Vers quelle gestion de l exploitation laitière dans un contexte de variabilité des prix?

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1 Vers quelle gestion de l exploitation laitière dans un contexte de variabilité des prix? Jean-Marie Séronie Responsable Veille Economique du réseau CER FRANCE Directeur Général CER France Manche Retrouvez nous sur le blog jmseronie@50.cerfrance.fr Réseau CER FRANCE Retrouvez nous sur le blog clients salariés 70% de la VA agricole

2 Quotas administrés liés au foncier Prix interprofessionnel du lait «lissé» expl laitière 38 VL l 700 sites emplois 70% PGC 30 % PI 45% soumis prix mondiaux Dix enseignements des trois dernières res campagnes Trois enjeux de gestion de l exploitation l laitière Quatre indicateurs de gestion

3 UE rattrapée e par le prix du marché mondial 2011 : vers les 330 /1000 l en moyenne?

4 1 Une crise des coûts, mais perçue comme une crise de prix Prix du lait et coût de revient net de primes PAC en euros par litres Coût de revient aides PAC déduites Prix du lait, moyenne mobile 1 an 240 Sources : bureau d'études Chambre d'agriculture - CER FRANCE Finistère Juin Les charges et l inertie l augmentent 2007 (4èm trim.) 2008 (4èm trim.) 2009 (4èm trim.) 2010 (4èm trim.) Produit total Dont Produit lait Charges opérationnelles Marge brute Charges de structure Hors FF et Amort EBE Amortissement et FF Résultat courant Résultat courant /UTHF Normandie

5 3 Les coûts alimentaires dérapentd +25% Charges opérationnelles de l atelier lait + de 44 /1000 l Aliments : + 35% Coût SFP : + 23% Normandie Juin Les écarts se creusent Evolution des charges opérationnelles de l Atelier Lait Plus d une exploitations sur deux àmoins de 190 /1000 l en 2008 Plus d une exploitations sur deux à plus de 210 /1000 l en % + La volatilité des intrants augmente davantage les écarts que la volatilité du prix à cause de l'efficacité économique. + de 40 /1000 l Juin % - Normandie la compétence du chef d'exploitation encore plus importante qu'avant

6 Normandie La légère l baisse des charges opérationnelles profite en priorité aux structures les moins économes (à( + de 160 /1000 l : de 23% des exploitations en 2009 à 17% en 2010 ). Pour les autres, l effet l semble moindre! 5 Les situations financières se sont fortement dégradd gradées Juin 2010

7 6 Les «meilleurs» creusent l él écart Quartile supérieur Normandie 7 Les moins performants «décrochent» Quartile inferieur Normandie

8 8 Le litrage par UTH est déterminant d pour le revenu disponible Taille < L L L > L Exploitation CERFRANCE Manche Lait vendu Lait vendu/uth Produit brut Charges opérationnelles EBE EBE/1000 L Revenu disponible Revenu disponible/uth Baisse de L EBE % -32% % % % - 32 en K -25% La capacitéàréagir agir est corrélée à la taille % % % Lait vendu + 3 % Analyse Manche > Lait vendu

9 10 La variation de production modifie profondément le coût t de revient % lait vendu/quota 95% 96% 97% 98% 99% 100% 101% 102% 103% 104% 105% Litrage livré Coût alimentaire Autres charges opérationnelles Charges opérationnelles Charges de structure hors amort et ff Amortissements Charges financières Charges de structure Coût de production Incidence résultat viande Rémunération MO familiale Rémunération des capitaux Coût de revient global Effet dilution / 100% Effet dilution/extrêmes -42 Finistère L importance de raisonner coût t marginal et effet de seuil Juin 2010 Individualisation des conséquences économiques et poids accru des comp conomiques Retrouvez nous sur et le blog poids accru des compétences

10 Dix enseignements issus des deux dernières res campagnes Trois enjeux de gestion de l exploitation l laitière Quatre indicateurs de gestion Triple variabilité Du prix du lait Du coûts des intrants Des volumes àproduire

11 De la stabilitéà la variabilité De la certitude à l imprévisibilité du fait du changement de politique publique et de la conjoncture macroéconomique. conomique. Système de production permettant de baisser les coûts de production herbe (coût t + composition lait) Saturer les facteurs de production notamment travail VA/UTH 1 Etre et rester compétitif Travailler l adaptation l de l entreprise l et ses marges de manœuvre «Le rayon de braquage»«l exploitation exploitation agricole flexible) Rotation des capitaux et rapidité d amortissement des investissements

12 2 Pouvoir résisterr Raisonner une trésorerie pour pouvoir résister en période p de bas cours Gérer des réserves r Ne pas tout immobiliser Raisonner son financement Raisonner le risque La résilience r de son système Les marges de manœuvres financières globales Accepter un certain niveau de prélèvements les bonnes années Tout pousse àimmobiliser 3 Savoir bénéficier b Des hausses Savoir faire varier sa production laitière Vaches disponibles Raisonner potentiel génétique/niveau g de production Bilan et réserves r fourragères res Et produire de manière rentable coût t marginal effet de seuil «jongler» prix de revient prix d équilibre coût t marginal «raisonnement classique d économie industrielle»

13 Le temps et les repères res La mesure de la performance Le raisonnement technique : système + instantané L information et la décisiond Dix enseignements issus des deux dernières res campagnes Trois enjeux de gestion de l exploitation l laitière Quatre indicateurs de gestion

14 Quatre repères res importants Le court terme la trésorerie -le prix d éd équilibre - le coût t marginal Le moyen terme la compétitivit titivité -le prix de revient Le Long terme : l entreprisel -la marge de manœuvre VA nette d aided Quel raisonnement de gestion? Charges de personnel et Prélèvements privés Annuités s et FF CT Marge d orientation aides Marge de manoeuvre Augmentation des réserves Investissements de flexibilité Investissements d orientationd

15 Le développement a toujours fonctionnépar un report sur les années futures des investissements et la projection du présent sur le futur. Le financement facile a conduit insidieusement àfaire coïncider le coût de production avec le besoin en trésorerie Ne plus projeter des prix moyens de vente passés mais raisonner prix pivot et variation de 15% autour du prix pivot. Raisonner sa rentabilitéet la gestion de sa trésorerie dans ce «tunnel». Regarder les variations autour du pivot et le déplacement des équilibres de l entreprise. Quatre repères res importants Le court terme la trésorerie -le prix d éd équilibre - le coût t marginal Le moyen terme la compétitivit titivité -le prix de revient Le Long terme : l entreprisel -la marge de manœuvre

16 Le prix de revient Un indicateur de compétitivit titivitéà associer à une analyse dynamique compta calcul Charges opérationnelles Engrais, semences, aliments, FEV Les charges de structure annuelles Eau, électricité, assurance, entretien Les charges de structure pluriannuelles Amort. Fermage FF La main d'œuvre et intérêts capitaux propres Travail, rémunr munération capitaux Sous produit viande Prix de revient Aide PAC Le prix de revient Des coûts équivalents par des choix différents (CER France race PH -2008)

17 Quatre repères res importants Le court terme la trésorerie -le prix d éd équilibre - le coût t marginal Le moyen terme la compétitivit titivité -le prix de revient Le Long terme : l entreprisel -la marge de manœuvre Le prix d éd équilibre est le prix de vente minimum du produit pour couvrir: les charges de production( opérationnelles et structures), les annuités la rémunr munération des exploitants On le calcul de la façon suivante:(/1000 l) Charges opérationnelles Charges de structures Engagements financiers Prélèvements privés Apports des autres marges DPU Prix d éd équilibre

18 Un repère pratique lisible pour se situer par rapport au marché, Limité car non dynamique un développement d ne s'apprécie par sur la seule trésorerie la performance entre production est confondue et masquée reste un constat des flux financiers Permet d'apprécier la capacité de résistance r du système d'exploitation à la crise Affectation charges

19 Avec les variations de prix et de volumes, au delà du prix d équilibre, il est important de définir d son coût t marginal : Intérêt de produire plus ou moins Valorisation d un d agrandissement Le coût t marginal revient à calculer le coût t des litres de lait supplémentaires Calcul «sur mesure» en fonction des caractéristiques ristiques de l entreprisel En fonction des rapports de prix Quel raisonnement de gestion? Sur le court terme Capacité de résistancer Capacité à«surfer» sur les hausses -coût t marginal Disponibilités s financières Marges de progrès Prix d'équilibre Gérer sa trésorerie Sur le moyen terme Compétitivité Prix de revient Effets de seuils Inertie rayon de braquage Vérifier la rentabilité pluri-annuelle

20 Quel raisonnement de gestion? COMPETITIVITE : saisir toutes les opportunités s pour diminuer sa dépendance en terme de point d éd équilibre FLEXIBILITE : diminuer la durée e d engagement d (financière dans une immobilisation par exemple) C est une question de vision de son métierm Mesurer en permanence sa compétitivit titivité et son adaptabilité Rechercher la bonne information au bon moment C est une autre dynamique de gestion Quels leviers d action? d Optimiser Produire plus Diversifier Se regrouper Dissocier et se spécialiser Une préoccupation constante Une nécessité pour les moins performants Mais dans la limite de la saturation de l existant Effet de seuil Transformation et circuits courts Pour accroître la valeur ajoutée Pour une efficacitédu travail et des moyens de production Valoriser des atouts Pour plus de performance

21 Retrouvez nous sur le blog

22 4 Les écarts se creusent près s de 100 /1000l d éd écart entre les quartiles inf et sup. En 2008, 50% des exploitations avec un prix d équilibre < 250 /1000 l En 2009, 50% avec un prix d équilibre > 300 /1000 l et 25% > 350 /1000 l Dispersion du prix d éd équilibre 2008 et 2009 (après s DPU) Normandie

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