ainsi que M. Alain Rallet, professeur d économie à l université de Paris Sud, et M. Bill Pattinson, expert de l OCDE.
|
|
- Marie-Agnès Jacques
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INTRODUCTION Paul Champsaur Directeur général de l Insee En mon nom et au nom de tous mes collègues de l Insee, je vous souhaite la bienvenue. Je suis très heureux de vous accueillir à ce sixième séminaire organisé par la direction des statistiques d entreprises de l Insee. Je voudrais saluer en premier lieu les intervenants venus de l étranger : M. Martin Brookes, senior researcher chez Goldman Sachs ; M. Luc Soete, de l université de Maastricht, directeur de l institut de recherche économique sur l innovation et la technologie (MERIT) ; M. Daniel April, responsable des enquêtes sur la télédistribution à Statistique Canada ; les responsables d entreprises : M. Max-Henri Pollak, directeur des achats de Spie Batignolles ; M. Yves David, directeur de la coordination du groupe Casino ; M. Jean-Paul Mériau, directeur du programme «e-business» de Renault ; M. Roland Martinez, directeur du commerce électronique à la CAMIF ; M. Alain Borri, directeur e-logistique de Team on Line ; M. Pierre Alzon, directeur général de Dégriftour ; ainsi que M. Alain Rallet, professeur d économie à l université de Paris Sud, et M. Bill Pattinson, expert de l OCDE. Le séminaire de la direction des statistiques d entreprises de l Insee Le séminaire de la direction des statistiques d entreprises de l Insee vise à confronter les expériences des responsables d entreprises, des économistes et des statisticiens, pour que ces derniers adaptent leurs instruments de mesure aux questions posées et aux changements dans l organisation des entreprises. Il s agit de préparer l évolution de la statistique face à des mutations profondes ou pressenties comme telles de l appareil productif ou commercial. Pour cela, l échange d expériences s avère le meilleur moyen de progresser. Il doit nous permettre de mieux connaître les pratiques des entreprises, de mieux comprendre leur organisation, de cerner les enjeux majeurs des évolutions, d en déduire les indicateurs pertinents à suivre, enfin de trouver la meilleure façon de les mesurer sans imposer de charge trop lourde aux entreprises. Il s agit donc de réfléchir ensemble pour mieux travailler ensemble : produire à un coût raisonnable pour tous des données statistiques plus pertinentes et mieux utilisées. Ces séminaires présentent aussi chaque année un éclairage venu de l étranger : la statistique, comme l économie, ne se construit pas en vase clos. Entendre les témoignages des statisticiens étrangers, c est tirer parti de leurs expériences et aller vers des chiffres comparables. Je constate d année en année que ce séminaire remporte un succès croissant et je m en réjouis. On m a avoué que de nombreuses inscriptions avaient du être refusées faute de place : j ose à peine imaginer ce qui se serait passé si l on avait pu s inscrire sur le Net! Aujourd hui : le commerce électronique Le séminaire de 2000 porte aujourd hui sur un phénomène émergent, le commerce électronique. Pour l Insee, ce sujet est important à deux titres : il est à la fois une pratique et un sujet de réflexion. Quelques mots sur notre pratique : l Insee est présent sur le Web depuis À l origine, notre site était purement un site d information : on y trouvait les principales informations produites par l Insee et son catalogue. Il s est progressivement enrichi et les toutes dernières données de base tirées du recensement y sont disponibles. Un service de Introduction 7
2 commerce en ligne sera prochainement ouvert : il permettra d acheter des données détaillées tirées du recensement et des statistiques structurelles d entreprises, et de passer des commandes d ouvrages et de cédéroms en ligne. Ce sera le moyen de servir plus rapidement et efficacement les utilisateurs de statistiques. Nous constatons que le Web n est pas un simple outil de diffusion supplémentaire mais bien un moyen de communication, dans les deux sens, entre l Insee et sa clientèle. Cette pratique nous permet de «toucher du doigt» certaines des contraintes auxquelles sont confrontées les entreprises qui se tournent vers le commerce électronique : gestion très rigoureuse du catalogue, organisation de la vente pour garantir une livraison rapide, création de services spécifiques, refonte de certaines chaînes de