LIBRE-ÉCHANGE, MONDIALISATION ET DÉLOCALISATION
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- Jean-Bernard Desmarais
- il y a 8 ans
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1 LIBRE-ÉCHANGE, MONDIALISATION ET DÉLOCALISATION Cette fiche présente les fondements du libre échange modèle dominant depuis plusieurs siècles. Elle s intéresse ensuite au phénomène de délocalisation pour en évaluer l'ampleur et l'impact réel sur les économies nationales. Compte tenu de la modestie relative de cet impact (même s'il mérite qu'on s'en préoccupe), on tentera ensuite d'analyser ce phénomène comme faisant partie intégrante d'un discours idéologique basé sur le chantage à l'emploi pour faire accepter des politiques socialement régressives. Au XVIe siècle, les Provinces Unies, qui dominaient alors l économie-monde européenne, se faisaient l avocat inconditionnel du libéralisme, maintenant des tarifs douaniers peu élevés, autorisant la libre circulation des monnaies et laissant à ses marchands, en pleine guerre, le droit de commercer avec l ennemi 1. Cette position fût adoptée par l Angleterre après avoir été théorisée par les pères fondateurs de l économie politique classique, Adam Smith et David Ricardo. Les avantages comparatifs Dans La Richesse des Nations, A. Smith fait de la division internationale du travail la source de tout progrès économique véritable. L augmentation de la productivité passe par la spécialisation des tâches qui conditionne l introduction des machines. Mais encore faut-il que la taille du marché le permette. D où l importance d une division du travail à l échelle internationale. Pour Smith, le critère de la spécialisation internationale optimale est simple ; c est la comparaison des coûts absolus de production. Au niveau national, ceux-ci ont tendance à s égaliser, notamment parce que les prix des facteurs de production (terre, travail, capital) se forment désormais sur des marchés concurrentiels. Au niveau international en revanche, des écarts de prix subsistent du fait de l immobilité des facteurs de production et de l inégalité des techniques de production. C est donc le libre-échange et la spécialisation internationale qui vont permettre à chaque nation d exploiter au mieux son potentiel productif. Dans son Principe de l économie politique et de l impôt, David Ricardo conteste ce point de vue en montrant qu un pays qui dispose d un avantage absolu de productivité a tout de même intérêt à l échange, en se spécialisant dans les productions pour lesquelles les coûts relatifs sont les plus bas, autrement dit pour lesquelles son avantage comparatif est le plus grand. Dans un exemple fameux, il montre que si le Portugal est plus efficace que l Angleterre dans la production de vin comme dans celle de drap, il n en a pas moins intérêt à délaisser cette dernière si son avantage de coût est plus grand dans la production de vin. Se spécialiser selon ses avantages comparatifs signifie donc le faire dans la production dans laquelle son handicap relatif est le moins grand. Une spécialisation internationale du travail fondée sur le principe des avantages comparatifs permet en théorie, une allocation optimale des ressources. Le «père de l économie politique» au service de la classe capitaliste Le problème qui préoccupe réellement Ricardo c est la lamination des profits du capital découlant de l augmentation de la population qui contraint à mettre en culture les terres les moins productives accroissant la rente des propriétaires fonciers et augmentant le coût de reproduction de la force de travail donc des salaires. Pour Ricardo, la solution réside dans le commerce international et plus particulièrement dans la libre importation du blé qui, en réduisant le coût des produits nécessaires à la reproduction de la force de travail permet de réduire les salaires et de
2 restaurer les profits du capital. Cela implique l abolition des Corn Laws qui protègent l agriculture anglaise de la concurrence depuis la fin des guerres napoléoniennes. Dès lors, les intérêts du capitalisme anglais pourront être assimilés à l intérêt national britannique, lui-même identifié au libre-échange. Dès 1840, L Angleterre réduit unilatéralement ses droits de douane sur les produits manufacturés, supprime toute prohibition à l importation (1842), renonce à la préférence impériale en faveur des produits des colonies (1845) et abolit les Corn Laws (1846) ainsi que les Actes de navigation 2 (1849). Ou le théorème HOS pour justifier le libre-échange Toutefois l hypothèse ricardienne s appuyant sur l immobilité des facteurs de production devenait contestable dès lors que l un des facteurs ou a fortiori les deux capital et travail devenaient mobiles. Pourtant, la plupart des économistes continuait de professer que le libre échange demeurait la solution optimale. Mais il s agissait, en partie, d une vision idéologique, car rétrospectivement les faits ne permirent pas d établir une corrélation entre ouverture commerciale et vigueur de la croissance économique. A la période d ouverture croissante ( ) succéda un regain de protectionisme entre 1885 et 1913 qui n a pas empêché le retour à la fois de la croissance économique et (de) l augmentation du taux d ouverture dans les dernières années du siècle 3. Même les perfectionnements apportés par les économistes néoclassiques du XX e siècle, d abord Eli Heckscher et Bertil Ohlin dans les années 20 puis Paul Samuelson dans les années 50 (théorème ou modèle HOS) ne prenaient pas en compte cette mobilité. L approche néoclassique revient à un explication de l échange fondée sur la rareté relative donc la complémentarité et non plus sur l efficacité productive comparée, donc la concurrence. Délocaliser pourquoi? Que les entreprises se «délocalisent» n est donc pas nouveau. Avec la globalisation financière, ce sont les raisons et les conditions qui président à la délocalisation qui ont profondément changé. Pendant la période qui précède la libéralisation financière, les entreprises développaient des implantations à l étranger essentiellement pour accéder à un marché qui leur était interdit du fait des droits de douane. Pour ce faire, elles devaient se soumettre aux législations que leurs imposaient les Etats. Les investissements à l étranger [IDE] étaient soumis à un strict contrôle et leurs implantations conditionnées par de nombreuses contraintes : participation au capital des résidents, obligations de recruter sur le marché national, impossibilité de rapatrier la totalité des bénéfices. Certains secteurs traditionnellement de services publics leurs étaient interdits. L ensemble de ces contraintes a été emporté par le mouvement de libéralisation de la globalisation. C est l Accord sur les mesures concernant les investissements et liées au commerce (TRIMs, Agreement on trade related investment measures) qui est l un des accord de l Acte final de l Uruguay Round signé le 15 avril 1994 à Marrakech, qui concluera cette période. Investissement Direct à l'etranger ou investissements de Portefeuille L'OCDE définit l'investissement Direct à l'etranger ainsi : «L IDE est une activité par laquelle un investisseur résidant dans un pays obtient un intérêt durable et une influence significative dans la gestion d une entité résidant dans un autre pays. Cette opération peut consister à créer une entreprise entièrement nouvelle (investissement de création) ou, plus généralement, à modifier le statut de propriété des entreprises existantes (par le biais de fusions et d acquisitions). Sont également définis comme des investissements directs étrangers d autres types de transactions financières entre des entreprises apparentées, notamment le réinvestissement des bénéfices de l entreprise ayant obtenu l IDE, ou d autres transferts en capital». Ces derniers incluent notamment les prêts accordés par une maison-mère à sa filiale implantée à l'étranger. 2 Acte britannique de 1651 destiné à contenir la puissance maritime des Provinces unies en limitant l entrée des ports anglais aux navires étrangers. 3 Les relations commerciales entre la France et l Europe depuis 1850 par Philippe Guillaumet, Revue de l OFCE n 82, juillet 2002, p 55.
3 Contrairement aux investissements de portefeuille, les IDE impliquent une prise de contrôle de la part de la firme étrangère. Le seuil à partir duquel le contrôle s'exerce est arbitraire, le FMI utilise une valeur de 10 %. Désormais, les entreprises ont une totale liberté de s implanter où bon leur semble. Elles n ont d ailleurs plus forcément besoin, compte tenu de la diminution des coûts de transport, de délocaliser pour conquérir de nouveaux marchés. Si elles le font c est pour optimiser leur profit car la liberté acquise par la déréglementation et la libre circulation des capitaux profite d abord aux investisseurs. En allant se financer directement sur les marchés, les entreprises se sont soumises au bon vouloir de ces derniers dont les exigences en terme de retour sur investissement les ont contraintes à rechercher toutes les opportunités pour produire à moindre coût. Notamment en faisant jouer la concurrence entre les pays. La situation s est donc complètement inversée et là où les Etats fixaient leurs conditions, ils se livrent maintenant à une compétition acharnée pour attirer les investisseurs. Aucun n y échappe! Les zones franches sont en développement constant et offrent aux entreprises transnationales des conditions de plus en plus attrayantes. La première des conditions reste l attractivité des salaires bas. Mais elle n est pas la seule. Les conditions fiscales, la législation du travail et les normes environnementales vont jouer un rôle déterminant dans la mise en compétition entre les territoires. Tous les territoires sont devenus potentiellement concurrents. Les emplois qui quittent une région française ne partiront pas obligatoirement vers l Asie, le Maghreb ou l Afrique. Ils pourront tout aussi bien être délocalisés en Irlande du Nord pour bénéficier d une fiscalité extrêmement avantageuse ou plus récemment vers la Lituanie pour tirer partie d un salaire minimum 10 fois inférieur à celui en vigueur en France. Les communes n utilisaient-elles pas souvent, dans une même région, la taxe professionnelle pour attirer les entreprises sur leurs zones d activité? Mondialisation et restructurations Il reste néanmoins indéniable que ce sont surtout les entreprises transnationales qui sont en capacité d utiliser pour leur plus grand profit ces disparités entre les territoires. Grâce à la globalisation financière, au développement des techniques de communication et des transports elles ont totalement réorganisé leur fonctionnement sur une logique de «déverticalisation». C est-à-dire en externalisant progressivement tous leurs services à l exclusion de ceux qui concentrent l essentiel de la valeur ajoutée. Les premières à évoluer vers ces modes de fonctionnement ont été les entreprises industrielles n ayant pas recours à l emploi le plus qualifié. Ce qui compte c est que le produit final réponde exactement aux spécifications du donneur d ordre, même s il est réalisé par intégration d une série de sousensembles confiés à des producteurs éventuellement dispersés dans le monde entier. Le donneur d ordre se réserve les fonctions essentielles liées à l image (marketing), à la mise au point (recherche-développement) et empoche les profits découlant de l exploitation de la marque dans laquelle se concentre toute la valeur ajoutée. Ainsi cohabitent deux mouvements apparemment contradictoires dans l organisation des groupes transnationaux : la décentralisation de la production et la concentration des pouvoirs de décision. Ils sont en fait rendus possibles par le développement des technologies de l information. Ces possibilités nouvelles en matière de communication ont fait entrer le secteur des services dans la logique de la globalisation réservée jusque là au seul secteur industriel. Pour suivre cet essor, le principal indicateur est l évolution des IDE (graphique ci-dessous). La vague importante de privatisations et de déréglementations qui traverse les années quatrevingt et quatre-vingt-dix va multiplier les opportunités pour les grands groupes internationaux de pénétrer de nouveaux marchés par acquisition ou par fusion plutôt que par la création, toujours plus risquée, de nouvelles unités de production. Ces STN n ont donc plus guère d ancrage territorial. Elles jouent de façon croissante de la concurrence entre les territoires entretenant, de ce fait des relations de plus en plus conflictuelles avec leur environnement géographique.
4 sources CNUCED 2007, Zimmermann/La Vie économique Restructurations, délocalisations et emploi L observatoire des restructurations mis en place par la Fondation de Dublin 4 indique, que sur la période , les délocalisations sont responsables de 5,5% des suppressions d emplois consécutives aux restructurations. Si le phénomène est loin d être négligeable, ces chiffres masquent néanmoins l impact réel des restructurations sur l emploi. En effet, au sens strict du terme, la délocalisation c est la suppression d une production dans une entreprise et son transfert vers un autre pays. Ainsi, le basculement d un fournisseur résidant vers un fournisseur étranger n entre pas dans cette comptabilité. De la même façon, la nonlocalisation, autrement dit les capacités de production nouvelles qui sont installées ailleurs plutôt que dans le pays d'origine en est aussi exclue. Toute donnée chiffrée sur l impact des délocalisations doit donc être examinée en tenant compte du fait qu elle minimise considérablement l impact sur l emploi de la vague de restructurations entamée au début des années 80. C est avec cette précaution qu il convient d examiner les chiffres proposés dans l encadré. Quelques chiffres extraits de Un pur capitalisme, Michel Husson, Editions page 2, 2008 Selon le rapport Fontagné et Lorenzi (2005) on peut chiffrer l impact sur l emploi de la concurrence avec les pays du Sud à 10% au maximum sur la période Selon l étude commandée par le Sénat au cabinet Katalyse, emplois devraient être délocalisés entre 2006 et 2010, soit 22% de la création nette d emplois salariés au cours des cinq dernières années. Il s agirait, dans 80% des cas, de «non-localisations», autrement dit de créations d activités nouvelles dans d autres pays (principalement européens) plutôt que de délocalisations d activités existantes. Un autre rapport, réalisé à la demande de l Inspection générale des affaire sociales, non rendu public, insiste sur la «délocalisation sur place» qui consiste à importer des travailleurs étrangers en France. Une méthode déjà utilisée dans le bâtiment, les travaux publics et par France Telécom conclut le rapport Les délocalisations affectent peu à peu tous les secteurs. Elles s opèrent vers les pays à bas 4 La Fondation Européenne pour l amélioration des conditions de vie et de travail de Dublin est un organe de l Union européenne créé en 1975, qui a pour mission de contribuer à la conception et à l établissement de meilleures conditions de vie et de travail. Elle exécute ses tâches en collaboration avec les gouvernements, les employeurs, les syndicats et la Commission européenne.
5 salaires pour le textile et l équipement et vers les pays développés pour les secteurs de l automobile, de l aéronautique et de l électronique. Loin d être en reste, les services ont vu s accélérer le phénomène notamment dans les secteurs ne nécessitant pas de proximité physique avec les clients (téléphonie, maintenance, service après vente, comptabilité). Si ce sont encore les salariés non qualifiés qui sont les plus touchés, aucune catégorie n est aujourd hui épargnée et la délocalisation des services va affecter de plus en plus fortement l emploi qualifié. Mais les restructurations pèsent aussi indirectement sur l emploi, en maintenant la pression à la baisse sur les salaires et les conditions de travail. Dans un contexte où la concurrence entre les territoires est devenue la règle, la menace d avoir recours à la délocalisation est constamment mise en avant pour contraindre les salariés à accepter de différer toutes revendications salariales. Elle est utilisée aussi bien à l intérieur de l entreprise qu à l extérieur vis-à-vis des fournisseurs totalement dépendants du donneur d ordre qui les soumet à ce chantage. Fausses solutions Face à cette situation la plupart des propositions ne remettent pas en cause la logique du modèle d un commerce libre et sans entraves moteur d un développement tiré par les exportations. Un modèle imposé par les pays du Nord et leurs institutions à l ensemble de la planète. Il y a les tenants du «laisser-faire» qui considèrent qu il «faut accepter que les salaires chinois rejoignent les nôtres et que nos salaires glissent vers ceux de la Chine [ ] et que si nous essayons d empêcher l égalisation du prix des facteurs, autrement dit, si nous défendons nos salaires, alors une partie trop importante de la production sera délocalisée vers les Pays à Bas Salaires» 5 Il y a ceux qui appellent à l intervention pour favoriser l emploi des travailleurs non qualifiés (emplois exposés) par des aides indirectes et pour développer l emploi des services non délocalisables (emplois protégés). Cette option, qui ne remet pas en cause des logiques libérales à l œuvre, favorisera l accélération des inégalités au travail. Elle s accompagne généralement d un discours sur la baisse des salaires dans le «secteur protégé» afin d accélérer la demande des biens et services dans ce secteur. De façon plus générale, la stratégie qui prévaut aujourd hui en Europe face aux dégâts des restructurations est celle qui vise à faire de l économie européenne «l économie de la connaissance la plus compétitive du monde» 6. L investissement massif dans la recherche, l éducation et la formation associés à des «réformes» structurelles favorisant «employabilité» et mobilité seraient la clé du succès. Mais les créations d emploi dans les secteurs ainsi dynamisés ne seront pas en mesure de combler l effondrement de l emploi dans les secteurs traditionnels d une part et les réformes mises en place dans cette perspective favorisent déjà une accélération fulgurante du développement des emplois précaires d autre part. 5 Hans-Werner Sinn (2004) président de l institut allemand d IFO - Un pur capitalisme, Michel Husson, Editions page 2, Stratégie dite «de Lisbonne» qui a été formalisée comme axe majeur de la politique économique de l UE lors du Conseil qui s est tenu à Lisbonne en mars 2000 (quinze Etats membres).
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