La collecte et le traitement des données sur les Entreprises et la Banque de France
|
|
- Norbert Bouchard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 La collecte et le traitement des données sur les Entreprises et la Banque de France Yves Nachbaur Directeur des Entreprises Rabat, le 30 Mars 2012
3 1. La Banque de France et le suivi des Entreprises : quel sous-jacent? Accumulation d expériences : une longue histoire Examen des signatures et analyse des comptes : une fonction importante Des bases de données constamment enrichies et mises à jour. 2 Banque de France - Direction des Entreprises
4 Objectifs stratégiques de la Banque Accroître notre influence dans la mise en œuvre de la politique monétaire Objectif : «Suivi des Entreprises» Prévenir les risques systémiques Affiner notre diagnostic sur l économie et son financement Offrir le meilleur service au meilleur coût - optimiser nos investissements Contribuer à l analyse du collatéral «papier privé» éligible au refinancement des banques Contribuer à la stabilité financière grâce à des informations pertinentes sur les risques Entretenir une capacité de diagnostic sur la situation financière des entreprises Accroître l efficience du domaine Déclinaison opérationnelle Sélection du collatéral «papier privé» Méthodologie d analyse Analyse de la sinistralité Évolution des cotations Analyse/ diagnostic Enquête régulière ou spécifique: - conjoncture - trésorerie -structurelle Statistiques Entreprises «Optimisation des processus» (réseau-siège) Contrôle projets/ maintenance Ratio coût/revenu Diffusion de données Entreprises «inconvénient/avantage» Conditions mis en œuvre «Conformité label» Système d information à «l état d art» Optimiser nos processus grâce à la démarche qualité Compétence en analyse financière «Ressources rares» Déclinaison -Illustration ICAS OEEC FIBRE -Parcours de formation - Kits de formation --Planification «Recrutement de profils spécialisés «: «experts de haut niveau»
5 3. Le suivi des entreprises est pleinement intégré dans les orientations Banque de France Analyse individuelle à des fins de cotation ou de sélection du collatéral : analyse du risque de crédit Analyse micro économique : Les statistiques Le diagnostic Les études Les recherches 4 Banque de France - Direction des Entreprises
6 4. La collecte des données : une ambition (1) La collecte des données financières et économiques Banque de France n est pas celle issue de l INSEE ou des Greffes INSEE = exhaustif, mais : Retard dans les collectes La Banque de France n a pas de libre accès aux bilans, mais accès aux descriptifs Données pas analysées au niveau individuel GREFFE = exhaustif Moins normalisé Très éparse dans les traitements (intermédiation via des «prestataires») Les bilans sont une composante parmi beaucoup d autres informations légales mises à disposition du public et reprise par la Banque de France systèmatiquement 5 Banque de France - Direction des Entreprises
7 4. La collecte des données : une ambition (2) «les bilans» : élément central à la fois pour des analyses individuelles et agrégées «les bilans» : pas l exhaustivité en nombre par an sur 2.2 millions (BIC les sociétés et grosses EI) Mais une forte représentativité en % de la VA, en effectif ( 70%) «les bilans» : de l importance de la «fraicheur» des données (80% à fin juillet) 6 Banque de France - Direction des Entreprises
8 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (1) Toute une structure mise en place pour : Mobiliser les données rapidement : suivi rapproché de la collecte, relances Fiabiliser les processus : les contrôles Dématérialiser les opérations Des points d appui : Utilisation des normes et circuit «données fiscales» : les liasses (EDIFACT) Liaison rapprochée avec les Experts Comptables (OSEC) Télétransmission avec une dizaine de portails déclaratifs (SAGE-CEGID- Jedeclare- etc ) La Banque de France a un circuit et une organisation de collecte autonome 7 Banque de France - Direction des Entreprises
9 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (2) : La montée des transmissions automatisées, le STP 8 Banque de France - Direction des Entreprises
10 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (3) La montée des transmissions automatisées Le processus se décompose selon les étapes suivantes : Collecte en entrée sur un portail spécifique «externe BdF» avec premier contrôle Intégration dans la base bilan après contrôle interne BdF (70% des bilans intégrés automatiquement) Un régulateur de flux gère les files d attente (avant initiation du processus de cotation) Une fonction de cotation assistée par un système expert ASCOT (cotation validation diffusion) 9 Banque de France - Direction des Entreprises
