Aides Bati Cube SOMMAIRE

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1 Aides Bati Cube Objectifs principaux des aides Les deux objectifs principaux des aides sont les suivants : Aide à la saisie : L aide vient en secours pour aider l utilisateur à saisir correctement toutes les données du logiciel. Pédagogie : Les matériaux, systèmes sont décrits très clairement afin d être pédagogue vis à vis de l utilisateur. SOMMAIRE I) ECRAN PROJET... 3 II) ECRAN SITE... 4 III) ECRAN FORME IV) ECRAN CONFORT V) ECRAN ISOLATION VI) ECRAN VENTILATION VII) ECRAN APPORTS SOLAIRES VIII) ECRAN ANALYSE ISOLATION / BESOINS IX) ECRAN CHAUFFAGE X) ECRAN EAU CHAUDE SANITAIRE XI) ECRAN PHOTOVOLTAIQUE XII) CONSOMMATIONS ENERGETIQUES XIII) FACTURE XIV) OUVERTURE BDD COUTS ENERGIES XV) OUVERTURE BDD MATERIAUX XVI) OUVERTURE BDD SYSTEMES XVII) OUVERTURE BDD PHOTOVOLTAIQUES XVIII) ECRAN DESCRIPTIF ETAT RENOVE XIX) ECRAN EXTENSION XX) ECRAN ANALYSE SYSTEMES / CONSEILS Page 1 Page 2

2 I) ECRAN PROJET Nom et lieu du projet : Indiquez les coordonnées du projet. En indiquant le code postal de la ville du projet, le département associé sera automatiquement proposé dans l écran «Site». Informations sur le client : Indiquez nom, prénom, numéro de téléphone et adresse mail du client. Cela sera très utile lorsque vous rechargerez vos projets. De plus ces informations apparaissent dans le rapport final. II) ECRAN SITE Département : Sélectionnez le département dans lequel est situé le logement étudié. Situation géographique : Précisez l altitude du lieu par rapport à la mer, ou sa distance par rapport à la mer. La liste propose uniquement les situations compatibles avec le département sélectionné. Détails des données géographiques et thermiques : Cliquez sur le lien pour obtenir les informations géographiques et thermiques du lieu. Température extérieure de base : Température de référence retenue comme extrême (atteinte au moins 5 fois dans l année) pour le dimensionnement d une installation de chauffage. La norme NF EN qui s appuie sur les normes européennes pour le calcul des déperditions définit des températures extérieures de base par département avec différentes corrections (situation insulaire, proximité à la mer, altitude). Pour définir cette température, utilisez la carte ci dessous pour trouver la zone correspondante et se reporter sur le tableau pour déterminer la température de base fonction de l altitude du lieu. Page 3 Page 4

3 Nombre de degrés heure base 18 C : Le nombre de degrés heure est la somme sur une année des écarts entre une température de référence (18 C) et la température extérieure moyenne mesurée heure par heure pendant la période de chauffe (18 Nombre de degrés heure = Text _ moyen( i)) seulement si Text_moyen<18 C i 1 Avec Text_moyen(i) la température extérieure de l heure «i» de l année. Rayonnement solaire annuel sur une surface horizontale : Représente l énergie annuelle générée par le soleil pour un m² de surface horizontale. Température moyenne annuelle d eau froide sanitaire : Température moyenne (sur un an) de l eau froide sanitaire distribuée dans le département sélectionné. Latitude : Page 5 Page 6

4 Elle désigne l angle formé par le plan équatorial et le «centre de la terre > point local». 1 : Nord 2 : Sud 3 : Latitude 4 : Longitude 5 : Point local 6 : Equateur 7 : Méridien de Greenwich Longitude : Elle désigne l angle formé par le plan méridien de (méridien de Greenwich) et le méridien point local. L angle est négatif vers l Ouest et positif vers l Est. 1 : Nord 2 : Sud 3 : Latitude 4 : Longitude 5 : Point local 6 : Equateur 7 : Méridien de Greenwich vecteur référence Détails graphiques température et rayonnement solaire : Cliquez sur le lien pour voir l évolution de la température extérieure moyenne ainsi que le rayonnement solaire au cours d une année. Température extérieure moyenne : Température extérieure moyenne pour chaque mois pour le site sélectionné. Rayonnement solaire global sur une surface horizontale : Le soleil a une puissance de 63 MW/m², après avoir parcouru les 150 millions de kilomètres nous séparant de lui, l irradiation solaire arrive à l extérieure de l atmosphère avec une puissance de 1.3 kw/m². Le rayonnement solaire arrivant à la surface de la Terre résulte du rayonnement direct et indirect (diffusion par les nuages) et la puissance varie selon les conditions climatiques et la saison. Le rayonnement solaire global (direct et diffus) est une moyenne de l énergie reçue sur une surface horizontale d un mètre carré pendant un an dans le lieu sélectionné Zone RT2005 : La RT2005 définie huit zones climatiques ; elles sont regroupées en trois zones hiver : H1, H2, H3 ; et en quatre zones d été : a, b, c, d H2a H1a H2b H2c H1c 30 H3 H1b H2d B 2A inférieure à 1750 h/an de 1750 à 2000 h/an de 2000 à 2250 h/an de 2250 à 2500 h/an Energies : Le détail des tarifs des énergies est disponible ci dessous. Ces données seront régulièrement mises à jour de 2500 à 2750 h/an supérieure à 2750 h/an Electricité Il faut choisir l abonnement selon le type de nombre de pièces principales et le type d appareil nécessitant de l électricité. Page 7 Page 8

5 3 kva : faible puissance, pour un studio 6 kva : pour un studio ou T2 avec un chauffage électrique 9 kva : pour un T3 12 kva : pour un T4 Ces informations sont données à titre indicatif pour des logements classiques. Gaz bouteille Le gaz naturel provient de couches géologiques du sous sol où on le trouve directement à l état gazeux. (Pouvoir calorifique inférieur gaz naturel : 10.5 kwh/m3) Le propane (ou GPL) est extrait au cours des opérations de raffinage du pétrole. (Pouvoir calorifique inférieur propane : kwh/kg) Propane Différents tarifs sont disponibles selon l usage : Abonnement / citerne : Service sans compteur avec un abonnement annuel. Compteur / citerne : Service avec compteur avec un abonnement annuel. Consignation / citerne : Consignation annuelle. Mixte / citerne : Formule mixte avec consignation et abonnement. Pour plus de renseignements contactez directement votre fournisseur de propane / butane. (Pouvoir calorifique inférieur propane : 12,78 kwh/kg) Gaz naturel Différents tarifs sont disponibles selon l usage : Tarif Base : Jusqu à kwh/an (Exemple d usage : Une cuisine) Tarif B0 : de à kwh/an (Exemple d usage : Cuisine et eau chaude) Tarif B1 : de à kwh/an (Exemple d usage : Chauffage et eau chaude et/ou cuisine) Tarif B2I : de à kwh/an (Exemple d usage : Chauffage et/ou eau chaude dans les chaufferies moyennes) Tarif B2S : de kwh/an à 5 GWh/an (Exemple d usage : pour une chaufferie collective dans le résidentiel) (Pouvoir calorifique inférieur gaz naturel : 10,5 kwh/m 3 ) Charbon (Pouvoir calorifique inférieur : 7,6 kwh/kg) Fioul Le fioul domestique qui est issu du raffinage du pétrole est principalement utilisé pour alimenter les chaudières. Les chaudières fioul ont un rendement de 75 à 95% pour les modèles les plus récents. (Pouvoir calorifique inférieur : 9,95 kwh/m3) Granulés de bois Les granulés sont formés à partir de sciure ou copeaux de bois. La norme allemande DIN+ atteste que les granulés ont une combustion optimale, il est donc conseillé de les utiliser. (Pouvoir calorifique inférieur : 5,1 kwh/kg) Bûches de bois Les bûches de bois s achètent par stère, une stère correspond à un mètre cube apparent (rondins de bois empilés dans un emplacement d un mètre cube) (Pouvoir calorifique inférieur : 1750 kwh/stère) Réseau de chaleur Le prix de l abonnement du réseau de chaleur dépend de la puissance à fournir. Le prix de l abonnement est indiqué par kw de puissance. Page 9 Page 10

