Le baromètre des entreprises de Haute-Garonne
|
|
- Raphaël Rochette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le baromètre des entreprises de Haute-Garonne Résultats Prévisions 2 ème trimestre 2017 Service Fichier Consulaire et Etudes Economiques
2 Marché et Emploi Synthèse des résultats Conformément aux prévisions, l indicateur d activité progresse au par rapport à 2016, se positionnant en territoire positif (solde d opinions à +8 vs -3). Le courant d affaires se renforce dans tous les secteurs (industrie, services, BTP-immobilier) à l exception du commerce en net ralentissement sur l activité de détail y compris en grandes surfaces. La reprise bénéficie aux entreprises de toutes tailles, même si les TPE restent toujours en déficit d activité. Les anticipations de marché pour le 2 ème trimestre 2017 prolongent la tendance du début d année, laissant potentiellement poindre une amélioration du commerce ainsi qu une confirmation de la reprise lente et progressive de l activité des plus petites entreprises. L emploi progresse pour le 7 ème trimestre consécutif. Le secteur du BTP-immobilier, en lien avec le redémarrage d activité, crée des emplois. Les services et l industrie poursuivent leurs embauches, seul le commerce réajuste ses effectifs en ce début d année. En lien avec le développement d activité, les embauches restent plus dynamiques pour les entreprises de 20 à 49 salariés. Le prochain trimestre s annonce à nouveau bien orienté sur le front de l emploi, tiré par les entreprises de plus de 10 salariés tandis que les TPE réservent leurs embauches. Indicateurs financiers L amélioration de l indicateur de suivi des marges observée fin 2016, s atténue au 1 er trimestre : resserrement pour tous. Les entreprises retrouvent des conditions assez similaires au début 2016, à quelques variations près, notamment en positif pour les acteurs du BTP-immobilier. Même si l indicateur de difficultés de trésorerie croît légèrement (17%, +2 pts sur un trimestre), la tendance des deux dernières années montre une amélioration continue. Le niveau de difficultés reste toutefois bien plus préoccupant pour les TPE. Climat de confiance Le climat de confiance conserve un niveau très positif (solde d opinions à +45), même s il recule par rapport à la fin de l année 2016 (plus haut niveau de la série); malgré un certain tassement de l industrie, les services consolident leur confiance, le BTP-immobilier poursuit son redressement, le commerce résiste. La confiance des entreprises de plus de 10 salariés contraste toujours avec la fébrilité des dirigeants des plus petites structures. Activité - Emploi- Marge Niveau et Variation Soldes d opinions en glissement annuel* C.A. 1 er T : +8 (+ 11 pts) C.A. 2 ème T : +11 (+ 5 pts) en glissement trimestriel ** Emploi 1 er T : +6 (- 3 pts) Emploi 2 ème T : +13 (+ 7 pts) Marges 1 er T : -10 (- 8 pts) Climat confiance : +45 (- 13 pt) Proportion d entreprises Variation en points Difficulté Trésorerie : 17% (+ 2 pts) Les soldes d opinions représentent la différence entre les % d avis positifs et négatifs, ils sont exprimés en points * En glissement annuel, l indicateur est comparé à la même période un an auparavant ** En glissement trimestriel, l indicateur est comparé par rapport au trimestre précédent Les soldes d opinions du correspondent aux prévisions réalisées au 2 ème trimestre
3 Conjoncture par taille d entreprises Synthèse des résultats La tendance favorable dessinée depuis deux ans bénéficie à tous les acteurs indépendamment de leur taille même si les TPE opèrent toujours dans un contexte d activité encore réduite. Les PME de 20 à 49 salariés tirent particulièrement profit de la reprise. De manière plus générale, les entreprises de plus de 10 salariés confortent leurs positions. Les TPE montrent quelques signaux encourageants mais le manque de confiance révèle l absence de dynamique durable et la fragilité latente. La progression d activité sur un an profite à toutes les entreprises indépendamment de leurs tailles. Les structures de moins de 10 salariés restent toujours en déficit d activité mais la tendance sur un an est à l amélioration. En termes d emploi, les entreprises de 20 à 49 salariés confirment pour le 3 ème trimestre consécutif, leur potentiel de création de postes. De manière générale, les entreprises de plus de 10 salariés génèrent les emplois, tandis que les TPE parviennent à quasiment stabiliser leurs effectifs. Marges et Trésorerie : quelle que soit leur taille, les entreprises font face à des conditions de marges à nouveau resserrées. Les TPE témoignent de situations plus fragiles, également sur leurs conditions de trésorerie. Climat de confiance : le début d année dessine des conditions toujours sereines pour les entreprises de plus de 10 salariés, en retrait pour les TPE. 3
