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1 «Participer, dans la région PACA, à la mise en œuvre d une politique d accueil et d insertion par l habitat et par l économique, des jeunes, des familles et personnes en difficulté ou exclues» RAPPORT D ACTIVITES 2013

2 Sommaire 1. Editorial Les faits marquants en Les publics accueillis La Gestion Locative et Sociale Le patrimoine Les ressources humaines Le o seil d ad i ist atio Les éléments financiers Perspectives Les salariés en API P ove e appo t d a tivit s 1

3 Editorial 2013 : UNE ANNEE AXEE SUR LE DEVELOPPEMENT EXTERNE E fi d a e, le o seil d ad i ist atio a valid o e a e p io itai e le d veloppe e t e te e ave l a itio de deve i u a teu gio al. C est da s e cadre que diverses démarches ont été engagées envers des partenaires associatifs et des bailleurs sociaux. E d ut d a e, u e p e i e oppo tu it a t tudi e ave u e association des Alpes- Maritimes. Après plusieurs séances de travail et des échanges entre équipes de direction et o seils d ad i ist atio s, la olla o atio a t suspe due fa e au dive ge es de ultu e et de projet. E Jui, à l o asio d u e solli itatio pa u ailleu de ep ise e gestio d u e side e pou tudia ts e Avig o, u e p e i e app o he t e gag e ave l asso iatio D li, st u tu e e e de l URHAJ et histo i ue e t i pla t e da s le Vau luse, pou u projet partagé. La situatio fi a i e de ette e tit vau lusie e l a o duite à u e p o du e de li uidatio judi iai e. A la de a de de l Etat et des a teu s i stitutio els, API P ove e a up les a tivit s p opos es pa D li et fait u e off e d e au he à l e semble des salariés. Ce d veloppe e t a pe is d i t g e age ts, de s i pla te da s u ouveau département après avoir obtenu les agréments préfectoraux et de gérer plus de 200 loge e ts, ave u udget d pa te e tal d e vi o illio s d eu os. Ce d veloppe e t s i s it da s la logi ue de s u isatio de l a e au pla udg tai e et a positio l asso iatio da s u e d a i ue gio ale, ave u e p se e au sein de trois départements. Parallèlement, API Provence a maintenu sa stratégie de développement interne, en verrouillant des dossiers emblématiques, notamment dans les Bouches-du-Rhône, actant d fi itive e t la di e sio gio ale de l asso iatio. API P ove e appo t d a tivit s 2

4 Avec les projets de loi sur la décentralisation et le futur maillage territorial, cet objectif-clef est atteint, permettant de positionner API Provence au niveau du futur échelon de décision de la politique du logement, en lien avec les intercommunalités et les services déconcentrés de l Etat. Cette o ie tatio o sista t à e fo e l e ista t pa u d veloppe e t s est av e judicieuse, au regard des évolutions du jeu des acteurs institutionnels, avec les baisses de subvention enregistrées, notamment de la part des deux départements historiques. Cette évolution des financements publics contraint API Provence à continuer son évolution. C est da s la pe spe tive d u ai tie des issio s so iales ue des ajuste e ts o t t conduits au niveau de la masse salariale et se prolongeront en Des dispositifs spécifiques tels que la gestion des PLATS (sous-location dans le parc privé) sont sérieusement remis en cause, et les pistes de fin de prise en charge étudiées. Enfin, la transformation des foyers de travailleurs migrants se prolonge avec la livraison de la résidence sociale «Mosaïca» à La Seyne-sur-Mer, constituant la première phase du projet global préalable à la démolition du site existant. Qua t au aut es fo e s, ils o t o u e fi d a e u e ela e fo te, de faço plus importante à Hyères, avec une mobilisation renforc e du ailleu so ial, e l o u e e le logis fa ilial va ois, suite à l i s iptio da s sa CUS fo e de l op atio. L a e au a t u e a e i po ta te e te es de positio e e t et de lisi ilit. Le d veloppe e t se fait e o solida t l e ista t et e s appu a t su les uipes e pla e. L e se le du pe so el a i t g les volutio s et utatio de se teu asso iatif pou se positio e da s le ha p de l o o ie so iale et solidai e. La crise générale et la baisse des finances publiques nécessitent un positionnement différent ue le o seil d ad i ist atio a su p e d e à l u a i it e a t u e st u tu e lu ative dédiée aux séniors qui porte un concept innovant et répondant aux enjeux sociétaux liés au vieillissement de la population. Au-delà de e dossie, tous les sala i s d API P ove e a epte t ette volutio salutai e et sont les garants des services apportés aux résidants et portent le projet associatif fixé par les administrateurs. C ette harmonie permet de garantir une évolution dynamique et constructive tout en veilla t au espe t des e gage e ts i itiau de l asso iatio et de ses statuts. API P ove e appo t d a tivit s 3

5 LES FAITS MARQUANTS EN 2013 L E DEVELOPPEMENT LA PRODUCTION NEUVE : UNE LEGERE BAISSE L a e a pas t o e e pa des liv aiso s d op atio s ouvelles. Au pla pat i o ial, l a tivit est do o te ue, voi e e l g e di i utio. E effet, à la de a de de la Foncière Habitat et Humanisme, la convention de gestion de la résidence sociale du Mas du Calme à Grasse comprenant 34 logements a été dénoncée. LE DEVELOPPEMENT EXTERNE : LE VAUCLUSE Cette a al se est à po d e ave la ep ise des a tivit s de l asso iatio D li i pla t e dans le Vaucluse. En effet, suite à la liquidation de cette entité associative, API Provence a t solli it e pou ep e d e les a tivit s d velopp es e di e tio des jeu es. C est ai si que plus de 122 logements sont entrés en décembre 2013 dans le parc géré par API Provence. 25 salariés se so t vus p opose u e off e d e ploi et le hiff e d affai e a t aug e t d e vi o, soit / ième du BP annuel. Cette op atio s est faite pa all le e t à la ep ise d u e side e pou tudia ts de logements, p op i t d ERILIA, sise ue la Synagogue en Avignon, anciennement gérée par le CROUS qui en avait dénoncé la convention de gestion. La convention de gestion a pris effet au 1er d e e, ap s u e e go iatio des uili es d e ploitatio et u effo t conséquent du bailleur e te es de lo e s. C est do loge e ts vau lusie s ui o t été intégrés au pa de loge e ts d API P ove e. Ce d veloppe e t a pu t e possi le g â e à u soutie sa s faille des se vi es de l Etat et plus particulièrement du Préfet Yannick Blanc. Après un tour de table avec les partenaires i stitutio els, l asso iatio API P ove e a fi i d u a ueil e a ua le pe etta t le maintien des activités et la sauvegarde des emplois. API P ove e appo t d a tivit s 4

6 L e se le de es d a hes a t rendu possi le pa l o te tion en un temps record des ag e ts p fe to au pou l i g ie ie so iale et fi a i e et la gestio lo ative da s le d pa te e t de Vau luse. De faço si ulta e, l ag e t a t d liv pou le département des Alpes de Haute Provence où un projet de rep ise d a tivit est à l tude e partenariat avec la SA HLM ERILIA. DES PERSPECTIVES ENTHOUSIASMANTES EN TERMES DE DEVELOPPEMENT Des projets pour les trois exercices à venir : L a e o stitue u e tape pa ti uli e e t d a i ue e te es de projet et de p oduits ouveau. Les deu a es p io itai es, e l o u e e les jeu es et les s io s, so t formalisés avec des dossiers emblématiques. LES JEUNES - RESIDENCES SOCIALES JEUNES ET ETUDIANTS : Da s le ad e de l appel à p ojet atio al : Programme Investissement Avenir (PIA), l asso iatio API P ove e a p opos u e solutio i ova te d a ueil des app e tis afi de prendre en compte les rythmes spécifiques de la formation en alternance et les capacités financières des apprentis. Cette solutio s appuie su le o tage «classique» des résidences sociales jeunes. Cependant, elle préconise une exploitation à la nuitée pour 30% de la side e, ave u e d ogatio o t o e pa l Etat pou e fai e. G â e à e od le d e ploitatio, l asso iation a été retenue en qualité de gestionnaire à : Marseille, aux côtés de la Région et de son projet : «Université Régionale des Métiers» au sein du programme Euromed. Le bailleur social est la SA HLM ERILIA. Nice, au ôt s de la CCI Ni e Côte d Azu et de la SEM Habitat 06 pour le dossier : Campus Alternance. LES SENIORS LES RESIDENCES SENIORS Concernant les séniors, le concept de résidences sociales séniors financées en PLAI et PLUS est e phase de validatio pe etta t d off i u e solutio ouvelle aux séniors pauvres. Le p i ipe de la side e so iale s appuie su la otio de pa ou s side tiel, ave u cheminement spécifique des séniors (départ du logement ordinaire vers a résidence sociale API P ove e appo t d a tivit s 5

7 s io s, puis l EHPAD. Cette po se s i s it da s les schémas départementaux gérontologiques et propose une alternative au maintien à domicile traditionnel. C éatio d API Sé io s - SAS.U : après de nombreux mois, le concept de résidence services séniors a été définitivement entériné. Les exigences des partenaires privés (promoteurs, plate fo es de o e ialisatio, i vestisseu s o t o duit l asso iatio à fi alise la st u tu e ave u statut de SAS à a tio ai e u i ue, e l o u e e l asso iatio API Provence. Plusieu s p ojets so t à l tude avec des opportunités de vente en bloc à destination d i vestisseu s i stitutio els. La Caisse des D pôts et Co sig atio s, la SEM Ha itat so t les deux opérateurs les plus investis qui attendent une opportunité pour se positionner aux ôt s d API S io s et ainsi proposer un concept innovant dans le secteur du maintien à domicile pour les retraités à revenus modestes. Ce produit vient apporter une réponse à ce jour inexistante au vu des tarifs pratiqués et des se vi es fou is et s i s it e o pl e ta ité avec les résidences sociales séniors, permettant sur un même ensemble de proposer une mixité sociale. LA TRANSFORMATION DES FOYERS DE TRAVAILLEURS MIGRANTS EN RESIDENCES SOCIALES L asso iatio est i s ite depuis lo gte ps da s le pla «quinquennal» de transformation des FTM en Résidence sociale. Le foyer de Draguignan a ainsi été transformé et livré en fin d a e ave u e e ploitatio e a e plei e e. Le dossier qui a mobilisé les équipes en 2013 est celui de la Seyne sur Mer, avec la livraison de la résidence sociale «Mosaica». Cette résidence de 43 logements est destinée prioritairement aux résidants les plus âgés du foyer les Pins. Après une année de chantier et de préparation du déménagement des résidants, l i auguration a eu lieu en octobre C est u e ussite so iale pou les ig a ts ui e fi ie t, ais le p ojet glo al este «en panne». La se o de phase est toujou s pas valid e et i pli ue pou plusieu s ois, voire années la gestion du foyer existant, avec les problématiques techniques et sociales que cela induit. Qua t au p ojet d H es, il a o u e fi d a e u e v ita le ela e g â e au portage du bailleur social, le Logis Familial Varois. Une nouvelle hypothèse est en cours d i st u tio pe etta t u ai tie de la apa it i itiale. Elle p voit u e op atio de construction neuve (60 logements) et la restructuration des bâtiments existants permettant de répondre aux exigences contemporaines de confort et répondant aux besoins des résidants. Le projet du Luc en Provence est en phase de latence et devrait connaître une relance après les élections de API P ove e appo t d a tivit s 6

8 L a e à ve i est do d te i a te pou l e se le des dossiers et devrait permettre la fi alisatio d au oi s deu p og a es : la Seyne et Hyères. LES MISSIONS SENSIBLES LA MOUS RELOGEMENT DU PNRQAD DE NICE Le groupement API Provence/CitéMétrie a été retenu par la M t opole Ni e Côte d Azu da s le ad e d u appel d off e ouve t su le a h de la MOUS relogement/accompagnement. Le marché est prévu sur une durée de 7 ans et comporte 2 volets : - Un volet Programme de Renouvellement Urbain sur le secteur de la cour Bensa, du 43 rue Vernier et du 10 rue de Suisse pour lequel des démolitions et des transformations lourdes de âtis doive t i te ve i et o e e t plus d u e e tai e de ages. La MOUS o dui a les tapes lassi ues d u dispositif de eloge e t da s u ad e de renouvellement urbain mais interviendra sur le parc privé. - U volet Op atio P og a e de l Ha itat ou la MOUS i te vie d a au ôt de l uipe d OPAH pou alise ota e t des relogements temporaires ou définitifs dans le cadre du t aite e t de l ha itat i salu e et des hôtels eu l s. Elle au a gale e t e ha ge l a o pag e e t so ial des p op i tai es e situatio diffi ile da s le ad e de l i te ve tio su les op op i t s d g ad es. Au total, su l e se le des deu dispositifs, op atio de e ualifi atio u ai e et O.P.A.H- R.U, les objectifs sont les suivants : 192 relogements définitifs (dont 52 pour le volet O.P.A.H- R.U) et 30 relogements provisoires. L ANIMATION DE L OPAH DE LA CASA ( ) API P ove e e pa te a iat ave le u eau d tude CITEMETRIE a i e ette OPAH. La mission démarrée en 2009 se déroule sur une durée de 5 ans ( ) et un avenant au marché a été passé entre la CASA et le Groupement CitéMétrie/API Provence en 2012 notamment pour incorporer au dispositif les 8 nouvelles communes ayant intégré la CASA et la gi ai si le ha p d appli atio de la o ve tio d OPAH PCS à o u es au lieu de 16, et ajuster les objectifs quantitatifs pour concilier à la fois les nouvelles priorités de l ANAH et elles de la CASA, soit loge e ts ha ilit s su a s au lieu des i itiale e t p vus. Pou l a e, les o je tifs taie t la o stitutio de dossie s, tous types de bailleurs confondus, et 69 dossiers ont été déposés. LA MOUS DIAGNOSTIC SOCIAL DE FAMILLES EN CAMPEMENT ET SQUATS L asso iatio a t a dat e pa l Etat pou alise u e MOUS de a s pou effe tue le diag osti, l a o pag e e t so ial et le eloge e t de fa illes R o s en campement et s uats illi ites su les o u es de Ni e, G asse et A ti es. E, l uipe e ha ge de la MOUS a s le tio fa illes à diag osti ue su la ase de it es d i lusio validés par le Comité de Pilotage, et ce diagnostic individualisé à permis à la Préfecture de s le tio e les fa illes ui se o t a o pag es ve s des fo es d ha itat p e e. API P ove e appo t d a tivit s 7

9 LE RESULTAT ECONOMIQUE L asso iatio a o u u e a e plei e de e o disse e ts e. Le sultat à l uili e a été atteint et constitue une véritable réussite. Les évolutions des subventions sont nombreuses et le maintien en valeur absolue masque des bouleversements notoires. La baisse des participations financières des conseils généraux du Var et des Alpes-Maritimes est confirmée et constitue un enjeu fort pour les équipes d di es à l a o pag e e t so ial. Cette aisse est o pe s e pa u e hausse «artificielle» de la DAIC ui e o p e d gale e t la su ve tio d di e à l a e Enfin les fonds européens destinés aux migrants sont maintenus, et constituent une essou e ouvelle o gligea le ais ui i pa te fo te e t l o ga isatio et les outils de suivi. Le résultat en léger excédent (19 de est e g a de pa tie li à u e a e exceptionnelle en termes d e ploitatio, ave u tau d o upatio o e su l a e de % et u e aît ise de l i pa. Les uipes de gestio et d a o pag e e t so ial o t pe is d attei d e es o je tifs ui o fi e t la ualit du t avail fou i et le professionnalisme des uipes d API P ove e. Enfin, la maîtrise de la masse salariale est une des clefs de ce résultat. La politique de p ovisio e e t pe et de ai te i u uili e d e ploitatio tout e ga a tissa t les is ues de l a tivit de gestio lo ative et so iale. Les Provisions pour Gros Entretien permettent de couvrir le pan de travaux à 5 ans au regard des dépenses enregistrées sur les derniers exercices. PERSPECTIVES L a e dev a po d e à plusieu s o je tifs : STABILISER VOIRE CONSOLIDER L EXISTANT. Il s agit de fi alise l adaptatio des se vi es au fi a e e ts o t o s, ota e t da s le do ai e de l a o pag e e t so ial. L volutio des fi a e e ts pu li s, ais gale e t du parc géré nécessitera une réflexion organisationnelle a fortiori dans les Alpes-Maritimes. FINALISER L INTEGRATION DES ACTIVITES EN VAUCLUSE La ep ise des a tivit s de l asso iatio D li e d e e doit se pou suiv e pa u e clarification des missions de chaque agent, en articulation avec les subventions octroyées et en intégrant les évolutions patrimoniales avec la prise en gestion de 80 logements étudiants et le d age e t du FJT au sei d u e side e plus i po ta te ui a ueille a les bureaux administratifs du Vaucluse. Cette nouvelle implantation nécessite également un travail de communication et le développement de réseau auprès des acteurs institutionnels mais également associatifs pour garantir un service de qualité aux publics accueillis API P ove e appo t d a tivit s 8

10 CONTINUER LA TRANSFORMATION DES FTM EN RS Cet e jeu ajeu pou l asso iatio fe a l o jet de toutes les atte tio s a il est esse tiel pou l volutio d API P ove e et so adaptatio au ouveau pu li s. Les dossie s d H es et de la Se e dev o t t e app ouv s de faço d finitive en comité de pilotage, quant au Luc-en-P ove e il s agi a d a te les p i ipes de t a sfo atio pou u e validation en PROLONGER L EFFORT DE DEVELOPPEMENT. Les dossiers actuellement en cours devront être suivis dans leur phase administrative aux côtés des bailleurs sociaux et des collectivités territoriales pour garantir leur réalisation. D aut es p ojets so t à l tude afi de ai te i la d a i ue a tuelle et o ti ue u e croissance linéaire en évitant les effets de paliers. E fi, le positio e e t da s le ha p d i te ve tio de s io s est l a e de développement nouveau tant dans le secteur social avec le lancement du concept de résidences sociales séniors que dans le secteur libre avec les résidences services séniors portées par la filiale API Séniors. POSITIONNER API PROVENCE AU PLAN REGIONAL L a itio d t e u op ateu gio al est e t ale au ega d des volutio s administratives qui prévoient le renforcement de la Région comme lieu de définition des politiques publi ues. L ouve tu e à de ouveau d pa te e ts est o fi e ave l i pla tatio da s les Bou hes-du-rhône au regard des projets agréés et financés, mais également dans les Alpes-de-Haute-P ove e ave la ep ise d e ploitatio d ta lisse e ts existants. S INSCRIRE DANS LES DISPOSITIFS REGLEMENTAIRES L asso iatio API P ove e joue a plei e e t so ôle au sei des i sta es ep se tatives ue so t les u io s et f d atio s p ofessio elles telles ue l UNAFO, la FAPIL et ou l UNHAJ. Pa ailleu s, elle s i scrit dans les outils spécifiques du logement accompagné o e les SIAO, s h a d pa te e tau li s à l i se tio et/ou au loge e t. API P ove e appo t d a tivit s 9

