Le financement de l économie
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- Émilie Gaumond
- il y a 8 ans
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1 Le financement de l économie Delphine Lahet Thème L objectif de ce cours est d analyser les canaux de financement de l économie, notamment le financement par les banques, dans une logique macro-économique. Les banques ont-elles une spécificité pour ce financement? Dans la majorité des économies matures, après les réformes de libéralisation des activités bancaires et financières des années 80, le poids les marchés financiers dans le financement de l économie a augmenté au détriment de celui des banques. Pourtant, en France, tout du moins, la part des banques reste majoritaire. En effet, elles sont indispensables pour les services qu elles rendent aux ANF (collecte de dépôts, octroi de crédit, fournitures de moyens de paiement), aux marchés financiers (fonctionnement, intermédiaires, introduction en bourse, liquidité, détermination des prix ). On s attardera sur les réformes et la structure du système financier français ainsi que sur les évolutions récentes du système bancaire français, et sur la notion d intermédiation par les banques. Plan P0. Introduction 1. Les deux circuits du financement : banque et marché 2. La baisse du poids des banques dans le financement de l économie 3. Banques et marchés : concurrents ou compléments? PI. La spécificité des banques pour le financement et le fonctionnement de l économie C1. Le concept d intermédiation 1. La justification de l existence d un intermédiaire entre l emprunteur ultime et le prêteur ultime 2. L intermédiation par les banques a. Le rôle de transformation des banques b. Les avantages de l intermédiation par les banques pour les différents acteurs de l économie C2. Développements et fonctionnement des systèmes bancaires 1. Caractéristiques d un système bancaire moderne 2. Fonctions d intermédiation rendues par les banques PII. Le système financier français : mutations et composantes C1. Les réformes et leurs conséquences sur l intermédiation des banques 1. Les lois des années 80 a. 1 ère réforme : une libéralisation financière radicale de l activité bancaire b. 2 ième réforme : la création d un grand marché unique de capitaux 2. Les nouvelles formes d intermédiation a. Le financement de l économie par les banques à travers les marchés b. Les nouveaux acteurs de l intermédiation c. Peut-on parler de désintermédiation? 3. La LSF de Les directives européennes C2. Les marchés de capitaux en France 1. Les possibilités de financements sur les marchés 2. Explosion du financement par les marchés et de l épargne financière
2 C3. Les EC en France : caractéristiques et évolutions 1. Un système bancaire concurrentiel, homogène et toujours plus concentré 2. Le crédit bancaire : un produit d appel en hausse 3. L épargne : une ressource diversifiée pour les banques, réglementée, à évolution mitigée Conclusion : les autorités de tutelle en France Bibliographie Aglietta M. (2001), Macroéconomie financière, Tome 1, Financement, croissance et cycle, Repère. Banque de France, Diverses statistiques (Analyses, Stat Info en 2010), Cahiers français (2006), Le financement de l économie, n 331, mars-avril. Comité consultatif du secteur financier (2006), Les enjeux économiques et sociaux de l industrie bancaire, mai, sous la direction de M. Pastré. Comité des EC et des EI, CECEI (2006, 2007, 2008, 2009), Rapport annuel sur exercice précédent, juillet. Commission bancaire (2006, 2007, 2008, 2009), Rapport annuel sur exercice précédent, juin. Crédit Agricole, Direction des études économiques (2007), Perspectives sur Croissance et épargnecrédit, CA Eco France, N 12 avril + le n de juillet Crédit Agricole, Direction des études économiques (2009), Perspectives sur Croissance et épargnecrédit, «France, une sortie de récession délicate», CA Eco France, Note trimestrielle, n 21, juillet. FBF, divers rapports d activité. Gouteron S. et Fam E. (2009), «Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : tendances récentes», Bulletin de la Banque de France, n 177, 3 ème trim. Lahet D. (2003), Les crises financières : mécanismes de déclenchement et de contagion, e-theque, Découverte, Le Roux J. (2010), «La détention par les non-résidents des actions des sociétés françaises du CAC 40 à la fin 2009», Bulletin de la Banque de France, n 180, 2 ème trim. Mosquera Yon T. (2010), «Evolution de la monnaie et du crédit en France en 2009», Bulletin de la Banque de France, n 179, 1 er trim. Plihon D. (2004), La monnaie et ses mécanismes, Repères, La Découverte. Plihon D., Couppey-Soubeyran J., Saïdane D. (2006), Les banques : acteurs de la globalisation financière, Les études de la Documentation française. Quignon L. (2006), Le crédit à la consommation face à la hausse des taux, Conjoncture, BNPP, juin. Saïdane D. (2006), La nouvelle banque, Revue Banque Edition.