6 III) ECRAN FORME Type de construction : Sélectionnez le type de construction de votre logement. Seulement le chauffage individuel est étudié. Le chauffage collectif n entre pas dans le domaine d utilisation de cet outil. Surface habitable chauffée : Précisez la surface qui est chauffée dans la maison. Ne pas tenir compte des pièces non chauffées (sous sol non chauffé, combles perdus, cellier, buanderie, etc.). Par définition une surface habitable est une pièce d une hauteur sous plafond supérieure à 1,80 m. Les valeurs autorisées sont comprises entre 10 et 500 m² habitables. Nombre de niveaux chauffés : Indiquez le nombre de niveaux chauffés. Les combles aménagés sont considérés comme un niveau alors que les combles perdus ne doivent pas être comptabilisés. Nombre de pièces principales : Les pièces principales d un logement sont : Le séjour Les chambres Le salon Le bureau Les salles de bains, cuisines et pièces annexes ne sont pas considérées comme pièces principales. Saisie de l enveloppe de l habitation : Deux types de saisies sont possibles pour la forme de l habitation. Via votre compte utilisateur, vous pouvez choisir de personnaliser le type de saisie par défaut pour toute nouvelle étude. Saisie simplifiée : Ce type de saisie permet de réaliser rapidement une évaluation thermique du bâtiment. A partir de la forme de l habitation, la géométrie du bâtiment est calculée. Cette saisie permet d obtenir des résultats de consommations énergétiques cohérents (écart entre 15 20%) à condition que le bâtiment étudié ne soit pas trop complexe dans sa géométrie. Avec la saisie de la forme, vous n aurez pas accès à la saisie détaillée de l isolation du bâtiment. Une saisie simplifiée de la forme induit une saisie simplifiée de l isolation. Saisie détaillée : La saisie détaillée de la forme permet de saisir très précisément les métrés du bâtiment. Cette saisie plus longue que la précédente, donnera des consommations énergétiques très proches de la réalité. De plus, elle permet d évaluer avec une très bonne précision les déperditions thermiques du bâtiment (quand couplée à une saisie détaillée de l isolation). La saisie détaillée de la forme est très conseillée dans le cas d un bâtiment plus complexe. Par exemple une maison avec un plancher sur vide sanitaire et sous sol avec une partie en combles perdus et aménagés. En effectuant cette saisie, vous aurez le choix dans l écran Isolation entre une saisie simplifiée ou détaillée. Page 11 Forme de l habitation : Les métrés du bâtiment sont évalués grâce à la forme de l habitation. Trois formes sont possibles : Carré ou rectangulaire : Le logement se présente sous la forme d un rectangle En L : Le logement forme un L Forme plus découpée : Le logement présente une forme différente, plus découpée Habitat accolé : Indiquez la position de l habitation. Pour le cas d une maison individuelle : Non accolé : La maison n est pas accolée à un bâtiment chauffé. Accolé sur 1 petit côté : La maison est accolée au niveau d un pignon à un autre bâtiment chauffé (maison jumelée, etc.). Accolé sur 1 grand côté : La maison est accolée au niveau d une façade à un autre bâtiment chauffé (maison jumelée, etc.). Accolé sur 2 petits côtés : La maison est accolée sur deux pignons à un autre bâtiment chauffé (maison en bande, etc.). Accolé sur 1 grand et 1 petit côté : La maison est accolée au niveau d un pignon et d une façade à un autre bâtiment chauffé. Accolé sur 2 grands côtés : La maison est accolée sur deux façades à un autre bâtiment chauffé (maison en bande, etc.). Pour le cas d un appartement à chauffage individuel : Non accolé : L appartement n est pas accolé à un bâtiment chauffé. Accolé sur 1 côté : L appartement est en contact avec un autre logement chauffé sur un seul côté. Accolé sur 2 côtés : L appartement est en contact avec un ou d autres logements sur deux côtés. Accolé sur 3 côtés : L appartement est en contact avec un ou d autres logements sur trois côtés. Il donne sur une seule façade de l immeuble. Hauteur sous plafond : Indiquez la hauteur sous plafond moyenne des niveaux. Type de plancher bas principal : Précisez la nature du plancher principal de la maison Pour le cas d une maison individuelle : Terre plein : La maison est construite sur un terre plein. En tenant compte d un type de sol «standard», les transferts thermiques sont calculées afin d évaluer les déperditions thermiques par le plancher. Vide sanitaire : La maison est construite sur un vide sanitaire, c'est à dire un vide aménagé entre le sol et la dalle du rez de chaussée. Sous sol / Local non chauffé : Le plancher bas donne sur un sous sol ou local non chauffé ayant au moins une hauteur sous plafond de 1,80m (exemple cave). Pour le cas d un appartement à chauffage individuel : Terre-plein : La maison est construite sur un terre-plein. En tenant compte d un type de sol «standard», les transferts thermiques sont calculés afin d évaluer les déperditions thermiques par le plancher. Vide sanitaire : La maison est construite sur un vide sanitaire, c'est à dire un vide aménagé entre le sol et la dalle du rez de chaussée. Sous sol / Local non chauffé : Le plancher bas donne sur un sous sol ou local non chauffé ayant au moins une hauteur sous plafond de 1,80 m (exemple cave). Page 12

7 Extérieur : Le plancher bas donne sur l extérieur. Immeuble construit sur pilotis ou appartement au dessus d un porche d entrée. Intérieur : L appartement est situé au dessus d un autre logement chauffé. Type de toiture principale : Précisez la nature de la toiture de la maison. Pour le cas d une maison individuelle : Combles perdus : Les combles (volume non chauffé compris sous les rampants) ne sont pas aménagés ou ne sont pas chauffés. Combles aménagés : Les combles (volume chauffé compris sous les rampants) sont utilisés. Les pièces du dernier niveau comportent des rampants ou sont mansardées. Toiture terrasse : La toiture traditionnelle est remplacée par un toit plat. Pour le cas d un appartement à chauffage individuel : Combles perdus : Les combles (volume non chauffé compris sous les rampants) ne sont pas aménagés ou ne sont pas chauffés. Combles aménagés : Les combles (volume chauffé compris sous les rampants) sont utilisés. Les pièces du dernier niveau comportent des rampants ou sont mansardées. Toiture terrasse : La toiture traditionnelle est remplacée par un toit plat. Intérieur : L appartement est situé en dessous d un autre logement chauffé. Surface des baies vitrées : Indiquez la surface des baies vitrées de l habitation par orientation. Grâce au facteur solaire des baies et à l orientation, les apports solaires sont calculés. Surface des portes extérieures : Indiquez la surface des portes donnant sur l extérieur (exemple : porte d entrée de la maison). Plancher bas sur terre-plein : La maison est construite sur un terre plein. En tenant compte d un type de sol «standard», les transferts thermiques sont calculés afin d évaluer les déperditions thermiques par le plancher. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers bas sur terre plein que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher bas à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher bas sur vide sanitaire : La maison est construite sur un vide sanitaire, c'est à dire un vide aménagé entre le sol et la dalle du rez dechaussée. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers bas sur vide sanitaire que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher bas à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Page 13 Plancher bas sur Sous sol / Local non chauffé : Le plancher bas donne sur un sous sol ou local non chauffé ayant au moins une hauteur sous plafond de 1,80 m (exemple cave). Vous avez la possibilité de créer autant de planchers bas sur sous sol ou local non chauffé que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher bas à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher bas sur extérieur : Le plancher bas donne sur l extérieur. Immeuble construit sur pilotis ou appartement au dessus d un porche d entrée. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers bas sur extérieur que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher bas à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher bas intérieur : L appartement est situé au dessus d un autre logement chauffé. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers bas intérieurs que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher bas à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Mur sur extérieur : Vous avez la possibilité de créer autant de murs sur extérieur que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un mur à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/hauteur soit en surface). Un mur extérieur est défini pour une orientation avec ses baies vitrées et portes associées. La surface brute des murs doit être renseignée. Les surfaces des baies et portes seront déduites par la suite. Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Dans le cas où vous voulez effectuer par la suite une saisie détaillée de l isolation et que pour un même mur (sous entendu même orientation) vous avez des compositions de baies vitrées ou portes extérieures différentes (exemple une baie PVC et l autre bois) alors vous devez créer deux murs différents pour la même orientation. Cela est aussi vrai pour des compositions de murs différents pour une même orientation. Page 14

