Résumé non technique de l étude d impact



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de l étude d impact 2 2.1 Contexte environnant 2.1.1 Faune et flore La proximité de zones artificialisées, d infrastructures routières majeures et l exploitation antérieures des terres agricoles qui constituent le principal biotope du site, limitent la capacité d accueil de celui-ci pour la faune sauvage. Ces terrains ne laissent que peu de place au développement d une faune et flore sauvages, originales et intéressantes. La végétation de la région est essentiellement composée d espèces d origine anthropique ou cultivées, caractéristiques des zones rurales et des espaces agricoles. Le site et plus largement la ZAC du Champ Rouge n interfère avec aucuns éléments protégés de type ZICO, ZNIEFF, réserve naturelle. 2.1.2 Géologie, hydrogéologie Le secteur du projet appartient à la partie centro-méridionale du bassin de Paris qui se caractérise par la présence à l affleurement de formations continentales oligomiocènes. Plus précisément, le substratum des communes de Saran et de Gidy est constitué de la formation du Calcaire de Beauce (Aquitanien) surmontée par les marnes et sables de l Orléanais (Burdigalien). Vers l est, cette dernière formation est à son tour recouverte par les sables et argiles de Sologne, également du Burdigalien, qui constituent le soubassement imperméable de la Forêt d Orléans. A l'aplomb de la zone considérée, le premier aquifère rencontré correspond à la nappe du Calcaire de Beauce. Il s'agit d'une nappe qui s'étend sur plus de 7 500 km², à cheval sur les bassins de la Seine et de la Loire, et qui peut intéresser la quasitotalité des terrains compris entre la craie et le Burdigalien. 23

2.1.3 Captage d eau potable Aucun captage d alimentation en eau potable n est présent au droit de l entrepôt existant ainsi que sur sa zone d extension On notera cependant la présence de captages sur certaines communes limitrophes. 2.1.4 Eaux superficielles La commune de Saran appartient au bassin versant Loire Bretagne. Aucun cours d eau n est relevé sur la zone d étude. Signalons toutefois, la présence de la Loire qui est le cours d eau le plus proche est localisée à environ 7,5 km au sud du projet. 2.1.5 Richesse culturelle La commune de Saran et les communes environnantes ne présentent pas de monuments historiques classés ou inscrits dans un rayon de 2 kilomètres. 2.2 Domaine de l eau 2.2.1 Eau potable Cette eau est issue du réseau communal. La consommation d'eau pour ce type d'établissement est évaluée à 15 m 3 par an et par employé. Le bâtiment dans sa configuration future accueillera 1 000 personnes. Le volume annuel consommé est donc estimé à 15 000 m 3 par an, soit 58 m 3 par jour travaillé. 2.2.2 Eau incendie La protection incendie du bâtiment sera assurée par un réseau privé alimenté par une cuve d un volume de 750 m 3 pour 2 heures. Cette cuve dessert un réseau de poteaux incendie. Le réseau a un diamètre de 150 mm, le débit disponible est de 180 m 3 /h pour une pression comprise entre 1 et 6 bars. Les poteaux incendie sont munis de 2 raccords 24

normalisés de diamètre 100 mm et équipés d une prise centrale de diamètre 65 permettant un débit de 120 m 3 /h. La distance entre chaque hydrant est de 150 à 200 mètres sur les façades principales et tous les 250 à 30 mètres sur les façades secondaires. 2.2.3 Réseaux d assainissement Eaux usées : Les effluents issus de ce type d'établissement sont les eaux vannes et usées issues de l'entretien des locaux, des installations sanitaires du bâtiment. On évalue pour le bâtiment un volume de 58 m 3 /j. Le bâtiment est également équipé d'un réseau séparatif permettant de collecter les eaux vannes et usées et de les envoyer dans le réseau public via les collecteurs prévus. Une fois collectées, les eaux usées sont envoyées vers la station d épuration de la Chapelle St Mesmin. Eaux pluviales : On distingue :. eaux de toiture : ces eaux ne sont pas polluées et n ont pas besoin d un traitement particulier avant infiltration.. eaux de voirie : ces eaux peuvent être souillées par des traces d hydrocarbures ou de boues laissées par les camions et voitures ; elles seront collectées par un réseau interne spécifique puis traitées par un séparateur à hydrocarbures de type I avant d être dirigée vers le bassin d infiltration du site. Le principe de collecte des eaux pluviales est le suivant :. La collecte des eaux de toiture et collecte des eaux de voirie et parking est réalisée par deux réseaux séparés.. Les eaux de toiture, considérées propres, sont collectées puis évacuées directement vers le bassin d infiltration au sud du site hors périmètre opérationnel,. Les eaux de voirie sont collectées par un réseau interne spécifique puis traitées par un séparateur à hydrocarbures de type I avant d être infiltrées par un bassin situé au sud du site. 2.3 Domaine de l air et des odeurs Notre activité n est pas à l origine de rejet de gaz ou de poussière. Les seules installations sources de rejet atmosphérique sont les chaudières. Elles consomment 25

