BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
|
|
- Flore Petit
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012
2 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012
3
4 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur de la Tunisie I Flux d emprunt à moyen et long termes A Mobilisation des ressources extérieures B Service de la dette extérieure à MLT C Transferts nets de capitaux d emprunt à MLT II Encours de la dette extérieure A Encours de la dette extérieure à MLT Encours de la dette par type de coopération Encours de la dette par catégorie d agents bénéficiaires 24 3 Structure de la dette par devise Conditions d endettement B Encours de la dette extérieure totale Annexes Données globales sur l endettement extérieur à MLT Dette extérieure à MLT par pays et organisme prêteurs. 47 Situation globale Coopération bilatérale Coopération multilatérale Marchés de capitaux
5
6 INTRODUCTION
7
8 CONJONCTURE ECONOMIQUE INTERNATIONALE ET NATIONALE L économie mondiale a enregistré, en 2011, un ralentissement avec un taux de croissance qui s est situé à 3,8% contre 5,1% en La reprise économique entamée en 2010 ne s est pas, en effet, poursuivie en 2011 en raison, essentiellement, de l aggravation de la crise de la dette souveraine dans les pays de la Zone euro, outre les perturbations politiques et sociales survenues dans la région MENA. Dans les pays développés, la croissance économique est revenue, d une année à l autre, de 3% à 1,6% à cause, notamment, des mesures d austérité budgétaires prises dans plusieurs pays, la hausse de l inflation et les difficultés des systèmes bancaire et financier. En particulier, dans la Zone Euro, le PIB n a progressé que de 1,4% (contre 2% en 2010) en raison du ralentissement de la demande intérieure. Aux Etats-Unis d Amérique, la croissance économique s est limitée à 1,8% (contre 2,4% en 2010), ralentissement imputable à la baisse de la consommation des ménages, l accélération de l inflation et la baisse des valeurs des actifs. S agissant des pays émergents et en développement, le rythme de la croissance économique s est également inscrit en baisse en 2011 pour se situer à 5,7% contre 7,5% en 2010 sous l effet, notamment, du resserrement des politiques monétaires et de l affaiblissement de la demande des pays développés. Les pays en développement d Asie ont, toutefois, connu un rythme de croissance assez soutenu dû à une demande intérieure ferme et d importantes entrées de capitaux extérieurs. Dans ce contexte, les politiques monétaires adoptées par les principales banques centrales, au cours de 2011, ont été accommodantes afin de relancer l activité économique avec le maintien des taux d intérêt directeurs à des niveaux faibles. Le taux directeur de la Réserve Fédérale s est, ainsi, situé entre 0 et 0,25%, ceux de la BCE et de la Banque du Japon ont été ramenés à 1% et à 0,1%, respectivement. Parallèlement, le volume des échanges mondiaux de biens n a progressé que de 6,3% en 2011 contre 14,1% en 2010 sous l effet du ralentissement de la demande internationale émanant surtout des pays développés, du niveau élevé du chômage et de la décélération de la demande d importation de la Chine. en% Evolution des taux de rendement à long terme sur les principaux marchés obligataires internationaux en% Evolution des taux de rendement à court terme sur les principaux marchés obligataires internationaux janv 08 mars 08 mai 08 juil sept nov 08 janv 09 mars 09 mai 09 juil sept nov 09 janv 10 mars 10 mai 10 juil sept nov 10 janv 11 mars 11 mai 11 juil sept nov 11 janv 08 mars 08 mai 08 juil sept nov 08 janv 09 mars 09 mai 09 juil sept nov 09 janv 10 mars 10 mai 10 juil sept nov 10 janv 11 mars 11 mai 11 juil sept nov 11 Taux US à 10 ans Taux EUR à 10 ans Taux JAP à 10 ans Taux US à 2 ans Taux EUR à 2 ans Taux JAP à 2 ans Au niveau des marchés internationaux de capitaux, les marchés obligataires européens ont débuté l année par des signes positifs grâce, notamment, aux émissions du Fonds Européen de Stabilité 7
