L impulsion à apprendre. L impulsion à apprendre. L impulsion à apprendre. Facteurs qui influencent l acquisition

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L impulsion à apprendre. L impulsion à apprendre. L impulsion à apprendre. Facteurs qui influencent l acquisition"

Transcription

1 Facteurs qui influencent l acquisition l impulsion à apprendre la capacité linguistique l acces à la langue Def: la totalité des facteurs qui amènent l apprenant à appliquer sa capacité d acquisition linguistique à une langue donnée ~ motivation Quelle motivation vous a amené à apprendre le français? L intégration sociale Facteur le plus important lors de l ALM L ALE dépend de la volonté de s intégrer socialement. si l on veut s intégrer, on essaie d utiliser la langue étrangère le plus correctement possible pour ne pas être directement reconnu comme étranger

2 L ALE est restreinte si l apprenant a peur de perdre sa propre identité en s intégrant à une nouvelle communauté linguistique, consciemment ou non Les besoins de communication C est le besoin de se faire comprendre l intégration sociale Motivation instrumentale (Gardner & Lambert, 1972) Les attitudes Si l on n aime pas la langue étrangère qu il faut apprendre il sera plus difficile de l acquérir Une attitude négative face à une langue peut aussi être indirecte et inconsciente Essayez de trouver des exemples pour des attitudes négatives face à une langue.

3 ex: qn a peur de perdre sa propre identité sociale ex: qn croit qu il n a pas besoin d apprendre ex: qn a peur de faire des fautes L éducation Le facteur le plus faible Lié à d autres facteurs: le succès social, l évitement des punitions Le fonctionnement du processeur linguistique dépend de conditionnenments biologiques des connaissances disponibles Les conditionnements biologiques deux composantes L appareil articulatoire et auditif Système nerveux central (perception, mémoire, fonctions cognitives supérieures) Innées chez l homme Modification au cours de la vie

4 Comment les composantes peuvent-elles se modifier au cours de la vie? Les connaissances disponibles Correspondance à l interlangue linguistiques non linguistiques linguistiques Les phonèmes La morphologie La signification de chacun des mots Les règles syntaxiques non linguistiques p.ex.: J y étais hier. il faut s appuyer sur des connaissances de la situation d énoncé précédents générales sur le monde

5 Informations contextuelles (implicites) vs. informations énoncées (explicites) Connaissance active vs. passive de la langue l entrée la possibilité de communiquer l entrée chaîne sonore information parallèle On trouve ces deux composants dans l acquisition guidée et non guidée

6 Acquisition guidée chaîne sonore est très fortement présegmentée elle est souvent remplacée par la représentation écrite.. l information parallèle = liste de vocabulaire Acquisiton non guidée l entrée est dans la communication quotidienne Il y a des adaptations Phonologie Morphologie Syntaxe Lexique Comportement communicatif L acces à la langue danger La compréhension peut être plus difficile Manifestation d une distance sociale Condescendance La possibilité de communiquer non guidée L apprenant entend certaines constructions plus fréquemment Inventaire plus riche de constructions Possibilité de confronter ses propres productions à celle de son entourage

7 guidé possibilité de communiquer plus restreinte jeux de rôle exercices structurés

Le modèle standard, SPE (1/8)

Le modèle standard, SPE (1/8) Le modèle standard, SPE (1/8) Rappel : notion de grammaire mentale modulaire Les composants de la grammaire : module phonologique, sémantique syntaxique Syntaxe première : elle orchestre la relation mentale

Plus en détail

PLAN D ÉTUDES. école fondamentale

PLAN D ÉTUDES. école fondamentale PLAN D ÉTUDES école fondamentale Nous Henri, Grand-Duc de Luxembourg, Duc de Nassau, Vu la loi du 6 février 2009 portant organisation de l enseignement fondamental; Notre Conseil d État entendu; Sur le

Plus en détail

UE11 Phonétique appliquée

UE11 Phonétique appliquée UE11 Phonétique appliquée Christelle DODANE Permanence : mercredi de 11h15 à 12h15, H211 Tel. : 04-67-14-26-37 Courriel : christelle.dodane@univ-montp3.fr Bibliographie succinte 1. GUIMBRETIERE E., Phonétique

