BULLETIN D INFORMATION SUR LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST
|
|
- Augustin Rondeau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BULLETIN D INFORMATION SUR LA SECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Mai-juin 2015 Une situation alimentaire globalement satisfaisante exceptée dans les zones de conflits armés et dans certaines zones pastorales et agropastorales déficitaires du Sahel MESSAGES CLÉS Retard de trois décades en moyenne dans l installation de la saison pluvieuse dans toutes les zones soudaniennes et soudano-sahéliennes de l Afrique de l Ouest et du Tchad ; Situation pastorale très préoccupante dans les zones pastorales et agropastorales du Sahel en raison de l épuisement précoce des pâturages et de la faible émergence du tapis herbacé ; Fonctionnement des marchés globalement satisfaisant et marqué par une bonne disponibilité des produits avec des prix relativement stables à tendance baissière excepté dans les zones de conflits du Nord Mali et du bassin du Lac Tchad ; Situation alimentaire globalement satisfaisante dans la région sauf dans certaines zones pastorales et agropastorales déficitaires et, où l alimentation du bétail est difficile. SITUATION AGRICOLE Pluviométrie Le mois de mai a été caractérisé par une pluviométrie régulière et suffisante dans les zones bimodales du Golfe de Guinée, en Guinée au Liberia, en Sierra Leone ainsi que dans le centre de la Côte d Ivoire du Ghana, Togo, Benin et Nigeria. Cette situation s est renforcée en juin, particulièrement dans l'ouest de la zone Soudano-Guinéenne (Guinée, Liberia, Sierra Leone), dans le Sud Cote d Ivoire, du Ghana et au sud-ouest du Nigeria. Cependant, la pluviométrie a été faible au cours des deux dernières décades de juin sur le centre et le Nord de la Cote d Ivoire, du Ghana, du Togo, du Benin et du Nigeria. Malgré la remontée des pluies, plus marquée sur le Centre et l Est du Sahel en première décade de Juin, très peu de pluies ont été enregistrées dans les zones soudaniennes du Sahel entre mai et juin, notamment au sud-est du Sénégal, au centre et ouest du Mali, au sud et à l ouest du Burkina Faso et au Sudouest du Niger. Les cumuls saisonniers enregistrés de la première décade de mars à la troisième de juin indiquent des déficits légers (10-30 pour cent) et modérés (30-50 pour cent) dans le centre et le nord des pays côtiers, et des déficits sévères (plus de 50 pour cent dans le nord-est du Ghana, dans le nord du Togo et du Benin, dans le sud-ouest du Niger et dans le nord du Nigeria, CILSS FEWS NET Page 1
2 comparativement à la moyenne court terme ( ) (Figures 1 et 2). Figure 1 : Cumul saisonnier en millimètre du 1er mars au 30 juin 2015 Figure 2 : Anomalie du cumul saisonnier en pourcentage du 1er mars au 30 juin 2015 Source : FEWS NET/USGS Afrique de l ouest, juin 2015 En perspective, la mise à jour des prévisions saisonnières climatiques par les centres régionaux du climat, indique des cumuls pluviométriques de juillet à octobre inferieurs à la moyenne sur les zones côtières du Ghana, du Togo, du Benin, du Nigeria et du Cameroun, tandis que des précipitations moyennes à supérieures à la moyenne sont probables sur le Burkina Faso, le Sénégal, sur la moitié Sud du Mali, dans le Sud de la Mauritanie, à l Ouest du Niger, autour du Lac Tchad et au Sud du Tchad. S agissant des paramètres agro-météorologiques de la saison des pluies 2015, les prévisions du Centre Régional AGRHYMET indiquent pour la majorité de la région, des dates de début de saison des pluies tardives, des dates de fin de saison précoces à normales, des durées de séquences sèches en début de saison moyennes à plus longues ainsi que des durées de séquences sèches de fin de saison plus longues à moyennes. Sur le plan hydrologique, les écoulements sur les principaux bassins fluviaux pourraient être globalement moyens à tendance légèrement excédentaires pour certains bassins sahéliens et déficitaires pour les bassins soudaniens. Situation des cultures En fin juin, l installation de la saison se trouve retardée de trois à quatre décades dans les zones soudaniennes du Sahel. Dans la plupart des pays du Sahel, la préparation des champs demeure la principale activité agricole. Toutefois, quelques semis sont enregistrés localement en juin. Dans les zones du Golfe de Guinée, particulièrement dans les zones bimodales, la régularité des pluies observée depuis la deuxième décade de mars et avril, a permis l installation effective et le développement