9 Financière (FESF) sur le marché primaire et des adjudications réussies au Portugal et en Espagne, qui ont amélioré les rendements à 10 ans sur les marchés allemand et français à près de 3,50% et 3,78%, respectivement, en avril. Néanmoins, ces mêmes rendements sont tombés à 1,67% et 2,48%, respectivement, en septembre suite, essentiellement, à la mise en place des plans d austérité budgétaire en Grèce et au Portugal. Concernant le marché obligataire américain, il a pleinement profité, en 2011, de son statut de marché refuge face à la crise de la dette souveraine en Europe tirant profit, par ailleurs, des mesures accommodantes de la politique monétaire de la FED ainsi que d une forte demande émanant de plusieurs banques centrales de pays émergents disposant de liquidités importantes en dollar. INTERBANCAIRES OFFERTS A LONDRES SUR DEPOTS EN DOLLAR E.U (LIBOR) (En %) Durée Année 1 mois 3 mois 6 mois ,25 5,30 5, ,67 2,91 3, ,33 0,69 1, ,27 0,34 0, ,23 0,34 0,51 Evolutions du Libor et de l Euribor (moyennes mensuelles) Source : FMI En% Libor En% Euribor janv06 - juiḻ 06 janv07 - juiḻ 07 janv08 - juiḻ 08 janv09 - juiḻ 09 janv10 - juiḻ 10 janv11 - juiḻ 11 à un mois à trois mois à six mois janv - 06 juiḻ 06 Sources : FMI et BCE janv - 07 juiḻ 07 janv - 08 juiḻ 08 janv - 09 juiḻ 09 janv - 10 juiḻ 10 janv - 11 juiḻ 11 à un mois à trois mois à six mois En ce qui concerne les marchés boursiers, les principales places boursières mondiales ont affiché globalement un fléchissement reflété par le repli de 7,4% de l indice MSCI World. Les places boursières européennes ont, en particulier, accusé des baisses significatives affectées par la crise de la dette souveraine (DAX -14,7%, CAC40-17,9%, IBEX -13,1%, FTSE MIB -25,2%), sachant que les interventions de la BCE pour offrir la liquidité ont permis d éviter une chute plus accentuée de ces places financières. En revanche, les marchés d actions américains ont évolué positivement soutenus par les résultats probants 8
10 des entreprises. Le Dow Jones a, ainsi, clôturé l année avec une hausse de 5,6%. Quant aux bourses des pays émergents, elles ont chuté de 20% à cause de leur sensibilité au ralentissement de l économie mondiale, au risque géopolitique et aux pressions inflationnistes. S agissant des marchés internationaux de change, ils ont été caractérisés, au cours de 2011, par une forte volatilité. Au début de l année, le dollar s est déprécié contre l euro suite, notamment à la détérioration des perspectives de croissance économique aux Etats Unis et à la décision de la Fed de maintenir une politique monétaire accommodante pendant une période prolongée. Un changement de tendance de la parité euro/dollar a été, par la suite, observé en raison des anticipations négatives ayant concerné l euro liées à la crise de l endettement en Europe. De son coté, le yen japonais a pleinement profité de cette situation en tant que valeur refuge. Sur l ensemble de l année, l euro s est déprécié de 3,2% et 8,3%, respectivement, vis-à-vis du dollar et du yen japonais. Pour sa part, le cours de l or a poursuivi sa tendance haussière atteignant un sommet sans précédent, le 6 septembre à dollar l once contre dollar l once au début de l année, jouant ainsi le rôle de valeur refuge pour les investisseurs et ce, compte tenu des répercussions des événements politiques en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, le tsunami au Japon et la multiplication des craintes quant aux difficultés de l endettement en Europe. Concernant l année 2012, les anticipations de croissance sont plutôt pessimistes surtout dans la Zone Euro où la crise de la dette souveraine continue à affecter profondément le rythme de l activité économique. La croissance économique mondiale pour 2012 reviendrait à 3,3% selon les estimations récentes du FMI (-0,4% dans la Zone Euro contre 1,4% en 2011) malgré une amélioration prévue pour les Etats-Unis (2,2% contre 1,8%) et le Japon (2,2% contre -0,8%). Au niveau national, l année 2011 a été marquée par une conjoncture très difficile en raison des événements qu a connus le pays après la Révolution ainsi que les retombées de la guerre en Libye et le ralentissement de la demande extérieure en provenance de l Union européenne sous l effet de la crise de la dette souveraine. Dans ce contexte, l économie tunisienne a enregistré un taux de croissance négatif de 2%, en termes réels, attribuable essentiellement à la récession des secteurs des industries (-7,1 %) et du tourisme (-21,3%). Néanmoins, la reprise du secteur de l agriculture et de la pêche (+9,5% contre -9,3% en 2010) a permis d atténuer le fléchissement enregistré par les autres secteurs. Sur un autre plan, l épargne nationale a baissé de 20,4% en 2011, sous l effet du repli de l activité économique, et n a permis de contribuer qu à concurrence de 78,2% dans le financement des investissements contre 89% une année auparavant. En conséquence, le taux d épargne a régressé de 4,9 points de pourcentage pour représenter 16,8% du RNDB contre une moyenne de 22% pour les trois dernières années. Ce repli a contribué à l aggravation du déficit courant qui a représenté 7,3% du PIB et une détérioration de la situation du secteur extérieur reflétée par le solde négatif de la balance générale des paiements de MDT. Les 9
