Description Synthétique de l étude des pontes de Tortues Marines en Afrique Centrale

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1 1 Crédit Photo : Alain GIBUDI Description Synthétique de l étude des pontes de Tortues Marines en Afrique Centrale Marie-Clélia GODGENGER, Alain GIBUDI & Marc GIRONDOT Protection des Tortues Marines d Afrique Centrale BP Libreville - GABON En collaboration avec le Muséum National d Histoire Naturelle de Paris 25 rue Cuvier Paris

2 Description Synthétique de l étude des pontes de Tortues Marines en Afrique Centrale Marie-Clélia GODGENGER, Alain GIBUDI & Marc GIRONDOT Protection des Tortues Marines d Afrique Centrale BP Libreville - GABON

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4 SOMMAIRE Remerciements... 4 Contexte général des populations de tortues marines d Afrique centrale...6 Connaissances actuelles des espèces de tortues marines présentent en Afrique centrale...7 Intérêt de l identification des tendances des populations... 7 Méthodologie de détermination des tendances... 8 Intérêt d une approche régionale dans l étude des populations de tortues marines d Afrique centrale... 9 Objectifs de l étude de la base de données PROTOMAC... 9 Sites de Pontes Gabon Cameroun São Tomé et Principe : République du Congo : Données Disponibles Description du Modèle d ajustement des Saisons de Ponte...15 Activités de Pontes Annuelles en Afrique Centrale...16 Utilisation des Sites de Pontes en Afrique Centrale...17 Tortue Olivâtre Tortue Luth : Calendrier des Saisons de Ponte...19 Tendance des Populations de Tortues Marines...20 Conclusion...21

5 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier dans en premier tous les intervenants professionnels qui ont collaboré afin que cette étude ait lieu et que nous atteignions aujourd hui ces résultats. Que tous les partenaires techniques et financeurs de PROTOMAC notamment le RAPAC (Réseau des Aires Protégées d Afrique Centrale) et ECOFAC trouvent ici notre expression de gratitude. Nous remercions particulièrement les personnes suivantes : - Monsieur Dominique ROUMET, Président de PROTOMAC, pour son combat et la confiance accordée pour la réalisation de ce travail. - Jacques FRETEY pour avoir initié la participation de Monsieur Marc GIRONDOT et Mademoiselle Marie- Cléclia GODGENGER à ce projet. Aussi, nos remerciements vont à l ensemble des associations et ONG et notamment les équipes qui ont participé aux suivis des activités de ponte en Afrique Centrale, qui ont permis d apporter la base de travail nécessaire à cette étude. 5 Nous pensons : Au Cameroun : - Au CERECOMA (Centre Spécialisé de Recherche sur les Ecosystèmes Marins) : Jean FOLACK, Jules Romain NGUEGUIM,, Clotilde BEBEYA, Edith MOLIKO, Tobie MEDIKO, Dénis NGAMALOBO, Innocent MADOLA, Pierre N DIVA, Louis A ABA - A BA. - A l ONG Kud a Tubé : Hyacinthe ANGONI et Isidore AYISSI. En République du Congo : - A l ONG RENATURA - Congo : Gaëlle BAL, Nathalie BREHERET, Alexandre GIRARD, - A l ONG ACEN (Association Congolaise de l Education pour l Environnement et la Nature) - Au W C S / Congo : Abdon BITSINDOU et Hilde Van LEEUWE, - Au Parc National de Conkouati Douli. Au Gabon : - A l ONG ASF : Guy Philippe SOUNGET - A l ONG Gabon Environnement : Sandrine RICOIS, Daha DIEW, Didier AGAMBOUET ; - A l ONG ACPE/Ibonga : Jean Pierre BAYE et Hans MAGAYA, Gil Avery MOUNGUENGUI ; - Au WWF Gamba : Bas VERHAGE et HUJBRET ; - A l association Biotopic : Martijn Korthorst ; - Au Réseau des Parc Nationaux du Gabon (ANPN) En République Démocratique du Congo : - A l ONG ACODES : Jean Pierre MATANGA ; A São Tomé et Principe : A l ONG MARAPA : Hyppolito LIMA et Elisio NETO, Jorge DO CARVALHO. PROTOMAC: Alexis BILLES, Jacques FRETEY Père de PROTOMAC, Alain GIBUDI Administrateur et gestionnaire principal de la base de données sous régionale pendant plusieurs années, et co-auteur de ce travail. A Monsieur Jean Pierre AGNANGOYE, Secrétaire Exécutif du RAPAC pour sa conviction personnelle en la réalisation de ce travail. Sincères remerciements à tous ceux dont les noms ne figurent pas mais qui ont participé de loin ou de près à ce projet.

