Les systèmes de formation et leur contexte : enjeux politiques et économiques des systèmes éducatifs
|
|
- Angèle Michaud
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La macroéconomie étudie l'économie à l échelle d un pays à travers les relations entre les grands agrégats économiques, tels que par exemple le revenu, l investissement, la consommation, le taux de chômage, l'inflation, Elle tend à expliciter ces relations et à prédire leur évolution face à une modification des conditions (par exemple l augmentation du prix du pétrole). Les modèles macroéconomiques constituent une simplification de la réalité, dont ils étudient un aspect particulier, comme par exemple l'effet de l éducation sur la croissance. 1
2 Mesure de l apport de l éducation à la croissance économique à travers la théorie du capital humain L'explication traditionnelle de la croissance économique repose sur deux facteurs de production : le travail et le capital. Or dans les années 60 plusieurs économistes nord américains, parmi lesquels Schultz et Denison démontrent que l'éducation contribue aussi à l'augmentation du produit national, c est-à-dire à la création de l ensemble des biens et des services produits annuellement. Démarche macroéconomique de DENISON («facteur résiduel») visant à mesurer l apport de l éducation à la croissance économique des Etats-Unis de 1929 à
3
4 Critiques à l égard de la démarche de Denison q Hypothèse que les gains des différents groupes de travailleurs = mesure de leur contribution à la production. Quelle relation entre productivité du travail et salaire? q «Influence du progrès des connaissances» = valeur résiduelle comprenant aussi des erreurs statistiques? q Qualité des données utilisées? Cf. études ultérieures avec d autres résultats. 3
5 De nouvelles théories et de nouveaux modèles de la croissance économique Les liens entre croissance économique et investissements en formation ont fait l objet d une vaste littérature dans le prolongement de la théorie du capital humain. Les nouvelles théories de la croissance économique d inspiration néoclassique - parmi lesquelles nous pouvons citer les modèles de Lucas (1988) et de Romer (1986) - tendent à expliquer le processus de croissance économique, en mettant un accent particulier sur le rôle du capital humain dans l innovation, et en conséquence la croissance à long terme. Tant les travaux de Lucas que ceux de Romer, se situent dans le prolongement de la théorie du capital humain (cf. Denison (1962), et appartiennent aux modèles dits de 4 croissance endogène.
6 Dans ces modèles, on évoque une croissance endogène fondée sur l innovation, car la croissance dépend du comportement des acteurs et du développement des compétences des acteurs (individus et entreprises). Pour les tenants des modèles de croissance endogène, la capacité d innover, et en conséquence le niveau de production d une économie dépendent fortement de l évolution du stock de capital humain. 5
7 Les modèles de croissance endogène fondés sur l analyse de travaux de recherche et développement, notamment la contribution de Romer ( ), donnent pour résultat qu une croissance à taux constant dépend en partie du niveau de capital humain. L hypothèse de base est que le capital humain est un élément essentiel dans la production d idées nouvelles.» (Temple, 2001, p. 62). Les modèles de croissance endogène mettent donc en évidence le besoin d'une population bien formée pour générer de la croissance économique. L'impact positif du niveau de formation intervient de deux manières : d'une part, un niveau de formation élevé permet des innovations technologiques, d'autre part ces innovations peuvent être utilisées par les actifs. 6
8 Le modèle de Lucas La fonction de production d une économie est composée de trois éléments : le capital, le travail et l efficacité du travail qui reflète la qualité du capital humain. Le niveau de production d une économie dépend du stock de capital humain. A long terme, une croissance durable n est envisageable que si le capital humain augmente de manière permanente. Ce modèle se réfère à un ensemble de connaissances disponibles dans la population. On peut aussi comprendre que le modèle se réfère à une amélioration qualitative de la formation dans le temps. 7
9 Le modèle de Lucas «suppose, d une part, que l accumulation du capital humain s effectue par les individus eux-mêmes. Il suppose, d autre part, que l efficacité de chaque individu dans la production du bien final est d autant plus grande que le niveau moyen de capital humain est élevé - chacun bénéficiant du savoir déjà accumulé par l ensemble de la société sans en avoir soi-même payé le prix. Cet enchaînement constitue dès lors un effet externe positif induit par l accumulation individuelle du capital humain.» (Liechti, 2007, p. 15) Pour Lucas, «A long terme, la croissance ne peut être durable que si le capital humain peut se développer sans limites» (Temple, 2001, p. 62) 8
10 Le modèle de Romer Pour Romer (1988), ce n est plus l évolution du niveau de formation qui est l élément prépondérant, mais le niveau de formation dans une économie à un moment donné qui stimulera la R & D, source de la croissance économique. Le stock de capital humain doit dépasser un certain seuil pour que l innovation ait lieu. «Même un accroissement ponctuel du stock de capital humain entraîne une accélération indéfinie du taux de croissance.» (Temple, 2001, p. 62). Romer a aussi mis en évidence que l innovation accroît le stock de connaissances et cet accroissement aura un effet bénéfique non seulement pour l entreprise à son oirgine mais pour l ensemble des firmes (externalité 9 positive), ce qui stimulera la croissance.