8 Mur sur véranda : Vous n avez la possibilité de créer qu un seul mur sur véranda. Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/hauteur soit en surface). Un mur sur véranda est défini pour une orientation avec ses baies vitrées et portes associées. La surface brute doit être renseignée. Les surfaces des baies et portes seront déduites par la suite. Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. La création d un mur sur véranda donne accès à la description de la véranda dans l écran «Apports solaires». Les types de baies vitrées et portes seront donc à décrire dans cet écran. Si vous passez par une saisie détaillée de l isolation, vous décrirez uniquement le mur donnant sur la véranda. La véranda est un espace tampon tempéré solarisé qui présente différents intérêts d un point de vue bioclimatique en hiver : Capter la lumière et la chaleur du rayonnement solaire grâce à une bonne orientation. Stocker la chaleur avec des matériaux adaptés. Transférer efficacement la chaleur dans le logement par ventilation. Mur sur local non chauffé : Vous avez la possibilité de créer autant de mur sur local non chauffé que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un mur à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/hauteur soit en surface). La surface brute des murs doit être renseignée. Les surfaces des baies et portes seront déduites par la suite. Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Un mur sur local non chauffé correspond à un mur donnant sur un garage par exemple. Le local non chauffé est considéré à une température plus élevée que la température extérieure mais est tout de même très déperditif dans le cas d un mur non isolé. Dans le cas d une saisie détaillée de l isolation et de composition de murs différents, vous devez créer plusieurs murs sur locaux non chauffés. Plancher intermédiaire extérieur : Non disponible si un seul niveau dans l habitation. Le plancher intermédiaire donne sur l extérieur. Exemple : Décroché (avancée) d un mur extérieur par rapport à la façade dans un appartement. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers intermédiaires sur extérieur que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher intermédiaire à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher intermédiaire sur local non chauffé : Non disponible si un seul niveau dans l habitation. Le plancher intermédiaire donne sur un local non chauffé. Exemple : Garage au rez de chaussée d une maison à 1 étage. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers intermédiaires sur local non chauffé que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher intermédiaire à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher intermédiaire intérieur : Non disponible si un seul niveau dans l habitation. Le plancher intermédiaire donne sur l intérieur (local chauffé). Cette donnée permet de calculer la longueur du pont thermique de plancher intermédiaire. Bien entendu, aucune déperdition surfacique n est prise en compte dans ce cas. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers intermédiaires intérieurs que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher intermédiaire à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher haut sous combles perdus : Les combles (volume non chauffé compris sous les rampants) ne sont pas aménagés ou ne sont pas chauffés. Vous avez la possibilité de créer autant de plancher haut sous combles perdus que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher haut à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme un tableur type Excel ). Comme un tableau, les calculs doivent précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher haut sous combles aménagés : Les combles (volume chauffé compris sous les rampants) sont utilisés. Les pièces du dernier niveau comportent des rampants ou sont mansardées. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers hauts sous combles aménagés que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher haut à l aide du bouton «x». Page 15 Page 16

9 Les rampants des combles aménagés sont définis pour une orientation avec ses baies vitrées associées (Velux ). La surface brute des rampants doit être renseignée. Les surfaces des baies seront déduites par la suite. Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Dans le cas où vous voudriez effectuer par la suite une saisie détaillée de l isolation et que pour un même rampant (sous entendu même orientation) vous avez des compositions de baies vitrées différentes (exemple une baie PVC et l autre bois) alors vous devez créer deux rampants différents pour la même orientation. Cela est aussi vrai pour des compositions de rampants différents pour une même orientation. Plancher haut toiture terrasse : La toiture traditionnelle est remplacée par un toit plat. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers hauts toiture terrasse que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher haut à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. Plancher haut intérieur : L appartement est situé en dessous d un autre logement chauffé. Vous avez la possibilité de créer autant de planchers hauts intérieurs que vous souhaitez à l aide du bouton «+». Vous pouvez supprimer un plancher haut à l aide du bouton «x». Dans votre compte, vous pouvez personnaliser le type de saisie (soit avec le couple longueur/largeur soit en surface). Des équations peuvent être écrites dans les cases (comme dans un tableur type Excel ). Comme dans un tableau, les calculs doivent être précédés du signe égal (=) et pour valider l équation vous devez appuyer sur la touche Entrée de votre clavier. Les additions, soustractions, multiplications et divisions sont autorisées. IV) ECRAN CONFORT Température habituelle de chauffage : Température pour laquelle le métabolisme de l homme est inactif (confort physiologique). Elle est définie comme la moyenne entre la température de l air et la température des parois environnantes et dépend du type d activité physique des individus. Le Code de la construction fixe à 19 C la température de référence pour un confort sans gaspillage. Ce chiffre n est bien sûr qu indicatif, car toutes les pièces n ont pas les mêmes besoins! Ainsi, pour bien dormir, la température de la chambre pourra être un peu plus fraîche 17 ou 18 C. La salle de bains, en revanche, a besoin d un chauffage moins prolongé mais plus intense : elle pourra bénéficier d une installation particulière, indépendante des autres pièces. Programmation du chauffage : La programmation permet de faire varier la température de consigne selon les heures de présence et d occupation des différentes pièces. Le logiciel propose 4 choix de programmation. Température constante et permanente : la température est maintenue constante à la température de réglage 24h/24 Température réduite de 2 C durant 8h la nuit Température réduite de 2 C durant 8h la nuit et 6h le jour Température réduite de 2 C durant 12h du lundi au vendredi Tension d alimentation : Il s agit de la tension d alimentation électrique du réseau d habitation. Type d éclairage : Eclairage standard : Lampe à incandescence, ampoule classique. Eclairage basse consommation : Consommation moins importante que les lampes ordinaires : L.E.D., lampe à fluorescence ou néon, ampoule à économie d énergie Eclairage intensif : Lampe halogène L éclairage représente en moyenne 14% de la consommation d électricité d un logement. Type d équipements électroménagers : Sélectionnez le type d équipements électroménagers de l habitation : Electroménager standard, utilisation standard Electroménager standard, utilisation modérée Electroménager performant, utilisation standard Electroménager gros consommateur, utilisation intensive Energie cuisson principale : Vous pouvez sélectionner deux types de cuisson différents. La cuisson représente environ 5% de la facture énergétique d un logement. Energie cuisson secondaire : Vous pouvez sélectionner deux types de cuisson différents. La cuisson représente environ 5% de la facture énergétique d un logement. Occupation hebdomadaire : Page 17 Page 18

