Atelier A26. Sécurisation de la Supply Chain : Audit de l entreposage

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Germaine Dumont
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4 Intervenants Grégoire MALLET Adjoint au directeur du département Audit et Conseils Alain PETIT Directeur d ALLIANZ RISK CONSULTANTS FRANCE alain.petit@allianz.com Paulo FERREIRA Vice President HSE Management pferreira@prologis.com Modérateur Stéphane RICHARD Responsable de la prévention des risques industriels srichard@dgaf.loreal.com

5 Cas concret : Moussy-Le-Neuf (France) 19/03/08 Village de Moussy Entrepôt Aéroport Roissy Charles de Gaulle (6 km) - Stockage de produits pharmaceutiques : 5 cellules - Surface totale : m²

6 Présentation du site Cell 5 Cell 4 Cell 3 3 bis Cell 2 Cell 1 Bureaux

8 Conséquences du sinistre : - 2 cellules sur 5 détruites, soit m² sur m² - Plusieurs dizaines de millions d de préjudice - Impact sur l image

10 Retour d expérience - Protection sprinkleur - Fonction compartimentage - Ressources en eau pour la défense incendie - Plan de Continuité d Activités

11 Retour sur l accidentologie - Détection incendie / Protection sprinkleur - Compartimentage - Accessibilité aux services de secours / Ressources en eau - Désenfumage - Rétention des eaux d extinction - Isolement par rapport au tiers

12 Réglementation ICPE : un levier en phase avec l accidentologie Confinement eaux d extinction Surface des cellules / Compartimentage Isolement par rapport aux tiers Accessibilité aux services de secours Désenfumage

13 L apport de l assureur dans le processus de sélection et de gestion des prestataires logistiques Objectifs : mieux connaître les risques sensibiliser / communiquer / apporter un support méthodologique et technique évaluer le niveau de prévention et de protection des prestataires surveiller ces risques améliorer le niveau de maîtrise de ces risques dans le temps 13

14 14 Les 6 outils apportés par l assureur

15 Outil n 1 : l ingénierie de compte : L Account Engineer apporte son support méthodologique au client pour : Identifier les risques (exposition, accumulation, ) Déterminer & piloter le programme d actions 15

16 Outil n 2 : communication et diffusion de bonnes pratiques : Communication de vulgarisation Documents techniques spécifiques Documentation générale de sensibilisation aux risques 16

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20 Outils n 3 : remontée d information sur la matérialité des risques : self-inspections : questionnaire simplifié envoyé aux exploitants 20

22 Outils n 3 : remontée d information sur la matérialité des risques : self-inspections : questionnaire simplifié envoyé aux exploitants peu couteux, rapide, exhaustif par rapport au périmètre d activité limites : ne permet pas d évaluer le niveau d efficacité des mesures de prévention / protection en place 22

23 Outils n 4 : audits de risque sur site : savoir faire de l assureur en terme d audits de terrain et d évaluation des risques et des sinistres potentiels utilisation d un réseau d ingénieurs rompus à cette technique Optimisation par utilisation d intervenants locaux l audit peut éventuellement être réalisé en préalable à la sélection d un prestataire 23

24 Outil n 5 : suivi des risques : Possibilité de mettre en place les systèmes d alerte de l assureur : mise en place des «impairment form» (hotline H24) Remontée et analyse des différents compte rendus de vérification périodique des systèmes de protection 24

27 Outil n 6 : Assistance technique à la réduction des risques : Ingénierie des systèmes de protection : mise à disposition de spécialistes : Pour suivre les projets de construction/extension Pour fournir une assistance technique sur les projets sprinkleur 27

28 Conclusion : L assureur peut aider le client industriel à mieux maitriser son risque de stockages externalisés en apportant un ensemble d outils méthodologiques, techniques, organisationnels et communicationnels 28

29 ASIE 1,2 millions m² 7 marchés 2 pays AMERIQUE DU NORD 31,2.0 millions m² 54 marchés 3 pays EUROPE 11,8 millions m² 44 marchés 13 pays

30 Pourquoi auditer? Activité relativement simple Pas de process Beaucoup de stock mais généralement emballé Personnel formé et pourtant

35 Rupture dans la supply chain Pertes de valeurs Problématiques assurance Atteintes à l image de marque Mais aussi : Risques Humain Risques de poursuites (pénales et financières, ) Risques de sanctions administratives (fermetures, )

36 Intégration de l immobilier dans la Supply Chain Objectifs du Bailleur : Fournir un outil de travail Proposer un prix de location Assurer un niveau de charges Objectifs du Preneur : Gérer les flux Gérer un emplacement palette Gérer les coûts

37 Mise en pratique : exemple 1 Audits de l activité de l utilisateur du bâtiment Visites programmées et inopinées Rejeter l idée Audit = Sanction Sensibiliser sur les ICPE, la sécurité Faire le point sur les contrôles et la maintenance Echanger sur les évolutions Réglementaires Marchés/ stockage

40 Mise en pratique : exemple 2 Interactions entre le bailleur et le preneur A) Définition exacte des rôles

41 Mise en pratique : exemple 2 Interactions entre le bailleur et le preneur B) Gestion des matières dangereuses Difficultés rencontrées : Evolution du marché Nécessité de faire évoluer les autorisations Besoins d Aménagements spécifiques Objectif : Stocker tout en gérant les risques spécifiques

43 Clé de la réussite de l externalisation : Interaction entre le bailleur et le preneur Un bailleur responsable qui : Accompagne Anticipe la réglementation Conseille Agit sur Prévention / formation / sensibilisation

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