Surveillance et prévention des épidémies saisonnières de gastro-entérites dans les Etablissements Hébergeant des Personnes Agées

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1 Surveillance et prévention des épidémies saisonnières de gastro-entérites dans les Etablissements Hébergeant des Personnes Agées Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales de l Est Antennes Régionales de Lutte contre les Infections Nosocomiales Document extrait de l étude GROG Géronto Dr Ph. Gaspard

2 1. RAPPEL SUR LES VIRUS IMPLIQUES DANS LES GASTRO-ENTERITES AIGUËS - DEFINITION 3 2. MODES DE TRANSMISSION 5 3. SENSIBILITES DES VIRUS ENTERIQUES AUX DESINFECTANTS ET AUX ANTISEPTIQUES 5 4. MESURES DE PREVENTION DES GASTRO-ENTERITES : HYGIENE ET DESINFECTION DES MAINS RENFORCEES POUR LE PATIENT, LES AGENTS ET LES VISITEURS 6 5. MESURES DE PREVENTION DES GASTRO-ENTERITES : BIO-NETTOYAGE ET DE PRISE EN CHARGE DE L ENVIRONNEMENT DANS LE CAS DES GASTRO-ENTERITES VIRALES 7 6. MESURES DE PREVENTION DES GASTRO-ENTERITES POUR LE PERSONNEL, LES PATIENTS, LES RESIDENTS, LES VISITEURS SUIVI ET FIN DE L EPISODE DE CAS GROUPES 9 8. BIBLIOGRAPHIE ANNEXE 1 : TABLEAU RECAPITULATIF DES PRINCIPAUX VIRUS RETROUVES DANS LES GASTRO-ENTERITES ANNEXE 2 : TABLEAU DE RECUEIL DES CAS GROUPÉS DE GASTRO-ENTÉRITES CHEZ LES PATIENTS/RESIDENTS (A COMPLETER QUAND LE NOMBRE DE CAS GROUPES EST SUPERIEUR OU EGAL A 5 CAS, A UTILISER POUR REALISER LE SUIVI DE L EPIDEMIE) ANNEXE 3 : ADRESSES INTERNET CONCERNANT LES PRECAUTIONS STANDARD ANNEXE 4 : COORDONNEES 14 2

3 1. Rappel sur les virus impliqués dans les gastro-entérites aiguës - Définition L amélioration des techniques de détection a permis de montrer que plus de 2/3 des épidémies de gastroentérites sont d origine virale. Les rotavirus et les calicivirus (norovirus, sapovirus) sont les principaux virus en cause. Dans une moindre mesure, les astrovirus et les adénovirus sont retrouvés. Il existe d autres virus, plus rarement identifiés, tels que les coronavirus, les parvovirus, les pestivirus, les torovirus. Seuls les virus régulièrement identifiés font l objet d une présentation. Les Rotavirus sont considérés comme les agents majeurs des gastro-entérites aigües sporadiques chez le jeune enfant âgé de 6 mois à 2 ans (50 % des enfants hospitalisés pour gastroentérites pendant la période hivernale). Ils provoquent, après une incubation de 1 à 3 jours, des vomissements et une diarrhée associée à de la fièvre. La guérison survient en général après 5 à 6 jours. Chez l'adulte l'infection est souvent inapparente. En gériatrie, des épidémies sont observées du fait de ce virus. On constate une nette prédominance hivernale dans les pays tempérés. Les calicivirus (norovirus, sapovirus) sont fortement impliqués dans les épidémies survenant à l hôpital, dans les établissements accueillants des personnes âgées et dans les structures où le contact entre les personnes est important. Les épidémies sont essentiellement saisonnières (entre décembre et avril). Le mode de transmission féco-orale des calicivirus, associé à une faible dose infectante et à sa résistance dans l environnement, leur confère un potentiel épidémique important. Les manifestations cliniques sont caractérisées, après une incubation de 12 à 48 heures, par des vomissements et une diarrhée pendant 24 à 48 heures. La transmission s'effectue par voie oro-fécale d'individu à individu mais aussi par l'intermédiaire d aliments contaminés non cuits ou lors d un contact de ces aliments par un agent infecté. Les épidémies à astrovirus surviennent plus volontiers en hiver et touchent avec prédilection les enfants de 6 mois à 2 ans. Des épidémies ont été rapportées en secteurs gériatriques. Sur le plan clinique, après une incubation de 1 à 4 jours, survient une diarrhée accompagnée dans environ 1 cas sur 2, de fièvre et/ou de vomissements. La guérison apparaît après 2 à 3 jours. La part des adenovirus entériques types 40 et 41 dans les gastroentérites est inférieure à 10 %. La durée des symptômes est plus longue que les autres gastroentérites virales et varie entre 3