satisfaisant des cultures jusqu en juin. Par contre, la faible pluviométrie dans les parties nord des pays côtiers a entrainé un retard dans l installation des cultures, plus préoccupant dans le centre nord du Nigeria, le nord du Benin et dans le nord-ouest du Ghana. Cette situation pourrait retarder les récoltes de maïs et de tubercules qui interviennent habituellement à partir du mois de juillet. SITUATION PASTORALE La situation pastorale est préoccupante dans la zone sahélienne du Tchad, au centre et à l est de la Mauritanie, au nord du Sénégal, au nord du Mali, à l est du Niger et au nord du Burkina Faso du fait de l épuisement précoce des pâturages résiduels et de l amenuisement des points d eau de surface. Ceci a entrainé précocement un début de soudure animale d un à deux mois par rapport à la période habituelle Situation acridienne/ ennemis des cultures La situation phytosanitaire demeure globalement calme dans la région. La dernière mise à jour de la situation acridienne par la FAO en mai rapporte qu au cours de ce mois, des conditions chaudes et sèches ont prévalues dans les aires de reproduction estivale du Sahel de l Afrique de l ouest et du Soudan. Cependant, avec le début d installation des pluies en juin- juillet, des ailés matures en faibles effectifs vont probablement apparaitre dans les aires de reproduction estivale du Sahel septentrional. Une reproduction à petite échelle pourrait donc avoir lieu, mais les effectifs d acridiens resteront faibles au départ. Ainsi, les risques d invasion demeureront minimes au cours de la campagne jusqu en septembre. Toutefois, le suivi du déroulement des pluies estivales dans le nord du Sahel ainsi que les prospections habituelles dans les pays de la ligne de front, devront se poursuivre pour maintenir la veille antiacridienne au Sahel. de mai. La transhumance qui a été aussi précoce (en novembre 2014) a connu une perturbation particulièrement dans la zone du Lac Tchad et dans le Nord Mali du fait de la persistance de l insécurité civile. Le recours accru à l aliment bétail, au foin et aux résidus de récoltes dans les zones pastorales entraine leurs prix à des niveaux supérieurs à la moyenne, réduisant ainsi les capacités d entretien du bétail CILSS FEWS NET Page 2
3 local par les ménages. Déjà, on assiste à l installation de la misère physiologique et à quelques mortalités dans le Sahel du Burkina Faso, du Mali, du Sénégal et en Mauritanie du fait des difficultés alimentaires du bétail. Au Niger, la mise disposition des éleveurs dès février des stocks d aliments bétail à prix subventionné a permis de sécuriser le cheptel. La faible régénération des pâturages en juin dans les zones soudano-sahéliennes, consécutive au retard d installation de l hivernage occasionne un ralentissement du mouvement des animaux transhumants vers les zones pastorales. Cela pourrait constituer une source de conflits entre les éleveurs et les agriculteurs dans les zones agricoles ou de transit. Dans les zones pastorales du Sahel, la soudure pastorale se poursuivra jusqu à la régénération des pâturages à partir de fin juillet. L émergence effective des pâturages naturels à partir d aout ainsi que le remplissage des mares et autres points d eau de surface contribueront à l amélioration progressive de l état d embonpoint du bétail. Cependant, tout retard significatif dans l installation de la saison dans le Sahel rallongera la période de soudure animale avec des risques élevés de pertes des animaux déjà fragiles. MARCHÉS ET COMMERCE Au cours de la période mai-juin, l approvisionnement des principaux marchés a été globalement satisfaisant exceptés dans les zones affectées par les conflits (nord du Mali et dans la zone du Lac Tchad) ou les niveaux ont été faibles par rapport à la normale. La demande est restée globalement moyenne avec des niveaux de stocks encore satisfaisants du fait des bonnes productions céréalières de la précédente campagne (10 pour cent supérieure à la moyenne) et du niveau des stocks résiduels supérieur à la moyenne dans les bassins Centre et Est. Cette situation a contribué à maintenir les prix des céréales à des niveaux proches de la moyenne quinquennale (Figures 3 et 4). Ainsi, le prix du maïs connait une légère baisse de 3 pour cent par rapport à la moyenne quinquennale. La baisse la plus importante atteint 25 pour cent au Benin et au Togo tandis qu au Ghana, c est une hausse de plus de 100 pour cent qui est observée due en partie à la dépréciation continue de la monnaie nationale, le