décembre 2013 / n 292 le Petit magazine communauté d agglomération saint-quentin-en-yvelines Le dossier Bien vivre à saint-quentin yvelines La solidarité au cœur de nos actions Robert Cadalbert, président de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines Si au mois de décembre, nous sommes enclins à parler de solidarité, nous pourrions le faire tous les mois, tant cette notion irrigue à la fois notre collectivité et son action. Le principe même de notre fonctionnement est solidaire. Nous partageons notre richesse et nous mutualisons nos moyens avec les communes afin que la réussite de Saint-Quentin-en-Yvelines profite à tous, et qu elle permette de répondre aux besoins des habitants et des entreprises du territoire. Mais nous le savons, avant de la partager cette richesse il faut la produire. Notre développement économique répond à cet objectif. L attractivité de notre agglomération est l un des éléments fondamentaux de la réussite de Saint-Quentin-en-Yvelines. Cette attractivité est liée à la qualité de vie sur le territoire, aux infrastructures, aux équipements, aux services publics sommaire 2 Territoire solidaire 4 La solidarité en actions 6 Le service hivernal www.saint-quentin-en-yvelines.fr
860 C est le nombre d actions menées par la Casqy et les communes au cours des 4 dernières années dans le cadre du Cucs. 49 % des actions concernaient la citoyenneté et la prévention de la délinquance, 16 % étaient dédiées à l accès à l emploi et au développement économique et 16 % à la réussite éducative. 23 000 ont été mobilisés chaque année par les différents financeurs. saint-quentin- focus François Lamy, ministre délégué chargé de la Ville. en-yvelines Territoire solidaire Politique de la ville La solidarité au quotidien À Saint-Quentin-en-Yvelines, la solidarité est depuis quarante ans au cœur de l action publique. De nombreux dispositifs traduisent cet engagement et permettent d agir au quotidien. Dans le cadre de la politique de la ville, l agglomération a signé un contrat urbain de cohésion sociale (Cucs) qui intègre ces dispositifs. Le contrat urbain de cohésion sociale Le Cucs est un contrat passé entre l État et les collectivités territoriales (villes, agglomérations). Il engage chacun des partenaires à mettre en œuvre des actions pour améliorer la vie quotidienne des habitants dans les quartiers connaissant des difficultés (chômage, insécurité, logement ). Initialement signés pour une période de trois ans (2007-2009), les contrats ont fait l objet de différents avenants les prolongeant jusqu en 2014. pement économique, logement et habitat, prévention de la délinquance et citoyenneté (lire p. 4-5), réussite éducative, santé publique et lutte contre les discriminations (lire p. 3-5). Le prochain contrat qui devrait voir le pilotage de la communauté d agglomération renforcé sera élaboré dans le cadre d une redéfinition de la politique de la ville en collaboration avec les communes et l état. Solidarité intercommunale Pour le ministère délégué à la Ville, les moyens doivent être concentrés sur les quartiers les plus en difficulté. Environ 1 200 «quartiers prioritaires de la politique de la ville» seront désormais identifiés, au niveau national, en s appuyant sur un critère unique et objectif : le revenu des habitants. Même si certains quartiers saint- quentinois doivent donc sortir de ce qu on appelle la «géographie prioritaire», la communauté d agglomération continuera à développer la solidarité intercommunale, avec toutes les communes, pour tous les habitants qui en ont besoin. R Retrouvez le bilan sur www.sqy.fr/cucs Vincent Leymonie La communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines est donc actuellement en phase d évaluation des actions menées afin de préparer le futur contrat de ville qui devrait être signé fin 2014. Celui-ci devrait poursuivre le travail engagé autour des six thématiques déjà retenues : emploi et dévelop- Le futur contrat de ville 2 // Le Petit Quentin, magazine de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines // Décembre 2013 Si Saint-Quentin-en-Yvelines affiche une réussite économique que certains envient, il ne faut pas occulter les disparités qui persistent sur le territoire. La construction rapide de certains quartiers à partir des années soixante a pu créer des inégalités au sein de l agglomération. C est par une politique de solidarité volontaire que la communauté d agglomération, les communes et leurs partenaires luttent contre ces inégalités. Élu du plateau de Saclay, je connais bien Saint-Quentin et ses problématiques. C est pourquoi j ai souhaité venir à Trappes-enYvelines. Bientôt, les contrats urbains de cohésion sociale vont devenir des contrats de ville qui intégreront la cohésion sociale et la rénovation urbaine. Car les deux doivent aller de pair. Nous mettrons en place des conventions pluriannuelles d objectifs et simplifierons les démarches pour les associations. D ici à la fin de l année, la géographie des quartiers prioritaires sera modifiée. Un seul critère, objectif, doit prévaloir : celui de la concentration de la pauvreté. Lors de la préparation des prochains contrats de ville, une place importante sera laissée à la démocratie locale pour que les habitants s emparent de ces problématiques et soient acteurs des changements à venir. Propos recueillis le 27 septembre, lors d une rencontre avec les associations de solidarité du territoire.
::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::: solidarité en actions Prévention et accès au droit Éducation et insertion Une nouvelle chance pour accéder à un métier D epuis dix ans, le réseau des écoles de la deuxième chance (E2C) permet à des milliers de jeunes âgés de 18 à 25 ans et sortis du système scolaire sans diplôme ni qualification de renouer avec l emploi. Dans l antenne saint-quentinoise de l E2C des Yvelines, 100 jeunes sont accueillis tout au long de l année. Hervé Demarcq, directeur de l école dans les Yvelines, rappelle l objectif de l école : «Nous voulons permettre à ces jeunes d accéder à un premier métier choisi. C est-àdire un métier qui se situe entre la voie tracée par le système d orientation de l Éducation nationale, et qui, parfois inadapté, a conduit à l abandon des études, et un métier rêvé mais ne correspondant pas forcément aux possibilités ou à la réalité du marché de l emploi. Les jeunes doivent donc avoir un projet réalisable et concret qu ils ont vraiment choisi.» Un projet confronté à l expérience Au sein de l école, les stagiaires vont travailler pour développer leurs compétences de base et construire leur projet professionnel. Un projet qui est rapidement confronté à l expérience du terrain. En effet, les jeunes alternent période de stage en entreprise et formation à l école. Au final, 80 % des jeunes repartent avec un contrat pérenne (plus de six mois ou en formation). Auxiliaire vétérinaire, CAP mécanique, service civique, hôtesse de caisse, CAP libraire en alternance, les sorties positives s affichent alors fièrement sur les murs de l E2C. Dispositif unique en France, le commissariat de Trappesen-Yvelines accueille une équipe d intervenants pour accompagner les victimes ou les auteurs d actes délictueux, faire de la prévention et faciliter l accès au droit. Rencontre avec Zouina Mokhtari, médiatrice sociale au commissariat. Dans quels cas intervenez-vous? Je travaille souvent dans l urgence. Salariée de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, mon rôle est d accueillir, d orienter et de faciliter l accès au droit. Je peux faire le lien avec d autres services de l agglomération comme la Maison de la justice et du droit. Je suis souvent à l extérieur avec les forces de police, par exemple sur des cas d expulsion locative. Nous essayons de créer du lien en amont, pour trouver des solutions. Mais la plupart du temps, mon intervention fait suite à un dépôt de plainte ou d une main courante. Dans 40 % des cas, il s agit de cas de violences conjugales, il y a aussi 40 % environ de violences familiales, et beaucoup de conflits de voisinage. Les cas de violences conjugales nécessitent un processus long et délicat. On com- À l écoute des habitants au commissariat mence souvent par un dépôt de main courante, il faut expliquer à la victime les différentes procédures, l accompagner jusqu au dépôt de plainte. R En 2012, 1 800 dossiers ont été traités par le pôle psychosocial. L intervenante sociale reçoit sans rendez-vous, au commissariat de Trappes-en-Yvelines, et sur demande, à la gendarmerie de Magny-lesHameaux et les autres commissariats. Santé Favoriser l égalité d accès à la santé A xe important du contrat urbain de cohésion sociale, l action en faveur de la santé publique vise à renforcer l égalité de tous dans l accès à la santé. Aujourd hui, 22 % des Saint-Quentinois n ont pas accès à une mutuelle complémentaire de santé. Environ 5 600 personnes sont bénéficiaires de la CMU-C (couverture médicale universelle complémentaire), notamment dans les quartiers concernés par la politique de la ville. En s appuyant sur son Institut de promotion de la santé (IPS), l agglomération a donc mis en place des dispositifs d observation et de prévention. Les dispositifs existants L Atelier Santé Ville (ASV), mis en place depuis fin 2006 (en lien avec les services de l État), vise ainsi à réduire les inégalités sociales de santé. Son principal objectif est de mieux coordonner le parcours de soins et de prévention des personnes en situation de vulnérabilité dans les quartiers prioritaires. Des outils sont développés pour appuyer le travail des professionnels et des actions sont menées avec les habitants pour les rendre acteurs de leur santé (soins, prévention). Un travail a notamment été fait en direction des jeunes, avec la carte santé jeunes qui répertorie les lieux de santé de Saint-Quentin-enYvelines spécifiques à ce public. Elle est disponible en ligne sur le site de la Casqy et sous forme de plan à l IPS. R www.sqy.fr Vincent Leymonie Décembre 2013 // Le Petit Quentin, magazine de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines // 3
Maison de justice et du droit Antenne de Trappes 3, place de la Mairie (3e étage) Tél. : 01 30 16 03 20 Antenne de Guyancourt Place François-Rabelais Tél. : 01 39 30 32 40 La solidarit Elle reçoit sans rendez-vous au commissariat de Trappes-en-Yvelines 1, place des Merisiers, Tél. : 01 30 50 72 00 Point services aux particuliers Sans rendez-vous 4, rue Koprivnice, Club Face 4, rue des Charmes ZA du Buisson-de-la-Couldre, www.face-yvelines.org Maison de l emploi et de la formation 1, rue des Hêtres, ZA du Buisson-de-la-Couldre, Tél. : 01 34 82 82 61 Plan local pour l insertion et l emploi (Plie) 1, rue Eugène-Hénaff, ZA du Buisson-de-la-Couldre, Tél. : 01 39 44 80 80 Déclic Théâtre Sébastien Le Goff, directeur du PSP. Axe citoyenneté et prévention de la délinquance Parmi les actions développées dans le contrat urbain de cohésion sociale, celles concernant la citoyenneté et la prévention de la délinquance recouvrent des champs assez divers. L enjeu est de favoriser l insertion économique, sociale et culturelle des publics en situation de rupture et/ou de précarité. Pour cela, la Casqy a mis en place et soutenu des dispositifs d accompagnement et des outils de découverte du monde du travail et de l entreprise. Elle développe aussi toutes les formes de médiation (familiale, civile, culturelle et sociale) pour promouvoir les droits et les devoirs des citoyens. Appelés outils structurants, ces dispositifs, tels les clubs de prévention, la Maison de justice et du droit, la médiatrice sociale du commissariat (voir p. 3) et le Point services aux particuliers (PSP) sont à l écoute quotidienne des habitants. Une spécificité sur les questions énergétiques Ouvert à l initiative de la Casqy et du club Face, le PSP accompagne les habitants dans leurs démarches administratives et quotidiennes avec une spécificité sur les questions énergétiques pour expliquer les factures, jouer les médiateurs dans les cas d impayés Pour Sébastien Le Goff, son directeur, le PSP répond à la déshumanisation des relations. «Nous pallions la disparition des accueils physiques dans les administrations et entreprises. Les gens très éloignés d Internet sont perdus, parfois en situation de précarité énergétique, avec des factures non payées. Ici, la qualité de l accueil est primordiale.» 17, avenue de Stalingrad-Nord, Tél. : 01 30 51 08 21 http://declictheatre.canalblog.com École de la deuxième chance 20, avenue Roger-Hennequin, Tél. : 01 30 16 17 07 www.e2c78.fr Institut de promotion de la santé Centre Jaurès 3, place de la Mairie, Tél. : 01 30 16 17 80 Déclic Théâtre. 4 // Le Petit Quentin, magazine de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines // Décembre 2013 contacts Médiatrice sociale du commissariat
::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::: Logement : favoriser la mixité sociale Pour garantir un niveau de mixité sociale au sein de l agglomération, la Casqy a développé des outils de planification de construction et de gestion du parc de logements. Les différents services actifs sur ces domaines portent également une attention particulière aux publics les plus fragiles et aux étudiants. Ainsi, le programme local de l habitat, voté en 2013, prévoit au cours des prochaines années la construction de 1 300 logements par an (35 % de locatif social, 32 % en accession aidée et 33 % libre), afin de rééquilibrer l offre en accord avec le profil et les besoins des ménages. améliorer le cadre de vie Ces constructions doivent notamment permettre aux habitants de suivre au cours de leur vie un «parcours résidentiel». Pour permettre, par exemple, aux jeunes d avoir accès à un logement étudiant, puis à un appartement en location adapté à leurs besoins et moyens, puis à la propriété pour s installer avec leur famille et ainsi rester sur le territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines. La Casqy participe au financement des résidences étudiantes, à l accueil des gens du voyage et à la politique de renouvellement urbain, dans les quartiers relevant de la politique de la ville, pour améliorer le cadre de vie et lutter contre la précarité énergétique. é en actions Accès à l emploi et développement économique Parce qu il ne peut y avoir de solidarité sans un égal accès à l emploi, la communauté d agglomération a fait de la réduction de la précarité sociale liée au chômage, de la diminution des disparités territoriales en matière de demande d emploi, et du rapprochement de la demande et de l offre d emploi, des axes forts de son contrat urbain de cohésion sociale. maison de l emploi et cité des métiers Parmi les objectifs que s est fixés la communauté d agglomération, on peut retenir la volonté d accompagner individuellement les publics les plus éloignés de l emploi dans le cadre d un parcours d insertion socioprofessionnelle. Mais aussi une volonté de mettre en adéquation l offre de formation avec les besoins des publics et ceux des entreprises. Pour cela, elle peut s appuyer sur des dispositifs tels que la Maison de l emploi et de la formation, la Cité des métiers, le Plie (Plan local pour l insertion et l emploi), le pacte pour l emploi signé avec la région Ile-de-France et la zone franche urbaine. La Maison de l emploi est un lieu de mise en réseau des acteurs de l emploi et des entreprises du territoire. Elle accueille en son sein la Cité des métiers, dont la mission principale est d aider les usagers à devenir les acteurs de leur carrière professionnelle. Lutter contre les discriminations R éduire la discrimination (origine ethnique, âge, sexe, ville de résidence ) sur le marché du travail ou dans la vie quotidienne est un objectif fort au niveau national et local. Depuis 2005, avec l aide de nombreux partenaires, comme le club Face, Déclic Théâtre, le Plie, la communauté d agglomération a mis en place trois plans de lutte contre les discriminations. Emploi, formation, information et sensibilisation, les actions menées ont été nombreuses. Un travail de prévention est notamment mené vis-à-vis des entreprises et des réseaux d entrepreneurs. Concernant les publics jeunes, la communauté d agglomération s est particulièrement appuyée sur l association Déclic Théâtre. Rencontre avec les élèves Dernier exemple en date avec les interventions qui vont être menées au mois de décembre dans les écoles de certaines communes. En effet, au début du mois, les comédiens de Déclic iront à la rencontre des élèves du territoire pour les faire réfléchir et réagir sur les questions de discrimination. Une première intervention aura lieu en école primaire avec la Maison de justice et du droit, le délégué du défenseur des droits et le centre d information sur le droit des femmes et des familles. Un spectacle d improvisation sur les discriminations garçon/fille permettra aux enfants de réfléchir et de s exprimer sur cette thématique. Avec le spectacle Welcome à bord, les collégiens et lycéens auront, quant à eux, l occasion de débattre plus largement. Déclic Théâtre, avec le soutien de la Casqy, souhaite développer ces représentations dans le plus d écoles possible. Vincent Leymonie Décembre 2013 // Le Petit Quentin, magazine de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines // 5
