de collection Fiche thématique Titre de la fiche Organisation du circuit du médicament en établissement de
Plus en détailLes médicaments génériques
ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailIntroduction au métier d ARC. en recherche clinique
Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailNACO dans la FA non Valvulaire
NACO dans la FA non Valvulaire VII ème Rencontres chalonnaises Dr Buttard 29/11/2012 INTRODUCTION La consommation des anticoagulants a été multiplié par 2 en 10 ans Les indications de traitement anticoagulants
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailGroupe intervention. Etude COME-ON. Guide d utilisation de la plateforme de formation en ligne Groupe intervention. Dernière mise à jour 6/05/15
Groupe intervention Etude COME-ON Guide d utilisation de la plateforme de formation en ligne Groupe intervention Dernière mise à jour 6/05/15 0 Avant-propos La formation donnée dans le cadre de ce projet
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailPrésentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale. Asurances, soins, biens médicaux
Présentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale 2003 Asurances, soins, biens médicaux Une culture globale et entrepreneuriale orientée client Innovation et fonctionnement en réseau
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailPharmacie, L équipe. Sommaire
Pharmacie, L équipe Jean-Luc Le Moal Docteur en pharmacie, diplômé en économie et gestion des systèmes de santé (CNAM). Rejoint le CNEH en 1999 après des fonctions au CH de Quimper et au CHU de Nantes.
Plus en détailContribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU)
Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU) pour un cahier des charges des bases de données des produits de santé exigeant Rappelons pour mémoire que le législateur
Plus en détailles garanties santé une solution globale pour vos salariés
les garanties santé formules ESSENTIELLES une solution globale pour vos salariés LES GARANTIES peps ECO ACTIVE - les essentielles DES SERVICES PERFORMANTS Une solution globale pour la santé de vos salariés
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailCoordination Ville Hôpital
Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailPascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD
La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal
Plus en détailLe Dossier Pharmaceutique Partagé
Un nouveau + pour votre Santé Le Dossier Pharmaceutique Partagé Les pharmaciens continuent à investir dans la qualité des soins et la sécurité des patients COMMUNIQUE DE PRESSE 25 février 2014 Le Dossier
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative
Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction qualité et fonctionnement des établissements de santé
Plus en détailChangements au régime d'assurance collective au 1 er janvier 2015 qui s appliquent aux retraités du Mouvement Desjardins. Questions et réponses
Changements au régime d'assurance collective au 1 er janvier 2015 qui s appliquent aux retraités du Mouvement Desjardins Questions et réponses Q-1 Pourquoi modifier à nouveau le régime d'assurance collective
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY Lanuéjols 48000 MENDE SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p. 3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT
Plus en détailLa politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins
La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailAinsi plusieurs dispositions ont été prises pour enrichir les informations disponibles sur les médicaments et dispositifs médicaux :
des produits et prestations en sus des tarifs d hospitalisation renforcent la nécessité d une information partagée sur l utilisation de ces produits au sein des établissements de santé. Ainsi plusieurs
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES
PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour
Plus en détailDE LA FORMATION CONTINUE À L OFFICINE
Notre mission : Chaque pharmacien est unique, UTIP Innovations propose partout en métropole et dans les DOM les solutions de formation adaptées Notre ambition : Devenir acteur de référence du DPC UTIP
Plus en détailRenforcer la fonction achats en établissement de santé
Nouvelle version Renforcer la fonction achats en établissement de santé Kit de déploiement V2 Préambule au kit établissement V2 La présente version du kit de déploiement intègre les retours d expérience
Plus en détailles garanties santé formules
les garanties santé formules RENFORCÉES une solution globale pour vos salariés LES GARANTIES peps Eco active DES SERVICES PERFORMANTS Une solution globale pour la santé de vos salariés Malakoff Médéric
Plus en détailCluster I care Rhône Alpes propose une rencontre professionnel / industrie en mode Living Lab
Naissance du projet CALYDIAL, Etablissement de santé lyonnais s est lancé dans le développement d un programme de télémédecine sur tous ses domaines d activité autorisé : dialyse péritonéale, hémodialyse
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS ETUDE D IMPACT ORGANISATIONNEL ET ECONOMIQUE DE LA SECURIS ATION DU CIRCUIT DU MEDIC AMENT D ANS LES ETABLISSEMENTS
Plus en détailSécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur
Repères pour votre pratique Sécurisation du circuit du médicament dans les Etablissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sans pharmacie à usage intérieur Mars 2012 Mise à jour en
Plus en détailRéseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006
Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailUtilisation du DSQ. 2. Principales fonctions associées au DSQ
Utilisation du DSQ 1. Général Dans la phase initiale de déploiement, seuls les centres médicaux faisant partie du projet pilote auront accès au module SQIM. Les professionnels se verront attribuer une
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailFMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu
FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence
Plus en détailVocera Thierry Géraud Didier Chicheportiche. Résultats critiques et évolutions réglementaires 14-16 mai 2013
Vocera Thierry Géraud Didier Chicheportiche Résultats critiques et évolutions réglementaires 14-16 mai 2013 1 Mauvaise communication source de décès Une étude de la Joint Commission a conclu que le manque
Plus en détailBOOK DES OFFRES DE STAGE
BOOK DES OFFRES DE STAGE Novartis est un leader mondial dans l'offre de médicaments destinés à préserver la santé, soigner les malades et améliorer le bien-être. Novartis renforce son portefeuille thérapeutique
Plus en détailChaîne de production des médicaments
Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la
Plus en détailFédération des Syndicats Pharmaceutiques de France
Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France Note de synthèse relative à la formation pharmaceutique continue en Présenta Plus de 150 000 personnes travaillent dans les 23 006 pharmacies d'officine
Plus en détailDossier de Presse Mars 2010
Dossier de Presse Mars 2010 www.cegedim-logiciels.com Contacts Presse CEGEDIM LOGICIELS MEDICAUX Christine COURTELARRE Marketing et Communication Tél. : 01 49 09 28 67 christine.courtelarre@cegedim.fr
Plus en détailCertification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse
Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Jeudi 9 avril 2015 1 Sommaire Présentation de la Maison de santé Marie Galène La démarche de certification ISO 9001 à Marie Galène Pourquoi cette
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLes Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté :
Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Retour d'expérience du GCS EMOSIT-FC GCS EMOSIST-fc 10, avenue Clemenceau 25000 Besançon PLAN DE LA PRESENTATION 1 La Franche-Comté & EMOSIST-FC 2 Organiser
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailLe Rôle de la Télémédicine en Allemagne Une Vue d Ensemble
Le Rôle de la Télémédicine en Allemagne Une Vue d Ensemble Novembre 2011 Prof. Dr. H. J. Brauns Président, Deutsche Gesellschaft für Telemedizin (Association Allemande de Télémédicine) Senior Partner,
Plus en détaillivret d accueil Frais de santé
www.verspieren.com livret d accueil Frais de santé Santé Prévoyance Ce document n a pas de valeur contractuelle. Télétransmission, tiers-payant, décompte frais de santé un langage parfois compliqué pour
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailles garanties santé une solution globale pour vos salariés
les garanties santé formules MAÎTRISÉES une solution globale pour vos salariés LES GARANTIES peps eco active DES SERVICES PERFORMANTS Une solution globale pour la santé de vos salariés Malakoff Médéric
Plus en détailInformatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux
Informatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux B. Folens, M. Lardennois, N. Besri 2 Contexte Plan pluriannuel destiné à améliorer l attractivité de la profession infirmière (28
Plus en détail