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser

Plus en détail

3. Les METHODES AUDIO-VISUELLES : la méthodologie SGAV ou une approche structuro-globale de la langue

3. Les METHODES AUDIO-VISUELLES : la méthodologie SGAV ou une approche structuro-globale de la langue 3. Les METHODES AUDIO-VISUELLES : la méthodologie SGAV ou une approche structuro-globale de la langue Les méthodes audio visuelles seront définies dans ce cours comme des méthodologies dont la cohérence

Plus en détail

Comment traduire le non-dit culturel?

Comment traduire le non-dit culturel? 23-28 e-crit Comment traduire le non-dit culturel? Jacob KAGISO SELLO I. Langue et culture Pour ceux qui s intéressent à l Étranger en tant qu Étranger dans son espace culturel, le meilleur moyen d accéder

Plus en détail

N 334 - SIMON Anne-Catherine

N 334 - SIMON Anne-Catherine N 334 - SIMON Anne-Catherine RÉALISATION D UN CDROM/DVD CONTENANT DES DONNÉES DU LANGAGE ORAL ORGANISÉES EN PARCOURS DIDACTIQUES D INITIATION LINGUISTIQUE A PARTIR DES BASES DE DONNÉES VALIBEL Introduction

Plus en détail

1. Productions orales en continu après travail individuel

1. Productions orales en continu après travail individuel Tâches de production orale 2 niveau A2/B1 (Les tâches sont réalisables aussi bien au niveau A2 qu au niveau B1 suivant la complexité des énoncés et des interactions que les élèves sont capables de produire)

Plus en détail

LES CROYANCES LIMITANTES

LES CROYANCES LIMITANTES 1998 Séminaire de Robert DILTS LES CROYANCES LIMITANTES Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d espoir (ce n est pas possible), le manque de confiance

Plus en détail

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations U Université dumaine Faculté des Lettres, Langues et Sciences humaines Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations Carole Lailler 1 L interrogation : une modalité

Plus en détail

1. Qu est-ce que la conscience phonologique?

1. Qu est-ce que la conscience phonologique? 1. Qu est-ce que la conscience phonologique? Définition La conscience phonologique est définie comme la connaissance consciente et explicite que les mots du langage sont formés d unités plus petites, à

Plus en détail

Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ. Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens.

Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ. Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens. Rencontres au Castelnau ou.. quand les auteurs s en vont au champ Sandrine Trochet. Enseignante Castelnau Barbarens. 1,Un constat : Il existe de fortes inégalités entre les écoles quant à l accès à la

Plus en détail

Livret personnel de compétences

Livret personnel de compétences Livret personnel de compétences Grilles de références pour l évaluation et la validation des compétences du socle commun au palier 2 Janvier 2011 MENJVA/DGESCO eduscol.education.fr/soclecommun LES GRILLES

Plus en détail

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE MONOLOGUE SUIVI

Plus en détail

2.1. AVANT LA FORMATION 2.1.1. ANALYSER COLLECTIVEMENT LE BESOIN

2.1. AVANT LA FORMATION 2.1.1. ANALYSER COLLECTIVEMENT LE BESOIN AVANT LA FORMATION 2.1. AVANT LA FORMATION L avant-formation est l étape initiale du processus de formation et son importance est cruciale pour la réussite du programme. C est en effet lors de ce moment

Plus en détail

CHAPITRE 1 STRUCTURE DU NIVEAU B2 POUR LE FRANÇAIS

CHAPITRE 1 STRUCTURE DU NIVEAU B2 POUR LE FRANÇAIS chapitre_1_2_3.qxd 29/06/04 10:46 Page 15 CHAPITRE 1 STRUCTURE DU NIVEAU B2 POUR LE FRANÇAIS Les référentiels par langue élaborés dans le cadre du Conseil de l Europe sont avant tout, comme Un niveau-seuil

