Habitat. Air intérieur. Habitat. DRASS Basse Normandie

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1 Habitat Air intérieur Habitat DRASS Basse Normandie Avril 2007

2 Habitat AIR intérieur Quelques notions générales sur l habitat DRASS Basse Normandie

3 La définition de la santé de l'oms La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d infirmité. La possession du meilleur état de santé qu il est capable d atteindre constitue l un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale. La santé de tous les peuples est une condition fondamentale de la paix du monde et de la sécurité ; elle dépend de la coopération la plus étroite des individus et des Etats. Conférence internationale sur la Santé New York 22 juillet 1946

4 Les déterminants de la santé d une population Les facteurs génétiques Les comportements individuels, le mode de vie La performance du système de soins L environnement (physique,social, ) Cause de mortalité prématurée Affectation des dépenses de santé (département de santé américain-1997) 20 % 8% 50 % <2 % 10 % 90 % 20 % <2 %

5 La salubrité-principe de base de l hygiène publique Caractère de ce qui est favorable à la santé des hommes; état d un milieu favorable à la santé L insalubrité Malsain, nuisible ou potentiellement préjudiciable à la santé

6 Le confort Ce qui constitue le bien être matériel, commodités qui rendent la vie quotidienne plus facile Éléments de confort WC*, eau chaude*,ascenseur, vide-ordure,. *obligatoire dans logements neufs

7 Mortalité et morbidité pouvant être liées à l habitat 100 à 200 décès par intoxication au monoxyde de carbone en France par an 7 % des enfants, 10,6% des adolescents ont présenté au moins une fois une crise d asthme 150 à 300 décès dus à l asthme/an Perturbations du sommeil des personnes exposées au bruit 9000 décès par accidents domestiques dans ou aux abords de l habitation enfants avec une plombémie supérieure à 100 µg/l le cancer du poumon principal danger lié à l exposition au radon 1500 cas déclarés de légionellose en noyades en piscines/an...

8 L habitat: «une boite dynamique» Emplacement et environnement de l habitation Sorties Entrées Ondes: lumière, bruit, électricité, Fluides: Air, eau, gaz, Matériaux Construction Produits (alimentaires,entretien, décoration, meubles,..) Occupants Activités Air (fumée, ) Eaux usées Déchets

9 L espace intérieur La dimension (surface,volume, hauteur) des pièces, leur nombre, leur distribution doivent permettre aux occupants d exercer des activités normales (repos, cuisine, toilettes,besoin de s isoler, besoin d intimité..) Composition Une pièce principale Une cuisine ou coin cuisine Une salle d eau Un cabinet d aisances Surface Hauteur Éviter les pièces S < 9 m2 Supérieur à 2,20 m En général 2,35 m H Surpeuplement si: 1 personne S < 9 m2 1 couple S < 16 m2 Personne suppl. (+ 9 m2) Les sociologues conseillent m2/hab

10 Habitat L Air intérieur Quelques notions générales sur l évaluation des risques sanitaires DRASS Basse Normandie

11 RISQUE = DANGER x EXPOSITION RISQUE Probabilité d apparition d un événement (notamment une maladie) pour un individu ou dans une population pendant une période donnée DANGER : Propriété intrinsèque d un agent chimique, biologique ou physique à générer un effet néfaste ou indésirable sur la santé. EXPOSITION dépend intensité (concentration, ),nombre, durée, voies d entrées,... risque individuel : risque de contracter une maladie risque collectif : fréquence d une maladie

12 Les dangers immédiats Origine biologique Maladies infectieuses Maladies d origine bactérienne (choléra fièvre typhoïde (salmonelle, légionelle Maladies dues à des protozoaires dysenterie amibienne (amibe) Maladies chroniques (asthme et allergies) Acariens, allergènes d origine biologique Intoxications aiguës Gaz toxique (Monoxyde de carbone) Maladies à virus ( poliomyélite, hépatite A,..) Origine chimique Maladies chroniques (asthme, allergies) allergènes chimiques

13 Les dangers à moyen ou long terme Cancers exposition au benzène, amiante, Maladies chroniques (asthme, allergies) allergènes chimiques Intoxication par accumulation d éléments toxiques Métaux toxiques Mercure : maladie de Minamata Plomb: saturnisme