4 une semaine et 12 jours. Les tableaux cliniques sont moins sévères que ceux rencontrés lors des épidémies avec calicivirus et rotavirus. Un tableau récapitulatif est présenté dans l annexe 1. Un cas de gastro-entérite infectieuse peut être définie par : l apparition soudaine d au moins deux accès de vomissements au cours d une période de 24 heures OU l apparition soudaine de diarrhée* au cours d une période de 24 heures ET Fréquence : deux selles de plus que ce qui est considéré comme normal pour ce patient en 24 heures. * Consistance : selles molles ou liquides c est-à-dire prenant la forme d un contenant ET en l absence d une autre cause apparente : Laxatifs; Médicaments associés à des vomissements ou à des changements du transit intestinal; Poussée évolutive d une maladie chronique; Situation de stress. ET Les symptômes de diarrhée ou de vomissements devraient être accompagnés d au moins un symptôme ou signe compatible avec une infection gastro-intestinale : Fièvre; Nausées; Douleur ou crampes abdominales; Céphalées. 4

5 2. Modes de transmission La source de contamination peut être : l absorption d eau ou d aliments contaminés, un contact direct avec une autre personne infectée (patient, agent, visiteur), un contact avec l environnement contaminé par une personne infectée. La survie sur des surfaces inertes peut atteindre 12 jours pour les calicivirus. En présence de vomissements, de fines gouttelettes pourraient se former avec une transmission par ces aérosols pour certains virus (cette hypothèse est surtout avancée pour les calicivirus). D autres sources d aérosols pourraient être à l origine d une transmission (linge, selles, ). 3. Sensibilités des virus entériques aux désinfectants et aux antiseptiques En dehors des coronavirus, tous les virus à tropisme entériques sont des virus non enveloppés, donc relativement résistants à l action des substances antiseptiques et désinfectantes, en particulier celles le plus couramment utilisées dans la formulation de nombreux savons liquides ou désinfectants comme les ammoniums quaternaires ou la chlorhexidine. La solution hydro-alcoolique est particulièrement efficace pour le rotavirus (concentration en alcool supérieure ou égale à 70 ) alors que son efficacité est moins importante pour les calicivirus. Il est important de connaître l activité virucide (virus entériques) des produits (désinfection du matériel et des surfaces, désinfection des mains) utilisés dans les services. Les mesures de prévention utilisant ces produits seront à définir en fonction des virus rencontrés et en fonction de l action virucide des produits disponibles. 5

6 4. Mesures de prévention des gastro-entérites : Hygiène et désinfection des mains renforcées pour le patient, les agents et les visiteurs Appliquer les mesures de prévention et de contrôle appropriées dès qu un cas est détecté. Modalités pratiques de l acte d hygiène des mains dans le cas des gastro-entérites virales - Cas 1 : Efficacité démontrée (demander à son fournisseur) du produit utilisé pour la friction hydroalcoolique sur les principaux virus présentés dans la partie 2 ou sur le virus identifié ET mains non souillées visuellement ou/et non mouillées, utiliser le gel hydroalcoolique en respectant les recommandations d utilisation du fabricant (volume, temps de contact, ). - Cas 2 : Efficacité NON démontrée (demander à son fournisseur) du produit utilisé pour la friction hydroalcoolique sur les principaux virus présentés dans la partie 2 ou sur le virus identifié OU mains souillées visuellement et/ou mouillées, ASSOCIER l action mécanique du lavage simple des mains (bien sécher les mains avant d appliquer le produit hydro-alcoolique) ET la friction avec le gel hydro-alcoolique en respectant les recommandations d utilisation du fabricant (volume, temps de contact, ). - Cas 3 : Absence de produit hydro-alcoolique dans le service, appliquer les procédures mises en place dans l établissement pour la lavage des mains. Indications - Pour les visiteurs (pratiques de base) : en arrivant dans l établissement et avant de quitter la chambre du patient ou du résident. Conseiller aux visiteurs de remettre la visite s ils sont porteurs d une infection contagieuse (grippe, gastro-entérites, ). - Pour le patient (pratiques de base) : Lavage fréquent et adéquat des mains, tout particulièrement avant de manger, et après utilisation des toilettes. Si un patient est infecté, l hygiène des mains du patient ou résident ainsi que celui des visiteurs doit faire l objet de mesures organisationnelles (inclure l hygiène des mains dans le planning de soin, informer les visiteurs, ). - Pour les agents (précautions standard, voir annexe 3) : après tout contact avec un patient ou son environnement et après avoir retiré les gants. 6