4 Essor continu de l activité industrielle Le tissu industriel représente le socle pérenne d une croissance créatrice d emplois en Haute-Garonne. L activité se développe ou se maintient, à l exception de la branche des industries de biens de consommation qui marque le pas, miné par un déficit d activité à nouveau d actualité. Le climat de confiance demeure très favorable malgré quelques inquiétudes pour les IAA et les industries de consommation. Industrie Le solde d opinions concernant l activité industrielle du s inscrit pour un 6 ème trimestre consécutif en territoire positif, en progression sur un an (+11 en hausse de 7 pts). En phase avec le développement des activités, les intentions de recrutement sont favorablement orientées et devraient se poursuivre en accord avec les bonnes anticipations projetées pour le 2 ème trimestre. L aéronautique et le spatial consolident leur développement sur un an. Deux branches se redressent significativement sur les deux derniers trimestres, les industries des équipements électriques et électroniques ainsi que les industries de biens intermédiaires. De leurs côtés, les IAA et les industries des équipements mécaniques maintiennent leur courant d affaires. L industrie des biens de consommation connaît à nouveau une phase de déficit d activité qui pourrait s amplifier jusqu à mi Les niveaux de marges appliquées se contractent pour une partie des industriels. Seuls les acteurs de l industrie aéronautique & spatiale et des équipements électriques et électroniques échappent à cette logique. Les conditions de trésorerie se sont significativement améliorées à l échelle d un trimestre, seulement 11% des entreprises témoignent de difficultés, plus faible niveau de l ensemble des secteurs du département. Le climat des affaires dans l industrie s infléchit en début d année, tout en restant à un niveau supérieur à l ensemble des secteurs du département. Cette inflexion est essentiellement due au recul de l indicateur des IAA et des industries de biens de consommation. Tous les autres secteurs affichent une confiance significativement supérieure. 9% des établissements 21% des effectifs salariés du département. Tous secteurs INDUSTRIE 4
5 Potentiel de croissance confirmé Début d année porteur d activité et créateur d emplois, marqué par l excellente tenue de l activité BtoB et le redressement confirmé des services aux particuliers. Le secteur reste toujours en proie aux fluctuations de la branche des transports et marqué par la prudence voire le pessimisme des professionnels de la branche HCR. Services Les résultats du positionnent à nouveau l activité en forte accélération sur un an (solde à +12 en hausse de 13 pts) soutenant significativement l emploi. Ce potentiel de croissance émane principalement des services aux entreprises et des services aux particuliers. Les cafés-hôtels-restaurants maintiennent leur activité tandis que les transports connaissent provisoirement un décevant premier trimestre. A l exception des activités en lien avec le tourisme, les prévisions positionnent toutes les branches en territoire positif pour le 2 ème trimestre et confirme un fort vivier d embauches. Les marges suivent les fluctuations d activité, resserrement pour les transports et les hôtelscafés-restaurants, reconstitution pour les services aux particuliers, maintien pour les services aux entreprises. 19% des entreprises du secteur témoignent de difficultés de trésorerie, plutôt stabilisé depuis 5 trimestres, ceci pour l ensemble des branches. Le climat de confiance s inscrit dans la tendance générale de l ensemble des secteurs du département. Le moral des dirigeants s accorde avec leur activité. Seuls les acteurs de la branche HCR sont bien moins optimistes. 47% des établissements 50% des effectifs salariés du département. Tous secteurs SERVICES 5
6 Faiblesse récurrente dans l activité de détail Le constat de ce début d année pointe le déficit d activité de l ensemble du pan du commerce de détail, à savoir le commerce d équipement de la personne et du foyer et de l alimentaire, mais également des grandes surfaces. Les dirigeants anticipent une légère amélioration au 2 ème trimestre, pas suffisante pour restaurer la confiance érodée. Commerce L indicateur d activité recule légèrement au 1 er trimestre (solde à -6 en baisse de 3 pts sur un an). L activité des grandes surfaces mais également les courants d affaires générés par le commerce de détail d équipement (de la personne et du foyer) et de détail alimentaire se contractent. Seuls le commerce-réparation automobile et le commerce de gros confortent leur bonne tenue. Sur le plan de l emploi, des suppressions de postes ont affecté les branches en insuffisance d activité. Les prévisions répliquent le même scenario pour