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Transcription:

SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF SEMINAIRE POLYTECH MONTPELLIER Lundi 15 février 2016 Du sommet du Ventoux Aux boraldes de l Aubrac 2 expériences de SPANC Valérie PERRIER Technicienne EAU / ASSAINISSEMENT Responsable SPANC

Plan de la présentation Les collectivités Mémento du spanc oeur Mise en place du SPANC / Tarifs des contrôles Conception / Exécution / Diagnostics et contrôles périodiques Les aides / Les réhabilitations Les perspectives

LES COLLECTIVITES Collectivité Syndicat Rhône Ventoux (84) Communauté de Communes du Gévaudan (48) Création 25 janvier 1947 31 décembre 2003 Compétences AEP / AC / ANC Aménagement de l espace communautaire Développement économique Protection et mise en valeur de l environnement Création, aménagement et entretien de la voirie Politique du logement et du cadre de vie Actions sociales, culturelles et sportives AEP et AC au 01/01/2017 Périmètre 29 à 36 communes 17 8150 à 85 750 habitants desservis 13 communes 10 500 habitants

Circulaire du 30 mai 1903 : MEMENTO DU SPANC OEUR Les puits et puisards absorbants sont interdits Arrêté de 1925 2 éléments distincts indispensables : Elément collecteur (fosse septique) : gaz malodorants à évacuer aussi haut que possible sur les toitures pourvu de dispositifs permettant d en effectuer facilement la visite intérieure et la vidange 250 litres par usager (eaux des WC seules), 500 litres si eaux ménagères Elément épurateur ou lit bactérien permettant : l évacuation au dehors de l acide carbonique produit par le travail microbien le prélèvement d échantillons de l effluent épuré à la sortie de l appareil l accès facile et la visite intérieure, ainsi que le remplacement des matériaux Contrôles par les services départementaux et municipaux d hygiène, prélèvement d échantillons sans préavis au moins 2 fois /an, analyses par un laboratoire agréé Si fonctionnement défectueux : mise en demeure par le maire d y remédier sous 1 mois

Circulaire du 4 mai 1953 Epandage souterrain à faible profondeur : Terrain perméable, de surface suffisante Nécessité de s assurer, de préférence en hiver, de la capacité d absorption du sol et d étudier la situation de la nappe phréatique pour éviter toute pollution Encas de nature du terrain défavorable, nécessité de constituer un sol artificiel Se réserver la possibilité d étendre ultérieurement l épandage si nécessaire Aucun épandage à moins de 150 m d un puits destiné à la consommation humaine (distance réduite à 35 m en 1956) Valeur maximale de 30 mg/l de MES en sortie de dispositif épurateur Arrêté du 19 juin 1969 MEMENTO DU SPANC OEUR Introduction de la valeur de DBO = 40 mg/l Loi sur l Eau de 1992 Obligation d avoir créé un SPANC au plus tard au 31/12/2005 Arrêté de 1996 et circulaire de 1997 : périodicité conseillée de 4 ans pour les visites

Loi sur l Eau du 30/12/2006 Date butoir au 31/12/2012 pour les diagnostics mais délai de 4 ans pour réhabiliter en cas de non-conformité de l installation avec la réglementation en vigueur (L1331-1-1 CSP du 31/12/2006 au 14/07/2010) Arrêtés de septembre 2009 Notion de risque sanitaire et environnemental à préciser par une grille nationale : délai de 4 ans pour réhabiliter en cas de risques Procédure d agrément en tant que traitement Périodicité maximum de 8 ans pour les contrôles Loi Grenelle II de juillet 2010 MEMENTO DU SPANC OEUR 1 er janvier 2011 : Diagnostic obligatoire dans le cadre des ventes, mise en conformité sous 1 an 1 er mars 2012 : Obligation de joindre l attestation de conformité de l ANC, au moment du dépôt de la demande d urbanisme Périodicité maximum de 10 ans pour les contrôles Arrêté d avril 2012 : LA GRILLE NATIONALE de l évaluation du risque sanitaire et environnemental