10 La consommation d énergie est fonction de l occupation et du nombre de personnes habitant le logement. Bien connaître l occupation du logement permet une utilisation rationnelle du chauffage qui se traduit par la programmation de celui ci. Occupation mensuelle : La saisie détaillée permet à l utilisateur d affiner ses besoins en cochant les cases correspondantes aux mois d occupation du logement. Nombre de personnes du logement : Indiquez le nombre de personnes occupant le logement. Vous devez renseigner un chiffre entier. Besoins d eau chaude sanitaire : Vous avez la possibilité de choisir entre une saisie simplifiée ou détaillée de l usage de l eau chaude sanitaire dans l habitat. Usage Eau Chaude Sanitaire : La saisie simplifiée permet à l utilisateur de choisir le type d usage, c'est à dire sa consommation en eau chaude sanitaire : économe, normale, intensive, balnéo. Econome (douches) : Vous ne prenez que des douches. Normal (bains et douches) : Vous prenez des bains et des douches. Intensif (bains) : Vous ne prenez que des bains. Balnéo : Vous ne prenez que des douches dans un appareil multijet. Nombre équipements sanitaires : Indiquez le nombre de lavabos/vasques, baignoires, douches ou balnéo avec les types de robinetteries associés. Grâce au comptage des équipements sanitaires, l évaluation des besoins d eau chaude sanitaire peut se réaliser très précisément. Usage : Trois types d usages sont possibles : Econome Normal Intensif Présence lave vaisselle: Indiquez si un lave vaisselle est présent dans l habitation. Non : On considère que la vaisselle est réalisée à la main. On a donc une consommation d eau chaude sanitaire plus importante qu avec un lave vaisselle. Oui : Un lave vaisselle est présent dans l habitation. V) ECRAN ISOLATION Type d isolation : Isolation intérieure L isolant est placé du côté intérieur des parois déperditives. Cette technique est la plus répandue en France concernant l habitat existant. Les avantages : L absence de modification de l aspect extérieur de l habitation Un coût relativement peu élevé par rapport aux autres types d isolation Les inconvénients : Cette technique ne permet pas de traiter efficacement tous les types de ponts thermiques (liaison plancher intermédiaire, nez de dalle en plancher haut ). La surface habitable est réduite. Une mise en œuvre qui peut être contraignante dans le cas de prises, canalisations ou autres équipements à démonter. Deux techniques existent : En contre cloison : L isolant est placé derrière une contre cloison maçonnée ou sur ossature. L isolant est le plus souvent collé ou fixé mécaniquement au support. Ce système permet d insérer les câbles et prises électriques sans détériorer l isolation. Complexes de doublage : Le complexe se compose d un isolant (synthétique ou laine minérale) revêtu d un parement en plâtre. Les panneaux sont collés ou vissés à la paroi. Ce système offre l avantage d avoir une pose à l aide d un seul produit. Isolation extérieure L isolant est placé du côté extérieur des parois déperditives. Cette technique devient de plus en plus répandue sur les habitations récentes. Celle ci est très utilisée par nos confrères d outre Rhin. Les avantages : La plupart des ponts thermiques sont traités efficacement. La surface habitable n est pas modifiée. Les parois déperditives sont mieux protégées des variations climatiques. Une plus grande inertie thermique. La diffusion thermique de la chaleur emmagasinée dans les murs est excellente. Les inconvénients : Page 19 Page 20

11 Le coût de cette technique est plus élevé que celui de l isolation par l intérieure. De plus, le fait de modifier l aspect extérieur du bâti nécessite une déclaration de travaux ou un permis de construire. Des distances entre ouvrants doivent être respectées afin d éviter la propagation du feu en cas d incendie d un niveau à un autre. Une palette de possibilités : L enduit mince sur isolant : L isolant est collé à la paroi et muni d un enduit spécifique armé d un tissu de fibre de verre et de l enduit de finition. Si le support ne permet pas le collage, un système de fixation mécanique s impose. L enduit hydraulique sur isolant : La technique est identique à la précédente mais l enduit est remplacé par un enduit hydraulique (mortier) généralement projeté. L entretien est plus aisé en zones urbaines. Les parements sur isolant : L isolant est fixé au support puis accueille des pierres minces, des carreaux, des panneaux de bardage ou des contre murs en brique. Les vêtures : Une vêture est constituée d éléments préfabriqués en usine comprenant un isolant et une plaque de parement. L isolant le plus utilisé est le polystyrène expansé moulé. La mise en œuvre par fixation mécanique est simple. Les enduits isolants : Ils sont constitués d un mortier auxquels sont incorporées des particules de matériaux isolants. Souvent appliqués en trois couches, ils ne permettent pas d obtenir de très bonnes performances thermiques. Ils sont réservés aux parois déjà isolées auxquelles on souhaite apporter un complément d isolation. Isolation répartie L isolation est réalisée directement par la structure du bâtiment. Cette solution permet donc de construire et d isoler en un seul produit. Cette technique est très employée dans les habitations neuves. Les avantages : La plupart des ponts thermiques sont bien traités par rajout de thermo planelle. Le confort thermique est optimal grâce à l inertie thermique très importante de ce système. La mise en œuvre est simple grâce à la technique de pose à joint mince qui permet de gagner en productivité. Les inconvénients : Les épaisseurs des parois sont importantes (de l ordre de 40cm tout compris). Le coût de pose est plus élevé. Deux techniques existent : Monomur en terre cuite : Par sa conception alvéolaire et par les qualités naturelles de la terre cuite, le Monomur associe deux phénomènes physiques pour en faire à la fois un isolant et un régulateur thermique. La conception des alvéoles verticales multiples, de petites dimensions permet de bénéficier au maximum du pouvoir isolant de l air. Béton cellulaire : Combinaison de matières premières naturelles (eau, sable, chaux) et de millions de bulles d air, le béton cellulaire est à la fois solide, isolant thermique et ininflammable. Les blocs se présentent généralement sous forme de parallélépipède rectangle de couleur blanche. Mur ossature bois En construction bois l ossature est la technique la plus répandue. Elle séduit par son esthétisme, son côté écologique et par sa légèreté. Afin d isoler et renforcer thermiquement les parois déperditives, on place entre les montants d ossature un isolant. Cette technique est relativement neuve sur le marché français. Les avantages : La plupart des ponts thermiques sont bien traités. La nature respirante du matériau régule l hygrométrie ambiante. L isolant dans l épaisseur des montants offre plus de surface habitable pour un confort thermique optimum. Les inconvénients : La faible inertie thermique du bois ne permet pas de stocker et diffuser efficacement la chaleur. L obligation de traiter les bois. A cause de la présence de termites dans certaines régions, il n est pas possible de réaliser des constructions bois sans traitement. Le squelette en ossature bois se présente sous deux formes : En structure poteaux poutres avec remplissage : Un squelette de la maison constitué de poteaux de forte section espacés de 2,5 à 5 mètres, reliés par des poutres, est monté en quelques jours en atelier. Il peut ensuite recevoir une grande variété de remplissages. En murs panneaux à ossature : Une trame de montants de bois, espacés de 40 à 60cm, est habillée de panneaux de particules, de contreplaqué ou d OSB ; l isolant thermique s insère entre les panneaux. Les isolants peuvent être en fibres naturelles (laine de bois), en chanvre ou en laine minérale. Aucune isolation Sur les anciennes constructions (avant toute réglementation thermique), les économies d énergies n étaient pas au centre des débats. C est pour cette raison qu on retrouve des habitations sans isolant qui sont de véritables gouffres énergétiques. Date de construction : N.B : Dans le cas d un plancher bas intérieur (exemple un appartement au dessus d un autre appartement), la composition de la paroi permet uniquement de connaître la valeur du pont thermique. Murs Mur extérieur / Mur sur véranda / Mur sur local non chauffé : Page 21 Page 22