11 LES PUBLICS accueillis 1. LES PUBLICS ACCUEILLIS DANS LES FOYERS ET RESIDENCES SOCIALES API Provence héberge autant de publics différents u elle g e de t pe de side es. Cha ue t pe de st u tu e a t pe s pou t ouve des solutio s d h e ge e t pou des situatio s pa ti uli es, et la ultipli atio de l off e pe et à l asso iatio de s o ie te vers le ut u elle s est fi dès sa création : «pa ti ipe, da s la gio PACA, à la ise e œuv e d u e politi ue d a ueil et d i se tio pa l ha itat et pa l o o i ue, des jeu es, des fa illes et pe so es e diffi ult ou e lues, et de fa ilite au ha ita ts l ouve tu e et l e ercice des droits économiques, sociaux et civiques auxquels ils peuvent prétendre» (article 3 des Statuts). Ainsi, malgré la diversité des publics accueillis dans les établissements gérés par API Provence, une constante apparaît : la paupérisation des personnes, et les situations souvent complexes à l e t e des st u tu es. Pou des aiso s histo i ues fusio ave l Asso iatio AVOM e, ui g ait essentiellement des FTM ; ep ise des a tivit s de l Asso iatio DECLIC, op ateu histo i ue du logement des jeunes en Vaucluse) mais aussi à cause de spécificités locales, les publics log s pa l asso iatio p se tent des différences entre les trois départements de la Région PACA sur lesquels nous intervenons plus particulièrement : les Alpes-Maritimes, le Var, et depuis le mois de décembre 2013, le Vaucluse. API P ove e appo t d a tivit s 10

12 A. DANS LE VAR LES RESIDENCES SOCIALES ET LES FOYERS DE TRAVAILLEURS MIGRANTS Les résidants sont essentiellement des hommes, immigrés, en grandes difficultés financières et vieillissants. Les FTM et RS «migrants» que nous gérons accueillent très majoritairement des pe so es i ig es o igi ai es pou l esse tiel des pa s du Magh e (34.98% de ressortissants algériens, 29.13% marocains, 27.90% tunisiens). Ces hommes, dont certains sont arrivés en France dans les années 60, ont occupé pendant de nombreuses années des emplois peu qualifiés (ouvriers ag i oles, a œuv es, salariés des chantiers navals et ont subi de plein fouet les effets de la diminution de ce type d e ploi li e à la ise o o i ue ais aussi au ha ge e t du p ofil de l off e d e ploi. Les anciennes zones agricoles sont devenues des sites tou isti ues, les assi s d e plois traditionnels se sont désertifiés, les chantiers navals ont fermé et l ava e e âge e permet plus aux résidants de réaliser des travaux de force. Nos sida ts so t aujou d hui pou u e g a de pa t à la et aite (plus de 70% d e t e eu ) et à peine plus de 7 % d e t e eux perçoivent un salaire, les autres étant pour partie fi iai es du RSA, de pe sio s d i validit ou de l AAH, ou au hô age. La conjugaison des deux phénomènes que sont le chômage et le vieillissement a profondément modifié le profil des résidants qui sont désormais le plus souvent sans travail, vivant de ressources de substitution leur garantissant certes des revenus minimums mais très faibles (moins de 15% d e t e eu pe çoive t plus de 065 euros mensuels). Le vieillissement des publics accueillis 30.00% 25.00% 20.00% 15.00% 10.00% 5.00% 0.00% < 30 ans 30 à 45 ans 46 à 55 ans 56 à 65 ans 66 à 70 ans 71 à 75 ans > 76 ans Résidences Sociales FTM API P ove e appo t d a tivit s 11

13 Le vieillissement des résidants vivant dans ces établissements est une préoccupation o sta te pou l Asso iatio : la majorité des résidants est âgée (à peine plus de 11% des résidants ont moins de 55 ans) et ceux qui le sont moins sont souvent usés physiquement : pénibilité des emplois occupés, exposition à des produits ou matériaux toxiques, hébergement en bidonville ou habitat insalubre, hygiène de vie rudimentaire, en matière ali e tai e ota e t, a se e d a s au s st e de sa t, prise en charge médicale irrégulière, etc. Les sida ts d âge u p se te t souve t des pathologies ue l o retrouve habituellement chez des personnes plus âgées (problèmes musculo-squelettiques, diabète, etc.). Leur vieillisse e t s e t ouve plus d li at, souvent p atu. L avancée en âge chez les résidants de nos FTM et RS du Var s a o pag e souve t de la ultipli atio des i apa it s à effectuer les actes de la vie quotidienne. Faire ses courses, entretenir son linge ou son logement, préparer ses repas, etc. devie e t auta t d p euves dans lesquelles les sida ts se doive t d t e soute us. La mise en place de divers projets, et notamment de l a tio «Interface Santé», avec le soutien du FEI, qui travaille sur une mise en réseau, par se teu, de tous les p ofessio els de la sa t ta t sus epti les d i te ve i aup s des ig a ts de a s et plus, te te d appo te des po ses à ette uestio du vieillisse e t. Action «Interface Santé» Soute ue pa le Fo d Eu op e d I t g atio La situation familiale et les liens familiaux Pa ailleu s, l a se e de soutie fa ilial local e d diffi ile l o ga isatio d u p ojet, ota e t pou les pe so es e pe te d auto o ie. Les sida ts so t u i ue e t des ho es ui vive t pou l e se le isol s de leu fa ille, elle-ci étant majoritairement est e au pa s d o igi e. Ainsi, ces personnes qui sont souvent considérés comme célibataires pa l ad i ist atio f a çaise, sont en grande majorité mariés, et même les plus âg s d e t e eu o t e o e souve t des e fa ts à ha ge, alg leu s fai les eve us : 5% 2% 2% 6% 87% Célibataire Marié Divorcé Veuf N/R API P ove e appo t d a tivit s 12

14 L a se e de fa ille su le te itoi e atio al est do pas s o e de li at, puis u à peine 13% des résidants ne sont pas mariés. Même si la grande majorité d e t e eu est en lien avec leur famille, l loig e e t e d i possi le tout soutien familial de proximité et nous avons constaté à de nombreuses reprises que les résidants ne souhaitent pas que leur famille soit informée de leurs difficultés. De plus, leu s fa illes o t ie souve t pas conscience des conditions de vie et de santé de ces chefs de famille qui ont tout quitté pour off i u e vie eilleu e à eu u ils o t laiss au pa s. Ces hommes affrontent donc le vieillissement, la maladie et le handicap seuls et sont particulièrement vulnérables et exposés. Pour mémoire, il est plus uestio pou la plupa t d e t e eu de «retour au pays» alo s u ils o t ja ais i agi vieilli en France. Ils ne se p ojette t pas da s l ave i et o t plus de p ojet de vie. Pou des aiso s o o i ues e voi d u p ule au pa s ais aussi culturelles, les résidants vieillissants ejette t l id e de placement en institutions pour personnes âgées. Ils demandent à rester dans les établissements où ils ont vécu de nombreuses années, ce que la loi autorise. Cette situation génère un ph o e a a t isti ue da s e t pe d ta lisse e t : celui des allers et retours «au pays». Le problème des allers-retours : La majorité des personnes logées dans nos établissements varois est d o igi e t a g e, principalement maghrébine : 0.79% Algérienne Française 0.11% 27.90% 34.98% Marocaine Portugaise 1.12% Sénégalaise 0.00% 29.13% 5.96% Togolaise Tunisienne Autre Les résida ts so t do, da s l e se le, des ho es isolés mais ayant charge de famille et sont très majoritairement issus des pays du Maghreb. Cette situation, en plus des problèmes API P ove e appo t d a tivit s 13

15 fi a ie s u elle g e pou les sida ts (cf. ci-dessous l o igi e des ressources) tenus d e vo e u p ule à leu fa ille, et ce malgré leurs faibles moyens financiers, entraîne un s st e d alle s-retours au pays, complexifiant la mobilisation des dispositifs de droit commun. Nature et montant des ressources Origine des ressources 2% 7% 0% 4% 2% 9% 2% 3% RSA ASSEDIC P. Invalidité 71% RETRAITE + ASPA NR La part des résidants actifs est donc extrêmement limitée. Les parcours individuels des sida ts, e ati e d e ploi ota e t, font que ces personnes ont souvent des carrières incomplètes, générant de très faibles droits à la retraite, avec pour conséquence un o e i po ta t de fi iai es de l ASPA. Montant des ressources 25% 20% 15% 10% 5% 0% < A A A A 1065 > 1065 En RS En FTM Pou oi e, l INSEE a fi le seuil de pauv et e F a e à 77 euros mensuels pour une personne seule. La grande majorité des résidants a donc des revenus inférieurs ou égaux à ce seuil. API P ove e appo t d a tivit s 14

16 LA RESIDENCE ETUDIANTS «SEMBAT» A TOULON Cette petite st u tu e d di e à l a ueil des tudia ts peut e evoi pe so es, et eçoit u pu li totalement différent des autres résidants varois. Ages 40% 60% de 20 à 25 ans de 26 à 30 ans Il s agit d u e populatio jeu e a s de o e e d âge, f a çaise à %, ave de fai les ressources : seuls 3 étudiants sur les 10 présents en décembre 2013 percevaient un salaire ou une allo atio de fo atio, les aut es a a t pas de essou es propres. Ces jeunes gens sont tous célibataires, et les jeunes hommes sont surreprésentés par rapport aux jeunes femmes. 30% 70% Hommes Femmes Il est enfin à noter que les durées de séjour sont relativement longues, correspondant aux périodes d tudes ou de fo atio, soit e g al plus d u e a e. API P ove e appo t d a tivit s 15

17 LE LOGEMENT D URGENCE EN ALT Depuis plusieu s a es, afi de po d e à u esoi sp ifi ue de loge e t d u ge e, tout en diversifiant le public accueilli dans nos Foyers de Travailleurs Migrants, 6 places sont réservées au dispositif ALT au sein du FTM du Luc en Provence. L année a marqué le rapprochement d AP) Provence Var et du S)AO. Service )ntégré d Accueil et d Orientation, dispositif départemental centralisant l ensemble des places disponibles en hébergement et en logement adapté recevant un financement de l Etat. )l a également pour mission de recenser, évaluer et orienter toutes les personnes en demande de logement adapté ou d hébergement. L admission dans le dispositif se fait uniquement sous validation du gestionnaire. Dans le cadre de l ALT, au cours de l année, 20 hommes isolés ont été accueillis. Le profil des personnes accueillies dans le cadre de ce dispositif est sensiblement différent de celui des autres résidants varois : l âge moyen de ces résidants est de 44 ans, la majorité d entre eux sont français, célibataires et perçoivent de faibles ressources. Ages Nationalités Age Situation Familiale Origine des ressources Au ou s de l a e, pe so es o t i t g le dispositif ALT et e so t so ties, e qui d o t e la pe ti e e et l effi a it de e dispositif. API P ove e appo t d a tivit s 16

18 LA PENSION DE FAMILLE DE BRIGNOLES La Pension de famille «Maison Garnier» a ouvert ses portes le 01 Octobre Elle fait aujou d hui partie intégrante du dispositif social du territoire brignolais. Les résidants sont des habitants du quartier à part entière et la structure est bien identifiée par les associations, les institutions et les autres habitants, notamment en raison du réseau de partenariat mis en place. Depuis le 2 mai 2012, la pension de famille «maison Sébastien», située à une centaine de mètres de la «maison Garnier», accueille quatre résidants qui bénéficient du même projet social, du même fonctionnement et du même accompagnement que la maison Garnier à laquelle elle est rattachée. E, des t avau de ha ilitatio d u a ie fo e de t availleu s ig a ts, p op i t du Logis Familial Varois, o t pe is la atio de uat e loge e ts auto o es de t pe T à seulement 300 mètres de la maison Garnier. Ils ont été intégrés à la Pension de Famille en mai En 2013, 27 personnes ont été logées dans la Pension de Famille, dont 24 étaient présents au 31 décembre, la totalité des logements étant occupée à cette date. Les statistiques cidessous sont établies sur ces 24 résidants présents au 31 décembre Les résidants sont principalement des hommes (à 97%), d âge dive s : Leur profil correspond à celui défini dans le projet social. Ainsi, ces personnes isolées ont de faibles ressources, et des parcours professionnels et «logement» chaotiques : Origine des ressources Logements avant entrée (pour les entrants 2013) Ai si, au u d e t e eu e fi iait d u loge e t auto o e ava t l e t e e Pe sio de Famille, et la part des résidants salariés reste marginale (2 personnes sur 24). API P ove e appo t d a tivit s 17

19 B. DANS LES ALPES-MARITIMES Le public maralpin est nettement plus varié, en raison notamment de la diversité de l off e de logements. Les Résidences So iales d A ti es a ueille t toutefois un public sensiblement similaire à celui logé dans le Var. La gamme de logements gérés pa l Asso iatio pe et de décliner une offre de logements pouvant répondre à des problématiques diverses. LES RESIDENCES SOCIALES «MIGRANTS» D ANTIBES: La Résidence Sociale «Galets d Azu» est issue d u e so ptio d ha itat i salu e réalisée route de Nice à Antibes et peut a ueilli jus u à pe so es da s loge e ts construits sur le principe des unités de vie. La résidence accueille un public «migrants» issu de la résorption : les contrats de résidence sig s à l e t e pa ha ue o upa t so t à durée illimitée, conformément aux décrets sur les résidences sociales (Migrants uniquement). Le public présent en 2013 est à 100% un public masculin au statut de travailleur migrant vieillissant. Les 37 résidants accueillis en 2013 ont en moyenne 65 ans : il s agit donc majoritairement de personnes sans activité professionnelle, puis ue à pei e % d e t e eux ont moins de 60 ans. De ce fait, les résidants sont inactifs da s l e se le, puis ue les de a deu s d e ploi % so t souve t p o hes de l âge de la retraite et ue % des d e t e eu so t et ait s. Seuls % so t e e ploi da s le âti e t pou la plupa t, et à pei e % fi ie t d u CDI. Ai si, le eve u o e s l ve à eu os, et est do la ge e t i f ieu au seuil de pauvreté en Fra e d fi i pa l INSEE, soit e suels pou u e pe so e seule. Pou ta t, la ajo it d e t e eu est a i e, et à ha ge de fa ille : il s agit toutefois ava t tout d u statut, puis ue les sida ts vive t seuls da s la side e. API P ove e appo t d a tivit s 18

20 La Résidence Sociale «Soleïado» propose 50 logements individuels (T1), dont 2 T1 bis situés en rez-de-chaussée et adaptés aux personnes handicapées, ainsi que 2 T1bis destinés prioritairement à des familles monoparentales. Cette résidence a pour caractéristique de mixer deux types de public : DES TRAVAILLEURS MIGRANTS qui ont intég la side e à la suite de so ptio s d ha itat insalubre. La résidence a accueilli 47 personnes dans les logements «travailleurs migrants» en Ils ont en moyenne 65 ans : les moins de 50 ans ne constituent que 4% du public accueilli, et 68% des résidants sont âgés de plus de 61 ans. Le résidant le plus jeune est âgé de 44 ans et le plus âgé à 82 ans. Là encore, la très grande majorité des résidants est mariée (85%) et a charge de famille (81%), mais vit seule en France, les épouses et les e fa ts viva t da s leu pa s d o igi e : 92% des résidants présents sont originaires du Maghreb ; les algériens et les tunisiens sont majoritairement représentés et à pa it %, ta dis u il a u e fai le p opo tio de marocains (6%). Leurs ressources sont faibles, avec en moyenne 767 euros mensuels et sont en adéquation avec leur statut socioprofessionnel : Statut Socioprofessionnel Origine des ressources Les résidants do t les essou es so t o p ises e t e et, soit la ajo it d e t e eux, perçoivent pour la plupart une pension de retraite, complétée par une Allocation de Solidarité aux Personnes Agées (minimum vieillesse). UN PUBLIC «CLASSIQUE» DE RESIDENCES SOCIALES, personnes relevant du PDALPD. Le profil des 16 personnes accueillies en 2013 est nettement plus jeune que celui occupant la partie «migrants» de la RS, et est donc potentiellement actif. L a al se de e public a été intégrée à l a tivit «Résidences Sociales Tout Public», étudiée ci-après. API P ove e appo t d a tivit s 19

21 LES RESIDENCES SOCIALES TOUT PUBLIC : Le principe des résidences sociales est de proposer un logement non définitif à des publics dits défavorisés, relevant du Pla D pa te e tal d A tio s pou le Loge e t des Pe so es Défavorisées (PDALPD). Elles sont de ce fait une étape dans le parcours résidentiel de ces publics, le logement autonome constituant en règle générale la sortie naturelle de la résidence sociale, même si une orientation vers les PLATS (logements en sous-location) est pa fois essai e ava t d a de à u loge e t de d oit o u da s le pa p iv ou public. En 2013, 686 ménages ont été orientés par différents prescripteurs vers les 195 logements en RS Tout Public gérés par l Asso iatio, 226 candidatures ont été présentées à la o issio d att i utio, et a didatu es o t t a ept es. La majorité des orientations proviennent des MSD et des CCAS. API Provence a logé dans ces résidences sociales 253 ménages en 2013, représentant 403 personnes. Nous observons sur les cinq territoires une même fragilité des ménages, qui se traduit par une proportion importante du nombre des personnes sans domicile (hébergement, hôtel eu l à l e t e e résidence sociale. Les situations des personnes sans domicile ont des causes multiples : revenus insuffisants, accidents de la vie, ruptures familiales, problèmes de sa t, fi d i a atio. Les p i lev s des lo e s da s le pa p iv o t de fo tes répercussions sur le budget des familles. Les usagers ne peuvent se maintenir dans les lieux ais e peuve t a de au pa pu li, o pte te u du peu d off es de loge e ts. Ils so t donc le plus souvent contraints de se faire héberger en attendant une évolution de leur situatio fi a i e et u e h poth ti ue att i utio d u loge e t HLM. Il est à noter que certaines personnes étaient hébergées en résidence sociale avant leur entrée dans le même type de structure à API Provence : il peut s agi pa e e ple d u e pe so e e t e i itiale e t su u se teu et d pla e su u aut e se teu pou se app o he d u ouvel e ploi t ouv, ou ie e o e d u e pe so e sida t da s u loge e t ui doit su i des travaux. Quoi u il e soit, et uelle que soit la situatio du sida t à l e t e, la Résidence Sociale pe et d apporter une réponse transitoire à ces problèmes de logement. Dans ces résidences, nous logeons une part plus importante de femmes (59%), même si cette répartition reste équilibrée dans la majorité des RS Tout Public, hormis sur le secteur de Cannes ou les femmes sont majoritairement représentées (cela étant à mettre en lien avec la typologie des logements proposés sur ce secteur (T3 et T4). Il est important de souligner que la majorité des résidants (64%) qui sont accueillis en résidence sociale API Provence, a entre 26 et 45 ans. Cela est à mettre en lien avec le type de pu li a ueilli e side e so iale ui doit s i s i e da s u pa ou s d i se tio. Depuis trois ans, sur les i se teu s g og aphi ues, ous o se vo s ue la t a he d âge la plus représentée est celle des ans. La t a he d âge -65 ans est en augmentation, ce qui est à mettre en lien avec une précarité plus prégnante des séniors sans emploi. API P ove e appo t d a tivit s 20