14 Sources Emission Concentration Transport Exposition Dose Effets sur la santé

15 L origine et le mode d exposition Voie d exposition Inhalation Ingestion Contact biologique Légionelles Poussières contenant des débris d acariens spores de moisissures virus Eau (virus, bactérie, protozoaires, parasites) Acariens allergènes d animaux moisissures Virus bactéries physique Amiante Radon.. chimique Monoxyde de carbone Composés Organiques Volatils Poussières contenant du plomb Origine Bruit Electricité Eau bouillante Fibres Plomb Produits chimiques Produits chimiques

16 A ir Inhala tion A li tcatnocuastiudorp Ea ux m e n ts In jestion st n e met r op mo C ennoyar stnem C ontact t at i ba H los s ét i st n e me gan é m A vi t c A Vig ila nc e ab solu e B lo c ém erg en t Vig ila nc e ra p pro ché e Ge stion d urg e nce Vig ila nc e ap p ro p riée

17 L habitat:une exposition globale Recherche Surveillance 80 % intérieur 20% extérieur

18 Habitat Air intérieur Les risques liés à la qualité de l air dans les habitations et les établissements recevant du public DRASS Basse Normandie

19 Habitat Air intérieur Les sources externes les sources internes les composés chimiques les biocontaminants

20 Habitat Air intérieur Les sources externes DRASS Basse Normandie

21 L air extérieur : Principaux polluants Origine naturelle Oxyde de soufre, Pollens Origine humaine Combustion des produits fossiles (CO2, NOx, SO2, poussières, COV) Chauffage domestique (CO2, NOx, SO2, ) Combustion de carburants de moteurs Incomplète (CO2, NOx, COV, hydrocarbures, CO, Poussières) Procédés industriels Cimenteries: CO2, NOx, Poussières, Peintures COV, Sidérurgie SO2, CO2, NOx... Usines d incinération de déchets NOx, CO2, HCl, dioxines, métaux...

22 Transformation des polluants primaires Smog acide SO2 se transforme en acide sulfurique Pluies acides Pollution photo oxydante Zone ensoleillée et pollution automobile formation d ozone à partir des oxydes d azotes et COV sous l effet du rayonnement solaire

23 Le transfert de l air extérieur dans un logement Etude CSTB, LHVP, ADEME, 2001 Forte dépendance entre teneurs exterieures et intérieures CO, NO2, BTEX 100% NO 70-90% PM2.5, FN SO2 O % 60 - ꏤ Ȋ ꏤ Ȋ 20% Pas de protection de ce logement contre toute la pollution atmosphérique

24 Le radon: Un gaz naturel radioactif inodore et incolore issu de la désintégration du radium, lui-même issu de celle de l uranium présent dans l ensemble des sols et notamment en grande quantité dans les régions granitiques et volcaniques

25 Sa concentration dans l environnement Sa concentration dans l air se mesure en Becquerel/m3 (Bq/m3) En atmosphère libre : En la concentration est très faible (le radon est dilué par les courants aériens) atmosphère plus confinée (bâtiments, habitations) : la concentration peut atteindre des valeurs très élevées (> 1000 Bq/m3)

26 Un facteur de risque du cancer du poumon Le radon classé "cancérigène pulmonaire chez l'homme" par le CIRC pénètre dans les poumons avec l air respiré. Les rayonnements alpha (α) irradient les cellules les plus sensibles des bronches. Le risque de développer un cancer du poumon existe dès que l on est exposé au radon et ce risque croît avec l exposition. L association tabac radon augmente considérablement le risque de cancer du poumon.

27 Réduire la concentration en radon : des solutions Limiter les entrées de radon Assurer l étanchéité des sous sols Évacuer ventilant le radon en Ventiler le sol en dessous du bâtiment Aérer les pièces (VMC)

28 Habitat Air intérieur Les sources internes DRASS Basse Normandie

29 L air intérieur Régulièrement renouvelé Pas trop sec, ni trop humide

30 Les respiration des occupants % Oxygène Gaz carbonique Azote Gaz rares Vapeurs d eau Air inspiré 20, Variable Air expiré 16 4,4 ~ ~ 3à4 g/l Volume inspiré ~ ~ 14 m3/jour ~ ~ 500 l/h