11 avoirs nets en devises, ont dans ce contexte, accusé une baisse pour représenter 113 jours d importation à la fin de 2011 contre 147 jours au terme de l année précédente. Les entrées nettes de capitaux sous forme d investissements étrangers et d emprunts à MLT n ont, en effet permis de couvrir qu à peine 32% du déficit courant et ce, malgré l intensification des tirages destinés à soutenir la relance économique et à atténuer les pressions sur le secteur extérieur. Dans ce contexte, le taux d endettement total, englobant la dette extérieure et la dette intérieure, a évolué au même rythme que l année précédente, soit près de 13%. En effet, l intensification des tirages sur les capitaux d emprunts extérieurs à MLT, en 2011 s est accompagnée par des remboursements à ce même titre avec, notamment l arrivée à échéance de deux emprunts obligataires d une valeur globale de l ordre de MDT. ENDETTEMENT TOTAL Désignation Endettement total (ET) (en % du PIB) (109,6) (114,5) (126,0) Etat (en % du PIB) (42,5) (40,1) (44,0) Autres agents économiques non financiers (en % du PIB) (67,1) (74,4) (82,0) Endettement intérieur (EI) (en % du PIB) (75,4) (80,1) (89,7) Etat (en % du PIB) (17,5) (15,6) (18,5) Autres agents économiques non financiers (en % du PIB) (57,9) (64,5) (71,2) Endettement extérieur 1 (EE) (en % du PIB) 34,2 34,4 36,3 Etat (en % du PIB) (25,0) (24,5) (25,5) Autres agents économiques non financiers (en % du PIB) (9,2) (9,9) (10,8) (En MDT sauf indication contraire) Variation en % Structure en % 2010/ / ,8 13,2 100,0 100,0 1,9 12,9 35,1 34,9 19,7 13,4 64,9 65,1 14,6 15,1 70,0 71,1-3,6 21,4 13,7 14,6 20,1 13,6 56,3 56,5 8,7 8,8 30,0 28,9 5,7 7,4 21,4 20,3 17,0 12,2 8,6 8,6 PIB aux prix courants ,9 2,9 - - Sources : BCT, CMF et MPCI Concernant le financement mobilisé par l Etat, aussi bien intérieur qu extérieur, il a évolué à un rythme soutenu, progression imputable au creusement du déficit budgétaire (hors privatisation) qui a représenté 3,5% du PIB en Le taux d endettement total de l Etat s est, ainsi, inscrit en hausse de 3,9 points de pourcentage pour se situer à 44%. De même, l endettement des autres agents économiques non financiers s est accru pour passer, d une année à l autre, de 74,4% à 82% du PIB. 1 Compte non tenu des agents économiques financiers. 10
12 Pour l année 2012, une reprise économique est attendue avec un taux de croissance économique prévisionnel de 3,5%, grâce à la reprise des secteurs les plus affectés par la crise en 2011, notamment le phosphate et dérivés, l énergie et le tourisme. Le déficit courant devrait, cependant, s élargir pour représenter en 2012 environ de 8% du PIB, sous l effet de l accroissement du déficit commercial suite au rebond des importations et à la faible demande émanant des pays de l UE, principaux partenaires commerciaux de la Tunisie. Cette situation devrait accroître le recours aux emprunts à MLT pour réduire les pressions sur les avoirs de réserves, dans un contexte d une reprise qui devrait se maintenir à un niveau légèrement en deçà de celui de Ainsi, le taux d endettement augmenterait de 2,3 points de pourcentage pour se situer à 41,1% du RNDB suite à l augmentation de l ordre de 53% des tirages sur les capitaux d emprunts à MLT. 11
13
14 ENDETTEMENT EXTERIEUR DE LA TUNISIE
15
16 I FLUX D EMPRUNT A MOYEN ET LONG TERMES A MOBILISATION DES RESSOURCES EXTERIEURES Les tirages sur les capitaux d emprunt extérieurs à MLT se sont accrus de 44,3% en 2011 portant la marque de l intensification des mobilisations effectuées par l Administration destinées à financer le double déficit budgétaire et de paiements courants. Les fonds mobilisés par l Etat ont représenté près des deux tiers du total des tirages réalisés en 2011, soit une enveloppe de MDT, dont l essentiel a été contracté dans le cadre de la coopération multilatérale. En particulier, les ressources mobilisées auprès de la Banque africaine de développement et de la Banque mondiale se sont fortement accrus pour s élever à 903 MDT et 796 MDT, respectivement, ayant servi principalement au financement du programme d «Aide à la gouvernance» (1.335 MDT). En revanche, les fonds mobilisés auprès de la BEI et du FADES se sont inscrits en