6 6 Gabon Environnement protection formation dévellopement

7 INTRODUCTION 1- Contexte général des populations de tortues marines d Afrique Centrale A l heure actuelle, de nombreuses populations de tortues marines nidifiant à travers les différents bassins océaniques sont étudiées et parfois très bien connues. Il est aujourd hui admis que les côtes Atlantique d Afrique Centrale hébergent des sites de ponte et des aires d alimentions d un intérêt mondial pour les tortues marines, d une part du point de vue de la superficie qu elle couvre et d autre part par l importance des tailles des populations. En effet, le Golfe de Guinée accueille actuellement quatre des sept espèces de tortues marines dont la tortue verte (Chelonia mydas), la tortue luth (Dermochelys coriacea), la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea) et la tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata). Plusieurs sites d Afrique Centrale (Pongara, Mayumba, Conkouati) apparaissent avec d autres plages satellites dispersées d un grand intérêt et pourraient être classés dans les premiers sites mondiaux de reproduction pour la tortue Luth avec la région des Guyanes. 7 Ces populations sont soumises à de nombreuses menaces (forte pression anthropique qui se traduit par des activités de pêche incontrôlées, menaçant corollairement l importante richesse en ressources halieutiques de cette région, destruction des habitats marins et terrestres). L état de conservation de ces populations qui semblait défavorable a fait l objet d une prise en compte globale qui a abouti à l adoption en 1999 d un Mémorandum d Accord sur les mesures de conservation pour les tortues marines de la côte atlantique de l Afrique (PNUE/CMS 2000) afin de progresser dans le processus de coopération internationale indispensable à la conservation des tortues marines. Ces quatre espèces des tortues marines sont classées en annexe 1 de la CITES et en annexe 1 et 2 de la CMS (Convention sur la Migration des Espèces). Toutes ces espèces apparaissent dans la liste rouge de l UICN comme en danger d extinction ou en danger critique d extinction. La connaissance de ces populations et de leurs aires de répartition sur la façade atlantique reste encore relativement mal connue. Il apparaît donc désormais essentiel d identifier clairement les cheptels reproducteurs de ces populations et d approfondir les connaissances sur les différentes populations afin de connaître l état de santé de celles-ci et d être en mesure de mener une stratégie de conservation cohérente et efficace. Ainsi, en 1997, grâce à la volonté de personnalités scientifiques et politiques convaincues de l importance de conserver nos écosystèmes est né PROTOMAC (Programme de Protection des Tortues Marines d Afrique Centrale). Cette réunion s est donc réalisée avec l appui financier du programme ECOFAC. En novembre 2006, lors de l atelier de restitution du projet Espèces Phares, qui s est tenu à Kribi au Cameroun, RAPAC s est engagé d assurer la poursuite, sinon la pérennité des activités ainsi que les acquis de PROTOMAC. PROTOMAC centralise, encadre et suit les travaux d un réseau d associations œuvrant pour la conservation des tortues marines en Afrique Centrale dans les territoires du Cameroun, de Guinée équatoriale, du Gabon, du Congo et de São Tome et Principe. Ainsi a été réalisée la base de données PROTOMAC regroupant les données récoltées par les différents partenaires de terrain en Afrique Centrale.

