Présents : P-V DE LA REUNION DU 24 juin 2009 REUNION DU COMITE D ACCOMPAGNEMENT POUR LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES DE FLEURUS-FARCIENNES. Madame Muriel GLAUDE, Responsable du Département Environnement Province du Hainaut et Présidente du Comité. Autorités communales : Monsieur Jean-Luc BORREMANS, Bourgmestre de la Ville de Fleurus ; Monsieur Francis PIEDFORT, Echevin de l Environnement Ville de Fleurus ; Monsieur Christian COURTOY, Conseiller communal Ville de Fleurus ; Représentants du site nucléaire : Monsieur Vincent LUYCKX, General Manager Sterigenics S.A. ; Monsieur Michel BOLAND, Communication Manager IRE ; Monsieur Jean-Michel VANDERHOFSTADT, Directeur Général IRE ; Monsieur François DESMEDT, Directeur Transrad ; Monsieur Philippe DAMHAUT, Directeur Isotopes Médicaux MDS Nordion ; Autorités provinciales : Monsieur Bruno ZORZI, Attaché au Cabinet du Gouverneur de la Province du Hainaut ; Monsieur Michaël GEMENNE, Représentant du Gouvernement Provincial de Namur ; Représentants de la population : Monsieur Bernard BARBIAUX, Communicateur Ville de Farciennes ; Monsieur Gian-Carlo TOMASI, Riverain Farciennes ; Monsieur Albert SCHLEIPER, Président de l Association Farciennes + ; Autres : Monsieur Eric PONLOT, Chef de Bureau Ville de Fleurus ; Monsieur Paul SIMON, Journaliste indépendant Périodique communal de Fleurus ; Madame Béatrice Mangelschotz, Infirmière sociale représentant le Secrétariat du Bourgmestre de la Ville de Fleurus. Excusés : Monsieur Hugues BAYET, Bourgmestre de la Ville de Farciennes. Madame Christiane VASSART, Ligue des Familles (Fleurus). Madame Elisabeth DECLEVE, Vie Féminine (Fleurus). Monsieur Rudy PERES, GALF (Fleurus). Le 24 juin a eu lieu la première réunion du Comité d accompagnement des entreprises nucléaires du zoning Fleurus/Farciennes. Un Comité d accompagnement est constitué de représentants des administrations et autorités communales, des entreprises et des riverains. Il s agit essentiellement d un organe de dialogue. Son rôle est de 1
permettre l intégration harmonieuse de l entreprise dans son environnement. Ce comité n a pas pour mission de contrôler l entreprise (mission qui revient au Département de la Police et des Contrôles du Service public fédéral), mais bien d informer mutuellement les différentes parties et de régler les problèmes ponctuels surgissant du fait de l exploitation. Les quatre entreprises actives dans les isotopes (IRE, Sterigenics, MDS Nordion et Transrad) ainsi qu une série de représentants des riverains se sont assis autour de la table. Cette réunion était présidée par Muriel GLAUDE, Responsable de la Cellule environnement de la Province du Hainaut, en présence de Bruno ZORZI, représentant du Gouverneur et sous le patronage de Monsieur le Bourgmestre Jean-Luc BORREMANS (M.BAYET, Bourgmestre de Farciennes, était excusé). Monsieur BORREMANS ouvre la séance. Il remercie les personnes présentes, déplore l absence de riverains de Fleurus et la décision du Comité de Vigilance Fleurus-Farciennes de ne pas participer au Comité d accompagnement. Première constatation, certainement dommageable : à l inverse de quelques représentants farciennois, aucun citoyen fleurusien n avait pris la peine de demander à faire partie de ce comité. A titre individuel en tout cas! Car notre milieu associatif veillera aux intérêts de nos concitoyens. (Vie Féminine, la Ligue des Familles et le GALF) : tous trois excusés le 24 juin). L occasion est toutefois pressante pour la Cité des Bernardins de rééditer l appel à candidatures. Il est en effet primordial que nos concitoyens prennent leur avenir et leur sécurité en main et endossent leurs responsabilités de citoyens. Il rappelle que l objectif de cette réunion est de créer ledit Comité qui est un organe de dialogue et d informations. Monsieur BORREMANS met en évidence l importance d une bonne communication et les conséquences d un manque ou d une mauvaise communication. Le dernier incident survenu chez Nordion le prouve. Certains partis politiques s emparent des incidents pour se mettre en avant et critiquer la majorité