mi- 2017, reproduisant la dichotomie des trajectoires par branches dans un contexte d activité légèrement meilleur si les prévisions se confirment. L indicateur des marges recule par rapport à fin 2016, plus particulièrement affecté pour les grandes surfaces et les commerces de détail d équipement (de la personne et du foyer). Trois branches affichent des niveaux de marges moins contraints, le commerce-réparation automobile, le commerce de gros ainsi que le commerce de détail alimentaire. Les conditions de trésorerie se dégradent quelque peu sur un trimestre. Si globalement, 16% témoignent de réelles difficultés, les commerce de détail d équipement sont les plus touchés (> à 25%) contrastant nettement avec les branches dont l activité se porte mieux. L indicateur global du climat de confiance redescend au niveau du 1 er trimestre 2016, en accord avec des prévisions circonspectes de la plupart des branches. Inférieur à tous les autres secteurs, ce faible niveau de confiance gagne les commerces de détail et inquiète les acteurs du commerce de gros; seuls le commerce-réparation automobile et les grandes surfaces conservent une confiance plus affirmée en l avenir de leur entreprise. 26% des établissements 18% des effectifs salariés du département. Tous secteurs COMMERCE 6
7 Reprise confirmée, emplois à la clé L activité du secteur repart sensiblement, toutes branches confondues. Cette dynamique positive démarrée au 2 ème trimestre 2016 s amplifie, notamment pour la partie aval de la filière, l immobilier. Les deux autres branches se redressent également, même si malgré la reprise effective d un meilleur niveau d activité, le bâtiment reste soumis à des difficultés héritées du marasme passé. Les créations d emplois actuelles et projetées représentent les signaux favorables au rétablissement de la confiance des dirigeants. Le confirme la tendance positive en termes d activité des quatre derniers trimestres et se concrétise en termes d embauches. Le solde d opinions demeure en territoire positif à un niveau élevé (+15 en hausse de 28 pts sur un an). L immobilier est plus particulièrement en progression, tandis que la reprise dans le bâtiment et les travaux publics perdure. Les intentions durables d embauches assurent les bonnes prévisions des dirigeants formulées pour le 2 ème trimestre. Les conditions de marges appliquées par le BTP-immobilier se tassent sous l influence du bâtiment témoignant d un contexte plus tendu. L indicateur s améliore et se rapproche de l équilibre pour les travaux publics, tandis que les professionnels de l immobilier poursuivent la reconstruction de leur marge. Les difficultés de trésorerie présentent des niveaux différents selon les branches, car si moins de 10% des dirigeants témoignent de réelles faiblesses dans les travaux publics et l immobilier, 30% des professionnels du bâtiment demeurent en difficulté. Le niveau de confiance se positionne à un niveau relativement élevé, tiré par les travaux publics et l immobilier. Le moral des dirigeants du bâtiment s inscrit dans la moyenne de l ensemble des secteurs, la restauration d une confiance plus assurée en l avenir de leur entreprise restant conditionnée à la stabilisation d une santé financière encore fragilisée. BTP- Immobilier 18% des établissements 11% des effectifs salariés du département. Tous secteurs BTP-Immobilier 7
8 Enquête Méthodologie Échantillon : Établissements de toutes tailles, inscrits au RCS géré par la CCI de Toulouse, répartis sur l ensemble de la Haute-Garonne en 4 secteurs d activité et 19 branches Mode d administration : Enquête par phoning et par ing Taille de l échantillon et période d enquête : 947 entreprises représentant salariés interrogées du 04 au 11/04/2017 Indicateurs de marché Évolution de l activité (C.A.) du trimestre écoulé par rapport au même trimestre de l année passée, et par rapport au trimestre précédent Prévision du prochain trimestre (C.A.) par rapport au même trimestre de l année passée, et par rapport au trimestre précédent Indicateurs de l emploi Évolution des effectifs au trimestre écoulé Prévision des variations d effectifs au trimestre suivant Indicateurs financiers Orientation des marges au trimestre écoulé Perception du niveau de difficulté de trésorerie Climat de confiance Perception de l avenir de l activité de l entreprise Industrie Industries agroalimentaires Industries des biens de consommation Construction aéronautique et spatiale Industries des équipements mécaniques Industries des équipements électriques et électroniques Industries des biens intermédiaires BTP-Immobilier Bâtiment Travaux publics Immobilier Commerce Services Transports Services aux entreprises Hôtels, cafés, restaurants Autres services aux particuliers Les soldes d opinions représentent la différence entre les % d avis positifs et négatifs, ils sont exprimés en points. Commerce et réparation automobile Commerce de gros Grandes surfaces Commerce de détail alimentaire Commerce d équipement du foyer Commerce d équipement de la personne 8