7 5. Mesures de prévention des gastro-entérites : Bio-nettoyage et de prise en charge de l environnement dans le cas des gastro-entérites virales Appliquer les mesures de prévention et de contrôle appropriées dès qu un cas est détecté. - Produit : Vérifier que la solution désinfectante utilisée pour les surfaces après le nettoyage est efficace sur le virus entérique impliqué dans les cas du service. Si le virus n est pas identifié, des produits prêts à l emploi ont fait l objet d une validation pour les principaux virus des gastro-entérites (rotavirus ET calicivirus). L eau de javel diluée à 0,5 % est également efficace sur les virus impliqués dans les gastro-entérites virales (Diluer un volume d une solution à 2,6 % dans 4 volumes d eau). - Application : Réaliser un nettoyage avant une désinfection pour éliminer les salissures ou les secrétions biologiques infectées (selles, vomissements). Respecter le temps de contact nécessaire pour la désinfection (10 minutes pour l eau de javel). - Fréquence : - 2 fois par jour pour les chambres ou les zones où ont séjourné des personnes infectées, - 2 fois par jour pour toutes les surfaces hautes du service qui sont en contact avec les mains (interrupteurs, mains courantes, poignées de porte, ). - Zones ou dispositifs à décontaminer : - Chambre des patients infectés, - Dispositifs entrant dans les chambres des patients infectés (tensiomètre, stéthoscope, fauteuils, ), quand cela est possible, mettre un dispositif par chambre de patient infecté, - Les surfaces hautes en contact avec les mains dans l ensemble du service si épidémie, - L ensemble des déchets est éliminé en double emballage dans la filière DASRI (Déchets d Activités de Soins à Risques Infectieux), - Le linge est traité dans la filière du linge contaminé avec un double emballage. 7

8 6. Mesures de prévention des gastro-entérites pour le personnel, les patients, les résidents, les visiteurs. Appliquer les mesures de prévention et de contrôle appropriées dès qu un cas est détecté. RECOMMANDATIONS POUR LE PERSONNEL - Appliquer les précautions standard (Annexe 3) en tout temps et, en plus, les précautions additionnelles contre la transmission par CONTACT pour les soins aux patients malades (selon le tableau clinique ou selon le diagnostic, si disponible) - Porter des gants et une blouse à manches longues pour tout contact avec un patient symptomatique ou son environnement (porter un masque et une protection oculaire s il y a vomissement avec risque d éclaboussures) - Exclure immédiatement le personnel symptomatique de l unité de soins jusqu à 48 heures après la fin des symptômes - Empêcher la transmission à d autres unités ou départements est prioritaire, si des cas groupés sont observés, le personnel travaillant dans l unité affectée ne doit pas travailler dans une zone non affectée pour au moins 48 h. RECOMMANDATIONS POUR LES PATIENTS/RESIDENTS - Faire garder la chambre aux patients/résidants symptomatiques (jusqu à 48 heures après les DERNIERS symptômes) (ce délai est cependant à évaluer suivant le type de virus et les durées d infection, voir annexe 1), - Empêcher la transmission à d autres unités est prioritaire, si des cas groupés sont observés, le transfert de patients de l unité de soins affectée à d autres unités ou autres institutions est à éviter (sauf si le transfert est considéré comme essentiel et après discussion avec le personnel en prévention des infections des endroits concernés), - Fermer ou limiter les accès de l unité de soins affectée pour prévenir l introduction de nouvelles personnes réceptives (ex. : suspendre temporairement les admissions, les visites de bénévoles, ) (en présence de cas groupés), - Suspendre temporairement les activités de groupe (en présence de cas groupés). 8

9 RECOMMANDATIONS POUR LES VISITEURS - Informer les visiteurs et renforcer l hygiène des mains (mettre à disposition des produits d hygiène des mains (solution hydro-alcoolique à l entrée de l établissement avec une information) - Limiter les visites à la famille immédiate pour un patient malade (éviter d exposer des personnes âgées, de jeunes enfants ou des personnes ayant des maladies chroniques sousjacentes) - Un visiteur doit maîtriser les mesures de prévention (lavage des mains, gants, blouses à manches longues) pour être autorisé à pénétrer dans la chambre du patient malade. 7. Suivi et fin de l épisode de cas groupés - Un suivi des cas groupés doit être effectué afin d évaluer l évolution de l épisode. Une fiche est transmise (annexe 2). Cette fiche permettra l investigation et le suivi rapide de l épidémie. - L absence de nouveaux cas après un délai de 96 heures est proposée comme pouvant indiquer la fin d un épisode de cas groupés (ce délai est cependant à évaluer suivant le type de virus et les durées d incubation et d infection), - Les mesures peuvent être levée à l issue de ce délai, - Un bio-nettoyage «à fond» est à réaliser avant la réouverture du service : Nettoyer et désinfecter à fond l unité affectée tout particulièrement les objets fréquemment touchés et manipulés (ex. : poignées de portes et de toilettes), incluant le matériel médical (appareils multiparamétriques, fauteuil roulant, lève-personne, matériel électronique et informatique, etc.), les rideaux autour des lits. - Nettoyer les tapis et les autres mobiliers avec de l eau chaude et un détergent ou à la vapeur. 9

10 8. Bibliographie 1. Mesure de contrôle et prévention des éclosions de cas de gastro-entérites infectieuses d allure virale (Norovirus) dans les établissements de soins. Institut National de Santé Publique du Québec. Juin Epidémie de gastro-entérites virales dans un centre d hébergement de personnes âgés. DGS, INVS. Janvier MMWR Recomm Rep, Norwalk-like viruses. Public health consequences and outbreak management. Jun 1 ;50 (RR-9) : Epidémie hivernale des gastro-entérites aiguës en France, BEH, 2007,

11 9. Annexe 1 : Tableau récapitulatif des principaux virus retrouvés dans les gastro-entérites (D après Nicand et al., et l Institut National de Santé Publique du Québec, ) Virus Adénovirus entériques Période d incubation Durée de la maladie 7-8 jours 8-12 jours Transmission Principaux signes cliniques (source/mode) (% : valeurs moyennes) - Fécal oral - Diarrhée : % - Fièvre : % - Vomissements : 59 % Astrovirus 1-4 jours 2-3 jours Norovirus/ Sapovirus 1-3 jours 1-3 jours Rotavirus 1-3 jours 3-7 jours - Aliments, eau, fécal oral - Diarrhée : 73 % - Fièvre : 46 % - Aliments, eau, fécal oral (contact direct), environnement contaminé par des selles ou des vomissements (contact indirect), personne à personne - Eau, personne à personne, aliments, fécal oral (contact direct), environnement contaminé par des selles ou des vomissements (contact indirect), personne à personne - Vomissement : 46 % - Diarrhée : 66 % - Fièvre : 37 % - Vomissements : 69 % - Diarrhée aqueuse : 98 % - Fièvre : 86 % - Vomissements : 51 % - déshydratation : 72 % des hospitalisations - 1 NICAND E., TEYSSOU R. et BUISSON Y. (1998). Le risque fécal viral en Virologie, 2, Mesures de Contrôle et prévention des éclosions de cas de gastro-entérite infectieuse d allure virale (norovirus) à l intention des établissements de soins. Institut national de santé publique du Québec. 11

