I. Les crédits immobiliers ont enregistré une croissance soutenue tant au niveau de la production que de l encours
|
|
- Thibaud Vincent
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NOTE RELATIVE A L ENQUETE SUR LES CREDITS IMMOBILIERS Le secteur immobilier connait un essor important sous l impulsion conjuguée des actions des pouvoirs publics et d une politique d offre de crédit plus adaptée aux besoins de la clientèle. Les banques ont, dans ce contexte, accru de manière significative leurs concours à ce secteur et se livrent à une rude concurrence en vue d améliorer leurs parts de marché. Face à ces évolutions et en complément des informations reçues du secteur bancaire mensuellement, Bank Al-Maghrib mène auprès des banques une enquête annuelle pour collecter des données plus détaillées sur les indicateurs et les risques liés à l activité de crédit immobilier. Les résultats de l enquête relative à l année 2007 sont présentés ci-après. I. Les crédits immobiliers ont enregistré une croissance soutenue tant au niveau de la production que de l encours 1. Le développement des crédits immobiliers a été marqué par une hausse plus prononcée des prêts destinés à la promotion immobilière Evolution de l'encours des crédits immobiliers Crédits immobiliers Total crédits sains Part des crédits immobiliers dans le total % 20% 10% 0% Soutenu par un marché en pleine expansion, l investissement immobilier constitue le principal motif d endettement des ménages. Dans ce contexte, les banques ont fortement accru leurs concours au secteur immobilier. La croissance des crédits à la promotion immobilière 1 a été plus prononcée que celle enregistrée par les crédits à l habitat 2. Sur la base des documents comptables communiqués par les banques, l encours des crédits immobiliers s est accru de 33% (28% à fin 2006) à 107,5 milliards, soit 28% des crédits sains à fin 2007, contre 27% un an auparavant. L encours des crédits à l habitat, avec une part de 79% de l encours total du crédit immobilier, s est apprécié de 28% à 85 milliards de dirhams, représentant 14% du PIB contre 13% en 2006, soit un taux proche de celui de la Hongrie et supérieur à celui de quelques pays à niveaux d économie comparables, mais très en deçà des taux affichés par certains pays avancés notamment les USA et l Espagne. L encours de crédits à la promotion immobilière a enregistré une hausse de 59% à 22 milliards de dirhams. 1 Les crédits à la promotion immobilière correspondent aux crédits consentis aux promoteurs immobiliers et ce, quelles que soient les modalités de leurs utilisations (crédits pour achat de terrains, crédits de démarrage, crédits d accompagnement, crédits de stocks dans l attente de la vente, ). 2 Les crédits à l habitat sont accordés aux particuliers pour la construction, l acquisition ou l aménagement de logements.
2 Crédits à l'habitat par rapport au PIB à fin 2006 (en%) Etats-Unis Espagne Malaisie France Afrique du Sud Italie Hongrie Maroc Jordanie Turquie Egypte 2% 4% 9% 15% 13% 21% 27% 32% 36% 55% 73% Ventilation de l'encours des crédits à l'habitat entre prêts soutenus par l'etat et prêts libres 13% 13% 87% 87% 11% 89% 14% 86% 2004 Prêts libres Prêts soutenus par l'etat La part des crédits à l habitat libres (non soutenus par l Etat) a baissé de 3 points à 86%, alors que celles des prêts soutenus par l Etat a augmenté de 3 point à 14%. Les garanties émises en faveur des bénéficiaires de cette dernière catégorie de prêt ont totalisé à fin décembre 2007 : - 8,5 milliards de dirhams au titre de FOGALEF 3-4,3 milliards de dirhams au titre de FOGARIM 4-6 millions de dirhams au titre du FOGALOGE 5. 3 Fonds de garantie de prêts destinés à financer l accès à la propriété des adhérents de la fondation Mohammed VI de promotion des œuvres sociales de l Education Formation. 4 Fonds de garantie pour les revenus irréguliers et modestes. 5 Fonds de garantie des prêts au logement en faveur du personnel du secteur public. 2
