INSTITUT GABONAIS DE FINANCE ISLAMIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "INSTITUT GABONAIS DE FINANCE ISLAMIQUE"

Transcription

1 Etude sur l implantation de la Finance Islamique au GABON INSTITUT GABONAIS DE FINANCE ISLAMIQUE Septembre

2 En vue de l implémentation de la Finance islamique au Gabon, conformément au souhait des plus hautes autorités du pays, l Institut Gabonais de Finance Islamique (IGAFI) a été mandaté pour réaliser une étude de marché basée sur un sondage de la population gabonaise, et tester son intérêt pour des produits et services financiers Islamiques. Sur la base des résultats obtenus, l IGAFI a ensuite formulé des recommandations concrètes pour mettre en place la Finance Islamique sur le territoire gabonais de manière pertinente, efficace et ordonnée. 1. Résultats de l analyse et recommandations a. Méthodologie utilisée pour réaliser l enquête de terrain Un questionnaire à choix-multiples a été élaboré par l IGAFI (en partenariat avec Hassoune Conseil) afin de tester le potentiel de la finance islamique au Gabon. Les 30 questions qui le composent ont pour but de capturer: Les profils des personnes interrogées (âge, éducation, situation professionnelle, sensibilité religieuse, etc.) ; La connaissance que peut avoir la population gabonaise de la finance islamique ; L'intérêt des personnes interrogées pour cette pratique de la finance et l'image associée à la Finance Islamique ; La propension des Gabonais à utiliser les produits de Finance Islamique ; Les montants que ces personnes pourraient allouer à un compte respectant l éthique Islamique et/ou qu ils seraient susceptibles d emprunter. Il était important que le questionnaire puisse s adapter aux personnes interrogées en fonction de leur réponse. En effet, cette opération est aussi l occasion d éduquer les personnes qui répondent à ce questionnaire ne connaissant pas la Finance Islamique en leur expliquant rapidement les principes ; cela permet par la suite de tester leur intérêt. De plus, 2

3 pour vérifier la cohérence des réponses, quelques questions filtres et des contrôles ont été insérés. Pour une question de fiabilité, il était également important que le questionnaire concerne au moins 1000 personnes, issues de divers milieux sociaux-professionnels et de toute classe d âge afin d'avoir un échantillon objectif autant que représentatif, et que ce questionnaire dure au maximum 15 minutes pour minimiser le dérangement des personnes interrogées. Ainsi, 2003 personnes ont été interrogées selon la méthode d interviews directes dans la rue ; la collecte des informations s est déroulée du 22 janvier au 24 avril La représentativité de l échantillon a été assurée par la méthode des quotas après stratification par les grands découpages administratifs, en ne retenant que les chefs-lieux de provinces, susceptibles d avoir un minimum d infrastructures et d activités économiques : Libreville et Owendo pour la province de l Estuaire ; Port-Gentil pour la province de l Ogooué-Maritime ; Franceville pour le Haut-Ogooué ; Oyem pour le Woleu-NTem ; Lambarené pour la province du Moyen-Ogooué ; Makokou pour la province de l Ogooué-Ivindo ; Koulamoutou pour la région de l Ogooué-Lolo ; Mouila pour la province de la Ngounié ; Tchibanga pour la Nyanga. Une majorité de personnes de sexe masculin ont été interrogées. Les hommes et les femmes ont été interviewés avec une représentativité respective de 75,7% et 24,3%. Cependant, près de 99% des hommes et des femmes interviewés ont l âge compris entre 18 ans (la majorité) et 60 ans (la retraite professionnelle), donc potentiellement en activité. L échantillon touche toutes les catégories sociaux-professionnelles. 88,3% des personnes déclarent avoir une activité professionnelle. Parmi ces personnes en activité plus de la moitié (57%) ont un niveau scolaire au-dessus du primaire. L IGAFI et Hassoune Conseil avaient recommandé que soient interrogées relativement plus de personnes dans les catégories socio-professionnelles les moins aisées pour évaluer plus précisément les besoins en termes de micro-finance. 3

4 Les personnes interviewées représentent des sensibilités religieuses différentes : 47,7% sont de confession musulmane ; 23,5% de confession catholique ; 12,9% de confession protestante et 15,9% sont classés dans «autres» (y compris ceux qui ne se prononcent pas). Ainsi, 52,3% des personnes interrogées sont réparties entre les religions autres que l Islam, dont 43,1% personnes actives. L IGAFI et Hassoune Conseil avaient en effet recommandé que soient interrogées relativement plus de personnes de confession musulmane que chacune des autres religions puisque cette sensibilité représente le cœur de cible de la Finance Islamique. b. Analyse des résultats de l enquête La Finance Islamique est globalement assez méconnue de la population Gabonaise. En effet, 30% seulement des personnes interrogées déclarent connaître la Finance Islamique. Une analyse plus fine des résultats permet de s apercevoir i) que la Finance Islamique est naturellement mieux connue des musulmans (40% d entre eux ayant donné une réponse positive) que des autres religions ; ii) que les personnes entre 36 et 60 ans paraissent les mieux informées sur la Finance Islamique ; iii) et que les personnes sans emploi ainsi que les fonctionnaires sont les classes professionnelles qui connaissent le moins la Finance Islamique voir tableaux n 4, 5 et 6. Pourtant, après en avoir pris connaissance, les Gabonais affichent un intérêt prononcé pour la Finance Islamique. Après une explication sommaire des principes et produits de la Finance Islamique à ceux qui ne les connaissaient pas, il s avère que 62,4% des personnes interrogées se disent «assez intéressées» ou «très intéressées» par la Finance Islamique. Il faut noter à nouveau que les musulmans font augmenter cette moyenne puisque 79,9% d entre eux sont intéressés et ils représentent pour mémoire près de 48% de l échantillon. Cela n empêche pas pour autant un intérêt certain de toutes les sensibilités religieuses et de toutes les classes d âge de l échantillon. Par ailleurs, il est intéressant de noter que les artisans/commerçants et les professions libérales affichent la plus grande proportion de 4