11 Modèles de croissance endogène : une croissance qualitative du niveau de formation de la population «Pour rattacher le modèle Uzawa-Lucas aux données, on peut par exemple laisser entendre que la qualité de l éducation peut s améliorer avec le temps (Bils et Klenow, 2000). L idée en l occurrence est que les savoirs transmis aux enfants en classe en l an 2000 sont supérieurs à ceux qui l ont été en 1950 ou 1900, ce qui creusera les écarts de productivité entre chacune de ces générations dans leurs emplois futurs. Même si le niveau d études moyen est constant au fil des ans, le stock de capital humain pourrait s accroître au point d induire une progression des niveaux de production.» (Temple, 2001, p. 62). 10
12 Références bibliographiques Bils, M.et Klenow, P. J. (2000). Does schooling cause growth? American Economic Review, 90(5), Denison, E. F. (1962). The sources of economic growth in the United States and the alternatives before us. Committee for Economic Development. Supplementary Paper 13. New York : Committee for Economic Development. ch. 7, pp Liechti, V. (2007). Du capital humain au droit à l éducation. Analyse théorique et empirique d une capacité (thèse de doctorat, Université de Fribourg, Suisse). Consulté le 5 décembre 2014 dans ethesis.unifr.ch/theses/downloads.php?file=liechtiv.pdf Lucas, R.E. (1988). On the mechanics of economic development. Journal of Monetary Economics, 22, Romer P. M. (1986). Increasing returns and long-run growth. Journal of Political Economy, 94(5), Temple, J. (2001). Effets de l éducation et du capital social sur la croissance économique dans les pays de l OCDE. Revue économique de l OCDE, 33(2),
Document 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995
PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs
Plus en détailBACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT
BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT ECTS CM TD Volume horaire Semester 1 30 161 109 288 UE1 Economics 9 48 32 80 Microeconomics 1: Central/Essential/Major Principles 24 16 40 Macroeconomics 1:
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLes salaires réels ont ils été affectés par les évolutions du chômage en France avant et pendant la crise?
Les salaires réels ont ils été affectés par les évolutions du chômage en France avant et pendant la crise? Grégory Verdugo Direction des Études microéconomiques et structurelles Service des Analyses microéconomiques
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailLa finance, facteur d inégalités
La finance, facteur d inégalités Olivier GODECHOT Cette étude montre que, contrairement aux idées reçues, les PDG et des superstars du sport ou du divertissement ne sont pas les premiers responsables de
Plus en détailInterpréter correctement l évolution de la part salariale.
Interpréter correctement l évolution de la part salariale. Gilles Saint-Paul Université de Toulouse I et Ministère de l Ecologie En, la part des salaires dans la valeur ajoutée (ou dans le PIB) est un
Plus en détailConsignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre
Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Principes de base Durant le premier semestre, vous serez amenés à remettre un travail effectué en groupe. Le but de celui-ci est de s intéresser
Plus en détailInstitut Informatique de gestion. Communication en situation de crise
Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailMATTEO CACCIATORE LA MACROÉCONOMIE
MATTEO CACCIATORE LA MACROÉCONOMIE DE LA RÉGLEMENTATION DES MARCHÉS La vague de crises qui a débuté en 2008 a relancé le débat sur la déréglementation des marchés comme outil pour améliorer la performance
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailUne ultime cotisation reer à 71 ans
Une ultime cotisation reer à 71 ans S T R A T É G I E S P L A C E M E N T S E T F I S C A L I T É N o 4 La récupération des prestations d État peut influer considérablement sur le revenu de retraite d
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailTD d économétrie appliquée : Introduction à STATA
Ecole normale supérieure (ENS) Département d économie TD d économétrie appliquée : Introduction à STATA Marianne Tenand marianne.tenand@ens.fr OBJECTIFS DU TD Découvrir le logiciel d économétrie STATA,
Plus en détailREFERENCES SUR LES INDICATEURS
L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES SUR LES INDICATEURS E t u d e G C P Nathalie Wilbeaux Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie sélective sur les «indicateurs» - Etude GCP 2003-2007-