Un climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier
Plus en détailOSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE
OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX
Plus en détailLes Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes
Les Très Petites Entreprises du secteur Construction en Rhône-Alpes Un tissu d entreprises en mutation Edition 2012 Septembre 2012 1 SOMMAIRE I. Caractéristiques des Très Petites Entreprises du BTP en
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailLES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%
n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin
Plus en détailCroissance organique : 2,4 %
Communiqué de Presse Chiffre d affaires du 1 er trimestre 2015 : 872,0 M Croissance organique : 2,4 % Paris, 28 avril 2015 Sopra Steria Group annonce un chiffre d affaires de 872,0 M au 1 er trimestre
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailUN REGAIN D OPTIMISME
2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailPanorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle
Avec la collaboration de vous présente Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle 25 mars 2004 1 Contexte 2ème vague du baromètre Observatoire du Véhicule d'entreprise/tns
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailBaromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4
N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité
Plus en détailCA CEBATRAMA. 10 décembre 2014 PRESENTATION
CA CEBATRAMA 10 décembre 2014 CONJONCTURE TP 2014 2 TRAVAUX REALISES : L ACTIVITE POURSUIT SA BAISSE AU 3T 2014/13 12,0 11,5 11,0 milliards d'euros constants - prix 2013 2011 2012 2013 2014 +4,3% -1,7%
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailBaromètre sur le financement et l accès au crédit des PME
Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise
Plus en détailObservatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges
Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014
Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs
Plus en détailPlan régional d internationalisation des entreprises en Pays de la Loire 2013 / 2015
Plan régional d internationalisation des entreprises en Pays de la Loire 2013 / 2015 Dans le cadre du Schéma Régional de l Economie et de l Emploi Durables et de la Stratégie régionale à l international
Plus en détailUN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE
2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement
Plus en détailActivité au 30 septembre 2009
Séch ché Environnement Activité au 30 septembre 2009 Conférence téléphonique du 28 octobre 2009 1 Faits marquants du trimestre Séché : confirmation des tendances du 1 er semestre (CA : 91,9 soit -2,5%
Plus en détailCROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012
CROISSANCE ET SANTÉ DES ENTREPRISES ACCOMPAGNÉES EN CAPITAL-TRANSMISSION EN 2012 Le AFIC Etudes 2014 www.afic.asso.fr MÉTHODOLOGIE Étude d impact économique et social (2013) Les statistiques sont établies
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014
Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 214 L élevage : premières tendances 214 Course : baisse des juments saillies en galop, contrairement au trot Selle et poneys : la baisse des juments et ponettes saillies
Plus en détailL élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des
L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des sous-directions Diagnostic et prévisions, Financement international
Plus en détailVolontariat International en Entreprise VIE
Volontariat International en Entreprise VIE Sommaire 1. Présentation de la société Bidaux Historique, Produits/Marchés, s, Service Export 2. Intérêt du VIE Sensibilisation/Opportunité,, Définition, D Prospection
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailEnquête bien-être au travail des salariés
Présentation petit déjeuner RH & Com Linking http://labrh.opinion-way.com Enquête bien-être au travail des salariés Décembre 2012 Note méthodologique Echantillon représentatif de 1014 salariés français
Plus en détailBaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014
BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations
Plus en détailCOMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD
Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de
Plus en détailLe marché français des PME-PMI Enquête d opinion CORPORATE FINANCE INSTITUTIONS FINANCIERES ENERGIE ET INFRASTRUCTURES TRANSPORTS TECHNOLOGIES