5 personnes intéressées, avec respectivement 70,1% et 75,8% d entre eux se positionnant dans les catégories «assez intéressées» ou «très intéressées» - voir tableaux n 4, 5 et 6. L image de la finance islamique au Gabon est donc plutôt bonne. Le fait que 85,1% des sondés pensent que la Finance Islamique est une bonne chose pour le Gabon et que 67,1% d entre eux jugent que sa pratique n est pas réservée qu aux musulmans en est une parfaite illustration. Attention cependant à prendre à nouveau en compte dans ces chiffres l impact positif des musulmans sondés puisqu ils sont 95,2% à déclarer que la Finance Islamique est une bonne chose pour le Gabon et 73,2% à estimer qu elle est aussi ouverte aux autres religions que l Islam. De plus, il est intéressant de constater que les artisans/commerçants et les professions libérales affichent à nouveau une proportion de réponses positives supérieure aux moyennes citées ci-dessus voir tableaux n 4, 5 et 6. La banque islamique et l institution de micro-finance islamique sont les options plébiscitées par les personnes interrogées comme première étape de l implantation de la Finance Islamique au Gabon. 46,5% des personnes interrogées privilégient la création d une banque Islamique au Gabon ; ce sont les agriculteurs qui en expriment le plus fort besoin (59,1% d entre eux). Ensuite, l institution de micro-finance Islamique recueille 32,1% des suffrages ; ce sont les personnes sans emploi (38,4% d entre eux) et les professions libérales (41,4% d entre eux) qui en sont les principaux demandeurs. Enfin, l assurance islamique n est retenue que par 9% des sondés, ce qui s explique certainement par la combinaison de deux facteurs : i) une méconnaissance des possibilités en termes d assurance Islamique et ii) un besoin de bancarisation et de micro-finance tellement important en Afrique Centrale que ces deux options sont considérées comme prioritaires par la population gabonaise voir tableau n 7. 53,9% des personnes sondées déclarent même être prêtes à changer de banque, ou tout du moins ouvrir un second compte dans une institution financière islamique si cette dernière venait à voir le jour au Gabon. Certes naturellement poussé à la hausse par les 68,8% de musulmans prêts à ouvrir un compte auprès d une institution financière Islamique, ce chiffre caractérise aussi 45,1% des catholiques et 36,7% des protestants interrogés; ce qui 5

6 confirme un intérêt global de la population gabonaise au-delà de toute considération purement religieuse. En approfondissant l analyse des initiatives des clients potentiels, il se trouve que : - Près de 30% des personnes interrogées situent leur capacité d épargne sur un compte Islamique entre et FCFA. Ce sont les agriculteurs qui déclarent être susceptibles d épargner les plus gros montants en proportion, alors les personnes sans emploi, les salariés et les professions libérales déclarent de plus petites sommes. Pour les montants d épargne supérieurs à FCFA, ce sont encore les musulmans qui affichent la plus grande confiance ou les moyens les plus importants à allouer à une banque Islamique. - 16,8% des sondés envisagent d emprunter moins d FCFA à une institution Islamique, menés par 18,4% des artisans/commerçants et 20,7% des professions libérales, ce qui démontre bien l importance du besoin en termes de micro-finance. Les besoins supérieurs à FCFA sont exprimés notamment par 31,8% des agriculteurs, dont l activité requiert un besoin constant d investissements, et encore 31,3% des professions libérales. Voir tableaux n 8, 9 et 10. c. Recommandations Suite au déplacement de la BID à Libreville en 2011, l initiative du Gabon de lancer une institution de finance islamique et/ou d émettre des Sukuk souverains serait un signal fort dans la région CEMAC et sur tout le continent africain pour démontrer l intérêt de la finance islamique dans le développement économique du Gabon. A en juger par les résultats de l étude ci-dessus, il parait évident que la cible principale de la Finance Islamique sera la population musulmane. Un affinement des résultats nous montre aussi notamment l importance des classes sociaux-professionnelles des artisans/commerçants et des professions libérales qui ont exprimé le besoin le plus clair. La catégorie socio-professionnelle des agriculteurs a besoin de plus d information pour qu elle 6

7 prenne conscience des réponses que peut apporter la Finance Islamique face à leurs importants besoins de financement. A l aune des conclusions de l étude, il conviendrait donc de créer une banque islamique de détail ainsi qu une institution de micro-finance au Gabon. Il serait même plus intéressant d envisager ces institutions financières comme une seule et unique entité. Pour illustrer ce que pourrait représenter cette institution financière islamique dans l environnement gabonais, l IGAFI et son partenaire Hassoune Conseil ont préparé le business plan d une telle institution qui regrouperait les services d une banque de détail et de micro-finance islamique au Gabon. Le modèle financier de l institution financière islamique, dont les tableaux figurent dans la partie «Annexes» de ce rapport, se base donc sur la cible principale de la population musulmane. Cette population représentant un peu plus de 150,000 personnes (10% de la population gabonaise), il a été considéré qu un foyer était en moyenne composé de 5 personnes. La cible représente donc environ 30,000 foyers musulmans. L épargne moyenne de ces foyers constitue par conséquent les dépôts reçus par l institution financière islamique. A cela s ajoutent les dépôts interbancaires et corporates (c est-à-dire des entreprises publiques et privées), pour un volume de l ordre de 300% du montant des dépôts en provenance des clients particuliers. Le capital initial sera fixé à 10M pour avoir la capacité d utiliser les fonds à l actif du bilan de la manière suivante : - 65% représentent des prêts, principalement sous forme de contrats murabaha (cession de bien à tempérament) et ijara (crédit-bail et leasing); - 15% représentent des comptes d investissement, principalement sous forme de contrats wakala (agence simple), mudaraba (agence active) ou musharaka (prise de participation); - 20% en trésorerie pour conserver une marge de liquidité suffisante. 7