31 Habitat AIR intérieur Les sources internes Les composés chimiques DRASS Basse Normandie

32 Le dioxyde de carbone Bon indicateur de la qualité de l air et de son renouvellement Salle de classe non ventilée Les taux élevés de CO2 peuvent entraîner migraines et nausées Salle de classe ventilée Limite de concentration de 1000 ppm de CO2 pour le calcul des débits de renouvellement d air

33 Le monoxyde de carbone : CO Un gaz Incolore Inodore De densité voisine de l air Stable de 400 à plus de 1000 C N est détruit que par combustion à partir de 1000 C

34 Issu d une mauvaise combustion Charbon, bois, fuel, C + 1/2 O2 => CO2 + chaleur Hydrocarbures liquéfiés (CH4 Méthane, C3 H8 propane,.) C3H8 + 9 O2 => 3 CO2 + 4H2O +chaleur Si quantité d oxygène insuffisantegaz toxique! C + 1/2 O2 => CO + chaleur

35 Action du CO Action sur l hémoglobine O2 O2 O2 O2 O2 O2 O2 CO O2 CO O2 CO L hémoglobine privilégie le transport du CO à celui de l oxygène Les réactions sont réversibles: Hb + O2 HbO2 Hb + CO HbCO L affinité de Hb pour le CO est 240 fois plus forte que pour l oxygène. La compétition entre les molécules est la base du traitement de cette intoxication.

36 * Le taux de «sécurité» est fixé à 2,5 % de HbCO par l OMS pour les femmes enceintes, les personnes* âgées ou atteintes de maladie des coronaires

37 Effets sur la santé Intoxication chronique Taux initial en HbCO compris entre 5 et 15% Triade évocatrice constituée de l association de céphalées frontales, d une asthénie précoce évoluant progressivement vers l aggravation, de vertiges à type d instabilité, d une vision floue. A partir de 20 ppm de CO dans l air on peut observer des symptômes de gastro-entérite, et de vomissements. Une exposition continue à 35 ppm conduit après 5 heures à une saturation de 5% chez le sujet non fumeur et à une saturation de 10% chez un fumeur. Intoxication aiguë Hb CO compris entre 15 et 30 % Apparition de céphalées, de vertiges, de nausées, de vomissements, une hypoacousie, des acouphènes, une asthénie, voire une impotence fonctionnelle. Hb CO supérieur à 30% Phase de coma calme et profond.

38 Principales causes d intoxication Chauffe-eau (+ de 50% des cas d'intoxication en France), inadapté à la taille de la pièce et au débit qui lui est demandé, de plus de 10 ans, encrassé, installé en dehors des normes de sécurité (absence de ventilation, d'aération) ; le coût du chauffage incite à obstruer les bouches d'aération Chaudières en fonte devenues poreuses, ou fendues, ou reliées à un conduit non ramoné. Poêles et chaudières à charbon, lorsque le vent contrarie la montée des gaz de combustion dans le conduit de cheminée et modifie le type de combustion. Appareils de chauffage de fortune : cuisinière dont la porte reste ouverte, appareils de cuisson de camping fonctionnant dans des lieux clos Feux mal éteints, (cheminées d'appartements ; barbecues utilisés en lieux clos).

39 Les bons gestes pour éviter les intoxications au CO L habitation doit respirer Dégager les aérations Faire ramoner les conduits de cheminée tous les ans Les appareils doivent être bien installés, entretenus et correctement utilisés Chaque année faire contrôler et entretenir les appareils de chauffage par un professionnel qualifié Respecter les indications des fabricants:pas d utilisation prolongée des panneaux radiants a gaz, poêles à pétrole,

40 L amiante: une roche fibreuse Silicate naturel hydraté de calcium et de magnésium Résistant au feu Bon pouvoir isolant thermique, électrique et phonique A été utilisé dans de nombreux matériaux notamment de la construction (flocage, calorifugeage, faux plafonds, tonnes importés en France en 1970

41 L amiante: un matériau à risque Quand les matériaux sont sciés, percés, découpés ou quand ils se dégradent, ils libèrent des fibres microscopiques L inhalation de ces fibres présente des risques pour la santé Difficultés et insuffisances respiratoires Fibrose pulmonaire (asbestose) Cancer du poumon, de la plèvre (mésothéliome) et du péritoine

