Déclaration de la Réunion sur le Tourisme durable dans les Îles
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- Georges Paris
- il y a 8 ans
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1 Déclaration de la Réunion sur le Tourisme durable dans les Îles La Conférence sur «Le développement durable du tourisme des îles», organisée par l OMT (Nations-Unies) et le Gouvernement français à Saint-Denis de la Réunion les 11 et 12 Septembre 2013, avait pour but de faire partager les connaissances récentes sur le tourisme dans les destinations insulaires, avec une attention particulière portée aux Petits états insulaires en développement (PEID), et de voir comment le tourisme peut mieux contribuer à leur développement durable. La Conférence a porté sur les grands thèmes suivants : 1. Le tourisme comme moteur essentiel du développement durable dans les îles Dans beaucoup d îles, le tourisme est la seule et la plus importante activité économique qui offre des perspectives évidentes de croissance pour l avenir. Le tourisme doit donc figurer en bonne place sur l agenda du développement durable des îles et bénéficier d une forte priorité dans les programmes de soutien aux PEID et aux autres territoires insulaires. 2. Le patrimoine naturel et culturel comme atouts premiers du tourisme insulaire Le tourisme est bien placé pour faire prendre conscience de la biodiversité unique et du riche héritage culturel des îles, dont il dépend, et donc en générer le soutien. Son développement doit être soigneusement planifié et géré de manière à produire un impact positif sur les ressources des îles, leur environnement et leurs communautés, et à répondre aux défis du changement climatique. 3. Les partenariats permettent d en faire plus et de le faire mieux Les îles sont plus efficaces lorsqu elles travaillent en groupe à la promotion du tourisme durable. L initiative des «Îles Vanille» où sont associés sept territoires insulaires Comores, Réunion, Madagascar, Maldives, Maurice, Mayotte et Seychelles est accueillie comme un bon exemple de démarche partenariale. 4. Le succès du tourisme dépend avant tout de la connectivité entre les îles Les destinations insulaires sont tributaires du transport aérien, qui fournit un accès aux bassins émetteurs. Les politiques en matière de tourisme et de transport doivent donc être coordonnées pour permettre une croissance optimale par la connectivité et assurer aux communautés des îles des retombées économiques. 5. L île de la Réunion, qui a accueilli la Conférence, a suivi un modèle touristique basé sur la valorisation de ses ressources exceptionnelles, tant humaines que naturelles, reconnues par l UNESCO en La Réunion a également joué un rôle important dans la création du concept des «Îles Vanille», qui est à la fois un modèle de développement mutuel en matière de politique touristique et une marque au service des sept îles de l océan Indien. Ce concept est basé sur la coopération plutôt que la concurrence. 1
2 Le programme de la conférence s est déroulé sur six sessions où les sujets suivants ont été abordés : Développement touristique et préservation des ressources insulaires ; Développement économique durable ; Connectivité et transport ; Impacts du changement climatique ; Initiatives régionales et coopération internationale ; et Mettre les îles sur la carte. Les principaux résultats et les conclusions de la conférence sont présentés ci-dessous. Ils seront transmis par l OMT dans le cadre de la contribution au secteur tourisme de la Troisième conférence internationale sur les PEID programmée en septembre 2014 aux Îles Samoa. L importance du tourisme pour les îles Le tourisme est l activité principale pour des centaines d îles dans le monde, dont les 52 Petits états insulaires en développement et de nombreuses îles qui appartiennent à d autres états-nations. Le tourisme est un élément dominant de l économie de beaucoup de PEID ; il constitue pour la plupart d entre eux l une des rares sources de devises étrangères. Dans la moitié des PEID, les revenus du tourisme représentent plus de 40 % de l ensemble de leurs exportations de biens et de services, et plus de 20% du PIB dans les deux tiers des PEID où des données correspondantes sont disponibles. Ce haut niveau de contribution se retrouve aussi dans les économies locales des autres territoires insulaires. C est grâce à l augmentation de leurs revenus tirés du tourisme que Le Cap Vert et les Maldives ont récemment quitté la catégorie des Pays les moins avancés (PMA) : cet événement est la preuve de l importance du tourisme dans les économies insulaires. Et au moins deux autres PEID sont sur la même voie grâce à la force de