Plus en détailLes débats sur l évolution des
D o c u m e n t d e t r a v a i l d e l a B r a n c h e R e t r a i t e s d e l a C a i s s e d e s d é p ô t s e t c o n s i g n a t i o n s n 9 8-0 7 C o n t a c t : La u re nt V e r n i è r e 0 1 4
Plus en détailLES INÉGALITÉS s accroissent dans
EMPLOI Le POUVOIR et le PEUPLE Florence Jaumotte et Carolina Osorio Buitron LES INÉGALITÉS s accroissent dans de nombreux pays avancés depuis les années 80, essentiellement par suite de la concentration
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailChapitre 3 : INFERENCE
Chapitre 3 : INFERENCE 3.1 L ÉCHANTILLONNAGE 3.1.1 Introduction 3.1.2 L échantillonnage aléatoire 3.1.3 Estimation ponctuelle 3.1.4 Distributions d échantillonnage 3.1.5 Intervalles de probabilité L échantillonnage
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailDemande d adhésion/instruction. Rente-épargne non enregistrée. (À être utilisé uniquement pour les entreprises)
Demande d adhésion/instruction Rente-épargne non enregistrée (À être utilisé uniquement pour les entreprises) 1. renseignements de base Demande d adhésion/instruction Rente-épargne non enregistrée (À être
Plus en détailLa question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010
La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.
Plus en détailMéthodologie de construction des paniers de haut débit sans fil
Merci d'utiliser le titre suivant lorsque vous citez ce document : OCDE (2012), «Méthodologie de construction des paniers de haut débit sans fil», Éditions OCDE. http://dx.doi.org/10.1787/5k92s6v6cnkb-fr
Plus en détailSanté, Education et Retraite Un modèle stylisé
Santé, Education et Retraite Un modèle stylisé Yves Guillotin Université du Maine (GAINS-TEPP & IRA) François Langot Université du Maine (GAINS-TEPP & IRA), Paris School of Economics, Banque de France,
Plus en détailUnited Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision.
SOURCES SOURCE Data Sources Population : Labour Force: Production: Social Indicators: United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. International Labour Organisation (ILO). LaborStat
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailPROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE
PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4
Plus en détailIntroduction : pour une refonte générale de notre système de retraite
Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.
Plus en détailPolitique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères
Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines
Plus en détailThéorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises
Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises Objectifs de la session 1. Introduire le «dividend discount model» (DDM) 2. Comprendre les sources de croissance du dividende 3. Analyser
Plus en détailTABLEAUX STATISTIQUES
Continentalisation Cahier de recherche 9-9 Décembre 199 ----------------------------- COMMERCE, CROISSANCE ET EMPLOI : LE CAS DU MEXIQUE TABLEAUX STATISTIQUES Afef Benessaieh et Christian Deblock Groupe
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailPerspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire
ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLes matières premières : une classe d actifs à part entière?
Les matières premières : une classe d actifs à part entière? PHILIPPE MONGARS, CHRISTOPHE MARCHAL-DOMBRAT Direction des Opérations de marché Service de Suivi et d Animation des marchés L intérêt des investisseurs
Plus en détailINCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L»
INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» ARTICLE
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailQUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL AMÉRICAIN POUR LES CANADIENS
février 2015 TABLE DES MATIÈRES Comment s applique l impôt successoral Historique de l impôt successoral Taux et exemptions de l impôt successoral Idées de planification Résumé QUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL
Plus en détailL origine de la grande récession
L origine de la grande récession Marine DUROS Pour Atif Mian et Amir Sufi, l origine de la Grande Récession américaine est à trouver dans un surendettement des ménages, et non dans un système bancaire
Plus en détailLa rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006
La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL
Plus en détailCroissance, investissement et emploi: dernières informations sur les recherches et réunions portant sur la cohérence des politiques