8 2- Connaissances actuelles des espèces de tortues marines présentes en Afrique Centrale 8 La tortue verte : est largement représentée en Afrique de l Ouest entre le Sénégal et la Namibie. La nidification des tortues vertes a été observée sur le littoral de tous les pays d Afrique centrale avec des emplacements favoris sur les îles de Bioko et de São Tomé et Principe. Le Golfe de Guinée représente une importante aire d alimentation avec la présence de plusieurs herbiers d importance internationale dans la baie de Corisco, sur la frontière entre la Guinée équatoriale et le Gabon (Fretey J. 2001). La tortue olivâtre : est retrouvée entre la Mauritanie, le Cap Vert et l Angola. La nidification de cette espèce est observée dans chaque pays d Afrique centrale depuis la Guinée-Bissau jusqu à l Angola et ceci de façon plus marquée au Congo, au Gabon et en Angola. Le Cameroun représente des sites à nidification faible mais régulière. Les îles de São Tomé et de Bioko semblent être des sites de nidification régulière pour la tortue olivâtre. L aire de répartition géographique de la tortue imbriquée en Afrique Centrale est située entre la Mauritanie et le Cap Vert pour les limites septentrionales et la limite méridionale semble être située près du Congo. La nidification de la tortue imbriquée semble occasionnelle au Cameroun, au Gabon et au Congo, tandis que les sites insulaires de l archipel de Bijargos, de Bioko en Guinée équatoriale ainsi que de São Tomé et Principe présentent des pontes régulières. Les côtés de Guinée équatoriale, du Cameroun et de São Tomé constituent des zones d alimentation non négligeable pour cette espèce du fait de la présence d importantes communautés coralliennes (Fretey J. 2001). La tortue luth : est l espèce ayant la plus large répartition en Afrique centrale. Son aire de répartition s étend de la Mauritanie à l Angola. La nidification est observée de manière régulière en Guinée équatoriale, São Tomé et Principe et reste au Cameroun. Le niveau des pontes de la tortue luth sur le littoral du Gabon et du Congo place ces aires de nidification dans les premiers rangs au niveau international (Fretey J. 2001). 3- Intérêt de l identification des tendances des populations La tendance d une population est un élément fondamental pour définir le statut de conservation d une espèce (Mace & Lande 1991). Si l effectif de la population est en augmentation, l espèce devrait être classée comme n étant pas en danger immédiat. Une espèce, même en croissance, peut cependant être classée comme en danger critique d extinction car les critères utilisés par l UICN (Union Internationale de Conservation de la Nature) ne sont pas adaptés aux tortues marines et ce sujet génère une abondante littérature et des controverses (Glen & Mrosovsky 2004). Il suffit de garder en mémoire que le nom d une catégorie de statut de l espèce ne sert qu à ranger une espèce dans une case et ne doit pas être interprétée littéralement : le fait que la tortue luth soit classée depuis 2000 par l UICN comme «en danger critique d extinction» (Sarti & al. 2002) ne signifie rien d autre que l espèce possède certaines caractéristiques qui l ont fait ranger dans cette catégorie. Pour établir la tendance, il suffit donc d établir si on voit de plus en plus d individus ou non pour une population donnée. Mais quelle est l échelle spatiale à laquelle on doit travailler pour définir cette population?

9 Suite à la mise en place de divers programmes de protection des tortues marines et d étude de leurs activités de ponte, il apparaît important de faire un bilan afin de déterminer une restauration ou un déclin des populations nidifiant en Afrique Centrale. Cependant, l estimation des effectifs des populations est rendue très difficile du fait de la complexité du cycle de vie des tortues marines Méthodologie de détermination des tendances Problématique de l étude des tortues marines : La tendance recherchée est celle de la population hors on ne voit jamais les mâles, sauf à la naissance, ni les femelles non-matures. Il reste donc à notre disposition les individus femelles venant pondre que l on peut dénombrer sur les plages. Mais dénombrer les individus nécessite de pouvoir les identifier afin de ne pas compter deux fois le même. Il convient donc de bien comprendre les cycles reproductifs de cette espèce. Dénombrer les femelles ou les nids : De nombreuses incertitudes subsistent quant à la compréhension du cycle de reproduction des femelles (Figure 1). En effet, les femelles ne pondent pas tous les ans, pondent plusieurs fois durant la saison de pontes et sont plus ou moins fidèles à leur site de ponte. Tout ce peut induire une variation interannuelle importante des activités de ponte observées par site de pontes. 9 Figure 1: Cycle biologique des tortues marines (Lanyon et al. 1989) Ces caractéristiques rendent de fait impossible l estimation directe de la taille des populations. Pour l établissement d une tendance de la population, l idéal serait de pouvoir donner un nombre de femelles présentes annuellement, mais nous sommes incapables actuellement de fournir une telle valeur. On utilisera plutôt un indice de la taille de la population. Le terme indice désigne un élément quantifié que l on espère proportionnel à ce que l on cherche à mesurer, ici la taille de la population. Cet indice est le nombre de nids déposés annuellement. Cette valeur est assez simple à obtenir car il suffit de passer le matin sur les plages et de compter les traces de la nuit. Certaines traces peuvent aussi avoir été effacées par la pluie, le vent ou l affluence humaine sur la plage. Il