leur secteur touristique. Une autre raison de l importance si forte du tourisme pour les îles est la croissance prévue pour ce secteur dans le monde entier : on estime en effet que le nombre des arrivées de touristes internationaux atteindra 1,8 milliards à l horizon L attrait des îles en tant que destinations et la nature des expériences qu elles offrent devraient leur assurer un développement en conséquence. Le tourisme a également fait la preuve que c était un secteur résilient : les revenus touristiques des PEID et d autres états ont vu une reprise rapide après la récession mondiale. Mais l importance du tourisme pour les îles ne doit pas être considérée seulement d un point de vue macroéconomique. Les revenus du tourisme peuvent permettre à beaucoup de communautés insulaires de vivre. Le tourisme est aussi une activité qui bénéficie tout particulièrement des richesses patrimoniales culturelles et naturelles dont d enorgueillissent tant d îles dans le monde, et qui, en retour, permet de les soutenir. 2
3 Les enjeux et les chances du tourisme durable dans les îles Améliorer le développement économique tout en protégeant l environnement et les communautés : c est là le plus grand enjeu et la plus grande chance du tourisme dans les îles, où les principes du tourisme soutenable prennent une résonance toute particulière. Les îles se caractérisent par leur petite taille, leur isolation et leur inaccessibilité relative, ainsi que leur environnement maritime. Beaucoup souffrent donc de situations commerciales difficiles et de la rareté de leurs ressources, ce qui les rend encore plus vulnérables aux chocs économiques et écologiques. Par leur nature même, les îles sont pour le visiteur un endroit différent, souvent avec un caractère et un charme unique. En tant que telles, elles ont donc une occasion extraordinaire d utiliser cet avantage pour définir et présenter une image originale ; cette image de marque doit, à son tour, déterminer les produits et les messages qui vont constituer l offre touristique. Mais surtout, les îles sont d une importance primordiale pour la biodiversité mondiale : beaucoup d entre elles abritent des espèces uniques du fait de leur relative isolation, ce qui explique aussi en partie le riche patrimoine culturel que l on y trouve. Ces atouts constituent une ressource touristique remarquable, mais ils imposent aussi au tourisme des responsabilités fortes pour aider à leur préservation. La pression sur le foncier et sur les autres ressources pose un défi considérable au développement et à l aménagement touristique ; elle requiert une planification et une gestion écologique de qualité. En particulier, la disponibilité en eau douce par rapport au niveau de consommation d eau à usage touristique est extrêmement préoccupante aujourd hui et pour l avenir. Le tourisme insulaire doit également faire face à des problèmes spécifiques de traitement des déchets et d approvisionnement énergétique. L amélioration de la gestion et les investissements dans les technologies vertes peuvent ici apporter des solutions. Les destinations insulaires souffrent d un déficit de compétitivité, entre autres, à cause de l insuffisance de leurs liaisons aériennes et de leur faible capacité d investissement. Beaucoup de PEID dépendent directement des investissements étrangers. Il existe des possibilités d augmentation des investissements et des engagements économiques locaux dans le tourisme, y compris le renforcement des capacités locales et la mise en place de formations dans les compétences nécessaires. Les îles sont particulièrement vulnérables au changement climatique, qui affecte déjà leurs environnements et leurs conditions de vie. Alors qu elles ne génèrent que 1% des émissions de gaz à effet de serre, elles subissent de plein fouet l impact du réchauffement climatique (houle cyclonique, élévation du niveau de la mer, érosion des plages, blanchiment des coraux, etc.), ce qui va nuire directement ou indirectement à leur tourisme. Il y a là des défis à relever sans retard. 3