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.298/WP/SDG/2 298 e session Conseil d administration Genève, mars 2007 Groupe de travail sur la dimension sociale de la mondialisation WP/SDG POUR INFORMATION DEUXIÈME
Plus en détailL impact de l économie numérique. Président du comité économie numérique du Medef,
L impact de l économie numérique ENTREPRISE Philippe Lemoine Président du comité économie numérique du Medef, Benoît Lavigne Direction recherche innovation et nouvelles technologies (Medef), Michal Zajac
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailMesure et gestion des risques d assurance
Mesure et gestion des risques d assurance Analyse critique des futurs référentiels prudentiel et d information financière Congrès annuel de l Institut des Actuaires 26 juin 2008 Pierre THEROND ptherond@winter-associes.fr
Plus en détailRoyaume-Uni. Conditions d ouverture des droits. Indicateurs essentiels. Royaume-Uni : le système de retraite en 2012
Royaume-Uni Royaume-Uni : le système de retraite en 212 Le régime public comporte deux piliers (une pension de base forfaitaire et une retraite complémentaire liée à la rémunération), que complète un vaste
Plus en détailConsignes déclaratives DSN
Consignes déclaratives DSN Pôle emploi 1/8 Contenu PREAMBULE... 3 1. GERER UNE FIN DE CDD / GERER UNE PROLONGATION DE CDD... 4 2. GERER UNE ABSENCE NON REMUNEREE OU PARTIELLEMENT REMUNEREE... 5 3. GERER
Plus en détailUne économie avec des dysfonctionnements profonds, qui sont à l origine d une faible performance dans la création d emplois de bonne qualité
Une économie avec des dysfonctionnements profonds, qui sont à l origine d une faible performance dans la création d emplois de bonne qualité 36 une économie performant en-deçà de sa capacité Une économie
Plus en détailDans un contexte difficile, les entreprises peuvent
RÉÉVALUATION DES ACTIFS DANS LES COMPTES INDIVIDUELS ET CONSOLIDÉS : FOCUS SUR QUELQUES DIFFICULTÉS TECHNIQUES 22 Eric TORT Diplômé d expertise comptable, docteur HDR en sciences de gestion, DAF Groupe
Plus en détailRémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices
Rémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices 1. Contexte Les travaux du groupe de travail de place constitué au début de l année 2009 à la demande des pouvoirs publics ont
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailLe poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux
AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH
Plus en détailLES NOTES EN BAS DE PAGE
LES NOTES EN BAS DE PAGE 2 Les notes en bas de page Les notes en bas de page, références de citations, constituent le casse-tête des étudiant-e-s. Par souci d uniformisation et de simplification, il convient
Plus en détailAvertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur
DCG UE4 DROIT FISCAL - session 2014 Proposition de CORRIGÉ 2014 dcg-lyon.fr Avertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur DOSSIER 1 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE - 5 points 1.
Plus en détailORGANISME DE PLACEMENT COLLECTIF DE TYPE A
ANNEXE A ORGANISME DE PLACEMENT COLLECTIF DE TYPE A HYPOTHÈSES RELATIVES AUX EXEMPLES N o 1 À N o 4 : Le prix à la date de l opération est de 10 $ la part pour le Fonds d actions et de 11 $ la part pour
Plus en détailLES LIENS ENTRE DEMANDE DE CRÉDIT ET CROISSANCE ÉCONOMIQUE LE CAS DES CRÉDITS AUX SOCIÉTÉS EN FRANCE SUR LA PÉRIODE RÉCENTE
LES LIENS ENTRE DEMANDE DE CRÉDIT ET CROISSANCE ÉCONOMIQUE LE CAS DES CRÉDITS AUX SOCIÉTÉS EN FRANCE SUR LA PÉRIODE RÉCENTE L analyse des liens entre demande de crédit et croissance économique est délicate.
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailHISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007
Sciences sociales et humaines- MESOJ- ISSN 2109-9618- (2010) Volume 1 No 3 HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A 2007 Sciences sociales et humaines : Livre : HISTOIRE MONETAIRE DE L EUROPE DE 1800 A
Plus en détailCONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!
CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un
Plus en détailTRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC
TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC I DETERMINATION DE LA RESIDENCE Au plan fiscal, les conséquences résultant pour un résident et ressortissant français de son installation au Maroc dépendent
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailL allocataire dans un couple : l homme ou la femme?
