Financer les ODD : comment utiliser efficacement l ensemble des flux et des outils financiers?
|
|
- Pierre-Antoine Gervais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Financer les ODD : comment utiliser efficacement l ensemble des flux et des outils financiers? Lundi 7 septembre 2015 de 14H30 à 16h00 Salle Notre Dame des Victoires INTERVENANTS, Directeur général, Banque Mondiale & Directeur financier, Groupe Banque Mondiale Philippe Douste-Blazy, Secrétaire général adjoint des Nations Unies en charge des financements innovants pour le développement, Organisation des Nations Unies & Président, UNITAID Pierre Valentin, Président du directoire Ecofi Investissements, Crédit Coopératif et & Administrateur, Convergences Joe Cerrell, Directeur politique mondiale, plaidoyer et programme pays, bureau européen, Fondation Bill & Melinda Gates, Modérateur Patrick Guillaumont, FERDI (Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International), Président PRINCIPAUX ENSEIGNEMENTS La conférence d Addis Abeba il y a un mois sur le financement des ODD, troisième conférence sur le sujet après Monterrey et Doha, est le point de départ d un débat dont l objectif est de faire émerger les grands accords sur les objectifs du Développement Durable, qui devront être validés à l ONU le 25 Septembre L objet de cette conférence est de mieux comprendre quels sont les rôles des secteurs publics et privés dans le financement des ODD. Le sujet étant immense, la coordination entre les différentes sources de financement est parfois complexe. Au cours des 25 dernières années, d énormes progrès ont été faits en faveur du développement. L aide publique doit être utilisée de manière plus cohérente et plus intelligente. Pour ça, tous les pays doivent contribuer plus et mieux au financement du développement. Les financements innovants, impliquant secteurs publics, privés et philanthropie, sont indispensables pour combattre la pauvreté et atteindre les Objectifs de développement durable. 1
2 RESUME DES INTERVENTIONS, Directeur général, Banque Mondiale & Directeur financier, Groupe Banque Mondiale On est à un moment très important, crucial, historique. Pour la première fois, on va revisiter l agenda du millénaire sous tous les angles : avec les Objectifs du Développement Durable à New York, avec la conférence sur le financement du développement à Addis Ababa, avec la conférence sur le climat à Paris, et avec la conférence sur l humanitaire l année prochaine. Il faut que 2015 soit l année où toutes les forces centrifuges ont la volonté de travailler ensemble aux objectifs du On peut transformer l histoire. Zéro exclusion, Zéro carbone, Zéro Pauvreté, c est possible pourvu qu on s en donne les moyens et qu on y travaille ensemble. développement. Depuis l adoption des OMD en 2000, le monde a totalement changé. On a eu une crise financière qui a remis en cause tous les circuits de financement et la manière dont ces flux se déploient dans le monde. On a une économie dont la carte a été redessinée : en 2000 les BRICS n existaient pas. Enfin, on a la reconnaissance du monde privé qui est centrale : l aide publique au développement (APD) représente 135 milliard de dollars, les flux privés représentent plus de 1000 milliards. Pour financer le développement, l APD doit être utilisée de manière plus intelligente et concentrée. Une innovation à Addis Ababa a été de reconnaitre qu une partie des ressources viendrait des pays eux-mêmes : c est la mobilisation des ressources domestiques, notamment par la taxation. Cela demande un travail sur la collecte, la distribution, la transparence de ces flux et la redéfinition du contrat social car les citoyens ont besoin de savoir ce qu on fait avec leur épargne et leurs impôts. Il faut s engager avec le secteur privé et créer les conditions pour que d un point de vue économique les entreprises créent, construisent, investissent, dépensent. Pour cela il faut dépasser les suspicions qui existent de part et d autre. Enfin, les banques de développement doivent prendre une part active au débat sur les biens publics mondiaux. Le fonds vert pour le climat a alloué 10 milliards de dollars une fois. Nous devons approvisionner 100 milliards par an. Seule une banque peut faire ça. Il faut savoir être innovant et mettre en œuvre toutes les ressources des acteurs publics, du secteur privé et de la société civile. On peut transformer l histoire. «Zéro exclusion, Zéro carbone, Zéro pauvreté» c est possible pourvu qu on s en donne les moyens et qu on y travaille ensemble. Philippe Douste-Blazy, Secrétaire général adjoint des Nations Unies en charge des financements innovants pour le développement, Organisation des Nations Unies & Président, UNITAID Nous souffrons aujourd hui d un énorme déficit vis-à-vis de l opinion publique. 