fleurusienne. Il y a utilisation et récupération des événements. Il fonde dès lors tous ses espoirs dans ce Comité qui permettra sûrement une plus grande transparence, et d instaurer un climat de confiance entre les différents acteurs (autorités, entreprises nucléaires et représentants de la population). Il cède alors la parole à Madame GLAUDE, Présidente de ce Comité. Madame GLAUDE après s être présentée revient sur la non participation du Comité de Vigilance. Elle propose de rencontrer la personne ressource, personnellement, pour insister sur le fait que ce Comité ne sert pas d alibi ni pour les autorités, ni pour les entreprises. Au sein de cet organe, le dialogue doit être franc, convivial et empreint de respect mutuel. 2
Elle signale que le Règlement d Ordre Intérieur préalablement élaboré peut être évolutif et sera soumis à l approbation du prochain Comité. Madame GLAUDE suggère de faire un tour de table afin que toutes les personnes présentes s identifient. Elle demande à Monsieur Paul SIMON, journaliste indépendant d être très prudent dans sa communication et de limiter celle-ci au périodique communal de Fleurus qui paraîtra en septembre 2009. Monsieur SIMON confirme que l article qu il rédigera respectera les souhaits du Comité et ne sera pas diffusé dans la presse. Premier point : Madame GLAUDE propose deux méthodes pour la réalisation du Procès- Verbal (PV) soit : 1. Un PV provisoire est rédigé très rapidement, est soumis à tous les participants présents pour correction, remarques et commentaires. Le PV définitif est alors envoyé 4 semaines avant la prochaine réunion et en même temps que la convocation. Celui-ci peut encore faire l objet de remarques lors du prochain Comité avant son approbation définitive. 2. Un PV est adressé à tous les participants sans possibilités de corrections préalables, est commenté lors de la prochaine réunion avant son approbation. C est la première méthode qui est retenue. Deuxième point : Madame GLAUDE interroge les différents représentants sur leurs attentes. Elle rappelle que le Comité est un organe de dialogue, de communication et non un organe de contrôle, de cautionnement vis-à-vis de la population. Pour les représentants de la population : Etre informé. La population sait que les industries et les installations nucléaires ne sont pas sans risques. Il serait opportun de donner une information initiale qui permettrait de mieux comprendre la complexité des entreprises. Suggestions pour améliorer l information : - Obtenir un dossier papier concernant : La présentation de l institution ; Que fait-elle, que produit-elle? Quels sont les risques? Comment gérer ces risques ; 3
Qui est le responsable de la communication? Quels sont les moyens, méthodes, plans et schémas de communication? Comment peut-on accéder à la communication? - Il serait intéressant de créer un pôle des entreprises nucléaires situé sur le zoning qui serait un système de veille permanent et qui pourrait donner des informations trimestrielles sur les entreprises concernées (l aspect économique, les événements et le traitement de ceux-ci). Depuis début 2009, l IRE publie un document d information trimestriel qui est distribué en toute-boîtes, intitulé «En Direct de l IRE», à environ 9.000 ménages. La prochaine édition est prévue en septembre 2009. Copies sont également visibles sur le site internet de l IRE. www.ire.eu. L IRE poursuivra ce mode de contact direct avec les riverains. «Nous pensons qu il n est pas possible pour l instant de publier un document commun aux entreprises concernées car nos «métiers» sont très différents et les stratégies des entreprises ne sont pas forcément identiques». - Obtenir des renseignements sur : Le Plan d Urgence qu il faut mettre en place en cas d accident réel. Il faut faire la différence entre le Plan d Urgence communal, le Plan d Urgence des installations nucléaires, le Plan d Urgence provincial. Monsieur ZORZI propose de faire une présentation Power Point lors d un prochain Comité expliquant la pyramide des relais (Autorités fédérales, comité de crise, province, Bourgmestre ). Comment