Plus en détail

Projet de programme pour le cycle 3

Projet de programme pour le cycle 3 Projet de programme pour le cycle 3 9 avril 2015 Mise à jour du 15 avril Avant-propos La commande ministérielle Par une lettre au Président du Conseil supérieur des programmes datée du 4 décembre 2013,

Plus en détail

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE GÉNÉRALE MONOLOGUE SUIVI : décrire l'expérience MONOLOGUE SUIVI : argumenter

Plus en détail

1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée

1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée 1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée http://support.e-lycee-paca.fr Adresse du service en ligne à partir de tout point d accès internet, 24h/24. 1 Les identifiants sont

Plus en détail

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique MECANISME DE CAPACITE Guide pratique SOMMAIRE 1 Principes... 4 2 Les acteurs du mécanisme... 5 2.1 Les acteurs obligés... 5 2.2 Les exploitants de capacité... 5 2.3 Le Responsable de périmètre de certification...

Plus en détail

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN) COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet

Plus en détail

Résultats. 1 Quelle est votre tranche d âge?

Résultats. 1 Quelle est votre tranche d âge? 84 réponses Afficher toutes les réponses Résultats 1 Quelle est votre tranche d âge? 10-11 3 4 % 11-12 8 10 % 12-13 21 25 % 13-14 19 23 % 14-15 24 29 % 15 et plus 9 11 % TELEPHONE PORTABLE 2 Disposez-vous

Plus en détail

LES LANGUES EN DANGER : UN DÉFI POUR LES TECHNOLOGIES DE LA LANGUE

LES LANGUES EN DANGER : UN DÉFI POUR LES TECHNOLOGIES DE LA LANGUE 2 LES LANGUES EN DANGER : UN DÉFI POUR LES TECHNOLOGIES DE LA LANGUE Nous vivons une révolution numérique qui a un impact fort sur la communication et la société. Les développements récents des technologies

Plus en détail

plateforme de formation à distance

plateforme de formation à distance Utilisation d une d plateforme de formation à distance F. Thiessard ISPED - Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement Université Victor Segalen Bordeaux 2 Enseignement à distance

Plus en détail

Guide utilisateur de l application messagerie vocale visuelle pour smartphone

Guide utilisateur de l application messagerie vocale visuelle pour smartphone Guide utilisateur de l application messagerie vocale visuelle pour smartphone Sommaire 1. Informations générales 2. Ecoute d un nouveau message 3. Sauvegarde d un message 4. Rappel d un contact 5. Informations

Plus en détail

Conférence Fanny de la Haye Maître de Conférence UBO/Professeure IUFM site de St Brieuc. Les difficultés de compréhension en lecture

Conférence Fanny de la Haye Maître de Conférence UBO/Professeure IUFM site de St Brieuc. Les difficultés de compréhension en lecture Conférence Fanny de la Haye Maître de Conférence UBO/Professeure IUFM site de St Brieuc Les difficultés de compréhension en lecture 3 octobre 2012/ UBO Brest (amphi A) Introduction Bibliographie de référence

Plus en détail

«Bienvenue en Europe» : fiche Apprenant Thème : technologies, innovations et médias

«Bienvenue en Europe» : fiche Apprenant Thème : technologies, innovations et médias 1 «Bienvenue en Europe» : fiche Apprenant Thème : technologies, innovations et médias Contenu Cet ensemble thématique présente des innovations pratiquées dans 4 nouveaux Etats de l Union européenne : -

Plus en détail

Phonologie, Master LFA Professeur : André THIBAULT

Phonologie, Master LFA Professeur : André THIBAULT Phonologie, Master LFA Professeur : André THIBAULT Semaine 2. Nous allons revenir cette semaine au concept de phonème, mais en illustrant de façon plus précise en quoi il consiste. 1. Rappel des facteurs

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION TACTIQUE COMM 3302. Faculté des lettres : Département d'information et de communication PLAN DE COURS