L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et
Plus en détailDiscours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013
Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Bonjour Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d être avec vous aujourd hui pour ce Sommet AéroFinancement organisé
Plus en détailSéance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain. Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite
Séance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite Ce sont GM et Verizon qui ont ouvert le marché des rachats d engagements
Plus en détailHausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Bureau fédéral du Plan Avenue des Arts 47-49, 1000 Bruxelles http://www.plan.be WORKING PAPER 11-09 Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Plus en détailLes Entretiens Jacques Cartier. Session 1 : De la naissance du connectivisme à la satisfaction des besoins éducatifs
Les Entretiens Jacques Cartier Colloque 1 : Cours massifs et ouverts en ligne adaptés aux besoins du 21ème siècle. Un défi pour l enseignement supérieur des pays du nord et du sud. Session 1 : De la naissance
Plus en détailLa culture financière des Français
C entr e de Recher c h e po u r l E t u d e et l Obser va t i o n des Co n d it io n s de V ie Département Conditions de vie et aspirations La culture financière des Français Etude réalisée à la demande
Plus en détailLes séjours au pair. La liste des critères de qualité
LES SÉJOURS AU PAIR On entend par séjour au pair un séjour en France ou à l étranger à des fins linguistiques, comprenant d une part, un «travail» indemnisé dans une famille consistant dans la réalisation
Plus en détailArticle de recherche théorique et article de recherche empirique : particularités 1
La présentation d un article de recherche de type théorique 1 Article de recherche théorique et article de recherche empirique : particularités 1 Gilles Raîche, professeur Université du Québec à Montréal
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailBest Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions
Stratégie Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions La recherche des primes de risque constitue une stratégie relativement courante sur les marchés obligataires
Plus en détailL analyse économique est-elle transposable à l éducation?
Est-il possible de procéder à une analyse économique du fonctionnement des systèmes éducatifs? Si oui, dans quels buts? Quel est l'objet de la science économique? «L économique (économie politique) recherche
Plus en détailQUATRE ÉLÉMENTS À NE PAS SOUS-ESTIMER DANS LE CONTEXTE D UNE TRANSMISSION D ENTREPRISE
QUATRE ÉLÉMENTS À NE PAS SOUS-ESTIMER DANS LE CONTEXTE D UNE TRANSMISSION D ENTREPRISE Table des matières 1. Introduction... 1 2. Développement... 2 2.1. Droit successoral, réserve des héritiers... 2 2.2.
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailDÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE
DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE NEODeS - Passage de la phase 1 à la phase 2 Éléments de référence pour assurer la continuité Page 1 Sommaire 1. La relation employeur salarié... 3 2. Le positionnement du
Plus en détailECOWIN PRO. A retenir
ECOWIN PRO Ecowin Pro est un programme qui interroge des séries historiques d indicateurs économiques et des données financières concernant une centaine de pays et zones géographiques. Ecowin Pro agrège
Plus en détailLe travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?
ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque
Plus en détailD après les estimations de la CNUCED (1), il. État des lieux du commerce. international. Le rôle des firmes multinationales dans le commerce
Le rôle des firmes multinationales dans le commerce L essor est concomitant d'une explosion du nombre de firmes multinationales. Longtemps, celles-ci se sont cantonnées à la recherche d un accès aux matières
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailDESCRIPTIF DU DOCUMENT. Déploiement Nouveau système de rémunération au 01.01.2009-13 ème salaire
13 EME SALAIRE 13 EME SALAIRE - ETAT DE GENEVE Confidentiel Etat de Genève 23/01/2009 DESCRIPTIF DU DOCUMENT Phase du projet Domaine État du document Version actuelle Déploiement Nouveau système de rémunération
Plus en détailMECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP)
MAPPP/12-16 FICHE : CRISTALLISATION DES TAUX MECANISMES DE COUVERTURE DU RISQUE DE TAUX EN CONTRAT DE PARTENARIAT (CP) Introduction Cette note examine les différentes modalités de couverture du risque
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailThe Second Twentieth Century: How the Information Revolution Shapes Business, States, and Nations. Hoover Press, 2006.
Jean-Jacques Rosa Professeur des Universités E-mail : jjr@jjrosa.com RESPONSABILITES Directeur et fondateur, MBA Sciences Po, Institut d'etudes Politiques, 1993-2008 Directeur et fondateur, DESS "Finance
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailCADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION
CADRE JURIDIQUE INTERNATIONAL POUR LA DÉVELOPPEMENT DE PROGRAMMES CONTRE LA CORRUPTION International Legal Framework for Development of Anti-Corruption Programs 1 AUGMENTATION DES ACCORDS CONTRE LA CORRUPTION
Plus en détailSommaire. Le RSA, c est quoi? 4. Qui peut en bénéficier? 5. Mes droits. Mes obligations et engagements. La commission RSA 10
mode Notes Sommaire Le RSA, c est quoi? 4 Qui peut en bénéficier? 5 Mes droits l L allocation RSA l L accompagnement Mes obligations et engagements l Mes démarches d insertion l Mes démarches administratives
Plus en détail