11 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (4) La transmission des données s insère dans une chaine automatisée (STP) : synthèse Système expert Bases externes Intégration si BDF Cotation Diffusion interne ou externe Station travail analyste Collecte traitement Utilisation 10 Banque de France - Direction des Entreprises
12 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (5) : la collecte des bilans est une simple première étape à situer dans un «Système d Information» complexe 11 Banque de France - Direction des Entreprises
13 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (6) La Banque de France est donc à la tête d un Écosystème Avec les «bilans» et «documents comptables» comme point central Mais ce n est pas l unique source d information pertinente pour l analyse. On considère aussi les bases : «Risque» «Lien financier» «Descriptives» «Événements judiciaires» 12 Banque de France - Direction des Entreprises
14 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (7) : Le système d information FIBEN : des bases intégrées 13 Banque de France - Direction des Entreprises
15 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (7) Autres bases de données : «BACH» : portail d hébergement de séries statistiques de données agrégées et harmonisées Ratios financiers sur les entreprises (par taille, secteur) Ratios en moyenne et en distribution Données par secteur, taille d entreprise 9 pays contributeurs La Banque de France est gestionnaire 14 Banque de France - Direction des Entreprises
16 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (8) Autres bases de données : Bases «ERICA 1et 2» Base de données «Études» : base européenne Données individuelles sur les entreprises cotées Erica 1 o 300 items sur environ 30 entreprises cotées par pays Erica 2 o Données sur les groupes cotés ou non cotés o Moins d items, mais des populations plus larges : Italie ( ), Allemagne ( ), France (600) 15 Banque de France - Direction des Entreprises
17 5. La collecte des bilans : une organisation spécifique avec des points d appui (9) Autres bases de données : Base «Comptes semestriels» Avoir des données avec moins de décalage dans le temps Distinguer vite les performances des grandes entreprises (en contraste avec celles des PME) Mais 70 groupes seulement sur environ : 300 GE 4500 entreprises de taille intermédiaire Base «Groupe» Collecte des comptes consolidés ( 5 000) Maisons-mère : «structure faîtière» coiffent environ filiales Analyse spécifique (différente des analyses des entreprises indépendantes) 16 Banque de France - Direction des Entreprises
18 6. Utilisation des données : les finalités (1) «gisements de données» valorisés en interne : contrôle qualité retraitement données stockées pour les besoins «infocentre» et «info décisionnelle» suivi de la fluidité des flux suivi des statistiques d activité 17 Banque de France - Direction des Entreprises
19 6. Utilisation des données : les finalités (2) Des données exploitées d abord et avant tout pour «la cotation des entreprises». Mais aussi à des fins d analyse et de diagnostic détaillés d entreprises individuelles (un logiciel spécialisé). 18 Banque de France - Direction des Entreprises
20 6. Utilisation des données : les finalités (3) Des services peuvent être (ou sont) rendus à ceux qu on peut appeler des «clients» Interne BdF/ACP Sélection de collatéral (opération de politique monétaire) analyse des portefeuilles des banques (Inspection) Les banques (+ de 500 adhérents) : on diffuse nos données au travers de FIBEN (notre SI) : environ 17 millions d interrogations par an Les Pouvoirs publics Les entreprises (elle reçoivent nos cotations) Les Universitaires, la Recherche Le grand public (site BdF) 19 Banque de France - Direction des Entreprises
21 6. Utilisation des données : les finalités (4) Études statistiques Environnement dédié : alimenté une fois par mois sur «LAB SAS DE» (extraction de la base centrale / environnement d exploitation) Réponse à tout besoin à des fins d analyse et d études microéconomiques : analyse statistique analyse sectorielle (des ratios mis en ligne) analyse méso économique situation globale du tissu des entreprises (1 fois par an) situation des PME analyse ad hoc à la demande (ex. : Besoin de Fonds Propres, PME à potentiel) à des fins diverses (ex. : études en propre, commandes extérieures) 20 Banque de France - Direction des Entreprises
22 6. Utilisation des données : les finalités (5) Études statistiques : l INSEE Échanges avec l INSEE : «Analyse qualité» (convention) Accès à leur exhaustif «Analyse de réprésentativité» Regard croisé : «Les groupes» avec exploitation d une Base Lien Financier 21 Banque de France - Direction des Entreprises