8 La constitution du capital de cette institution financière pourrait être envisagée avec les parties prenantes suivantes : - L Etat du Gabon (ou une institution publique, de nature bancaire ou pas) qui détiendrait 50% + 1 voix du capital, afin de conserver le contrôle ; - Actionnaire indispensable du développement de la Finance Islamique, la Banque Islamique de Développement (BID) pourrait, selon ses statuts et du fait que le Gabon en est un état membre de l OCI, monter jusqu à 30% du capital ; - Enfin, les 20% du capital restant pourront être souscrits par des investisseurs privés. Il serait aussi intéressant d y associer un actionnaire de référence, lequel serait une banque de la place, afin d apporter les garanties techniques et opérationnelles nécessaires pour l obtention de l agrément auprès de l autorité de réglementaire. L analyse des résultats envisagés propose notamment les éléments de réflexion suivants : - Deux augmentations de capital pour absorber la forte croissance et atteindre un capital de l ordre de 30M à l horizon 2018 ; - Comme la plupart des institutions financières en phase de création, il est supposé que les résultats seront négatifs au cours des deux premières années d exploitation. Les résultats devraient s équilibrer à la troisième année pour devenir positifs à partir de la troisième année, lorsqu une «vitesse de croisière» aura été trouvée. - Ainsi, il est envisageable, au vu des résultats projetés, que l institution financière islamique gabonaise puisse être introduite sur le marché boursier à partir de sa cinquième année d exploitation, juste après sa deuxième augmentation de capital. 8

9 2. Annexes a. Résultats de l enquête Tableau n 1 : Répartition des sondés par sexe et par âge Homme Femme Total Homme en % Femme en % Total en % moins de 18 ans ,0% 0,1% 0,1% entre 18 et 35 ans ,4% 14,3% 54,8% entre 36 et 45 ans ,0% 6,5% 28,5% entre 46 et 60 ans ,0% 3,1% 15,1% plus de 60 ans ,3% 0,2% 1,5% Total ,7% 24,3% 100,0% dont en âge de travailler ,4% 24,0% 98,4% Tableau n 2 : Personnes sondées par profession et par niveau d études Profession / Etudes Aucune Primaires Secondaires Supérieures Universitaires NSPP Total Sans emploi 0,3% 0,6% 3,9% 1,4% 1,9% 0,5% 8,6% Agriculteur 0,1% 0,2% 0,5% 0,0% 0,0% 0,2% 1,1% Artisan/commerçant 8,5% 9,2% 15,8% 1,1% 2,5% 4,1% 41,2% Salarié 1,5% 2,0% 10,0% 4,9% 4,0% 1,6% 24,1% Fonctionnaire 0,1% 0,1% 2,6% 3,0% 4,4% 0,3% 10,6% Profession libérale 1,2% 0,9% 6,0% 0,8% 1,3% 1,0% 11,3% NSPP 0,1% 0,2% 0,7% 0,7% 0,1% 0,9% 2,8% Total 11,9% 13,4% 39,6% 11,9% 14,4% 8,7% 100,0% Population active 11,4% 12,6% 34,9% 9,8% 12,3% 7,3% 88,3% Tableau n 3 : Répartition des sondés par religion déclarée Effectif total dont Actifs Islam 47,7% 45,2% Catholicisme 23,5% 19,9% Protestantisme 12,9% 11,0% Autres 10,5% 8,1% NSPP 5,4% 4,0% Total 100,0% 88,3% Tradition religieuse? Effectifs (%) Catholicisme 23,5% Islam 47,7% Protestantisme 12,9% Autres 10,5% Ne se prononce pas 5,4% Total 100% Autres religions que l'islam 52,3% Autre que l'islam 52,3% 43,1% 9

10 Tableau n 4 : Connaissance de la Finance Islamique et intérêt par religion déclarée Connait la Finance Islamique FI bonne chose pour le Gabon FI ouverte à tous Islam 39,0% 95,2% 73,2% Catholicisme 21,5% 79,6% 67,4% Protestantisme 20,1% 75,3% 60,2% Autres 24,3% 71,9% 56,7% NSPP 22,9% 69,7% 49,5% Echantillon total 30,0% 85,1% 67,1% FI = Finance Islamique Très intéressé Assez intéressé Peu intéressé Pas du tout intéressé NSPP Islam 58,8% 21,0% 10,1% 3,4% 6,7% Catholicisme 20,2% 30,9% 19,6% 10,2% 19,1% Protestantisme 16,6% 23,6% 22,4% 12,4% 25,1% Autres 21,9% 26,2% 18,6% 15,7% 17,6% NSPP 15,6% 22,9% 15,6% 8,3% 37,6% Echantillon total 38,1% 24,3% 15,1% 7,7% 14,8% Tableau n 5 : Connaissance de la Finance Islamique et intérêt par tranche d âge Connait la Finance Islamique FI bonne chose pour le Gabon FI ouverte à tous moins de 18 ans 14,3% 57,1% 42,9% entre 18 et 35 ans 26,5% 84,9% 65,5% entre 36 et 45 ans 32,6% 84,4% 68,3% entre 46 et 60 ans 39,1% 87,7% 72,2% plus de 60 ans 19,2% 88,5% 57,7% Echantillon total 30,0% 85,1% 67,1% FI = Finance Islamique Très intéressé Assez intéressé Peu intéressé Pas du tout intéressé NSPP moins de 18 ans 14,3% 57,1% 0,0% 0,0% 28,6% entre 18 et 35 ans 35,6% 23,9% 16,7% 8,3% 15,5% entre 36 et 45 ans 39,1% 25,6% 14,4% 6,3% 14,7% entre 46 et 60 ans 44,7% 23,5% 11,6% 8,3% 11,9% plus de 60 ans 50,0% 15,4% 7,7% 7,7% 19,2% Echantillon total 38,1% 24,3% 15,1% 7,7% 14,8% 10