3 Evolution de la production des crédits à l'habitat Prêts soutenus par l'etat Prêts libres La production des crédits à l habitat s est élargie de 43% à 28 milliards, dont 17% a concerné les crédits soutenus par l Etat. Le montant moyen par prêt a progressé de 216 mille dirhams à 287 mille d une année à l autre. Une baisse est toutefois constatée pour les prêts soutenus par l Etat dont le montant moyen par prêt est passé de 211 mille à 162 mille dirhams, attestant la diversification du portefeuille et le ciblage de nouvelles catégories de population. Quant aux prêts libres, leur montant moyen s est élevé de 0 mille à 340 mille dirhams. Milliards de dirhams Evolution du nombre de bénéficiaires et de la production des crédits à l'habitat Production des crédits à l'habitat Nombre de bénéficiaires des crédits à l'habitat Le nombre de bénéficiaires des crédits à l habitat au titre de l année 2007 s est accru de 8% à 98 mille clients contre 19% un an auparavant. Cette baisse concerne une seule banque. Hors cet établissement, le nombre de bénéficiaires a augmenté de 15% contre 11% en La production des crédits destinés à la promotion immobilière a plus que doublé pour atteindre 11 milliards de dirhams. 2. La distribution des crédits à l habitat est relativement concentrée dans les régions de Casablanca et Rabat Répartition géographique des crédits à l'habitat Oriental 4% Tanger-Tetouan 5% Sous-M assa- Drâa 5% Fes -Boulemane 5% M arrakech- Tensift-Al Houz 6% M eknès -Tafilalt 3% Autres 8% Rabat-Salé- Zemmour-Zaer 16 % Grand Casablanca 48% Les régions de Casablanca et de Rabat continuent à bénéficier de la plus grande part des crédits à l habitat, soit près de 64% de l encours total, toutefois, en baisse par rapport à 2006 (70%). 3
4 II. La politique d assouplissement des conditions d octroi de crédit s est maintenue 1. Les crédits à l habitat à taux variable se sont renforcés Evolution de l'encours des crédits à l'habitat selon le type de taux 27% % 36% 43% 49% 73% 70% 64% 57% 51% La part de l encours des crédits à l habitat à taux variable n a cessé de progresser pour atteindre 49% contre 43% un an auparavant. En termes de production, la part des crédits à l habitat à taux variable s est accrue d un point à 51% Taux fixe Taux variable Part des crédits à l'habitat à taux variable à fin 2006 (en%) Allemagne France Maroc Royaume Uni % % 43% 70% Comparativement à d autres pays, la part des crédits à l habitat à taux variable, ressortait à fin 2006, à moins de % pour la France et l Allemagne et à plus de 70% pour le Royaume uni et l Italie et de 90% pour le Luxembourg. Italie 70% Luxembourg 90% 2. La détente des taux d intérêt a été plus prononcée en 2007 Evolution des taux d'intérêt appliqués aux crédits à l'habitat 3% 3% 2% 56% 42% 40% 35% 22% 16 % 16 % 12 % 7% 10 % 10 % 9% 7% 5% 5% Les taux d intérêt ont poursuivi leur baisse. En effet, 44% des crédits ont été accordés à des taux d intérêt inférieurs à 6% contre 15% à fin 2006 seulement. 21% des crédits ont un taux d intérêt supérieur à 8% contre 29% en 2006 et 48% en <4% Entre 4% et 6% Entre 6% et 8% Entre 8% et 10 % Entre 10% et 12% Au-delà de 12 % 4
5 3. La durée initiale des crédits immobiliers s est davantage allongée Evolution de la durée initiale des crédits à l'habitat 6% 5% 2% 19 % 14 % 13 % <5 ans entre 5 et 10 a ns 58% 56% 47% entre 10 et 20 ans 25% 17 % > 20 ans 39% La part des crédits à l habitat dont la durée initiale est comprise entre 10 et 20 ans a été réduite de 9 points à 47% au profit de ceux dont la durée est supérieure à 20 ans qui a atteint 39% (25% à fin 2006). La part des crédits à l habitat d une durée supérieure à ans, bien qu en accroissement, demeure relativement faible (2%). En moyenne, la durée initiale des crédits à l habitat a atteint 18 ans contre 15,8 à fin 2006 et 14,5 à fin Durée moyenne des crédits à l'habitat à fin 2006 (en nombre d'années ) Maroc 16 France Royaume Uni Allemagne La durée moyenne des crédits à l habitat du Danemark, des Pays Bas et de l Allemagne atteint environ le double de celle constatée au Maroc en Pays-bas Danem ark Evolution de la durée initiale des crédits à la promotion immobilière 48% 50% 42% 40% 42% 32% < 2 ans entre 2 et 4 ans 25% 16 % 1% 1% 2% 1% entre 4 et 6 ans >6 ans La durée initiale des crédits à la promotion immobilière a, pour sa part, atteint 2,9 ans contre 2,6 à fin 2006 et 2,08 à fin En termes d encours, il ressort que les crédits dont la durée est inférieure à 4 ans ont vu leur part régresser de 82% à 74% tandis que la part revenant aux crédits dont la durée initiale est supérieure à 4 ans a progressé de 18% à 26% d une année à l autre. 5