baisse revenant, d une année à l autre, de 132 MDT et 63 MDT à 97 MDT et 39 MDT, respectivement. TIRAGES SUR CREDITS A MOYEN ET LONG TERMES PAR BENEFICIAIRE Administration Entreprises Année En MDT En % du total En MDT En % du total en MDT , , , , , , , , , , S agissant des fonds mobilisés par l Etat dans le cadre bilatéral, ils ont considérablement progressé (+80,6%), évolution qui a porté la marque de l intensification des tirages obtenus auprès de la France (163 MDT) et de l Algérie (56 MDT) pour soutenir la relance de l économie tunisienne. Tirages des entreprises au cours de 2011 répartis par secteur bénéficaire Secteur de l'énergie 28,3% Secteur du transport 24,5% Autres secteurs 10,4% Secteur des télécom. 30,2% Secteur financier 6,6% 15
17 Au niveau des entreprises, la plus grande part des tirages réalisés a été destinée au secteur des télécommunications avec une enveloppe de 395 MDT. Les secteurs de l énergie et du transport ont bénéficié de 370 MDT et 321 MDT, respectivement, en Les flux d origine multilatérale destinés aux entreprises ont, considérablement, diminué en 2011 suite, notamment, au recul des tirages auprès de la BEI et de la BAD dont les concours sont revenus, d une année à l autre, de 519 et 242 MDT à 317 MDT et 28 MDT, respectivement. VENTILATION DES TIRAGES PAR TYPE DE COOPERATION Désignation Montant (en MDT) Part (en %) Montant (en MDT) Part (en %) Administration , ,0 Coopération bilatérale , ,0 Coopération multilatérale , ,0 Marchés financiers Entreprises , ,0 Coopération bilatérale , ,9 Coopération multilatérale , ,6 Marchés financiers , , ,0 Coopération bilatérale , ,8 Coopération multilatérale , ,8 Marchés financiers ,4 Les financements bilatéraux accordés aux entreprises se sont, en revanche, inscrits en hausse pour s établir à 522 MDT, contre 332 MDT en Cette augmentation s explique, essentiellement, par l intensification des tirages effectués auprès de la France, avec des flux qui sont passés, d une année à l autre, de 84 MDT à 304 MDT dont 226 MDT au profit de la CTN pour financer l acquisition d un nouveau navire. D autres part, la révision à la baisse par les agences de notation du risque souverain de la Tunisie, au cours de 2011, n a, en effet, pas incité l Administration à recourir à ces marchés, en raison du renchérissement du coût de la dette. Pour l année 2012, l agence Moody s a maintenu son évaluation du risque souverain de la Tunisie alors que les autres agences ont encore révisé à la baisse leurs notations. Quant aux entreprises, les flux levés sur ces marchés ont concerné un crédit syndiqué mobilisé au début de 2011 pour un montant total de 320 MDT ayant servi à l acquisition par la société Zitouna Télécom de 25% du capital de la société «ORASCOM TELECOM TUNISIE». 16
18 EVOLUTION DE LA NOTATION DE LA TUNISIE Année Agence R&I Fitch Moody s Standard & Poor s A- Perspective Stable 30 Mars 2007 A- Perspective Stable BBB Perspective Stable BBB Perspective Stable Baa2 Perspective Stable Baa2 Perspective Stable BBB Perspective Stable BBB Perspective Stable 2009 A- Perspective Stable BBB Perspective Stable Baa2 Perspective Stable BBB Perspective Stable 2010 A- Perspective Stable BBB Perspective Stable Baa2 Perspective Stable BBB Perspective Stable BBB Sous surveillance Perspective négative 17 janvier 2011 BBB Perspective négative 31 Aout 2011 BBB- Perspective stable 25 Octobre 2012 BBB Sous surveillance Perspective négative 14 Janvier 2011 BBB- Perspective négative 2 Mars 2011 BBB- Perspective négative 27 Février 2012 BB+ Perspective négative 11 Décembre 2012 Baa3 Perspective négative 19 Janvier 2011 Baa3 Perspective négative BBB Sous surveillance Perspective négative 18 janvier 2011 BBB- Perspective stable 16 Mars 2011 BBB- Perspective négative 28 Juillet 2011 BB Perspective stable 23 Mai 2012 La ventilation des tirages avec paiements ou sous forme d engagements commerciaux, fait ressortir un doublement des flux financiers perçus à ce titre pour s élever à MDT soit 80,4% du total des tirages. Les engagements sans rapatriement de devises se sont, en revanche, contractés de 30,2% pour se situer à 747 MDT en relation avec le ralentissement enregistré au niveau des importations, notamment, les biens d équipements. EVOLUTION DES D UTILISATION POUR LES PRINCIPALES SOURCES DE FINANCEMENT (En %) Désignation Pays et Organismes de l U.E. 81,2 78,6 75,8 75,3 75,6 Groupe de la Banque Mondiale 88,6 88,8 85,4 87,9 88,1 Banque Africaine de Développement 82,7 80,0 81,1 81,8 81,1 Pays de l Amérique du Nord 99,8 99,8 99,9 100,0 100,0 Pays et Organismes Arabes 69,4 75,8 77,2 79,4 77,7 Pays d Asie non Arabes 69,8 70,8 70,2 66,2 72,4 Autres Pays et Organismes 71,9 68,3 79,5 70,8 76,2 I t ti sans Marchés Financiers 80,5 79,1 78,0 77,4 78,3 Marchés financiers 99,3 95,7 99,2 99,2 99,8 avec Marchés Financiers 84,0 82,4 81,6 80,8 81,1 Concernant le taux d utilisation des emprunts extérieurs à moyen et long termes accordés à la Tunisie, il a augmenté de 0,3 point de pourcentage par rapport à 2010 pour se situer à 81,1%. 17