11 Tableau n 6 : Connaissance de la Finance Islamique et intérêt par profession Connait la Finance Islamique FI bonne chose pour le Gabon FI ouverte à tous Sans emploi 22,6% 79,7% 62,7% Agriculteur 27,3% 81,8% 68,2% Artisan/commerçant 33,5% 91,0% 68,5% Salarié 27,0% 80,5% 67,4% Fonctionnaire 22,6% 75,9% 63,2% Profession libérale 38,3% 92,5% 74,4% NSPP 22,8% 61,4% 43,9% Echantillon total 30,0% 85,1% 67,1% FI = Finance Islamique Très intéressé Assez intéressé Peu intéressé Pas du tout intéressé NSPP Sans emploi 27,1% 26,0% 14,7% 12,4% 19,8% Agriculteur 18,2% 31,8% 22,7% 18,2% 9,1% Artisan/commerçant 47,7% 22,4% 12,7% 6,2% 11,0% Salarié 30,3% 26,3% 17,4% 9,1% 16,8% Fonctionnaire 20,8% 27,4% 18,9% 9,0% 24,1% Profession libérale 50,7% 25,1% 13,2% 4,0% 7,0% NSPP 21,1% 12,3% 21,1% 8,8% 36,8% Echantillon total 38,1% 24,3% 15,1% 7,7% 14,8% Tableau n 7 : Forme de la Finance Islamique plébiscitée par profession Banque islamique Institution de micro-finance Compagnie d'assurance islamique Sans emploi 37,9% 38,4% 7,9% Agriculteur 59,1% 13,6% 9,1% Artisan/commerçant 48,3% 30,3% 8,6% Salarié 47,9% 32,6% 9,1% Fonctionnaire 46,7% 25,5% 7,5% Profession libérale 44,1% 41,4% 12,8% NSPP 29,8% 28,1% 7,0% Echantillon total 46,2% 32,1% 9,0% 11

12 Tableau n 8 : Action envisagée envers la Finance Islamique par profession et par religion déclarée Changer pour la banque islamique 2 comptes (dont un islamique) NSPP Sans emploi 10,7% 33,3% 55,9% Agriculteur 4,5% 36,4% 59,1% Artisan/commerçant 21,1% 39,8% 39,1% Salarié 15,6% 35,3% 49,2% Fonctionnaire 8,5% 33,0% 58,5% Profession libérale 16,7% 45,4% 37,9% NSPP 3,5% 24,6% 71,9% Echantillon total 16,3% 37,6% 46,1% Changer pour la banque islamique 2 comptes (dont un islamique) NSPP Islam 24,5% 44,3% 31,2% Catholicisme 10,4% 34,7% 54,9% Protestantisme 8,9% 27,8% 63,3% Autres 6,2% 31,9% 61,9% NSPP 7,3% 25,7% 67,0% Echantillon total 16,3% 37,6% 46,1% Tableau n 9 : Epargne allouée à la Finance Islamique envisagée par profession et par religion déclarée Plus de FCFA FCFA à FCFA FCFA à FCFA Moins de FCFA NSPP Sans emploi 5,1% 10,7% 23,2% 2,8% 58,2% Agriculteur 18,2% 4,5% 13,6% 4,5% 59,1% Artisan/commerçant 12,3% 10,2% 15,5% 4,4% 57,6% Salarié 11,2% 10,6% 19,7% 2,1% 56,4% Fonctionnaire 10,8% 16,5% 10,4% 0,9% 61,3% Profession libérale 12,3% 16,7% 19,4% 2,2% 49,3% NSPP 5,3% 5,3% 10,5% 0,0% 78,9% Echantillon total 11,1% 11,5% 16,9% 2,9% 57,5% Plus de FCFA FCFA à FCFA FCFA à FCFA Moins de FCFA NSPP Islam 15,5% 13,4% 18,4% 3,9% 48,8% Catholicisme 5,7% 11,3% 19,6% 1,5% 61,9% Protestantisme 10,8% 6,2% 13,9% 1,9% 67,2% Autres 7,6% 11,4% 11,4% 2,4% 67,1% NSPP 3,7% 9,2% 10,1% 4,6% 72,5% Echantillon total 11,1% 11,5% 16,9% 2,9% 57,5% 12