6 4. Le taux d apport personnel s est stabilisé 39% Evolution du taux d'apport personnel des crédits à l'habitat 17 % 44% 76% 76% 17 % 17 % 7% 7% Selon 6 banques, représentant une part de marché de 60%, près de 76% de l encours des crédits à l habitat a un taux d apport inférieur à 10%, sans changement par rapport à l année dernière. < 10% entre 10% et 20% > 20% III. Le coût du risque de crédit est assez bien maîtrisé Les créances en souffrance sur les crédits à l habitat, au titre de l année 2007, a enregistré un taux de l ordre de 5%, en baisse par rapport à Cette baisse est attribuable notamment au rajeunissement du stock de crédits et au recouvrement des crédits facilité par la valorisation des actifs. Concernant les crédits garantis par FOGARIM, 60 dossiers ont été appelés en garantie, représentant 0,15% du volume des garanties cumulées. Toutefois, des impayés sont enregistrés sur d autres dossiers. Les créances en souffrance ont fait l objet d un provisionnement de près de 40% en moyenne, étant précisé que les dispositions de la circulaire de Bank Al-Maghrib régissant la classification des créances en souffrance prévoient un traitement favorable en termes de provisionnement. S agissant des créances en souffrance sur la promotion immobilière, leur encours s est établi à 2 milliards de dirhams. Il s agit, pour 96% de ce montant, de créances anciennes détenues par une seule banque. Conclusion * * * Le secteur de l immobilier semble être appelé à continuer sur son trend haussier compte tenu : - de l importance de la demande potentielle de logement émanant des ménages marocains qui se constituent chaque année ( ) 6 - de l offre soutenue par les pouvoirs publics : constitution de villes nouvelles, nécessité de résorption du déficit en logement cumulé ( )6, programmes de logements sociaux, valorisation des nouvelles zones à l urbanisation ainsi que des zones d aménagement progressif projetées - et de l accroissement du volume des investissements directs étrangers qui sont passés de 1,8 milliard en 2002 à 7,3 milliards en 2007 (+299%)6. 6 Données du Ministère de l Habitat, de l Urbanisme et de l aménagement de l espace 6
7 Parallèlement, les banques envisagent de continuer la même politique en matière de financement de l immobilier. Les concours des crédits devraient augmenter de 31% d ici fin Ces évolutions, si elles sont marquées par la baisse du coût du risque de crédit, il n en demeure pas moins qu elles sont accompagnées du développement des risques de transformation et de taux, dont la surveillance est renforcée. Avril
Royaume du Maroc. Direction des Etudes et des Prévisions Financières
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions Financières Le crédit à la consommation en pleine mutat i o n Mars 2008 http://www.finances.gov.ma/depf/depf.htm Boulevard Mohamed V. Quartier Administratif,
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détailCIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS
1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailInstruction de la Direction du Crédit et des Marchés de Capitaux de Bank AI-Maghrib (Service Central des Risques ) du 23 janvier 2003
Instruction de la Direction du Crédit et des Marchés de Capitaux de Bank AI-Maghrib (Service Central des Risques ) du 23 janvier 2003 La présente Instruction a pour objet de préciser les modalités d application
Plus en détailCAFPI, premier courtier en prêts immobiliers au Maroc N 1 des courtiers en France
CAFPI, premier courtier en prêts immobiliers au Maroc en France Décembre 2008 : 6 mois après le lancement de CAFPI Maroc Constats sur l'état du marché du crédit immobilier au Maroc, sur la création du
Plus en détailBienvenue dans votre FIBENligne
Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise
Plus en détailInvestissement étranger à la Bourse de Casablanca
Investissement étranger à la Bourse de Casablanca Juin 2014 Page 1 898 SYNTHESE En 2013, le nombre des investisseurs étrangers en actions cotées à la Bourse de Casablanca a enregistré une hausse ; il est
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailPrésentation pour Salon international des innovations financières Paris 04 Mars 2010