l'agglo aménage déplacements Les chiffres Pour l hiver 2012-2013 42 sorties, 850 tonnes de sel consommées Coût global : 1 M, pour un coût moyen de 116 /km Service hivernal La communauté d agglomération réactive son plan hiver à compter du 15 novembre, et jusqu au 31 mars. Cinq agents volontaires se relaieront pour assurer l astreinte, et déclencher à toute heure du jour ou de la nuit les opérations de déneigement, sur la base des rapports météo et de points de coordination avec les communes. En bref 1 200 tonnes de sel ont été stockées pour faire face aux besoins sans rupture tout au long de la saison. La communauté d agglomération utilise depuis l an dernier de la bouillie de sel, efficace jusqu à - 12, quand le sel seul ne fonctionne que jusqu à - 8. Autre avantage, cette technique permet une économie de sel de 25 %. Retrouvez les infos sur les sorties des saleuses sur notre page Facebook www.facebook.com/ st.quentin.en.yvelines Une fois déclenché, le déneigement des voies intercommunales est assuré par neuf saleuses, qui peuvent être équipées de lames de déneigement. Ces saleuses suivent trois circuits différents : en priorité les axes structurants (voies principales), puis dans un deuxième temps le réseau des voies secondaires, et enfin l ensemble des autres voies. L objectif étant que les routes soient praticables avant les heures de pointe. Les équipes techniques dégagent également certaines pistes cyclables, les trottoirs sans riverains En effet, particuliers comme entreprises sont responsables du déneigement du trottoir situé devant leurs parcelles. Les communes sont autonomes pour leurs voies. Les nouveautés Alertes SMS - Les alertes SMS sont reconduites. En vous inscrivant ou en renouvelant votre inscription pour cette nouvelle saison, vous serez prévenu du déclenchement des salages sur les voies intercommunales, en plus des habituelles alertes préfectorales orange ou rouge. Des bacs en libre accès - Des bacs contenant 6 // Le Petit Quentin, magazine de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines // Décembre 2013 un mélange de sel et de sable seront mis en libre accès sur certains points identifiés du réseau (rampes d accès ) : les usagers pourront ainsi redonner de l adhérence à leurs véhicules pour passer une difficulté. Privilégiez les transports en commun - Afin de garantir aux habitants la possibilité de se déplacer en toute sécurité, une priorité sera donnée aux transports en commun. Les trois gares routières et cinq lignes de bus (414/415/417/418/464) sont concernées : tout sera fait pour garantir les trajets et permettre aux habitants de privilégier l utilisation des transports en commun. GPS sur les saleuses - Les saleuses sont équipées de GPS pour assurer le suivi de la position, et permettre aux équipes techniques de connaître l activité en temps réel, salage ou déneigement. Ce suivi, en phase de test, permettra d expertiser les parcours réalisés. R Inscriptions et informations sur www.sqy.fr/service-hivernal Nicolas Pisson-Lavigne