Enquête d opinion CORPORATE FINANCE INSTITUTIONS FINANCIERES ENERGIE ET INFRASTRUCTURES TRANSPORTS TECHNOLOGIES Sommaire 03 Présentation 05 Introduction 06 Méthodologie 09 Synthèse des résultats 12 Prévisions
Plus en détailDélais de paiement : Le grand écart
Délais de paiement : Le grand écart Conférence de Presse, Paris, le 28 juin 2012 Ludovic Subran, Chef Economiste Arnaud Roger, Directeur des Indemnisations Maxime Lemerle, Responsable des Etudes Macroéconomiques
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailL INDUSTRIE en Seine-et-Marne
FOCUS études JUILLET 213 information économique L INDUSTRIE en Seine-et-Marne L industrie (hors BTP) regroupe 3 99 établissements et 47 268 emplois salariés en Seine-et-Marne. Souvent présenté sous l angle
Plus en détailChantier de la fibre optique : un potentiel de mobilisation de plus de 19 000 emplois d ici à 2022
DOSSIER DE PRESSE Appui Technique Prospectif relatif aux besoins en formation, emplois et compétences liés au déploiement de la fibre optique Chantier de la fibre optique : un potentiel de mobilisation
Plus en détailNotre métier : Vous accompagner dans votre Projet
Notre métier : Vous accompagner dans votre Projet Formation initiale en alternance (scolaire ou apprentissage) Formation continue FORMATION INITIALE > Bac Pro Bio Industries de Transformation Accéder x
Plus en détailOBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE
OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?
Plus en détailLe crédit bancaire au secteur privé
Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailLes autres obligations :
COMITE D ENTREPRISE OBLIGATIONS liées à la CONSULTATION du COMITE D ENTREPRISE 2012 Les autres obligations : E g a l i t é p r o f e s s i o n n e l l e H a n d i c a p S é n i o r P é n i b i l i t é
Plus en détailPratiques et besoins de financement des entreprises artisanales
ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales FÉVRIER 2014 Présentation des résultats Pratiques et besoins de financement des
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailRÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF
COMMUNIQUÉ PARIS, LE 12 FEVRIER 2015 RÉSULTATS ANNUELS 2014 DE SNCF Préambule : le présent communiqué s inscrit dans le contexte de la mise en œuvre de la Loi du 4 août 2014 portant réforme ferroviaire
Plus en détailA 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.
1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises
Plus en détailLE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.
SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailLe profil des acheteurs à distance et en ligne
Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION
Plus en détailConcilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise
Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes
Plus en détailFinance, audit, conseil, industrie, grande consommation, distribution
Les secteurs qui recrutent Finance, audit, conseil, industrie, grande consommation, distribution On trouve des diplômés des écoles de commerce dans tous les secteurs d activité. C est l avantage qu offrent
Plus en détailPanorama sur les femmes entrepreneures et l assurance
Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance 2013 Objectifs et méthodologie L'objectif de ce panorama est de mettre en évidence les différences de postures, de comportements et d'image entre hommes
Plus en détail«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»
«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailPIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES
PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailDECLARATION DES PERFORMANCES N 1
DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES
Plus en détailANANTA PATRIMOINE PRESENTATION
ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément
Plus en détailThe Universum Graduate Survey 2007 Édition Française
PRESS RELEASE May 21, 2007 The Universum Graduate Survey 2007 Édition Française Le classement des employeurs les plus plébiscités par les futurs ingénieurs révèle des changements importants. Excepté EADS,
Plus en détailImplantation économique, foncier et immobilier d entreprise
Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de
Plus en détailSynthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3
Semaine du 20/04/2015 au 24/04/2015 Synthèse du marché 2 Marchés Internationaux 2 Infos marchés et secteurs 3 Sur le plan international - Etats-Unis : Croissance de 2,7% attendue Sur le plan national -
Plus en détailRésultats Semestriels 2008. Paris, le 1er octobre 2008
Résultats Semestriels 2008 Paris, le 1er octobre 2008 ALTEN ALTEN reste fortement positionné sur l Ingénierie et le Conseil en Technologie (ICT), ALTEN réalise des projets de conception et d études pour
Plus en détailRéduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009?