10 convient également de prendre en compte les contraintes logistiques et financières avant de lancer un programme de comptage ou de marquage de tortues marines et surtout bien définir si il est réellement nécessaire de voir les individus (marquage) ou bien si seules des informations sur la densité de présence est nécessaire (comptage). 10 Cependant même avec la meilleure volonté des équipes de terrain, il y aura toujours des nuits pour lesquelles les comptages n ont pas été fais. On recourt alors à une méthode d estimation des jours manquants. Différentes méthodes ont été publiées qui possèdent toutes des avantages et des inconvénients. Un rapide survol de ces méthodes sera effectué dans la partie méthodologie. 4- Intérêt d une approche régionale dans l étude des populations de tortues marines d Afrique Centrale Les populations de tortues marines nidifiant sur les côtes atlantiques d Afrique centrale partagent des aires d alimentation réparties dans différents pays de la façade atlantique de l Afrique faisant l objet de différentes mesures de protection. A ceci s ajoute l homogénéité de l effort de pêche au sein des différentes régions et de l utilisation culturelle, économique et commerciale des tortues marines par les populations locales entre les différents pays. L échelle de la plage est très pratique, mais les plages ne sont pas stables comme observées en Guyane (Fromard 2004) et les femelles assez peu fidèles à cette échelle spatiale. En effet, des pontes effectuées par une même femelle sur différentes plages au cours d une même saison sont observées (Girondot 2007). A l échelle interannuelle des pontes sur des plages aussi distantes que celles de Trinidad et la Guyane française sont même observées pour une même femelle. Jusqu où donc élargir la notion de population? Tout dépend de l échelle temporelle considérée. Prenons l exemple des populations de Guyane. A l échelle de la dizaine d années, l ensemble Guyane française et Suriname doit clairement être analysé dans un ensemble. À l échelle de la centaine d années, il convient probablement d y intégrer Trinidad et le Guyana. Au delà, peut-être est-ce tout l Atlantique Ouest qu il conviendrait de prendre en compte. Tout ceci doit permettre de mettre clairement en avant l importance et la cohérence d une approche régionale pour la conservation des tortues marines des pays de l Afrique de l Ouest. Dans ce contexte, un Plan d Action Régional pour la Conservation des Tortues Marines en Afrique de l Ouest a été élaboré conjointement par WWF/UICN/FIBA. Le volet essentiel de ce plan d action est l amélioration des connaissances sur les espèces de tortues marines de l Afrique de l Ouest afin des soutenir les actions présentes et d en établir de futures. Des avancées ont été réalisées dans ce domaine, mais de nombreuses lacunes demeurent (Atelier de Dakar 2002) Objectifs de l étude de la base de données PROTOMAC L investissement du Programme des Tortues Marines d Afrique Centrale (PROTOMAC) en partenariat avec de nombreuses structures de terrain a permis de centraliser la plus importante base de données mondiale de tortues marines au cours de cette dernière décennie. Cette présente étude a visé l estimation des activités de pontes sur les côtes Atlantique de l Afrique centrale. L étude de l évolution temporelle de cet indice de taille des populations a permis la première définition en Afrique centrale des tendances de populations de tortue luth et olivâtre au cours de cette dernière décennie.