l agglo dans l'actu Enquête publique Plan local de déplacements Le plan local de déplacements qui vise à définir les futures orientations en matière de transports et déplacements de l agglomération entre dans sa quatrième étape. Une enquête publique est lancée du 12 décembre au 23 janvier afin d informer et d inciter les Saint-Quentinois à s exprimer. R Retrouvez toutes les informations sur www.sqy.fr/pld Redécouvrez Saint- Quentin-en-Yvelines Depuis le 1 er décembre, un nouvel ouvrage sur l agglomération est disponible : Saint-Quentin-en-Yvelines. Ce livre est la rencontre de deux univers : les photographies de Francis Tack et les poésies de Pol-Jean Mervillon. Au travers de thématiques telles que l urbain, l eau ou l histoire, embarquez pour un voyage onirique dans Saint-Quentin-en-Yvelines. R Disponible à l Office de tourisme ou en librairie 30 La Ybox Le conseil général des Yvelines, Yvelines Tourisme et la société Smart & co lancent le coffret Ybox qui permet de profiter de plus de 80 offres de loisirs à demi-tarif durant un an pour découvrir le département sous différentes facettes : loisirs, tourisme, culture et détente. À consommer sans modération. R Disponible à l Office de tourisme 30 www.officedetourisme.sqy.fr KioSQ La billetterie est en ligne Pour acheter vos places de spectacles à Saint- Quentin-en-Yvelines, un nouveau service en ligne est disponible : KioSQ La Billetterie. Disponible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, la billetterie en ligne permet de choisir facilement son spectacle par critères : date, genre artistique, âge des enfants ou salle. Développée par la communauté d agglomération de Saint-Quentinen-Yvelines, en coopération avec les salles de spectacle et communes associées, l idée était de développer un «service au plus proche des pratiques d aujourd hui, pensé pour le confort des publics», selon Sandrine Hector, coordinatrice de la communication culturelle de la Casqy. L autre grand intérêt : la possibilité d effectuer des réservations dans différentes salles (qui ne disposaient pas toutes d une billetterie en ligne) et ainsi de profiter de la qualité d une vaste programmation au sein de l agglomération (environ 400 spectacles par an). R www.kiosq.sqy.fr KioSQ La Billetterie réunit les programmations de huit salles : La Batterie (Guyancourt), L Estaminet (Magny-les-Hameaux), La Ferme de Bel-Ébat (Guyancourt), La Ferme du Mousseau (Élancourt), La Merise (Trappes), Le Prisme (Élancourt), Le Scarabée (La Verrière) et le Théâtre de Saint-Quentin-en- Yvelines/Scène nationale (Montigny-le-Bretonneux). Prochainement, La Maison de la poésie de SQY (Guyancourt), Le Musée de la ville de SQY (Montigny-le-Bretonneux), La Maison de l environnement, des sciences et du développement durable de SQY (Magny-les-Hameaux) et L espace culturel Decauville (Voisins-le-Bretonneux) vont intégrer le dispositif. J.J. Kraemer Bien vivre à Saint-Quentin-en-Yvelines, supplément du Petit Quentin n 292, Décembre 2013, ne pas jeter sur la voie publique Directeur de publication : Yves Macheboeuf ; Directrice de la rédaction : Catherine Cappelaere ; Rédactrice en chef : Isabelle Suffit ; Journalistes : Nicolas Pisson-Lavigne, Vincent Leymonie ; Secrétaire de rédaction : Carole Rosat ; Responsable de création : Stéphane Joubert ; iconographie : Jean- Julien Kraemer ; Conception graphique : Scoop Communication ; Impression : Vincent imprimeries ; Tirage : 7 000 exemplaires ; éditeur : communauté d agglomération, 78185 Saint- Quentin-Yvelines cedex, Tél. : 01 39 44 80 80 ; www.saint-quentin-en-yvelines.fr Concours Vélodrome En attendant l imminente ouverture au public du vélodrome de Saint-Quentinen-Yvelines, la Casqy vous propose de gagner des places pour la soirée d inauguration qui aura lieu au mois de janvier. Du 6 au 18 décembre, depuis le site www.sqy.fr, participez au questionnaire pour peut-être gagner deux places (10 lots de 2 places sont en jeux) et ainsi découvrir en avant-première cette nouvelle infrastructure. Révisez bien votre culture cycliste! R www.sqy.fr/concours-velodrome Décembre 2013 // Le Petit Quentin, magazine de la communauté d agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines // 7