12 Nom : Le nom définit sur l écran Forme est ici rappelé. Orientation : L orientation définit sur l écran Forme est ici rappelée. Surface : La surface brute du mur définit sur l écran Forme est ici rappelée. Teinte (uniquement pour les murs extérieurs) : La teinte de la paroi permet de quantifier les apports solaires par les parois opaques. Plus la teinte est sombre plus la paroi absorbera les rayons du soleil. Un teinte est définie par un coefficient d absorption. Surface baies vitrées (sauf véranda) : La surface des baies vitrées associées au mur définit sur l écran Forme est ici rappelée. Type de menuiserie (sauf véranda) : Composition du cadre de la baie vitrée Type de vitrage (sauf véranda) : Composition du vitrage de la baie vitrée Coefficient Uw (sauf véranda) : Coefficient de performance thermique de la baie vitrée. Plus ce coefficient est faible, meilleure est la performance thermique. Surface portes extérieures (sauf véranda) : La surface des portes extérieures associée au mur définit sur l écran Forme est ici rappelée. Type de menuiserie (sauf véranda) : Composition du cadre de la porte Type de porte (sauf véranda) : Composition de la porte Coefficient Up (sauf véranda) : Coefficient de performance thermique de la porte extérieure. Plus ce coefficient est faible, meilleure est la performance thermique. Nom : Le nom définit sur l écran Forme est ici rappelé. Orientation (uniquement pour les combles aménagés) : L orientation définit sur l écran Forme est ici rappelée. Surface : La surface brute du plancher haut définit sur l écran Forme est ici rappelée. Teinte (uniquement pour les combles aménagés) : La teinte de la paroi permet de quantifier les apports solaires par les parois opaques. Plus la teinte est sombre plus la paroi absorbera les rayons du soleil. Un teinte est définie par un coefficient d absorption. Surface baies vitrées (uniquement pour les combles aménagés) : La surface des baies vitrées associées au rampant de toiture définiet sur l écran Forme est ici rappelée. Type de menuiserie (uniquement pour les combles aménagés) : Composition du cadre de la baie vitrée Type de vitrage (uniquement pour les combles aménagés) : Composition du vitrage de la baie vitrée Coefficient Uw (uniquement pour les combles aménagés) : Coefficient de performance thermique de la baie vitrée. Plus ce coefficient est faible, meilleure est la performance thermique. N.B : Dans le cas d un plancher haut intérieur (exemple un appartement en dessous d un autre appartement), la composition de la paroi permet uniquement de connaître la valeur du pont thermique. Mur sur véranda : Pour les murs sur véranda, la composition des baies vitrées ou portes n est ici pas demandée. En effet, cela est demandé dans l écran apports solaires. Plancher intermédiaire Extérieur / Intérieur sur local non chauffé / Intérieur : Nom : Le nom définit sur l écran Forme est ici rappelé. Surface : La surface du plancher définit sur l écran Forme est ici rappelée. Présence d une chape : Cela concerne uniquement les chapes thermiques, c est à dire un isolant thermique sous une chape béton. La présence d une chape permet de réduire la valeur du pont thermique créé par la liaison dalle / façade. N.B : Dans le cas d un plancher intermédiaire intérieur (exemple une maison à deux niveaux), la composition de la paroi permet uniquement de connaître la valeur du pont thermique. Plancher haut Combles perdus / Combles aménagés / Toiture terrasse / Intérieur : Page 23 Page 24

13 VI) ECRAN VENTILATION Type de ventilation : Naturelle + cheminée sans trappe d obturation : Ventilation naturelle par ouverture des fenêtres + présence d une cheminée sans trappe d obturation du conduit de fumée. Naturelle + par défauts d étanchéité (menuiseries.) : Ventilation naturelle par ouverture des fenêtres + circulation d air non maîtrisée qui se fait au travers des défauts d étanchéité de l enveloppe. Naturelle par entrée d air / extraction (grilles ) : Système de ventilation dont les seuls moteurs sont le tirage thermique (lié à la différence de température entre l intérieur et l extérieur du logement) et le vent. Ventilation naturelle dit par balayage : entrées d air par grilles en traversées de parois verticales extérieures, extraction par des bouches situées dans les pièces humides montées en partie haute de la pièce ou raccordées à un conduit (conduit shunt ou individuel). Hybride : Système de ventilation naturelle par entrée d air / extraction grilles, assistée par des ventilateurs stato mécaniques : dispositif d extraction mécanisé présentant à l arrêt une caractéristique d extracteur statique venant chapoter les conduits d extractions (shunt ou individuel). Le dispositif d assistance mécanique à la ventilation naturelle se déclenche quant les conditions du tirage naturel ne sont plus réunies (température extérieure trop élevée) ou en fonction des besoins. Simple flux non modulée < 1983 : Ventilation réalisée avec un groupe moto ventilateur en caisson équipé de piquages et permettant de desservir les pièces techniques d un logement par des conduits raccordés à des bouches d extraction non modulées (à débit fixe) entrées d air par les pièces de vie (chambres et séjour). Simple flux modulée autoréglable > 1983 : Dans un système de ventilation autoréglable, les bouches et entrées d air garantissent un débit d air constant quelles que soient les conditions atmosphériques ou l occupation des pièces. Les bouches d entrée d air neuf sont caractérisées par un débit fixe (30 22 m 3 /h) dont le choix est fonction des besoins et en conformité avec les débits réglementaires définis par l arrêté du 24 mars Les bouches d extraction sont également à débit fixe sauf en cuisine où un débit de pointe est possible (lors de la préparation des repas). Simple flux autoréglable gaz : Système de ventilation autoréglable permettant d assurer conjointement l évacuation des produits de combustion des appareils à gaz raccordés dans chaque logement et de l air vicié (VMC GAZ). La bouche cuisine est une bouche d extraction gaz thermoréglable raccordée sur la chaudière individuelle. Elle assure un débit permanent d extraction autorégulé, un débit asservi au fonctionnement de la chaudière et un débit complémentaire commandé manuellement par l usager (débit de pointe). Nota : les débits introduits dans le logement sont majorés afin de prendre en compte l air comburant nécessaire au fonctionnement de l appareil à gaz. Simple flux hygroréglable gaz : Reprend le principe du système Simple flux autoréglable gaz pour l extraction. Par contre dans ce système les bouches d entrées d air des pièces de vie sont hygroréglables. Page 25 Simple flux hygroréglable A : Les bouches d extractions sont équipées d un module de commande d ouverture. Elles sont constituées par une partie active (tresse en nylon) dont l allongement est fonction de l humidité relative dans la pièce et d une partie passive (volet modulant la surface d aspiration). Ceci permet d évacuer l air vicié en fonction de l humidité ambiante. Simple flux hygroréglable B : Les bouches d extraction et d entrée d air sont équipées d un module de commande d ouverture. Elles sont constituées par une partie active (tresse en nylon) dont l allongement est fonction de l humidité relative dans la pièce et d une partie passive (volet modulant la surface d aspiration). Ce système permet de moduler les débits transitant dans le logement en fonction de son occupation et des sources d humidité (bain, repas, sommeil, etc ). Double flux avec échangeur : Au système d extraction d air dans les pièces de service est associé un système d insufflation d air neuf dans les pièces principales ; à ce système sont généralement associés : - un échangeur de chaleur entre l air neuf et l air extrait du logement Schéma d un échangeur en fonctionnement hiver [1 Air extérieur froid entrant; 2 Air rejeté après avoir préchauffé l air neuf ; 3 Air insufflé préchauffé ; 4 Air vicié à température ambiante] - un système de filtration de l air neuf (amélioration de confort intérieur mais aussi protection de l échangeur contre l encrassage) Puits Canadien : Dans le puits Canadien l air neuf insufflé dans la maison circule dans une gaine enterrée à quelques mètres sous terre avant d entrer dans la maison. Sous terre la température est relativement stable (5 à 15 C selon la profondeur) ce qui permet de préchauffer l air neuf en hiver et le refroidir en été. Schéma d un puits canadien en fonctionnement hiver [1 Air neuf Froid ; 2 Air neuf préchauffé après le passage dans le sol] Page 26

14 Puits canadien et double flux : Contrairement au puis Canadien seul (système simple flux), un échangeur de chaleur est associé en plus en aval. L air déjà préchauffé par le puits Canadien est encore réchauffé par le système double flux. Cela permet d augmenter la température de l air insufflé dans l habitation. Typologie logement : Indiquer le nombre de salle de bains avec et/ou sans WC, le nombre de WC et le nombre de salles d eau. Valeurs autorisées : Pour le nombre de cuisine 1 Pour le nombre de salles de bains avec WC entre 0 et 3 Pour le nombre de salles de bains sans WC entre 0 et 3 Pour le nombre de WC entre 0 et 3 Pour le nombre de salles d eau entre 0 et 3 Indiquez le diamètre en centimètre du conduit. Attention, il faut veiller à garder une vitesse d écoulement d air entre 2 et 3 m/s. Plus la vitesse est faible, meilleur est l échange thermique et plus les pertes de charges sont faibles. Type de ventilateur d extraction : L extracteur est le système qui permet de créer la dépression nécessaire à l extraction de l air vicié. Selon le type d extracteur la consommation du ventilateur sera différente. Les hypothèses sur les consommations sont : - Extracteur ancien : 0,50 W/ m 3 - Extracteur récent : 0,25 W/ m 3 - Extracteur basse consommation : 0,10 W/ m 3 Une valeur doit être saisie obligatoirement (0 si non existant). Rendement de l échangeur : Le rendement d une ventilation double flux peut varier en fonction de différents facteurs. Le rendement indiqué dans les documentations constructeurs est un rendement théorique (correspondant à un protocole de tests). Ces protocoles sont définis dans la NF EN Profondeur de la gaine dans le sol : Indiquez la profondeur en mètre, de la gaine du puits Canadien, dans le sol. Généralement la gaine se situe environ à 2 mètres de profondeur. A cette profondeur, la température est pratiquement constante tout au long de l année, elle varie entre 10 et 18 C selon les saisons alors que l air peut varier de 5 C à +35 C. La gaine enterrée va donc récupérer des calories du sol. L objectif étant que l air à la sortir soit à la température du sol. Tous les sols ne se valent pas (densité, humidité). Le dimensionnement du puits Canadien à la fois fonction des conditions de ventilation souhaitées et de la capacité thermique du sol. Nombre de conduits : Indiquez le nombre de conduits. Pour réduire la longueur de la tranchée vous pouvez réaliser plusieurs conduits en parallèle. Comme le débit d air sera réparti sur chaque conduit, le diamètre de celui ci pourra être réduit et le transfert de chaleur sera amélioré. Cependant, il faut éviter les coudes car cela induit des pertes de charge. Longueur de la gaine : La longueur de la conduite enterrée est déterminée en fonction du renouvellement d air souhaité. C est une donnée très importante. Plus la longueur est importante, plus la température de l air sera proche de celle de la terre. Par exemple, pour un diamètre de conduite de 20cm, la longueur devra être d environ 50 mètres pour obtenir un résultat intéressant. Diamètre extérieur de la gaine : Page 27 Page 28

15 VII) ECRAN APPORTS SOLAIRES Véranda : La véranda est un espace tampon tempéré solarisé qui présente différents intérêts d un point de vue bioclimatique en hiver : Capter la lumière et la chaleur du rayonnement solaire grâce à une bonne orientation. Stocker la chaleur avec des matériaux adaptés. Transférer efficacement la chaleur dans le logement par ventilation. L onglet «Rappels» indique les caractéristiques du mur donnant sur la véranda. Ces caractéristiques ont été définies dans l onglet «Forme». Le terme véranda vient du mot indien baramdah qui désigne une partie extérieure ayant une toiture pour se protéger des éléments naturels avant de rentrer ou de sortir, dans des maisons en Inde. Partie intérieure : Vitrage intérieur : 1 Choisir le type de menuiserie du vitrage donnant sur la véranda 2 Choisir le type de vitrage donnant sur la véranda Le type de vitrage définit le coefficient de transmission thermique Uw de la paroi vitrée (menuiserie+vitrage) en W/m².K. Il est possible de créer, en fonction du type de menuiserie, son propre vitrage avec son propre Uw en se rendant dans l onglet «Base de données» puis en sélectionnant l icône «Baies vitrées». 3 Choisir le type de menuiserie de la porte donnant sur la véranda 4 Choisir le type de porte donnant sur la véranda (opaque ou vitrée) Le type de vitrage définit le coefficient de transmission thermique Up de l ensemble de la porte (menuiserie+porte) en W/m².K. Il est possible de créer, en fonction du type de menuiserie, sa propre porte avec son propre coefficient Up en se rendant dans l onglet «Base de données» puis en sélectionnant l icône «Portes». Partie extérieure : 5 Saisir la surface de baies vitrées à l extérieur en m². 6 Choisir le type de menuiserie du vitrage donnant sur l extérieur 7 Choisir le type de vitrage donnant sur l extérieur Le type de vitrage définit le coefficient de transmission thermique Uw de la paroi vitrée (menuiserie+vitrage) en W/m².K. Il est possible de créer, en fonction du type de menuiserie, son propre vitrage avec son propre Uw en se rendant dans l onglet «Base de données» puis en sélectionnant l icône «Baies vitrées». Occultations : La répartition des surfaces de vitrages par orientation indique les endroits où il peut être judicieux de placer une occultation. Les protections extérieures sont thermiquement plus efficaces que les protections intérieures, car elles évitent l échauffement de la baie vitrée. Les différents types de protections proposées sont : Jalousies, persiennes, volets roulants, volets battants, vénitiens. Masques Proches Oui/Non Les masques proches sont en général réalisés au niveau de la construction. Parmi eux sont recensés les pare soleils, les brise soleils, les balcons, les avancées de toiture et les décrochements de façade. Il est possible de cumuler différents masques. Choix des masques Pour bien saisir un masque il faut connaître la distance entre la fenêtre et le masque mais aussi la longueur du masque. (La dimension des vitrages a été précédemment saisie). Si masque horizontal Indiquer : la distance a entre le haut du châssis vitré et le masque horizontal en m. la distance b qui représente la longueur du masque horizontal en m. Il est possible de rajouter autant de masques horizontaux que nécessaire (un masque par orientation). Les masques horizontaux fixes sont aussi appelés «casquettes». Si masque vertical à gauche Indiquer : la distance a entre le bord gauche du châssis vitré et le masque vertical en m. la distance b qui représente la longueur du masque vertical en m. Si masque vertical à droite Indiquer : la distance a entre le bord droit du châssis vitré et le masque vertical en m. la distance b qui représente la longueur du masque vertical en m. Masques Lointains Oui/Non Les masques lointains concernent en général l environnement proche ou lointain du projet. Parmi eux sont recensés les constructions voisines du projet (immeubles d habitation, de bureaux, ), les contraintes géographiques et végétales (montagne, colline, arbre ). Les arbres à feuilles caduques présentent un double intérêt : En été, ils sont feuillus ce qui peut servir de masque végétal pour des vitrages. En hiver, ils n ont plus de feuille, ce qui favorise les apports solaires à travers les vitrages. Hauteur du masque L aperçu 3D permet de visualiser l impact d un masque lointain sur les vitrages du projet. Indiquer : - la hauteur du masque hpe est la distance entre la baie la plus basse du projet et le point le plus haut du masque lointain en m. Choix des configurations des masques lointains Plusieurs configurations de masques lointains existent : La configuration 1 est applicable dans le cas où un masque lointain est uniquement situé sur la gauche de la baie quelque soit son orientation. Page 29 Page 30