19 B SERVICE DE LA DETTE EXTERIEURE A MLT Le service de la dette extérieure à moyen et long termes a progressé de 14,3% en 2011 pour s élever à MDT dont près de MDT correspondant au remboursement du principal des deux emprunts obligataires émis, respectivement, en 2004 (450 MEUR) et en 1996 (15 Mds JPY). Le ratio du service de la dette calculé par rapport aux recettes courantes s est, ainsi, inscrit en hausse de 1,3 point de pourcentage par rapport à 2010 pour se situer à 10,6%. L amortissement du principal qui a porté sur une enveloppe de MDT s est accru de 18,9% ou 459 MDT pour représenter 77,4% du total, niveau le plus élevé depuis 2006, contre 74,5% en EVOLUTION DU SERVICE DE LA DETTE A MOYEN ET LONG TERMES Année Principal Intérêts En MDT En % du total En MDT En % du total en MDT , , , , , , , , , , En MDT Principal Intérêts De leur côté, les intérêts de la dette à MLT n ont que légèrement augmenté (1,1%) pour s établir à 844 MDT, préservant la même part enregistrée en 2010 par rapport aux recettes courantes, soit 2,4%, et représentant environ 25,4% des dépenses au titre des revenus du capital nets des intérêts sur prêts à court terme. 18
20 EVOLUTION DES INTERETS DE LA DETTE A MOYEN ET LONG TERMES (En MDT sauf indication contraire) Désignation Intérêts de la dette à MLT Recettes courantes Revenus du capital nets des intérêts sur prêts à CT (dépenses) Intérêts / Recettes courantes (en %) 3,1 2,5 2,9 2,4 2,4 Intérêts / Revenus de capital intérêts sur prêts à CT (en %) 30,5 25,7 28,3 25,4 25,4 Concernant les dépenses au titre du service de la dette à MLT effectué par l Administration, elles se sont inscrites en hausse de 26,5% pour se situer à MDT, augmentation attribuable, essentiellement, au paiement intégral du principal des deux emprunts obligataires de 450 MEUR (886 MDT) et SAMURAI V pour une enveloppe de 15 milliards de yens (278 MDT). En conséquence, le ratio du service de la dette extérieure de l Etat, calculé par rapport à ses recettes propres, s est accru de 1,8 point de pourcentage par rapport à celui enregistré en 2010 pour atteindre 15,5%. EVOLUTION DU SERVICE DE LA DETTE DE L ADMINISTRATION PAR RAPPORT AUX RECETTES PROPRES DE L ETAT (En MDT sauf indication contraire) Désignation Recettes propres de l Etat Principal remboursé par l Etat Intérêts remboursés par l Etat Service de la dette extérieure de l Etat En % des recettes propres 17,9 10,4 13,1 13,7 15,5 Pour la deuxième année consécutive, le service de la dette des entreprises s est inscrit en baisse (-5,7%) pour se situer à MDT portant la marque du repli du règlement du principal de (-8,4%), alors que les intérêts se sont, en revanche, inscrits en hausse de 4,7%. La structure du service de la dette par type de coopération, fait apparaître que les remboursements effectués au profit des marchés financiers ont représenté 42,3% du total, en relation, avec le remboursement au cours du mois d avril et de septembre 2011 du principal de deux emprunts obligataires (450 MEUR et SAMURAI V). Quant aux flux destinés aux organismes multilatéraux et aux pays partenaires, ils ont porté sur des enveloppes respectives de MDT et 921 MDT et ont, nettement, baissé pour ne représenter que 33% et 24,7%, respectivement, du total réglé contre 36,8% et 32,2% une année auparavant. 19
21 EVOLUTION DU SERVICE DE LA DETTE A MLT PAR TYPE DE COOPERATION Désignation En MDT En % du total 20 En MDT En % du total En MDT En % du total Coopération bilatérale , , ,7 France , , ,2 Allemagne 103 3,2 98 3,0 92 2,5 Etats-Unis 73 2, ,1 49 1,3 Japon 190 6, , ,2 Italie 31 1,0 27 0,8 22 0,6 Autres pays 163 5, , ,9 Coopération multilatérale , , ,0 Groupe de la Banque Mondiale 301 9, , ,5 BAD 308 9, , ,1 FADES 133 4, , ,3 BEI 256 8, , ,7 FMA Autres organismes 117 3, ,3 91 2,4 Marchés financiers , , , , , ,0 La ventilation du service de la dette par devise, montre une consolidation de la part de la monnaie européenne dans le total des remboursements qui est passée, d une année à l autre, de 