LA MISE EN PLACE DU SPANC Importance du travail auprès des élus, des mairies et des divers acteurs SRV Dès 1997 : Réflexion sur la compétence ANC / étude à l échelle des 27 communes Fin 2000 : Concrétisation avec le recrutement d un technicien ANC pour mettre en place le SPANC Octobre 2003 : Création du SPANC en régie, adoption d un règlement de service et du montant des redevances / 29 communes / 1 responsable du service, 1 technicien, 1 secrétaire Prise des compétences obligatoires uniquement CCG Fin 2011 : 1ères études afin de se conformer réglementaires, CCG = échelon territorial pertinent aux obligations Octobre 2012 : Création du SPANC en régie, adoption d un règlement de service et du montant des redevances / 13 communes / 1 technicien

LES TARIFS Types de contrôles Conception Exécution 20 EH : 34,41 TTC > 20 EH : 52,14 TTC 20 EH : 137,63 TTC > 20 EH : 166,83 TTC 20 EH : 80 > 20 EH : 80 20 EH : 80 > 20 EH : 80 Diagnostic Périodique 112,61 TTC (paiement possible en 2 fois) 20 EH : 125 > 20 EH : 250 (paiement en 5 fois) Vente 156,40 TTC 160

LA CONCEPTION Importance du travail auprès des élus, des services urbanisme, des usagers, des concepteurs et des installateurs SRV Priorité étant donné le nombre de dossiers Etablir une coordination avec l instruction des demandes d urbanisme Données des cartes géologiques, des SDA insuffisants pour permettre de «préconiser des filières ANC» (cartes d aptitude des sols mais très peu de sondages) Périmètre vaste et très hétérogène Nécessité de garantir dès le départ la pérennité des filières Elaboration d un cahier des charges pour les études préalable en collaboration avec les professionnels CCG Notion d étude de sol mal comprise, vue comme un coût supplémentaire, quelques études peu satisfaisantes, des tentatives de réalisation de tests de perméabilité par l usager et des changements de filières en cours de chantier Rencontres et échanges avec les BE Travail pour démontrer progressivement la nécessité d avoir des éléments techniques fiables Procédures à améliorer concernant les demandes d urbanisme Avis avec réserves en l absence de données suffisantes

L EXECUTION Importance du travail auprès des installateurs SRV Quelques installateurs ayant une connaissance des règles de mise en œuvre Nécessité de constituer une liste «non exhaustive» fiable Expliquer nos missions et établir une relation de partenariat Collaboration dans la mise en place d une charte qualité avec un organisme départemental moteur Professionnels de l ANC CCG Un grand nombre d installateurs polyvalents réalisant «peu» de chantiers, une certaine expérience mais très peu d entre eux ont des documents pour la mise en œuvre tel que le DTU 64-1 Nécessité de recenser et rencontrer les installateurs avant tout chantier Travail auprès des carrières sur les granulats Volonté d amélioration et un partenariat qui se met en place

LES DIAGNOSTICS / CONTRÔLES PERIODIQUES Mission complexe exigeant communication, professionnalisme, pédagogie et diplomatie SRV 2001/2005 : Diagnostics ponctuels au départ puis sur des communes «tests» ou des secteurs à enjeux, en vue d obtenir des aides aux travaux de réhabilitations 2006 : 36 communes (+5 fin 2015/début 2006), décision des élus de faire appel à des prestataires dans le cadre d un marché public Cahier des charges précis et exigeant pour une opération à grande échelle : 12 500 installations estimées sur 34 communes en 10 mois Volet préalable majeur en terme communication (mairies, affiches ) puis au choix des élus de chaque commune presse, BD, radio, Démarrage en novembre 2006 : 2 chefs projet, 1 responsable, 1 administratif et 14 techniciens