Présentation pour Salon international des innovations financières Paris 04 Mars 2010 Présentation du Groupe Attijariwafa Bank Couverture géographique de plus en plus large Attijariwafa bank, banque née
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailEnquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011
Enquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011 n 8 juillet 2012 1 Résumé : Selon l Enquête annuelle sur le financement de l habitat, l encours total de prêts à l habitat des 16 établissements
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailCHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE
CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE L ordonnance n 10-04 du 26 août 2010, modifiant et complétant l ordonnance n 03-11 relative à la monnaie et au crédit, stipule que la Banque d Algérie est
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailn 7 F é v r i e r 2 0 1 3 Note d information sur le Credit Bureau
n 7 F é v r i e r 2 0 1 3 Note d information sur le Credit Bureau n 7 F é v r i e r 2 0 1 3 Note d information sur le Credit Bureau Sommaire Le Credit Bureau I-Contexte et Objectifs 5 II-Cadre Légal et
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailLe 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes
Le 4 ème trimestre 2014 et les tendances récentes Le tableau de bord trimestriel Le bilan de l année 2014 Les taux des crédits immobiliers aux particuliers ENSEMBLE DES MARCHÉS - Prêts bancaires (taux
Plus en détailWAFASALAF. L innovation, la clé du leadership
WAFASALAF L innovation, la clé du leadership Conférence de presse Mardi 1 er avril 2008 Sommaire L événement Wafasalaf, un leadership confirmé sur tous ses marchés Une croissance pérenne L innovation au
Plus en détaill'installation de la PME au Maroc et dans la région Provence Alpes Côte d'azur
LES OPERATIONS FINANCIERES & l'installation de la PME au Maroc et dans la région Provence Alpes Côte d'azur Enregistrement d'un investissement / compte courant étranger Un investisseur étranger s implante
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailArchitecture du système bancaire marocain
Architecture du système bancaire marocain 2009-2010 SOMMAIRE RAPPEL HISTORIQUE LE PAYSAGE BANCAIRE MAROCAIN L'ACTIVITE DES BANQUES RAPPEL HISTORIQUE - 2 éme moitié du 19 ème siècle: apparition des premiers
Plus en détailSECTEUR DE L HABITAT AU MAROC
SECTEUR DE L HABITAT AU MAROC SWOT ANALYSIS Forces - Exonérations fiscales pour inciter les promoteurs immobiliers à l'investissement ; - Elaboration d'un contrat programme 2004-2007 entre les opérateurs
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailLes placements des organismes d assurance à fin 2012
Les placements des organismes d assurance à fin 212 Gaël HAUTON Secrétariat général de l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Direction des Études Omar BIROUK et Alain Nicolas BOULOUX Direction
Plus en détailChiffre d'affaires par ligne de services
Troisième trimestre 2010 des revenus: EUR 1.210 millions Réservez au projet de loi: 90%, même par rapport au troisième trimestre 2009, 2010 Cash Flow Opérationnel s'élève à EUR 83 millions dans les neuf
Plus en détailLe Marché du à la consommation en Europe à fin 2007
Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détail13.1. L encours de crédit à la consommation en Europe à fin 2007 137,5 103,4 97,9
Pour un développement responsable du crédit en France 3. FICHE PAYS 3.. L encours de crédit en Europe à fin 007 en Europe à fin 007 (en milliards d euros) Roy aume-uni Allemagne France Espagne Italie Grèce
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailBANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE
BANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE Financement des projets de création d entreprises innovantes au Maroc par les expatriés marocains.-paris-23 mai 2006 Sommaire
Plus en détailCirculaire relative aux fonds propres des établissements de crédit
BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur CN 24/G/2006 04 décembre 2006 Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit Le gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements
Plus en détailLes Français ais et à la consommation
Les Français ais et le crédit à la consommation Introduction Crédit Agricole Consumer Finance, acteur majeur du crédit à la consommation en Europe, publie un sondage réalisé par Opinionway sur les Français