50,9% à 71,1%, évolution qui s explique par le remboursement de l emprunt obligataire de 450 MEUR. En revanche, les parts du dollar américain et du yen japonais ont baissé, revenant, respectivement, de 15,2% et 26,9% en 2010 à 9,8% et 13,9% en EVOLUTION DU SERVICE DE LA DETTE EXTERIEURE A MLT PAR DEVISE (En%) Désignation Dollar E.U 30,3 21,1 13,8 15,2 9,8 Euro 57,7 63,9 71,2 50,9 71,1 Yen japonais 6,7 8,6 8,9 26,9 13,9 Dinar Koweïtien 3,6 4,9 4,5 4,8 4,3 Autres devises 1,7 1,5 1,6 2,2 0,9 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 L effet-change sur le service de la dette montre une perte de l ordre de 57 MDT attribuable, essentiellement, à la dépréciation du dinar vis-à-vis de l euro et du yen japonais de 3,1% et 7,2%, respectivement, en termes de moyenne annuelle. En revanche l appréciation moyenne de 1,8%, du dinar par rapport au dollar a entraîné un gain de change d environ 8 MDT contre une perte de 37 MDT en EVOLUTION DE L EFFET-CHANGE SUR LE SERVICE DE LA DETTE (En MDT) Désignation Dollar E.U Euro Yen japonais Autres devises
22 C TRANSFERTS NETS DE CAPI D EMPRUNT A MLT Les transferts nets de capitaux d emprunt dégagés en 2011 font apparaître, pour la première fois depuis 2004, un solde positif de l ordre de 74 MDT contre des transferts nets négatifs de 628 MDT en Ce résultat s explique, essentiellement, par l accroissement des tirages à un rythme plus soutenu que celui du service de la dette, notamment ceux accordés par les organismes multilatéraux et les pays partenaires. En revanche, le solde négatif des transferts nets avec les marchés financiers est attribuable au remboursement du principal des deux emprunts obligataires pour un montant de MDT qui s est conjugué à un niveau assez faible des concours accordés dans le cadre de ces marchés. EVOLUTION DES TRANSFERTS NETS DE CAPI D EMPRUNT A MLT PAR TYPE DE COOPERATION (ENSEMBLE DES FLUX) (En MDT) Désignation Coopération bilatérale France Allemagne Etats-Unis Japon Italie Autres pays Coopération multilatérale Groupe de la Banque Mondiale BAD FADES BEI Autres organismes Marchés financiers Par ailleurs, le solde négatif des flux financiers d endettement à MLT s est nettement contracté pour se situer à 673 MDT contre MDT une année auparavant, une situation découlant de l importance des tirages financiers versés en comparaison avec les remboursements honorés. Les transferts de capitaux d emprunt à MLT libellés en euro ont dégagé un solde négatif de MDT contre 840 MDT en 2010, suite, notamment, au remboursement de l emprunt obligataire de 450 MEUR. Ceux libellés en yen japonais se sont soldés par des transferts nets négatifs de 384 MDT contre 765 MDT en En revanche les flux exprimés en dollar américain ont dégagé un solde positif de MDT contre, uniquement, 30 MDT en 2010, en relation avec l accroissement des tirages, surtout, ceux mobilisés auprès de la BAD et de la Banque mondiale ainsi que le repli des remboursements libellés en cette devise. 21
23 EVOLUTION DES TRANSFERTS NETS DE CAPI D EMPRUNT A MLT PAR DEVISE (FLUX FINANCIERS) (En MDT) Désignation Recettes Dépenses Solde Recettes Dépenses Solde Dollar E.U Euro Yen japonais Autres devises II ENCOURS DE LA DETTE EXTERIEURE A ENCOURS DE LA DETTE EXTERIEURE A MOYEN ET LONG TERMES Au terme de l année 2011, l encours de la dette extérieure à MLT s est élevé à MDT, en hausse de 7,5% ou MDT par rapport à celui enregistré à la fin de Cet accroissement s explique à concurrence de 45,2% par l effet-change, faisant suite à la dépréciation du dinar tunisien par rapport aux différentes monnaies d endettement, et par l intensification des tirages sur les capitaux d emprunt à MLT réalisés au cours de cette année. Le taux d endettement calculé par rapport au RNDB a, par conséquent, augmenté de 1,9 point de pourcentage pour se situer à 38,8% contre 36,9% à la fin de ENCOURS DE LA DETTE A MLT PAR TYPE DE COOPERATION Par type de coopération, la structure de la dette fait apparaître une consolidation de l encours avec les organismes multilatéraux et à un degré moindre avec les pays partenaires. Quant à l encours vis-à-vis des marchés financiers, il s est, en revanche, inscrit en baisse faisant suite aux remboursements importants effectués, en 2011, en faveur de ces prêteurs. ENCOURS DE LA DETTE EXTERIEURE A MLT AUPRES DES MARCHES FINANCIERS Désignation En MDT En % du total En MDT En % du total En MDT En % du total Marché financier international 4.080,3 66, ,2 69, ,5 68,3 Marché domestique japonais 1.822,1 29, ,7 26, ,7 27,6 Marché américain 197,5 3,2 215,7 3,6 225,2 4,1 Marché financier européen ,9 100, ,6 100, ,4 100,0 22