23 7. Recherche La Banque de France est ouverte aux coopérations (une direction dédiée, une orientation stratégique La Banque de France est ouverte aux chercheurs Accès aux bases selon une procédure très formalisée Engagement de confidentialité Anonymisation des données Précision sur l objet des études et les outils utilisés Désignation de responsables Comité d instruction des dossiers 22 Banque de France - Direction des Entreprises
24 8. Répartition des responsabilités à la Banque de France Direction des Entreprises Collecte Traitement Gestion des bases «données entreprises» Cotation Statistiques Études Direction Générale des Statistiques Les statistiques monétaires Les statistiques financières Direction Générale des Études La recherche monétaire La recherche macro-économique 23 Banque de France - Direction des Entreprises
25 9. Au-delà des schémas décrivant le processus : des conditions à remplir Avoir une bonne connaissance de tout un éco-système Prestataire Expert-comptable Entreprises Mobiliser des ressources expertes Des centaines de contrôles automatiques Un suivi rapproché des opérations «en central» (contrôle de plateforme) et en «décentralisé» (au niveau des situations individuelles des analystes ou expert au service des risques) Investir dans la technologie Pas d improvisation Un Système Informatique sophistiqué 24 Banque de France - Direction des Entreprises
26 9. Trois approches possibles concernant la collecte des données sur les entreprises La plus légère Collecte des seuls bilans des GE Peu d ambition à avoir des analyses spécifiques approfondies Avantage : facile à mettre en œuvre Inconvénient : la Banque Centrale ne connaît pas le tissu des entreprises Une approche intermédiaire (ou spécifique) Collecte de nombreux bilans (tous les bilans) en concertation avec l Institut National ou les Autorités fiscales (?) Pour une approche purement statistique (score + statistiques descriptives) ou économétrie (études) Avantages : coût relativement modéré, exhaustivité dans la collecte Inconvénient : on s en tient à des «analyses abstraites» (pas de lien étroit avec le terrain) Une approche engagée indépendante Modèle Banque de France (cotation, diffusion aux banques, etc ) Avantages : connaissance interne du tissu des entreprises, services rendus à la collectivité sous de nombreux angles de vue Inconvénient : coût non négligeable du travail (RH, IT) In fine : un choix stratégique 25 Banque de France - Direction des Entreprises
27 10.En conclusion (1) Système d Information Banque de France : complexe, complet, robuste Nécessité d adaptation car lourdeur d exploitation, coût des maintenances Tout à revisiter pour rationaliser et rester «à l état de l art» Base de données et modèle de données Modes de consultation Accès aux données dans les applications Station de travail des analystes Infocentre (statistiques de suivi) et suivi d exploitation (pilotage des flux) Gains attendus Productivité Performance convivialité Spécificité Banque de France : approche «complète» et «multifonctions» 26 Banque de France - Direction des Entreprises
28 10.En conclusion (2) «Dispositif très prisé» : La crise a démontré toute son utilité, parce qu on dispose précisément de bases riches en données individuelles et actualisées fréquemment et qu on a la capacité de mobiliser l information rapidement avec un savoir faire. «Nécessaire engagement», y compris financier : une collecte massive, une capacité de traitement aussi interactive, réactive, quasi exhaustive a un «coût» qu il faut évidemment savoir apprécier à sa juste valeur. L utilisation des technologies permet des gains de productivité. Mais, in fine, l important reste le niveau de compétence : statistique, informatique, économique et, surtout en analyse financière des collaborateurs. 27 Banque de France - Direction des Entreprises
29 10.En conclusion (2) Le suivi des entreprises n est pas, stricto sensu, une «mission fondamentale de Banque Centrale».. mais la Banque Centrale doit avoir une bonne capacité d analyse et de diagnostic : cette fonction de suivi de l «agent économique majeur» qu est l entreprise y contribue. Par ailleurs, les Banques Centrales ont aussi des missions d intérêt général, au service de la société, du Public, des Pouvoirs Publics, c est aussi ce qui fonde l existence et la richesse du Système d Information de la Banque de France. 28 Banque de France - Direction des Entreprises
30 Collecte des données et Enquêtes /Rapports «Option Banque de France «: Une approche élargie structurelle et conjoncturelle DGS : Enquête de conjoncture (activité) Financement (trésorerie et investissement) Conditions de banques(bls) DGEI : Enquête spécialisée sur la durée des équipements (une fois par an) Statistiques multiples : 29 Banque de France - Direction des Entreprises