42 Des mesures renforcées pour gérer le risque Amiante 24 décembre 1996 Interdiction de la fabrication, de l importation de mise en vente de produits contenant de l amiante Obligation d un diagnostic de la présence d amiante pour tous les bâtiments collectifs (sauf maison individuelle) et pour toute vente ou démolition d immeuble (Construits avant 1997 y compris maisons individuelles) Surveillance périodique de l état de conservation des matériaux (Empoussièrement inférieur à 5 fibres d amiante par litre d air) Réalisation obligatoire de travaux en cas de dégradation des matériaux Mesures de protection pendant la période des travaux Information des acquéreurs

43 Les fibres minérales des matériaux isolants très utilisés Des fibres inorganiques laine de verre à base de sable laine de roche à base de basalte Un liant organique Une huile limitant émission de poussières absorption d eau Isolation thermique, acoustique et protection contre l incendie planchers, murs toitures plomberie, ventilation

44 Les risques pour la santé Taille des fibres variable si d < 10 µm peut pénétrer dans les voies respiratoires si d < 3.5 µm peut atteindre le poumon profond Concentration des fibres en suspension dans l air Irritations cutanées (démangeaisons, rougeurs, ) Irritations oculaires, nasales ou de la gorge (toux,conjonctivite,..) Allergies cutanées (eczéma) Allergies respiratoires (asthme) Cancers du poumon?non démontré pour les fibres minérales naturelles(hors amiante) Des effets mal connus aux faibles doses dans les expositions environnementales

45 Des recommandations pour limiter l exposition Précaution lors de la pose des matériaux Respecter les consignes de pose Utiliser protection adaptée (lunettes, gants, ) Éviter de mettre en suspension (déballage,découpage,.) Aspirer avec soin après la pose S assurer de la non dégradation au cours du temps

46 Les composés organiques volatils Ensemble des composés appartenant à différentes familles chimiques: (hydrocarbures, aldéhydes, cétones, éthers de glycol ) présents dans de nombreux produits et matériaux de construction (mousses isolantes, peintures, bois, vernis ) très présents dans la fumée de tabac

47 Les composés organiques volatiles Certain de ces composés sont connus pour leur dangerosité et classés comme: -cancérogène certain (groupe 1 classification CIRC): (ex Benzène, formaldéhyde) -cancérogène probable (groupe 2A) -toxiques pour la reproduction: (certains éthers de glycol)

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53 Les composés organiques volatils Les solutions pour prévenir l exposition: - utiliser des produits à faible émission de COV (choix des produits d entretien, des peintures, des matériaux ) - respecter les conditions d utilisation notées sur l étiquetage ou la fiche sécurité - aérer, ventiler les logements

54 La fumée de tabac environnementale contient plus de 4000 substances: (CO, benzène, NO, ammoniac, métaux lourds tabagisme passif classé cancérogène pour l homme tabagisme passif, en lien avec des maladies cardiovasculaires et l asthme le tabac tue environ 5000 non fumeurs par an

55 La fumée de tabac environnementale La prévention: -les comportements -la réglementation avec l interdiction de fumer dans les lieux publics et locaux de travail couverts (décret du 15 novembre 2006)

56 Habitat Air intérieur Les sources internes Les biocontaminants acarien alternaria DRASS Basse Normandie

57 Les biocontaminants de l air Bactéries, virus Sécrétions nasales et pharyngées de très faible diamètre (2à 3 µm), vitesse de chute lente: 1mm/minute Contamination prolongée de l atmosphère d une pièce Faculté de colonisation des systèmes de traitement d air et circuits de distribution Klebsiella pneumoniae

58 Les biocontaminants de l air Champignons: sous forme de spores Aspergillus, penicillium, alternaria, cladosporium A l origine de pathologies: allergies respiratoires, déclenchement de crises d asthme, aspergillose broncho-pulmonaire chez les sujets immunodéprimés aspergillus

59 Les allergènes issus des animaux du logement Domestiques (chat, chien, petits rongeurs, ) non ( blattes, rats, araignées, fourmis, guêpes, moustiques, acariens ) Risques sanitaires Peuvent être par eux-mêmes ou par les micro-organismes pathogènes qu'ils transportent à l'origine d'infection ou de phénomènes allergiques pour les occupants. Peuvent induire des problèmes d'odeurs avec les matériaux ou produits avec lesquels ils peuvent être en contact (vêtements, denrées, )

60 Lutte préventive contre les indésirables Bien les connaître Bien connaître leur biologie, leurs habitudes de vie, notamment leur nourriture, leurs conditions d'apparition, leur lieu de prédilection, leur mode de déplacement Ne pas leur proposer de conditions favorables Ne pas faciliter leur apparition en évitant de leur proposer, notamment de la nourriture et de bonnes conditions d'habitat à proximité!