95% des gens interrogés sur l aide au développement pensent que cela ne sert à rien. On n a pas été capable d expliquer que dans les 25 dernières années, la communauté internationale s est investi et a obtenu des résultats extraordinaires. Il y a un effet ciseau : au moment où les besoins explosent, les moyens diminuent. Il faut demander aux pays qui se désengagent de continuer à augmenter l APD à hauteur de 0,7%, dire aux pays émergents qu ils peuvent contribuer un peu plus que cela et demander au pays les plus pauvres de contribuer nationalement la lutte contre l extrême pauvre en privilégiant le financement de l accès à l éducation et la santé. La clef est politique : si la communauté internationale veut bouger les choses, elle le peut. Il suffit de prélever une contribution de solidarité 2
3 microscopique et indolore sur les activités économiques qui bénéficient le plus de la mondialisation : le tourisme de masse, le mobile, internet, les transactions financières et les ressources extractives. En 2006, nous avons proposé avec le président Brésilien Lula de prélever un euro sur les billets d avion. Cela a été un échec énorme : seulement 12 pays ont accepté ; mais aussi un succès énorme : avec 12 pays on a pu récolter plus de 2 milliard de dollars. Ainsi nous avons pu dépister 2 millions d enfants contre le HIV, financer 355 millions de traitements contre le paludisme, et 7 millions contre la tuberculose. Ça marche! Nous vivons une crise du court-termisme, qui se traduit par des guerres mais aussi une extrême pauvreté. On a inventé la mondialisation de l économie et de la communication, mais on n a pas inventé la mondialisation de la solidarité. Passons maintenant aux transactions financières. Il y a 10 ans, on disait que c était impossible, maintenant on est en train de le mettre en place : 0.1% par transactions financières représenterait jusqu à 400 milliard de dollars par an. Le combat est dorénavant de faire comprendre que cet argent doit aller à la lutte contre l extrême pauvreté et pas aux Etats. Le 28 septembre à New York, nous allons lancer UNITLIFE. Nous avons convaincu cinq Chefs d Etats africains de donner 10 centimes par barrel de pétrole, 60/70 centimes par gramme d or, ou 1 dollars par gramme d uranium. Nous allons utiliser des ressources extractives qui appartiennent à tout le monde, qui bénéficient à tout le monde sauf aux pauvres, pour lutter contre la malnutrition. Un dollar investi dans la malnutrition crée 15$ en terme de développement. Il faut aussi réfléchir à la manière de dépenser cet argent. Concernant l accès aux soins par exemple, dans des pays d Afrique ou d Asie, il faut attendre dix ou quinze ans supplémentaires avant qu une innovation médicale ne leur parvienne. Sur le SIDA, on a décidé de créer une communauté de brevets qui permet de produire le même médicament générique pour 98% moins cher et d atteindre les populations les plus défavorisées. Sans promouvoir l assistanat économique, je veux insister sur le fait que si on ne donne pas à chacun les cinq biens publics mondiaux : l eau potable, la nourriture, les sanitaires, la médecine et l éducation de base il n y a pas d économie. Les agences publiques de développement doivent comprendre que l aide publique est essentielle car si on meurt avant l âge de cinq ans, on ne contribue jamais à l économie. Pierre Valentin, Président du directoire Ecofi Investissements, Crédit Coopératif & Administrateur, Convergences Le Crédit Coopératif s est lancé dans les mécanismes de développement avant la création des OMD. Ce qui l a motivé avant tout était d utiliser la finance autrement. Dans les années 80 elle a lancé le premier fond de partage avec le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement qui a été utilisé avec une société d investissement et de développement en Afrique. Dans les années 2000, nous avons décidé de prélever un montant sur chaque transaction par carte bancaire lors des retraits de billets, à nos frais. Puis nous avons appliqué ce concept à des transactions à taux faible (0.01%) mais extrêmement nombreuses : les opérations de change. Si toutes les banques du monde faisaient cela sur toutes les grandes devises, nous collecterions un montant de 30 à 40 milliard de dollars par an. En tant que petite banque, nous voulions comprendre comment réagissent nos clients, qu est ce qui empêche les autres banques d en faire autant, et qu est-ce qu on pouvait faire avec cet argent. Concernant le prélèvement obligatoire de cette taxe, nous avons décidé de rester neutre, c est au parlement de prendre cette décision, par contre, nous estimons qu elle doit être allouée au développement. Son objectif doit être incontestable et avoir une valeur éthique forte pour éviter son contournement par les banques. 3