11 L importance des conclusions obtenues est double : - en effet, il s agit de la première analyse des activités de ponte des populations de tortues marines à une échelle sous-régionale sur le littoral atlantique de l Afrique Centrale - de plus, les connaissances actuelles de ces populations rendent indubitable l importance internationale des sites accueillant la ponte des populations de tortues luths. Cependant, les tendances des espèces présentes en reproduction sur la façade atlantique de l Afrique sont encore indéterminées et ne peuvent donc intervenir à juste titre dans la détermination du statut mondial ces espèces en vue de permettre de tirer des premières conclusions à l échelle. Étudiées depuis plusieurs dizaines d années, certaines populations de tortues marines nidifiant sur les côtes de l Amérique sont aujourd hui bien connues. Il apparaît important de réduire le contraste de connaissances des populations de tortues marines entre ces deux façades atlantiques et de mettre en avant l intérêt des sites de pontes d Afrique centrale. 5- SITES DE PONTES Les sites du Gabon hébergent la ponte d une très importante population de tortues luths, d une bonne population régulière de tortue olivâtre et accueillent la ponte sporadique d imbriquées et de tortues vertes. Les sites du Congo hébergent de même la ponte de tortues luths mais de manière moins conséquente. De plus, une bonne population de tortues olivâtres vient y pondre et également de tortue verte mais de manière sporadique. La ponte de tortues imbriquées n est pas mentionnée ici. 11 São Tomé et Principe héberge la ponte sporadique de tortues luth, d une bonne population de tortues olivâtre, des imbriquées et des vertes sur certains sites. Le Cameroun représente un site privilégié pour accueillir la ponte de tortues olivâtres, en effet, la ponte de tortues luths est sporadique et celle des tortues imbriquées et vertes n a pas été mentionnée Gabon : Quatre espèces de tortues marines nidifient sur les plages du Gabon. La tortue luth et la tortue olivâtre sont régulières tandis que la tortue verte et la tortue imbriqué sont plus rares. Les plages du Gabon accueillent une des plus grandes populations de tortues luths au monde. Les plages de sable fin du Gabon accueillent les pontes d une très importante population de tortues luth. Carte 1 : Sites de ponte de tortues marines au Gabon Il s agit du Parc National de Pongara, du Parc National de Loango, du Complexe d Aires Protégées de Gamba ainsi que du Parc National de Mayumba (Carte 1).

12 5.2- Cameroun : Le Cameroun possède une façade maritime d environ 402 km avec un littoral riche en systèmes estuariens. La morphologie du littoral est en constante évolution du fait de l érosion côtière. 12 Les suivis de la nidification des tortues marines s effectuent sur 15 km de plages contigües couvrant les villages de Békolobé, Lolabé, Ipenyendjé, Likodo, Ebodjé et Mbendji (Carte 2). La nidification de la tortue luth et olivâtre est régulière mais faible sur les sites de ponte du Cameroun, et apparaît occasionnelle pour la tortue verte et imbriquée. Carte 2 : Sites de ponte de tortues marines au Cameroun 5.3- São Tomé et Principe : São Tomé et Principe est un archipel composé de 209 km des côtes. L île de São Tomé (Carte 3) présente la plus riche diversité en tortues marines de toute la région avec la présence des espèces nidifiants suivantes : tortue olivâtre, tortue verte, tortue imbriquée, tortue luth tandis que la tortue caouanne a été capturées autour de l île. La nidification de la tortue verte, imbriquée et de la tortue luth est observée sur le littoral de l île de Principe (Carte 3).

13 Carte 3 a : Sites de ponte de tortues marines à São Tomé 13 Carte 3 b : Sites de ponte de tortues marines à Principe

14 République du Congo : Le territoire du Congo offre 169 km de littoral. Ses sites accueillent les pontes de tortues luths ainsi que de tortues olivâtres. Les plages de Bellelo et de Djéno font l objet d un suivi annuel des activités de ponte depuis D autres sites de ponte tels que Bas Kouilou sud, Tchissaou, Frontière Cabinda et Mvassa ont fait l objet d un suivi ponctuel. Depuis 2006, les sites de Tchissaou et Mvassa (Carte 4) font l objet d un suivi quotidien du fait de l importance des activités de ponte suspectées. Carte 4 : Sites de ponte de tortue marines en République du Congo

15 INTRODUCTION 6- DONNÉES DISPONIBLES Les données de suivi des activités de ponte utilisées pour cette étude sont issues de la base de données PROTOMAC. Les données concernent le comptage matinal des traces de ponte au Cameroun, à São Tomé et Principe, au Gabon et au Congo. Ces informations sont collectées sur les sites de ponte par les associations œuvrant à l étude et la conservation des tortues. 15 Gabon Environnement Gabon Environnement Gabon Environnement Gabon Environnement Tableau 1 : Liste des plages ayant fait l objet d un suivi des activités de ponte de tortues marines