13 Tableau n 10 : Montant d emprunt envisagé sous forme Islamique par profession et par religion déclarée Plus de FCFA FCFA à FCFA FCFA à FCFA FCFA à FCFA Moins de FCFA NSPP Sans emploi 6,2% 4,5% 9,6% 11,9% 7,9% 59,9% Agriculteur 13,6% 9,1% 9,1% 0,0% 9,1% 59,1% Artisan/commerçant 10,0% 6,1% 7,7% 10,5% 7,9% 57,7% Salarié 10,2% 6,0% 7,9% 9,5% 6,4% 60,0% Fonctionnaire 7,5% 13,2% 8,0% 5,7% 2,8% 62,7% Profession libérale 11,5% 9,7% 10,1% 14,1% 6,6% 48,0% NSPP 5,3% 0,0% 5,3% 5,3% 3,5% 80,7% Echantillon total 9,5% 6,9% 8,2% 10,0% 6,7% 58,6% Plus de FCFA FCFA à FCFA FCFA à FCFA FCFA à FCFA Moins de FCFA NSPP Islam 12,6% 7,2% 9,7% 11,7% 9,1% 49,6% Catholicisme 7,0% 7,4% 7,4% 8,7% 5,1% 64,3% Protestantisme 7,3% 6,9% 5,0% 9,7% 4,6% 66,4% Autres 5,7% 4,8% 9,0% 8,6% 4,8% 67,1% NSPP 6,4% 6,4% 3,7% 4,6% 1,8% 77,1% Echantillon total 9,5% 6,9% 8,2% 10,0% 6,7% 58,6% 13

14 b. Projections financières de l institution financière Islamique HYPOTHESES ( ) Population gabonaise Population musulmane en % 10% 10% 10% 10% 10% Nombre de musulmans Nombre de foyers (= travailleur) Target clientèle en % 35% 46% 59% 77% 100% Nombre de clients PIB/habitant Taux d'épargne moyen 17% 17% 17% 17% 17% Epargne annuel d'un travailleur Salaire bancaire Loyer annuel au m² Nombre de m² par employé Nombre d'employés Taux de créances en souffrance 1% 2% 3% 4% 5% Montant du provisionnement 80% 80% 80% 80% 80% Montant des dépôts

15 BILAN ( ) Portefeuille de crédits Comptes d'investissement Trésorerie TOTAL ACTIF Capital Résultat Report à nouveau Fonds propres Dépôts Interbancaire TOTAL PASSIF COMPTE DE RESULTAT ( ) Revenus Commissions Produit Net Bancaire (PNB) Provisions créances en souffrance Charges de personnel Loyer IT Marketing Other Résultat courant avant impôt Impôt sur les sociétés Résultat Net RATIOS Résultat Net/PNB -15,4% -11,9% -1,1% 12,2% 11,6% Ratio Cooke 14,5% 20,1% 15,3% 18,2% 14,8% ROA -1,2% -0,9% -0,1% 1,0% 0,9% ROE -10% -6% -1% 7% 8% 15

Tablette tactile : la nouvelle nounou?

Tablette tactile : la nouvelle nounou? Observatoire Orange - Terrafemina Tablette tactile : la nouvelle nounou? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 13 ème vague d un baromètre

Plus en détail

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère

Plus en détail

Les Français et les projets de la Commission européenne sur les paiements par carte bancaire

Les Français et les projets de la Commission européenne sur les paiements par carte bancaire Les Français et les projets de la Commission européenne sur les paiements par carte bancaire Institut CSA pour Visa Novembre 04 Fiche technique Interrogation Echantillon national représentatif de 980 personnes

Plus en détail

Les Français et la fraude fiscale

Les Français et la fraude fiscale Les Français et la fraude fiscale Institut CSA pour Atlantico Mai 2013 Fiche technique Sondage exclusif CSA / Atlantico réalisé par Internet du 14 au 16 mai 2013. Echantillon national représentatif de

Plus en détail

BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX

BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX BAROMÈTRE DE LA PROTECTION SOCIALE DES AGENTS TERRITORIAUX Avril 2009 SOMMAIRE 1. La méthodologie 3 A. L évolution du système de protection sociale 5 B. Les pratiques en matière de protection sociale 9

Plus en détail

Les Français et le pouvoir d achat

Les Français et le pouvoir d achat Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite CECOP Centre d études et de connaissances sur l opinion publique Les Français, leur épargne et leur retraite FD/EP N 113015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Esteban Pratviel Département Opinion et Stratégies

Plus en détail

Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée?

Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Contexte Empruntis intervient sur le crédit depuis 15 ans 370 000 ménages nous sollicitent chaque année pour leur besoin en crédit à la consommation

Plus en détail

Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding

Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding Sondage exclusif Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding Un sondage exclusif mené par l Institut Think pour Sondage «Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding» mené par l Institut

Plus en détail

L ATTITUDE DES FRANÇAIS A L EGARD DE

L ATTITUDE DES FRANÇAIS A L EGARD DE L ATTITUDE DES FRANÇAIS A L EGARD DE LA SUPPRESSION SIMULTANEE DE L ISF ET DU BOUCLIER FISCAL - Sondage de l'institut CSA - N 1001375A Octobre 2010 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 CSA

Plus en détail

Les Français et l assurance Prévoyance

Les Français et l assurance Prévoyance Les Français et l assurance Prévoyance Protection financière de leurs proches en cas de coup dur : les Français sont préoccupés mais ne passent pas à l acte Méthodologie Échantillon 959 individus âgés

Plus en détail

SONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS

SONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS SONDAGE SUR LA CULTURE FINANCIERE D UNE POPULATION D INTERNAUTES MAROCAINS Service Education des Epargnants &Habilitation des Intervenants Sondage sur la culture financière d une population d internautes

Plus en détail

Les palmarès du bonheur professionnel

Les palmarès du bonheur professionnel Les palmarès du bonheur professionnel Viavoice Le Nouvel Observateur Octobre 2013 Viavoice Paris. Études Viavoice & conseil 9 rue Huysmans, 75 006 Mieux Paris. comprendre + 33 (0)1 40 l opinion 54 13 90

Plus en détail

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11 L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude

Plus en détail

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

JF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com. pour

JF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com. pour JF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com pour Les Français et la fin de vie Résultats détaillés Septembre 2012 Sommaire - 1 - La méthodologie...