fabrication des produits. Nous aurons à en tirer les conséquences pour l organisation de la diffusion à l Insee. Mais le commerce électronique est surtout un sujet d étude pour l Insee, sujet important au vu de l impact qu il peut avoir sur l économie française. Impact microéconomique tout d abord : organisation des entreprises, comportement des consommateurs, fonctionnement des marchés ; impact macroéconomique ensuite, sur les prix, la croissance, l emploi, etc. Nous devons y être attentifs et être capables de le mesurer. Quelques données de cadrage Pour l instant, nous ne disposons que de quelques données, encore assez disparates, pour caractériser le champ du commerce électronique. Je voudrais en citer quelques-unes, qui situent la France dans le contexte international et montrent l étendue du potentiel de croissance. Je me référerai pour cela au dernier tableau de bord de l innovation, publié au mois d octobre par le secrétariat d État à l industrie et disponible sur le site internet du ministère 1. En France, un ménage sur quatre est équipé en micro-ordinateurs, soit un peu moins qu au Japon ou au Royaume Uni, où un ménage sur trois est équipé, beaucoup moins qu en Allemagne ou au Canada où la proportion est d un sur deux, et nous sommes très loin derrière les États-Unis ou les pays d Europe du Nord. Un Français sur six a accès à l internet, à partir de son domicile, de son lieu de travail ou d études. Là encore, nous sommes très loin des États-Unis où plus de la moitié de la population est concernée. S agissant du commerce électronique, le retard français est encore plus marqué : si 44 % des internautes américains ou 39 % des suédois déclarent avoir effectué des achats en ligne, ce n est le cas que de 15 % des internautes français. Pour résumer la situation française, on peut dire que les internautes français sont relativement moins nombreux qu ailleurs, et moins enclins à pratiquer le commerce électronique. Le minitel, dont l usage s est répandu dans notre pays depuis plus de vingt ans et qui n a pas d équivalent au monde, n y est sans doute pas étranger. Il peut représenter un obstacle au développement de l usage de l internet, mais il a en même temps familiarisé la population aux transactions électroniques et pourrait se révéler à terme, par substitution, le facteur d un développement rapide du commerce par le Web. Une dernière statistique concernant les entreprises : 14 % des grandes entreprises industrielles réceptionnent des commandes en ligne, et 9 % des PMI font de même. En la matière, les comparaisons internationales sont difficiles, mais on peut estimer que là encore, la France n est pas dans le peloton de tête. Tous ces indicateurs sont cependant à la hausse en France, et nous rattrapons progressivement nos voisins. Un potentiel de développement fort On peut tirer de ce panorama international la conclusion que l économie française n est pas encore massivement concernée par le commerce électronique, mais que les choses peuvent aller très vite : la marge de progression est importante, et il existe des facteurs favorables, comme l étendue de notre pays et la dispersion des agents économiques. 1. À l adresse 8 Insee Méthodes
3 Pour que le commerce électronique se développe, un certain nombre de conditions doivent être remplies. Il est à peu près acquis que la diffusion des équipements techniques, micro-ordinateurs, réseaux, permettra ce développement, mais des obstacles d une autre nature existent : la confiance dans la sécurité des paiements, dans l identification et les références des intervenants, dans la confidentialité des échanges, n est pas générale. Enfin, et il en sera longuement question au cours de la journée, il faut que les entreprises adaptent leur organisation pour être efficaces dans ce domaine. De quoi parle-t-on? Le terme de commerce électronique, ou «e-commerce», recouvre deux réalités différentes qu il est nécessaire de distinguer : d une part, le commerce électronique par l internet entre entreprises : le Business-to-Business ou B2B des anglo-saxons ; d autre part, celui réalisé directement auprès des consommateurs : le Business-to-Consumer ou B2C. Les aspects communs, en partie techniques, en partie économiques, ne doivent pas masquer que ces deux réalités sont loin de partager la même histoire ou les mêmes perspectives ; leurs problématiques ne sont pas non plus identiques. Le plus prometteur à ce jour, le B2B, est