16 La configuration 2 est applicable dans le cas où un masque lointain est situé devant la baie quelque soit son orientation. La configuration 3 est applicable dans le cas où un masque lointain est uniquement situé sur la droite de la baie quelque soit son orientation. Un seul masque lointain peut être saisi. Il faut privilégier le masque qui a le plus d impact sur les apports solaires ; cela peut être, dans la plupart des cas, le masque situé entre l Est et l Ouest en passant par le Sud. Saisie des différentes distances vis à vis du masque lointain : Indiquer : la distance a est la distance entre le centre de la baie et le projeté orthogonal de l avant du masque lointain en m. la distance b est la distance entre le centre de la baie et le projeté orthogonal de l arrière du masque lointain en m. la distance c est la distance entre le centre de la baie et le côté gauche du masque lointain en m. la distance d est la distance entre le centre de la baie et le côté droit du masque lointain en m. VIII) ECRAN ANALYSE ISOLATION / BESOINS Déperditions par l enveloppe du bâtiment : Henv Les déperditions thermiques par l enveloppe du bâtiment correspondent au flux thermique cédé par transmission entre l espace chauffé et l extérieur ou un volume non chauffé, pour une différence de température d un Kelvin entre les deux ambiances. Il est important de noter que les températures intérieures et extérieures sont supposées uniformes. Ces déperditions concernent les parois opaques (plancher, mur et plafond), les baies vitrées ainsi que les différents ponts thermiques du projet liés aux liaisons structurelles. Par conséquent, le Henv est donné par la formule suivante : H env U i Ai bi ) ( k Lk b ) ( k Avec : - U i, coefficient de transmission thermique surfacique de la paroi déperditive i [W/m².K], - A i, surface intérieure de la paroi déperditive i [m²], - ψ k, coefficient de transmission thermique linéique du pont thermique de la liaison k [W/m.K], - L k, linéaire du pont thermique de la liaison k [m], - b, coefficient de réduction des déperditions, respectivement à travers les composants i et k. Précisions : Le coefficient de transmission surfacique U d une paroi est calculé à partir de(s) (la) résistance(s) thermique(s) du (des) matériaux du complexe, grâce à la conductivité thermique λ, exprimée en W/m.K. De plus, ce coefficient tient compte des effets de convection interne et externe sur la paroi. Il est obtenu à partir de la relation suivante : U p R si 1 ei R i i se Avec : - R si, résistance superficielle intérieure [W/m².K], - R se, résistance superficielle extérieure [W/m².K], - e i, épaisseur du matériau i [m], - λ i, conductivité thermique du matériau i [W/m.K]. A titre informatif, le tableau ci dessous renseigne sur les valeurs de résistances superficielles prises en compte selon la typologie de paroi. Typologie paroi* Paroi verticale (Inclinaison 60 ) Flux ascendant Paroi Horizontale (Inclinaison < 60 ) Flux descendant R si R se ** R si + R se m².k/w m².k/w m².k/w 0,13 0,04 0,17 0,10 0,04 0,14 0,17 0,04 0,21 Page 31 Page 32

17 * Paroi donnant sur : l extérieur, un passage ouvert ou un local ouvert. Un local est dit ouvert si le rapport de la surface totale de ses ouvertures permanentes sur l extérieur, à son volume, est égal ou supérieure à 0,005 m²/m 3. Ce qui peut être le cas d une circulation à l air libre pour des raisons de sécurité contre l incendie. ** Si la paroi donne sur un local non chauffé, un comble, un vide sanitaire, R si s applique des 2 côtés. Déperditions par renouvellement d air : Hrev La fonction de base de la ventilation est d assurer des conditions d hygiène et de confort satisfaisantes. La ventilation, représentant la seconde source de déperditions thermiques à la suite des parois opaques, doit être traitée avec rigueur afin de limiter efficacement les pertes de chaleur. Les déperditions par renouvellement d air Hrev, exprimées en W/K, sont calculées à partir de la relation suivante : H 0, 34 rev q v Avec : - q v, débit d air spécifique de ventilation [m 3 /h]. Il s agit du débit d air dû au fonctionnement des dispositifs de ventilation : entrées d air et extractions mécaniques, conduits à tirage naturel. - 0,34, chaleur volumique de l air [Wh/m 3.K]. Aux déperditions dues au système de ventilation, s ajoutent les déperditions par les défauts de perméabilité à l air du bâtiment. Les calculs sont plus complexes car ceux ci prennent en compte la vitesse du vent sur chaque façade du bâtiment. Déperditions totales du bâtiment : Htot Les déperditions totales du bâtiment Htot, exprimées en W/K, correspondent à la somme des déperditions par l enveloppe et des déperditions par renouvellement d air du bâtiment. Déperditions à température extérieure de base (majorée de 20%) : DepTextb Les déperditions thermiques se calculent par rapport aux températures extrêmes dites températures de bases constatées minimum 5 jours dans l année sur une période de 30 ans (cette température est indiquée dans l écran «Site» dans la partie «Détails des données géographiques et thermiques). Ces températures négatives sont généralement atteintes la nuit, donc pendant la période d abaissement de la régulation ce qui réduit le DeltaT. Les résultats trouvés pour chaque pièce sont les émissions thermiques que doit produire le chauffage pour couvrir les déperditions quand la température extérieure atteint la température de base. Pour définir cette température, utilisez la carte ci dessous pour trouver la zone correspondante et se reporter sur le tableau pour déterminer la température de base fonction de l altitude du lieu. Au final, les déperditions à température extérieure de base pour un espace chauffé i, DepTextb, se calcule comme suit : DepTextb Htot int i i T Textb Sp Avec : - Htot i, déperditions de base totales de l espace chauffé i [W], - Tint, température intérieure de consigne du local chauffé [ C], - Sp, surpuissance de relance de l espace chauffé i [W]. Cette surpuissance de relance est nécessaire pour compenser les effets de l intermittence du chauffage dans l espace chauffé i [W]. Celle ci est de 20%, et se calcule comme suit : Sp 20 % DepTextb i Exemple de calcul : Une maison neuve très bien isolée, située à Saint Pierre du Perray en Essonne (91), est composée d un séjour dont les déperditions totales sont de 80 W/K. Après analyse de la carte de France, la température de base est de 7 C (altitude inférieure à 200 m). Connaissant notre température de consigne du local (19 C), il est possible de déterminer les déperditions à température extérieure de base qui sont de : Déperditions par mètre carré habitable : Dephab ,2 W DepTextb séjour Page 33 Page 34

18 Les déperditions par mètre carré habitable, exprimée en W/m²hab, correspondent aux déperditions à température extérieure de base DepTextb ramenée à la surface habitable du logement considéré. Celles ci se calculent à l aide de la relation suivante : DepTextbi Dephabi SHAB i Détails performance isolation La performance de l isolation est visible grâce à un système de notation qui concerne chaque typologie de paroi. Les notes, allant de 0 jusqu à 20, reflète directement le niveau d isolation des parois concernées. Plus la note est proche de 0, plus la performance de l isolation est médiocre, et inversement. Il est important de noter que ces performances ne concernent que l aspect thermique des isolants, et non écologique/environnemental. Les notes sont définies à partir du coefficient U équivalent des parois opaques ou vitrées. La système de notation a été défini comme suit (exemple d isolant) : Plancher bas : 0/20 U 2,00 W/m².K (non isolé) 5/20 U = 0,90 W/m².K (isolé par 2,5cm de polystyrène Th 35) 10/20 U = 0,55 W/m².K (isolé par 5cm de polystyrène Th 35) 15/20 U = 0,30 W/m².K (isolé par 10cm de polystyrène Th 35) 20/20 U 0,20 W/m².K (isolé par 14cm de polystyrène Th 32) Murs : 0/20 U 3,50 W/m².K (non isolé) 5/20 U = 2,00 W/m².K (isolé par 1cm de laine de verre) 10/20 U = 0,60 W/m².K (isolé par 5cm de laine de verre) 15/20 U = 0,30 W/m².K (isolé par 10cm de laine de verre) 20/20 U 0,20 W/m².K (isolé par 15cm de laine de verre) Baies vitrées : 0/20 U 4,50 W/m².K (menuiserie alu simple vitrage) 5/20 U = 2,80 W/m².K (menuiserie PVC DV 4/6/4 air) 10/20 U = 1,90 W/m².K (menuiserie bois DV 4/12/4 air) 15/20 U = 1,45 W/m².K (menuiserie PVC DV 4/16/4 argon) 20/20 U 1,10 W/m².K (menuiserie PVC TP argon) Placez le curseur de la souris sur les différentes barres composant l histogramme afin de connaître le pourcentage des déperditions de chaque paroi. Détails besoins chauffage et apports Mois par mois vous pouvez visualiser : - Besoins de chauffage : Besoin nécessaire pour atteindre la température de consigne de l habitat. Ces besoins prennent en compte les déperditions thermiques du bâtiment avec déduction des apports gratuits récupérés. - Apports Gratuits Récupérés : Les apports gratuits prennent en compte les apports internes (éclairage, personnes ) et les apports solaires. En tenant compte du potentiel de récupération de ces apports (potentiel fonction de l inertie thermique), on en déduit les apports réellement récupérés. - Apports Gratuits Perdus : La différence entre les apports totaux (solaire + interne) et les apports gratuits récupérés correspond aux apports gratuits perdus. A noter que sans apports, le besoin de chauffage serait égal à la partie rouge + la partie orange. Ce graphique met ici en valeur l importance d une conception bioclimatique (récupération d apports solaires pour diminuer les besoins de chauffage) et de l inertie thermique (potentiel de récupération de ces apports). Détails besoins d Eau Chaude Sanitaire En fonction du nombre de personnes, du comportement et des équipements d eau chaude sanitaire (nombre de lavabo, douche ) et du type de bâtiment, les besoins d Eau Chaude Sanitaire sont évalués. Mois par mois vous pouvez visualiser l évolution de ces besoins. En moyenne, un foyer de quatre personnes utilise 120 litres d eau chaude sanitaire par jour ; soit environ 40m 3 par an. Ce ratio peut paraître faible ou important, mais il faut savoir qu aujourd hui la consommation moyenne d eau chaude sanitaire est en progression de 3 à 4% par an et que l usage dépend beaucoup de l équipement sanitaire disponible et du comportement des usagers (économe ou gourmand). Portes : 0/20 U 4,50 W/m².K (Porte métal simple vitrage) 5/20 U = 3,85 W/m².K (Porte bois simple vitrage 10/20 U = 3,00 W/m².K (Porte PVC double vitrage) 15/20 U = 2,40 W/m².K (Porte opaque isolée) 20/20 U 2,00 W/m².K (Porte opaque très isolée) Plancher haut : 0/20 U 2,50 W/m².K (non isolé) 5/20 U = 0,65 W/m².K (isolé par 5cm de laine de verre) 10/20 U = 0,37 W/m².K (isolé par 10cm de laine de verre) 15/20 U = 0,19 W/m².K (isolé par 20cm de laine de verre) 20/20 U 0,15 W/m².K (isolé par 26cm de laine de verre) Répartition des déperditions de chaleur dans le bâtiment Placez le curseur de la souris sur les différentes parties du camembert afin de connaître les déperditions exactes de chaque poste. Page 35 Page 36