22 Compte te u de la t pologie des loge e ts p opos s T et T les pe so es seules ou les couples sans enfants sont les plus représentées, à plus de 70%. Les familles monoparentales représentent 25% des ménages accueillis. Au-delà des difficultés financières u elles peuve t e o t e, vie e t s ajoute des diffi ult s so iales, ainsi que la complexité à trouver simultanément un emploi et un mode de garde adapté. Il s agit souve t de fa illes isol es, peu soute ues pa leu e tou age fa ilial. Nous constatons que le pourcentage de couples avec enfants est faible (5%), faute de logements adaptés pour les accueillir. Seuls 16 logements de type T1 bis ou T2 sont proposés (soit 27% de nos logements). Ces logements se situent pour la plupart dans le centre historique de Grasse. % du pu li a ueilli da s os side es so iales est o pos d u e pe so e seule ave ou sans enfants. API P ove e appo t d a tivit s 21

23 Le montant des ressources des ménages est faible, 51% des résidants ayant un revenu mensuel inférieur, % d e t e eu e pe eva t e oi s de pa ois : cela révèle la grande précarité des résidants vivant dans nos résidences sociales. Ainsi, 47% des résidants o t u eve u e suel o p is e t e et, e hiff e étant ide ti ue à elui de l a e. 36 % des résidants o t e % e o t des eve us p ove a t d u e a tivit p ofessio elle. Cette l g e aug e tatio est pas sig ifi ative, les résidants rencontrent toujours des difficultés pour effectuer des missions en intérim, les personnes sont inscrites da s u pa ou s d i se tio as su l a s à l e ploi, à la fo atio et au loge e t. Sur Nice le pourcentage de personnes salariées a augmenté de 20%. Les autres revenus des résidants proviennent des allocations chômage qui représentent 12% et des minima sociaux 39%. MONTANT DES RESSOURCES MENSUELLES 28% 21% 3% 48% de 0 à 360 de 361 à 700 de 701 à et + API P ove e appo t d a tivit s 22

24 Malg é u o te te peu favo a le et u pu li f agilisé, g â e à l i vestisse e t des é uipes de l Asso iatio, les éside es so iales o ti ue t à joue leu ôle : 48% des résidants ont une durée de séjour inférieure à 18 mois (contre 46% en 2012). 28% des résidants sont présents depuis plus de 3 ans, bien que ce chiffre demeure i po ta t, les uipes de t availleu s so iau veille t à espe te les du es d h e ge e t dans nos structures, toutefois, les situations ne sont pas toujours stabilisées pour envisager un relogement dans le droit commun (problématique santé, familiale, économique), des essou es t op fai les li ite t l a s au pa p iv ais aussi da s le pa pu li tau d effo t t op i po ta t. D aut e pa t, les pe so es p se tes en résidence sociale depuis plus de 3 ans sont souvent da s des situatio s diffi iles, au uelles s ajoute u a ue d auto o ie. De e fait, e tai s eloge e ts s effe tue t e PLATS ou e pe sio de fa ille, afi ue es ages puissent continuer à être accompagnés. Les freins liés à des situations familiales complexes (procédures de divorce, fixation de pensions alimentaires, partage de la garde des enfants) mais aussi liés aux reprises d a tivit s ode de ga de et oût e de t le eloge e t des fa illes complexe et long. La situatio o o i ue diffi ile e favo ise pas l a lio atio des situatio s, e pa ti ulie au niveau financier. Enfin, nous sommes confrontés à des populations cumulant plusieurs problématiques, notamment la maladie psychique et des pathologies psychiatriques. Ces personnes ne peuvent être considérées comme «prêtes à loger». Dans ce cadre, le taux de rotation est un indicateur important, qui permet de mesurer l i s iptio de la RS da s le pa ou s et la o ilit résidentielle témoignant de sa capacité à remplir sa fonction de «tremplin» vers le logement autonome. Ce taux de rotation est de % sur Cannes, de 35 % sur Nice, de 87.5% sur Antibes, de 33% sur Vallauris et de % sur Grasse. API P ove e appo t d a tivit s 23

25 La sortie du dispositif : La tendance pour cette année est à la stabilité ; sur les trois dernières années écoulées, le nombre de départs a été en augmentation. En effet nous avons plus que doublé ce chiffre depuis Su l e se le des d pa ts, % o t t elog s ho s i o u et h e g. % des ménages ont été relogés dans le parc locatif public. 14% des ménages ont été relogés dans le parc locatif privé. Le eloge e t da s le pa p iv a pas t favo is pa les politi ues d aide à l a s au logement, avec la diminution des plafonds du FSL et des délais de traitement trop long pour les bailleurs privés (risque de refus et vacance du logement), ave l échec du dispositif de la Garantie des Risques Locatifs, peu utilisé par les agences et les particuliers (problème de paiement) et enfin, ave l a se e d aide du lo a-pass dans le parc privé non conventionné. Toutefois, certains ménages se sont relogés dans le parc privé, parfois par leurs propres moyens, en mettant à profit leur participation aux ateliers recherche logements, en e he ha t des loge e ts pa l i te diai e de pa ti ulie s ou d age es i o ili es. De même, la situation professionnelle des personnes à la sortie a largement évolué par rapport à celle lue à l e t e : Pou ette a e, ous avo s pou suivi os a tio s aup s de l e se le de os résidants, tant en les accompagnant de manière individuelle que collective, afin de stabiliser leur situation et ainsi les aider à accéder à un logement pérenne adapté. De ce fait, les eloge e ts so t est s satisfaisa ts su l e se le des se teu s et e alg u o te te au demeurant toujours tendu. API P ove e appo t d a tivit s 24

26 LES FOYERS DE JEUNES TRAVAILLEURS Le public accueilli en Foyers de Jeunes Travailleurs est principalement constitué de jeunes de à a s, e voie d i se tio so iale et p ofessio elle, et, da s u e fai le esu e, de jeu es jus u à 9 a s volus, da s u e situatio si ilai e. Age des Résidants des FJT 1% 21% 38% 16 à 17 ans 18 à 21 ans 22 à 25 ans plus de 25 ans 41% Le œur de i le des ans représente 79 % de la population logée en FJT Au-delà de l h e ge e t p op e e t dit, le FJT et e œuv e u p ojet éducatif pour accompagner les jeu es afi de favo ise leu he i ve s l auto o ie, promouvoir le d veloppe e t et la valo isatio du jeu e, d veloppe l a s à la ito e et et à l i se tio da s la ville, à t ave s u a o pag e e t so ial, u a o pag e e t à l e ploi, u accompagnement vers le logement autonome, un apprentissage à la responsabilité, et par des a tio s d a i atio s ou d a tio s olle tives, o e les a tio s «bien-être et santé». En 2013, 396 jeu es o t postul pou i t g e u des FJT de l Asso iatio. 118 d e t e eu ont pu intégrer un de ces foyers en 2013, portant à 238 le nombre de jeunes logés en FJT par l Asso iatio pendant cette année. API P ove e appo t d a tivit s 25

27 Cette année encore, nous devons constater la précarité de logement des jeunes avant leur entrée en FJT : même si beaucoup de résidants étaient hébergés par leurs parents (37%), seuls 11% fi iaie t d u loge e t auto o e da s le pa p iv. La plupart des autres étaient hébergés par des tiers ou des organismes spécialisés, voire SDF (4%). Les faibles ressources dont e tai s d e t e eu disposaient avant leur entrée en FJT expliquent cette situation : Ressou es des Jeu es à l e t ée e FJT 15% 33% 31% plus de 1065 de 796 à 1065 de 461 à 795 moins de % Les résidants sont majoritairement des actifs (85% su l e se le des FJT), les 15% restant étant principalement des étudiants, lycéens ou stagiaires non rémunérés, dont les parents prennent en charge les dépenses. Co fo e t à l uili e des se es voulu pa l asso iatio da s les fo e s de jeu es travailleurs, la répartition hommes / femmes est équilibrée, même si en 2013, la part des jeunes hommes est légèrement supérieure (51%). API P ove e appo t d a tivit s 26

28 Les iveau d tudes so t va i s, ais o peut o state la dive sit des p ofils s olai es des résidants. 58% des résidants ont toutefois au minimum un niveau bac. Niveau d études des ésida ts Bac 24% Sans diplôme 24% Bac+ 34% CAP 14% BEP 3% 0% 10% 20% 30% 40% Les durées de séjour sont variables, puisque fonction du projet et des objectifs que les jeu es et l uipe du ative o t fi s à l e t e du Fo e. En 2013, 126 résidants sont sortis des FJT, ayant eu des durées de séjours différentes : Durées de Séjour des Résidants en FJT A la sortie du FJT en 2013, 19% des so ta ts d A ti es i t g e t u loge e t auto o e, contre 53% sur Grasse et 15% sur Nice. API P ove e appo t d a tivit s 27

29 LES MAISONS RELAIS OU PENSIONS DE FAMILLE Le Thor 2013 Ces st u tu es so t desti es à l a ueil de pe so es à fai le iveau de essou es, da s u e situatio d isole e t ou d e lusio lou de. La situatio so iale, ps hologi ue voi e psychiatrique des résidants rend impossible à échéance prévisible leur accès à un logement o di ai e. Ces pe sio s de Fa illes e s i s ive t do pas da s u e logi ue de loge e t te po ai e, ais ie d ha itat du a le. En 2013, les deux Pensions de Famille gérées par API Provence dans les Alpes-Maritimes ont accueilli 42 personnes : 29 hommes et 13 femmes. Il s agit da s l e se le d adultes d âge u, puis ue % d entre eux ont plus de 45 ans. L i se tio p ofessio elle est t s diffi ile pou es pe so es, au vu de leu situatio et de elle de l e ploi à l heu e a tuelle : les résidants sont majoritairement sans emploi (90%) et 8% salariés. Les 2% restant sont retraités. Pou la g a de ajo it d e t e eu, reprendre une activité professionnelle semble t e e t e e t o pli u, e aiso d u e pa t de leu tat de sa t, et d aut e pa t de leu âge. De ce fait, les montants des ressources sont extrêmement faibles, et les résidants fi ie t pou la plupa t d e t e eu de i i as so iau. Ces personnes sont isolées socialement et sont toutes célibataires, divorcées ou veuves. Le public reçu en Pension de Famille correspond donc bien au profil des personnes auxquelles elles sont destinées, à savoir des personnes qui ne relèvent pas des structures d i se tio de t pe CHRS i d u loge e t auto o e. API P ove e appo t d a tivit s 28

30 LES RESIDENCES SOCIALES SAISONNIERS ET ETUDIANTS Les R side es So iales Saiso ie s et Etudia ts a ueille t u e pa tie d étudiants (y compris jeunes en formation ou apprentis) et une partie de saisonniers. Parmi les étudiants stagiaires, un certain nombre de jeunes nous sont orientés par leur employeur et peuvent do o upe u e ploi tout e pou suiva t leu s tudes. C est le as de la ajo it des apprentis hébergés. 249 personnes ont été hébergées en 2013 dans ces 3 résidences. Il s agit ajo itai e e t de jeunes : 79 % des résidants de Cannes ont moins de 25 ans, contre 75% pour ceux de Nice. Les durées de séjours sont variables au vu du public accueilli : le turn-over est important sur Cannes où les réservataires sont encore présents et moins sur Nice où elles correspondent à des cursus scolaires, universitaires ou de formation moins de 6 mois 6 à 12 mois un an et plus Nice Cannes L h e ge e t da s es st u tu es o espo d à u esoi ide tifi da s le te ps a e universitaire, saison, ) et les résidants ne sont donc généralement pas issus des communes où sont implantées ces résidences, la t opole Ni e Côte d Azu ouv a t u e zo e géographique importante. Toutefois, les résidants proviennent principalement de France Nice Cannes Les résidences de Nice accueillent une majorité de jeunes étudiants salariés bénéficiant g ale e t d u CDI à te ps pa tiel pou pa e leu s tudes. La résidence basée sur Cannes a un autre fonctionnement. Ce sont directement les professionnels du tourisme qui signent une convention de réservation, ce qui leur permet de placer en toute tranquillité leurs jeunes stagiaires arrivant de la France entière. Un total de 12 réservataires a permis la signature de 130 o t ats d o upatio, alg les effets de la ise économique sur le se teu de l hôtelle ie. API P ove e appo t d a tivit s 29

31 LES RESIDENCES ETUDIANTS Su l a e 3, les side es tudia tes u ies o t pe is d appo te u e solutio e te es d h e ge e t à jeu es. Ces loge e ts so t lou s pe da t l a e s olai e à des étudiants uniquement. Sur la période estivale, généralement de mai à août, les résidences ouvrent alors leurs portes aux jeunes stagiaires, saisonniers, intérimaires etc. da s la esu e où ils peuve t justifie d u e a tivit p ofessio elle ouv a t la p iode d h e ge e t de a d e. Le Centre I te atio al d A ti es, ui loge ses a i ateu s saisonniers pour des échanges li guisti ues, a ep se t ue % des sida ts su la p iode de ois de d ut av il à fi août, faute de pla es dispo i les. Les loge e ts lou s pou l t l o t t pou u e durée de 5 mois maximum. Sur SKEMA, la résidence a accueilli en 2013, en plus des 349 tudia ts de SKEMA pe da t l a e s olai e, saiso ie s pe da t la saiso tou isti ue. Leu s e plo eu s so t p i ipale e t la te h opole de Sophia et eu de l agglo atio. Durées de séjour : 5% 1% 2% 1% 3% 2% 2% 1 à 3 mois 3 à 6 mois 6 à 9 mois 9 à 12 mois 12 à 18 mois 18 à 24 mois 2 ans et plus Les taux de rotation sont importants, de 126% sur Nador, mais surtout à SKEMA, où il est de 167%. En effet, sur cette résidence, les mouvements sont nombreux, liés au système de l ole ui i pose de alise des p iodes de stage à l t a ge, p iodes pendant lesquelles les étudiants quittent leurs logements. Ces side es po de t à la p o l ati ue du loge e t de jeu es, au statut d tudia t, parfois étrangers, qui ne correspondent donc pas aux critères exigés par le parc privé. Ces jeunes des deux sexes (les femmes étant un peu plus nombreuses que les hommes, même si ette te da e est à la aisse ave les oles d i g ieu s de Nado et ave la p se e de stagiai es l t ui so t ajo itai e e t des ho es) sont accueillis sous condition de ressources, basées sur les plafonds PLUS. API P ove e appo t d a tivit s 30

32 Les pa s d o igi e des ésida ts Ages des résidants 1% 11% Français 43% Européens 41% Asiatiques Américains 5% Africains 23% 13% 65% ans ans 27 ans et plus La forte proportion d tudia ts ve us d Asie, et notamment de Chine, s e pli ue ota e t sur SKEMA par l e iste e d u e section en master «vente de luxe» dont les jeunes filles Chinoises sont très en demande, mais aussi sur Nador par des conventions signées avec les oles d i g ieu s, ui d ai e t eau oup d tudia t asiati ues. Malgré le fait que la population logée est majoritairement française, la langue «commune», ota e t à SKEMA, est l a glais, puis ue les ou s so t alis s da s ette la gue. Pour mémoire, en parallèle au logement étudiant sur SKEMA, 13 logements pour actifs situés aux 4ème et 5ème étages ont pu accueillir 22 personnes en Ces actifs fi ie t d u o t at de lo atio d u a, e ouvela le fois au a i u, à o ditio de remplir tout au long de ces trois ans les it es d att i utio, à savoi des essou es inférieures au plafond, un contrat de travail (de préférence sur le territoire de la CASA), une mission courte et avoir cotisé au 1% logement. 12 hommes et 10 femmes ont résidé dans ces logements en 2013, ayant des contrats de différents types, et des niveaux de formation différents : d e t e eu o t u iveau scolaire i f ieu ou gal au a, et d e t e eu de a + à a +. 40% 30% 20% 10% 0% CDI temps plein CDI Temps partiel CDD <6 mois CDD>6 mois intérimaires apprentis API P ove e appo t d a tivit s 31

33 LES LOGEMENTS EN SOUS-LOCATION Les pe so es h e g es e PLATS ou au glissa ts so t o ie t es pa l e se le des partenaires sociaux du département. Il s agit de la dernière étape, dans le parcours side tiel de e tai es fa illes, ve s l a s à u loge e t auto o e. En 2013, 120 ménages, représentant 327 personnes ont été accueillis dans ces logements, orientés principalement par les MSD. Le motif principal de ces orientations reste majoritairement le fait que ces ménages étaient hébergés par des tiers avant leur entrée en PLATS : su les sites o fo dus, est le as de % des sida ts. Ce hiff e est e évolution, puisque il ne concernait «que» 28% des résidants en Les compositions familiales sont variables, mais la typologie des logements permet souvent de recevoir des familles. En 2013, seuls 26% des ages avaie t pas d e fa t vivant avec eux, et 50% des personnes avec enfants constituent des familles monoparentales, dont les chefs de famille sont principalement des femmes (48% des ménages) ce qui rend difficile l a s e loge e t auto o e, d auta t plus ue leu s petites essou es e leu pe ette t pas d appo te les ga a ties suffisa tes requises par les bailleurs. 1% 5% 10% 20% COMPOSITION FAMILIALE A L'ENTREE 9% 5% 2% 7% couple sans enfant 9% couple avec 1 enfant 6% couple avec 2 enfants couple avec 3 enfants couple avec 4 enfants 4% femme avec 1 enfant femme avec 2 enfants femme avec 3 enfants 22% femme avec 4 enfants A l e t e da s le dispositif, 57% des ménages avaient une activité professionnelle sur Cannes, 46% sur Grasse et 55% sur Nice. Toutefois, le nombre de personnes employées en CDI reste nettement plus faible : 39 % sur Cannes (19% de contrats CDI à temps plein), 39% sur Grasse (29% de CDI à temps plein) et 38% sur Nice (17% de CDI à temps plein). Ce faible tau d e ploi à te ps plei s e pli ue ota e t pa les f ei s ue e o t e t es fa illes souve t o opa e tales da s leu etou à l e ploi : mode de garde des enfants, horaires non- o pati les ave les ho ai es s olai es L a o pag e e t so ial de es ménages priorise donc la ep ise d u e a tivit adapt e. API P ove e appo t d a tivit s 32