4 Il y a aussi la dimension d investissement à impact social. Il existe des fonds d investissement solidaires qui sont des fonds communs de placement ouverts au grand public dans lesquels 90% sont gérés de manière classique et 10% va à des entreprises sociales, des associations, sous forme de prêts ou d investissement à l action. Le don et l investissement à impact social sont des réalisations que chaque banque ou entreprise peut faire en ayant des effets induits extrêmement favorables. Il y a d abord un effet de notoriété internationale, et une réaction très positive des clients. Nos clients veulent agir pour transformer la société à travers la finance. Joe Cerrell, Directeur politique mondiale, plaidoyer et programme pays, bureau européen, Fondation Bill & Melinda Gates Tout d abord, il est important d apprécier les progrès qui ont été fait dans les 15 dernières années. L impact des mesures prises est extraordinaire et cela prouve que l humanité peut s améliorer. Depuis 2000, la mortalité infantile et maternelle drastiquement décru. Le nombre de personnes souffrant de la faim est passé de 23% à 13%. On est sur le point d éradiquer la Polio. C est ce progrès qui nous donne l audace et l optimisme de croire que le monde peut être à la hauteur de ses défis. Pour cela, il nous faudra soutenir ces pays dans la mobilisation des ressources et accroitre le nombre d investissements privés dans des régions qui ont été instable et imprévisibles par le passé mais qui commencent à s ouvrir au monde. La philanthropie sera également une ressource de financement majeur, autant quantitativement que qualitativement. Au cours des dernières années, Bill et Melinda Gates ont travaillé au développement du «Giving Pledge» (l engagement du don). Cette initiative est destinée à attirer des individus extrêmement riches et à les faire s engager à donner la moitié de leurs ressources financières. Actuellement, 150 familles sur 4 continents ont pris cet engagement, cela représente plus de 3000 milliard de dollars. La philanthropie est aussi importante car c est un capital-risque : elle s aventure dans des entreprises risquées où les Etats et autres acteurs classiques ne s engagent pas. Enfin, l engagement de la société civile et du grand public est critique, c est à eux d exiger des acteurs du développement qu ils se tiennent à leurs engagements et rendent des comptes. La philanthropie peut être une source de financement majeur. Actuellement, 150 familles sur 4 continents se sont engagées à donner la moitié de leur richesse, soit plus de 3000 milliard de dollars. Les mécanismes de financement innovants joueront un rôle crucial dans l achèvement de ces objectifs. Mais l APD continuera de jouer un rôle majeur. Nous savons aujourd hui que nous avons besoin de 7000 milliards de dollars en termes d investissement, d infrastructure, d agriculture, de transports, et d accès à l eau. A Addis Abeba, de nombreux pays se sont engagés à continuer d accroître leur aide pour atteindre 0.7% de leur revenu national brut, s ils honorent cet engagement, 300 milliards de dollars pourraient être levés, soit plus du double du montant actuel. 4
5 ECHANGES AVEC LA SALLE Comment un fonds d investissement privé peut travailler avec vous, sachant qu on a la même motivation avec des outils différents? L engagement avec les fonds d investissement est central. Les banques sont de plus en plus court-termistes avec une aversion au risque de plus en plus importante. Le financement de l économie repose de plus en plus sur les investisseurs institutionnels, qui doivent trouver les moyens d investir dans les pays en développement. L enjeu est de favoriser l intermédiation entre les acteurs pour coinvestir et permettre à ces gens d identifier les bons projets. Pierre Valentin Les fonds d investissement privés peuvent-ils attirer les capitaux d une banque? OUI. Nous avons à cet effet lancé un fonds d investissement pour la micro-finance et des institutions financières à visée sociale en Europe de l Est et sur la rive Sud Méditerranée. Non seulement c est possible, mais c est nécessaire