Plus en détail

L éducation au Québec : L état de la situation

L éducation au Québec : L état de la situation Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE

LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE 1 Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique JeanPierre THOMAS Président du Cercle de l'epargne Philippe CREVEL Directeur

Plus en détail

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance

Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:

Plus en détail

Les Français et le don d organes

Les Français et le don d organes Les Français et le don d organes Rapport Version n 2 Date : 8 Février 2011 De: Nadia AUZANNEAU et Stéphanie CHARDRON A: Jean-Pierre SCOTTI et Saran SIDIBE OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris.

Plus en détail

Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005

Institut économique de Montréal. Rapport d un sondage omnibus. Juin 2005 Institut économique de Montréal Rapport d un sondage omnibus Juin 2005 Opinion des Québécois à l égard du jugement de la Cour suprême du Canada relatif à l interdiction aux citoyens de payer pour des soins

Plus en détail

les travailleurs non-salari

les travailleurs non-salari Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salari salariés, s, la crise et l assurancel pour Note méthodologique Etude réalisée

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Les Français et l assurance santé

Les Français et l assurance santé Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

Je suis personnellement joignable, en dehors du contact de notre siège, au 06362633.

Je suis personnellement joignable, en dehors du contact de notre siège, au 06362633. SUSCRIPTIN DE DEPT A TERME CHEZ GAMIFI SA La Gabonaise de Microfinance Etablissement de 2ème catégorie Agrément N 122/CI/09 /CNC Libreville, le.. mars 2010 bjet : Proposition de placements en dépôts à

Plus en détail

L achat de médicaments sur Internet

L achat de médicaments sur Internet L achat médicaments sur Intern Adéï ZULFIKARPASIC Directrice Détement Opinion Institutionnel 01 55 33 21 41 06 17 45 78 98 ai.zulfikaric@lh2.fr Vanessa GALISSI Directrice d étus Détement Opinion Institutionnel

Plus en détail

PRESENTATION AFD- juin 2004

PRESENTATION AFD- juin 2004 PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première

Plus en détail

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel

Plus en détail

Baromètre des professions 2015. Février 2015

Baromètre des professions 2015. Février 2015 Baromètre des professions 2015 Février 2015 Approche méthodologique 3 Résultats détaillés 5 1. Confiance 6 2. Encouragement à devenir 9 2 Méthodologie Collecte des données La présente étude a été réalisée

Plus en détail

Observatoire des politiques publiques :

Observatoire des politiques publiques : Observatoire des politiques publiques : Les Français et l économie sociale et solidaire Sondage Ifop pour Acteurs Publics Contact Ifop : Damien Philippot Directeur des Etudes Politiques Département Opinion

Plus en détail

Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance

Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance Sondage Ifop pour AILANCY 4 juin 2015 N 113049 Contacts Ifop : Frédéric Dabi - Directeur Général Adjoint Alexandre Bourgine Chargé

Plus en détail

VOTRE BILAN. VOTRE ACTIF Vous Votre conjoint. Liquidités Comptes chèques Comptes épargne Obligations d épargne Autres. Sous-total!

VOTRE BILAN. VOTRE ACTIF Vous Votre conjoint. Liquidités Comptes chèques Comptes épargne Obligations d épargne Autres. Sous-total! VOTRE BILAN 6455, rue Jean-Talon Est VOTRE ACTIF Vous Votre conjoint Liquidités Comptes chèques Comptes épargne Obligations d épargne REÉR et régimes de retraite Placements garantis Fonds d investissement

Plus en détail

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay

Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr

Plus en détail

CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE

CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,

Plus en détail

vos objectifs Investir pour atteindre

vos objectifs Investir pour atteindre Investir pour atteindre vos objectifs Que ce soit pour prendre une retraite confortable, effectuer un achat important, financer les études de votre enfant ou épargner en vue de laisser un legs, investir

Plus en détail

«LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange. Février 2014

«LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange. Février 2014 «LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange Février 2014 La fiche technique du sondage Echantillon de 1002 individus âgés de 18 ans et plus représentatif

Plus en détail

Dossier de Presse SAFETY FIRST

Dossier de Presse SAFETY FIRST Dossier de Presse SAFETY FIRST 10 Février 2015 Pour vous médias, votre rôle primordial est de nous accompagner tout au long de cette campagne. Votre pierre à l édifice se traduirait par votre rôle de relais

Plus en détail

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes

Plus en détail

Al Maali Islamic Finance Consulting & Optima-Finance Consulting organisent une série de séminaires en Finance Islamique

Al Maali Islamic Finance Consulting & Optima-Finance Consulting organisent une série de séminaires en Finance Islamique OPTIMA FINANCE Consulting Al Maali Islamic Finance Consuling www.miifb.com P.O. Box 483020- Dubai Casablanca 20 380 Tel: +97142942242 Tél: (212) 5 22 98 82 43 OPTIMA FINANCE Consulting 264, Route d'el

Plus en détail

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

Table des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF)

Table des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF) Table des Matières 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) 6 Finances Publiques (sources : BRH / MEF) 7 Secteur réel (sources : IHSI / BRH / EDH) 10 Secteur externe (sources : BRH / AGD / Maison