24 S agissant de l encours de la dette contractée dans le cadre de la coopération multilatérale, il a progressé de 15,9% ou MDT pour atteindre MDT, hausse attribuable à l importance des tirages mobilisés dans ce cadre qui s est conjuguée à un effet-change positif dégagé sur les principales monnaies d endettement. La part de l encours de cette catégorie de prêteurs dans l encours total est passée, d une année à l autre, de 46,4% à 50,1%. En particulier, l encours de la dette vis-à-vis de la Banque européenne d investissement a enregistré une augmentation de 8% pour se situer à MDT en 2011 représentant 14% de l encours total. Premier organisme créancier de la Tunisie jusqu à la fin de 2010, la BEI s est, ainsi, reléguée à la seconde place en raison de l importance des tirages effectués, en 2011, auprès d autres organismes multilatéraux en l occurrence la BAD et la Banque mondiale. Avec la BAD, les engagements sous forme de dette à MLT se sont, en effet, accrus de 24,1% ou 720 MDT pour atteindre MDT, faisant suite à l accélération des tirages mobilisés auprès de cet organisme avec, notamment, l octroi d une enveloppe de 500 MUSD dans le cadre du «Programme de développement pour la gouvernance et les opportunités». Sa part dans l encours total de la dette a, par conséquent, augmenté de 1,9 point de pourcentage pour atteindre 14,6% contre 12,7% une année auparavant. S agissant de l encours avec la Banque Mondiale, il s est également nettement consolidé enregistrant une hausse de 29,7% ou 668 MDT pour atteindre MDT à la fin de 2011, augmentation imputable à l importance des flux de capitaux d emprunts contractés, particulièrement, dans le cadre du programme d appui à la gouvernance pour des enveloppes respectives de 250 MUSD et 168 MEUR. La part de cet organisme dans l ensemble de l encours a été, ainsi, portée de 9,5% à 11,5%. Concernant l encours de la dette à MLT contractée auprès du Fonds arabe de développement économique et social (FADES), il s est maintenu à un niveau proche de celui de 2010 pour s établir à MDT en 2011, résultat attribuable au quasi-équilibre des flux nets. Quant aux engagements sous forme de dettes extérieures à MLT avec les pays partenaires, ils ont augmenté de 10% pour s élever à MDT soit 28,4% de l encours total. Cette hausse est attribuable, essentiellement, à l accroissement important des entrées nettes de capitaux d emprunt allouées par la France, qui consolide ainsi sa position en tant que premier pays pourvoyeur de fonds à la Tunisie. L encours de la dette avec la France s est, en effet, considérablement accru (+12,5% ou +376 MDT) pour s élever à MDT, augmentation liée à l importance des enveloppes allouées par ce pays à l Administration et aux entreprises outre l effet-change positif généré par l appréciation de l euro. La part de ce pays dans le total de l encours s est, ainsi, consolidée pour s établir à 13,4%. Avec le Japon, l encours de la dette s est accru d environ 155 MDT pour atteindre MDT, accroissement lié, surtout, à l appréciation du yen japonais vis-à-vis du dinar. La part de ce pays dans la totalité des engagements sous forme de dettes extérieures à MLT n a presque pas changé, s établissant à 6,3% du total. Egalement, les engagements de la Tunisie à l égard de l Espagne ont enregistré une hausse 16,9% ou 100 MDT pour se situer à 693 MDT à la fin de Cette augmentation est due à un effetchange positif en raison de l appréciation de l euro vis-à-vis du dinar alors que les tirages mobilisés 23
à la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailActivités et résultats 2011
Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailInvestissement étranger à la Bourse de Casablanca
Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailWali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général
EXERCICE 2014 Wali M. Abdellatif JOUAHRI Directeur général M. Abdellatif FAOUZI commissaire Du gouvernement conseil M. Le Wali M. Le Directeur Général M. Abdellatif BELMADANI M. Mohammed BENAMOUR Mme
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailSeptembre 2011 Baromètre bancaire 2011. L'évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2011 Baromètre bancaire 2011 L'évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2011 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Sommaire Executive Summary 3 1 Evolution