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailEvolution des risques sur les crédits à l habitat
Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailÉpargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents
Épargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents Sommaire 3 LA DIRECTIVE EUROPÉENNE SUR L ÉPARGNE: UN CONTEXTE NOUVEAU POUR L ÉPARGNE CONSTITUÉE
Plus en détailLE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailActivités et résultats 2011
Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,
Plus en détailDispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire GUIDE PRATIQUE DE PLACE
Dispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire GUIDE PRATIQUE DE PLACE I- CONTEXTE GENERAL Le Maroc a adhéré le 26 octobre 2011 au Forum mondial sur la transparence et
Plus en détailWali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général
EXERCICE 2014 Wali M. Abdellatif JOUAHRI Directeur général M. Abdellatif FAOUZI commissaire Du gouvernement conseil M. Le Wali M. Le Directeur Général M. Abdellatif BELMADANI M. Mohammed BENAMOUR Mme
Plus en détailCIC Activité commerciale toujours en croissance
Paris, le 26 juillet 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE CIC Activité commerciale toujours en croissance Résultats au 30 juin 2012(1) Résultats financiers - Produit net bancaire 2 228 M - Résultat brut d exploitation
Plus en détailPublication de comptes financiers du secteur privé non-financier
Luxembourg, le 21 avril 211 Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Dans la mesure où le Service Central de la Statistique et des Etudes Economiques (STATEC) n'est pas encore à
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailM_CONTRAN Contrats nouveaux
M_CONTRAN Contrats nouveaux Présentation Le document M_CONTRAN recense, de manière exhaustive, les nouveaux contrats de crédit libellés en euros, conclus avec les particuliers, les sociétés non financières,
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailNote relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc
Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation Direction de la Politique Economique Générale Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc
Plus en détailPrésentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème "Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration"
1 SOMMAIRE 1. Crise bancaire : contexte sociopolitique 2. Résolution des crises 3. Situation du système bancaire 4. Vulnérabilités 2 I. CRISES BANCAIRES : CONTEXTE SOCIOPOLITIQUES A l accession de la Guinée
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA Résultats exceptionnels d Argenta pour l année de crise 2011 La cinquième banque de Belgique n a pas désappris le métier du banquier de détail.
Plus en détailBourse de Casablanca. Arrêtés relatifs aux titres de créance n é g o c i a b l e s
Bourse de Casablanca Arrêtés relatifs aux titres de créance n é g o c i a b l e s ARRETES RELATIFS AUX TITRES DE CREANCE NEGOCIABLES ARRETE DU MINISTRE DES FINANCES ET DES INVESTISSEMENTS EXTERIEURS N
Plus en détailORGANISATION ET SURVEILLANCE DES SYSTÈMES DE PAIEMENT
n 4 Note d information systèmes et moyens de paiement au maroc rôle et responsabilités de bank al-maghrib L une des principales missions confiées à Bank Al-Maghrib est de veiller au bon fonctionnement
Plus en détailAmundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique
Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester
Plus en détailLE SECTEUR DU CREDIT A LA CONSOMMATION. ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES
LE SECTEUR DU CREDIT A LA CONSOMMATION. ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES Driss BEN ALI Enseignant Chercheur à l Université Mohammed V Coordonnateur du GREI Peut-on faire du crédit à la consommation un moyen
Plus en détailUne banque engagée et responsable
Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailTarif des principales opérations sur titres
Tarif des principales opérations sur titres 01 janvier 2015 Ordres Euronext... 2 Bourse étrangère... 3 Euro-obligations... 4 Fonds de placement KBC (1)... 4 Produits d investissement KBC émis par KBC AM...