LES DIAGNOSTICS / CONTRÔLES PERIODIQUES SRV LOI SUR L EAU = POSSIBILITE DE REPORT DES VISITES JUSQU AU 31 DECEMBRE 2012 Réorganiser complètement et rapidement toute l opération Fin octobre 2007 : 8800 installations réellement recensées, 2000 visites effectuées et 900 coupons-réponses avec visites «réalisables» 84 % des personnes globalement satisfaites du diagnostic et 81 % satisfaites ou très satisfaites de la qualité du service rendu par l agent Impossibilité d avoir les diagnostics sur des périmètres groupés pour pouvoir solliciter des aides pour les réhabilitations Enorme campagne de sensibilisation des usagers et d anticipation sur la date butoir de 2016 Arrêté de 2009 : confirme la volonté/nécessité d attendre les critères nationaux pour pouvoir lancer de nouvelles opérations de diagnostics

SRV LES DIAGNOSTICS / CONTRÔLES PERIODIQUES Fort impact de l entrée en vigueur du diagnostic obligatoire dans le cadre des ventes (130 à 150 visites / an) 2012 : Recrutement ponctuel d une secrétaire puis d un technicien supplémentaire pour les diagnostics Gros travail pour avoir un règlement de service conforme aux nouveaux textes et applicable au 01/07/2012 Diagnostics restants : 3200 installations (sauf 2 communes) avec un territoire partagé entre SRV et prestataire (novembre 2012 à mai 2013) Importante communication mettant notamment en avant les aides aux réhabilitations Limite car aucune application des sanctions prévues par la réglementation Arrêté préfectoral de juillet 2014 : définition des zones à enjeux / «meilleurs délais» Augmentation dunombre d installations prioritaires

CCG LES DIAGNOSTICS / CONTRÔLES PERIODIQUES Démarrage des visites fin 2012 Progression commune par commune pour les résidences principales avec une réunion publique préalable Courriers fixant la date et l heure de la visite Eté 2015 : courriers avec coupon-réponse pour la dernière commune, les résidences secondaires et diverses visites restantes Années Nombre de diagnostics 2012 37 2013 208 2014 179 2015 159 40 à 45 visites à terminer en 2016

LES BILANS LES SPANC SRV CCG Date de mise en place / création 2001 / octobre 2003 2011 / octobre 2012 Nombre de communes 32 en 2014 13 Nombre d installations 7 500 / 8 000 750 Nombre de contrôles diagnostics / ventes / périodiques réalisés Nombre de contrôles conception / faisabilité réalisés 4 604 606 3 592 33 Nombre de contrôles d exécution réalisés 1 624 25 TOTAL 9 820 664 Remarque : SRV = 1464 contrôles sur 5 communes sorties du périmètre

LES AIDES / LES REHABILITATIONS SRV Les critères / les aides Eligibilité calée sur les priorités de la grille nationale Sous réserve du respect des critères et de demandes faites par le SRV : AE RMC : forfait de 3000 /installation (X ème programme) + aides au SPANC pour l animation 250 /installation Département : 1550 /installation (communes de moins de 7500 habitants) Aides possibles de l ANAH 1 er programme 2004/2006 : 60 chalets Mont Ventoux (BEDOIN) 2007 / 2008 : 5 dossiers sur un périmètre de protection de captage (AUBIGNAN) 2013 : 10 dossiers sur l ensemble du périmètre 2014 : 30 dossiers

LES AIDES / LES REHABILITATIONS CCG Les critères / les aides Eligibilité pour les cas de rejet des eaux vannes (brutes ou prétraitées) sur une parcelle n appartenant pas au propriétaire de l installation Sous réserve du respect des critères et de demandes faites par la CCG : AE AG : forfait de 4200 /installation (X ème programme) + aides au SPANC pour l animation 300 /installation Département : 2100 /installation Nécessité de faire le bilan de tous les diagnostics effectués 2016/2017 : objectif de 10 dossiers (contrat territorial départemental) Eco prêt à taux zéro: filières ne consommant pas d énergie, jusqu à 10000

LES PERSPECTIVES Modification règlement de service : Installations > 20 EH Mise en concordance avec le SAGE LOT AMONT Synthèse de toutes les visites pour contacter les propriétaires d installations éligibles aux subventions Travail de vérification des visites réalisées (localisation cartographique, zonages, ) Poursuivre le travail avec les différents acteurs de l ANC

Merci de votre attention