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailL'économie libanaise et le système bancaire libanais: Faits et chiffres
La croissance économique L'économie libanaise et le système bancaire libanais: Faits et chiffres 1- Le Liban a connu une croissance économique exceptionnelle et solide à partir de 2007 jusqu'en 2010, le
Plus en détailPrivilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA
Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour
Plus en détail2 analyses. Encadré 2.1 : Répartition géographique des investissements de portefeuille du luxembourg 106. bulletin bcl 2010 3 97
analyses 2 2 analyses 1 La position extérieure globale du Luxembourg 98 1.1 Introduction 98 1.2 La position nette par catégorie d actifs : vue d ensemble 99 1.3 La position d investissements directs 11
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailTARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015
TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 I. Organismes de Placements Collectifs 1. SICAV émises par la BCEE Sous réserve d exceptions éventuelles prévues dans le prospectus d émission,
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailLE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE
DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailSynthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3
Semaine du 20/04/2015 au 24/04/2015 Synthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3 Sur le plan international - Etats-Unis : Croissance de 2,7% attendue Sur le plan national -
Plus en détailPerformance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012
Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailRAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015
RAPPORT SUR LA STABILITÉ FINANCIÈRE DANS LE MONDE Avril 2015 RÉSUMÉ ANALYTIQUE Les chocs macroéconomiques mettent de nouveau à l épreuve les marchés mondiaux Durant ces six derniers mois, les événements
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailPerspective des marchés financiers en 2014
Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailet Financier International
MACROECONOMIE 2 Dynamiques Economiques Internationales PARTIE 2 : Le Système Monétaire et Financier International UCP LEI L2-S4: PARCOURS COMMERCE INTERNATIONAL PLAN DU COURS I - LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL
Plus en détailSOMMAIRE. Bulletin de souscription
SOMMAIRE Flash-emprunt subordonné «Tunisie Leasing 2011-2» Chapitre 1 : Responsables de la note d opération 1.1. Responsables de la note d opération 1.2. Attestation des responsables de la note d opération
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailOrdonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse
Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004
Plus en détailPERTES ET BENEFICES DE CHANGE
ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE
2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailCHAPITRE 1 : LES REGIMES DE CHANGES
CHAPITRE 1 : LES REGIMES DE CHANGES I- un bref survol historique du système monétaire international Le Système Monétaire International (SMI) représente le cadre institutionnel des échanges internationaux.
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailChapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire
Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Que dit le Traité de Rome en matière monétaire? Pas de propos très détaillés. Ce qui est mentionné, c est l ambition de créer une aire régionale
Plus en détailLa BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière
La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détailGUIDE D UTILISATION ODT
GUIDE D UTILISATION ODT Chapitre 1 : Observatoire de la dette I- Données générales sur la dette Chiffre d affaires Indiquer le chiffre d affaires de l EPS. Cette donnée correspond aux recettes générées
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailCIC Activité commerciale toujours en croissance
Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation
Plus en détailInformations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas
Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires
Plus en détailANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015
Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailMobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement
RESULTATS ANNUELS 2014 Paris, le 12 mars 2015 16 millions d abonnés (fixes et mobiles) Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement Chiffre d affaires dépassant pour la première fois
Plus en détail