Ce document résume les principales données et conclusions de l étude. Les rapports complets sont disponibles sur le site
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- Christelle Métivier
- il y a 8 ans
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1 Impacts sanitaires des installations de climatisation dans les établissements d accueil des personnes âgées et au domicile des particuliers (habitat collectif ou individuel) L Afsset étudie les impacts sanitaires des installations individuelles de climatisation Avec l avènement des technologies de climatisation et leur prix de plus en plus attractif, l heure est à la climatisation d une pièce, d un appartement ou d un immeuble entier. La Direction générale de la santé et le Ministère de l écologie et du développement durable ont saisi l Agence française de sécurité sanitaire de l environnement et du travail (Afsset) le 24 novembre 2003 pour qu elle procède à une évaluation des risques sanitaires liés aux installations de climatisation dans les établissements de santé et d accueil de personnes âgées. A la suite de la publication d un premier rapport le 14 mai 2004, l Afsset a étendu ses travaux sur les impacts sanitaires des installations de climatisation aux domiciles des particuliers (habitat collectif, habitat individuel) sur la base d une étude approfondie des publications scientifiques de niveau international complétée par la consultation de nombreux experts, en partenariat avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB). Ce document résume les principales données et conclusions de l étude. Les rapports complets sont disponibles sur le site Ce texte est l original de l article rédigé par Paul Becquart pb@paulbecquart.fr Il n'a pas la prétention d apporter des solutions mais de poser des pistes de réflexion à considérer en fonction du contexte de l époque. Toute copie ou reproduction partielle ou totale est strictement interdite (art. L.122 Code de la Propriété Intellectuelle). Le téléchargement de ce document ne constitue pas une cession des droits. Les noms des personnes interviewées ont été volontairement effacés. Le contexte de l étude Un épisode caniculaire sans précédent La canicule d août 2003 s est caractérisée par sa durée et son intensité avec des températures diurnes supérieures à 35 C, parfois au-delà de 40 C, et des températures nocturnes élevées. Durant cette période, les statistiques officielles ont dénombré décès supplémentaires dont 70% sont des personnes âgées de plus de 75 ans. Parmi celles-ci, les personnes les plus à risque sont celles qui vivent seules, à revenus moyens, peu socialisées, à mobilité réduite ou prenant régulièrement d importantes quantités de médicaments ; les femmes sont plus touchées que les hommes. Canicule et surmortalité : les causes Un risque accru en agglomération La surmortalité due à la chaleur touche plus particulièrement les grandes agglomérations pour les raisons suivantes : - les étages supérieurs des immeubles anciens sont souvent mal isolés (sous le toit), - les matériaux ou techniques de construction ne sont pas adaptés à des températures extrêmes, - les revêtements de chaussées emmagasinent davantage de chaleur la journée, - la multiplication des constructions verticales diminue l effet rafraîchissant du vent, - la concentration des activités humaines, de la circulation automobile et des activités industrielles contribue fortement au réchauffement des villes par l émission de calories et de gaz à effet de serre, - l absence de végétation permettant de réguler les échanges thermiques crée de véritables îlots de chaleur urbaine. Il existe donc une multitude de microclimats au niveau de certaines rues, notamment en fonction de leur orientation et de la nature des matériaux et techniques de construction.