l aboutissement du développement des technologies de l information et de la communication dans les entreprises. Il doit concrétiser et amplifier les gains attendus de l usage de ces technologies. La réalité des transactions achats, réception de commandes ne fait pas question, mais le mode opératoire change avec l usage du véhicule commun, et de plus mondial, qu est l internet. Ce n est d ailleurs pas l internet qui, à proprement parler, crée le commerce électronique. Celui-ci existe depuis longtemps sous la forme des EDI (échanges de données informatisés), qui s accompagnent de la dématérialisation des échanges de documents, avec le vieux rêve «zéro papier, zéro délai, zéro erreur». Le passage de ce système à l internet devrait être rapide compte tenu des améliorations techniques que ce dernier apporte. Cependant, en 1999 encore, les EDI étaient plus fréquemment utilisés qu un site internet pour la transmission de commandes dans l industrie française, selon une enquête du secrétariat d État à l industrie. Le B2C commerce électronique par l internet avec le consommateur final se heurte sans doute, quant à lui, à des contraintes plus fortes que le B2B, au moins pour les produits classiques, en raison notamment de la logistique qu il demande. Paradoxalement, le B2C semble pourtant davantage susciter l imagination, la publicité en accentuant le côté science-fiction, vers un futur «virtuel». En réalité, les opportunités les plus fortes en matière de B2C concernent des produits spécifiques : les produits pouvant être dématérialisés et directement délivrés au consommateur par l internet tels que les logiciels, la musique, les jeux électroniques, demain les films ; les services tels que les titres de transports et plus généralement les voyages, la billetterie de spectacle, et naturellement les transactions boursières et les services financiers. Quels changements va donc apporter le commerce par l internet? Crée-t-il de nouveaux produits, de nouveaux marchés, ou tout au moins améliore-t-il les processus de marché? Quels gains en attendent les entreprises, mais aussi quelles sont les conditions de son efficacité et quels risques présente-t-il? Mérite-t-il tout l intérêt que la presse, les marchés financiers lui prêtent? Quel en sera l impact macroéconomique? Toutes ces questions seront débattues aujourd hui, car elles permettront d apprécier les enjeux et de préciser ce qu on attend du statisticien en matière de mesure. Une nouvelle organisation du marché, de nouveaux produits, de nouveaux services Le commerce électronique devrait accélérer les échanges, et élargir les marchés, puisque l internet permet en théorie de toucher une clientèle mondiale. La localisation perd de son importance, même si subsistent les difficultés inhérentes aux échanges internationaux comme les barrières linguistiques, culturelles et logistiques. Des rentes sectorielles et géographiques peuvent être remises en cause. Des marchés peuvent aussi se créer ou se généraliser grâce à la rapidité de réaction que permettent les échanges électroniques : la vente en dernière minute de billets de voyage en est une illustration. On attend ainsi de l internet une plus grande visibilité de l offre, rapprochant du modèle de la concurrence parfaite, et une plus grande efficacité du marché dans son ensemble. Parce que l internet permet à l acheteur de confronter directement les offres sur le réseau, il devrait aussi renforcer le pouvoir de l acheteur. Introduction 9
4 En sens inverse, le commerce électronique et les technologies de l information permettent d enregistrer et d analyser les caractéristiques des acheteurs ou des simples prospects en général. Ils introduisent ainsi une visibilité de la demande. Proposer des services associés aux biens, et des prix qui en tiennent compte, est un moyen pour le producteur de répondre à cette demande. C est par l identification et la mise en place de services associés que les technologies de l information contribuent à l émergence de nouveaux produits, imbriquant biens et services. La nouvelle organisation des marchés que dessine ainsi le commerce électronique fait naître aussi de nouveaux intermédiaires. Dans le domaine du B2B, des «places de marché» électroniques se créent pour réunir clients et fournisseurs dans un système d enchères inversées. Cela conduit à une standardisation très poussée des produits et de leur description, pour que les intervenants puissent agir en toute confiance. Ce mode de transaction peut aussi concerner les services tels que le travail temporaire, la maintenance d équipement, donnant naissance à ce que l on appelle parfois le «e-procurement». D autres intermédiaires, qui se chargeront de trouver la meilleure offre sur l internet pour le compte d un acheteur ou d un vendeur, pourront également se mettre en place. Certains moteurs de recherche proposent déjà ce type de services. Ce sont là des exemples concrets d intermédiation entre acheteurs et vendeurs. On est loin de la disparition des intermédiaires du commerce, parfois évoquée : celle-ci est peu probable globalement même s il existe quelques exemples spécifiques dans le B2C, comme la vente directe de micro-ordinateurs par un grand constructeur. Le commerce électronique comporte ainsi des spécificités qui justifient une réflexion particulière de la part de l économiste, notamment sur la concurrence. En théorie, le commerce électronique abaisse les barrières à l entrée dans de nombreux secteurs en favorisant l arrivée de nouveaux acteurs performants. Ceux-ci ont d ailleurs parfois rencontré un accueil exceptionnel sur les marchés financiers. Mais qu en est-il en pratique, notamment pour le B2B? Être présent sur l internet est une chose, y être visible en est une autre. Le système de référencement par les places de marché ne va-til pas constituer une nouvelle forme de barrière à l'entrée? Leurs conditions de fonctionnement assureront-elles une concurrence suffisante, compte tenu des regroupements parfois mondiaux d acheteurs qui s y dessinent? Cette question conditionne la répercussion dans les prix des économies de coûts permises par l internet, le rythme d innovation et les gains de croissance qu on peut en attendre. Les impacts du commerce électronique sur l entreprise Quels sont les gains attendus du commerce électronique au niveau microéconomique? Une réduction des coûts, tout d abord. Des coûts de transaction, notamment, en éliminant les erreurs de commande : d après une étude américaine, un quart des commandes reçues par fax ou par téléphone seraient entachées d erreurs. Des coûts d approvisionnement ensuite, du fait d une plus grande transparence du marché et de la plus forte concurrence qui devrait résulter du commerce électronique. Des coûts d inventaire et de stockage aussi, qui peuvent même presque entièrement disparaître dans certains cas, comme dans l exemple déjà évoqué du constructeur de micro-ordinateurs Dell Computer. Réduction aussi des coûts de distribution, tout particulièrement pour les produits pouvant être dématérialisés ou pour les services. Toutes sortes d évaluations circulent : jusqu à des gains de 90 % sur les coûts de transaction et de l ordre de 10 à 15 % sur les coûts d approvisionnement. Les différences sectorielles évoquées sont notables avec, selon une étude de Goldman Sachs, des gains échelonnés de 10 à 25 %, les extrêmes allant de 2 % jusqu à 40 % dans le cas des composants électroniques. Aux économies directes de coûts peuvent s ajouter d autres économies, liées à l amélioration de la productivité des entreprises qui participent au commerce électronique : cette participation les engage en effet à revoir l ensemble de leur organisation, en privilégiant une organisation en réseau et en raccourcissant les hiérarchies. Ces changements auront un impact sur la structure de la main-d œuvre. Les compétences devront être adaptées à l usage des nouvelles technologies, avec la nécessité d y former ou de reconvertir des personnels, car l appel au marché du travail sera sans doute insuffisant, dans une période où les difficultés de recrutement se sont nettement accentuées. Cette mutation des qualifications de la main d œuvre pourra demander du temps : faudra-t-il remplacer les caissières des supermarchés par des gestionnaires de catalogue en ligne, des logisticiens et des livreurs? 10 Insee Méthodes
5 Quel impact macroéconomique? Au niveau microéconomique, les entreprises devraient tirer bénéfice du commerce électronique, dès lors qu elles ont adapté leur organisation. Certaines études empiriques mettent déjà en évidence l impact positif des technologies de l information et de la communication, en général, sur les performances des entreprises : le commerce électronique, intervenant à la fin de la chaîne de production, devrait accentuer ce phénomène. Mais les équilibres généraux seront-ils affectés? Les emplois créés dans les métiers liés au commerce électronique compenseront-ils les pertes enregistrées sur des métiers «traditionnels»? Pour l instant, l analyse et a fortiori la mesure des effets macroéconomiques en sont encore à leurs débuts. Les intervenants de la troisième session de cette journée vous feront part de leurs recherches sur cet aspect. Une attente forte de mesure et de suivi Convaincus que la participation au commerce électronique est un gage de compétitivité pour les entreprises, les responsables politiques entendent mesurer son développement et le comparer à ce qui se passe dans les pays partenaires. Le suivi du commerce électronique figure ainsi en bonne place dans les tableaux de bord que prépare l Union européenne. La difficulté de la mesure d un phénomène qui n est encore qu émergent, de même que le besoin de comparaisons internationales, invitent par ailleurs à s inspirer des expériences étrangères. Que mesurer, dans quel but? À l évidence, l importance des transactions, avec ou sans paiement en ligne, par secteurs et produits concernés, et aussi celle des équipements qui permettent le commerce électronique, dans les ménages comme dans les entreprises. En disposant de ces données à un niveau individuel, conjointement à d autres informations, on pourrait évaluer la différentiation qu introduit le commerce électronique en termes de coûts, de productivité, de profitabilité. Enfin, à un niveau plus agrégé, il faudrait se mettre en mesure d évaluer les effets de substitution par rapport au commerce traditionnel, et les impacts macroéconomiques. Rappel succinct des sessions de la journée. Ces questions de mesure statistique seront abordées à la fin de la journée, avec l éclairage des travaux méthodologiques de l OCDE, de l expérience des enquêtes canadiennes sur ce thème, enfin en présentant les expériences menées en France. Dès la première session, des responsables d entreprises témoigneront des développements du B2B et des questions économiques concrètes qu il pose, à travers trois expériences concernant le BTP, la grande distribution et l automobile. Le B2C sera le thème de la seconde session, avec là aussi trois points de vue d entreprises, qui aborderont le passage de la vente par correspondance au B2C, la diffusion d un produit directement issu du commerce électronique, et la question cruciale de la logistique. Puis, cet après-midi, les économistes exposeront leur point de vue sur l évolution des modèles de distribution, sur l appréhension des phénomènes en termes d économie de l information, enfin sur les impacts macroéconomiques du commerce électronique en termes de prix, de croissance et d emploi. Cette journée sera l occasion d une confrontation d idées entre des univers professionnels différents, mais qui ont en la matière un sujet commun. Je souhaite en particulier qu émergent de ces discussions des méthodes effectives, c est-à-dire applicables par les statisticiens, adaptées aux possibilités des entreprises et aux besoins des utilisateurs de nos données. Introduction 11
E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL
E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailL IMPACT DES PLACES DE MARCHÉ SUR LES RELATIONS «B-TO-B»
L IMPACT DES PLACES DE MARCHÉ SUR LES RELATIONS «B-TO-B» Yves David Directeur de la coordination, Casino Aujourd hui, le groupe Casino est connu avec les enseignes suivantes : les hypermarchés Géant, les
Plus en détailTable des matières. Partie I Concevoir le commerce électronique 7. Liste des études de cas Introduction 1 Les auteurs 5
Table des matières Liste des études de cas Introduction 1 Les auteurs 5 Partie I Concevoir le commerce électronique 7 Chapitre 1 Émergence et tendances du commerce électronique 9 1. Chiffres-clés et tendances
Plus en détailDU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution
DU Paris II Modèle de l économie numérique Commerce électronique et conflits de canaux de distribution Introduction La notion de canaux de distribution : => réseaux de distribution propre : automobiles,
Plus en détailLe développement du e-commerce et ses impacts sur l'emploi. Gérard Valenduc Fondation Travail-Université asbl (www.ftu-namur.org) Prof.
Le développement du e-commerce et ses impacts sur l'emploi Gérard Valenduc Fondation Travail-Université asbl (www.ftu-namur.org) Prof. UCL et UNamur Plan de la présentation Qu'est-ce que l'e-commerce?