61 Les acariens Arthropodes à 4 paires de pattes Dimension~ 1/4 de millimètre Durée de vie :50 à 100 jours mais dizaine de jours si humidité < 50 % et T< 25 C Se développent dans endroits poussiéreux,tièdes et humides (matelas,moquettes,sommiers, tentures murales,... Se nourrissent volontiers de squames humaines Les allergènes sont présents essentiellement dans les déjections et débris de carapace Effets sur la santé Irritations oculaires, nasales ou de la gorge (rhinite,conjonctivite, Allergies respiratoires (asthme) (1% des adultes présente un diagnostic d allergie aux acariens)

62 Les poussières 10 à 100 µm de diamètre arrêtées par les fosses nasales et la gorge contiennent: -fibres textiles, -phanères, -débris d insectes, -poils d animaux, -pollens, -acariens, -spores de moisissures...

63 Prévention/présence des acariens Éviter toute humidité dans la construction ventilation, du logement lutte contre remontée d humidité Faire le bon choix de matériaux Éviter moquettes et tentures, préférer sol lavable Nettoyer régulièrement le logement (aspiration et lavage des tentures, peluches, moquettes ) Usage de housses anti-acariens

64 Les blattes et cafards Insectes nocturnes. Insectes omnivores (débris d animaux, de végétaux, de papiers, ordures, textiles, bois,.) Les conditions idéales : habitat humide, obscur et température comprise entre 20 et 35 C. Les niches appréciées: fissures, plinthes, arrières d'appareils ménagers, gaines d'aération,dessous d'évier,...

65 Les mesures de lutte contre les blattes Les mesures préventives Ne pas les attirer par la présence de nourriture ou de déchets fermentescibles Nettoyer donc régulièrement les locaux et notamment les endroits moins accessibles (dessous d'évier, arrière d'appareils ménagers,.) Boucher les fissures, les interstices autour des passages de canalisations; installer du grillage fin sur les gaines et tuyaux d'aération Les mesures curatives Pulvériser un insecticide au niveau des niches. Cette action doit être renouvelée 3 semaines après car l'opération de désinsectisation ne détruit que les adultes et pas les œufs. Pour les immeubles collectifs, il est important d effectuer une intervention globale concertée sur l ensemble des logements.

66 l humidité favorise l aérobiocontamination Production d eau : 10 à 20 litres par logement Respiration Séchage du linge Cuisine Bains Douche TOTAL A EVACUER 40 g/h/personne au repos 100 g/h/personne en activité 0,5 à 1 l/h 1 l/h 2 à 3 l/h à 20 litres/jour Apport par matériaux, remontées capillaires non compris * selon occupation

67 L humidité dans l habitat 4 causes principales Les remontées d eau provenant du sol sur la base des murs au rez de chaussée La condensation Les infiltrations auréoles localisées L origine accidentelle ruptures de conduites, fuites, débordements

68 Les remontées d eau du sol La capillarité La hauteur d ascension du liquide est inversement proportionnelle au diamètre du tube Remontées d humidité dues à la proximité de la nappe phréatique ou à des eaux de pluie stockées au pied des fondations

69 Les infiltrations d eau de pluie Infiltration directe par fissures ou micro fissures au niveau de la toiture, la maçonnerie ou les menuiserie En toitures (étanchéité terrasse, tuile ) En façade (fissures, absence de gouttières, ) Par les ouvertures (mauvais état des menuiseries, )

70 Les fuites accidentelles d eau En toitures (tuile cassée,fuite de gouttière) Fuites de canalisations (canalisations d eau potable, d eaux usées, ) Débordements accidentels (évier, baignoire, appareil électroménager, ) La solution: Trouver l origine de la fuite et réparer