Plus en détail

Observatoire de l Auto-Entrepreneur

Observatoire de l Auto-Entrepreneur Observatoire de l Auto-Entrepreneur La vision des Français sur l Auto-Entreprise 5 ème édition - Mai 2011 Nouveau Dispositif 2011/ 2012 Comprendre les auto-entrepreneurs comme un groupe social à part entière

Plus en détail

L image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures

L image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures L image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures Sondage Ifop pour la Fédération nationale de la presse spécialisée Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Guillaume

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Il n est ordinairement attribué

Il n est ordinairement attribué Les 39 degrés de la Franc-Maçonnerie Plan du fonctionnemt de la Maçonnerie et détail des degrés supérieurs Ci dessus, symbole maçonnique sur le dollar américain Il n est ordinairement attribué que 33 degré

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE

ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises

Plus en détail

Étude Pré-salon auprès des investisseurs décideurs actifs

Étude Pré-salon auprès des investisseurs décideurs actifs Étude Pré-salon auprès des investisseurs décideurs actifs L investissement boursier - Octobre 2011 - A: INFOPRO Communications De: OpinionWay Charles-Henri d Auvigny / Philippe Le Magueresse / Pascal Novais

Plus en détail

Février 2013. Sondage sur les français et leur pharmacie. Date : 05 mars 2013 OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Tél : 01 78 94 90 00

Février 2013. Sondage sur les français et leur pharmacie. Date : 05 mars 2013 OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Tél : 01 78 94 90 00 Sondage sur les français et leur pharmacie Février 2013 Date : 05 mars 2013 OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Tél : 01 78 94 90 00 Toute publication totale ou partielle doit impérativement

Plus en détail

Epargne, Retraite, Prévoyance et Santé

Epargne, Retraite, Prévoyance et Santé L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription

Plus en détail

Publié le 3 et 4 avril 2014

Publié le 3 et 4 avril 2014 Publié le 3 et 4 avril 2014 Enquête nationale «Comment accompagner le choix des Français dans les Magasins Spécialisés?» Votre contact : Irina Tshelnakova Directrice Conseil : it@institut-viavoice.com

Plus en détail

Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive

Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive La perception des salariés sur l épargne salariale Toute diffusion de résultats tirés de cette étude doit être accompagnée de la mention

Plus en détail

Banques nouvelle génération : les Français sont-ils prêts pour le tout digital?

Banques nouvelle génération : les Français sont-ils prêts pour le tout digital? Observatoire Orange Terrafemina vague 15 Banques nouvelle génération : les Français sont-ils prêts pour le tout digital? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

L assurance Takaful au Maroc Quels préalables et quelles perspectives?

L assurance Takaful au Maroc Quels préalables et quelles perspectives? L assurance Takaful au Maroc Quels préalables et quelles perspectives? Mohammad Farrukh Raza Directeur Général, Groupe IFAAS IFAAS - cabinet conseil international dédié a la finance islamique Rendez-vous

Plus en détail

GABON. Caractéristiques géographiques et humaines. Économie (2010) Indicateurs de développement. Accords internationaux

GABON. Caractéristiques géographiques et humaines. Économie (2010) Indicateurs de développement. Accords internationaux GABON Caractéristiques géographiques et humaines Superficie : 267 667 km 2 Population : 1,5 million d habitants. Densité : 6 habitants/km 2. Part de la population urbaine : 85,5 %. Taux de croissance démographique

Plus en détail

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de

Plus en détail

Le Comité de Bâle vous souhaite une belle et heureuse année 2013 Adoption du ratio de liquidité LCR

Le Comité de Bâle vous souhaite une belle et heureuse année 2013 Adoption du ratio de liquidité LCR David Benamou +33 1 84 16 03 61 david.benamou@axiom-ai.com Philip Hall +33 1 44 69 43 91 p.hall@axiom-ai.com Adrian Paturle +33 1 44 69 43 92 adrian.paturle@axiom-ai.com Le Comité de Bâle vous souhaite

Plus en détail

64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes

64% des actifs font confiance aux mutuelles : La France Mutualiste se mobilise pour répondre à leurs attentes DOSSIER DE PRESSE CONFÉRENCE DE PRESSE DU 14 SEPTEMBRE 2010 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Enquête exclusive La France Mutualiste/IFOP : Les Français et la retraite 64% des actifs font confiance aux mutuelles :

Plus en détail

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national

Plus en détail

L activité financière des sociétes d assurances

L activité financière des sociétes d assurances L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les

Plus en détail

Homosexualité et milieu de travail

Homosexualité et milieu de travail Sondage d opinion auprès des Canadiens GAI ÉCOUTE ÉTUDE OMNIBUS PAN CANADIENNE Homosexualité et milieu de travail Mai 2006 Dossier : 12717-008 507, place d Armes, bureau 700, Montréal, Québec H2Y 2W8 Téléphone

Plus en détail

Baromètre Allopass Le micro-paiement : quelle réalité aujourd hui?