31 Collecte des données et Enquêtes /Rapports Statistiques multiples : Mensuelles : statistiques sur les crédits aux entreprises par catégorie (Direction des Entreprises) Mensuelles : statistiques sur les défauts de paiement (direction des entreprises) Trimestrielles : statistiques sur les crédits aux PME (Direction des entreprises + DGS) Dont les moins de 3 ans Dont les conditions de taux Trimestrielles : statistiques sur les micro crédit (DGS) Mise en ligne des ratios sectoriels (direction des entreprises) 30 Banque de France - Direction des Entreprises
32 Collecte des données et Enquêtes /Rapports Études récurrentes : situation des entreprises : PME : septembre (direction des entreprises) Toutes : décembre (direction des entreprises) Rapports annuels : Balance des paiements (DGS-Minefi) Observatoire des délais de paiements (Rapporteur-direction des entreprises) Enquêtes de conjoncture régulière (mensuelles, annuelles) : Réseau Banque de France DGS Autres enquêtes : trésorerie, investissement, dette 31 Banque de France - Direction des Entreprises
33 Données quantitatives Bilan : environ Déclaration crédit : environ 2.2 millions Groupes environ Données consultées par les banques : 19 millions par an (entre 50 et par jour) Enquête de conjoncture mensuelle (8 000 entreprises par enquête) Enquête financière trimestrielle (5 700) 32 Banque de France - Direction des Entreprises
34 Données individuelles sur les Entreprises Diffusion Destination - Usage 33 Banque de France - Direction des Entreprises
Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles
Le dispositif de la Banque de France pour l accès aux données individuelles Renaud Lacroix Direction Générale des Statistiques CNIS Commission Système financier et financement de l Économie 8/10/2013 Une
Plus en détailLa référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation
La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA
Plus en détailLe score Pour un diagnostic individuel Pour une analyse de portefeuille d entreprises
Le score Pour un diagnostic individuel Pour une analyse de portefeuille d entreprises IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailPrésentation du projet de jumelage
MISE EN PLACE D UN CADRE DE POLITIQUE MONÉTAIRE AXÉ SUR LE CIBLAGE D INFLATION À LA BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Présentation du projet de jumelage Mohamed Salah SOUILEM Directeur Général de la Politique
Plus en détail«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience
«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés
Plus en détailBanque de France VS Bundesbank
Banque de France VS Bundesbank How the Banque de France could learn from the best practices of its European partner Alain Mathieu D I S C U S S I O N P A P E R J U L Y 2 0 1 4 Banque de France VS Bundesbank
Plus en détailSituation Actuelle et Perspectives des Echanges et de la Diffusion des Données Statistiques de l Office des Changes
Situation Actuelle et Perspectives des Echanges et de la Diffusion des Données Statistiques de l Office des Changes Séminaire sur les Echanges, la Documentation et la Mise à Disposition des Données Statistiques
Plus en détailIntroduction et contexte légal Campagne fiscale 2015
Introduction et contexte légal Campagne fiscale 2015 Simplification administrative pour les PME - Dans le cadre des 200 mesures sur la simplification administrative, une date butoir a été fixée au 31 décembre
Plus en détail10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES. Customer Success Stories 2015
10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES Customer Success Stories 2015 10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES Ces exemples d applications et de développements sur mesure
Plus en détailSynthèse résultats Baromètre Dématérialisation Finance Edition Spéciale PME. Juillet 2012
Synthèse résultats Baromètre Dématérialisation Finance Edition Spéciale PME Juillet 2012 Baromètre Edition PME 206 Directeurs Généraux, Directeurs Administratifs et Financiers Entreprises de 1 à 1000 salariés
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLe plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire
Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de
Plus en détailAllocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Plus en détailLA DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE
DOSSIER DE PRESSE LA DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE mars 2015 CONTACTS PRESSE GIP-MDS / net-entreprises.fr Céline Tinot 01 58 10 47 05 celine.tinot@gip-mds.fr Agence Wellcom Sandra Ciavarella & Gaëlle
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailAccès au crédit des PME : quelles leçons tirer du rapprochement des données d enquête et des données de bilan?