2 L activité humaine peut-elle constituer un facteur de risque? A la suite d une vague de chaleur à Athènes en 1987, des mesures ont été prises pour réduire considérablement la circulation automobile et l activité industrielle lors d épisodes caniculaires. Cette réduction importante de la pollution atmosphérique est probablement en partie responsable de l effet très favorable sur la mortalité observé à l occasion de la nouvelle vague de chaleur de 1988, période durant laquelle la surmortalité a été divisée par 30 par rapport à celle de La surmortalité touche les personnes les plus fragiles Qui sont les personnes les plus vulnérables? Les plus vulnérables peuvent être des personnes : - très âgées, - de santé fragile, - souffrant de certaines maladies chroniques : obésité, diabète, insuffisance respiratoire et rénale, pathologies cardiovasculaires et cérébrovasculaires, maladie de Parkinson, maladie d Alzheimer ou apparentées, - suivant certains traitements médicamenteux à long terme (tranquillisants, antidépresseurs, psychotropes, anticholinergiques, diurétiques, certains antihypertenseurs), - souffrant de troubles de la mémoire, de troubles mentaux, de troubles du comportement, de difficultés de compréhension et d orientation ou dépendantes pour les actes de la vie quotidienne, - ayant une méconnaissance du danger, - fiévreuses ou souffrant de pathologies aiguës au moment de la vague de chaleur, - consommant de l alcool en quantité excessive ou des stupéfiants, - ayant présenté des difficultés d adaptation à la chaleur lors de précédentes vagues de chaleur, - isolées socialement (personne vivant seule), - vivant dans des habitats difficiles à rafraîchir (dernier étage d un immeuble, logement mansardé, immeuble à toit plat, grande baie vitrée, mauvaise isolation) et sans système de climatisation. Pourquoi les personnes âgées sont-elles les plus touchées? L état de fragilité, de manque d autonomie et de diminution progressive de certaines fonctions biologiques (défenses immunitaires, sensation de soif, etc.) désigne naturellement les personnes âgées et les personnes malades comme étant les plus à risque. L espérance de vie ayant dépassé 80 ans, le nombre de personnes âgées dans notre société ne cesse de croître. Le nombre de personnes concernées est donc très important. En période caniculaire, la température ambiante devient supérieure à la température corporelle. Le seul moyen de réguler la température corporelle est alors la sudation. Or les mécanismes de régulation de la température corporelle et notamment la sudation sont moins actifs chez les personnes en raison du vieillissement de la peau qui conduit à une perte progressive des glandes sudoripares. Enfin, la vieillesse isole souvent les personnes âgées. Beaucoup d entre elles sont seules, peu intégrées dans leur environnement immédiat. Ce qui les rend d autant plus vulnérables aux impacts de la chaleur sur leur santé. Des études ont montré que plus une personne est entourée, plus les impacts sont diminués ou pris en charge très rapidement. On constate que les personnes les plus à risque ne sont pas celles qui ont les revenus les plus faibles car celles-ci sont généralement connues des services sociaux, mais les personnes disposant de revenus suffisants pour leur permettre de vivre de manière autonome et souvent isolée. La climatisation individuelle : mode de fonctionnement et efficacité Les différents types de systèmes de climatisation individuelle Les climatiseurs individuels ou autonomes, fixes ou mobiles, sont conçus pour rafraîchir un seul local. Certains peuvent être réversibles et contribuer aux besoins de chauffage en hiver. Sur le plan technique, il s agit d appareils monoblocs ou bi-blocs (split-system) à condensation par air ou par eau (les calories sont captées par un système air ou eau) et à détente directe (le froid est produit directement dans l unité de climatisation placée à l intérieur du local à climatiser). Ils ventilent, rafraîchissent et surtout déshumidifient.
3 Les climatiseurs individuels les plus courants : Le monobloc air/air mobile : Fréquemment utilisé, il s agit d un climatiseur monobloc mobile à condensation par air. Il nécessite l utilisation d une évacuation d air chaud à l extérieur, généralement à l aide une conduite souple fournie avec l appareil. Cette évacuation doit être mise en place avec soin, en perçant un mur donnant sur l extérieur ou le carreau d une fenêtre que l on maintiendra impérativement fermée pendant la durée de fonctionnement du système de climatisation. Le monobloc air /air fixe ou climatiseur de fenêtre : Également à condensation par air, cet appareil monobloc (souvent bruyant) fixé dans le mur, présente une face à l intérieur du bâtiment et l autre à l extérieur. Il peut être réversible (froid/chaud). Son installation nécessite le perçage d une paroi extérieure (baie ou mur). Le split system air/air (ou système à éléments séparés) : Les unités de condensation et d évaporation sont séparées et reliées par des liaisons frigorifiques et électriques dont la longueur peut être adaptée. Il existe des splits mobiles dont l unité intérieure (évaporation) est réunie à l unité extérieure (condensation) par des conduits souples, ce qui permet au besoin de déplacer l unité intérieure ou de la ranger en dehors des périodes d emploi. Ce système assez encombrant nécessite de la place à l extérieur comme à l intérieur et suppose très souvent la mise en place de faux plafonds. Les unités extérieures sont parfois bruyantes. Impact et coût de la climatisation La climatisation a-t-elle un impact sur l environnement? Les fluides frigorigènes utilisés pour le fonctionnement des climatiseurs ont un pouvoir d effet de serre entre et fois celui du CO2 (gaz de référence). Or le taux moyen annuel de fuite de ces fluides varie entre de 2 % à 15 %. Ils contribueraient, vu leur succès commercial, à l aggravation de l effet de serre planétaire. Quel est le coût annuel d un climatiseur? On peut estimer le coût de fonctionnement d un climatiseur à 1 par jour, dans la situation suivante : 10 heures d utilisation quotidienne, utilisation pendant 21 jours consécutifs, puissance de Watts, tarif moyen en électricité de euro TTC/kWh. Le prix de vente d un climatiseur peut atteindre Une réglementation récente interdit de faire fonctionner un climatiseur lorsque la température intérieure des locaux est inférieure à 26 C. En effet, chaque degré d abaissement de cette consigne de 26 C entraîne entre 20 et 25% de consommation d énergie supplémentaire. Quelles sont les contraintes en termes de maintenance? Le filtre à air doit être nettoyé tous les quinze jours en période d utilisation régulière avec une solution détergente neutre puis correctement séché avant d être replacé. Le bac à condensats (eau de condensation) doit être lavé fréquemment. L effet du conditionnement d air sur la mortalité Les études scientifiques sur ce sujet sont rares dans le monde, voire inexistantes en Europe. Toutefois, des statistiques récentes américaines montrent qu à l échelle des Etats-Unis, la relation entre vagues de chaleur et mortalité reste constante, malgré une augmentation de l équipement en climatisation. Les climatiseurs n auraient donc pas ou peu d effet sur la surmortalité. Une exception : une étude de 1992 concernant plus de personnes habitant aux Etats-Unis montre
4 un effet bénéfique global de la climatisation sur la mortalité (baisse de 42% par rapport aux habitations non climatisées). Toutefois, elle ne tient pas compte des spécificités du lieu de résidence et de la possibilité qu ont les personnes concernées de pouvoir se rafraîchir à l extérieur de leur domicile (cinéma, supermarchés) ou en dehors de l agglomération (campagne, montagne, bord de mer), ce qui rend ses conclusions discutables. Le seul résultat fiable est le suivant : plus l appartement est petit, plus l effet d un climatiseur est favorable. Impact du rafraîchissement naturel sur la surmortalité De nombreuses revues scientifiques font état d une réduction du risque de surmortalité lié à la chaleur, chez les personnes âgées ou sensibles, en passant 2 à 3 heures par jour dans une pièce fraîche. Toutefois, même si cela paraît a priori évident pour des raisons de confort, cette affirmation ne repose sur aucune étude épidémiologique. Les impacts des climatiseurs individuels sur la santé Le choc thermique En cas d écart trop important (> 7 C) entre la température extérieure (ou la partie non climatisée du bâtiment) et le local naturellement rafraîchi ou climatisé, il peut apparaître chez les personnes entrant dans celui-ci une sensation de froid avec frissons. Cette sensation de froid s amplifie si la vitesse de diffusion de l air frais est trop élevée ou en fonction de la proximité des personnes avec une bouche de diffusion d air. Cette sensation de courant d air frais peut être à l origine de douleurs cervicales et de torticolis. Pour éviter ces chocs thermiques, il est donc conseillé de se couvrir avant d entrer dans une pièce rafraîchie et de se dévêtir au fur et à mesure. Le risque infectieux Chez les personnes aux défenses immunitaires amoindries dont les personnes âgées, le risque sanitaire est d ordre infectieux avec le développement de virus ou de bactéries initialement présents dans les voies respiratoires du sujet qui prolifèrent plus efficacement à des températures plus basses. Les difficultés respiratoires L humidité de l air a des répercussions directes sur certaines fonctions physiologiques de l être humain. La fonction respiratoire en particulier peut être gênée par une humidité relative inférieure à 30 % (sensation de sécheresse de la bouche et des lèvres). Or les systèmes de refroidissement d air ont tendance à diminuer le degré d hygrométrie de la pièce où ils se trouvent. La qualité de l air intérieur Les filtres prévus sur ces appareils s encrassent rapidement et peuvent libérer des particules minérales ou organiques dans l air ambiant et être ainsi à l origine de phénomènes d irritations des yeux ou des voies respiratoires. Ces irritations, sans réaction allergique vraie, seront d autant plus fortes que les sujets seront fragilisés et que l air sera trop sec. D autre part, ces climatiseurs n assurent pas l apport d air neuf, ni le renouvellement d air, il est donc impératif de prévoir l ouverture des fenêtres ou des portes extérieures pendant la période fraîche (la nuit). La multiplication des micro-organismes Les climatiseurs individuels ne sont pas un lieu propice à la multiplication de légionelles qui ne se développent que dans des milieux chauds et humides. Le risque de légionellose ne concerne donc pas en principe les climatiseurs individuels. En revanche, lorsque les installations de climatisation sont insuffisamment entretenues, elles peuvent souffler dans l atmosphère des agents infectieux qui se développent sur les filtres ou dans l eau de condensation.
5 Le bruit des installations La nuisance sonore, cause de stress ou de mal-vivre, est souvent très fortement ressentie par les habitants et le voisinage. La réglementation fixe des valeurs de niveau de bruit produit par ces installations à ne pas dépasser de jour comme de nuit. Les bons gestes avec ou sans climatisation Eviter les chocs thermiques Aucune étude scientifique ne permet actuellement de définir une température en dessous de laquelle ne pas descendre, lorsqu on climatise une pièce. Toutefois, il semble raisonnable de ne pas dépasser le seuil de 25 ou 26 C. Par ailleurs, il est conseillé à l entourage des personnes fragiles de veiller à les faire entrer avec des vêtements supplémentaires dans une pièce rafraîchie en période de très forte chaleur. Ceux-ci pourront être retirés progressivement, à mesure qu elles se sentiront à l aise. Mieux gérer les apports thermiques Avant d acquérir un climatiseur, il est préférable de doter les bâtiments de protections solaires de qualité (rideaux, stores, volets, filtres), de limiter les apports internes des équipements électriques (éclairage notamment halogène, TV, ordinateurs) et si possible d améliorer l isolation thermique du local notamment en isolant le bâtiment par l extérieur de son enveloppe. En effet, isoler les murs par l extérieur rend à ce dernier son rôle de régulateur thermique par inertie : l été les murs protégés ne sont pas chauffés et rafraîchissent le local, l hiver ces murs sont chauffés de l intérieur et conservent cette chaleur au bénéfice de ses habitants. Cette méthode d isolation peu répandue en France est la règle dans certains pays plus froids. Elle permet d améliorer sensiblement le confort thermique. A noter qu une isolation intérieure murale n empêche généralement pas la perte importante de chaleur vers l extérieur au niveau des planchers ni l entrée de chaleur lorsque le mur est au soleil (ponts thermiques). Se protéger de la chaleur Il est indispensable de fermer les volets, stores, rideaux tant que la température extérieure est plus élevée que la température intérieure. Dès que la température extérieure devient inférieure celle de l intérieur (la nuit), il faut favoriser les courants d air afin de rafraîchir les pièces notamment les chambres à coucher. Privilégier les pièces fraîches naturellement Dans certains immeubles, la cave, le garage ou certaines pièces non exposées ou parfaitement isolées sont fraîches naturellement. Leur aménagement pour protéger les personnes à risque est donc une priorité. On peut rappeler qu autrefois, on rafraîchissait les maisons en Provence à l aide du «puits provençal» (en faisant circuler de l air sous terre où la température reste fraîche, on le rafraîchit pour l utiliser ensuite pour ventiler la maison). Lorsqu on ne dispose pas de pièces naturellement fraîches, il est bon d organiser, dans la mesure du possible, au moins une sortie par jour dans un lieu rafraîchi ou climatisé (lieu de culte, cinéma, centre commercial). Recourir au ventilateur Si la transpiration permet de réguler la température corporelle, les échanges par convection (perte de chaleur au contact de l air) sont proportionnels à la vitesse de l air ambiant et à la différence de température entre le corps et l ambiance. Ils contribuent au quart du total des échanges de température corps/air ambiant mais la convection n est bien sûr efficace que si la température de la pièce est inférieure à la température corporelle (37 C). De ce fait, l usage d un ventilateur, sans oublier de se mouiller régulièrement le visage et les bras pour ajouter un effet de refroidissement lié à l évaporation, est parfaitement légitime, économique et écologique. En situation d urgence, on peut envelopper une personne dans un drap mouillé et la ventiler avec un ventilateur.
6 Conclusions du rapport de l Afsset Le plan climat du 22 juillet 2004 publié par le ministère de l écologie et du développement durable rapporte que l engouement pour les systèmes de climatisation peut être lié au souci de nos concitoyens d assurer leur confort en période d été et à leur volonté de se prémunir contre un éventuel épisode caniculaire. Cependant, la climatisation n est pas la première solution à envisager pour garder un logement frais l'été, de nombreux gestes et apports à l installation existante décrits dans l étude de l Afsset peuvent largement y contribuer. Enfin, sa généralisation irait dans le sens d'une augmentation importante des consommations d'énergie en période d été alors que les moyens de production d électricité sont limités par la diminution des débits des cours d eau. Sans compter sur les fuites de fluides frigorigènes qui constituent de puissants gaz à effet de serre. Il convient donc de concilier le respect de l'environnement et la qualité de vie, donc une certaine fraîcheur dans le logement avec la sobriété énergétique. Des solutions architecturales ou des techniques de construction adaptées, des comportements «de bon sens», une bonne aération et un brassage de l'air efficace permettent de rafraîchir les logements de manière satisfaisante dans de nombreux cas sans recours à la climatisation. Celle-ci n'est donc pas une fatalité, même dans les régions les plus au sud de la France. Paul Becquart Afsset 2007
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