du gaz naturel qui est le combustible le moins polluant. Les chaudières sont entretenues régulièrement. Elles feront l objet des contrôles réglementaires. 2.4 Le sol et le sous-sol Les terrains de la future extension de la plate-forme logistique sont aujourd hui occupés par une friche agricole et des vergers. Ce site n a pas accueilli d activité polluante ou potentiellement polluante auparavant et aucune pollution potentielle n a été identifiée dans le passé. Le site est donc considéré comme non pollué. L'activité d'entreposage et de logistique n'utilise pas de procédé industriel pouvant être une source d'effluents pollués à l'origine d'une pollution du sol et du sous-sol. Les zones de circulation et de stationnement seront imperméabilisées. L'ensemble des effluents aqueux (eaux usées et eaux pluviales) sera collecté par des réseaux d'assainissement adaptés et étanches. Les zones de voirie lourde seront imperméabilisées. L'ensemble des eaux de voiries sera collecté, traité par décantation et lame siphoïde avant d être dirigé vers le bassin d infiltration du site. Les cuves de fioul des sprinklers sont sur rétention, conformément à la réglementation. Toutes les mesures sont prises pour éviter une pollution du sol. Notre activité n'a pas d'impact significatif sur le sol ou le sous-sol. 2.5 Le trafic routier 2.5.1 Accès L'accès au site se fait depuis l autoroute A10 via la voie de liaison depuis l échangeur et le péage. Cette voie d accès est directe depuis l autoroute évitant tout passage par des communes ou des zones habitées. Cette voie longe le parc d activités Pôle 45. 2.5.2 Trafic attendu Le trafic routier attendu sur l ensemble du bâtiment (existant + extension) se compose des allers et venues des voitures du personnel et des mouvements de camions. 26

Trafic de voitures Le trafic quotidien maximum de voitures est évalué à 1 000 voitures par jour une fois l extension réalisée. Ce chiffre est fortement majoré et ne tient pas compte du covoiturage. Selon les entreprises, ces modes de transport peuvent diminuer de 10 à 20 % le trafic de voitures. Notons qu actuellement, le trafic routier du site s élève à 600 voitures journalières. Trafic de poids-lourds : Le trafic routier de camion a été évalué à 230 véhicules par jour une fois l extension réalisée. Actuellement, le trafic poids-lourds du site s élève à 50 camions journaliers. Impact sur les axes routiers : En fonction de la répartition des véhicules sur les différents axes, le trafic routier total généré par l extension de notre site sur l autoroute A10 a été évalué à 580 véhicules jour environ. Ce trafic représente 2 % du trafic actuel de l autoroute. 2.6 Bruit L'activité de logistique n'utilise pas de matériels ou machines pouvant avoir un impact sonore à l'extérieur des bâtiments. Le transport des marchandises dans les bâtiments se fait avec des chariots électriques silencieux et l'utilisation de palettes en bois comme support des marchandises stockées évite les bruits de chocs à la prise ou à la dépose des palettes. Les sources de bruit pour ce type d'activité sont les véhicules circulant sur le site. Notons que l étude suivante prend en compte une exploitation maximum du site, à savoir le fonctionnement du bâtiment actuel et de l extension future ce qui ne sera vrai que dans les prochaines années. Une étude acoustique a été effectuée afin de déterminer le niveau de bruit engendré par le trafic de véhicules dans l'enceinte de la base logistique. Cette étude a permis de prévoir les mesures nécessaires pour diminuer le niveau de bruit pour le voisinage habité. L'étude a montré que le niveau de bruit attendu en limite de propriété, de jour comme de nuit était conforme à la réglementation. Les modélisations réalisées ne montrent pas d impact sonore significatif pour l ensemble de notre site. Il n y a donc pas d impact sonore significatif lié à l activité de notre site en configuration future (existant + extension). 27

2.7 Gestion des déchets Les principaux déchets issus de notre activité sont les déchets d'emballage (cartons, palettes de bois, housses plastiques). Ces déchets sont compactés avant d'être stockés dans des bennes ou des compacteurs. Ces bennes sont régulièrement enlevées par des sociétés spécialisées qui assurent le tri et la valorisation de ces matériaux, conformément à la réglementation. 2.8 Impact sanitaire, effets sur la santé Les marchandises présentes dans notre établissement sont des produits conditionnés. Aucun produit n'est manipulé ou transvasé dans ce type d'établissement (il s'agit uniquement de stockage). Il n'y a pas de transformation industrielle, ni d'incinération, etc. Cette activité ne présente pas de risque pour la santé, en condition normale d'exploitation. Il n'y a pas de rejet d'effluent liquide ou de rejet atmosphérique polluant pouvant présenter un risque direct ou indirect pour la santé du voisinage. Les seuls risques sont des risques accidentels en cas d'incendie. Cet aspect a été développé dans l'étude des dangers. 28