Direction générale des Statistiques Direction des Enquêtes et statistiques sectorielles Direction générale des Études et des Relations internationales Direction des Études microéconomiques et structurelles
Plus en détailAxes de travail et plan d action 2015
19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...
Plus en détailGLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS
GLOBAL SAAS HR SOLUTION INTÉGRÉE DE GESTION DES TALENTS GLOBALISATION ET TRANSFORMATION RH UNE RÉPONSE FACE À L EXIGENCE DE PERFORMANCE ET DE COMPÉTITIVITÉ La globalisation des entreprises, accélérée par
Plus en détailPractice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014.
Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives 2014 Contexte du BCBS 239 2 Une nouvelle exigence Les Principes aux fins de l agrégation des données sur les et de la notification des
Plus en détailFrance Telecom Orange
France Telecom Orange fiches métiers assistant commercial et marketing conseiller commercial chef de produit technicien intervention supports réseaux assistant/gestionnaire RH domaine client conseiller
Plus en détailPROFITEZ DE DONNÉES DE CLASSE MONDIALE. Creditsafe lance une suite de solutions conçues pour accompagner votre développement à l international
PROFITEZ DE DONNÉES DE CLASSE MONDIALE Creditsafe lance une suite de solutions conçues pour accompagner votre développement à l international Nous sommes fiers de vous présenter la nouvelle gamme de solutions
Plus en détailCréation de Fonds Communs de Placement à Risque
LA RÉGION SOUTIENT LES ENTREPRISES LOCALES Création de Fonds Communs de Placement à Risque Pour mieux accompagner la création d entreprise, pour soutenir sa croissance et faciliter sa reprise DOSSIER DE
Plus en détail«Comment se faire payer par ses clients?»
«Comment se faire payer par ses clients?» Renforcer la trésorerie de son entreprise en limitant les frais financiers. Eviter les impayés grâce à des méthodes simples. 1 Vendredi 10 Octobre 2014 Comment
Plus en détailCIC Activité commerciale toujours en croissance
Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation
Plus en détailDéveloppements récents de la méthode des scores de la Banque de France
Développements récents de la méthode des scores de la Banque de France Au cours de la décennie quatre-vingt et au début des années quatre-vingt-dix, devant la multiplication des défaillances d entreprises,
Plus en détailGestion des actifs et du patrimoine immobilier
06 Gestion Cette famille rassemble des métiers dont la finalité est de gérer mobiliers et s en vue d optimiser leur rentabilité et leur contribution à la performance économique globale de l entreprise.
Plus en détailAnticiper. Définir. mesurer. optimiser DE GAMMA - ARCOLE RH DE GAMMA. arcole rh. Gestion de la Paie et des Ressources Humaines
Définir Analyser planifier optimiser mesurer Anticiper 01 DE GAMMA arcole rh T Gestion de la Paie et des Ressources Humaines Accélérateur de Performance Métier L optimisation de la productivité de votre
Plus en détailCODE DE CONDUITE DE L ACTIVITÉ DE COTATION DES ENTREPRISES À LA BANQUE DE FRANCE
CODE DE CONDUITE DE L ACTIVITÉ DE COTATION DES ENTREPRISES À LA BANQUE DE FRANCE Septembre 2013 À la Banque de France, le terme «cotation des entreprises» désigne le processus d analyse de la situation
Plus en détailBenchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012
Benchmark sur le processus de consolidation Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Introduction La communication financière est un enjeu majeur pour l ensemble des sociétés. La volonté
Plus en détailPROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim
RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détailMaîtriser et optimiser le BFR
www.pwc.fr/bfr Maîtriser et optimiser le Identifier risques et potentiels, générer du cash pour mettre en œuvre la stratégie Maîtrise et optimisation du Sommaire Édito 3 Identifier les potentiels de cash
Plus en détailAtelier La Gestion du Cash Flow. CBDC, NB Février, 2008. Présenté par: ACSBE (Traduit de l anglais par André Chamberland : andre.cham@sympatico.