pour être plus efficace. Les institutions publiques ne peuvent pas tout faire toutes seules.» Le développement durable n est pas possible sans un accès à une eau de qualité. L argent se retrouve au niveau des Etats. Comment faire en sorte que les financements soient accessibles localement? Comment faire mieux avec ce qui existe déjà avant de faire plus? Le système international laisse peu de place à tout ce qui n est pas étatique. Il faut trouver les moyens de pouvoir travailler directement avec les provinces et les municipalités. C est possible, ça existe, mais c est l exception. Philipe Douste Blazy L enjeu de votre question est l innovation du côté de la dépense, avec la traçabilité des financements. En ce qui nous concerne avec l UNITAID, nous n avons jamais donné à des gouvernements ; nous passons par l UNICEF, ou l OMS ou MSF, ou la fondation Clinton, ce qui permet de diminuer le risque. Le problème qui peut se poser, par contre, est la substitution. Ça ne sert à rien de créer du financement innovant si de l autre côté, le ministre du budget diminue d autant le budget alloué au développement. D un côté, il y a une technocratie internationale, et de l autre, la réalité des populations locales. Y a t-il une réflexion menée sur une construction démocratique des indicateurs qui associe les populations concernées? C est un enjeu majeur : produire l information et voir comment celle-ci est comprise et jugée pertinente. Sans informations, on tape dans le vide. Et il y a un grand nombre de pays sur lesquels nous n avons pas de statistiques sur la pauvreté, notamment en Afrique et en Chine. Il faut aider les pays à développer leur appareil statistique. Il faut les deux : la technocratie et les populations locales. La vulnérabilité aux chocs exogènes est un vrai problème. Je pense notamment aux fluctuations des prix des matières premières. Comment peuton aider des politiques contra-cycliques? L enjeu est la capacité à faire face à des problèmes dans un cours laps de temps. Le fonctionnement du système multilatéral aide les pays à faire face à ce genre de choses, avec les produits contingents, impliquant des droits de tirage (et donc une ligne de réserves attribuée). Rapporteur : Pauline Dumail, Man & Nature. 5
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailDéclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015
Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Les parlementaires africains Reconnaissant que les parlements
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.
Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailComprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux
Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détail& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.
Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française
Plus en détailLES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION
1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour
Plus en détailDans une liberté plus grande : développement, sécurité et respect des droits de l homme pour tous
Nations Unies A/59/2005* Assemblée générale Distr. générale 24 mars 2005 Français Original: anglais Cinquante-neuvième session Points 45 et 55 de l ordre du jour Application et suivi intégrés et coordonnés
Plus en détailAccès aux médicaments et à la santé de qualité
Accès aux médicaments et à la santé de qualité Discours du Professeur Marc Gentilini Colloque «Les faux médicaments : comment les combattre?» Palais Brongniart, 15 octobre 2010 Stockbyte /Getty Images
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailINVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME
INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailEnjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous»
Enjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous» Les Amis du Fonds mondial Cycle d information et d échanges Yous Hannah 30/09/2014
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailTaxer la finance. Toby Sanger
Taxer la finance Toby Sanger La crise financière et économique a entraîné une réévaluation du rôle, de la régle - mentation et de l imposition du secteur financier dans le monde, qui aurait dû être faite
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailAgiSSONS ensemble. Soutenons la démarche communautaire pour en finir avec le VIH/sida
AgiSSONS ensemble Soutenons la démarche communautaire pour en finir avec le VIH/sida Le mot de la présidente Chère donatrice, Cher donateur, Tout d abord, merci d avoir choisi de soutenir Coalition PLUS.