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailE-commerce au Maroc : Plusieurs verrous à faire sauter
E-commerce au Maroc : Plusieurs verrous à faire sauter Le e-commerce selon les derniers chiffres est en bonne croissance. Il se dit que de belles perspectives l attendent. Mais, loin de tout optimisme
Plus en détailUtiliser Internet pour les achats
L évolution de la fonction achats, ces dernières années, s est encore accélérée sous l impulsion d Internet. La conjonction d éléments différents, tels la reconnaissance de l importance économique des
Plus en détailLe profil des acheteurs à distance et en ligne
Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION
Plus en détailI / Un marché planétaire de la devise
I / Un marché planétaire de la devise Le marché des changes est le plus important des marchés. Pour beaucoup, il apparaît également comme le plus parfait des marchés, sur lequel l information circule vite
Plus en détailQuels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie?
Quels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie? André Delacharlerie Responsable de l Observatoire des TIC ad@awt.be e-business, fini de jouer? 26.04.2007-1 Au cœur c de l
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailPlan de l exposé Projets E-Business en PME le pourquoi et le comment
Plan de l exposé Projets E-Business en PME le pourquoi et le comment Forum Télécom SPI+ Ateliers «e-business» R. Delhaye / P. Poty - AWT Verviers, 19 février 2002 Introduction générale 1. Définitions et
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailOrganisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS
LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS La gestion et la maîtrise des flux entrants et sortants du magasin nécessite la mise en œuvre d un dispositif à trois composantes : la classification
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailL EVOLUTION DE LA RELATION CLIENT
L EVOLUTION DE LA RELATION CLIENT DU CRM AU VRM LIVRE BLANC NOVEMBRE 2013 Frédéric Donati Directeur Général Délégué Directeur du Développement b2s Sandra Heyde Responsable Marketing Produits et Services
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailStratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine
Plus en détailMÉTHODOLOGIE D ENQUÊTE
MÉTHODOLOGIE D ENQUÊTE Échantillon de départ tiré de la base de données de Dun and Bradstreet 4 secteurs d activités ciblés (entreprises de 5 employés et plus) : Des entreprises québécoises du secteur
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détaile-commerce et distribution
Olivier Bitoun Sous la direction de Pierre Kosciusko-Morizet, Président de l ACSEL e-commerce et distribution comment Internet bouscule les canaux de vente Comité éditorial Jean-Rémi Gratadour, Marie Giroud
Plus en détail21/09/2012. La vente par Internet. Pourquoi vendre par Internet?
VENDRE GRÂCE A INTERNET - POURQUOI ET COMMENT? ALES 20 septembre 2012 La vente par Internet Pourquoi vendre par Internet? - c est un nouveau canal de commercialisation. - pour mettre son catalogue produits
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailUne nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits
Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)
Plus en détailTechnologie numérique : effets en cascade des améliorations à la productivité
Activités d apprentissage concernant l adoption de technologies numériques Programme d aide à la recherche industrielle Programme pilote d adoption des technologies numériques Industrial Research Assistance
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailBAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE
BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Première édition - 4 e trimestre 2011 Un nouvel outil : Initié par la chaire Économie numérique de
Plus en détailGestion de l activité commerciale
12 13 Gestion de l activité commerciale Gérez efficacement votre activité de négoce, services ou industrie L activité commerciale, c est le nerf de la guerre : prospection, réalisation de devis, facturation,
Plus en détailquelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?
LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière
Plus en détailCountry factsheet - Janvier 2014 Le Royaume-Uni
Country factsheet - Janvier 2014 Le Royaume-Uni Les revenus engendrés par l e-commerce représentent 109 milliards d euros. Les superlatifs servant à qualifier l e-commerce du Royaume-Uni ne manquent pas
Plus en détailLe retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante
Septembre 2009 Le retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante par Max Starkov Comme spécialistes du marketing hôtelier en ligne depuis bientôt 15 ans,
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailLes pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements financiers
Ingo Fender (+41 61) 280 9458 ingo.fender@bis.org Michael S. Gibson (+1 202) 452 2495 michael.s.gibson@frb.gov Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements
Plus en détailLes performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes
Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes L empire du milieu est le pays qui compte le plus grand
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailTRANSFORMATION DIGITALE NEWSLETTER - MARS 2014
TRANSFORMATION DIGITALE NEWSLETTER - MARS 2014 LE POINT DE VUE DE KURT SALMON DANS CE NUMÉRO : Claude Bodeau Associé en charge de la practice RH-Management Contact: Email Votre organisation est-elle sociale?
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailEtude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs
Octobre 2014 Etude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs Méthodologie de l étude Étude réalisée auprès d un échantillon
Plus en détailLES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISEES
L EDI (Échange de Données Informatisées) est un processus d échange d informations, sous forme électronique, entre deux systèmes informatiques distincts. Cette technique utilisée au moins depuis deux décennies
Plus en détailLe Commerce électronique Introduction
Le Commerce électronique Introduction Année universitaire 2014/2015 Semestre 1 Introduction Générale L apparition de l internet dans le champs économique à la fin des années 1990 a entraîné un réel bouleversement
Plus en détailL e-commerce en Allemagne
L e-commerce en Allemagne Atouts et opportunités pour les entreprises françaises Boulogne Billancourt / 15.03.2012 L e-commerce en Allemagne - Sommaire Sommaire L Allemagne en chiffres Les habitudes de
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailUFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS
UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailCRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile?
CRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile? Note publiée sur le site CRM SECTOR en novembre 2005 dans la catégorie : «Extraits» Comme toutes les entreprises, celles du secteur tertiaire n échappent
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailLe commerce électronique et la banque
Le commerce électronique et la banque Auteur : Jérôme CAPIROSSI - Juin 2000 1 Introduction A moyen terme, les banques françaises vont devoir faire face à une intensification de la concurrence tout azimut,
Plus en détailCRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI
3 R A LLER PL US L OI CRM et GRC, la gestion de la relation client Comment exploiter et déployer une solution de relation client dans votre entreprise? Les usages d une CRM Les fonctionnalités d une CRM
Plus en détailAxes de travail et plan d action 2015
19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...
Plus en détailLe Conseil Général accompagne le déploiement de la société de l information en Gironde
Le Conseil Général accompagne le déploiement de la société de l information en Gironde Le numérique transforme en profondeur les modes de vie, bouleverse l organisation et les marchés des entreprises traditionnelles,
Plus en détailL IMPACT DU E-COMMERCE SUR LA LOGISTIQUE. Réunion du 25 Janvier 2011- Document de travail
COMMISSION SUPPLY CHAIN AGILE L IMPACT DU E-COMMERCE SUR LA LOGISTIQUE Réunion du 25 Janvier 2011- Document de travail Présentation Commission Supply Chain Agile = adaptation permanente de la Supply Chain
Plus en détailUne famille, deux pensions
famille, deux pensions Susan Poulin Au cours du dernier quart de siècle, la proportion de familles composées de deux conjoints mariés ayant tous deux un emploi a augmenté de façon phénoménale. En 1994,
Plus en détailMobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.
Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailLA PLENIERE D OUVERTURE
LA PLENIERE D OUVERTURE Laurent FIARD, Président du MEDEF Lyon-Rhône Thierry JADOT - CEO Dents AegisNetwork Jean-Pierre LEMAIRE Directeur Général d Orange Consulting Olivier de la CLERGERIE Directeur Général
Plus en détailSylvain Dejean, Raphaël Suire, Eric Darmon, Thierry Pénard Juillet 2012
Sylvain Dejean, Raphaël Suire, Eric Darmon, Thierry Pénard Juillet 2012 Depuis la fin des années 90 et l apparition de Napster, les pratiques audio/vidéo en ligne n ont cessé de se développer. Face à une
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailPerspectives sur les Politiques Voyages en Europe
Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Synthèse de l étude Réalisé par TRW Travel & Expense Management LLC Synthèse de l étude Egencia, la Fondation NBTA et les consultants de TRW Travel and
Plus en détailEDI et commerce électronique
EDI et commerce électronique Table des matières 1. L Echange des Données Informatisées «EDI»... 2 1.1 La naissance du Besoin à L'EDI... 2 1.2 L objectif de L EDI... 2 1.3 Définition de L EDI... 2 1.4 Mise
Plus en détailBAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE
BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Sixième édition 1 er trimestre 2013 Un outil : Initié par la chaire Économie numérique de l Université
Plus en détailDes TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises
Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises Sonia Besnard, Pascale Chevalier, Patrice Victor, Insee Pays de la Loire Danièle Guillemot, Yusuf Kocoglu, Centre d études de l emploi En France,
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET
1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique
Plus en détailCOMPTE RENDU. Billetterie en ligne : Une solution miracle pour le spectacle vivant? 6 décembre 2011
COMPTE RENDU 6 décembre 2011 Billetterie en ligne : Une solution miracle pour le spectacle vivant? EN PRÉAMBULE Grâce aux évolutions technologiques, il est désormais facile de se procurer un billet de
Plus en détailÉtude des tendances en matière de soins de santé au Canada
www.bucksurveys.com Étude des tendances en matière de soins de santé au Canada Résultats 2011 Introduction: Faibles augmentations à tous les niveaux Depuis que Buck a lancé, en 2001, sa première Étude
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailAgriculture et Finances
Agriculture et Finances Quelles régulations pour une allocation optimale des capitaux? Cahier n 12 Présentation générale du Cahier Dans les systèmes d économie de marché des pays développés comme des pays
Plus en détailREFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES
REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailRéglementation des jeux de casino
Chapitre 4 Section 4.01 Commission des alcools et des jeux de l Ontario Réglementation des jeux de casino Suivi des vérifications de l optimisation des ressources, section 3.01 du Rapport annuel 2010 Contexte
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailLes défis du développement du gouvernement électronique. Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé
Les défis du développement du gouvernement électronique Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé La révolution numérique a engendré une pression sur les gouvernements qui doivent améliorer leurs prestations
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailLES OUTILS DU TRAVAIL COLLABORATIF
LES OUTILS DU TRAVAIL COLLABORATIF Lorraine L expression «travail collaboratif» peut se définir comme «l utilisation de ressources informatiques dans le contexte d un projet réalisé par les membres d un
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailA 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.
1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailThèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Achat-Vente Fiche pédagogique Activité
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailLE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES
LE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES François Ossama Prix RFI NET AFRIQUE 2006 du Meilleur site Internet Africain Chef de la Cellule Informatique du MINDUH Président du Réseau
Plus en détailTIC et conditions de travail dans la fonction publique. Salima Benhamou Département Travail et emploi
TIC et conditions de travail dans la fonction publique. Salima Benhamou Département Travail et emploi www.strategie.gouv.fr 7 février 2014, Direction Générale de l administration et de la Fonction Publique.
Plus en détailLa Supply Chain. vers un seul objectif... la productivité. Guy ELIEN
La Supply Chain vers un seul objectif... la productivité Guy ELIEN juin 2007 Sommaire Le contexte... 3 le concept de «chaîne de valeur»... 3 Le concept de la Supply Chain... 5 Conclusion... 7 2 La Supply
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailRÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS
RÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS REMARQUES PRÉLIMINAIRES Ces questions ont un double objectif. D'une part, mieux cerner les tenants et aboutissants de votre projet
Plus en détailFICHE ÉLÈVE. Déroulement. Activité 2 : Faites des hypothèses sur le sujet après avoir visionné une première fois la vidéo sans le son.
1 TROISIÈME SECTEUR DE L ECONOMIE SECTEUR TERTIAIRE- LES SERVICES (3) L'ESSOR DE L'E-COMMERCE FICHE ÉLÈVE Déroulement Activité 1 : Parlez de cette image, faites des hypothèses sur le sujet. Activité 2
Plus en détailDépartement CRM ÉTUDE DE MARCHÉ
Département CRM ÉTUDE DE MARCHÉ QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter son chiffre
Plus en détailDémarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension
Université ParisDauphine Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension L Observatoire des Métiers de la Publicité a confié à Luc Boyer et Aline Scouarnec, dans le cadre d une étude prospective,
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailLes ressources numériques
Les ressources numériques Les ressources numériques sont diverses et regroupent entre autres, les applications, les bases de données et les infrastructures informatiques. C est un ensemble de ressources
Plus en détail