les riverains vont-ils être prévenus en cas de procédure d urgence? Les pastilles d iode qu il faut prendre, leur péremption (responsabilité de la santé publique). L iode ne se périmerait pas, la date de péremption correspond à une obligation imposée pour les produits vendus en pharmacie. Structurer la communication. Quand un incident survient, il serait légitime que le Directeur informe les membres de l entreprise, les autorités communales, les riverains et les membres du Comité d accompagnement. Il y a divers niveaux de communication et il faut les connaître. Pourquoi l AFCN informe t-elle la presse avant les Bourgmestres? S enrichir mutuellement. Réinstaurer, réinstaller la confiance. L accumulation de faits dans la région générant des nuisances fait peur. Il sera nécessaire de consacrer un long moment des débats à constituer progressivement une confiance mutuelle dont jouiront les interlocuteurs. «Nous sommes ignorants», regrette un Farciennois. «Nous avons besoin d un petit dossier de départ. La base est de bien se connaître.» 4
A cette fin, la prochaine réunion sera destinée à présenter plus avant les quatre entreprises nucléaires. Mr VANDERHOFSTADT, Directeur général de l IRE (Institut des radioéléments) a d ailleurs tenu à inviter solennellement l assistance à tenir la deuxième séance du Comité dans les locaux mêmes de l IRE, au terme d une visite des lieux. Chacune des entreprises sera invitée à présenter son entreprise, son activité, son plan de communication et surtout le plan d action d urgence prévu par les services respectifs de sécurité. Il faut admettre que ceux-ci sont parfois pris de court par la communication. «L idéal est que nous communiquions vers les riverains», estime Mr VANDERHOFSTADT. «Car malgré la transparence dont nous faisons preuve, la presse commet encore parfois des amalgames.» «Certains des événements qui sont parus dans la presse nous semblaient extrêmement peu importants», confie Philippe DAMHAUT de MDS Nordion. «Compte tenu des normes autorisées. Il faut savoir que le cas de MDS Nordion, il y a quelques semaines, ne concerne nullement un dépassement de la norme. Au contraire, nous n avons atteint que 3% du niveau de cette norme. Nous n avons jamais pensé que l AFCN (Agence fédérale de contrôle nucléaire) communiquerait sur le sujet A présent, nous devrons communiquer en dehors même de tout incident, afin que les riverains reprennent confiance.» Obtenir très rapidement des informations (améliorer la communication aux riverains). La problématique est plus sur le type et l organisation de la communication, que sur les délais. Demander aux entreprises nucléaires de faire preuve de pédagogie et de précaution car il y a un véritable fantasme autour du nucléaire. Harmoniser, rendre uniforme la manière de communiquer. Les normes limites et à ne pas dépasser, en ce qui concerne les rejets nucléaires, sont et resteront fixées par l AFCN qui a autorité en la matière. Il serait indispensable de s entendre sur la communication et l explication de ces normes, afin d informer correctement la population. Pour la Présidente, Madame GLAUDE : Elle souhaite que les représentants de la population répercutent l information qu ils auront reçue et reviennent au Comité avec les doléances exprimées. Elle espère initier des collaborations dans ce Comité. 5
Pour les autorités communales : Monsieur BORREMANS souhaite que les remarques émises soient actées comme : Il y a une lacune en ce qui concerne la représentativité des riverains de Fleurus. Il serait souhaitable de lancer un nouvel appel. Il faut faire comprendre que ce Comité ne prend personne en otage. Ce Comité permettra d avoir une politique du zoning en termes de signalisation des entreprises. Pour les autorités provinciales : Monsieur ZORZI déplore l absence d un représentant des industriels du zoning. Monsieur VANDERHOFSTADT explique que des réunions s organisent pour tenter de créer un «club des entreprises». Actuellement, ce club ne bénéficie pas de structure, d organisation mais pourrait se concrétiser en septembre 2009 et être invité lors du prochain