16 16 7- DESCRIPTION DU MODÈLE D AJUSTEMENT DES SAISONS DE PONTE Un modèle statistique est utilisé afin de modéliser la forme de la saison de ponte (Girondot et al. 2002). On utilise un ajustement par la méthode des moindres pontes couramment observée avec un début de saison de pontes assez brutal et une fin de saison plus étalée dans le temps. Ceci permet d obtenir les dates du début, du pic et de la fin de la saison de pontes ainsi que le maximum de pontes au pic de pontes. Il suffira ensuite de faire carrés ce qui signifie qu un programme cherche les valeurs de paramètres d une courbe qui «coïncide» le mieux aux données récoltées sur le terrain (Figure 2). Figure 2 : Nombre de pontes de tortues luths en sur la plage de Pont Dick-Terminal. La saison de pontes des tortues marines est typiquement caractérisée par un nombre de ponte faible en début et en fin de saison avec un pic approximativement au milieu de la saison de pontes. Le modèle utilisé pour décrire cette saison correspond au produit de deux sigmoïdes. Ceci permet l asymétrie de la saison de la somme des pontes de chaque jour de la saison pour obtenir une estimation du nombre annuel de pontes. Un intervalle de confiance a été calculé afin de connaître la marge d erreur de l estimation. Dans le cadre d une approche régionale, un ajustement de la fonction mathématique a été effectué pour chaque saison de ponte pour l ensemble des sites. La même forme de saison de ponte pour chaque espèce a donc été utilisée avec des paramètres représentant le maximum de la saison de ponte et la dispersion du nombre de ponte autour de la moyenne spécifiques à chaque site. Certaines années, les suivis des activités de ponte ne couvraient pas toute la saison de ponte. Dans ce cas, le modèle d ajustement n a pu identifier ces dates. Dans ce cas, l estimation des dates de saisons de ponte antérieures ou ultérieures ont été utilisées.

17 8- ACTIVITÉS DE PONTES ANNUELLES EN AFRIQUE CENTRALE Le nombre de ponte annuel sur les différentes plages de ponte ont été estimées. Ceci a permis d avoir une idée plus précise des populations de tortues marines venant pondre en Afrique centrale, d améliorer les connaissances des saisons de ponte de ces populations et notamment du calendrier de saisons de ponte. Puis, l utilisation des sites de ponte par les tortues marines dans le Golfe de Guinée et la définition les tendances des populations au cours de ces 10 dernières années ont pu être étudiée. Pour chaque site, saison de ponte et espèce, une fiche de site (Figure 3) a été éditée. Celle-ci présente les informations disponibles sur le site de ponte (organismes en charge des suivis, code plage, longueur de plage) ainsi que des suivis des activités de ponte effectués (date, nombre de jour et nombre de traces dénombrées). De plus, cette fiche présente l ajustement de la saison de ponte, avec les estimations des dates de saison, du nombre de pontes sur la saison de ponte et annuel. Un livret a été édité pour chaque pays est remis à PROTOMAC. Figure 3 : Fiche de site présentant une synthèse des données disponibles et de l ajustement de la saison de ponte