PLAN DE COMMUNICATION TACTIQUE COMM 3302. Faculté des lettres : Département d'information et de communication PLAN DE COURS PLAN DE COMMUNICATION TACTIQUE COMM 3302 Faculté des lettres : Département d'information et de communication PLAN DE COURS TITRE : PLAN TACTIQUE DE COMMUNICATION COM 3302 CHARGÉ DE COURS Michel Dumas :

Plus en détail

LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX

LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX Par Michel LEDOUX Avocat Associé CABINET MICHEL LEDOUX ET ASSOCIES 10 RUE PORTALIS 75008 PARIS Tél : 01.44.90.98.98

Plus en détail

QUELQUES DEFINITIONS UTILES Inventaire des Ressources Personnelles (IRP) - Inventaire des Charges du Poste (ICP)

QUELQUES DEFINITIONS UTILES Inventaire des Ressources Personnelles (IRP) - Inventaire des Charges du Poste (ICP) QUELQUES DEFINITIONS UTILES Inventaire des Ressources Personnelles (IRP) - Inventaire des Charges du Poste (ICP) Projet FAME - Formation Adaptation Maintien Employabilité dans le domaine du handicap Programme

Plus en détail

Plan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique

Plan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Document d aide au suivi scolaire

Document d aide au suivi scolaire Document d aide au suivi scolaire Ecoles Famille Le lien Enfant D une école à l autre «Enfants du voyage et de familles non sédentaires» Nom :... Prénom(s) :... Date de naissance :... Ce document garde

Plus en détail

Une fonction ressources humaines performante?*

Une fonction ressources humaines performante?* Une fonction ressources humaines performante?* Depuis quelques années, les services du personnel ont pour la plupart été rebaptisés en départements Ressources humaines, sous l influence des tendances observées

Plus en détail

Projet de programme pour le cycle 2

Projet de programme pour le cycle 2 Projet de programme pour le cycle 2 9 avril 2015 Avant propos La commande ministérielle Par une lettre au Président du Conseil supérieur des programmes datée du 4 décembre 2013, le Ministre de l éducation

Plus en détail

L enseignement/apprentissage de la prononciation des langues assisté par ordinateur : le cas du français langue étrangère.

L enseignement/apprentissage de la prononciation des langues assisté par ordinateur : le cas du français langue étrangère. L enseignement/apprentissage de la prononciation des langues assisté par ordinateur : le cas du français langue étrangère Sachiko KOMATSU La composante phonétique n est pas suffisamment traitée dans l

Plus en détail

Définir et consolider son projet associatif

Définir et consolider son projet associatif FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,

Plus en détail

La syllabe (1/5) Unité intuitive (différent du phonème) Constituant essentiel pour la phonologie au même titre que phonème et trait

La syllabe (1/5) Unité intuitive (différent du phonème) Constituant essentiel pour la phonologie au même titre que phonème et trait La syllabe (1/5) Unité intuitive (différent du phonème) Variation des structures syllabiques d une langue à une autre et dans une même langue (cf strict vs à : une seule syllabe mais des structures bien

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Céline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages

Céline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages Céline Nicolas Cantagrel C EPS Grande Section / Gérer et faciliter la continuité des apprentissages GS Quelques pistes par rapport à l équipe pédagogique : renforcer les liens, clarifier les paramètres

Plus en détail

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris «Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-

Plus en détail

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.

Plus en détail

La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques

La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques DRAAF Bourgogne Avril 2013 La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques La directive INSPIRE INfrastructure for SPatial InfoRmation in Europe Directive européenne qui vise à fixer les

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

Programme Pédagogique National du DUT «Gestion administrative et commerciale» Présentation de la formation

Programme Pédagogique National du DUT «Gestion administrative et commerciale» Présentation de la formation Programme Pédagogique National du DUT «Gestion administrative et commerciale» Présentation de la formation 2 1. Introduction La spécialité Gestion Administrative et Commerciale, d abord créée à titre expérimental

Plus en détail

Règlement de Fonctionnement

Règlement de Fonctionnement Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.

Plus en détail

Qu est-ce que la communication?