Baromètre Allopass Le micro-paiement : quelle réalité aujourd hui? pour Baromètre Allopass Le micro-paiement : quelle réalité aujourd hui? Eric Giordano, Directeur Général Pôle Paiement Hi-media Yves-Marie Cann, Directeur d Etudes Ifop 22 octobre 2009 Section 1 : La méthodologie

Plus en détail

Faire croître votre chiffre d affaires PLACEMENTS PLANIFICATION FINANCIÈRE ASSURANCE

Faire croître votre chiffre d affaires PLACEMENTS PLANIFICATION FINANCIÈRE ASSURANCE Faire croître votre chiffre d affaires PLACEMENTS PLANIFICATION FINANCIÈRE ASSURANCE 2 Table des matières 1. Survol de ÉlémentsPatrimoine 2. Modules renseignements du client 3. Modules planifications financière

Plus en détail

STRUCTURE DES COMPTES DE RESULTAT ET EVOLUTION DES FRAIS GENERAUX

STRUCTURE DES COMPTES DE RESULTAT ET EVOLUTION DES FRAIS GENERAUX COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE 4 ème réunion annuelle de concertation avec la Profession Bancaire et Financière (Douala, le 16 janvier 2012) STRUCTURE DES COMPTES DE RESULTAT ET EVOLUTION DES

Plus en détail

CECOP LES FRANÇAIS, L EPARGNE ET LA RETRAITE. N 1301649 Janvier 2014

CECOP LES FRANÇAIS, L EPARGNE ET LA RETRAITE. N 1301649 Janvier 2014 CECOP LES FRANÇAIS, L EPARGNE ET LA RETRAITE N 1301649 Contacts CSA Pôle Opinion Corporate: Yves-Marie CANN Directeur adjoint du Pôle (yves-marie.cann@csa.eu) Julie GAILLOT Directrice d études (julie.gaillot@csa.eu)

Plus en détail

ANALYSE : Le catholicisme en France en 2010

ANALYSE : Le catholicisme en France en 2010 ANALYSE : Le catholicisme en France en 2010 Août 2010 Contact Ifop : Jérôme Fourquet Ifop - Analyse : Le catholicisme en France en 2009 - Janvier 2010 jerome.fourquet@ifop.com 00 Sommaire Note méthodologique

Plus en détail

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS 2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Résultats annuels 2005

Résultats annuels 2005 Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006

Plus en détail

Le passage de l'embedded Value à l'economic Value

Le passage de l'embedded Value à l'economic Value Le passage de l'embedded Value à l'economic Value Une meilleure prise en compte des options et des garanties Ferdia Byrne, Claire Lasvergnas 23 septembre 2003 Les principes L'application Le marché français

Plus en détail

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-* Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre

Plus en détail

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires :

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires : Note détaillée Le regard des masseurs-kinésithérapeutes sur leur profession Etude Harris Interactive pour L Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes Les résultats sont issus d une enquête réalisée

Plus en détail

Regards croisés sur l auto-entrepreunariat

Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Septembre 2013 Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : «Sondage OpinionWay pour l Union des Auto-Entrepreneurs

Plus en détail

ACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots

ACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus

Plus en détail

Les Français et la remise en question

Les Français et la remise en question Les Français et la remise en question Contact : Bruno Jeanbart Directeur du département Opinion Tel : 01 78 94 89 87 Email : bjeanbart@opinion- way.com 15 place de la République 75003 Paris Mai 2013 A

Plus en détail

L utilisation d Internet par les femmes. Juin 2009

L utilisation d Internet par les femmes. Juin 2009 L utilisation d Internet par les femmes Juin 2009 Sommaire 1 - La méthodologie 2 - Les résultats de l'étude A- Les usages d Internet B- Les achats sur Internet Note méthodologique Etude réalisée par l'ifop

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

L observatoire «Entreprise et Santé»

L observatoire «Entreprise et Santé» LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise

Plus en détail

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,

Plus en détail

Les Français et le handicap visuel

Les Français et le handicap visuel Janvier 015 Enquête TNS Sofres pour la Fédération des Aveugles de France Rapport de résultats 48UA53 Rappel méthodologique Echantillon Enquête réalisée par téléphone auprès d un échantillon de 1005 personnes

Plus en détail

Institut Pro-Actions. Valorisation du produit action

Institut Pro-Actions. Valorisation du produit action Institut Pro-Actions Valorisation du produit action Présentation des résultats BJ5780 De : Philippe Le Magueresse, Marc Rota, Laurent Gassie / OpinionWay A : Alain Metternich / Dominique Leblanc / Institut

Plus en détail

observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr

observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport

Plus en détail

Takaful une Alternative à l'assurance Traditionnelle

Takaful une Alternative à l'assurance Traditionnelle Takaful une Alternative à l'assurance Traditionnelle Roland Zaatar CHEA 1 Takaful Les Principes de l Assurance Islamique Naissance du Takaful Définition Takaful vs Assurance Modèles et Structures d une

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

ENQUETE NATIONALE AUPRES DES POPULATIONS NON BANCARISEES

ENQUETE NATIONALE AUPRES DES POPULATIONS NON BANCARISEES REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ---------------------- MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES ---------------------- OBSERVATOIRE DE LA QUALITE DES SERVICES FINANCIERS ENQUETE NATIONALE

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA

LES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA LES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA CANDIDATURE DE DOMINIQUE STRAUSS- KAHN A L ELECTION PRESIDENTIELLE - Sondage de l'institut CSA - N 1100267A Février 2011 Contact : Jérôme Sainte-Marie Directeur du département

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

Population : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)

Population : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013) Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle

Plus en détail

25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II

25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II 25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.

Plus en détail

I) Evolution de la demande d emploi mensuelle

I) Evolution de la demande d emploi mensuelle Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres

Plus en détail

Les Français et la publicité sur les Réseaux Sociaux

Les Français et la publicité sur les Réseaux Sociaux Les Français et la publicité sur les Réseaux Sociaux Octobre 2013 1 1 La méthodologie 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Generix Echantillon : Echantillon de 1006 personnes représentatif de la

Plus en détail

Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012

Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012 Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb Dossier 70902-019 21 septembre 2012 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9 L analyse détaillée des résultats 10 Conclusions stratégiques

Plus en détail