18 18 9- UTILISATION DES SITES DE PONTES EN AFRIQUE CENTRALE La totalité des sites n a pas été prospectée de manière identique au cours de cette dernière décennie. La moyenne des activités de ponte estimées au cours des 8 années n a pu être utilisée comme point de comparaison. Le paramètre décrivant le mieux les données est le N2006 calculé par la croissance exponentielle au cours de la détermination des tendances. Cet effectif a été rapporté au kilomètre afin de permettre la comparaison de l utilisation des sites pour les activités de ponte au sein de chaque pays étudié Tortue olivâtre : Le Congo et le Gabon accueillent un intéressant niveau de ponte de tortue olivâtre. Certains sites se dénotent par une activité de ponte de tortues olivâtres importante : au Congo, le site de Frontière Cabinda et de Conkouati et au Gabon, il s agit des sites en frontière avec le Congo (Frontière à 3 arbres) et du site de Pont Dick-Terminal. Les sites de São Tomé et du Cameroun présentent également une très bonne activité de ponte de tortues olivâtres Tortue luth : Le Gabon apparaît comme un lieu privilégié pour la ponte de tortues luths. En effet, son littoral héberge un niveau de ponte largement supérieur à ce qui peut être observé sur les autres sites. Les plus importants sites de ponte au Congo sont limitrophes avec l Angola (Frontière Cabinda) et avec le Gabon (Conkouati). Au Gabon, les parcs de Mayumba et de Pongara hébergent une importante population en nidification de tortues luths. Le site phare étant le site Bame 230, suivi par les sites et Le site PK 5.3-PK 11.8 apparaît également comme un site d intérêt pour la ponte de tortues luths. Les pontes de tortues luths à São Tomé et Principe sont plus occasionnelles et le site de Praia Jalé semble préférentiel pour la ponte de cette espèce à São Tomé et Principe. La comparaison des activités de ponte au Gabon et au Congo a permis de mettre en avant de manière quantifiée l intérêt de populations de tortues luths et olivâtres nidifiant sur les sites de ponte de ces territoires. Les pontes de tortues luths se répartissent tout au long du littoral gabonais. Le niveau d activités de ponte qu abritent certains sites a été quantifié et se révèle de toute importance pour les sites de Mayumba, Pongara et Conkouati (Carte 1 et Figure 4). Le complexe des aires protégées de Gamba peut également être mis en avant de part l importance du niveau d activités de ponte de tortues luths qu il héberge. Le littoral du Congo héberge la ponte d une population moins importante mais toutefois non négligeable. Les principaux sites de ponte de tortues olivâtres identifiés se répartissent le long du littoral du Congo, Gabon et Cameroun. Quelques sites se dénotent. Concernant le littoral gabonais, il s agit des sites de Mayumba principalement à la frontière avec le Congo et du site de Pont Dick (Carte 5 et Figure 5). Les sites de Conkouati ainsi que les sites à la frontière de l Angola présentent le niveau de ponte de tortues olivâtres le plus important du littoral congolais.

19 Figure 4 : Comparaison des activités de ponte rapportée au kilomètre de la tortue luth (Dermochelys coriacea) sur les sites du Congo, du Gabon, du Cameroun et STP Figure 5 : Comparaison des activités de ponte rapportée au kilomètre de la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea) sur les sites du Congo, du Gabon, de São Tomé et du Cameroun.

20 10- CALENDRIER DES SAISONS DE PONTE La saison de pontes des tortues luths s étale sur environ 7 mois (Figure 6). La date moyenne de début de la saison de ponte est estimée au 27 septembre, la date moyenne de pic de ponte au 20 décembre et enfin la date moyenne de fin de saison est estimée au 04 mai. 20 La saison de ponte des tortues olivâtres apparaît plus précoce et plus courte (environ 4 mois). En effet, la date moyenne de début de saison de ponte est estimée au 21 juillet, la date moyenne de pic de ponte est estimée au 02 novembre, et la saison s achève aux alentours du 27 février. Les tortues imbriquées présentent une saison de ponte débutant autour du 29 octobre, avec une date de pic estimée moins d un mois plus tard aux environs du 21 novembre. La saison s achève aux alentours du 26 mars, ce qui représente une saison de 5 mois. La saison de ponte des tortues vertes est la plus précoce, avec une date moyenne de début de saison de ponte fixée au 17 août et de pic fixée au 19 décembre. Enfin, la saison durant sur environ 7 mois s achève au 27 mars. Donc à l échelle des quatre espèces, les saisons de pontes s étalent de fin juillet à fin mai. Afin d obtenir le maximum d informations, il faudrait envisager une présence sur le terrain qui représenterait un problème logistique et financier. Figure 6 : Représentation des saisons de ponte des 4 espèces de tortues marines d Afrique centrale