3 Quelques chiffres * En décembre 2009, encours total du crédit des EC au secteur privé (financier et non financier) = 1864 Md (107,5+1756,6). +14% en 2007 ; + 6,8% en 2008 ; +0,2% en Plus précisément, crédit des EC aux E non financières (dec 09) : 770,4 Md (dont Investissement 325,2 et trésorerie 185 et autres ). +13,7% en 2007 ; 9,5% en 2008 ; - 0,9% en 2009 (dont -14% pour le crédit Trésorerie). Crédit des EC aux M (déc 09) : 986 Md (dont habitat 735 et conso 162 et autres ). + 11% en 2007 ; 7,3% en 2008 ; 4% en *En France, l endettement auprès des banques représentait 50% de l EIT en 2006, 49% de l EIT en 2002 contre 63% en L endettement auprès des marchés représentait 39% de EIT en 2006, 40% en 2002 contre 30% en 93. Sur 1993/2004, les financements de marché ont augmenté plus rapidement (+143%) que le crédit bancaire (+29%) (source Plihon) *A l actif des banques françaises, la part des Crédits à la clientèle est passée de 84% en 1980 à 38% en 2002 et à 30% en 2009 ; celle des dépôts a chuté de 73% à 37%, et à 23% en * Entre 1994 et 2004, le taux d intermédiation étroit est passé de 54% à 39.5% et à 41,1% en Et le taux large de 75% à 57%, puis 53,7% en *Crédit immobilier : Crédit immo à Taux fixe/c total endettement immo/pib durée moyenne All 70% 54% 25 ans Esp Fr en 2007 Finlande Grèce RU Belg (source Pastré 2006) *En France, à l actif, la part des titres est passée de 5% en 1980 à 47% en Au Passif, les ressources collectées par émission de Titres sont passées de 6% à 52%. *Etude de Plihon (2006) : Explosion des marchés monétaire et financier en France Encours fin année Md Action Obligation+TCN Total en % PIB fr * Taux de détention des actions françaises du CAC 40 par les non résidents : % * Non résidents 44,9 41,1 40,2 42,3 Dont : Zone euro 18,4 17 USA 16,2 15,6
4 RU 4,2 2,7 Japon 1,3 1,3 Correspond à une reprise des IDE en France *Les bilans des EC fr représentaient 4390Md fin 2004, 5275 en 2005 et 6040 en 2006, 7120 en 2007 et 7710 en 2008, et 7656 en *A l échelle nationale, les 5 grands réseaux gèrent 80% des 72 M de comptes courants et des 149M de comptes épargne. * Chiffres CECEI 2009 sur exercice 2008 : Nbre d EC All Esp Fr Gr It Pol RT RU * De plus source Saïdane (2006), le nombre d EC représente en All 30% du nombre total d EC dans la zone euro et 28% du total de l actif dans la zone euro ; pour le RU, c est 8 et 23, France 13 et 14, It 11 et 7, Esp 5 et 6, PB 2 et 5, Belg 1 et 3. * CECEI 2009 sur exercice 2008 : Nbre de guichet All Esp Fr Gr It Pol RT RU *Les cinq premiers groupes français représentent 76% du total du bilan du secteur bancaire, 89% du crédit aux entrepreneurs individuels, 81.65% du crédit aux particuliers, 73% du crédit aux sociétés non financières, 85% du crédit habitat, 80.5% crédit à l équipement, 68% du crédit à la consommation, et 82% des dépôts en 2004 et 76%. (arrondi) * Les banques de droit commun détiennent 40.8% des Crédits aux résidents au 31 décembre 2005, collectent 41% des DAV auprès des ANF. Pour les banques mutualistes, les chiffres sont C : 36.3% et D 30.9%. Pour les Soc fin : C 11.4% et D 1.2%. Pour les Inst fin spé : C 0.7% et D 0.02%. *Le taux de bancarisation des Ménages français est de 98%, le plus élevé des grands pays européens (moyenne européenne 80%)
5 *Le taux d endettement des M français : 74% de leur revenu disponible brut en 2008 ; 76% en *source Banque de France 2010 Taux endettement %RDB %PIB des Ménages Fr 74, ,8 All 89, ,2 It 56 59, ,7 Esp 127,5 124, RU 154,3 145,9 97,5 100 Zone euro 90,5 91, *L endettement immobilier : 489Md euros fin octobre 2005, 579 en 2006, 653Md en Md en en % du PIB français. *Les Crédits à la Consommation représentent 120 Md euros, 134 en 2006, 141 Md en Md en en soit 10-15% du PIB. *En 2004, le taux d épargne des français est de 15.5% (S/revenu disponible brut), 15.1% en 2006, 15,8% en ,4% fin ,2% en (16,8% en 2002) *Source FBF/BdF : en 2004, 41% du patrimoine des ménages français est constitué de Dépôts à CT, PEL, 6% de titres en détention directe, 12% de titres en OPCVM, et 41% en Assurance vie. Source BdF 2007 : 36% Assurance vie ; 24% Epargne liquide ; 10% Epargne bloquée ; 30% titres ( dont actions 17%, FCP 3%...) BdF n 180 2è trim 2010 : Patrimoine financier des M fr Part en % Ass vie 39,3% 38,9 Dépôts bancaires 31,9 34,3 Actions 18 15,5 OPCVM 8,9 9,2 TCN 2,1 2
6 *Le total des ressources (liquides) collectées en Md = DaV + compte d épargne-livret + DaT<2ans + DaT > 2 ans (source Banque de France 2010) Encours Md DAV total (M, SNF, autres) (dont M) (247) (244) (263) Tx de croiss annuel +6% -3,8% +6,8% 2. Compte sur livret total Tx de croiss annuel +5% +4% +3% 3. DAT<2ans Tx de croiss annuel +100% +45% -29% 4. DAT>2ans Tx de croiss annuel -6,7% -5,9% +38% TOTAL Tx de croiss annuel +6% +7% DONT pour les comptes d épargne à régime spécial : Encours Md Livret ordinaire (imposable) Livret A et bleu *** 140,8 164,4 183,4 Livret jeune 7 7,4 7,2 LDD CEL et PEL et 190,4 36,7 et 168,7 36,6 et 173,8 LEP et PEP 60 et et 29,3 58,3 et 29 Autres DaT pour SNF Taux de croissance des comptes d épargne à régime spécial : Tx de croiss Livret +5% +11% +3% DAT>2ans (PEL ) -6% -5% +38% * Flux d épargne (source Banque de France 2010) Flux, Md Dépôts d épargne Ass vie OPCVM et actions < à 10Md et parfois négatif cotées
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