34 Situatio p ofessio elle du de a deu à l e t ée : 2% 3% 6% 5% 5% 3% 13% 1% 18% 4% 2% 19% 20% Autres CDD< 6 mois CDD> 6 mois CDI temps partiel CDI temps plein Demandeur d'emploi Emploi aidé Formation Inaptitude à l'emploi Pension d'invalidité Intérim Retraite Sans emploi En effet, même pour les ménages bénéficiant de eve us d a tivit s, les faibles ressources dont ils disposent, ajoutées à diverses problématiques permettent difficilement le relogement, malgré le travail de fond réalisé par nos équipes sur le terrain. Le secteur du logement est extrêmement tendu dans les Alpes-Maritimes et pour les ménages avec enfants, les grands logements pouvant accueillir des familles nombreuses sont rares, notamment dans le parc public. Ressou es p i ipales du de a deu à l e t ée : 3% 2% 6% 1% 13% 3% 3% 50% 22% AAH Allocation formation ASSEDIC IJ (maladie - AT) Prestations familiales RSA Salaires Retraite Pension d'invalidité E plus de es diffi ult s fi a i es et de etou à l e ploi, les t availleu s so iau et les ménages se trouvent confrontés à de nouvelles difficultés : le contingent préfectoral est désormais destiné aux besoins en relogement des publics «DALO». Or la majorité des API P ove e appo t d a tivit s 33

35 attributions émanaient de ce contingent. De plus, le relogement des sortants de PLATS e t e pas da s les issio s de l uipe utualis e, ce qui multiplie les difficultés pour obtenir un logement dans le parc public. Concernant le parc privé, la cherté des loyers et les ga a ties de a d es pa les p op i tai es so t d auta t plus u f ei pou es ages ue le Loca-Pass est plus a essible pour les locataires du parc privé, et la GRL ne fonctionne pas. Le FSL est la seule aide possible, mais les plafonds des montants des loyers et des ressources pour y prétendre sont inadaptés à la situation de ces personnes. Ainsi, les ménages ayant une durée de séjour supérieure à trois ans sont toujours en surreprésentation, avec 58 % des ménages sur Cannes, 64% sur Grasse et 70 % sur Nice. Durées de séjour 64% 8% 13% 8% 3% 4% moins de 6 mois 6 à 12 mois 12 à 18 mois 18 mois à 2 ans de 2 à 3 ans plus de 3 ans Malgré la mobilisation de nos équipes de travailleurs sociaux pour inscrire les sous locataires dans une dynamique de relogement et de réduire leur durée de séjour, le contexte ne fa ilite pas le eloge e t da s le pa pu li, d auta t ue les ages so ta t de PLATS e font pas pa tie des ages p io itai es au eloge e t, s ils o t pas t e o us e amont par la Commission de Médiation du DALO. Ces diffi ult s o e e t la totalit des sida ts des PLATS, ais so t d auta t plus criantes que les compositions familiales sont importantes : les logements destinés à recevoir des familles nombreuses sont très rares tant dans le parc public que dans le parc privé. Pourtant, les taux de rotation évoluent de façon favorable, la moyenne étant de 3.5% de ieu u e, tous sites o fo dus. Il a eu so ties d fi itives du dispositif PLATS de Cannes, 5 pour Nice et 7 pour Cannes. API P ove e appo t d a tivit s 34

36 LE LOGEMENT D URGENCE EN ALT : LA VILLA ROSA Le public logé dans cette structure est composé de personnes seules ou de couples, avec ou sans enfant, relevant du secteur géographique de la CASA (16 communes) et orienté par l i te diai e de la Platefo e Loge e t de la CASA. Depuis le d ut de l a e, ave la mise en place du Service Intégré d A ueil et d O ie tatio, ous e evo s des orientations également via le regroupement SIAO du secteur de la CASA. L a o pag e e t so ial li au loge e t au sei de la Villa Rose est basé sur 2 axes : la gestio lo ative et so iale et l a o pag e e t da s la recherche de logement autonome. La f ue e d i te ve tio de l a o pag ateu so ial est proportionnelle aux besoins des personnes logées. En 2013, 63 ménages ont été orientés vers la résidence, contre 26 en % des orientations concernent des femmes seules avec enfant(s). Nous constatons donc une forte aug e tatio du o e d o ie tatio s. Cette année 17 ménages représentant 56 personnes ont été accueillis : 59 % des résidants sont mineurs, puisque la Villa Rosa, de par la typologie de ses logements, permet l h e ge e t de fa illes : seuls % des ages o t pas d e fa t à ha ge, et les adultes titulaires du contrat d h e ge e t t a sitoi e sont à 54% des femmes. NOMBRE ENFANT PAR MENAGE SANS ENFANT A CHARGE 1 ENFANT A CHARGE 2 ENFANTS A CHARGE 3 ENFANTS A CHARGE 4 ENFANTS A CHARGE La o e e d âge des titulai es de o t ats d h e ge e t t a sitoi e est de 45 ans : 47% des personnes ont entre 36 et 45 ans. Pou ta t, le otif p i ipal d o ie tatio est l h e ge e t, et % des pe so es o ie t es o t dû uitte leu logement dans le parc p iv pou e pulsio lo ative, fi de ail, i salu it le o ta t des lo e s da s le pa privé reste trop élevé et inadapté aux ressources de ces ménages. Souvent en situation précaire. En effet, 59% des chefs de familles sont inactifs, et pou % d e t e eu da s u état de santé freinant leur insertion professionnelle. Les personnes salariées ne représentent que 35% des ménages accueillis (42% en 2012). Cette aisse s e pli ue pa la o jo tu e a tuelle, et la o ple it de t ouve u e ploi stable. Par ailleurs ces personnes sont dans la moitié des cas en situation de précarité face à l e ploi i t i, CDD, te ps pa tiel. Enfin, 41% des ménages sont inscrits dans le dispositif RSA. API P ove e appo t d a tivit s 35

37 MONTANT DES RESSOURCES De 501 à 799 De 800 à 999 Plus de1000 De fait, les ressources des ménages este t fai les et e pe ette t pas d app he de et de construire sereinement un projet de relogement. L e se le de es pa a t es est à p e d e e o pte da s la o st u tio du p ojet de relogement des ménages, ce qui passera par un accompagnement adapté favorisant l i se tio p ofessio elles et la gula it des essou es. 9 familles sont sorties de la Villa Rosa en 2013 et l a tio d API P ove e se pou suit jus u à l i t g atio du age da s so ouveau lieu de vie, ota e t e l a o pag a t dans les diff e tes d a hes ad i ist atives afi d opti ise so e t e da s le loge e t et de passer le relais au nouveau référent social de secteur. Fo t d u pa te a iat tiss au fil des a es ave les a teu s so iau lo au : M.S.D, C.C.A.S, milieu associatif, la prise en charge des usagers a été facilitée et optimis e, da s l o je tif d u e pa t d t e a tif aup s d u pu li e situatio d u ge e et d aut e pa t pou fa ilite la so tie de os st u tu es d h e ge e t. Le travail réalisé de concert avec la plateforme logement communautaire a donné cohérence et fo e au a tio s p opos es et ises e œuv e. E fi, les i te ve tio s du S.I.A.O o t permis de fluidifier et de faciliter le parcours résidentiel des personnes orientées. API P ove e appo t d a tivit s 36

38 C. LE VAUCLUSE Le premier décembre 2013, API Provence a pris en gestion une Résidence Etudiants de 83 logements, le Van Dyck. A la e date, la ep ise des a tivit s de l Asso iatio DECLIC, spécialisée dans le logement des jeunes, a porté à 205 le parc de logements géré par API Provence en Vaucluse. Ces a tivités a a t po té ue su u ois, elles so t peu ep ése tatives, API Provence a a t pu ue gé e l e ista t pe da t ette pé iode de t a sitio. LA RESIDENCE POUR ETUDIANTS ET JEUNES ACTIFS VAN DYCK pe so es sidaie t au d e e, ave u e ette ajo it d ho es, puisque les femmes ne représentent que 30% des résidants. Tous sont célibataires et la t a he d âge la plus ep se t e est elle du œu de i le de ette side e, les jeunes de 20 à 25 ans (48% des résidants). Conformément au projet social, les résidants ont tous de faibles ressources, et sont étudiants ou, dans une plus faible mesure, jeunes actifs. Au regard des délais administratifs (obtention des agréments) et de la rentrée universitaire, la SA Erilia, propriétaire de la résidence, a confié à un prestataire interne (agent immobilier) l att i utio des loge e ts. API P ove e a do up u e sidence occupée. Cela a fa ilit l e ploitatio, ais les pu li s a ueillis p se te t des diffi ult s so iales et, pou certains, relèvent davantage de la RS que de la RS Etudiants. LES FOYERS DE JEUNES TRAVAILLEURS Les autres logements vauclusiens sont labellisés «FJT», comprenant un Foyer de Jeunes travailleurs de 73 logements, à l Espa e Eu ope, situé en face de la it histo i ue d Avig o et d u fo e de t pe «éclaté» dans différentes villes et quartiers sur le secteur de Sorgues et Grand Avignon. En décembre 2013, 63 personnes résidaient au FJT Espace Europe (17 femmes et 46 hommes), avec un profil classique de public FJT, soit des jeunes actifs de 16 à 30 ans, ayant un projet professionnel. En plus de ces jeunes, 6 personnes, des hommes unique e t, o t sid à l espa e Eu ope au titre du SIAO, réservataire de ces logements. Le FJT éclaté a accueilli 47 personnes en décembre 2013, 29 femmes et 18 hommes. L ALT En 2013, 37 logements so t d di s à l u ge e, 1 sur Sorgues et 36 sur le Grand Avignon. On note une population fortement précarisé, avec des niveaux de qualification bas et de o eu f ei s pou l a s à l e ploi et à la sa t. API P ove e appo t d a tivit s 37

39 LE PARC DE LOGEMENTS ET SON OCCUPATION Au 31 décembre 2013, le parc de logements d API P ove e s l ve à 2 081, répartis comme suit : 6 FOYERS DE TRAVAILLEURS MIGRANTS (FTM) : 429 LITS Foyer «Le Carami», Hyères-les-Palmiers Tous sont situés dans le Département du Var, à Brignoles, Cogolin, Hyères, La Seyne-sur- Mer, Le Luc-en-Provence et Ollioules. Il s agit de loge e ts s appu a t su le p i ipe de lieux de vie collectifs avec des chambres indépendantes. Un travail important de desse e e t soute u su essive e t pa le FASILD, l A s puis la DAIC a pe is la généralisation des chambres individuelles. 3 logements du Foyer du Luc-en-Provence sont affectés à du logement en ALT. 9 RESIDENCES SOCIALES MIGRANTS : 628 LITS RS «Mosaïca», La Seyne sur Mer Situées dans 7 communes du Var et à Antibes dans les Alpes-Maritimes, ces RS dites «migrants» sont à terme destinées à devenir des Résidences Sociales «Tout Public», ce u elles so t e alit. Toutefois, ta t toutes issues de so ptio s d ha itats i salu es ou de bidonvilles dont la population était composée de travailleurs immigrés, leur public est autorisé à viv e aussi lo gte ps u il le veut ou le peut, tout comme les publics issus de la transformation des FTM en RS, comme prévu dans la circulaire n du 4 juillet 2006, en son annexe 3. Les résidants vivant dans ce type de RS sont essentiellement des hommes, immigrés à faibles ressources et vieillissants. Dans ces conditions et au vu de la tension du parc locatif dans notre région et des garanties demandées par les bailleu s, l a s au API P ove e appo t d a tivit s 38

40 loge e t o di ai e, e plus d t e a e e t souhait, est diffi ile e t e visagea le. De ce fait, les taux de rotation sont extrêmement faibles et les personnes remplissant les conditions légales pour les intégrer refusent souvent ce type de logements «semicollectifs», puis u à l e eptio de la R side e Les Mag olias de Sai t-raphaël T, de la RS «La Calade» à Draguignan et de la RS Soleïado à Antibes (42 logements «migrants») toutes sont structurées en unité de vie. Soleïado a pour particularité de proposer également 8 logements en RS Tout Public. Depuis fin 2013, la Résidence Sociale «Mosaïca» a ouvert à La Seyne-sur-Mer, première tranche de la démolition/ Reconstruction du Foyer «Les Pins». LES RESIDENCES SOCIALES TOUT PUBLIC : 169 LOGEMENTS Rouge-Gorge (Grasse) La Scala (Grasse) Elles sont situées sur les communes d A ti es, de Cannes, de Grasse, de Nice, de Saint- Dalmas de Tende et de Vallauris, et peuvent se trouver soit sur un site unique, comme Les Romarins à Vallauris, soit éclatées dans le diffus, o e l Es ale à G asse, ou L pia à Ni e. Les logements proposés dans ces RS vont du T1 au T2 et peuvent recevoir des personnes seules, des couples ou de petites compositions familiales (1 à 2 enfants). La durée d h e ge ent est limitée, elles sont donc une étape dans le parcours résidentiel des pu li s a ueillis, ui el ve t tous du Pla D pa te e tal d A tio pou le Loge e t des Personnes Défavorisées (PDALPD). LES FOYERS DE JEUNES TRAVAILLEURS : 203 LOGEMENTS Les Nations (Nice) Ils se situent à Antibes, Grasse, Nice et Avignon, et accueillent des jeunes de 16 à 30 ans, inscrits dans un parcours professionnel ou de formation. Les logements sont autonomes, uip s d u e kit he ette et d u e salle d eau. Cha ue ta lisse e t est dot de lieu olle tifs pe etta t la ise e œuv e du projet socio-éducatif et le développement d a tio s d a i atio et de suivi. API P ove e appo t d a tivit s 39

41 3 MAISONS RELAIS OU PENSIONS DE FAMILLE : 62 LOGEMENTS Créées pour répondre à des besoins spécifiques de logement de personnes isolées et marginalisées, pour lesquelles les CHRS ne constituent pas, ou plus, une réponse, elles se trouvent à Brignoles, à Grasse et à Vence, et leur création a été largement soutenue par la Fondation Abbé Pierre. Elles associent logements privatifs et espaces collectifs qui permettent de travailler sur les projets de resocialisation des résidants. Depuis mai 2012, un ancien Foyer de Travailleurs Migrants réhabilité a été rattaché à la pension de famille «maison Garnier» qui peut désormais accueillir 24 résidants. En septembre 2012, la deuxième tranche de la Pension de Famille de Vence nous a été livrée, portant la capacité totale de «La Cabraire» à 18 logements. Maison Garnier (Brignoles) 3 RESIDENCES SOCIALES SAISONNIERS ET ETUDIANTS : 108 LOGEMENTS Créées pour répondre à la problématique spécifique du logement des travailleurs saisonniers et des étudiants, ces résidences sont récentes puisque la plus ancienne date de Elles accueillent notamment des saisonniers du tourisme, et ces RS sont logiquement situées à Cannes et Nice, villes très touristiques. Le Figuier (Cannes) 3 RESIDENCES ETUDIANTS : 390 LOGEMENTS Elles se situent à Antibes, Avignon, Sophia-Antipolis et Toulon et les deux premières ont été créées pour loger une population spécifique : des étudiants à une école supérieure pour Nador (principalement ceux étudiant au Lycée Audiberti) et les étudiants de SKEMA. Les loge e ts li s l t so t lou s à des stagiai es ou à des saisonniers titulaires de contrats. 8 logements de la Résidence SKEMA sont affectés à du logement pour actifs. La Résidence Van Dyck en Avignon est pour moitié FJT, pour moitié affectée à du logement pour étudiant et, dans une moindre mesure, jeunes actifs. Il est à noter que ces résidences ne rentrent pas dans le champ de la RS et ne sont donc pas fi a es pa l AGLS. Elles e fi ie t pas d a o pag e e t so ial, à la diff e e de toutes les aut es st u tu es g es pa API P ove e. Toutefois, l e t e da s es loge e ts est soumise à condition de ressource (plafonds PLUS). Les besoins en gestion sont importants, avec des niveaux de rotation élevés. Le Van Dyck (Avignon) API P ove e appo t d a tivit s 40

42 LES LOGEMENTS EN SOUS-LOCATION : 151 LOGEMENTS Le Rému (Mandelieu) Les 147 PLATS sont situés sur Cagnes-sur-Mer, Cannes, Cannes-La-Bocca, le Cannet, Grasse, Mandelieu, Mougins, Nice, Saint-Laurent-du-Var et Vallauris pour les Alpes-Maritimes, et sur Avignon et Sorgues pour le Vaucluse. Il s agit de loge e ts vides e sous-location, dont la du e d o upatio est d u e a e, e ouvela le u e fois. Les o upa ts fi ie t d u accompagnement social afin de préparer leur accès à un logement autonome de droit commun. En 2013, l asso iatio a g 4 baux glissants, situés sur les communes de Cagnes-sur-Mer, Grasse et Nice. Ces logements vides en sous-lo atio do t les o upa ts fi ie t d u accompagnement social ont pour objectif de parvenir à un «glissement de bail» à leur nom en un temps déterminé (6 mois renouvelables deux fois), après décision conjointe du Bailleu et d API P ove e. LE LOGEMENT D URGENCE EN ALT : 49 LOGEMENTS Villa Rosa (Antibes) Ces structures sont situées au Luc-en-Provence, à Antibes et sur le territoire du Grand Avignon. Elles pe ette t d a ueilli des pe so es e situatio d u ge e et favorisent l la o atio d u p ojet d i se tio pou des pe so es ou des ages s i s iva t da s u p og a e d a o pag e e t so ial. L a ueil est te po ai e da s l atte te d u e stabilisation de la situation des sida ts pou leu pe ett e d a de à du loge e t autonome. API P ove e appo t d a tivit s 41

43 LA GESTION LOCATIVE ET SOCIALE L ACCOMPAGNEMENT ET LE SUIVI SOCIAL API Provence a toujours positionné le résidant au œu de sa p o l ati ue, e p ivil gia t u suivi individuel intense, en lien avec le droit commun. Les poi ts fo ts d API P ove e : La connaissance des publics les plus fragilisés, Les diff e ts tie s d API P ove e pou u e p ise e o pte glo ale des pa ou s, e o fo it ave le G e elle de l i se tio, Des équipes ressources aux compétences pluridisciplinaires, Un ancrage territorial fort, Une implantation de proximité, La i hesse d u pa te a iat o st uit ta t au iveau i stitutio el u op atio el pou u travail en réseau quotidien. 1. DES PROJETS D ETABLISSEMENT ADAPTES AUX PUBLICS L a o pag e e t à la gestio lo ative et so iale et le suivi des résidants est le œu de tie des gestionnaires de résidences sociales. Le logement est un outil de travail servant de base à un a o pag e e t ve s l auto o ie et la ito e et. Certes la réponse immédiate en termes de logement est une réalité, a fortiori sur des territoires à très forte tension que sont les Alpes Ma iti es et le Va. Il e s agit a oi s pas d u o je tif fi al puis ue le loge e t est o t o pour une période t a sitoi e, ise à p ofit pou t availle l a s au loge e t auto o e. La diversité des publics accueillis et la particularité des réponses apportées en fonction du statut de la résidence sociale impliquent des approches différentes. API P ove e appo t d a tivit s 42