21 11- TENDANCE DES POPULATIONS DE TORTUES MARINES De la même manière que pour étudier les saisons de ponte, un modèle a été utilisé pour identifier les tendances des populations. Le modèle ainsi retenu est celui d une croissance exponentielle ajustée par le maximum de vraisemblance. Ceci n a pu être réalisé pour la tortue luth et la tortue olivâtre, seules à avoir fait l objet d un suivi d au moins 3 ans (Cameroun) allant jusqu à 8 ans (Gabon). Le modèle a permis d estimer les différents paramètres représentant l évolution temporelle des activités de ponte : le taux de croissance puis le N2006 (nombre de ponte en 2006 selon le modèle). A l échelle de l Afrique centrale, les populations en nidification de tortues olivâtres et tortue luths apparaissent stables (Figure 7). La très faible décroissance observée ici n est pas significative et peut être assimilée à une stabilité à l échelle du Golfe de Guinée. 21 Il faut cependant garder à l esprit que de nombreuses inconnues demeurent. Il convient ici de rester mesuré quant aux conclusions tout en restant vigilant. Il n est actuellement pas possible de déterminer les causes et conséquence de cette tendance du fait de la complexité de dynamique des populations de tortues marines. Le suivi de la dynamique des populations de tortues marines datant d une dizaine d années, l échelle temporelle disponible permet d avoir suffisamment de recul pour travailler à l échelle régionale. Ceci est conforté par la bonne cohérence des activités de ponte de tortues luths à l échelle de l Afrique centrale. En effet, il a globalement été observé de faibles activités de ponte sur les sites d Afrique Centrale au cours des saisons de ponte et Figure 7 : Tendance du nombre de nids en Afrique centrale depuis 1999

22 12- CONCLUSION 22 Cette étude a permis d identifier les cheptels reproducteurs de quatre espèces de tortues marines pour les saisons de ponte, sites et espèces disponibles dans la base de données PROTOMAC. Les tendances des effectifs des populations de deux espèces de tortues marines en nidification : la tortue luth et olivâtre ont ainsi pu être étudiées le long du littoral du Gabon, Congo, São Tomé et Principe et du Cameroun pour la tortue olivâtre uniquement. Certains sites de ponte au Gabon et au Congo abritent la ponte d importantes populations de tortues luths et olivâtres pour lesquelles la protection s avère primordiale. Les activités de ponte de tortues luths se concentrent sur les sites du Gabon tandis que les activités de ponte de la tortue olivâtre se répartissent entre le Gabon, le Congo, São Tomé et le Cameroun avec une importante population à la frontière entre le Gabon et le Congo. Pour la tortue luth, il conviendrait donc en priorité de protéger les sites satellites du Gabon, sans négliger par ailleurs les populations du Congo. La stratégie de conservation de la tortue olivâtre devrait plutôt être harmonisée entre le Congo, le Gabon, São Tomé et le Cameroun. Les populations de tortues luths et olivâtres en ponte sur le littoral d Afrique centrale sont caractérisées par une stabilité de leurs effectifs au cours de cette dernière décennie. Cette absence de déclin apparaît encourageante mais il convient de rester vigilant et prudent quant aux conclusions à tirer. En effet, cette stabilité correspond également à une absence de restauration des populations et de nombreuses menaces pèsent sur ces populations. De plus, seule une partie des populations d Afrique centrale est concernée par cette étude. Il s agit des populations en ponte de deux espèces parmi les quatre présentes en Afrique Centrale. L évolution des effectifs des populations en nidification de tortue verte et imbriquée de même que des populations en alimentation en Afrique Centrale ne sont pas connues et de nombreuses informations manquent pour la compréhension de l ensemble des populations de l Afrique centrale. Il conviendrait de poursuivre le suivi des activités de ponte pour contrôler l évolution des populations de tortues luths et olivâtres de la façade atlantique africaine. Ceci permettrait d autre part la définition de l évolution des effectifs des populations de tortues vertes et imbriquées nidifiant en Afrique centrale et dont les données sont insuffisantes actuellement pour l obtention de statuts de conservation. Ceci pourra s effectuer par l application de protocoles de suivi standardisés à l échelle de l Afrique Centrale. Afin de mener une stratégie de conservation efficace et cohérente des populations de tortues marines d Afrique centrale, il conviendrait d identifier les priorités de conservation/ restauration à l échelle de l Afrique centrale. Il apparaît donc important d orienter une partie des efforts vers l approfondissement des connaissances par un développement des recherches afin de mieux appréhender la problématique de conservation. Dans ce contexte, il est primordial d intégrer la problématique des tortues marines dans un raisonnement à l échelle de l ensemble géographique cohérent que représente l Afrique Centrale.

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