Atelier La Gestion du Cash Flow CBDC, NB Février, 2008 Présenté par: ACSBE (Traduit de l anglais par André Chamberland : andre.cham@sympatico.ca) Précédente session de formation Les sept (7) attributs
Plus en détailConcerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale
Service public fédéral Sécurité sociale Service public fédéral Sécurité sociale Place Victor Horta 40 boîte 20 1060 Bruxelles Personne de contact Machteld Ory 02/528.63.18 machteld.ory@minsoc.fed.be Concerne
Plus en détailLe financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire
16 juin 2015 Séminaire Sc Po / Banque de France Le financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire Lorenzo Bini Smaghi Président du Conseil d Administration Régulation bancaire en
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2007 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE NOTE DE
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailBRANCHE PROFESSIONNELLE DES PRESTATAIRES DE SERVICES DANS LE DOMAINE TERTIAIRE
Rapport BRANCHE PROFESSIONNELLE DES Etude PRESTATAIRES DE SERVICES DANS LE DOMAINE TERTIAIRE Soustitre de la présentation Proposition d assistance pour la maitrise d œuvre d un rapport économique et social
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailIntraday Pricing Service. Votre traitement instantané quand vous le souhaitez.
Intraday Pricing Service Votre traitement instantané quand vous le souhaitez. Intraday Pricing Service associe une base de données sur les instruments financiers d envergure internationale à un système
Plus en détail10 JUIN 2015 APPEL D OFFRES ETUDE D EVALUATION A MI-PARCOURS DU DISPOSITIF DES PRETS NUMERIQUES DU PROGRAMME DES INVESTISSEMENTS D AVENIR
10 JUIN 2015 APPEL D OFFRES ETUDE D EVALUATION A MI-PARCOURS DU DISPOSITIF DES PRETS NUMERIQUES DU PROGRAMME DES INVESTISSEMENTS D AVENIR 1. Type de procédure Cette procédure est un marché privé, passé
Plus en détailAnalyse nancière : quelques ratios
Analyse nancière : quelques ratios Eric Vansteenberghe 18 février 2014 Une application aux achats dans le secteur spatial Table des matières 1 Introduction 2 2 La solvabilité de l'entreprise 2 2.1 Ratio
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION
Plus en détailMoyen terme 2014-2018
Moyen terme 2014-2018 BILAN DE LA PERIODE 2009-2013 DE LA COMMISSION «SYSTÈME FINANCIER ET FINANCEMENT DE L ÉCONOMIE» au regard des avis adoptés par le Cnis en janvier 2009 POUR DEBAT EN COMMISSION LE
Plus en détailSage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance
Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Gagner des parts de marché, optimiser ses investissements, sécuriser
Plus en détailPour une gestion active du patrimoine
Pour une gestion active du patrimoine Présentation CETE du 07-06-2012 1 sommaire 1. Introduction 2. La gestion active du patrimoine : qu est-ce que c est? 3. Une nouvelle organisation 4. Le Plan Stratégique
Plus en détailASSISTANT DE DIRIGEANT D ENTREPRISE ARTISANALE (ADEA)
ASSISTANT DE DIRIGEANT D ENTREPRISE ARTISANALE (ADEA) Objectifs : L ADEA prépare et accompagne le conjoint du chef d entreprise dans l exercice de sa fonction et lui permet d acquérir l ensemble des compétences
Plus en détailFRAIS BANCAIRES/ COMMISSIONS COMMERÇANTS
FRAIS BANCAIRES/ COMMISSIONS COMMERÇANTS POSITION DE LA CGPME Posséder un compte bancaire professionnel est aujourd hui une obligation pour les dirigeants d entreprises. En effet, l article L. 123-24 du
Plus en détailContexte. Description de l offre
Offre combinée EN GESTION DE PATRIMOINE Protection du rêve de retraite Présentation de l offre Contexte Dans une optique de rapatriement et de développement des affaires, l offre combinée «Protection du
Plus en détailLa Business Intelligence & le monde des assurances
Conseil National des Assurances Séminaire - Atelier L information au service de tous Le 09 Novembre 2005 La Business Intelligence & le monde des assurances Karim NAFIE Regional Presales Manager EEMEA Operations
Plus en détailObservatoire du financement des entreprises
Observatoire du financement des entreprises Rapport sur la situation économique et financière des PME Janvier 2014 1 Synthèse L Observatoire du financement des entreprises mis en place en 2010 regroupe
Plus en détailLes défis du reporting macro-prudentiel