71 La condensation

72 Habitat Air intérieur La Prévention

73 Des solutions pour lutter contre l humidité. Évacuation des eaux pluviales loin des constructions Pente favorisant l évacuation, réseau d eaux pluviales Drainage du sol La solution quand il est possible d évacuer les eaux de drainage Autres procédés Imperméabilisation des murs par injection de produits Insertion d une arase étanche Électrophorèse Drainage à distance des fondations

74 La solution: l aération des locaux Ouverture des portes et fenêtres Ventilation statique Ventilation mécanique contrôlée Entrée d air dans les pièces sèches Extraction dans les pièces humides Doit être générale et permanente au moins pendant la période ou la température extérieure oblige à maintenir les fenêtres fermées

75 La ventilation naturelle Le courant d air se fait d une masse d air froid vers masse d air chaude quand Textérieur < S Tintérieur E Influence du vent Renouvellement de l air irrégulier

76 La ventilation naturelle Ventilation naturelle -discontinue par ouvrants: nécessité d ouvrir les fenêtres par l enseignant entre chaque cours. -permanente : apport d air frais continu par bouches d entrée d air (souvent dans les menuiserie) en partie haute et évacuation par bouches d évacuation en partie basse.

77 La ventilation RSD type (1978) article 63: définit la ventilation des locaux autres qu habitation en deux catégories: -locaux dits à pollution non spécifique -locaux dits à pollution spécifique(cuisines, salles d eau, toilettes )

78 La Ventilation Mécanique Contrôlée

79 Les différents types de VMC ventilation mécanique contrôlée avec balayage, simple flux Ventilation mécanique avec balayage double flux Installation de VMC: -DTU 68.2 «exécution des installations de ventilation mécanique» octobre 1988, devenu norme homologuée en 1993 et réglemente la conception et l installation des VMC. -DTU 68.1 «installation de VMC-Règles de conception et de dimensionnement» 1995, pour l instant norme expérimentale.

80 L hygiène, l entretien des locaux nettoyage quotidien (aspiration, lavage ) des locaux, moquettes, tentures, tissus muraux lavage régulier de la literie, entretien des systèmes de ventilation (grille d appoint d air neuf, bouches d extraction, changement des filtres des ventilations centralisées, nettoyage des caissons )

81 Penser à la qualité de l air en amont de la construction -L emplacement du bâtiment: pas à proximité des voies de circulation importantes, des industries polluantes, garagistes Rôle du Plan Local d Urbanisme et la collectivité dans le choix des zones d activités et des zones résidentielles -L emplacement des prises d air dans la même logique, -le choix des matériaux de construction: choix de matériaux à risque d émission de COV faible, -le choix et le calcul du dimensionnement de la ventilation

82 Évaluation des caractéristiques sanitaires des produits de construction Marquage CE des produits de construction, atteste du respect de la directive produits de construction = aptitude à l usage: -résistance mécanique et stabilité, -sécurité en cas d incendie, -hygiène santé et environnement ( ouvrage conçu et construit de manière à ne pas constituer de menace pour la santé des occupants (notamment dégagement ou présence de gaz toxiques), -sécurité d utilisation, -isolation thermique...

83 Évaluation des caractéristiques sanitaires des produits de construction Directives substances dangereuses: quelques substances les plus dangereuses interdites (limitation de mise sur le marché et d emploi; étiquetage spécifique) seulement une dizaine de substances interdite (plomb, pentachlorophénols, bois traités CCA(cuivre,chrome,arsenic..) Mise en place d un système d évaluation des caractéristiques environnementales et sanitaires en complément des procédure d aptitude à l usage mis au point par le CSTB et reprise par l AFSSET. Acte volontaire des fabricants pour l instant.

84 Évaluation des caractéristiques sanitaires des produits de construction Produits et matériaux portant l estampille NF environnement (écolabel français) ou écolabel européen: produits contenant des doses limitées de solvants. Respect des conditions d emploi et de stockage préconisées par les fabricants.

85 Habitat et air intérieur Conception : Raphaël TRACOL, Catherine BOUTET avec l aide technique de Lionel QUIRIE Service santé-environnement- DRASS de Basse-Normandie pour toutes critiques et suggestions, vous pouvez nous contacter à : DRASS de Basse Normandie 27, rue des compagnons CAEN Tel: dr14-sante-environnement@sante.gouv.fr

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