44 L HEBERGEMENT D URGENCE L a o pag e e t se fait pa u t avail so ial e lie t oit ave les dispositifs e ista ts su le te itoi e d i pla tatio. E l o u e e, pou la Co u aut d Agglo atio Sophia A tipolis, le travail se fait en lien étroit avec la plate forme loge e t, l uipe utualis e et la o issio d att i utio o u autai e. Ap s la ise à l a i, ota e t suite à des esu es d e pulsio s, u accompagnement individuel renforcé est offert pour solutionner de façon globale les problématiques identifiées. LES PENSIONS DE FAMILLE L a o pag e e t epose su u ouple d hôtes qui prodigue un suivi individuel à chaque résidant tout e d veloppa t u p ojet d a i atio olle tif. La eso ialisatio et la evalo isatio de la pe so e a ueillie s i s it da s le te ps, ave le suivi du p ojet i dividuel et l i pli atio au sei de la vie collective. Cette double approche nécessite une complémentarité des deux hôtes et des relations régulières avec les acteurs du droit commun au regard des problématiques complexes des résidants. LES FOYERS DE JEUNES TRAVAILLEURS L a o pag e e t epose su le p ojet p ofessio el de ha ue jeu e et le d veloppe e t d u projet socio- du atif à l helle de l ta lisse e t. L uipe est o pos e de pe so els diplômés d Etat da s le do ai e de l a tio so iale et d a i ateu s. L a o pag e e t se fait e lie ave les équipes de gestion locative et de maintenance, notamment pour proposer une approche éducative et p dagogi ue da s la gestio et l usage du logement. LES MIGRANTS L a o pag e e t se fait e lie t oit ave la gestio lo ative souve t p se te su site. Des uipes d a i atio et de médiation sociale sont à renforcer pour aller au-delà de l a s au d oit traditionnellement proposé. Le vieillissement des publics et les problématiques de santé nécessitent la définition de projets d ta lisse e t spécifiques avec le renforcement de partenariat (suivi APA, o ilisatio des CLIC.. LES RS TOUT PUBLIC L a o pag e e t epose su un suivi individuel articulé atour de binômes de travailleurs sociaux diplô s d Etat ui suive t e vi o ages. L o je tif est de ga a ti u suivi gulier pour pe ett e la o st u tio de dossie s solides pou l a s au loge e t auto o e. Les a didatu es e so t d pos es u ap s valuatio pa le t availleu so ial de la apa it du age à g e u logement autonome. Le lien avec la gestion locative est essentiel pour suivre le paiement des redevances, élément indispensable à la réussite du parcours logement. En réalité derrière chaque personne, il y a une réponse adaptée plus ou moins renforcée en fonction des diag osti s pos s à l e t e da s les lieux. Les équipes en cha ge de l a o pag e e t so ial et de la médiation locative étudient toujours en amont les candidatures avant admission ce qui permet de esu e les esoi s et l volutio des résidants accueillis. Le projet individuel est toujours un élément central en parallèle avec la situation sociale et économique. D aut es se vi es p opose t u a o pag e e t so ial e lie ave le loge e t. API P ove e appo t d a tivit s 43

45 2. DES SERVICES D ACCOMPAGNEMENT AU LOGEMENT LE SERVICE RSA PERSONNES ISOLEES DU VAR Ce service intervient auprès de résidants isolés vivant dans les FTM et RS du Var. La capacité d a ueil p ise e o pte pa la o ve tio sig e ave le Co seil G al du Va est fi e à 240 allocataires du Revenu de Solidarité active ou ayants-droits titulai es d u o t at d i se tio e effe tif pe a e t e suel. Du 1er janvier au 31 décembre 2013, l uipe RSA API P ove e a t ait 40 dossiers et accompagné 332 allocataires (91 allocataires sont entrés dans notre service et 84 allocataires sont sortis de notre service et 8 dossiers sont restés sans suite). 51% allocataires étrangers 49% allocataires nationaux Le public accompagné par le service RSA est majoritairement étranger (51%). Nous o stato s depuis uel ues a es l a iv e da s les fo e s d allo atai es de atio alit s de plus en plus diverses, même si la majorité du public reste essentiellement issue du Maghreb. Toutefois, le nombre de personnes accueillies de nationalité française est en progression constante (42% en 2011, 46% en 2012 et 49% en 2013). Si le public accueilli demeure majoritairement masculin, une nette progression du public féminin depuis plusieurs années est constatée : 9% de femmes en 2011, 12% en 2012 et 13% en Parmi ce public féminin, le nombre de femmes hébergées avec leurs enfants est en aug e tatio d a e e a e : 29 femmes dont 17 avec enfants au 31 décembre 2011, 37 femmes dont 21 avec enfants au 31 décembre 2012 et 44 femmes dont 22 avec un ou plusieurs enfants au 31 décembre 2013 (29 enfants au total). Le public accueilli par le service RSA rajeunit : la tranche des 25/45 ans est passée de 31% en 2011 à 36% en 2013 (14% en 2012). Toutefois, 64 % des allocataires ont plus de 45 ans, le vieillissement étant une caractéristique des publics des Foyers Travailleurs Migrants. Le public accueilli demeure faiblement diplômé mais la proportion du public analphabète tend néanmoins à faiblir passant de 45 % en 2010, à 16 % en 2011 pour atteindre 15 % en 2012 et 14% en Cette volutio s e pli ue en partie par la diversification des publics accueillis en résidences sociales. La proportion des étrangers diminue, tandis que la p opo tio des atio au aug e te, a a t ai si u e i ide e su le tau d a alpha tis e. Cette typologie des bénéficiaires du RSA accueillis au sein du service nous permet de faire apparaître : Une augmentation du nombre de nationaux accueillis, U e aisse du o e d t a ge s, e s ils este t ajo itai es Une augmentation du nombre de femmes et de jeunes Une aug e tatio elative du iveau d tudes ais su tout u e aisse du tau d a alpha tis e. API P ove e appo t d a tivit s 44

46 Le public accompagné par le service RSA est maintenu dans une dynamique grâce à une prise en charge globale (insertion socioprofessionnelle et insertion sociale). Les o t ats d i se tio i st uits pa ot e se vi e se d li e t o e suit : Médicosocial (pour les personnes avec problématique santé justifiée) : 12% Social pou les pe so es u ula t des f ei s à l i se tio p ofessio elle : 24% Socioprofessionnel pou les pe so es e d a hes de e he he d e ploi : 64 % L a o pag e e t so iop ofessio el : Dans un contexte socio- o o i ue diffi ile et alg de o eu f ei s à l e ploi, (manque de moyens de locomotion, problèmes de santé et d addi tio, a se e de qualification, non-maîtrise de la langue française, situations de rupture sociale, problèmes de ode de ga de d e fa ts, âge l uipe RSA s effo e de ai te i u e d a i ue emploi, notamment en travaillant en coordination avec les partenaires emploi du département du Var : ainsi, 143 prestations emploi ont été suivies par les allocataires dont 30 prestations par le PLIE TPM et ha tie s d i se tio. De plus, en 2013, 108 contrats de travail dans le secteur agricole, bâtiment, restauration, transport ont été conclus : 8 CDI, 49 CDD, 18 missions intérim, 5 emplois saisonniers, 4 a ha ds a ula ts fi ia t d u RSA Activité, et 24 contrats ont été établis (chantiers d i se tio. Le travail du service RSA a porté ses f uits, puis u e allocataires sont sortis du dispositif RSA pour emploi ou suite à emploi, dont 5 allocataires pour emploi (1 CDI, 2 CDD, 2 intérim) et 8 allocataires pour indemnités chômage suite à l e ploi. Le Social : L accompagnement social : L équipe RSA fait un travail d accès et de maintien des droits, base essentielle pour permettre aux allocataires de s impliquer dans une insertion, mais aussi soutient, mobilise et oriente vers des activités sociales. Par un accompagnement social individualisé, l équipe RSA élabore conjointement avec la personne son projet de vie pour déterminer les axes d insertion à privilégier pour la faire évoluer dans son environnement. Afin d accompagner au mieux le public accueilli, l équipe RSA veille tout particulièrement à l accès aux droits et au renouvellement de la CMU et CMU complémentaire. L équipe RSA intervient également dans diverses démarches administratives pour lesquelles le public est très demandeur. API P ove e appo t d a tivit s 45

47 L uipe pou suit gale e t son soutien aux personnes en difficulté par des demandes d aides fi a i es se ou s et des aides à la o ilit pou e ou ager la mobilisation vers l e ploi : 488 secours financiers : aides alimentaires (Conseil Général du Var, CCAS, associations caritatives). 23 APRE 49 aides au transport en commun, 4 aides individuelles de formation. L aug e tatio sig ifi ative et du a le depuis plusieu s a es t oig e d u e elle paupérisation du public bénéficiaire du RSA résidant en foyers. Le logement : Malg u o te te so io o o i ue ui se du it, l uipe RSA te te d aide les pe so es accompagnées à accéder à un logement autonome en apportant une aide individualisée et personnalisée. Pou e fai e, e l uipe a i st uit dossie s FSL A s et 4 dossiers FSL Maintien et a poursuivi son accompagnement social d i se tio pa le loge e t. Ai si, elle travaille en partenariat avec les responsables des résidences pour faire le point sur le parcours résidentiel des personnes, elle participe aux co issio s d att i utio des side es so iales, p o de au o tage de dossie s HLM, à l i st u tio de dossie s DALO et de recours auprès du tribunal administratif mais aussi de dossie s d aide ju idi tio elle. Elle instruit et renouvelle des demandes de logement social auprès des différents bailleurs so iau de l AIVS le Toit. Enfin, elle assure un travail pédagogique (travail social par objectif) pour prévenir les impayés de loyer et jouer le rôle de médiateur entre la personne allocataire du RSA résidant et le bailleur. Le contexte socio économique se durcit pour trouver un logement, toutefois le nombre des allocataires sortant des résidences sociales pour accéder à un logement autonome est en augmentation par rapport aux deux années précédentes : 5.10 % en 2011, 7% en 2012 et 10% en La Santé : 31 allocataires ont été orientés vers des prestataires santé sur le département du Var et un atelier alimentaire a été mis en place sur le foyer API Provence de Fréjus par le service insertion du Conseil Général. Da s le ad e de l la o atio de «contrats santé», 10 allocataires ont été orientés vers le de i o seil RSA su l aide d a oise, et ve s les de i s t aita ts de l ai e toulonnaise. En conclusion, 84 allocataires sont sortis du dispositif (25 %) : 13 allo atai es so t so tis du dispositif suite à l e ploi, 32 allocataires pour accès au logement, 21 allocataires pour accès aux droits, 3 allocataires pour décisions administratives (non respect du contrat, NRPC), API P ove e appo t d a tivit s 46

48 5 changements de référent, 4 plus de droits au RSA, 3 RSA Activité, 2 décès, 1 autre. Malgré un contexte socio économique particulièrement tendu depuis plusieurs années, le se vi e RSA d API P ove e, pa la ualit de so t avail de p o i it aup s d u pu li t s p a is pou suit so t avail d a o pag e e t. Le public suivi est maintenu dans une dynamique grâce à une prise en charge globale (insertion sociale et insertion socio professionnelle) permettant une sortie plus rapide du dispositif RSA. LE SERVICE RSA DE VAUCLUSE Ce service fait partie des activit s u API P ove e a ep ises post ieu e e t à la li uidatio de DECLIC. E, ous avo s pou suivi l a tio e t ep ise pa l a ie e association, et notre intervention ne concerne donc que le mois de décembre. Les éléments statistiques que nous pourrions produire ne seraient donc pas suffisamment représentatifs de cette activité. Il s agit d a o pag e, e ualit de f e t, su d sig atio du P side t du Co seil G al, des fi iai es du RSA da s leu pa ou s d i se tio. A e tit e, l association la o e ave ha ue fi iai e, u o t at d i se tio. Le fi iai e dev a t e accompagné vers une sortie durable du dispositif RSA. Le public concerné est constitué de bénéficiaires du RSA : hébergés par API Provence et non-bénéficiaires d u e esu e ASLL, o h e g s pa l Asso iatio ais do t les p o l ati ues de loge e t so t av es et o stat es pa le Se vi e Te ito ial I se tio de l UT G a d Avig o. Le référencement consiste en un accompagnement renforcé, de dimension individuelle et olle tive, ui doit pe ett e d app he de et de t aite l e se le de la situatio e vue d u e i se tio so iop ofessio elle du bénéficiaire, ce qui nécessite une aide aux démarches administratives, une aide à la résolution des problématiques santé, une aide aux démarches et la résolution de problèmes administratifs et de problèmes financiers, ainsi u u e aide à la d fi itio du p ojet so iop ofessio el oh e t au ega d de la situatio de la personne. Ces actions se déroulent en partenariat ave les a teu s lo au de l a tio so iale et de l i se tio, de l h e ge e t, du loge e t, de l e ploi et de la fo atio afi d opti ise l a o pag e e t des fi iai es e vue de leu i se tio. Cet accompagnement concerne 46 personnes en file active : 30 bénéficiaires hébergés par API Provence, et 16 bénéficiaires relevant de problématiques de logement. API P ove e appo t d a tivit s 47

49 LA MESURE D ASLL / LE SERVICE ASI DANS LES ALPES-MARITIMES L Asso iatio est e gag e pa u e o ve tio a uelle ave le Co seil Général. L ASLL a volu depuis le e juillet, e effet API P ove e est a dat pou ett e e œuv e des esu es d A o pag e e t So ial I dividualis, le volet olle tif est assu pa l Asso iatio ADIL. API i te vie t pou ette issio su le se teu g ographique défini par les Maisons des Solidarités Départementales de Grasse Sud, Grasse Nord, Antibes, Vallauris, Cannes Ouest, Cannes Est et Le Cannet. Cette convention est cadrée par un cahier des ha ges e pli ita t les odalit s d a o pag e e t des publics. L A o pag e e t So ial I dividualisé : 177 ménages ont été orientés vers le service ASI en 2013, le o e d o ie tatio s variant selon les mois : L a se t is e des ages o ie t s do t le otif est u i ue e t u e a se e au deu rendez-vous p opos s s est sta ilis pa appo t à l a e p de te : il a été en moyenne de 6% en moyenne au premier trimestre, de 3% au 2ème trimestre, de 4% au 3ème trimestre, et de 5% au dernier trimestre. Nombre de contrats ASI signés (8 entretiens minimum effectués) Trimestre Nbre de ménages % RSA Nombre moyen d'entretiens réalisés* 1 er trimestre : 29 28% 4,6 2 ème trimestre : 46 30% 6,7 3 ème trimestre : 43 14% 7,2 4 ème trimestre : 24 17% 7,4 Ces calculs sont réalisés sur les mesures terminées, incluant les mains levées. La grande majorité des ménages atteint, une fois les mesures terminées, les objectifs fixés en début d a o pag e e t. API P ove e appo t d a tivit s 48

50 Ai si, su l a e, tous t i est es o fo dus, les résultats ont été les suivants : Objectifs fixés: Connaître et approfondir le projet logement Intégrer les dispositifs de logement Etre prêt financièrement à intégrer un logement Etre préparé aux visites avec le futur bailleur Savoir investir son futur logement Début de mesure *ménages ayant obtenu un relogement Résultats* OUI NON EN COURS * 0 1 Mesure à poursuivre Les ménages orientés en 2013 ont majoritairement entre 40 et 49 ans et les femmes seules, avec ou sans enfants, sont majoritaires : 15% 7% 4% 3% 31% 19% 21% 20 à 29 ans 30 à 39 ans 40 à 49 ans 50 à 59 ans 60 à 69 ans 70 à 79 ans 80 et + Composition du ménage sans enfant 1 enf. 2 enf. 3 enf. 4 enf. 5 et + TOTAL % Homme % Femme % Couple % TOTAL % Durant l a e, les otifs de l o ie tatio o t p i ipale e t t la situatio fi a i e des ages i adapt e au loge e t %, l h e ge e t % puis les p o du es d e pulsio %. E fi, da s u e oi d e esu e, la composition familiale inadaptée au logement (10%). Sur le plan financier, les ressources principales des ménages proviennent de prestations sociales pou % d e t e eu, de eve us d a tivit p ofessio elle pour 37% des ménages et enfin de prestations dérivées du travail (indemnités versées par le Pôle Emploi et pensions d i validit s pou % d e t e eu. En conclusion, au cours de l'année 2013, bien que notre secteur d'intervention se soit te du te itoi es d A ti es et Vallau is e sus, nous avons été confrontés à une baisse significative des orientations faites par nos partenaires, et ce malgré une large communication et présentation de la mesure auprès de ceux-ci. Aussi il serait souhaitable de voir une recrudescence de l'utilisation de la mesure ASI par nos partenaires en API P ove e appo t d a tivit s 49

51 LE SERVICE ASLL EN VAUCLUSE Ce service fait pa tie des a tivit s u API P ove e a ep ises post ieu e e t à la li uidatio de DECLIC. E, ous avo s pou suivi l a tio e t ep ise pa l a ie e association, et notre intervention ne concerne donc que le mois de décembre. Les éléments statistiques que nous pourrions produire ne seraient donc pas suffisamment représentatifs de cette activité. Toutefois, ous pouvo s p ise ue su la totalit de l a e, ménages o t t a o pag s da s le ad e de l ASLL, et esu es o t t alis es. Il s est agit d assu e l a o pag e e t so ial li au loge e t d u pu li jeu e su les te itoi es de la CLH de l U it Te ito iale du G a d Avig o, e alisa t, ap s u e phase d tude et d valuatio de la situatio des ages, la ise e œuv e de et accompagnement social, en ce qui concerne : L accès au logement (installation sur le plan financier et matériel, accompagnement et/ou soutien aux démarches administratives, information des droits et devoirs des p op i tai es et des lo atai es, aide à l i t g atio da s le ouvel e vi o ement) ; Le maintien dans le logement (aide éducative budgétaire, accompagnement et/ou soutien aux démarches administratives, information sur les droits et devoirs des locataires et des propriétaires, logement insalubre ou indécent, appropriation du logement, problèmes de voisinage) ; L accompagnement de consolidation (poursuite du travail engagé dans l a o pag e e t so ial a s ou ai tie e as de situatio fi a i e o stabilisée, glissement de bail refusé, endettement chronique, remboursement FSL à suivre, modification des situations familiales et professionnelles, problèmes de comportement). Le public suivi en 2013 a été constitué principalement de jeunes hommes (54%) de 22 à 25 ans (46%), même si la tranche des 18 à 21 ans est fortement représentée (40%). Ils sont très majoritairement célibataires (84%), sans enfants (90%), en emploi (48%) ou demandeur d e ploi % et seuls % d e t e eu fi ie t d u CDI à te ps pa tiel, au u CDI te ps plei a a t t pe to i. Les essou es so t do fai les % seule e t o t plus de e suels). Là encore, le motif principal de la demande reste l h e ge e t. L ATELIER DEMENAGEMENT DE VAUCLUSE Ce service atypique, financé principalement par le Conseil Général dans le cadre du Fonds Départemental Unique Solidarité Logement est chargé de déménager les ménages à faibles revenus orientés par un travailleur social. Ce service a été repris par API Provence en même temps que le reste des activités de DECLIC, ais a que peu fonctio e d e e, e aiso d u p o l e te h i ue : la li uidatio de l asso iatio a e ge d la uptu e de e tai s o t ats, do t elui de l op ateu t l pho i ue et ous avo s pas pu up e les u os de t l pho es anciennement utilisés. Les conséquences ont été lourdes pour ce service, qui a donc fonctionné au ralenti en décembre 2013, faute de pouvoir être contacté. API P ove e appo t d a tivit s 50