Qu est-ce que la communication? Ressources Qu est-ce que la communication? Fiche 24 Du latin «comunicare», qui veut dire «être en commun» ou «être en relation», la communication a fait l objet de recherches et d études pour devenir une

Plus en détail

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d

Plus en détail

Savoirs associés aux compétences clés issues du RCCSP

Savoirs associés aux compétences clés issues du RCCSP Savoirs associés aux compétens s issues du RCCSP Travail réalisé de juillet à septembre 2012 par le groupe «Démarche qualité régionale de construction des parcours de formation Compétens s» 2 Sommaire

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS? Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont

Plus en détail

Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information

Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information 1. LES MENACES EXTERIEURES VIA L INTERNET ET INFORMATIQUE LES PROGRAMMES MALVEILLANTS : VIRUS / MALWARES LES SPYWARES (LOGICIELS-ESPIONS) : LOGICIEL

Plus en détail

A.3 Les méthodes : L applicabilité

A.3 Les méthodes : L applicabilité SOMMAIRE A. Première partie A.1 Ingénierie système : du besoin au système (produit/service) A.2 SDF, Maintenance et concepts sous-jacents A.3 Les méthodes : L applicabilité A.4 GMAO = GM + AO B. Deuxième

Plus en détail

Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé

Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé Sponsored by Mentions relatives aux droits d'auteur 2011 Realtime Publishers. Tous droits réservés. Ce site contient des supports

Plus en détail

EGK-Voyage Votre protection d assurance globale pour les voyages et les vacances

EGK-Voyage Votre protection d assurance globale pour les voyages et les vacances EGK-Voyage Votre protection d assurance globale pour les voyages et les vacances +41 44 283 33 93 www.egk.ch EGK-Voyage: frais de guérison Prestations Frais de guérison non couverts à l étranger en complément

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Les attentes du marché

Les attentes du marché www.pwc.com Les attentes du marché Octobre 2012 L état des lieux à propos des formats de reporting et de l appropriation par le marché du XBRL La taxonomie XBRL pour les reportings Solvabilité 2 a fait

Plus en détail

La méthode de l amortissement direct

La méthode de l amortissement direct Cours 8 (STS, J.-M. Schwab) L amortissement Méthodes et calculs d'amortissements Les biens d une entreprise se déprécient par l usure, par l extinction d un droit (brevet, licence, exclusivité) ou plus

Plus en détail

QU EST-CE QUE LIRE? Les objectifs de la lecture

QU EST-CE QUE LIRE? Les objectifs de la lecture QU EST-CE QUE LIRE? Trois phases incontournables se succèdent dans l apprentissage de la lecture. La première est celle cognitive : c est celle des découvertes, des efforts aussi, importants et coûteux

Plus en détail

Méthode du commentaire de document en Histoire

Méthode du commentaire de document en Histoire Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.

Plus en détail

Thèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique

Thèmes et situations : Achat-Vente. Fiche pédagogique Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Achat-Vente Fiche pédagogique Activité

Plus en détail

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

Dérivés Financiers Options

Dérivés Financiers Options Stratégies à base d options Dérivés Financiers Options 1) Supposons que vous vendiez un put avec un prix d exercice de 40 et une date d expiration dans 3 mois. Le prix actuel de l action est 41 et le contrat

Plus en détail

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES 1. INTRODUCTION La directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 1996

Plus en détail

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d

Plus en détail

BACHELIER EN INFORMATIQUE DE GESTION

BACHELIER EN INFORMATIQUE DE GESTION MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE SECTION BACHELIER EN INFORMATIQUE

Plus en détail

Luxembourg, le 9 mars 2011

Luxembourg, le 9 mars 2011 Luxembourg, le 9 mars 2011 Lettre circulaire 11/5 du Commissariat aux Assurances portant modification de la lettre circulaire 09/7 relative au dépôt des valeurs mobilières et liquidités utilisées comme

Plus en détail

NEWS LETTER N 2 - OCTOBRE 2010

NEWS LETTER N 2 - OCTOBRE 2010 ` NEWS LETTER N 2 - OCTOBRE 2010 LES CONTEXTES TRANSNATIONAUX DE L APPLICATION DE LA METODOLOGIE D.P. : LA COMPARAISON DES CHANTIER S DU PROJET 1. LES CHANTIERS DU PROJET ADDLS Pour démontrer la réussite

