EFFICACITE. Depuis Shealy (1967) : 124 études, Mais grande disparité :

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Matthieu Fortier
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1 EFFICACITE Depuis Shealy (1967) : 124 études, Mais grande disparité : Etiologiques : Ostéoarticulaires (genoux rachis lombaire), neuropathiques, douleurs diffuses chroniques, Techniques : nombreuses avec variétés fondées sur le risque d accoutumance,

3 EFFICACITE Depuis Shealy (1967) : 124 études, Mais grande disparité : Traitements médicamenteux associés nombreux, Double aveugle complexe à mettre en jeu de même que la stimulation placebo, Durée de stimulation variable (d une heure à 81 heures par semaine), Durée de suivi variable,

4 EFFICACITE Pas de recommandations, Sur les 24 études retenues : Mode conventionnel : étude positive 8/12, Mode endorphinique : étude positive 4/8?, Mode conventionnel versus endorphinique : étude positive 2/8, Association mode conventionnel et endorphinique synergique avec la prise d opioïdes orale

5 EFFICACITE Auteurs Etiologies Nb inclus Modalités Résultats Kumar 1997 Neuropathie diabétique Nash 1990 Neuropathie chronique Tulgar 1991 Neuropathie chronique 31 TENS 4 S 30 mn/j modalités d administration 27 TENSc et endo et Burst Modulation ++ 83% 47% 92%

7 TENS Prescription : *Inscription au LPPR : 14/09/2000, Traitements des douleurs rebelles, prescription par un centre ou consultation de la douleurs chroniques.

8 TOPOGRAPHIE DES ELECTRODES: EXEMPLES

9 TOPOGRAPHIE DES ELECTRODES: EXEMPLES

CONCLUSION Technique antalgique facile d utilisation pour le patient Mais nécessitant une bonne connaissance des techniques employées par le soignant chargé d éduquer le

11 CONCLUSION Technique antalgique facile d utilisation pour le patient Mais nécessitant une bonne connaissance des techniques employées par le soignant chargé d éduquer le patient, au risque d avoir un taux important d échecs Innocuité Utilité +++ en traitement complémentaire dans les douleurs avec composante neuropathique et syndromes myofasciaux

13 INTERET PRONOSTIQUE Bilan initial (J15) : intérêt pronostic ++ Différencier neurapraxie / axonotmesis ou neurotmesis soit de différencier lésion anatomique ou fonctionnelle, (persistance d une stimulation sous lésionnelle), Caractère complet ou partiel, localisation lésionnelle,

15 INTERET PRONOSTIQUE Stimulo-détection : +++» Stimulation sus lésionnelle : Bloc de conduction complet ou incomplet,» Stimulation sous lésionnelle : Bloc de conduction ou lésion axonale,

17 Electromyostimulations Les dates importantes : 1. Duchenne de Boulogne (1867) : physiologie des mouvements à l aide de la faradisation, 2. Lapicque (1909) définit la rhéobase et la chronaxie, 3. Duhem (1935) décrit le principe de climalyse.

18 Physiologie de l excitabilité neuro-musculaire Réponses musculaires selon l intensité et la durée de l impulsion : Loi de Weiss I = a/t + b où b est la rhéobase (intensité seuil : quantité d électricité constante), et une quantité d électricité variable, a/t, inversement proportionnelle à la durée de l impulsion. Chronaxie : durée minimale d une impulsion à début brusque et d intensité double de la Rhéobase pour obtenir une contraction. Les chronaxies normales sont inférieures à 1 ms (entre 100 et 700 s).

19 Durée utile : durée minimale d une impulsion à début brusque et d intensité rhéobasique, capable de provoquer une contraction.

20 Physiologie de l excitabilité neuro-musculaire Le seuil de Climalyse est la durée minimale d établissement de cette impulsion rhéobasique qui fait disparaître la contraction.

22 Différences entre contractions électro-induites et contractions volontaires Recrutement spatiale Recrutement temporel Volontaires Electroinduites Loi des Tailles Fibres nerveuses les plus myélinées Asynchrone Synchrone

23 Physiologie de l excitabilité neuro-musculaire Réponses musculaires selon l intensité : sommation spatiale : Notion de stimulation LIMINAIRE (provoquant une contraction), Notion de stimulation supraliminaire = contraction maximale,

24 Electrostimulation du Muscle Sommation Spatiale : Intensité de stimulation

25 Physiologie de l excitabilité neuro-musculaire Réponses musculaires selon la fréquence des impulsions : sommation temporelle :

27 Programmes d électromyostimulation sur muscles SAINS Amyotrophie : Alternance de phases de contractions tétanisantes (50 Hz) et non tétanisantes (8Hz), Durée : 60 minutes, Renforcement musculaire : Courants tétanisants (50 Hz), TT = TR, Durée = 20 minutes, Stimulation électrique fonctionnelle : Rééducation périnéale : prise de conscience, Epaule: recentrage de tête.

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