52 LE CLLAJ CASA Les CLLAJ se o sa e t à la e he he et à la ise e œuv e de solutio s de loge e ts pou les jeunes de 16 à 30 ans su leu s te itoi es d i te ve tio. Ils cherchent à travailler avec tous les acteurs publics et privés du logement et de la jeunesse, rapprocha t l off e et la demande, suscita t l aug e tatio de l off e, d fe dant les intérêts des jeunes auprès des collectivités et des différents bailleurs, tout en coopérant étroitement avec les acteurs de l i se tio p ofessio elle et les a teu s de l h e ge e t/loge e t de leu te itoi e. En 2013, 605 jeunes ont été suivis par le Service CLLAJ, dont 437 se sont présentés pour la première fois, soit une légère baisse (-8%) par rapport à Concernant les «premiers accueils», la Mission Locale Antipolis a orienté 52% des suivis, et reste le principal prescripteur. Les partenaires logement et sociaux ont orienté 22% des jeunes vers le service. Toutefois, sur la totalité des jeunes suivis par le CLLAJ en 2013, 72% ont été mis en relation avec le CLLAJ par des partenaires extérieurs et le réseau informel, démontrant que ce service est devenu incontournable sur le territoire de la CASA, où les 605 jeunes suivis résident principalement. Les jeunes femmes sont majoritaires (56%), 20% de la totalité des demandes concerne des couples (contre 22% en 2012) et 6% des couples avec enfants. 6% des jeunes suivis sont des familles monoparentales (contre 8% en 2012). Enfin, les demandes de colocation concernent 3% des jeunes. Les situations socioprofessionnelles sont variées : 107 jeunes sont en CDI à temps plein ou à temps partiel, 209 jeu es so t de a deu s d e ploi, indemnisés ou non, et 145 bénéficient d u o t at à du e d te i e. Les autres jeunes sont soit étudiants ou scolarisés (59 d e t e eu ou au RSA jeu es. Ce ila est assez ala a t, puis ue la situatio professionnelle des jeunes suivis a te da e à se d t io e d a e e a e. Les jeunes en e he he d e ploi ep se te t. % des jeu es suivis pa le CLLAJ, et seuls % d e t e eux sont indemnisés. Du fait de la situatio des jeu es e ati e d e ploi, leurs ressources se fragilisent, et le CLLAJ recense environ 53% de jeunes suivis dont les ressources ne d passe t pas les eu os e suels. Seuls % d e t e eu d la e t avoi des essou es supérieures à 1200 euros mensuels. Les jeu es s ad esse t au se vi e ajo itai e e t pou u e de a de d a s au loge e t auto o e, ais aussi, pou e tai s, da s le ut d o te i u loge e t te po ai e. ANALYSE PAR TYPE DE DEMANDES DES JEUNES SUIVIS PAR LE CLLAJ EN % 8% 0% 24% 17% 39% Demande d'accès au logement autonome Demande d'informations sur le logement Demande d'hébergement temporaire Demande de maintien Demande d'assistance admnistrative Demande d'informations sur l'acquisition API P ove e appo t d a tivit s 51

53 L a o pag e e t so ial : Il est fonction de la situation du jeune reçu en entretien et est établi en fonction de sa de a de et du diag osti is pa le se vi e afi d assu e u suivi glo al ave des solutio s adaptées au projet du jeune et à sa situation. Les entretiens individuels : Tout au lo g de l a e 3, le CLLAJ a effectué actions au cours des différents entretiens individuels avec les jeunes, dont 19% d a al ses de situatio s ou diag osti s. Les aides financières déclenchées : Le d le he e t de es aides fait pa tie des issio s du CLLAJ et se fait lo s d e t etie s individuels. Elles sont liées à une entrée dans un logement ou répondent à une difficulté po tuelle d u jeu e d jà i stall da s so loge e t. En dossiers «loca-pass» ont été montés et acceptés par le CIL Méditerranée, soit une baisse de 44% pa appo t à l a de ie. Ces dossie s o t o e de a des d ava e du d pôt de ga a tie, et de a des de ga a tie des lo e s et ha ges lo a-pass. jeu es o t pu fi ie de l aide Mo ili Jeu es, alg les o ditio s o ple es d o t oi de cette su ve tio o e ou sa le pouva t s leve jus u à eu os pa ois. La Garantie des Risques Locatifs GRL- reste très mal connue des propriétaires et très peu p is e pa les age es i o ili es. De plus, elle dev ait t e supp i e d i i a s. Les dossiers concernant le Fond de Solidarité Logement continue de baisser chaque année, mais seuls 18% des jeunes suivis par le CLLAJ pourraient y être éligibles, et le traitement de ces dossiers est extrêmement long. Ainsi, en 2013, seuls 10 dossiers ont été montés par le service, toutes demandes confondues, dont 4 étaient encore en cours de traitement en fin d a e. Dossiers acceptés Dossiers refusés Total demandé Total accordé Sous forme de Dons FSL accès FSL maintien Total Prêts Il est pa fois p f a le, selo les situatio s et leu iveau d u ge e de fai e appel au fo d d aide au jeu es FDAJ et à ses commissions mensuelles. Ainsi, le nombre de dossiers présentés par le service est de 35% supérieur à celui de 2012, avec 35 demandes en 2013 : Alimentaire Logement Total Nombre de demandes accordées Montant total demandé Montant total accordé API P ove e appo t d a tivit s 52

54 Les actions du CLLAJ : Les Atelie s d i fo atio loge e t AIL, a tio s d i fo atio olle tive su la th ati ue du logement se sont tenus sur Antibes, Vallauris et Valbonne ont mobilisé 110 jeunes (contre 92 en 2012) avec 34 ateliers réalisés. Les ateliers impôts ont été organisés en avril 2013 sur 4 lieux différents, et ont réuni en tout 36 participants (29 en 2012). Pour la 4 ème année consécutive de la semaine nationale du logement, le CLLAJ a organisé différentes actions : les ateliers «permis de louer» ont réuni 25 participants. Les partenariats : Ils so t i dispe sa les pou opti ise l i fo atio, e u ad e ad uat au suivi des jeunes et développer les projets. Le CLLAJ maintien et développe ses partenariats afin de s i s i e o e u pa te ai e o t i ua t au d veloppe e t o o i ue et so ial su so territoire. 4 types de partenaires peuvent être distingués : les partenaires de la jeunesse, les pa te ai es i stitutio els, les pa te ai es li s au loge e t et eu li s à l h e ge e t. Ainsi, ont perduré en 2013 les réunions bimensuelles avec le service Logement de la CASA, la participation du CLLAJ aux réunions de suivi plateforme logement, les participations aux u io s d ha o isatio su le se teu d A ti es p opos pa le R seau Sa t P a it, ainsi que les partenariats avec les Foyers de Jeunes travailleurs. Le CLLAJ a également maintenu en 2013 ses réunions de suivi bimensuelles, son partenariat avec les résidences universitaires et les permanences du BIJ Antibes. Les résultats : En 2013, le CCAJ a fa ilit l a s au loge e t de 0 jeunes 48 jeunes relogés dans le parc privé 50 jeunes relogés en structures temporaires 9 relogements dans le parc social 13 jeunes sont retournés vivre dans leur famille, leu s p ojets d a essio au loge e t s ta t av p atu. E, le CLLAJ a o ilis jeu es su l e se le de ses ateliers. API P ove e appo t d a tivit s 53

55 LE CLLAJ AVIGNON Ce se vi e fait pa tie des a tivit s u API P ove e a ep ises post ieu e e t à la liquidation de DECLIC. Il comprend deux actions constituant une activité globale de app o he e t e t e l off e et la de a de e loge e t. Les chiffres présentés sont ceux de l a e do t seul le ois de d e e o e e API P ove e Le Bureau Immobilier Social (BIS) Afi de alise les o je tifs ua titatifs u elle s est fi s jeu es a ueillis, i fo s, conseillés ; 70 propriétaires privés accueillis, informés, conseillés ; 40 logements captés dans le pa p iv ; loge e ts apt s da s le pa pu li, l asso iatio p opose ota e t : De ett e e pla e des pe a e es d a ueil, d i fo atio, d o ie tatio, d a o pag e e t d u e faço i dividuelle et/ou olle tive ta t pou les jeu es ue pour les bailleurs ; De prospecter, capter et mobiliser une offre diversifiée de logements ; D t e le diateu et l i te diai e e t e les jeu es et les ailleu s afi de vise la réalisation des projets et la sécurisation des parcours résidentiels des jeunes. Pou e fai e, des pe a e es d a ueil so t ises e pla e, ota e t pou alise u e valuatio pe so alis e des p ojets, pe etta t la alisatio d u diag osti de la situation des jeunes De plus, ce service propose des informations ponctuelles et collectives et d veloppe u lieu d i fo atio li e et g atuit guli e e t is à jou e dive sifia t les odalit s d a s à l i fo atio. Il favo ise l auto o ie des jeu es dans leur recherche de l i fo atio tout e p e a t e o pte les de a des elatives au loge e t e orientant le jeune vers les services appropriés. Enfin, ce service développe des collaborations ave des ailleu s so iau et p iv s afi de fa ilite l a cès au logement en direct, notamment lors de bourses au logement, via les boutiques habitat, mais aussi en signant des o ve tio s de se vatio ou de diatio lo ative il agit gale e t e o ilisa t les dispositifs de droit commun, mais aussi en assurant une veille sociale du logement des jeunes. L A ueil, O ie tatio, I fo atio AIO Il s agit ota e t d a ueilli, d i fo e et d o ie te des jeu es de oi s de a s au sei des FJT d Avig o et de So gues, au t ave s de pe a e es ave ou sans rendez-vous) da s le ad e d a ueil olle tif ou i dividualis. Ai si, des diag osti s de la situatio so iale des jeunes sont réalisés permettant de trouver des solutions individualisées et adaptées, des a tio s d aide à l a s et au ai tie da s le logement. Afin de couvrir la totalité de la problématique des jeunes, des permanences «atelier emploi» et «diatio à l e ploi» so t alis es, ai si ue des visites d e t ep ises su site, de fo u e ploi et de ise e œuv e de pe a e es «café emploi». Une activité de mise en relation avec des chefs d e t ep ises lo s de u io s th ati ue et de pa ai age de jeu es h e g s est également réalisée. En 2013, toutes actions confondues, 733 jeunes ont bénéficié de ce service. API P ove e appo t d a tivit s 54

56 3. DES MISSIONS SPECIFIQUES Ces issio s so t alis es pa u se vi e d di à e t pe d a tio s. Le se vi e Etudes, Missions et Développement, outre son activité de développement menée conjointement avec le Directeur Général, et financée partiellement par la Région PACA, réalise différentes issio s, soit à la de a de de pa te ai es, soit à t ave s la po se à des appels d off e. Ces missions sont à durées variables pouvant être réalisées en quelques mois, ou en quelques années : e tai es issio s o t d ut e, d aut es se so t pou suivies o e l OPAH- PCS de la CASA initiée en ANIMATION DE L OPAH-PCS DE LA COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DE SOPHIA-ANTIPOLIS Par délibération du 30 juin 2008 modifiée le 15 décembre 2008, la Communauté d Agglo atio Sophia Antipolis a approuvé le projet de convention quadripartite à i te ve i e t e la Co u aut d Agglo atio Sophia A tipolis, l Age e atio ale de l ha itat ANAH, l Etat, la R gio elative à l op atio p og a e d a lio atio de l ha itat OPAH) communautaire dite «Plan de Cohésion Sociale» d u e du e de i a s. Ce p og a e d OPAH a pou o je tifs ualitatifs d a lio e l ha itat des e t es historiques de BIOT, BAR SUR LOUP et la COLLE SUR LOUP, compris dans le périmètre défini pa l tude pré-opérationnelle établie en 2005 et, pour toutes les communes de la CASA de : - so e l i salu it, - remettre sur le marché les logements vacants, - promouvoir le développement durable, - ai te i, d veloppe l off e de loge e ts lo atifs et de loge ents à loyers maitrisés, - maintenir dans leur logement les propriétaires occupants, notamment modestes. Pou a i e l OPAH, API P ove e s est asso i e au u eau d tude Cit M t ie. Le groupement API Provence et CitéMétrie a été retenu en juin 2008 suite à l appel d off e public lancé par la CASA. La mission démarrée en 2009 est se déroule sur une durée de 5 ans ( ). L a i atio de ette OPAH pa le g oupe e t o p e d ota e t : - Assistance au propriétaire dans le montage du dossier de demande de subvention, - Co seils su la atu e des t avau ave l i te ve tio g atuite d u a hite te, - Co seils e ati e d o o ie d e gie alisatio s st ati ue de DPE, - Vérification des devis et conformité avec la demande de subvention, API P ove e appo t d a tivit s 55

57 - Assistance au propri tai e da s l o te tio des fi a e e ts pou les t avau E o PT), p t, fo ds p op es,, - Au esoi, suivi so ial des lo atai es diag osti so ial e vue d u eloge e t temporaire ou définitif), - Contrôle de la bonne exécution des travaux, - Assistance du propriétaire dans la demande de versement de la subvention après travaux, - I te ve tio lo s d u sig ale e t pou loge e t i d e t ou i salu e visite, rapport, médiation et orientation). Par délibération du 14 mai 2012, un avenant au marché a été passé entre la CASA et le Groupement CitéMétrie/API Provence pour notamment : - Incorporer au dispositif les 8 nouvelles communes ayant intégré la CASA et élargir ai si le ha p d appli atio de la o ve tio d OPAH PCS à o u es au lieu de 16, - Ajuster les objectifs quantitatifs pour concilier à la fois les nouvelles priorités de l ANAH et elles de la CASA, soit loge e ts ha ilit s su a s au lieu des initialement prévus (281 logements de propriétaires bailleurs et 70 logements propriétaires occupa ts. Pou l a e les o je tifs taie t la o stitutio de dossiers tous type de bailleurs confondus, il a été déposé 69 dossiers cette année-là. MOUS RELOGEMENT DU PROGRAMME DE RENOUVELLEMENT URBAIN DE L ARIANE 2 La M t opole Ni e Côte d Azu a e gag u g a d P ojet de R ovatio U ai e de l A ia e ave pou o je tif de d se lave et de d veloppe le ua tie de l A ia e, )US lass e «p io itai e» et «Cœu de Ci le» pou l ANRU. Ce p ojet do t la p e i e phase de «l îlot St Pie e Cœu de l A ia e» s est te i e e d e e ave la d olitio de loge e ts et le eloge e t de ages s est pou suit e ave la ise e pla e d u e MOUS eloge e t A ia e da s le ad e de la d olitio de la Tour 4 du groupe Paillo appa te a t à Côte d Azu Ha itat deva t o dui e au eloge e t de ages. La M t opole Ni e Côte d Azu a o fi au g oupe e t API P ove e/cit M t ie l a i atio de la MOUS, à la faveu d u a h P o du e adapt e, otifi le 20 septembre 2012 et pour une durée de 28 mois. En 2012, le groupement a réalisé le diagnostic social des ménages de la Tour 4, réalisé le pla de eloge e t elatif au esoi s des ages titulai es d u ail et des d oha ita ts et élaboré avec NCA la st at gie de eloge e t au t ave s d u e Cha te Pa te a iale de Relogement. Le diagnostic a notamment révélé que 60% des ménages souhaitait être elog s à l A ia e. L a e a t pou l uipe MOUS la p iode de ise e œuv e du pla de eloge e t qui a consisté à : Accompagner les ménages avant leur futur relogement sur le plan social, économique, administratif, accès aux droits et relationnel. Pour chaque ménage un f e t u i ue de l uipe MOUS a t d sig, elui-ci ayant la charge d a o pagner le ménage pendant toutes les phases du relogement. API P ove e appo t d a tivit s 56

58 Etudier les offres de logements proposés par les bailleurs, réservataires signataires de la Charte Partenariale et présenter les candidats dans les instances de suivi : Comité de Suivi et Comité de Relogement ; Constituer les dossiers de demande de logement pour les passages en CAL des bailleurs, ouvrir les droits FSL, APL et les aides spécifiques de la CAF ; A o pag e les ages pou l e t e da s le ouveau loge e t o ga ise le déménagement, état des lieux, ouverture des compteurs de fluide, changement d ad esse ; Assurer un accompagnement post-relogement pour les ménages les plus fragiles. Les objectifs du marché de la MOUS fixaient le te e du eloge e t de l e se le des ménages au 31 décemb e o, e ut a pu t e attei t pou les aiso s suiva tes : Retard de livraison des logements neufs du programme St Pierre de NLA et du N aida d ICF epo t s au e se est e. U e i suffisa e d off es adapt es au esoi s des ages ave u manque de grands logements, de logements hors quartier Ariane, de logement à faibles loyers ou adapt s à la o ilit duite Au 31 décembre 2013 il restait encore près de la moitié des ménages à reloger et cela malgré la forte mobilisation de la MOUS auprès des ménages et des partenaires de la Charte de Reloge e t. L uipe MOUS dev a do o ti ue à a i e le dispositif eloge e t pendant le premier semestre 2014 alors que devaient intervenir cette année uniquement les e u tes de satisfa tio et l a o pagnement post relogement. MOUS RELOGEMENT DU PROGRAMME NATIONAL DE RENOVATION DES QUARTIERS ANCIENS DEGRADES (PNRQAD) La M t opole Ni e Côte d Azu s est e gag e da s u e d a he volo ta iste de requalification en souscrivant au Programme National de Requalification des Quartiers Anciens Dégradés (PNRQAD), dont elle a été désignée lauréate en décembre Le périmètre de requalification, concerne les secteurs de Notre Dame/ Vernier/ Gare Thiers qui, du fait de dysfonctionnements lourds et des besoins p g a ts e ati e d a lio atio de l ha itat, justifie t l i s iptio, la ise e œuv e d u e politi ue de e ualifi atio d a pleu po t e pa le P.N.R.Q.A.D. U Op atio P og a e d A lio atio de l Ha itat OPAH RU et u e Mait ise d Œuv e U ai e et Sociale (MOUS eloge e t/a o pag e e t des ages, o t t la es da s le ad e d u appel d off e ui, fo t suite à plusieu s tudes p pa atoi es et a tio s e gag es p ala le e t (O.P.A.H centre-ville, P.I.G, étude sur les hôtels meublés et étude pré-opérationnelle d O.P.A.H -R.U o duite e pa le g oupe e t API P ove e/cit M t ie. Le groupement API Provence/CitéMétrie a été retenu par la Métropole da s le ad e d u appel d off e ouve t su le a h de la MOUS eloge e t/a o pag e ent été notifié le 20 septembre Le marché est prévu sur une durée de 7 ans et comporte 2 volets : Un volet Programme de Renouvellement Urbain sur le secteur de la cour Bensa, du 43 rue Vernier et du 10 rue de Suisse pour lequel des démolitions et des transformations lourdes de âtis ha ilitatio, ORI doive t i te ve i et o e e t plus d u e e taine de ages. L Eta lisse e t Fo ie Pa a a e ha ge les go iatio s ave les API P ove e appo t d a tivit s 57