Plus en détail

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT

Plus en détail

AVIS DU PERSONNEL DE L ACFM EXIGENCES RELATIVES À LA SUPERVISION DES ADJOINTS DÉTENANT UN PERMIS QUI TRAVAILLE DANS UNE SUCCURSALE

AVIS DU PERSONNEL DE L ACFM EXIGENCES RELATIVES À LA SUPERVISION DES ADJOINTS DÉTENANT UN PERMIS QUI TRAVAILLE DANS UNE SUCCURSALE Personne-ressource : Paige Ward Avocate générale et vice-présidente, Politiques Téléphone : 416 943-5838 Courriel : pward@mdfa.ca APA-0014 Le 2 octobre 2002 AVIS DU PERSONNEL DE L ACFM EXIGENCES RELATIVES

Plus en détail

CORRIGÉ DU DOSSIER N 2

CORRIGÉ DU DOSSIER N 2 Christian PUREN Professeur émérite de l Université de Saint-Étienne (France) Cours collaboratif en ligne «La didactique des langues-cultures comme domaine de recherche» http://www.christianpuren.com/cours-collaboratif-la-dlc-comme-domaine-de-recherche/

Plus en détail

Intervention: Pauvreté et Acces à la Justice

Intervention: Pauvreté et Acces à la Justice Intervention: Pauvreté et Acces à la Justice Je travaille pour le Réseau flamand de lutte contre la pauvreté 58 associations où les pauvres prennent la parole en Flandre et à Bruxelles sont affiliés à

Plus en détail

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant

Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION

Plus en détail

Observatoire des ressources numériques adaptées

Observatoire des ressources numériques adaptées Observatoire des ressources numériques adaptées INS HEA 58-60 avenue des Landes 92150 Suresnes orna@inshea.fr IDENTIFIANT DE LA FICHE Y'a pas photo DATE DE PUBLICATION DE LA FICHE Mars 2015 MOT -CLE LIBRE

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

Rapport final Phase 1

Rapport final Phase 1 1/44 ACCESSITEL Information voyageurs des déficients visuels par téléphone portable NFC Rapport final Phase 1 Le 4/octobre /2007 Cityway S.A. Parc du Golf, Bât 7 13856 Aix-en-Provence Cedex 3 Tél. : 04

Plus en détail

Niveau linguistique Berlitz 1 CEF Level A 1

Niveau linguistique Berlitz 1 CEF Level A 1 Niveau linguistique Berlitz 1 CEF Level A 1 Vous comprenez et utilisez les expressions courantes familières et les phrases les plus simples. Vous êtes capable de vous présenter vous-même et de poser à

Plus en détail

Niveau linguistique Berlitz 1 Niveau A1 du CECRL

Niveau linguistique Berlitz 1 Niveau A1 du CECRL Niveau linguistique Berlitz 1 Niveau A1 du CECRL Vous pouvez comprendre et utiliser des expressions courantes familières et des phrases simples. Vous êtes capable de vous présenter et de poser à vos interlocuteurs

Plus en détail

PRÉPONDÉRANCE DU CONTEXTE EXTRALINGUISTIQUE DANS LA CONSTRUCTION DU SENS : L EXEMPLE DES COMMUNICATIONS DE TRAVAIL DANS LA NAVIGATION AÉRIENNE

PRÉPONDÉRANCE DU CONTEXTE EXTRALINGUISTIQUE DANS LA CONSTRUCTION DU SENS : L EXEMPLE DES COMMUNICATIONS DE TRAVAIL DANS LA NAVIGATION AÉRIENNE PRÉPONDÉRANCE DU CONTEXTE EXTRALINGUISTIQUE DANS LA CONSTRUCTION DU SENS : L EXEMPLE DES COMMUNICATIONS DE TRAVAIL DANS LA NAVIGATION AÉRIENNE Pascale Vergely Université de Toulouse-Le Mirail Laboratoire

Plus en détail

Covers Layout FR 2/8/06 4:10 PM Page 2

Covers Layout FR 2/8/06 4:10 PM Page 2 de la maternelle à la 3 e année Table des matières 1. Aperçu de l enseignement efficace de l écriture Les pratiques d enseignement efficace pour l écriture au cycle préparatoire (maternelle et jardin)..................