Cedis ghanéen. Depuis le début de la campagne de commercialisation en novembre dernier, il a été noté en mai une baisse des flux de mais du Ghana et de la Côte d Ivoire en direction du Burkina Faso, et aussi des premières hausses mensuelles des prix du maïs (10-18 pour cent) dans les bassins de production au Mali et au Burkina Faso. Ces hausses qui atteignent 10 pour cent au Nigeria, découlent de l augmentation de la demande par les industries mais aussi de la hausse du coût du carburant qui a impacté celui du transport ainsi que les prix des commodités. Quant au mil et sorgho, même si les prix demeurent globalement proches de la moyenne quinquennale, des hausses de pour cent sont tout de même observées dans la zone du Lac Tchad, au Nord-Est du Mali, au Nord et à l Est du Burkina Faso, et dans le bassin ouest (Mauritanie, Sénégal) du fait des précédentes récoltes localement inferieures à la moyenne, la hausse de la demande pour le Ramadan en juinjuillet, et l impact des conflits armés dans les zones concernées. Le riz importé de grande consommation est normalement disponible dans la région avec des prix stables par rapport à la moyenne. Le niveau record des stocks mondiaux et les bonnes perspectives du marché internationale justifie le maintien de cette stabilité au moins jusqu la fin de l année de consommation Le commerce de bétail a été caractérisé par le rallongement de certains flux en destination du Nigeria et la suppression des flux vers certaines zones affectées par l épidémie d Ebola. Sur les principaux marchés à bétail, les prix sont globalement stables avec une tendance à la baisse comparativement à l année dernière. Mais, ces prix demeurent tout de mêmes supérieurs à la moyenne des cinq dernières années. Par contre, au Tchad une baisse des prix du bétail par rapport à la moyenne quinquennale est observée à cause du ralentissement des échanges avec le Nigéria. D autre part, les termes de l échange bétail/céréales, cultures de rentre/céréales et produits maraichers/céréales sont restés globalement stables par rapport à la moyenne avec une dégradation saisonnière en cours en Mauritanie, au nord Sénégal, au Mali, au Burkina Faso, au Tchad et dans la zone pastorale du Niger. Avec la soudure qui commence pour la majorité des zones du Sahel, les ménages pauvres seront plus dépendants des marchés pour leur consommation, avec pour conséquence un accroissement de la demande en céréales. A cela, il faut adjoindre la demande additionnelle, surtout en mil pour le carême musulman. Toutefois, en l absence de chocs pertinents (mauvais déroulement de la saison hivernale, recrudescence de l épidémie d Ebola, l expansion des zones de conflits), les prix des céréales de base connaitraient de légères hausses ne dépassant pas 10-15% par rapport à la moyenne quinquennale pendant toute la période de soudure, de juin à septembre, excepté dans les zones de conflits et les zones de faibles production ( ) dans le bassin Ouest. Concernant le bétail, l amélioration probable des conditions alimentaires à partir d août permettra de réduire le rythme des ventes d animaux face à une demande qui restera globalement moyenne, maintenant les prix à des niveaux toujours supérieurs à la moyenne quinquennale. Figures 3 et 4 : Variation des prix moyens mensuels du maïs et du mil en avril 2014 par rapport à la moyenne quinquennale CILSS FEWS NET Page 3
4 Source : CR. AGRHYMET SITUATION NUTRITIONNELLE La situation nutritionnelle demeure sous-pression pour la majorité des pays du Sahel avec la soudure en cours et beaucoup plus marquée dans les zones affectées par le conflit avec la secte Boko Haram et celui du nord Mali. L enquêté SMART réalisée en juin 2015 dans la région du Kanem, révèle une situation critique avec une prévalence de plus de 15% de Malnutrition aigüe globale. La série de dépistage actif réalisé par IMC dans la région du Lac plus précisément à Tchoukoutalia et Ngouboua reflète également une situation nutritionnelle alarmante pour la région du Lac. La situation nutritionnelle dans le Nord du Nigeria demeure précaire à critique dans les zones affectées par le conflit. Le plus récent dépistage actif réalisé par ACF au début du mois de Juin 2015 dans la région de Maiduguri révèle une situation nutritionnelle critique pour les enfants de 6 à 59 mois avec des taux de malnutrition aigüe global de plus de 18%. La tendance des admissions dans les programmes de prise en charge de la malnutrition aigüe au Sahel montre une baisse atypique qui est relative à des problèmes de complétude pour la plupart des pays. Les nouvelles admissions des cas de malnutrie aigüe sévère à partir de la semaine 25 de juin sont en hausse de 9 à 25% comparée à la semaine 24 pour le Niger. Au Nigeria, les admissions sont restées stable par rapport à celles de l année dernière. SITUATION ALIMENTAIRE PERSPECTIVES La situation alimentaire est demeurée globalement satisfaisante au cours de la période mai - juin du fait du niveau moyen des stocks ménages complétés par les récoltes de contre-saison, de l approvisionnement quasi-normale des principaux marchés et la relative stabilité des prix des denrées alimentaires par rapport à la moyenne quinquennale. Cependant, il est observé une détérioration significative de la situation alimentaire des ménages pauvres et très pauvres dans les zones de déficits localisés de production agricole et/ou pastorale dans le Sahel, particulièrement dans le centre ouest du Tchad, le sud, l est et dans la zone pastorale de Tahoua au Niger, dans les régions du Nord du Mali, dans la zone agropastorale en Mauritanie, au nord du Sénégal et dans la région du Sahel au Burkina Faso. Ces ménages y ont connu un épuisement précoce des stocks dès janvier/février. Les stratégies déployées par ces ménages incluent la vente d animaux et produits animaux, l intensification de la main d œuvre agricole de saison sèche, le travail journalier, le petit commerce, les transferts issus de la migration, etc. mais, elles demeurent insuffisantes pour les ménages pauvres afin de satisfaire une alimentation adéquate. La situation alimentaire pourrait se dégrader davantage entre juillet et août du fait de l occupation des ménages par les travaux champêtres qui limitent les opportunités de création de revenus, déjà inférieurs à la moyenne. La dégradation de la sécurité alimentaire continue aussi de persister dans le nord-est du Nigeria avec des répercussions sur le l est du Niger et l ouest du Tchad du fait des conflits associés à Boko Haram qui perturbent les marchés autour du lac Tchad et impactent négativement les moyens d existence des ménages qui ne sont plus à mesure de pratiquer les activités agricoles et autres activités génératrices de revenus. Cette situation pourrait s aggraver entre juillet et septembre avec la hausse de la demande (en période de soudure) et celle des prix face à des ressources limitées, voire épuisées. Dans les zones bimodales du Golfe de Guinée, les ménages pauvres connaissent une installation normale de la soudure en avril, avec une fin probable en juillet quand les premières récoltes de maïs et de légumineuses seront disponibles. Ces récoltes qui permettront d améliorer localement les niveaux des stocks alimentaires procureront aussi des revenus moyens aux producteurs par la vente des produits et l emploi agricole. En Guinée, Libéria et Sierra Leone, les ménages pauvres vivant dans les zones sévèrement touchées par l épidémie d Ebola et ceux vivant dans les zones ayant été indirectement affectées par les fermetures de frontières et les restrictions de déplacement continuent de vivre une insécurité alimentaire malgré la réouverture des frontières et des marchés. La reprise du commerce des produits vivriers locaux progresse lentement mais se heurte au faible pouvoir d achat des ménages car, le ralentissement économique né des restrictions de déplacements, les échanges commerciaux internes ainsi que la baisse des opportunités d emploi ont négativement impacté CILSS FEWS NET Page 4
5 les moyens d existence des ménages pauvres. Les évaluations conjointes de la sécurité alimentaire, conduites par ces Etats et leurs partenaires entre mars et avril indiquent que les scores de RESULTATS ANALYSE CADRE HARMONISE consommation alimentaire sont en Sierra Leone, à 13% pauvre et 32% limite, en Guinée à 1% pauvre et 2% limite, et au Liberia à 5% pauvre et 16% limite. Réunis à Niamey, du 1 er au 4 juin 2015, les représentants des cellules nationales d analyse du Cadre Harmonise (CH) du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Sénégal et du Tchad, assistés des spécialistes régionaux ont procédé à la mise à jour des analyses CH conduites en mars dernier pour leurs pays respectifs. Cette mise à jour confirme que dans les pays du Sahel et de l Afrique de l ouest (excepté le Nigeria), environ 7,5 millions de personnes, dont 4,5 millions au Sahel, seront en crise alimentaire et nutritionnelle entre juin et août Cette population qui est repartie dans tous les pays se concentre principalement au Burkina Faso, Cap Vert, Guinée Bissau, Liberia, Mauritanie, Mali, Niger, Sénégal, Sierra Leone et au Tchad. Cette dégradation probable de la sécurité alimentaire s explique par les tensions sécuritaires dans le bassin du Lac Tchad et nord Mali qui entrainent des déplacements de populations (refugiés, déplacés internes, retournés), la faible production fourragère dans la bande sahélienne, les hausses localisées des prix des denrées alimentaires et la dégradation du pouvoir d achat des ménages pauvres. Les zones les plus concernées sont situées dans les pays du Sahel et ceux affectés par l épidémie d Ebola (Figures 4 et 5). Figure 5 : Analyse projetée de la situation alimentaire et nutritionnelle (juin-aout 2015), réalisée en mars 2015 Figure 6 : Analyse projetée de la situation alimentaire et nutritionnelle (juin-aout 2015), actualisée en juin 2015 PERSPECTIVES POUR LE MOIS DE JUILLET Selon les centres régionaux du climat, on pourrait assister au cours du mois de juillet à une recrudescence des activités pluvio-orageuses favorables à l installation effective des cultures, à la régénération de la végétation naturelle et au remplissage des points d eau de surface. Toute chose qui pourrait entraîner une accalmie de la situation pastorale déjà caractérisée par une fragilisation du bétail avec risques de pertes des animaux. CILSS FEWS NET Page 5
FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 CONTEXTE. Evénements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 CONTEXTE. Evènements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailSécurité des moyens d existence. Changements climatiques, migrations et. Programme des Nations Unies pour l environnement
Sécurité des moyens d existence Changements climatiques, migrations et Programme des Nations Unies pour l environnement Ce rapport a été réalisé grâce à un partenariat technique entre le Programme des
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailConception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET
Le Réseau de Systèmes d Alerte Précoce contre la Famine Conception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET Ouagadougou, Burkina Faso 18-20 Novembre 2013 Plan A. Qu est-ce que FEWS NET? B. Les
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailN 200. 31 août 2012. Chers lecteurs des Bulletins de veille d Inter-réseaux,
N 200. 31 août 2012 Chers lecteurs des Bulletins de veille d Inter-réseaux, Avant la publication de ce 200 ème numéro, nous vous avions proposé de vous exprimer sur ce produit phare d Inter-réseaux : est-ce
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailLes stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites. Le cas des pays du Sahel
Les stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites. Le cas des pays du Sahel Roger Blein, Bureau Issala La crise alimentaire induite par la hausse des prix a relancé le débat sur la régulation des
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailméthodologiquem Quelques précautions
Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts
Plus en détailLes effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA
Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailCENTRE REGIONAL AGRHYMET
CENTRE REGIONAL AGRHYMET Etude de Faisabilité du Programme Régional d'augmentation des Précipitations par Ensemencement des Nuages au Sahel - APENS Avril 2006 Table des matières AVANT PROPOS 4 Introduction
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailLe HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification
Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailESTIMATION DES VOLUMES ET DE LA VALEUR DU COMMERCE REGIONAL DES DENREES DE BASE
ESTIMATION DES VOLUMES ET DE LA VALEUR DU COMMERCE REGIONAL DES DENREES DE BASE Henri P. Josserand, PhD, Consultant Document préparé pour la conférence «Libre circulation des produits alimentaires», Accra
Plus en détailFoire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST
Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE L ATELIER REGIONAL DU PROGRAMME PILOTE LEAD «PASTORALISME ET ENVIRONNEMENT AU SAHEL»
COMPTE-RENDU DE L ATELIER REGIONAL DU PROGRAMME PILOTE LEAD «PASTORALISME ET ENVIRONNEMENT AU SAHEL» ELABORATION D UN SYSTEME D INFORMATION PASTORALISME ET ENVIRONNEMENT AU SAHEL (SIPES) Ouagadougou, Soritel
Plus en détailRepublique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice
Republique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice Republique Islamique de Mauritanie Plan définitif de Mise en Œuvre Février 2015 TABLE DES MATIÈRES Partie 1: Informations d ordre géneral 3 Partie
Plus en détailTransfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)
1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailPriorités de recherche pour le développement de l élevage, de la pêche et de l aquaculture en Afrique de l Ouest
Priorités de recherche pour le développement de l élevage, de la pêche et de l aquaculture en Afrique de l Ouest Citation recommandée : CORAF/WECARD, 2010. Priorités de recherche pour le développement
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détail* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits
Plus en détailLa protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques
Congrès AFTER Dakar 11-12 novembre 2014 La protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques Didier CHABROL UMR Innovation - CIRAD Montpellier - France 1 Modernisation des produits
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES.
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES. Recruté par la Banque de Développement Autrichienne (OeEB) mai 2014 CONTEXTE / JUSTIFICATION La
Plus en détail& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.
Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailRapport du Secrétaire général sur les activités du Bureau des Nations Unies pour l Afrique de l Ouest I. Introduction
Nations Unies S/2014/442 Conseil de sécurité Distr. générale 26 juin 2014 Français Original : anglais Rapport du Secrétaire général sur les activités du Bureau des Nations Unies pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailAtelier régional de formation sur l optimisation des réseaux hydrologiques des pays de l espace CILSS/CEDEAO
Cérémonie d ouverture La cérémonie d ouverture a été marquée par l allocution d ouverture de M. Clément OUEDRAOGO, Coordonnateur du Programme Régional d Appui à la maîtrise de l eau exprimant la satisfaction
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailLe pastoralisme au Sahel : Module d animation et de formation de l IIED-ARED. Note d information générale
Le pastoralisme au Sahel : Module d animation et de formation de l IIED-ARED Note d information générale Contacts Ced Hesse et Su Fei Tan (IIED) : ced.hesse@iied.org; sufei.tan@iied.org Sonja Fagerberg-Diallo
Plus en détailL éditorial. Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des
L éditorial Jean-Pierre ELONG-MBASSI Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des Finances Locales en Afrique» afin de comparer, pour la première fois, les principaux chiffres et
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailOrganisation africaine de la Propriété Intellectuelle ***************
Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle *************** 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I PRESENTATION DE L OAPI... 4 II TERRITOIRE OAPI... 4 III - GENERALITES... 5 IV - DE LA CONSTITUTION
Plus en détail23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)
23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;
Plus en détailPartager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :
Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailPays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile
ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination
Plus en détailProtocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailLes bourses aux céréales : la commercialisation des céréales locales en réponse à l insécurité de l approvisionnement alimentaire
Les bourses aux céréales : la commercialisation des céréales locales en réponse à l insécurité de l approvisionnement alimentaire Mohamed Haïdara, coordinateur Afrique Verte Mali, afriqueverte@afribone.net.ml
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailDu 10 au 13 Février à Accra et du 14
Bulletin mensuel d information du Conseil Ouest et Centre africain pour la recherche et le développement agricoles Numéro 38 (FEVRIER - MARS 2013) CORAF/WECARD-AusAID/CSIRO : la troisième phase du partenariat
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailMANUEL DES PROCEDURES DE GESTION DES PROGRAMMES
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles/ West and Central African Council for Agricultural Research and Development CORAF/WECARD MANUEL DES PROCEDURES DE GESTION
Plus en détailPréparation aux transferts monétaires Evaluation des risques et possibilités
Préparation aux transferts monétaires Evaluation des risques et possibilités Régions de Gao et Sikasso, Mali Mars 2013 par Jessica Saulle Sandra Garcia Sidiki Diarra Cheick Diallo & Mahamane Dedeou Maiga
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailEdy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL
PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailCRISE ALIMENTAIRE, GENRE ET RESILIENCE AU SAHEL
RAPPORTS DE RECHERCHE OXFAM JUIN 2014 CRISE ALIMENTAIRE, GENRE ET RESILIENCE AU SAHEL ENSEIGNEMENTS TIRES DE LA CRISE DE 2012 AU BURKINA FASO, MALI ET NIGER Marthe Diarra Doka CENTRE DE RECHERCHE-ACTION
Plus en détailCONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Dans ce travail, nous avons évalué les possibilités d une intensification de l agriculture dans le Plateau Central à partir des nouvelles technologies (techniques traditionnelles
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailEvaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire
Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailPerspectives sur le Besoin non satisfait en planification familiale en Afrique de l Ouest : le Togo
Perspectives sur le Besoin non satisfait en planification en Afrique de l Ouest : le Togo Conférence sur le Repositionnement de la Planification Familiale en Afrique de l Ouest le 15 au 18 février 25 Accra,
Plus en détailPar Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé
CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailGénération des forces de police Standards et Procédures
Génération des forces de police Standards et Procédures Forum régional de Yaoundé 8-10 novembre 2009 Participation aux OMP: pratiques et paramètres par Mody BERETHE Divison Police des Nations Unies/DOMP
Plus en détailSECHERESSE, DESERTIFICATION ET DEVELOPPEMENT EN AFRIQUE
SECHERESSE, DESERTIFICATION ET DEVELOPPEMENT EN AFRIQUE Marc BIED-CHARRETON Professeur émérite de l Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines Président du Comité scientifique français sur la désertification
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailRÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA
RÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA LA METHODE DITE PAR CAPITALISATION DU LOYER BASÉE SUR LA SURFACE CORRIGÉE C.R.C.A. : Commission
Plus en détailBanque aurait dû travailler seule et prendre des mesures beaucoup plus drastiques pour contrer cette poussée inflationniste.
Propos tenus par M. Rundheersing Bheenick, Gouverneur de la Banque de Maurice, lors de la conférence de presse, au lendemain de la réunion du Comité de Politique Monétaire du 28 mars 2011 Le but de cette
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE LOBOUGOULA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailNOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises
NOVEMBRE 2013 Dossier de presse Société Générale, COMMUNIQUÉ DE PRESSE Casablanca, le 21 novembre 2013 Présent dans 16 pays africains, le groupe Société Générale présente un positionnement unique, qui
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE
DOSSIER DE CANDIDATURE U N I V E R S I T É T O U L O U S E 2 L E M I R A I L en partenariat avec y Diplôme Universitaire Responsable de site e-commerce et e-tourisme appliqués au développement des territoires
Plus en détailSystème d information sur le pastoralisme au Sahel. Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel 1970-2012
Système d information sur le pastoralisme au Sahel Atlas des évolutions des systèmes pastoraux au Sahel 1970-2012 Préface : L élevage pastoral sahélien joue un rôle prépondérant dans l économie des pays
Plus en détailRévision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS
Révision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS Pourquoi faut-il changer la définition des besoins non satisfaits en matière de planification familiale? Le concept de besoins
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailGroupe SOEXIMEX. Secteur d activité. SOEXIMEX Un acteur majeur du commerce international. Histoire Chiffres clés Activités
SOEXIMEX Un acteur majeur du commerce international La SOEXIMEX a été fondée en 1963. Son siège social se situe à Saint-Denis, au nord de Paris. Aujourd hui considérée comme un acteur majeur du commerce
Plus en détailProgramme d achat groupé haut débit
Programme d achat groupé haut débit Hutchison Global Communications est fier d annoncer que 9 nouveaux pays d Afrique de l Ouest ont rejoint son programme d achat groupé haut débit. Ces nouvelles recrues
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détail