Evidence-based. practice Les critères. res. Application aux dyslipidémies. Pierre Chevalier CAMG - UCL
|
|
- Josselin Joly
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Evidence-based practice Les critères res Application aux dyslipidémies Pierre Chevalier CAMG - UCL
2 en mai dans le jardin de l EBM
3 EBM Evidence based medicine Evidence preuve Médecine factuelle Médecine basée e sur les preuves Médecine basée e sur les niveaux de preuve
4 Histoires inachevées es La substitution hormonale
5 La substitution hormonale Epidémiologie physiologie femmes ont un risque cardiovasculaire accru postménopause intérêt t au point de vue cardiovasculaire de substituer Etudes avec des estrogènes en prévention cardiovasculaire chez des hommes! 1976 cohorte d infirmid infirmières res (Nurses Health Study) Publication 1985 : résultats r CV favorables Publication 2000 : résultats favorables E seul pour coronaropathies résultats défavorables d pour AVC E seul effet nul pour E+P
6 Substitution hormonale 1985 étude de cohorte NHS favorable données Framingham non favorables «Could the [Framingham Study] ] data be seriously biased by one or several physicians who were unusually alert to possible estrogen effects?» : SUBSTITUER!!!
7 Substitution hormonale 2004 : NE PAS SUBSTITUER! Pourquoi ce changement? - études «mauvaises»? - données manquantes? - médicaments différents? EBM à la rescousse médecine fondée e sur des niveaux de preuve
8 Abord différent des études Etude d observation d (Nurses Health Study) population sélectionns lectionnée e qui prend une substitution hormonale! moindre risque cardiovasculaire au départ d! WHI : RCT randomised controlled trial étude prospective nombreuses années population représentative critères res d efficacitd efficacité,, de sécurits curité en double insu
9 Résultats différents des études d observation résultat favorable en prévention CV WHI RCT résultat non favorable pour les conditions de l étude Que choisir?
10 Autre exemple : les β-bloquants
11 REVUE PRESCRIRE 1984;4(39):15
12
13
14
15 EBM identifier, évaluer, synthétiser tiser une étude l ensemble des études sur un sujet synthèse se méthodiquem (systematic review) méta-analyseanalyse guideline
16 RCT R = randomisée, «at random»,, au hasard C = contrôlée, versus placebo, versus médicament m de référencer rence T = trial un ou une...
17 Synthèse méthodiquem Recherche systématique bases de données mots-cl clés, PICO pas de restriction Evaluation qualité méthodologique Synthèse Méta-analyse: analyse: sommation, pondération
18 Guidelines Critères res pour l él élaboration Rigueur de développementd Niveau de preuve Niveau de recommandation
19 LES NIVEAUX DE LITTERATURE NIVEAU CONTENU FONCTION PRIMAIRE SECONDAIRE TERTIAIRE QUATERNAIRE Etudes d observationd Etudes expérimentales (RCT) Banque de données Medline, Embase Personnelle Synthèse (méthodique) Méta-analyseanalyse Analyse critique Consensus Guidelines Efficacité d un traitement, d un test diagnostique Epidémiologie Recenser Index (mots-cl clés) Synthèse Mettre en perspective Recommandations pour la pratique
20 NIVEAU LES NIVEAUX DE LITTERATURE CONTENU FONCTION PRIMAIRE Etudes d observationd Etudes expérimentales (RCT) Efficacité d un traitement, d un test diagnostique Epidémiologie PUBLICATIONS SECONDAIRE Banque de données Medline, Embase Personnelle Recenser Index (mots-cl clés) REVUES INDEXEES TERTIAIRE Synthèse (méthodique) Méta-analyseanalyse Analyse critique Synthèse Mettre en perspective MINERVA - FOLIA EBM COCHRANE CLINICAL EVIDENCE QUATERNAIRE Consensus Guidelines Recommandations pour la pratique LABEL QUALITE RBP
21 NIVEAU LES NIVEAUX DE LITTERATURE CONTENU FONCTION OUTILS EBM PRIMAIRE Etudes d observationd Etudes expérimentales (RCT) Efficacité d un traitement, d un test diagnostique Epidémiologie Valeur p Intervalle de confiance RRR RAR NST SECONDAIRE Banque de données Medline, Embase Personnelle Recenser Index (mots-cl clés) MesH Registre TERTIAIRE Synthèse (méthodique) Méta-analyseanalyse Analyse critique Synthèse Mettre en perspective Méta-analyse QUATERNAIRE Consensus Guidelines Recommandations pour la pratique NIVEAUX DE PREUVE
22 EBM NIVEAUX DE PREUVE
23 SIGN Levels of evidence 1++ High quality meta analyses, systematic reviews of RCTs, or RCTs with a very low risk of bias 1+ Well conducted meta analyses, systematic reviews of RCTs, or RCTs with a low risk of bias 1 - Meta analyses, systematic reviews of RCTs, or RCTs with a high risk of bias High quality systematic reviews of case-control or cohort studies High quality case-control or cohort studies with a very low risk of confounding, bias, or chance and a high probability that the relationship is causal Well conducted case control or cohort studies with a low risk of confounding, bias, or chance and a moderate probability that the relationship is causal 2 - Case control or cohort studies with a high risk of confounding, bias, or chance and a significant risk that the relationship is not causal 3 Non-analytic studies, e.g. case reports, case series 4 Expert opinion
24 L ebm définition
25 Définition EBM Approche qui s efforce s de fonder les décisions cliniques sur les données actuelles les plus probantes (preuves) Preuves = études cliniques systématiques et, en particulier, les études contrôlées randomisées et les métam ta-analysesanalyses de celles-ci ci Ces "preuves" ne remplacent pas le jugement ou l'expérience du médecinm
26 EBM démarche d clinique Finalité : améliorer les soins donnés s aux patients Tenir compte du niveau de ressemblance entre son patient et ceux de l él étude Evaluer les risques et les bénéfices b potentiels du traitement dans chaque cas particulier L EBM complète la pratique médicale m traditionnelle mais ne la remplace pas
27 HAYNES 1996 LA CLINIQUE LE CONTEXTE EXPERTISE CLINIQUE PATIENT : PREFERENCES ACTIONS PREUVES DE LA LITTERATURE LES DECISIONS CLINIQUES BASEES SUR L EVIDENCE-BASED MEDICINE
28 démarche clinique EBM Transformer le besoin d information d en une question clinique à laquelle on peut répondre r PICO Localiser les meilleures données disponibles pour répondre à cette question Evaluer ces données de manière critique pour leur validité, leur impact et leur applicabilité Combiner cette évaluation critique avec la compétence clinique du praticien et les caractéristiques ristiques individuelles du patient, ses valeurs et sa situation Evaluer le processus
29 Les preuves Où les trouver?
30
31 Clinical Evidence
32
33 Sites guidelines validés ANAES AFSSAPS HAS France sante.fr NeHL (National electronic Library for Health) UK NGC (National Guideline Clearinghouse) ) USA (= Agency for Healthcare Research and Quality,, American Medical Association, American Association of Health Plans) CMA (Canadian Medical Association) NZGG (New Zealand Guidelines Group) NICE (National Institute for Health and Clinical Excellence) AHRQ (Agency( for Healthcare Research and Quality) ) USA -> > NGC AZQ / AWMF (Germany) G.I.N. (Guidelines International Network)
34 WHERE to find evidence? Depends on type of question immediate availability of databases availability of time need to limit the search to the highest quality studies Choosing your information resource
35
36 Application aux dyslipidémies
37 Intérêt t des statines En prévention primaire : réduction du risque cardiovasculaire et cérébrovasculaire meilleures preuves si risque CV Framingham 20% à 10 ans pas de réduction r prouvée e de la mortalité En prévention secondaire (post événement cardiovasculaire athérothrombotique rothrombotique) ) : réduction de la morbidité et de la mortalité Thavendiranathan Arch Intern Med 2006;166:
38 Intérêt t des statines En prévention primaire en fonction du risque cardiovasculaire et (?) du niveau de cholestérol rolémie ne pas commencer après s ans? En prévention secondaire (post événement cardiovasculaire athérothrombotique rothrombotique) ) : toujours, même m me si cholestérol «normal» ou si LDL-c 100mg/dl à tout âge RBP Belgium 2007 Prévention cardiovasculaire
39 Efficacité et risque Plus le risque CV initial est élevé,, au plus l ampleur de l efficacitl efficacité est grande NST réduction r morbidité en prévention primaire SCORE 5% à 10 ans 66 SCORE 10% à 10 ans 33 SCORE 20% à 10 ans 17 SCORE 30% à 10 ans 11 pour une durée e de traitement de 10 ans NST mortalité en prévention secondaire 26 sur 5 ans NHG Standaard Cardiovasculair risicomanagement 2007
40 Entre statines les mieux évaluées prévention de morbidité et de mortalité: simvastatine surtout pravastatine dans une moindre mesure, l atorvastatinel fluvastatine, rosuvastatine pas de preuves d efficacité sur morbidité-mortalit mortalité NHS 2006
41 Entre statines plus grande activité hypolipidémiante d une statine = critère re intermédiaire reste à prouver : morbi-mortalit mortalité différence pour pertinence clinique comparaison des différentes études réalisées : pas de hiérarchie d efficacitd efficacité clinique entre pravastatine, simvastatine et atorvastatine Zhou AM HEART J 2006;151:273-81
42 Doses de statine Comparaison faible et forte dose d une d même m me statine Comparaison haute dose d une d statine à des doses plus faibles d une autre pas d arguments d suffisants pour recommander de hautes doses (Lemiengre 2006 MINERVA) méta-analyse analyse de 4 études : avantage pour de fortes doses de statines (Cannon synthèse se beaucoup plus large de la littérature : absence de preuve clinique de l intl intérêt t (bénéfice ou sécurité) ) de titrer le traitement hypolipidémiant pour atteindre les valeurs basses de LDL-cholest cholestérol proposées (Hayward 2006) Cannon 2006)
43 Lemiengre - Minerva 2006 Etude Durée Intervention Critère primaire HR IC à 95% Valeur p A Z ans Simvastatine 20 vs 80 mg post syndrome coronarien aigu Décès lié à une ischémie coronarienne, IM, hospitalisation pour syndrome coronarien aigu, AVC fatal et non fatal 0,89 0,76 à 1,04 0,14 PROVE- IT ans Pravastatine 40 mg vs atorvastatine 80 mg post syndrome coronarien aigu Décès, IM, angor instable avec hospitalisation, intervention de revascularisation, AVC 0,86 0,74 à 0,95 0,005 TNT ans Atorvastatine 10 vs 80 mg en cas d ischémie coronarienne stable Décès lié à une ischémie coronarienne, IM non fatal sans intervention de revascularisation, réanimation après arrêt cardiaque, AVC fatal et non fatal 0,78 0,69 à 0,89 <0,001 IDEAL ans Simvastatine 40 mg vs 80 mg atorvastatine en cas d ischémie coronarienne stable Décès lié à une ischémie coronarienne, IM non fatal sans intervention de revascularisation, réanimation après arrêt cardiaque 0,89 0,75 à 1,01 0,07
44 Intensive statin therapy Syndrome Coronarien Aigu * et ** Statines et doses Mortalité globale RR IC à 95 % Événement cardiovasculaire majeur PROVE-IT 2004 atorvastatine 80 pravastatine 40 A to Z 2004 simvastatine 80 simvastatine 20 Pathologie Coronarienne Stable* IDEAL 2005 atorvastatine 80 simvastatine 20 TNT 2005 atorvastatine 80 atorvastatine 10 VASCULAR BASIS 2005 atorvastatine 80 lovastatine 5 REVERSAL 2004 atorvastatine 80 pravastatine à à 1.01 MA à à à à à MA à 1.11 NS à à à 1.01 NS à à à à à 0.91 *Afilalo J et al. Heart 2007;93: **Murphy S et al. Am J Cardiol 2007;100:
45 2007 Josan K et al. CMAJ 2008;178:
46 Josan K et al. CMAJ 2008;178: mortalité de toute cause : pas de différence statistiquement significative pour l ensemble l des études diminuée e si pathologie coronarienne établie pas de preuves suffisantes pour recommander des valeurs LDLc cibles à atteindre pas de preuves d efficacitd efficacité d une association d hypolipidémiants sur les événements cliniques
47 Statine : premier choix? simvastatine premier choix pour des raisons économiques (NHG 2006, NHS 2006, NICE 2006, MeReC 2006, LRP 2005) pravastatine étant à égalité ou réservr servée e aux patients avec risque d interactions d médicamenteuses m avec la simvastatine (NHS 2006) Atorvastatine plus chère pour les patients n atteignant n pas les cibles thérapeutiques? remettre tous les patients sous statine uniquement sous simvastatine 40 mg par jour = économie de 2 milliards de au Royaume Uni sur les cinq ans à venir (MOON 2006)
48 Pour les patients diabétiques De récents r guidelines (NICE 2006 NHG 2006) ne recommandent un traitement hypolipidémiant qu en présence d un d risque CV augmenté pour une autre raison que le diabète la simvastatine et l atorvastatine l sont les statines les mieux évaluées chez les patients diabétiques
49 Un patient de 62 ans ayant présent senté de rares épisodes de santé particuliers, a un taux de cholestérol total à 267mg/dl. Que faites-vous dans une première étape? Vous lui prescrivez une statine Vous lui prescrivez un fibrate Vous évaluez les autres facteurs de risque comme HTA, diabète, statut tabagique
50 Un patient de 62 ans ayant présent senté de rares épisodes de santé particuliers, a un taux de cholestérol total à 267mg/dl. Que faites-vous dans une première étape? Vous lui prescrivez une statine Vous lui prescrivez un fibrate Vous évaluez les autres facteurs de risque comme HTA, diabète, statut tabagique
51 Le taux de cholestérol total est Un des marqueurs du risque cardiovasculaire
52 Risque cardiovasculaire A = âge B = briquet, tabac C = cholestérol D = diabète E = événement CV F = risque familial < 55 père/frp re/frère < 65 mère m accident ischémique G = graisse périmp rimètre abdominal (102 88) H = hypertension
53
54
55 l absence de preuve d un d effet n est pas la preuve de l absence l d un effet (désirable ou non)
56 Quelques pas vers l EBM
57 merci pour votre attention
58 Mortalité totale en RRR (IC 90 %) 30 (15 à 42) p 0, (0-40) p 0,051 N.S. 9 (-12 à 26) p 0,37 N.S. chiffres non donnés par groupe 22 (13 à 31) p<0,001 N.S. ETUDE 4 S WOSCOPS CARE AFCAPS Tex CAPS LIPID VA - HIT (Prépublication) lieu Scandinavie Ecosse Canada USA Texas USA Australie Nouvelle Zélande USA Nombre 4,444 de 35 à 70 ans 4,159 de 21 à 75 ans 6,605 9,014 de 31 à 75 ans moyenne âge 64 +/- 7 Hommes 82% 6,595 de 45 à 64 ans 86% 85 % de 45 à 73 ans 83% 2531 moins de 74 ans Femmes 18% 14% 15 % de 55 à 73 ans 17% Traitement Simvastatine 20 à 40 mg/j Pravastatine 40 mg/j Pravastatine 40 mg/j Lovastatine 20 à 40 mg/j Pravastatine 40 mg/j Gemfibrozil 1200 mg Follow-up 5,4 ans 4,9 ans 5,0 ans 5,2 ans 6,1 ans 5,1 ans en prévention primaire x x en prévention secondaire x x en prévention tertiaire x (postinfarctus 62 %) x (postinfarctus 100 %) x post infarctus ou angor instable x (postinfarctus 61 %) Cholestérol Total en mg/dl + DS 213 à / / / ( ) 175 +/- 25 HDL - Cholestérol / /- 9 Ho 36 +/ (31-42) 32 +/- 5 en mg/dl + D.S. Fe 40 +/- 5 Triglycérides en mg/dl + D.S / / / / ( ) 161 +/- 68 Fumeurs 26% 44% 21% 12% 10% 21% Antécédents Familiaux 22% PRIMARY END POINT mortalité totale non fatal MI fatal coronary event acute major coronary event: mortality from CHD Death and or death from CHD or non fatal MI MI, instable angina, coronary heart non fatal MI sudden cardiac death disease RRR en % ( IC 95 %) 30 (15 à 42) 31 (17 à 43) 24 (9 à 36) 37 (21à 50) 24 (12 à 35) 22 (7 à 35) p 0,0003 < 0,001 0,003 < 0,001 <0,001 0,006 Fréquence dans groupe témoin en % 11,5 7,9 13,2 10,9 8,3 21,6 RAR 3,3 2,4 3 4,1 1,9 4,3 NNT durant période = étude 30 pdt 5,4 ans 42 pdt 4,9 ans 33 pdt 5,0 ans 50 (33 à 97) pdt 5,2 ans 52 pdt 6,1 ans 23 pdt 5,1 ans
59 SCORE et diabète Score UKPDS SCORE x 3 pour hommes x 5 pour femmes
60 Valeurs cibles : consensus Cible CT Cible LDLc En généralg < 190 mg/dl mieux 175 Très s haut risque <175 mieux 155 <115 mieux 100 <100 mieux 80
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détail2. Rechercher les études
Tutoriel «Introduction à l Evidence-based nursing» 1 2. Rechercher les études Objectifs du module Vous devez savoir élaborer une stratégie de recherche bibliographique efficace, en suivant les étapes suivantes
Plus en détailMéthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain
Méthodologie documentaire spécifique au repérage d actions de terrain Journée de la préventions 2014 Atelier : «Repérer des actions de prévention : l exemple du tabac» Céline DEROCHE, Sandra KERZANET -
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique
ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailAtelier santésuisse du 23.11.2005 Expériences en Grande- Bretagne: Mesure des résultats au niveau du NHS
Atelier santésuisse du 23.11.2005 Expériences en Grande- Bretagne: Mesure des résultats au niveau du NHS Exposé de Robert Dobler PHD / NHS Mesure des résultats NHS, Grande- Bretagne Mon cabinet médical
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailRecherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines
18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailNouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter
L athérosclérose coronarienne Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter 1 Jean Grégoire et Ragui Ibrahim Vous êtes à votre cabinet le premier lundi de janvier, premier
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détail9. Les registres d essais cliniques
9. Les registres d essais cliniques Les registres d essais thérapeutiques sont des bases de données qui enregistrent les essais thérapeutiques planifiés, en cours de réalisation ou terminés, possédant
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailPRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE
PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE Ce document est une actualisation des Recommandations de Bonne Pratique "Prise en charge des dyslipidémies" publiées par l'afssaps en
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailTRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.
TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause
Plus en détailGuide de rédaction de références
Guide de rédaction de références Document préparé par: Susie Dallaire, pharmacienne Marie-Josée Demers, conseillère clinicienne à la DQSSER Nathalie Gauthier, conseillère clinicienne à la DQSSER Le 13
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLa recherche documentaire
La recherche documentaire Comité éditorial de l'uvmaf Date de création du document 2011-1012 1/22 Table des matières I Les ressources documentaires en santé : Catalogues de bibliothèques :...4 I.1 Le catalogue
Plus en détailEFFICACITE DES METHODES DE MISE EN Œ UVRE DES
EFFICACITE DES METHODES DE MISE EN Œ UVRE DES RECOMMANDATIONS MEDICALES JANVIER 2000 Service des recommandations et références professionnelles Dans la même collection Analyse de la littérature et gradation
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailCMAJ JAMC. Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l AVC. (mise à jour de 2008)
CMAJ JAMC DECEMBER 2, 2008, VOLUME 179(12) LE 2 DÉCEMBRE 2008, VOLUME 179(12) Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l AVC (mise à jour de 2008) JAMC 2008;179(12 SUPPL):EF1-EF67
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détail*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière
*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière F L O R E N C E A M B R O S I N O, C É C I L E B A R R I È R E, G A L A D R I E L B O N N E L, C H R I S T O P H E D E B O U T, P A S C A L L A M B E
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailInitiation à la recherche documentaire
Initiation à la recherche documentaire Sages-femmes 2015 1 ère séance http://sicd1.ujf-grenoble.fr Lundi 16 mars 2015 Recherche documentaire Sages-femmes / BUM 1 Une formation en 4 parties - Présentation
Plus en détailJournées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS
Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailMaladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels
RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels ARGUMENTAIRE Février 2010 1 Les recommandations et la synthèse des recommandations sont
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailQui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés?
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Qui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés? Donna Cousineau Infirmière en pratique avancée Hôpital Carleton Queensway Le 12 décembre
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailImpact de la publicité sur les professionnels
Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailÉvaluation des soins et surveillance des maladies cardiovasculaires : Pouvons-nous faire confiance aux données médico-administratives hospitalières?
Évaluation des soins et surveillance des maladies cardiovasculaires : Pouvons-nous faire confiance aux données médico-administratives hospitalières? Étude faite en collaboration entre l Institut national
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailRapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause
Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause Caractéristiques de l utilisation en France Effets sur la survenue de cancers du sein et d évènements cardiovasculaires en France Propositions d
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailNACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière
NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009
RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailAvis 20 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 20 novembre 2013 COVERSYL 2,5 mg, comprimé pelliculé B/30 (CIP : 34009 366 587 5 2) B/90 (CIP : 34009 366 590 6 3) COVERSYL 5 mg, comprimé pelliculé sécable B/30 (CIP
Plus en détailE-Health evaluation at stake
E-Health evaluation at stake Les enjeux de l évaluation en e-santé Myriam Le Goff-Pronost, Telecom Bretagne Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu Réalisations et perspectives en matière de e-santé pour les
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailLe cœur et les artères des femmes sont en danger
Le cœur et les artères des femmes sont en danger Dossier de presse Contact Luc-Michel Gorre Association de Cardiologie Nord Pas de Calais Coordination et Communication 03 20 21 07 58 06 16 48 13 35 luc-michel.gorre@orange.fr
Plus en détail