Plus en détail

! Text Encoding Initiative

! Text Encoding Initiative Format XML: suite! le contenu d un élément est la concaténation de! texte! et d éléments (imbrication)! => structure arborescente! pas de chevauchement de balises! => exemple : une analyse syntagmatique

Plus en détail

RESSOURCES POUR FAIRE LA CLASSE. le langage À

RESSOURCES POUR FAIRE LA CLASSE. le langage À RESSOURCES POUR FAIRE LA CLASSE le langage À L ÉCOLE MATERNELLE Sommaire Partie 1 Langue et langage à l école maternelle...4 Langue et langage...4 Le langage, objet d apprentissage et vecteur du développement...9

Plus en détail

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables

«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du

Plus en détail

La Conscience phonologique

La Conscience phonologique La Conscience phonologique Activités à effectuer en classe ou à la maison Guide pour les parents, les enseignantes et les enseignants 2 Table des matières La conscience phonologique...page 3 La conscience

Plus en détail

Evaluation quantitative du risque - critères d acceptabilité

Evaluation quantitative du risque - critères d acceptabilité Evaluation quantitative du risque - critères d acceptabilité Urbanisme Aménagement du Territoire Evaluation des Risques Risques & Développement Eric LEROI (Urban-planning Land-use planning Risk assessment)

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

ORGANIGRAMME DES ETUDES

ORGANIGRAMME DES ETUDES ORGANIGRAMME DES ETUDES Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat de Qualification C.E.S.S. après la 7ème année Certificat de Qualification

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits

Plus en détail

Séquence 1. Découverte de l album. Objectifs. Présentation générale des activités. Déroulement détaillé

Séquence 1. Découverte de l album. Objectifs. Présentation générale des activités. Déroulement détaillé Séquence 1 La couverture chaleureuse explose de joie. Dans un équilibre joyeux, deux enfants, le nez au vent, galopent vers leurs espérances et leurs rêves portés par les trois petits mots : «Si j étais»

Plus en détail

LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR

LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Online Intelligence Solutions LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Comment intégrer les KPI à sa stratégie d entreprise? Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A PROPOS DE JACQUES WARREN

Plus en détail

Le livret des réponses

Le livret des réponses Le livret des réponses Achat 1 Avant de dépenser tout ton argent, il faut réfléchir aux conséquences de cet achat. Auras-tu besoin d argent pour faire d autres activités dans les semaines qui viennent,

Plus en détail

BES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ RÔLE

BES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ RÔLE BES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ Le web developer participe aux activités concernant la conception, la réalisation, la mise à jour, la maintenance et l évolution d applications internet/intranet statiques et

Plus en détail

Notions de responsabilité. Stage initial initiateur CTD 74 - nov 2003 -Jean-Pierre GUERRET

Notions de responsabilité. Stage initial initiateur CTD 74 - nov 2003 -Jean-Pierre GUERRET Notions de responsabilité L initiateur responsable! La pratique de la plongée présente des risques particuliers avec des recherches de responsabilité systématiques en cas d accident L initiateur est confronté

Plus en détail

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Prévention et Gestion des Risques Professionnels Sécurité Sociale Caisse régionale d assurance maladie Alsace-Moselle L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Note Technique

Plus en détail

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties

Plus en détail

Politique de Certification Pour les Certificats de classe 0 et 4 émis par l autorité de certification Notaires PUBLIÉ

Politique de Certification Pour les Certificats de classe 0 et 4 émis par l autorité de certification Notaires PUBLIÉ PC Gestion des certificats émis par l AC Notaires Format RFC 3647 Politique de Certification Pour les Certificats de classe 0 et 4 émis par l autorité de certification Notaires PC Notaires Référence du

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail