Comment expliquer les taux d intérêt négatifs?
|
|
- Edith Papineau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Comment expliquer les taux d intérêt négatifs? Depuis quelques années, certains grands pays de la zone euro comme l Allemagne ou la France peuvent emprunter sur les marchés financiers à des taux d intérêt négatifs. Il s agit d un phénomène inédit et qui tend à se développer. Ainsi, non seulement de plus en plus de titres obligataires émis par ces Etats sont assortis de rémunérations inférieures à zéro, mais en outre les taux d intérêt tendent à s enfoncer de plus en plus en territoire négatif. Parallèlement, depuis juin 2014, la Banque centrale européenne ( BCE ) pratique elle aussi des taux d intérêt négatifs à l égard des dépôts que les banques de la zone euro déposent chez elle. Comment un tel phénomène est-il possible? La réponse à cette question nécessite que l on revienne dans un premier temps sur les politiques monétaires mises en œuvre par les grandes banques centrales des pays développés en réaction à la crise de 2008, car elles permettent de comprendre pourquoi les taux d intérêt ont enclenché une spirale baissière. Dans un second temps, à partir de mi-2012, les taux d intérêt négatifs en zone euro sont apparus et se sont ensuite étendus du fait de l anticipation puis de la mise en œuvre en mars 2015 d un vaste programme de rachats d actifs financiers de la BCE. Des politiques monétaires expansionnistes pour faire baisser les taux d intérêt Après le déclenchement de la crise financière de 2008, la banque centrale américaine (la FED ) a opté pour la mise en œuvre d une politique monétaire non conventionnelle consistant à acheter des titres de dette publique sur le marché obligataire, dans le but de faire baisser les taux d intérêt à moyen et long terme, de générer des gains en capital pour les investisseurs boursiers et ainsi favoriser la relance de l économie américaine. Au total, la FED conduira trois programmes successifs d assouplissement quantitatif par le biais desquels elle aura injecté près de milliards de dollars sur les marchés financiers entre 2009 et 2014 (le programme a pris fin en octobre 2014). La Banque d Angleterre, la Banque du Japon, puis la BCE (à partir de mars 2015) se lanceront également dans des politiques d assouplissement quantitatif. Dans le cas européen, le plan d assouplissement quantitatif de la BCE correspond à une enveloppe totale de milliards d euros. Parallèlement, toutes les banques centrales des grands pays développés ont procédé à des baisses de leur taux d intérêt principal, par lequel elles refinancent les banques commerciales. La Fed a ainsi très rapidement porté son taux principal à son minimum en 2009 (entre 0 et 0,25 %), alors que la BCE ne baissera ses taux qu à partir de 2011 et décidera de fixer son taux principal de refinancement à 0 en février Les conséquences de ces politiques monétaires très expansionnistes au niveau mondial furent : De déverser des masses considérables de liquidités sur les marchés financiers. Les investisseurs qui recevaient ces liquidités en échange des titres vendus aux banques centrales ont alors cherché à les réinvestir. Une partie a été «recyclée» dans l économie réelle pour financer des projets privés (des particuliers ou des entreprises), notamment aux Etats-Unis, mais l essentiel est resté sur les marchés financiers obligataires et actions, provoquant des hausses parfois spectaculaires des bourses. De provoquer des baisses très importantes des taux d intérêt à court, moyen et long terme. C est ce que l on dénomme parfois
2 «l aplatissement de la courbe des taux» pour signifier que les taux d intérêt de toutes les échéances, de la plus courte à la plus longue, ont été orientés à la baisse de façon concomitante. Sur les marchés obligataires, les achats d actifs opérés par les banques centrales ont en effet provoqué un déséquilibre entre l offre et la demande pour les titres souverains qui s est traduit par une baisse sensible des taux. L assouplissement quantitatif de la BCE à l origine des taux négatifs en zone euro Alors que les investisseurs internationaux disposent de liquidités très importantes et que les taux d intérêt sont déjà faibles, la politique d assouplissement quantitatif lancée par la BCE en mars 2015 va à la fois accroître le montant des capitaux disponibles sur les marchés financiers européens et réduire les possibilités d investissement en titres obligataires de la zone euro, provoquant ainsi un «effet rareté» qui, conjugué à des anticipations d inflation de plus en plus faibles, se traduira par l apparition de taux d intérêt négatifs sur une partie des titres obligataires émis par les Etats de la zone euro dont les finances sont réputées les plus solides, comme l Allemagne et la France. Que signifie un taux négatif? Dans une situation normale, un détenteur d obligation perçoit un intérêt annuel pendant toute la durée de vie de l obligation. A l échéance de celle-ci, il est également remboursé du montant du nominal, c est à dire de la valeur faciale de l obligation. Une obligation émise à 100 euros au taux de 2 % par an sur 5 ans produira 2 euros d intérêt annuels, soit au total 10 euros sur la durée de vie de l obligation. Au terme de celle-ci, le détenteur de l obligation recevra en outre les 100 euros. En cas de taux d intérêt négatif, l obligation émise donne également droit à la perception d intérêt sur toute sa durée de vie. Toutefois, son détenteur ne l a pas achetée à sa valeur faciale, mais plus. Par exemple il l achète 111 euros alors que sa valeur faciale est de 100 euros. A l échéance de l obligation, il recevra ces 100 euros. Avec un taux d intérêt de 2 % par an sur 5 ans, il aura perçu des coupons pour un total de 10 euros (2 euros par an sur 5 ans). Au final, il récupère 100 euros après avoir encaissé 10 euros d intérêts, soit 110 euros sur la période alors qu il a acheté le titre 111 euros. Son rendement est donc négatif de 0,9 % (1 euro perdu sur 111 investis). Comme le paiement du coupon est fixe et connu lors de l émission, l investisseur sait que son rendement sera négatif dès qu il achète le titre et prend donc sa décision en connaissance de cause. EN SAVOIR PLUS Pourquoi investir dans des taux d intérêt négatifs? Les investisseurs acceptent d investir en rendement négatifs pour plusieurs raisons : soit ils sont contraints d acheter des titres obligataires souverains de la zone euro du fait de leurs statuts (OPC par exemple) ou de la réglementation (banques ou assurances), soit ils pensent que l inflation future sera négative et que de ce fait leur rendement réel, une fois déduit le taux d inflation, sera positif, soit ils adoptent un comportement spéculatif en pariant sur la poursuite de la baisse des rendements en zone euro, ce qui fera monter mécaniquement le cours des obligations qu ils ont achetées et qu ils pourront revendre avec une plus-value. Le rôle moteur de l assouplissement quantitatif de la BCE
3 En mars 2015, la BCE procède à ses premiers rachats de titres obligataires sur les marchés financiers. Le montant de ce programme est de 60 milliards d euros mensuels, porté ensuite à 80 milliards d euros mensuels à partir d avril 2016 (toujours en cours). Ces achats portent sur les titres souverains des pays de la zone euro, répartis au prorata du taux de détention des banques centrales nationales au capital de la BCE, ce qui favorise les grands pays et notamment l Allemagne, puisque la Bundesbank est le premier actionnaire de la BCE, ou la France. Effet rareté et hausse du prix des obligations De fait, et bien que les rachats de la BCE ne puissent pas dépasser 25 % des titres émis lors de chaque émission, la demande pour ces titres sur le marché secondaire a d autant plus augmenté que la réglementation prudentielle incite les établissements de crédit à détenir ce genre de titres. Les rachats de la BCE ont ainsi provoqué mécaniquement un afflux de liquidités en direction des titres obligataires souverains qui étaient déjà les plus recherchés par les investisseurs en raison de la qualité de la signature de l émetteur. Aussi, les quantités de ces titres sur le marché secondaire ont diminué, provoquant un «effet rareté» propice à la hausse du prix de ces obligations souveraines. Or, lorsque le prix d une obligation augmente, son rendement diminue automatiquement, et inversement. En effet, l intérêt de l obligation est fixé lors de l émission et ne bouge plus jusqu au terme. Si le prix de l obligation monte sur le marché secondaire, l acquéreur percevra alors un intérêt proportionnellement à sa mise de fonds moins élevé que celui initialement fixé. C est ce mécanisme qui explique que les taux d intérêt sur les titres obligataires de certains grands pays européens aient baissé substantiellement sur le marché secondaire depuis la mise en place de la politique d assouplissement quantitatif de la BCE. De façon symétrique, les taux d intérêt de ces mêmes titres émis sur le marché primaire ont été également orientés à la baisse en liaison avec la baisse observée sur le marché secondaire. Les investisseurs internationaux se sont en effet retrouvés en partie évincés du marché secondaire et se sont donc repliés sur le marché primaire où la BCE n intervient pas, mais où le nombre d émissions est également réduit. De fait, l effet rareté a également joué sur le marché primaire et les taux d intérêt ont baissé pour les titres les plus demandés, c est-à-dire ceux des pays de la zone euro dont les finances publiques sont jugées les plus solides (Allemagne, France, mais aussi Pays-Bas, Autriche).
4 Les anticipations d inflation et la recherche de sécurité ont pesé sur les taux d intérêt La formation des taux d intérêt sur le marché obligataire primaire est le résultat de la combinaison de quatre éléments : la maturité de l obligation, les anticipations sur le niveau futur de l inflation, la prime de risque associée à la qualité de l émetteur et l équilibre entre l offre et la demande de titres. La maturité d une obligation correspond à sa durée de vie. Plus celle-ci est courte, plus le taux d intérêt sera bas. En effet, une maturité courte signifie que le capital sera remboursé à l investisseur rapidement. Le risque de ne pas être remboursé à l échéance, en raison du défaut de l emprunteur, est donc plus faible que sur une obligation de maturité plus longue. En conséquence, le taux d intérêt servi, qui intègre la rémunération du risque du prêteur, est moins élevé pour les obligations à court terme que pour les obligations à moyen ou long terme. Cette hiérarchie des taux d intérêt selon la durée de vie des obligations, leur maturité, se dénomme la courbe des taux. Or, en raison des baisses successives des taux d intérêt à court terme opérées par la BCE depuis 2011, la courbe des taux a été entraînée vers le bas, phénomène connu sous le terme «d aplatissement de la courbe des taux». Ce sont tous les taux d intérêt des obligations souveraines qui ont ainsi été orientés à la baisse. Les investisseurs obligataires sont également très sensibles aux évolutions de l inflation. En effet, une forte inflation a pour conséquence de réduire la rentabilité réelle de leur placement puisque les intérêts perçus sont fixes pendant toute la durée de vie de l obligation. Ainsi, pour compenser ce risque, ils exigent que les taux d intérêt intègrent les perspectives d inflation à l horizon de la maturité du titre. Les taux d intérêt seront donc d autant plus élevés que les anticipations d inflation seront fortes. Or aujourd hui, ces perspectives d inflation en zone euro sont nulles, voire négatives à court terme et très faibles à moyen/long terme. Cet élément vient donc se rajouter à la baisse des taux de court terme orchestrée par la BCE pour peser encore davantage sur les taux des obligations souveraines de toutes maturités.
5 Depuis le déclenchement de la crise grecque en 2010, les investisseurs obligataires ont par ailleurs pris conscience que toutes les obligations souveraines émises par les Etats membres de la zone euro n étaient pas identiques en terme de risque. Alors que jusque-là le risque de défaut d un Etat de la zone euro sur sa dette était apprécié de façon assez homogène avec une probabilité faible, leur attitude à ce sujet a radicalement changé. Désormais, les investisseurs intègrent dans leur stratégie de placement un facteur «risque de défaut» différencié selon les Etats de la zone euro : plus ce risque est jugé fort, en relation avec les notations attribuées par les agences de notation, plus les investisseurs exigeront une prime de risque élevée qui viendra s ajouter au taux d intérêt, et inversement. Ainsi, pour les pays dont les finances publiques sont réputées saines (Allemagne, Pays-Bas, Autriche par exemple) ou dont le système fiscal est considéré comme efficace (France, notamment) les primes de risques se sont réduites, contrairement à d autres pour lesquels elles se sont accrues (Italie, Espagne, Portugal, Grèce). C est ainsi que l appréciation du risque par les investisseurs obligataires a pu peser sur les taux d intérêt des obligations souveraines, à la baisse pour certains pays (l Allemagne et la France, notamment) mais aussi à la hausse pour d autres (en particulier Italie, Portugal, Espagne, Grèce). Enfin, à la suite de la crise de l euro en et de la crise grecque de , les investisseurs internationaux sont devenus extrêmement prudents dans leur choix d allocation de portefeuille. Ils recherchent ainsi prioritairement les titres sur lesquels ils sont certains de ne pas subir de fortes pertes en capital. Or, seuls quelques pays de la zone euro sont capables d émettre des titres répondant à cette exigence. Lorsque l un de ces Etats émet des titres sur le marché obligataire, des flux très importants de capitaux se portent candidats pour acquérir ces titres. La concurrence entre les prêteurs, qui ne seront pas tous servis en raison du déséquilibre entre le nombre restreint de titres émis et la demande pour ces titres, exerce une forte pression à la hausse sur le prix des titres, favorisant ainsi la baisse des rendements. Au final, l apparition de taux d intérêt négatifs sur les marchés financiers obligataires tient à la combinaison de ces quatre éléments, selon le schéma suivant : 1) L inflation en zone euro baisse, en rythme annuel elle est passée de 2,5 % en 2012 à 0 % en 2016 (9 1ers mois). Parallèlement, la BCE a abaissé son taux principal de refinancement des banques pour le porter à 0 % en février Conséquence : les taux d intérêt sur les obligations souveraines en zone euro ont accompagné ce mouvement et baissent régulièrement depuis ) La politique d assouplissement quantitatif lancée par la BCE en mars 2015 provoque un assèchement du marché secondaire des titres obligataires souverains de la zone euro, notamment pour les titres émis par les grands pays dont l Allemagne et la France. Conséquence : les investisseurs internationaux sont en grande partie évincés du marché secondaire et se retournent vers le marché primaire. 3) Les investisseurs, échaudés par la crise de l euro puis la crise grecque, recherchent avant tout des titres sûrs. Ils se dirigent sur les émissions des pays bénéficiant des meilleures notations des agences de rating, notamment celles de l Allemagne et de la France. Conséquence : les afflux de capitaux cherchant à s investir sur ces titres provoquent une hausse de leurs prix et donc une chute de leurs rendements. 4) Les investisseurs acceptent d acquérir des obligations proposant des rendements négatifs car c est le prix à payer pour obtenir des titres sûrs. Une partie certainement non négligeable des investisseurs obligataires souscrivant aux émissions à rendement négatifs adoptent toutefois un comportement spéculatif. Plusieurs cas peuvent être envisagés à ce titre : D une part, pour certains investisseurs internationaux hors zone euro, l acquisition de titres obligataires à rendement négatif leur permet d espérer réaliser une plus-value à terme ou d obtenir des rendements positifs s ils anticipent une appréciation de l euro contre leur monnaie nationale. En effet, la hausse de l euro signifie que la conversion en monnaie nationale des intérêts perçus et/ou du nominal de l obligation à l échéance leur procurera un surcroît de rémunération du fait d un taux de change plus favorable. Cet effet de change peut alors compenser le rendement négatif exprimé en euros.
6 D autre part, si les investisseurs anticipent la poursuite de la baisse des rendements obligataires, la hausse de la valorisation de leur portefeuille qui en résultera leur permettra de réaliser des plus-values s ils cèdent leurs titres sur le marché secondaire. Enfin, les investisseurs peuvent aussi acquérir des obligations à rendement négatif sur le marché primaire pour les céder ensuite à la BCE dans le cadre de sa politique de rachat d actifs. Les liquidités ainsi obtenues permettent de renouveler l opération et d engranger des plus-values régulières si les taux d intérêt poursuivent leur baisse. EN SAVOIR PLUS Dossiers : Politique monétaire Banque centrale européenne Obligations Actualité sur les décisions de la BCE
Chapitre 2 : l évaluation des obligations
Chapitre 2 : l évaluation des obligations 11.10.2013 Plan du cours Flux monétaires, prix et rentabilité Bibliographie: caractéristiques générales Berk, DeMarzo: ch. 8 obligations zéro-coupon obligations
Plus en détailTARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015
TARIFICATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS AU 01 JANVIER 2015 I. Organismes de Placements Collectifs 1. SICAV émises par la BCEE Sous réserve d exceptions éventuelles prévues dans le prospectus d émission,
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détail4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années
Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailINVESTIA - le 23/05/2014 1
INVESTIA - le 23/05/2014 INVESTIA - le 23/05/2014 1 Bourse des Valeurs Mobilières de Tunis Dépositaire central des titres Conseil du Marché Financier la Bourse cumulait plusieurs fonctions Gestion du marché
Plus en détailLE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier
Conférence ATEL - 11 décembre 2012 LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier Marc-Antoine DOLFI, associé 1 PLAN DE PRESENTATION Le contrat de capitalisation 1. Description 2.
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailLES ACQUISITIONS DE TITRES. Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). TABLE DES MATIERES
LES ACQUISITIONS DE TITRES Objectif(s) : o Classification des titres. Pré-requis : o Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). Modalités : o Immobilisations financières :
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailFinance de marché Thèmes abordés Panorama des marches de capitaux Fonctionnement des marchés de capitaux Le marché des obligations Le marchés des
FINANCE DE MARCHE 1 Finance de marché Thèmes abordés Panorama des marches de capitaux Fonctionnement des marchés de capitaux Le marché des obligations Le marchés des actions Les marchés dérivés Les autres
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailalpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.
alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody
Plus en détailFiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1
Fortis AG - Vos assurances chez votre courtier Fiche info financière Assurance-vie Top Protect Financials 08/2018 1 1 Cette fiche d information financière décrit les modalités du produit qui sont d application
Plus en détailChapitre 8 L évaluation des obligations. Plan
Chapitre 8 L évaluation des obligations Plan Actualiser un titre à revenus fixes Obligations zéro coupon Obligations ordinaires A échéance identique, rendements identiques? Évolution du cours des obligations
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailInfo Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive!
Allianz Suisse Case postale 8010 Zurich www.allianz-suisse.ch Info Finance 01 YDPPR267F et Prévoyance Édition 01, mars 2013 EXCÉDENTS LPP En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale
Plus en détailS informer sur. Les obligations
S informer sur Les obligations Octobre 2012 Autorité des marchés financiers Les obligations Sommaire Qu est-ce qu une obligation? 03 Quel est le rendement? 04 Quels sont les risques? 05 Quels sont les
Plus en détailZone euro Indicateur d impact du QE
N 1/263 1 er septembre 21 Zone euro Indicateur d impact du Avec l annonce d un programme étendu d achats d actifs non stérilisés (quantitative easing, ), portant essentiellement sur des titres souverains,
Plus en détailTable des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...
III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................
Plus en détailPROSPECTUS COMPLET PROSPECTUS SIMPLIFIE PARTIE A STATUTAIRE
PROSPECTUS COMPLET OPCVM conforme aux normes européennes PROSPECTUS SIMPLIFIE PARTIE A STATUTAIRE Présentation succincte : Dénomination : Forme juridique : Compartiments/nourricier : Société de gestion
Plus en détailLe système bancaire dans la crise de la zone euro. par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012)
Le système bancaire dans la crise de la zone euro par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012) La crise de la zone euro a mis en évidence les liens étroits qui relient la
Plus en détailG&R Europe Distribution 5
G&R Europe Distribution 5 Instrument financier émis par Natixis, véhicule d émission de droit français, détenu et garanti par Natixis (Moody s : A2 ; Standard & Poor s : A au 6 mai 2014) dont l investisseur
Plus en détailLA CAISSE DE PENSION DE LA SSPH
LA CAISSE DE PENSION DE LA SSPH Newsletter Rétrospective et perspectives Informations à nos assurés Compréhension du certificat d assurance Organisation de la Fondation Genève, janvier 2013 Rétrospective
Plus en détail3 ) Les limites de la création monétaire
3 ) Les limites de la création monétaire Si un banquier n a besoin que de son stylo pour créer de la monnaie, on peut se demander ce qui empêche une création infinie de monnaie. En fait, la création monétaire
Plus en détailCompte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)
Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie
Plus en détailProblèmes de crédit et coûts de financement
Chapitre 9 Problèmes de crédit et coûts de financement Ce chapitre aborde un ensemble de préoccupations devenues essentielles sur les marchés dedérivésdecréditdepuislacriseducréditde2007.lapremièredecespréoccupations
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER SEANCE 4 LE VOCABULAIRE BANCAIRE ET FINANCIER Objet de la séance 4: définir les termes techniques utilisés par le trésorier
Plus en détailLes valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8
Les actions 3 Les droits et autres titres de capital 5 Les obligations 6 Les SICAV et FCP 8 2 Les actions Qu est-ce qu une action? Au porteur ou nominative, quelle différence? Quels droits procure-t-elle
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détail«Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis!
Table Ronde 1! «Le pilotage en période de taux bas»!!! Patrick ARTUS! Directeur de la Recherche et des Etudes de Natixis! Marie LEMARIÉ! Directeur Financement et Investissement de Groupama SA!! Mikaël
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailLE FINANCEMENT DES ENTREPRISES
Copyright Duhamel Blimbaum. Introduction La création récente de la Banque Publique d Investissement reflète la nécessité d une refonte des processus mais aussi et surtout des moyens de financement des
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailFORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1
FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailLes obligations. S. Chermak infomaths.com
Les obligations S. Chermak Infomaths.com Saïd Chermak infomaths.com 1 Le marché des obligations est un marché moins médiatique mais tout aussi important que celui des actions, en terme de volumes. A cela
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailLes OAT investir en direct. > OAT à taux fixe > OAT indexées > OAT de capitalisation. Guide à l usage des particuliers
Les OAT investir en direct > OAT à taux fixe > OAT indexées > OAT de capitalisation Guide à l usage des particuliers 1 Gérer son patrimoine financier Simplicité Liquidité Sécurité Les OAT à taux fi xe,
Plus en détailPARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : INFORMATIONS CONCERNANT LES PLACEMENTS ET LA GESTION : OPCVM conforme aux normes européennes
SG MONETAIRE EURO PROSPECTUS SIMPLIFIE OPCVM conforme aux normes européennes PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : DENOMINATION : SG MONETAIRE EURO FORME JURIDIQUE : SICAV de droit français COMPARTIMENTS/NOURRICIER
Plus en détailTarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015
I. SICAV Tarifs des principales opérations de placement en vigueur au 23-03-2015 Une vaste sélection de sicav est également négociable via Belfius Direct Net ou Belfius Direct Net Business. Si vous négociez
Plus en détailLE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailTable des matières. 2. Actions 2.1. Caractéristiques générales 2.2. Trackers
Table des matières 1. Obligations 1.1. Caractéristiques générales 1.2. Obligations selon l émetteur 1.2.1. Bons de caisse 1.2.2. Obligations linéaires (OLO) 1.2.3. Bons d Etat 1.2.4. Corporate bonds 1.2.5.
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailLes ménages et le crédit
Les ménages et le crédit Marseille 16 novembre 2011 1 Tous droits réservés 2011 Objectif et plan PLAN DE LA PRÉSENTATION Etat des lieux : Endettement et surendettement Bien souscrire son crédit immobilier
Plus en détailrelatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailGlossaire des Instruments Financiers
Clientèle de Particuliers Glossaire des Instruments Financiers Au 1 er avril 2013 Le Glossaire des Instruments Financiers constitue, avec les Conditions Générales, les Conditions Particulières et le Guide
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailMise à jour 2008 1 Comptabilité intermédiaire - Analyse théorique et pratique, Questions Exercices - Problèmes - Cas
Mise à jour 2008 1 QEPC/MAJ 2008 MGLBD Page 325 Remplacer l exercice E1, no. 5. par le suivant. E1. Choix multiples 5. Lors de la restructuration d une dette à long terme au moyen de la remise d éléments
Plus en détailCONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens
Plus en détailNE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE OU AU JAPON
Modalités principales de l émission des obligations à option de conversion et/ou d échange en actions Nexans nouvelles ou existantes (OCEANE) sans droit préférentiel de souscription ni délai de priorité
Plus en détailCA Oblig Immo (Janv. 2014)
CA Oblig Immo (Janv. 2014) Titre obligataire émis par Amundi Finance Emissions, véhicule d émission ad hoc de droit français Souscription du 14 janvier au 17 février 2014 Bénéficier d un rendement fixe
Plus en détailETOILE SELECT 1. Votre sécurité nous tient à cœur. Baloise Group. Type d assurance-vie
ETOILE SELECT 1 Type d assurance-vie Garanties Les primes investies dans la partie de police Compte Etoile ont un rendement garanti (Branche 21). Pour les primes investies dans la partie de police Fonds
Plus en détailTaux d intérêt nominaux négatifs «Terra incognita»
Apériodique n 5/5 avril 5 Taux d intérêt nominaux négatifs Au vu de ses objectifs immédiats (baisse des taux d intérêt gouvernementaux et des primes de risque acquittées par les pays dits périphériques),
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailNE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON COMMUNIQUE PUBLIE EN APPLICATION DU REGLEMENT GENERAL DE L AUTORITE DES MARCHES FINANCIERS
Informations NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA OU AU JAPON Air France place avec succès 402,5 millions d euros d OCEANE en actions Air France-KLM sur les marchés de capitaux Visa de l Autorité
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détail9 Le passif à long terme
9 Le passif à long terme Les sujets abordés dans chacun des travaux suggérés Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension Les éléments qui composent le passif à long terme 1 Les emprunts obligataires
Plus en détailTarifs des principales opérations sur titres
Deutsche Bank Tarifs des principales opérations sur titres Tarifs d application à partir du 01/07/2015 06764 Cette brochure livre un aperçu des tarifs d application pour les opérations les plus courantes
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailNote informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts
Note informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts Cher client, chère cliente, La BANQUE RAIFFEISEN tient à vous informer
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailFICHE PRATIQUE N 4. Plan d Epargne pour la Retraite COllective (PERCO)
FICHE PRATIQUE N 4 Plan d Epargne pour la Retraite COllective (PERCO) Principes Grâce à l adhésion à un dispositif facultatif, le PERCO offre la possibilité aux salariés de Thales de se constituer un capital
Plus en détailCompte rendu du 7 ème colloque organisé par Groupama Asset Management, CEPII-CIREM, le 22 octobre 2009
Compte rendu du 7 ème colloque organisé par Groupama Asset Management, CEPII-CIREM, le 22 octobre 2009 Politiques budgétaires et marchés obligataires européens : quel avenir? L ampleur des déficits publics
Plus en détailAdapter la gestion de son patrimoine en temps de crise
Adapter la gestion de son patrimoine en temps de crise Mercredi 14 mars 2012 Adapter la gestion de son patrimoine en temps de crise Synthèse conférence du 29 Février La crise est autant financière qu économique.
Plus en détailRAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009
RAPPORT SEMESTRIEL ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013 Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 8 rue Danielle Casanova 75002 Paris Tel: +33(0)1.44.55.02.10 / Fax: +33(0)1.44.55.02.20 acerfinance@acerfinance.com
Plus en détailL unique CFD AutoStop
L unique CFD AutoStop Une solution alternative aux certificats Avertissements : Les CFD sont des produits spéculatifs à effet de levier pouvant mener à une perte totale voire supérieure à l investissement
Plus en détailLOOKBACK TO MAXIMUM NOTE 2
Société Générale (Paris) LOOKBACK TO MAXIMUM NOTE Un instrument de créance structuré émis par Société Générale S.A. (Paris) Durée de 8 ans. Mécanisme d observation annuelle dès la ème année égale à la
Plus en détailTotal Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité
Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détail10. L épargne, l investissement et le système financier
10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailLa mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014
La mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014 Les mesures préparatoires et procédurales entre 2010 et 2013 10.2010 Communication
Plus en détailLes placements et leurs risques
Les placements et leurs risques Octobre 2012 1/49 Table des matières Table des matières... 2 1. Introduction... 4 1.1. Notice sur le présent document... 4 1.2. Définition des principaux risques d un placement...
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailDRAGHI ET LA LIQUIDITÉ
Mardi 24 mars 2015 DRAGHI ET LA LIQUIDITÉ RECHERCHE ÉCONOMIQUE FLASH ÉCONOMIE 1. UNE CIBLE D INFLATION A 2% 2. UNE LIQUIDITÉ FORTE MAIS.. 3. L IMPACT SUR LES MARCHÉS FINANCIERS Le biais accommodant de
Plus en détailCommercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00)
Commercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00) dans la limite de l'enveloppe disponible Batik Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance*
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailLa BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)
La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher
Plus en détailCommerzbank AG Certificats Factors
Commerzbank AG Certificats Factors Corporates & Markets Produits présentant un risque de perte en capital. Les instruments dérivés présentés sont soumis à des risques (voir les facteurs de risque sur la
Plus en détailProduits structurés UBS Des perspectives en plus pour votre capital.
Produits structurés UBS Des perspectives en plus pour votre capital. Edition Suisse Les produits structurés offrent d intéressantes alternatives de placement. Les produits structurés sont passés d un simple
Plus en détailCommuniqué de presse Ne pas distribuer, directement ou indirectement, aux Etats-Unis, au Canada, en Australie ou au Japon
Ce communiqué ne constitue pas une offre de valeurs mobilières aux Etats-Unis ni dans tout autre pays. Les Obligations (et les actions sous-jacentes) ne peuvent être ni offertes ni cédées aux Etats-Unis
Plus en détaill eri Communication à caractère promotionnel
l eri Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance. L investisseur supporte le risque de crédit de NATIXIS (Moody s : A2 / Fitch : A / Standard & Poor s :
Plus en détailObservatoire des Services Bancaires - www.osb.tn
CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2005 09 du 14 juillet 2005 Objet : Organisation du marché monétaire. TITRE PREMIER : DISPOSITIONS GENERALES Article premier : Le marché monétaire est ouvert dans
Plus en détail