19 IX) ECRAN CHAUFFAGE Type d énergie principale chauffage : Renseigner l énergie utilisée majoritairement dans le bâtiment pour le chauffage. 3 cas sont possibles : - une seule énergie est utilisée dans le bâtiment, dans ce cas sélectionner simplement l énergie utilisée. - système base + appoint, (cas des pompes à chaleur, des systèmes solaires). Dans ce cas sélectionnez le système de base, le système d appoint sera demandé ultérieurement. - Logement avec 2 zones différentes alimentées par 2 énergies différentes, (exemple une maison chauffée grâce à un poêle à bois dans le salon et par des émetteurs électriques dans les autres pièces) dans ce cas renseigner ici l énergie couvrant la surface la plus importante : énergie principale. La pompe à chaleur est un système thermodynamique permettant de produire de la chaleur à partir d une source froide (air, eau) grâce à un fluide frigorigène ayant des caractéristiques thermiques particulières. La pompe à chaleur s apparente de près au réfrigérateur. Elle comprend comme lui quatre pièces maitresses : - Le compresseur : permet de faire circuler le fluide frigorigène et de faire passer de basse pression à haute pression ce fluide. - Le condenseur : échangeur entre le fluide frigorigène et la source chaude. Le fluide frigo se condense et cède sa chaleur à un autre fluide (air ou eau). Dans le cycle thermodynamique le fluide passe de l état gazeux à l état liquide. - Le détendeur : permet de détendre le fluide frigorigène (passe d un liquide haute pression à un liquide basse pression). - L évaporateur : échangeur entre le fluide frigorigène et la source froide. Le fluide frigo s évapore et capte la chaleur de la source froide (air ou eau). Dans le cycle thermodynamique le fluide passe de l état liquide à l état gazeux. Important : L énergie d appoint ne doit pas être renseignée en tant qu énergie secondaire. Electricité (effet Joule) La sélection d un système effet Joule correspond aux émetteurs de chaleur électrique directe (convecteurs, panneaux rayonnants ). L effet Joule est la manifestation thermique de la résistance électrique. Il se produit lors du passage d un courant électrique dans tous matériaux conducteurs. L énergie est dissipée sous forme de chaleur. Electricité (chaudière), Fioul, Charbon, Gaz naturel, Propane, Bois pellets, Bois bûches Electricité (PAC) En sélectionnant un système électrique par pompe à chaleur, vous aurez accès aux émetteurs de chaleur à eau chaude (radiateurs, ventilo convecteurs..) ainsi qu aux émetteurs à air soufflé (cas d une PAC air/air). La sélection d une pompe à chaleur induit la sélection d un appoint (électrique ou chaudière). La sélection des énergies fossiles (fioul, charbon, gaz naturel, propane), des énergies biomasses (bois pellets, bois bûches) et de l énergie électrique (chaudière) correspond aux chaudières avec des émetteurs à eau chaude. Pour la biomasse, vous pourrez sélectionner par la suite un poêle à bois ou une cheminée. Page 37 Page 38

20 Chaque combustible à ses propres propriétés thermodynamiques. Parmi celles ci ont peut identifier le pouvoir calorifique inférieur (PCI). Cette notion est très importante car elle permet de connaître la capacité d un combustible à fournir de la chaleur. Par exemple pour 1kg de propane, le pouvoir calorifique est de 12,8 kwh/kg alors que pour un kg de bois pellets, le pouvoir calorifique est de 5,1. Ci dessous les PCI de chaque combustible : - Electricité : 1 kwh/kwh - Fioul : 9,95 kwh/litre - Charbon : 7,6 kwh/kg - Gaz naturel : 10,5 kwh/m 3 - Propane : 12,8 kwh/kg - Bois pellets : 5,1 kwh/kg - Bois bûches : 1750 kwh/stère Il s agit ici de valeurs moyennes observées sur le marché. Bien sûr ces valeurs dépendent de la qualité du combustible utilisé. Réseau de chaleur En sélectionnant un système solaire pour le chauffage, vous aurez accès aux émetteurs de chaleur à eau chaude ainsi qu au plancher solaire direct. Il existe deux solutions de chauffage solaire : - Le plancher solaire direct : L eau des capteurs solaires circule directement dans un plancher chauffant. Ce plancher restitue tout au long de la journée et de la nuit la chaleur accumulée la journée. Il combine en un seul système le stockage de la chaleur et sa restitution. - Système Solaire Combiné (SSC) : Ce système utilise le principe de l hydro accumulation. Un grand volume d eau est chauffé dans un ballon. L eau sert aussi bien à l eau de chauffage qu à l eau chaude sanitaire. Le SSC ne fonctionne qu avec radiateurs basse température ou plancher chauffant basse température. Pourcentage génération principale: Renseigner le pourcentage de surface du bâtiment couvert par l énergie de chauffage principal. 3 cas sont possibles : - une seule énergie est utilisée dans le bâtiment, dans ce cas mettre 100% - système base + appoint, dans ce cas mettre 100%, car la totalité du bâtiment est alimentée par la cascade de générateur base + appoint - bâtiments avec 2 zones différentes alimentées par 2 énergies différentes, (exemple une maison chauffée grâce à un poêle à bois dans le salon et par des émetteurs électriques dans les autres pièces) dans ce cas renseigner le pourcentage de la surface totale chauffée par l énergie principale En sélectionnant un raccordement du logement au réseau de chaleur urbain vous aurez accès aux émetteurs de chaleur à eau chaude (radiateurs, ventilo convecteurs..). Les réseaux de chaleur présents généralement dans les grandes agglomérations (ex : CPCU de Paris) sont de deux types (à eau chaude ou à vapeur). La production en amont peut provenir de différents types d usines. Parmi ceux ci ont peut retrouver : - Des usines d incinération d ordures ménagères (UIOM) - Récupération de chaleur industrielle - Des usines de cogénération Pourcentage surface zone émission: En France, 380 grands réseaux urbains, sans compter les réseaux de sites publics ou privés, chauffent habitants dans leur vie quotidienne, au travail ou dans leurs loisirs, et ceci dans plus de 250 villes. 5 6 Solaire 7 1 : Zone 1 2 : Zone 2 3 : Local 4 : Pourcentage de la zone 1 Page 39 Page 40

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