Note expresse N 61 juin 2009 Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Moteur essentiel du dynamisme économique réunionnais, la commande publique a contribué
Plus en détailLe courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010
Le courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010 Un premier semestre en deux temps : recul au premier trimestre et stabilisation au second semestre. Les investissements
Plus en détailToujours pas de reprise
2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailTablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel
Communiqué de presse Septembre 2013 Tablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel La tablette : toujours plus complémentaire à la télévision et au smartphone 70% des
Plus en détail4 CHIFFRES À RETENIR
Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013
Plus en détailActualité Sociale. 21 Mars 2013
Actualité Sociale 21 Mars 2013 Actualité Sociale Binôme Jeune/Senior : le contrat de génération Les dossiers sociaux dans les «tuyaux» pour 2013 Sécurisation de l emploi Financement du régime des retraites
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailFONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES
FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5
Plus en détailRapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 2013
Rapport Enquête de Conjoncture 1 er et 2 ème trimestres 15, rue Maréchal Foch 56100 Lorient I Tél 0820 220 440 I Fax 02 97 21 88 85 I Email contact@fymconseil.com I Site www.fymconseil.com SA au capital
Plus en détailConseil Spécialisé Horticole
Conseil Spécialisé Horticole Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières CER France 6 juin 2014 Observatoire économique des exploitations Horticoles et pépinières exercice
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailLa crise économique vue par les salariés français
La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette
Plus en détailLe marché informatique en France 2011 et tendances 2012
Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des
Plus en détailCPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France
CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3
Plus en détailBonne tenue de l activité au premier semestre 2009
Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des
Plus en détailL ACCES AU CREDIT BANCAIRE DES ENTREPRISES
L ACCES AU CREDIT BANCAIRE DES ENTREPRISES Banque de France DIRECTION GENERALE DES STATISTIQUES DIRECTION DES STATISTIQUES MONETAIRES ET FINANCIERES DIRECTION DES ENQUETES ET DES STATISTIQUES SECTORIELLES
Plus en détailPrésentation partenariat avec la filière hôtellerierestauration. Astrid LE VERN, responsable des partenariat Barcelone, 5 juin 2015
Présentation partenariat avec la filière hôtellerierestauration - COORACE Astrid LE VERN, responsable des partenariat Barcelone, 5 juin 2015 2 SOMMAIRE Historique et principes de la démarche La méthodologie
Plus en détail11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014
11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité
Plus en détailE 6221 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.
E 6221 ASSEMBLÉE NATIONALE TREIZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 4 mai 2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 4 mai 2011 TEXTE
Plus en détailI. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014
OBSERVATOIRE DYNAMIQUE DES METIERS DE LA BRANCHE I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 TENDANCES D EVOLUTION ET COMPETENCES EMERGENTES I.3. SECTEUR ETUDES & CONSEIL OPIIEC 25 Quai Panhard et Levassor 75013
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailLE SYSTÈME BANCAIRE COM DU PACIFIQUE ET FINANCIER DANS LES
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 LE SYSTÈME BANCAIRE ET FINANCIER DANS LES COM DU PACIFIQUE Trois catégories d établissements de crédit 1 sont implantées dans les collectivités d outremer du Pacifique : les banques
Plus en détailMaîtriser vos risques et choisir votre partenaire assureur. Décembre 2010
Maîtriser vos risques et choisir votre partenaire assureur Décembre 2010 1 Une démarche personnelle Quelles sont les assurances adaptées à mon entreprise? Comment choisir mon partenaire assureur pour répondre
Plus en détailLa Lettre de l IMSEPP
La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détail