59 propriétaires, les procédures de DUP et le portage immobilier. La MOUS conduira les tapes lassi ues d u dispositif de eloge e t da s u ad e de e ouvelle e t u ai avec cependant une particularité de taille, elle d i te ve i su le pa p iv. U volet Op atio P og a e de l Ha itat ou la MOUS i te vie d a au ôt de l uipe d OPAH pou alise ota e t des relogements temporaires ou définitifs dans le cadre du t aite e t de l ha itat i salu e et des hôtels eu l s. Elle au a gale e t e ha ge l a o pag e e t so ial des p op i tai es e situatio diffi ile da s le ad e de l i te ve tio su les op op i t s d g ad es. Au total, su l e se le des deu dispositifs, op atio de e ualifi atio u ai e et O.P.A.H- R.U, les objectifs sont les suivants : 192 relogements définitifs (dont 52 pour le volet O.P.A.H- R.U) et 30 relogements provisoires. En 2013, le lancement de la issio a o e pa la alisatio d u diag osti so ial su u i eu le a uis pa l E.P.F ou Be sa et o up pa ages isol s e g a de diffi ult so iale. Du a t ette p iode l uipe MOUS a gale e t d fi i ave NCA la stratégie de relogement avec le recensement des différents acteurs à mobiliser dans le cadre du dispositif et de la Charte de Relogement. Une première réunion a été mise en place en d e e ave les a teu s de l a tio so iale afi de p se te la issio et p figu e la «Cellule sociale» ui assu e a e pa te a iat au ot s de la MOUS l a o pag e e t des ages. E, les u io s doive t s e hai e ave les ailleu s so iau, se vatai es et asso iatio s i te ve a t da s le do ai e du loge e t. L uipe MOUS a également t availl e fi d a e ave le se vi e o u i atio de NCA à l la o atio des outils de o u i atio s à desti atio des ha ita ts o e s ota e t pa la alisatio d u e plaquette informative. PROGRAMME D INTERET GENERAL (PIG) DE LA CAVEM API Provence a été retenue en tant que sous-traitant de CitéMétrie dans le marché du P.I.G de la CAVEM et dont la mission a démarré en décembre Ce marché a pour objet le suivi et l a i atio du P og a e d I t t G al pou la ise e œuv e de la politi ue i te o u ale de l ha itat su le pa p iv. Le te itoi e d i te ve tio est le te itoi e i te o u al. Il est o pos de deu communes : la commune de Fréjus et la commune de Saint-Raphaël. L uipe de suivianimation du PIG i te vie d a su l e se le du te itoi e des deu o u es e privilégiant le centre historique de Fréjus et le centre ville de Saint-Raphaël. Le marché porte sur la alisatio d o je tifs ua titatifs p is e ati e de d pôt de dossiers de demande de subvention pour la réhabilitation du parc immobilier privé API P ove e appo t d a tivit s 58

60 (obligation de résultats), la réalisation d'objectifs qualitatifs (obligation de moyens) portant su : la o u i atio et l i fo atio e di e tio des p op i tai es o upa ts et ailleu s et des a teu s du loge e t, l la o atio de diag osti s te h i ues pou les loge e ts d g ad s, i salu es, pou l adaptatio au esoi g ille d valuatio de la d g adatio de l ha itat, g ille d i salu it, diag osti auto o ie ou appo t d u e goth apeute et évaluation énergétique avant travaux et projetée après travaux), la mise en place d'une assista e à ait ise d ouv age au p op i tai es pou l la o atio de leu p ojet de réhabilitation et de leur dossier de demande de subvention, la mise en pla e d u suiviévaluation du PIG et la production de bilans. Afi de favo ise l i fo atio et la o u i atio à desti atio des propriétaires, des occupants et des acteurs du logement, des partenariats seront créés ou développés. L op ateu d fi i a e lie ave le aît e d ouv age les pa te a iats à o st ui e ou à formaliser et les mettra en place au démarrage de la mission avec le soutien du maître d ouv age. La aît ise d ouv age est assu e pa la Co u aut d Agglo atio de F jus / Sai t- Raphaël. Les objectifs qualitatifs sont : - la lutte o t e l ha itat i dig e et t s d g ad : so ti des loge e ts de l tat d ha itat i dig e i salu it, e positio au plo, âti e ts e aça t ui es) et d ha itat t s d g ad loge e ts e auvais tat do t le niveau de dégradation est app i à l aide de la g ille d valuatio de la d g adatio de l ha itat, u ils soie t occupés par des locataires, des propriétaires occupants ou vacants ; - l aug e tatio de l off e de loge e ts lo atifs p iv s à vo atio sociale (loyer intermédiaire, loyer conventionné social ou très social) : inciter les propriétaires bailleurs à pratiquer des loyers maîtrisés pa l o t oi d aides fi a i es ; - la lutte contre la précarité énergétique : permettre aux propriétaires occupants aux ressources «modestes» ou «très modestes» fragilisés par leur facture énergétique de bénéficier de travaux de rénovation thermique ; - le ai tie à do i ile: pe ett e au pe so es justifia t d u ha di ap ou d u e pe te d auto o ie d adapte leu logement ; - la remise sur le marché des logements vacants afin de produire des logements à lo e s aît is s et/ou de lutte o t e l ha itat i dig e ou t s d g ad. Les logements sont destinés après travaux à être occupés à titre de résidence principale. Pour les objectifs quantitatifs : Il est prévu la réhabilitation de 180 logements sur 3 ans avec notamment : 75 Propriétaires bailleurs, 30 propriétaires occupants, 40 logements en précarité énergétique (tous propriétaires) et 35 logements pour une adaptatio a l auto o ie des pe so es à o ilit réduite. MOUS POUR L ORGANISATION DES COPROPRIETES NON ORGANISEES AU BAR SUR LOUP Au sei de la o u e de BAR SUR LOUP, e e de la Co u aut d Agglo atio Sophia Antipolis (C.A.S.A), les parties communes de certains immeubles du centre ancien API P ove e appo t d a tivit s 59

61 présentent de fortes dégradations, apparentes ou pas. Il est donc paru nécessaire, afin de pouvoir agir sur les parties communes des copropriétés, d i ite les p op i tai es à alise les t avau essai es. O, il s av e ue la plupa t des op op i t s e e s es pa l uipe d a i atio de l OPAH de la C.A.S.A e so t pas o ga is es, e qui e p he aujou d hui toute intervention sur les parties communes des bâtiments du centre ancien. Le projet global est conduit par plusieurs comités de pilotages associant différents partenaires (M. Le Maire de BAR SUR LOUP, Le président de la C.A.S.A, le responsable du se vi e loge e t de la DDTM, le d l gu lo al de l ANAH, uipe OPAH et ADIL La issio s effe tue e uat e tapes : - Un diagnostic des copropriétés (date de la construction, nombre de lots, statuts et nature des propriétaires, personnes physiques, morales, identification des dysfonctionnements) ; - M diatio et a o pag e e t aup s des p op i tai es e vue de l o ga isatio des copropriétés ; - P opositio d o ga isatio de op op i t s oh e tes au ega d de la structuration du bâti ; - Appui à la o u e au ega d de la p o du e de p il et des t avau d offi e e as de défaillance du propriétaire. La notification du marché à API Provence a été faite au 1 er septembre 2013 pour une durée d u a. Le a h g al po te su le t aite e t de 20 copropriétés, qui relèvent en p io it d u is ue de p il. Afi de po d e au p o l ati ues ju idi ues sp ifi ues de cette mission API Provence a établi un partenariat de sous-t aita e ave l ADIL et fi ie de l assista e de deu ju istes spécialisés dans les copropriétés et dans les procédures de péril. Au 31 décembre 2013, il avait été identifié u e t e tai e de op op i t eleva t d u p il potentiel. API Provence a alis u i po ta t t avail de diag osti afi d ide tifie l e se le de p op i tai es des ie s de es op op i t s et d effe tue u t avail d ale te et d i fo atio aup s d eu ; d a o d de a i e i dividuelle puis de a i e olle tive à l helle de la parcelle dont ils relèvent. Il a également été décidé par la Mairie de faire intervenir un expert indépendant afin de d te i e la atu e et l u ge e des d sfo tio e e ts ue le ep age effe tu pa API Provence a pu faire émerger. MOUS RELATIVE A LA REALISATION D UN DIAGNOSTIC SOCIAL GLOBAL ET INDIVIDUALISE DES FAMILLES EN CAMPEMENTS ET SQUATS ET A CELUI DES CONDITIONS D HABITAT ET D ACCOMPAGNEMENT VERS DES FORMES D HABITAT PERENNE Da s le ad e de l appli atio de la i ulai e i te i ist rielle NOR INTK C du 26 août elative à l a ti ipatio et à l a o pag e e t des op atio s d va uatio des campements illicites, les services de la Préfecture et la DDCS ont mandaté en octobre 2013 l asso iatio API P ove e pou u e MOUS de 2 ans ayant pour objectif le diagnostic, l a o pag e e t so ial et le eloge e t de fa illes R o s e a pe e ts et s uats illicites sur 3 communes (Nice, Grasse et Antibes). API P ove e appo t d a tivit s 60

62 Cette p e i e pa tie de la issio d o to e à d e e a o sisté à identifier et s le tio e les fa illes à a o pag e da s le ad e de la MOUS ai si u à pose les premiers jalons des divers partenariats à instaurer. Au préalable, et compte tenu de la nonmaîtrise de la langue française par les familles Rroms toutes d o igi e ou ai e, l uipe du service Etudes, Missions et Développement (EMD) a dû procéder à la recherche et à l e au he d u t adu teu diateu ou ai. L uipe EMD s est alo s atta h e à effe tue u e e se e t des pe so es p se tes su les différents sites et a ensuite procédé au croisement des données avec le pré-diagnostic (effectué entre janvier et mai 2013 par les services de la Préfecture) afin de sélectionner les familles pour le diagnostic social. E effet, les it es d i lusio da s u dispositif d a o pag e e t ve s des fo es d ha itat p e e tels ue valid s pa le o it de pilotage, e tio aie t : la présence des ménages sur les listes du pré-diagnostic, la scolarisation des enfants et la volonté manifeste d i se tio de la famille. L asso iatio API P ove e a, au vu de es it es, s le tio fa illes à diag osti ue et procédé aux entretiens individuels. Ces entretiens ont permis de faire ressortir individuellement des points importants sur le parcours de la famille et son arrivée en France, sa formation et son expérience professionnelle, la scolarisation des enfants, ses projets et sa apa it d i se tio, les diffi ult s e o t es. Ce diagnostic individualisé a permis au Comité de Pilotage animé par la Préfecture de sélectionner, sur la base des critères retenus, 12 familles parmi les 17 diagnostiquées. Pa all le e t à la alisatio du diag osti so ial, l uipe a p is atta he aup s de plusieu s institutions pour la mise en place de partenariats (DRLP pour les titres de séjour, CAF pour l ouve tu e des d oits, CG pou le RSA, Edu atio Natio ale pou la s ola isatio, ALC et hôtelie s pou l h e ge e t d u ge e, Se ou s Catholi ue pou la do i iliatio. E effet, dès nove e, fa illes d u a pe e t à Nice ont dû être hébergées en hôtel eu l p ala le e t à l va uatio de leu s uat. L uipe EMD a o ga is l e age e t et assu le lie e t e ALC-115, les hôteliers, les familles. PERMANENCES ACCES AUX DROITS LIES AU LOGEMENT DE LA FONDATION ABBE PIERRE: Dans la continuité des permanences SOS Mal-Logement et toujours avec le soutien de la Fondation A Pie e depuis, ous pou suivo s l a i atio de pe a e es d a ueil da s os lo au à Cannes et à Antibes pour recevoir les ménages relevant des secteurs de la CASA et du bassin cannois. API P ove e appo t d a tivit s 61

63 Les pe a e es se d oule t sous fo e d e t etie s i dividuels ui o t pou o je tifs de fai e le diag osti so ial, o o i ue et ju idi ue des ages e o t s, afi d a al se leur situation et d ide tifie leu s esoi s afi de les o ie te et de les o seille pou les a o pag e da s l a s au d oits et les aide à so ti de leu situatio de «mallogement». Ces lieu d a ueil du pu li o t aussi pou o jet de do e au pu li et au acteurs locaux une meilleure visibilité sur le terrain des programmes, moyens et outils mis e pla e pa la Fo datio A Pie e e di e tio des ages al log s. L a tio po te su trois volets : - L ha itat i dig e ui o e e les ages ui vive t dans un logement indécent, i salu e ou i p op e à l ha itatio : médiation avec le bailleur, interpellation des services compétents SCHS, ARS, orientation des ménages et mise en lien vers un avocat ou ve s les dispositifs d OPAH-PCS ; - La prévention des expulsions domiciliaires : vérification de la légalité du motif de l e pulsio, assista e da s le ad e de la so ptio de la dette, go iatio ave le propriétaire, saisine la CCAPEX et les instances compétentes, orientation du ménage et mise en lien ave u avo at, saisi e du juge de l e utio et demande de délais au préfet ; - L a s à u loge e t adapt au essou es et au esoi s du age : l a o pag e e t pou les e ou s au T i u al Ad i ist atif pou les ages e o us prioritaires DALO ui o t pas t elog s, e ou s i de itai es, de a de de loge e t so ial, de a de d h e ge e t, appui d u e de a de de utatio aup s d u ailleu social, intervention auprès des agences en cas de pratiques abusives, assistance dans le cadre des recours gracieux et/ou contentieux pour contester la décision de la commission de médiation. Ai si, au ou s de l a e, ouveaux ménages ont été orientés vers ces permanences: 4 ménages sur le secteur de la CASA et 23 ménages sur le secteur du bassin cannois. Nous avons également continué le suivi de 35 ménages parmi les ménages orientés ve s les pe a e es e. E, ages o t do t a o pag s pa l uipe des permanences accès aux droits liés au logement. Parmi ces 62 ménages suivis en 2013 : - 40 ont été pris en compte dans la thématique accès à un logement adapté aux essou es et au esoi s du age pou la ajo it d e t e eu ils ont été a o pag s da s le ad e d u e ou s o te tieu DALO, - 11 ont été suivi dans la cadre de la thématique prévention des expulsions, - o t solli it l uipe des pe a e es pou t e a o pag da s la solutio de leu p o l e d ha itat i dig e. - o t t ouv u e solutio de eloge e t au ou s de l a e Des pla uettes d i fo ation rédigées par la Fondation Abbé Pierre expliquant les objectifs des permanences et les modalités de prises de rendez-vous ont été diffusées à nos différents partenaires dans le cadre de cette action. La communication autour de ces permanences auprès des différents partenaires (institutionnels et associations) de chaque secteur est p i o diale afi u ils puisse t ous o ie te les ages sus epti les d t e suivis da s le cadre de ces permanences. Cette action vise également le grand public qui a la possibilité de se présenter dans ses permanences de façon autonome. API P ove e appo t d a tivit s 62

64 LE PATRIMOINE L ACTIVITE DU SERVICE PATRIMOINE EN L a e a ue à ouveau u e aug e tatio des d pe ses affe t es au g os entretien sur les deux départements du 06 et 83, alors que les coûts li s à l e t etie ou a t des établissements enregistrent un recul significatif. L a oisse e t des t avau au tit e du g os e t etie ouve t pa les p ovisio s aug e te de passa t de e à su soit u gap de, %. Nature des Interventions Réalisé 2013 Département 06 % Réalisé 2013 Département 83 % TOTAL % Aménagements intérieurs Peintures , , ,0 Plomberie -sanitaire chauffage , , ,8 Electricité - Electronique , , ,4 Menuiserie - serrurerie , , ,8 S/ TOTAL ,6 40,4 100,0 L a t, e valeu elative, e t e les Alpes a iti es, % et le Va, %, a tendance à se réduire sur 2013, avec une augmentation de plus de 19 %) des engagements de travaux sur le Var dédiés au maintien en état des logements sur des résidences vieillissantes notamment Le Luc et Hyères mais également Fréjus. La hausse sur le 06 représente 9 essentiellement axée sur le territoire de Cannes et particulièrement la Villa Christina. API P ove e appo t d a tivit s 63

65 Gros entretien 06 par nature 2013 Electricité Menuiserie Plomberie 1 2 Peinture Les dépenses les plus fortes concernent le poste aménagement et peinture qui représente 136 soit % du o ta t total des e gagements de travaux 2013 sur les 2 départements réalisés par des entreprises extérieures. Pour mémoire, sur les Alpes-Maritimes, il se monte à 92 soit, % des d pe ses engagées sur le département, les autres postes : plomberie 4,2 %, électricité 9,4% et e uise ie, % ta t e e ul au ega d de l e e i e p de t, e ui o t i ue à o te i la hausse du g os e t etie su le d pa te e t + e t e et. Répartition du gros entretien 06 par Territoire 2013 Cannes Antibes+Sophia Grasse Nice Parallèlement, les dépenses portant sur le gros entretien des établissements du Var enregistrent également une progression sur le poste aménagement / peinture notamment pa le ai tie de l effo t su la RSM des Sa les à F jus effe tu depuis a s e pa te a iat avec le Bailleur. Le Luc, Les foyers de Brignoles et la RSM de Ste Ma i e o t gale e t fait l o jet de t avau de rafraichissement dans les logements et unités de vie. API P ove e appo t d a tivit s 64

66 Gros entretien 83 par nature 2013 Menuiserie Electricité Plomberie 1 Peinture 2 Répartition du gros entretien 83 par établissements Fréjus Le luc Brignoles La Seyne St Cyr Ste maxime Hyéres Cogolin Toulon Draguignan Cavalaire 1 St Raphael Le poste plomberie a également été impacté sur 2013 sur le 83, avec un gap de 121 % au ega d de, o s ue e d u p og a e d e t etie cessaire sur les chaufferies de Hyères, la Seyne et dans une moindre mesure Fréjus. Sont compris également des travaux de af ai hisse e t de salles d eau su B ig oles et F jus, ai si ue St C la D di e ave sur ce site un partenariat avec Samopor pour la poursuite de travaux de mise aux normes PMR. A l i age du, o e egist e u e ul des postes le t i it et e uise ie / se u e ie baissant respectivement de -33% et 48% par rapport à 2012, conséquence du ralentissement des travaux portant sur les i stallatio s de ou a t fai le o t ôle d a s et réception satellite TV) et des dépenses non reproduites de sécurisation effectuée notamment sur le site des Sables en API P ove e appo t d a tivit s 65

67 Les d pe ses d e t etie des ta lisse e ts i ve se t la te da e e egist ée depuis 2 ans avec un coût total toutes natures confondues de 208 su l e se le des d pa te e ts, soit u e aisse de - 8,9% en comparaison avec 2012, baisse impactant exclusivement les Alpes-Maritimes. Su le, les oûts d e t etie ou a t so t à l ide ti ue de l a e N-1, les dépenses de plo e ie et d le t i it e egist a t pa o t e u e hausse de de 10%. La plus g osse pa tie de l a t e t e les e e i es se faisa t su le poste a age e t peinture avec le frein exercé su les d pe ses d e t etie des PLATS ,4%) par rapport à 2012, conséquence principalement de la prise en charge par ULISS des travaux d e t etie des loge e ts de so pa, ap s go iatio, et de la aisse du tu ove (nombreuses expulsions) effectuées sur les exercices précédents. Le Va e egist e ua t à lui, u e hausse des oûts d e t etie ou a t +, de e uise ie + li e à la v tust des uipe e ts essita t, o e pa le pass des interventions par des entreprises sp ialis es, Le poste a age e t pei tu e d u o ta t de doit t e i de du o ta t de la si ist alit ui est aussi u indicateur du vieillissement des structures. Répartition de l'entretien par nature 2013 Nature des Interventions Entretien Courant Plomberie Electricité Serrurerie Peinture Menuiserie Aménagement Electronique TOTAL Actvité département ,9 69,8 95,3 69,0 61,7 49,4 67,9 Activité département ,1 30,2 4,7 31,0 38,3 50,6 32,1 S/ TOTAL ,6 26,5 4,2 16,8 20,4 8,4 100 Par ailleurs, les dépenses liées à la sinistralité sont en hausse de, % passa t de su à e. Pour rappel, les charges constatées sur les postes esse tielle e t pei tu e et plo e ie fo t l o jet d u e ep ise li e au e ou se e t pa les assurances déduction faite de vétustés. Concernant le poste Assurance, nous constatons une hausse de 12 e t e et o s ue e de l aug e tatio du flu li e au t ajets p ofessio els des sala i s, de la hausse de la poli e fo e ave l i pa t de la Pe sio de Fa ille de Ve e e a e pleine, l appa itio de ouvelles ga a ties li es à la p ise e gestio de la side e Mosaï a de la Seyne / mer et de la Pension de Famille de Vence, de la hausse de la police bureaux au regard du développement et de nouveaux équipements, ainsi que de la hausse générale imposée par les compagnies. API P ove e appo t d a tivit s 66

68 Le poste «contrat de maintenance» est e aug e tatio de su, o s ue e de l i pa t des o t ats e a e plei e de la pe sio de Ve e, de la a tivatio des contrats de maintenance de la Calade à Draguignan après la période de travaux, ainsi que da s u e oi d e esu e, de l i pa t des ouveau o t ats li à l ouve tu e de Mosaï a. Le oût total des o t ats s l ve à su o t e 800 en 2012 soit une progression de 5,9 %. E fi, o e e pli it, l a e au a pe is l ouve tu e de la ouvelle side e so iale Mosaï a à la Se e / e, p e i e t a he d u e op atio de loge e ts, effectuée en partenariat avec notre bailleur Terre du Sud Habitat. API P ove e appo t d a tivit s 67

69 LES RESSOURCES HUMAINES 1. LES RESSOURCES HUMAINES QUELQUES CHIFFRES Au d e e, l asso iatio e ploie sala i s, soit u effe tif glo al de équivalents temps plein, travaillant au quotidien à la réalisation de la mission de l Asso iatio. L effe tif de l asso iatio e ETP ho s o t ats de e pla e e t et o t ats aid s e t e et a aug e t d e vi o %, du fait de la ep ise de l a tivit de l asso iatio DECLIC, en décembre 2013 ave l e au he de 24 salariés. LES MOUVEMENTS DE PERSONNEL Au ou s de l a e, l asso iatio a a ueilli ouveau olla o ateu s, ta dis ue salariés ont quitté API Provence. 62.5% des postes ont été pourvus dans le cadre de contrat à durée indéterminée, 37.5% dans le cadre de contrat à durée déterminée ou assimilés. Mouvement du personnel en 2013 Sorties Entrées CDI CDD API P ove e appo t d a tivit s 68

70 LA COMPOSITION DE L EFFECTIF Répartition hommes / femmes L effe tif de l asso iatio est o pos à % de fe es o t e % d ho es. L a tivit d i se tio so iale de l asso iatio i duit u e p opo tio i po ta te de poste d a o pag e e t so ial. Ces tie s so t t aditio elle e t f i i s, e pli ua t ai si la p opo tio i po ta te de fe es au sei de l asso iatio. La p opo tio de fe es et d ho es de eu e sta le e t e et. Répartition hommes/femmes au 31/12/2013 en % Hommes Femmes 37% 63% Notre pyramide des âges La populatio sala iale de l asso iatio est u e populatio jeu e, % des sala i s so t âg s de oi s a s. Bie ue ot e effe tif est aug e t e fi d a e de p s de %, la pyramide des âges demeure inchangée Répartition de l'effectif global par tranche d'âge au 31 décembre Hommes 20 Femmes 10 Total 0 <26 ans ans ans ans ans > 60 ans API P ove e appo t d a tivit s 69

71 Répartition par sexe et statut Répartition de l'effectif par statut Ouvrier Agent de maîtise 19% 44% Employé Cadre 31% 6% Répartition par sexe et par statut Hommes Femmes Cadre Agent de maîtise Employé 2 6 Ouvrier Depuis la sig atu e d u a o d d e t ep ise g ale e, les postes d a o pag e e t so ial el ve t du statut «agent de maîtrise».les accompagnateurs so iau diplô s d tat e au h s a t ieu e e t à ette date elevaie t du statut «cadre», et e tai s d e t e eu o t hoisi le ai tie de leu statut «cadre». L effe tif «cadre» est donc à relativiser. La pa titio des e plois pa do ai e d a tivit e t e et est sta le alg l aug e tatio de % de l effe tif e fi d a e LES TYPES DE CONTRAT DE TRAVAIL. % des olla o ateu s de l Asso iatio so t e plo s e o t at à du e i d te i e. 67.5% des emplois en CDI sont occupés par des femmes et 32.5% par des hommes. 97% des femmes sont employées en CDI, 80% des hommes sont employés en CDI. API P ove e appo t d a tivit s 70

72 Le e ou s au o t ats à du e d te i e pe et d assu e, selo les esoi s de l a tivit, le remplacement des titulaires absents pour cause de maladie, congés payés, congé maternité et congé parental. L asso iatio fait également appel à des associations intermédiaires pour assurer le e pla e e t de ou te du e des age ts d e t etie, de ai te a e et de su veilla e, ais gale e t e as d i te ve tio essita t po tuelle e t u e fo t des age ts e place. Le recours à la mise à disposition de personnel permet une répondance efficace et rapide sur les postes techniques pour lesquels le processus de recrutement «classique» peut s av e trop long. L asso iatio e solli ita t des asso iatio s à vo atio so iale participe et encourage l a tivit de es asso iatio s a a t pou issio s l a o pag e e t pa l e ploi de pu li s en difficultés. Le travail à temps partiel L asso iatio a e ou s au t avail à te ps pa tiel pou po d e au esoi s st u tu els identifiés sur les établissements. Le recours au travail à temps partiel concerne à 95% des e plois d e t etie, de ga die age et ad i ist atif. Le travail à temps partiel peut également résulter de demandes formulées par des salariés, ota e t da s le ad e de o g s pa e tau d du atio. Au 31 décembre 2013, 16.8% des salariés employés travaillent à temps partiel dont 67% de femmes. Le recours au travail à temps partiel est constant depuis LA FORMATION Le plan de formation est un outil essentiel au service de la réalisation des objectifs st at gi ues de ot e asso iatio. Le pla de fo atio s est i s it da s u e visio prospective liée aux différentes évolutions du secteur social. E d aut es te es, les a tio s de formation qui ont été retenues sont celles qui ont visé à : A lio e la ualit de l a ueil et de l a o pag e e t des sida ts API P ove e appo t d a tivit s 71

73 Assurer la sécurité des biens et des personnes (personnel et usagers) Pe fe tio e les o aissa es et les o p te es ui pe ette t l adaptatio des salariés à leur poste de travail Favoriser le maintien des salariés dans leurs postes de travail En 2013, 31% de notre effectif salarial a bénéficié de formations visant principalement au d veloppe e t des o p te es et au ai tie da s l e ploi. Ces fo atio s o t représenté 533 heures. 3. LES INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL LA DELEGATION UNIQUE Les réunions de la Délégation Unique ont lieu mensuellement, et peuvent également se tenir en sessions extraordinaires. Ai si, les d l gu s du pe so el et les e es du o it d e t ep ise u is e d l gatio unique du personnel se sont rencontrés 12 fois en LE CHSCT Cha ue t i est e, le o it d h gi e, de s u it et des o ditio s de t avail CHSCT s est u i pou t aite des uestio s visa t à l a lio atio des o ditio s de t avail des sala i s, et pou fl hi su la ise e œuv e d a tio s de p ve tio et de s u it. E, réunions du CHSCT ont eu lieu, dont 3 réunions extraordinaires. En décembre 2013, 90% des collaborateurs ont été formés aux gestes de premiers secours, et 80% à la manipulation des extincteurs. API P ove e appo t d a tivit s 72

74 4. L ORGANIGRAMME API P ove e appo t d a tivit s

75 LE CONSEIL d'administration Le Co seil d Ad i ist atio est l u e des fo es de l Asso iatio, pa sa va i t et pa la qualité de ses membres : il est o pos d ho es et de fe es issus de la so i t ivile, a tifs ou e et aite, et ha u d e t e eu a a ept de ett e ses o pétences au service d API P ove e. Lo s de l Asse l e G ale du 4 juin 2013, le Co seil d Ad i ist atio suivant a été élu : Monsieur Michel Madame Claude Monsieur Pierre Monsieur Bernard Monsieur Claude Monsieur Auguste Monsieur Jacky Monsieur Gérard Monsieur Christian BARAVALLE BENOIT BREUIL BROLIN CHARBONNIAUD DERRIVES GUITTON GUGLIERI MAGNIER Monsieur Pierre Madame Michèle Monsieur René Monsieur Georges Monsieur Francis Monsieur Jean-Claude Monsieur Dominique Monsieur Antoine Madame Marielle MARCHOU PAUCO PIEL RAKOTOVAO RIGAULT TOMASSO TRIGON VALENTINO VANINI Le e jou, le Bu eau de l Association a été élu par le CA : Monsieur Antoine VALENTINO... Président Monsieur Claude CHARBONNIAUD... P side t d ho eu Madame Marielle VANINI... Trésorière Monsieur Jean-Claude TOMASSO... Secrétaire Madame Claude BENOIT... Membre Monsieur Gérard GUGLIERI... Membre Monsieur Jacky GUITTON... Membre Monsieur Christian MAGNIER... Membre Monsieur Francis RIGAULT... Membre Les ualit s de so Co seil d Ad i ist atio efl te t elles de l Asso iatio : la ussite d API P ove e, est l allia e de o p te es te h i ues dive ses, ais assu es da s u «esprit militant» e d aut es te es, ette ussite est d avoi su allier la compétence de p ofessio els et la volo t d a lio e le uotidie des pe so es. En 2013, 1 Assemblée Générale a eu lieu et le Co seil d Ad i ist atio s est éu i 5 fois. API P ove e appo t d a tivit s 74

76 LES ÉLÉMENTS FINANCIERS 1. LES FAITS MARQUANTS DE L EXERCICE Au cours de l e e i e, l asso iatio API PROVENCE a développé son activité dans le département du Vaucluse. Cette implantation a été réalisée : par la prise en charge de 83 nouveaux logements (résidence Van Dyck) ; par la reprise de l a tivit d u e association liquidée, l asso iatio Déclic. 23 salariés qui avaient été licenciés par l asso iatio Déclic ont été embauchés et API PROVENCE a récupéré la gestion de 122 logements. En dehors de ce développement, le parc géré a connu une légère baisse avec la fin de la convention de gestion relative à la résidence du Mas du Calme à Grasse (34 logements). Les évolutions des subventions sont nombreuses, mais en valeur absolue, on note une stabilisation de ces dernières. L e e i e se solde ave u l ge e de t soit 06, o fi a t la sta ilit de l asso iatio. API P ove e appo t d a tivit s 75

77 2. EVOLUTION DE LA SITUATION FINANCIERE : A - COMPTE DE RESULTAT : Libelle 31/12/ /12/2012 Ecart Variation (%) Loyers ,63 Note A Charges communes ,06 Autres prestations ,79 Sous-total ,03 Subvention d exploitation ,32 Note B Transferts de charges ,20 Autres produits ,43 Total produits d exploitation ,13 Eau, électricité, gaz ,78 Locations immobilières ,63 Charges locatives ,55 Note C Charges entretien relatif aux PGE ,45 Entretien courant ,09 Maintenance ,30 Assurance ,09 Personnel intérimaire ,89 Honoraires ,02 Frais de déplacement ,93 Autres achats, charges externes ,01 Impôts et taxes ,08 Masse salariale ,17 Note D Dotation aux amortissements ,48 Provisions nettes sur créances ,12 locataires Note E Pertes sur locataires ,35 Provisions nettes PGE ,03 Autres provisions ,93 Autres charges ,88 Total charges d exploitation ,72 Résultat d exploitation ,96 Résultat financier ,12 Résultat exceptionnel ,92 Note F Impôt sur les produits fin ,97 Résultat net ,14 API P ove e appo t d a tivit s 76

78 Note A - Loyers Les loyers ont progressé de 3,63%, en raison notamment de l i t g atio en cours d a e des nouveaux logements du Vaucluse. L aug e tatio liée à cette nouvelle implantation pourra être mesurée en année pleine sur Note B - Subventions Elles ont progressé en moyenne de 6,32%. Malgré un retrait du Conseil général des Alpes- Maritimes, l asso iatio est parvenue à trouver de nouveaux financements. Note C - Charges locatives L aug e tatio du poste résulte des régularisations des charges locatives antérieures qui ont été opérées sur 2013, notamment par Erilia pour.. Note D - Masse salariale Les anciens salariés de l asso iatio Déclic ont été intégrés en fin d a e. Il sera intéressant de suivre l volutio de la masse salariale 2014 comparativement à l volutio des loyers futurs et suivre la part que représente la masse salariale par rapport à ces loyers. En dehors de ce fait exceptionnel, la masse salariale augmente de 1% par an du fait de l appli atio de l a o d d e t ep ise et de la p ise e o pte de l a ie et. Note E - Provision/pertes créances locataires La provision est en augmentation sur 2013 alors que le montant des pertes constatées sur l a e ne varie pratiquement pas. Les montants sont déterminés de la manière suivante : les créances des résidants partis, antérieures à 2012 sont comptabilisées en pertes. Les créances des résidants partis en 2012 et 2013 sont provisionnées intégralement. Les résidants présents fin 2013 et dont les retards de paiement sont supérieurs ou égaux à 120 jours font l o jet d u e provision individualisée, évaluée par les Directeurs départementaux. Note F - Résultat exceptionnel Les pertes exceptionnelles proviennent principalement de régularisations sur des cotisations de formation continue relatives à 2011 pour plus de 42. B - BILAN : ACTIF Libelle 31/12/ /12/2012 Ecart Variation Immobilisations incorporelles ,41 Immobilisations corporelles ,58 Note G Immobilisations Financières ,20 Total Actif immobilisé ,13 Clients ,70 Note H Autres créances ,22 Note I Valeurs mob. de placement Trésorerie ,18 Note J Charges constatées d'avance ,49 Total général Actif ,37 API P ove e appo t d a tivit s 77

79 Note G - Immobilisations corporelles D i po ta ts investissements ont été réalisés sur 2013 pour plus de , notamment pour le matériel et le mobilier d h e ge e t. Des inventaires ont également été réalisés sur l e se le des sites, ce qui a permis d a tualise l tat des immobilisations. Note H - Clients Le poste client a augmenté de plus de 8% sur l a e Une partie des loyers dus est pro- visionné conformément aux règles mises en place par la direction de l asso iatio. Note I - Autres créances Elles sont constituées principalement par les subventions accordées non encore perçues. Ce poste est analysé chaque année afin de s assu e du caractère recouvrable des sommes figurant à ce poste. Note J - Trésorerie La trésorerie a progressé de plus de 8% sur Malgré cette augmentation, les produits fi a ie s o t di i u su l e e i e e aiso des fai les tau de e de e t a tuel. PASSIF Libelle 31/12/ /12/2012 Ecart Variation Fonds associatifs ,18 Note K Dont résultat exercice ,13 Provisions pour risques et charges Note L Provision pour engagement de retraite ,59 Note M Provision pour PGE ,52 Note N Provision pour loyers à répartir ,64 Provision pour taxes foncières sur les propriétés ,13 Note O bâties Total provisions ,48 Emprunts auprès des établissements de crédit ,87 Emprunts et dettes financières diverses ,27 Cautions reçues ,28 Dettes fournisseurs ,09 Dettes fiscales et sociales ,55 Autres dettes ,58 Produits constatés d'avance ,64 Note P Total général Passif ,37 API P ove e appo t d a tivit s 78

80 Note K - Fonds associatifs Ils regroupent les excédents ou déficits affectés par l asse l e générale accumulés par l asso iatio depuis sa création ainsi que les subventions d i vestisse e ts perçues, sans droit de reprise, et renouvelables par l asso iatio. Ces subventions sont des dotations en capital allouées par des collectivités publiques ou privées pour financer les investissements figurant à l a tif du bilan. Note L - Provision pour risques et charges Elle regroupe les provisions pour litiges prudhommaux en cours avec des anciens salariés de l asso iatio. Il a pas eu de ouve e t su l a e. U juge e t o e a t Monsieu Belkhelfa a t e du le f v ie o da a t l asso iatio à payer un montant inférieur à ce qui avait été provisionné. Mais Monsieur Belkhelfa ayant fait appel, aucune ep ise de p ovisio a t o stat e. Note N - Provisions pour PGE La provision pour gros entretien fait l o jet d u plan pluriannuel d e t etie, glissant sur 5 ans. Au 31 décembre 2013, cette provision s l ve à , et des travaux ont été réalisés durant 2013 pour un montant de Note O - Provision de taxes foncières sur les propriétés bâties Les immeubles sociaux sont exonérés, pendant 15 ans, de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB). Comme cette taxe est répercutée dans le montant mensuel de la redevance réclamée à l o upa t, celui-ci va bénéficier pendant les 15 premières années d u e réduction de redevance, puis, brutalement, d u e hausse de même montant. Une provision a donc été constatée afin de linéariser cette augmentation. Une reprise de a été constatée su l e e i e. Note P - Produits constatées d ava e Ces p oduits o espo de t au su ve tio s pe çues du a t l a e ais do t l att i utio o e e, e tout ou pa tie, u e p iode post ieu e. API P ove e appo t d a tivit s 79

81 1. LE BILAN API P ove e appo t d a tivit s 80

82 API P ove e appo t d a tivit s 81

83 2. LE COMPTE DE RESULTAT API P ove e appo t d a tivit s 82

84 API P ove e appo t d a tivit s 83

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