Les défis du reporting macro-prudentiel EIFR 25 mars 2014 Bruno LONGET Banque de France Direction de la Balance des paiements Réf : D14-014 Introduction : pourquoi renforcer le dispositif de surveillance
Plus en détailSTRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI
STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI NOTRE EXPERTISE Dans un environnement complexe et exigeant, Beijaflore accompagne les DSI dans le pilotage et la transformation de la fonction SI afin
Plus en détailcatégorie - développement rh
Mise en œuvre d un outil de développement des compétences 360 Feedback au sein de l Université du Courrier du Groupe La Poste Marion TREMINTIN Diplômée d un DESS Gestion Stratégique des Ressources Humaines
Plus en détailAccenture Software. IDMF Insurance Data Migration Factory. La migration en toute confiance de vos données d assurance
Accenture Software IDMF Insurance Data Factory La migration en toute confiance de vos données d assurance Plus de 60 millions de contrats migrés avec succès Les compagnies d assurance sont régulièrement
Plus en détailObservatoire du financement des entreprises
Observatoire du financement des entreprises Rapport sur le financement des TPE en France Juin 2014 1 Sommaire 1. La diversité des TPE et de leur situation économique et financière... 7 a. Qu entend-on
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailSage 30 pour les petites entreprises
Informations France : 0 825 825 603 (0.15 TTC/min) Informations Export : +33 (0)5 56 136 988 (hors France métropolitaine) www.sage.fr/pme Sage 30 pour les petites entreprises Abordez votre gestion en toute
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailCompétitivité internationale des industries françaises des filières animales
Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Carl Gaigné Directeur de Recherche INRA RMT Economie des filières animales Compétitivité des filières animales françaises 10/12/13
Plus en détaildes métiers de l'informatique GPEC Intervenants EXPERTS MÉTIERS >Eddy GACIOT,
Le 7 juin 2011. Présentation des résultats de l'étude du 7-10-2010 prospective des métiers de l'informatique réalisée dans le cadre de la GPEC de l'observatoire de la Branche : l'opiiec Intervenants EXPERTS
Plus en détailA1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE
Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de
Plus en détailDiagnostic financier - Corrigé
Diagnostic financier - Corrigé Nous effectuerons ce diagnostic financier en présentant d abord une étude de rentabilité et de profitabilité du groupe Nestor, ensuite une étude de la structure financière
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailPrésentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape )
Altaïr Conseil QUALITE - ORGANISATION - CHANGEMENT Présentation du Système d Administration Générale des Projets (Agape ) Altaïr Conseil - 2007-33, Rue Vivienne 75 002 Paris - 01 47 33 03 12 Présentation
Plus en détailAvertissement. Signes conventionnels utilisés
Dossier Avertissement Les résultats et analyses présentés dans la vue d ensemble, dans les fiches sectorielles et dans la plupart des fiches thématiques sont, sauf mention contraire, définis sur la base
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLa méthode des scores, particulièrement de la Banque de France
La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux
Plus en détailAPPEL D OFFRE. Projet décisionnel. Juillet 2011
CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES APPEL D OFFRE Projet décisionnel Juillet 2011 SOMMAIRE 1- CONTEXTE 3 1.1 Présentation de l entreprise 3 1.2 Organisation CCCA-BTP 3 2- LE PROJET DECISIONNEL
Plus en détailGestion de portefeuilles RBC
Gestion de portefeuilles RBC Plus qu un investissement Que vous y recouriez pour assurer une croissance à long terme ou tirer un flux de trésorerie régulier de votre épargne, le programme Gestion de portefeuilles
Plus en détailBien choisir son statut : la personnalisation est essentielle. Animé par : Aurélien DEMAURE
Bien choisir son statut : la personnalisation est essentielle Animé par : Aurélien DEMAURE Le cadre juridique L entreprise en nom propre L EIRL La société Les critères à retenir Le régime fiscal de l entrepreneur
Plus en détailSage 100. La solution de référence pour votre gestion POUR LES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
Sage 100 La solution de référence pour votre gestion POUR LES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES 1 SOMMAIRE 2 5 13 20 25 L offre modulaire Gestion commerciale Gestion de la relation clients Les solutions
Plus en détailContribution du Système d informationd à la valeur de l entreprisel
Contribution du Système d informationd à la valeur de l entreprisel Etude de cas : Déploiement d un ERP dans une entreprise internationale Malika Mir-Silber : Microsoft Pierre-Laurent Dugré : Adgil www.adgil.net
Plus en détailIFAC Board. Prise de position définitive. Mars 2012. Norme internationale d audit (ISA)
IFAC Board Prise de position définitive Mars 2012 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 315 (révisée), Compréhension de l entité et de son environnement aux fins de l identification et de l évaluation
Plus en détailANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL
ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING
COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT MODELLIS & DATAVALUE CONSULTING 12/01/15 La Direction Financière du Groupe Chèque Déjeuner innove en optant pour une solution Cloud d élaboration budgétaire, gage d agilité
Plus en détailENQUETE : COMMERÇANTS ET FRAIS BANCAIRES
ENQUETE : COMMERÇANTS ET FRAIS BANCAIRES Introduction Qu est ce qu une Commission Interbancaire de Paiement (CIP)? Lorsqu une transaction est réglée par carte bancaire de paiement, la banque du consommateur
Plus en détailtechnique : jedeclare.com s occupe de tout.
Édito Le mouvement est aujourd hui véritablement lancé pour faciliter via jedeclare.com, la dématérialisation des échanges de relevés bancaires et de liasses fiscales entre les cabinets d expertise comptable
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailSO00BM24 Introduction aux politiques économiques
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites
Plus en détailUniversité de Strasbourg Un nouveau portail internet
Université de Strasbourg Un nouveau portail internet Reflet de la richesse, de la pluridisciplinarité et du dynamisme de la vie universitaire Contact presse Service de la communication Anne-Isabelle Bischoff
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»
CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR
Plus en détailMédiation nationale du crédit aux entreprises. Observatoire du financement des entreprises
Médiation nationale du crédit aux entreprises Observatoire du financement des entreprises Rapport de Gérard RAMEIX sur l accès au financement des TPE Septembre 2011 Paris, le 13 juillet 2011 Par lettre
Plus en détailConsultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014
Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre
Plus en détailLe Data Risk Center. Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II
Le Data Risk Center Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II Sommaire Le conseil en Risk Management 1) Le projet Solvabilité II Objectifs et moyens à mettre
Plus en détailL Urssaf accompagne. les entreprises en difficulté
L Urssaf accompagne les entreprises en difficulté Édition 2009 Le réseau Urssaf à l écoute des entreprises en difficulté Garant des ressources de la Sécurité sociale et des institutions qui lui confient
Plus en détailNOTRE OFFRE DE DEMATERIALISATION FISCALE DE FACTURES
Différence NOTRE OFFRE DE DEMATERIALISATION FISCALE DE FACTURES LA DEMANDE DU MARCHE Différence Le nombre de factures dématérialisées va décupler ces prochaines années. Les dirigeants des secteurs publics
Plus en détailLa gouvernance. Président national Régime Social des Indépendants
La gouvernance Gérard QUEVILLON Président national Régime Social des Indépendants FRANCE Le processus de prise de décision Dominique LIGER Directeur Général Régime Social des Indépendants FRANCE Système
Plus en détailLe Lean IT au service de la performance des directions informatiques
Le Lean IT au service de la performance des directions informatiques *La haute performance. Réalisée. Les services informatiques subissent une pression croissante pour améliorer leur efficience, réduire
Plus en détailAgence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises
Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises Tahar Tahar RAHMANI Immeuble le Vénitien - 27 Bv Charles Moretti 13014 Marseille France Tel : +33 (0)4 91 02 62 69 /
Plus en détail