Comité. Pour les représentants des entreprises nucléaires : Monsieur VANDERHOFSTADT (IRE) souhaite se mettre à l écoute des différents représentants, en vue de comprendre au mieux les préoccupations et attentes des riverains, expliquer en toute transparence ce que l Institut fait (les enjeux, les difficultés ) et démystifier le langage nucléaire. L entreprise doit communiquer avec les riverains en organisant, par exemple, une journée «Découverte Entreprise». Monsieur DAMHAUT (Nordion) souhaite mettre en évidence les bienfaits de ce type d entreprise nucléaire notamment en matière médicale et des nombreuses contraintes que l entreprise doit respecter. Monsieur LUYCKS (Sterigenics) soulève le problème de l interprétation de l information par la presse et souhaite qu un climat de confiance soit réhabilité avec les politiques. Il serait souhaitable que les entreprises nucléaires soient en possession d une liste de personnes ressources pour distribuer les informations et bien communiquer lors de problèmes mineurs afin qu un travail de dédramatisation soit accompli. Il faut que les entreprises nucléaires développent la culture de communication, créent des canaux qu elles pourront utiliser en cas de crise. Un changement de mentalité s impose. 6
Autre point : Monsieur BORREMANS revient sur l incident survenu chez NORDION. Il a été averti, par l Agence Fédérale de Contrôle Nucléaire (AFCN), à 17 heures de l incident survenu à 12 heures. Cette façon de procéder l a rassuré car, lors de ce contact, il apprenait que toutes les analyses avaient été effectuées et qu il n y avait pas de dispositions à prendre. Il a reçu, au total, 3 contacts téléphoniques de l AFCN suivis de courriers électroniques. Grâce à ces informations fondées et vérifiées, Monsieur BORREMANS a pu rassurer ses concitoyens via le site communal. Ce délai de 5 heures lui semble acceptable par rapport à ce qu il a connu lors de la précédente crise survenue en août 2008. Il déplore toutefois le silence de NORDION. Monsieur DAMHAUT reconnaît cette erreur de communication. NORDION a communiqué aux médias mais pas aux Bourgmestres qui sont pourtant les premiers interpellés par la population lorsqu un incident survient. De plus, il y a eu une amplification médiatique. Monsieur BORREMANS souligne par ailleurs l amélioration très nette de la qualité de la communication avec l IRE depuis l incident de 2008. Il apprécie la communication franche qui s est établie. Les représentants des entreprises nucléaires soulèvent alors le problème du non événement médiatisé. Pour les experts qu ils sont, certains événements techniques ne représentent pas un incident qu il faut signaler. Toutefois, l AFCN informe les médias. Monsieur SCHLEIPER revient sur l incident de NORDION. Il regrette ce délai de 5 heures avant que le Bourgmestre de Fleurus ait été informé et qu il l ait été non par l entreprise mais par l AFCN. Par ailleurs, le Bourgmestre de Farciennes a-t-il été informé de la même manière? Pour lui, il estime par ailleurs que si les entreprises nucléaires souhaitent gagner la confiance des riverains, elles doivent mieux communiquer en dehors de tout événement. Pour lui, les Bourgmestres doivent être avertis dès que l entreprise connaît un incident et tout de suite afin qu ils puissent se préparer à prendre les mesures préventives adéquates éventuelles. Monsieur PIEDFORT exprime ses inquiétudes quant à tout ce qu il vient d entendre. En effet, les entreprises nucléaires représentées autour de la table ont des façons différentes de réagir par rapport à la communication. L incident survenu à l IRE ne semble pas avoir porté ses fruits et la culture de la bonne communication ne semble pas encore être mise en place. Mieux vaut action que précipitation Ainsi, l Agence fédérale sera invitée au prochain comité de suivi afin d exposer sa stratégie de communication et les standards d avertissement 7
des autorités. Si chacun s en tient aux mêmes standards, le public aura une meilleure confiance vis-à-vis de ces entreprises pourvoyeuses d emploi et d excellence. «Pour ma part, j ai été rassuré par les derniers événements», conclut Monsieur le Bourgmestre Jean-Luc Borremans. «En effet, j ai été prévenu dans les cinq heures de l incident par l AFCN. Et on m a indiqué d emblée que la situation était sous contrôle, qu aucune mesure ne devait être prise par les Autorités et que la population n avait nullement été mise en danger. Pour moi, c est positif. Ce serait bien plus dangereux de dire tout de suite n importe quoi.» «Cinq heures, c est beaucoup trop», ont estimé les riverains, unanimes. «Si ça avait été grave?», demandent-ils. Mais avec des «Si» «Il n y a jamais eu d accident à l IRE», martèle M. Vanderhofstadt. «Notre plan d urgence est pourtant bel et bien prêt. En cas d accident, un comité de crise interne sera constitué, les Autorités averties, avec indications par radio, télé, et via les services de police pour que tous les riverains prennent leurs pilules d Iode», rassure-t-il. Ce qui pourrait être envisagé : Convier un représentant de l AFCN à participer au prochain Comité pour que l Agence explique sa politique de communication. L IRE remet en séance aux participants un document explicatif de ses activités et copies des derniers «En Direct de l IRE». L IRE va faire un point presse en septembre mais ne souhaite pas que les différentes entreprises soient systématiquement associées dans le processus de communication ; les actionnaires, les directions, les enjeux et les stratégies n étant pas identiques. Prévoir 3 réunions par an dans un premier temps. Quand le Comité sera bien mis en place, on peut prévoir 4 réunions par an avec possibilité de réunion exceptionnelle en fonction des besoins. La prochaine réunion est fixée au 29 septembre 2009 à 18 heures dans les locaux de l IRE. Sur proposition de Mr SCHLEIPER, il est convenu que d autres représentants du secteur associatif de Farciennes notamment- puissent rejoindre le comité et que la procédure pour ce faire soit précisée. Ordre du jour : Présentation des activités des différentes installations nucléaires, de leur plan de communication, de leur politique de sécurité et de leurs perspectives en la matière. Un dossier papier est souhaité. Présentation des plans d urgence et de ses principes de fonctionnement (?) 8
Sterigenics (Avenue de l'espérance 17-6220 Fleurus - 071 81 00 84) : Depuis plus de 50 ans, l entreprise internationale fournit aux industries des dispositifs médicaux et de la pharmacie des solutions de stérilisation en utilisant le traitement par Oxyde d'éthylène (OEt), Rayons gamma et Faisceau d'électrons. Ils proposent également des capacités de traitement pour la Sécurité alimentaire et les Matériaux de spécialité hautes performances utilisant les technologies à base de rayons gamma et faisceaux d'électrons. www.sterigenics.com MDS Nordion S.A. (Zoning Industriel - 6220 Fleurus - 071 82 33 11) : MDS Nordion exporte des isotopes médicaux, radiothérapeutiques et assimilés dans plus de 50 pays., Les produits sont utilisés dans les hôpitaux et cliniques : imagerie moléculaire dans la recherche et développement de nouveaux médicaments, diagnostic médical, stérilisation prophilactique www.mds.nordion.com Transrad (Zoning Industriel - Site I.R.E - 6220 Fleurus - tsr@transrad.be) : Transrad est active dans le transport et l expédition de matériel radioactif et sensible pour les implantations à caractère nucléaire par tous les moyens de transport (route, air, chemin de fer et mer) ainsi que dans les études de faisabilité, l'emballage et l'arrimage. Egalement dans le stockage de matériel radioactif, l escorte, etc. www.transrad.be/fr L IRE (Avenue de l'espérance, 1-6220 Fleurus - 071 82 95 56) : Elle est un important producteur mondial de radioéléments utilisés en médecine nucléaire à des fins de diagnostic et de thérapie. «Par son activité, l'institut contribue à sauver la vie de millions de personnes dans le monde chaque année», y revendique-t-on. L'IRE participe également à la protection de l'environnement par la mise en œuvre de technologies de surveillance et de mesure du taux de radioactivité dans le sol, l'air et l'eau. www.ire.eu Madame GLAUDE lève la séance. 9