Plus en détailDÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE
DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE NOUS, Chefs d État et de Gouvernement de l Union africaine, réunis à notre treizième session ordinaire à Syrte (Grande Jamahiriya arabe libyenne),
Plus en détailCLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7
CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 Téléphone : 514 382.7922 Télécopieur : 514 382.3474 Site Internet : www.2tiers.org Courriel : club@2tiers.org
Plus en détailRéaliser les objectifs du Millénaire pour le développement en Afrique
Réaliser les objectifs du Millénaire pour le développement en Afrique Recommandations du Groupe de pilotage pour la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement en Afrique Juin 2008 Pour
Plus en détailHarmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action
Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailNations Unies. Note d information du Secrétaire général* *0840769* 25 juillet 2008 Français Original : anglais 08-40769 (F)
Nations Unies 25 juillet 2008 Français Original : anglais Réunion de haut niveau sur les objectifs du Millénaire pour le développement Passer à l action pour réaliser les objectifs du Millénaires pour
Plus en détailAvec la SIPEM Madagascar Marc Berger Plateforme Européenne de la Microfinance Novembre 2008
Involvement of Social investors in promoting SPM L expérience de la SIDI Avec la SIPEM Madagascar Marc Berger Plateforme Européenne de la Microfinance Novembre 2008 1 Sommaire de la présentation 1) La
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailLa plateforme de micro-dons du CCFD-Terre solidaire
La plateforme de micro-dons du CCFD-Terre solidaire DOSSIER DE PRÉSENTATION S o m m ai r e SolidaireVille, plateforme innovante de micro-dons. Une première!...3 Des projets au service du développement
Plus en détailRécapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.
Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailLe capital-investissement en Afrique
Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Le capital-investissement en Afrique Document de travail Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Des finan cements innovants pour l a transformation
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailPartenariats pour le renforcement de la Responsabilité Sociale et Environnementale des entreprises
Le groupe AFD et la RSE dans le secteur bancaire Partenariats pour le renforcement de la Responsabilité Sociale et Environnementale des entreprises La RSE, qu est-ce que c est? La Commission Européenne
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailRéunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil
Commission de l Union africaine Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil République de Côte d Ivoire
Plus en détailRenforcement des systèmes de santé
SOIXANTE-QUATRIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A64/13 Point 13.4 de l ordre du jour provisoire 7 avril 2011 Renforcement des systèmes de santé Tendances et défis actuels Rapport du Secrétariat POUR
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailAnalyse. Le mouvement mutualiste et les politiques nationales de santé et de protection sociale au Burkina Faso Par Esther Favre-Félix.
Le mouvement mutualiste et les politiques nationales de santé et de protection sociale au Burkina Faso Par Esther Favre-Félix Esther Favre-Félix est diplômée en Relations internationales de l Université
Plus en détailCONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens
Plus en détailForum Paris Europlace. Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics. Pavillon d Armenonville. Mercredi 9 juillet 2014
MICHEL SAPIN MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Forum Paris Europlace Intervention de Michel SAPIN, ministre des Finances et des Comptes publics Pavillon d Armenonville Mercredi 9 juillet 2014
Plus en détailVolet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»
Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard
Plus en détail13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF
13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président
Plus en détail3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES
3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe
Plus en détailSession d ouverture du 4 ème Forum Convergences 2015
Session d ouverture du 4 ème Forum Convergences 2015 Séance plénière // Général Modérateur François de Witt Président, Finansol Intervenants Pierre Schapira Adjoint au Maire de Paris chargé des Relations
Plus en détailANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA
ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA
Plus en détailQu est-ce que le commerce équitable?
FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du
Plus en détailPANSONS LE MONDE PROGRAMME PREVISIONNEL 18/01/2012
PANSONS LE MONDE PROGRAMME PREVISIONNEL 18/01/2012 Matinée - Journée de la Coopération Décentralisée «Santé en Afrique subsaharienne» (9h30-12h30) Les collectivités locales en France sont l un des acteurs
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailEconomie autrement quinzaine du Narthex 19-11-2014
Economie autrement quinzaine du Narthex 19-11-2014 2 LE CREDIT COOPERATIF Ø banque à part entière, Ø banque coopérative actrice d une finance patiente, Ø banque engagée, Ø banque de l économie sociale
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailLe jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact
Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs
Plus en détailStatuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009
Statuts de l Association «Humanium» au 24 février 2009 Sommaire : Art. 1 : Personnalité Art. 2 : Siège et durée Art. 3 : Buts Art. 4 : Etendue géographique et fonctionnement Art. 5 : Les Membres Art. 6
Plus en détailLe contexte : l'agenda post-2015 sur le développement global
Les Nations Unies et leurs partenaires se sont associés pour rédiger et diffuser un sondage innovant et global, sous le nom de MY WORLD, pour que les citoyens puissent participer au processus d'après -2015,
Plus en détailCommuniqué. Emmaüs sans frontières. 31 mai 2011. Centre socio culturel. Thann EMMAÜS CERNAY. Rendez vous le 31 mai à 14h. Centre socio culturel
Emmaüs sans frontières Communiqué 31 mai 2011 Centre socio culturel Thann ************************ CERNAY EMMAÜS A l occasion de la tournée de mobilisation d Emmaüs International, EMMAÜS CERNAY accueillera,
Plus en détailQUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011
QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailLES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF
LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailPrésentation d Helix international
31 ème Congrès international de l Ordre des Experts Comptable de Tunisie En partenariat avec «Développement économique : modèle et gouvernance de la décentralisation» Sfax, les 17 et 18 septembre 2014
Plus en détailEtre societaire, pour vivre la banque autrement.
PREAMBULE Se fondant tout particulièrement sur la notion de valeurs, les coopératives ont montré qu elles constituaient un modèle commercial, robuste et viable, susceptible de prospérer même pendant les
Plus en détailTraité de Copenhague nécessaire
Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague
Plus en détail****** Synthèse rédigée par Claire Brodin, Docteur en droit, Responsable recherche et production intellectuelle à Epargne Sans Frontière.
****** L association Epargne Sans Frontière (ESF) poursuit sa contribution aux débats français, européens et internationaux sur un sujet auquel elle tient particulièrement en publiant une nouvelle édition
Plus en détailCOMPTE À REBOURS JUSQU À zero
COMPTE À REBOURS JUSQU À zero Y croire Le faire. PLAN MONDIAL POUR ÉLIMINER LES NOUVELLES INFECTIONS À VIH CHEZ LES ENFANTS À L HORIZON 2015 ET MAINTENIR LEURS MÈRES EN VIE 2011-2015 Copyright 2011 Programme
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailDémarche, indicateurs et méthodologie Vigeo
lyonnaise des eaux 16 place de l Iris Tour CB 21 92040 Paris La Défense Tél. : +33 (0)1 58 18 40 00 Fax : +33 (0)1 58 18 44 44 sur notre site www.lyonnaise-des-eaux.fr Les 12 de lyonnaise des eaux Démarche,
Plus en détailLES DÉFIS DE L EXPANSION
LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards
Plus en détailAnnée internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies
Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,
Plus en détailWomen s Major Group/Groupe Majeur des Femmes. Dernière déclaration du grand groupe des femmes - 21 juillet 2014
Women s Major Group/Groupe Majeur des Femmes Les «8 drapeaux rouges» des femmes suite à la conclusion du groupe de travail ouvert sur les objectifs de développement durable Dernière déclaration du grand
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailRapport du Sommet mondial pour le développement durable
** Nations Unies Rapport du Sommet mondial pour le développement durable Johannesburg (Afrique du Sud), 26 août-4 septembre 2002 ** Rapport du Sommet mondial pour le développement durable Johannesburg
Plus en détailDéfinition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats
Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays
Plus en détailDESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES
Préambule: DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES Le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) est au sein des Nations Unies l organisation qui, au niveau mondial, est chargée
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailLa LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?
La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette
Plus en détailFondation Sanofi Espoir. Charte de sélection des projets
Fondation Sanofi Espoir Charte de sélection des projets Décembre 2010 1 La Charte de sélection des projets Vous êtes porteur d un projet de terrain lié à la santé, dans le domaine de la solidarité ou de
Plus en détailLa Banque européenne d investissement en bref
La Banque européenne d investissement en bref En tant que banque de l Union européenne (UE), la Banque européenne d investissement (BEI) apporte ses financements et son savoir-faire à l appui de projets
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détail