4 Résultats et recommandations Consciente de l importance du tourisme pour l économie et le développement durable d un grand nombre de Petits états insulaires en développement et d autres îles, ainsi que des chances et des défis spécifiques des îles dans leur mise en œuvre d un tourisme durable, la Conférence invite les organismes des Nations-Unies et les autres agences internationales, les gouvernements des PEID et les autorités nationales et locales des autres îles, les représentants de l industrie du tourisme et des autres secteurs, selon le cas : 1. A s assurer que toute l attention nécessaire soit portée au rôle du tourisme dans l élaboration future des politiques et des programmes d aide aux PEID et aux autres îles pour leur développement durable et que le tourisme fasse partie des priorités du calendrier de développement des îles. 2. A mettre en place et à entretenir des structures de gouvernance et de gestion pour le tourisme, y compris dans chaque destination insulaire, qui associent responsables et experts en matière de tourisme, d environnement, de culture, de transports, de planification et d aménagement, et qui favorisent une démarche partenariale dans l intérêt des secteurs public et privé et des communautés locales. 3. A s engager à élaborer des stratégies et des plans d action pour le développement du tourisme durable en prenant en compte les spécificités de chaque île, son évolution sur le long terme et ses besoins à court terme, et en dégageant également des ressources financières et humaines suffisantes pour assurer le succès de leur mise en œuvre. 4. A fournir aux PEID et aux autres états insulaires des informations claires validées par la recherche et des recommandations sur les impacts du changement climatique sur le tourisme ; à agir immédiatement pour mettre en œuvre et soutenir des mesures pratiques d adaptation aux changements climatiques, et à établir et financer des stratégies de réduction de l empreinte carbone pour le développement touristique. 5. A s assurer que le développement du tourisme dans l avenir suit et respecte des planifications spatiales et physiques prenant pleinement en compte les capacités actuelles et futures des ressources d une île (en particulier en matière de foncier, d eau, de zones côtières, d énergie et de capital social). 6. A prendre des mesures fortes pour la protection du patrimoine culturel et naturel et de la biodiversité des îles et de leur environnement maritime, y compris la mise en place de nouvelles zones protégées si nécessaire, et à convaincre le secteur du tourisme de contribuer à la préservation de ces atouts précieux en les faisant mieux connaître et en fournissant une source de revenus pour leur conservation et pour leur gestion. 4
5 7. A encourager l ensemble des entreprises touristiques et les visiteurs à réduire au maximum leurs impacts négatifs sur l environnement et les communautés insulaires par des réglementations, des incitations, des chartes volontaires et des labels, et par l identification, la reconnaissance et la valorisation des bonnes pratiques. 8. A reconnaître que le tourisme insulaire dépend en grande partie de l accès aérien, et donc de l existence de liaisons en nombre suffisant et de prestations compétitives, et à s assurer que toutes les politiques réglementaires et fiscales à venir en matière de liaisons aériennes prennent en compte les situations spécifiques des îles. 9. A entreprendre une analyse exhaustive de la chaine de valeur du tourisme dans l ensemble des îles, à déterminer comment l économie locale et les communautés des îles peuvent trouver leurs avantages dans le tourisme, et à élaborer et mettre en place des mesures destinées à renforcer l emploi et l engagement de la main d œuvre locale dans le secteur touristique, y compris l accès à la formation. 10. A promouvoir l investissement touristique dans les îles, y compris les investissements étrangers souhaitables, tout en prenant des mesures pour la protection des intérêts locaux et en mettant en place des partenariats financiers pour le bénéfice réciproque de toutes les parties. 11. A identifier et à capitaliser de façon créative sur les qualités essentielles et les spécificités de chacune des îles, afin d en assurer la promotion active et ciblée en tant que destinations touristiques. 12. A soutenir et à encourager les partenariats régionaux tels que les «Îles Vanille» dans l océan Indien, qui bénéficient de la complémentarité de leur offre touristique et de leur valorisation mutuelle. 13. A soutenir les organismes touristiques nationaux et internationaux pour la promotion et la prestation d expertise en matière de développement durable du tourisme, et à encourager l ensemble des PEID et les territoires insulaires à y adhérer. 14. A prendre en compte les présentes conclusions pour la Troisième conférence internationale sur les PEID de 2014, à les diffuser dans d autres forums et à encourager leur perfectionnement et leur déploiement. La Conférence adresse au Gouvernement français et au Conseil régional de la Réunion ses sincères appréciations pour leur aimable hospitalité et l excellente organisation de la rencontre, ainsi que pour leur contribution au progrès du développement durable du tourisme des îles. 5
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