Plus en détailLe financement de l habitat en 2013
Le financement de l habitat en 2013 n 32 Juillet 2014 1 SOMMAIRE 1. CARACTÉRISTIQUES DU MARCHÉ DES CRÉDITS À L HABITAT 6 1.1. Reprise de l activité dans un contexte de baisse des prix 6 1.2. Fort rebond
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailLIFE MOBILITY. épargne patrimoniale
épargne patrimoniale LIFE MOBILITY evolution UN CONTRAT D ASSURANCE VIE ÉMIS AU GRAND-DUCHÉ DU LUXEMBOURG AU SERVICE DE LA MOBILITÉ PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Un contrat sur-mesure pour une stratégie patrimoniale
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailLES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011
LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA
Plus en détailPROFITEZ DE DONNÉES DE CLASSE MONDIALE. Creditsafe lance une suite de solutions conçues pour accompagner votre développement à l international
PROFITEZ DE DONNÉES DE CLASSE MONDIALE Creditsafe lance une suite de solutions conçues pour accompagner votre développement à l international Nous sommes fiers de vous présenter la nouvelle gamme de solutions
Plus en détailContribution des industries créatives
RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailLes politiques Publiques de Garantie des Crédits aux PME, une étude comparative entre l Algérie et l Italie
Revue des Sciences Humaines Université Mohamed Khider Biskra No :33 Les politiques Publiques de Garantie des Crédits aux PME, une étude comparative entre l Algérie et l Italie Université d Oum El Bouaghi
Plus en détailConditions Générales. Entreprises. (en vigueur au 1 er mai 2015)
Conditions Générales Entreprises (en vigueur au 1 er mai 2015) Sommaire Paragraphe Page 1. Définitions...2 2. Conditions...2 3. Gestion du compte courant...4 4. Paiements domestiques & SEPA...6 5. Paiements
Plus en détailLe Comité Consultatif du Secteur Financier. L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF
Le Comité Consultatif du Secteur Financier L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF Lucien Bernadine Secrétariat général du Comité consultatif du secteur financier Vendredi 21 mars
Plus en détailAttijariwafa bank Présentation. Conseil d administration. Chiffres-clés Consolidés / IFRS. Réseau et effectifs Décembre 2014
Février 2015 Attijariwafa bank Présentation Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et de l UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) et acteur de référence
Plus en détailReporting statistique des établissements de crédit
Reporting statistique des établissements de crédit Foire aux questions (FAQ) Banque centrale du Luxembourg Sommaire 1 Introduction... 3 2 Double reporting CSSF / BCL... 4 3 Définitions et concepts... 5
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»
CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES GUIDE DES MAROCAINS RESIDANT A L'ETRANGER EN MATIERE DE CHANGE. Juillet 2012 www.oc.gov.ma
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES GUIDE DES MAROCAINS RESIDANT A L'ETRANGER EN MATIERE DE CHANGE Juillet 2012 www.oc.gov.ma S O M M A I R E INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------3
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailActualité Juridique & Fiscale
Septembre 2011 2011 Actualité Juridique & Fiscale Sommaire Sommaire I Petits-enfants venant à une succession par suite de la renonciation de leur auteur, enfant unique : impossibilité d appliquer l abattement
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailNORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32
NORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32 OBJECTIF 01. La norme comptable NC 01 - "Norme comptable générale" définit
Plus en détailRoyaume du Maroc. Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation. L'épargne intérieure au Maroc
Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation L'épargne intérieure au Maroc Décembre 2001 Constituant une sélection mensuelle des travaux menés par les cadres de la Direction
Plus en détailINVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan
INVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan FINANCES & CONSEIL MEDITARRANEE 23 Octobre Avril 2012 I. Généralités Superficie Capitale Villes principales Langue officielle Monnaie Population 710 000 Km² Rabat
Plus en détailGuide pratique des OPCVM
2010 Guide pratique des OPCVM Service Education des Epargnants CDVM V 3 06/10/2010 Produits de gestion collective OPCVM Les OPCVM au Maroc Qu est ce qu un OPCVM Comment fonctionnent-ils? Quels sont les
Plus en détailPension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas
Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler
Plus en détailBourse de Casablanca. Arrêtés ministériels d application relatifs aux Sociétés de Bourse
Bourse de Casablanca Arrêtés ministériels d application relatifs aux Sociétés de Bourse SOMMAIRE ARRETE OU DECRET PAGE Arrêté du ministre des finances et des investissements n 2893-94 du 24 octobre 1994
Plus en détailLa BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière
La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède
Plus en détail