12 10. ANNEXE 2 : TABLEAU DE RECUEIL DES CAS GROUPÉS DE GASTRO-ENTÉRITES CHEZ LES PATIENTS/RESIDENTS (A compléter quand le nombre de cas groupés est supérieur ou égal à 5 cas, à utiliser pour réaliser le suivi de l épidémie) Nom de l établissement : Service : Nom du responsable de la surveillance : Noms et prénoms (initiales : 3 premières lettres du nom et du prénom) Date de naissance Sexe Début brutal Symptômes et signes Cocher si présence D* CA N V F Noter T max C Autres Préciser Date de début des signes cliniques Date de fin des signes cliniques (si connus) Prélèvements de selles envoyés au laboratoire de virologie (CNR Dijon) Oui/ Non Date Prélèvements de selles (Bactéries/ Parasites/ ) (laboratoire habituel) Oui/ Non Date Evolution : guérison OU hospitalisation OU Autres Mode de transmission suspecté** : 1.hydrique, 2.personne à personne, 3.alimentaire, 4.contact avec animaux, 5.alimentaire puis personne à personne * Abréviations : D=Diarrhée, CA=Crampes Abdominales, N=Nausée, V=Vomissement, F=Fièvre, C=Céphalées, A=Autres, ** noter l indice correspondant au mode de transmission, pour l alimentaire, noter le ou les aliment(s) incriminé(s), la date du repas et si des investigations virales sont réalisées (répondre oui ou non) Tableau rempli par (différentes personnes peuvent remplir le tableau) : 12

13 11. Annexe 3 : Adresses internet concernant les précautions standard Précautions standard, C-CLIN SUD EST Antenne PACA, Octobre recommandations pour la surveillance et la prévention des infections nosocomiales. Ministère de l'emploi et de la Solidarité, Secrétariat d'etat à la Santé et à l'action sociale, Comité technique national des infections nosocomiales, deuxième édition,

14 12. Annexe 4 : Coordonnées CCLIN-Est Responsables Professeur Christian Rabaud c.rabaud@chu-nancy.fr, Docteur Daniel Talon daniel.talon@ufc-chu.univ-fcomte.fr, Praticien hygiéniste Docteur Loïc Simon l.simon@chu-nancy.fr, Centre de Coordination de la Lutte contre les Infections Nosocomiales de l Est Hôpitaux de Brabois Rue du Morvan Vandoeuvre Les Nancy Cedex Tél / Fax Antennes Régionales de Lutte contre les Infections Nosocomiales - Alsace Antenne Régionale d'alsace de Lutte contre les Infections Nosocomiales (ARALIN) CHU, Hôpital civil 23, Rue de la porte de l'hôpital - BP Strasbourg cedex Tél : Fax : Coordonnateur : Dr Stéphane Gayet, gayet.stephane@chru-strasbourg.fr, Cadre de santé hygiéniste : Anne Bettinger, anne.bettinger@chru-strasbourg.fr, - Bourgogne Antenne régionale de Bourgogne Service d'épidémiologie et d'hygiène hospitalière CHU Hôpital le Bocage 10, Bd Maréchal De Lattre de Tassigny Dijon cedex Tél : Fax Coordonnateur : Dr Ludwig Serge Aho-Glélé ludwig.aho@chu-dijon.fr, Coordonnateur Adjoint : Dr Karine Astruc 14

15 karine.astruc@chu-dijon.fr, Infirmière hygiéniste : Graziella Guerre graziella.guerre@chu-dijon.fr, - Champagne-Ardenne Antenne régionale de Champagne Ardenne Resclin-Champagne-Ardenne CHU - Clinique de Champagne 3, Rue de l'université Reims Tel : Fax : Courriel : resclin@chu-reims.fr Coordonnateur : Dr Véronique Bussy Malgrange VBUSSYMALGRANGE@chu-reims.fr, Praticien hygiéniste : Dr Jean Claude Réveil jreveil@ch-charleville-mezieres.fr, Cadre de santé coordinateur : Martine Blassiau mblassiau@chu-reims.fr, - Franche-Comté Antenne régionale de Franche Comté Réseau Franc Comtois de Lutte contre les Infections Nosocomiales (RFCLIN) 2, place Saint Jacques Besançon Tel : Fax courriel : rfclin@chu-besancon.fr Coordonnateur : Dr Daniel Talon daniel.talon@ufc-chu.univ-fcomte.fr, Praticien hygiéniste : Dr Nathalie Floret nfloret@chu-besancon.fr, - Lorraine Antenne régionale de Lorraine Cellule Régionale d'hygiène Hôpital de Brabois Rue du Morvan Vandoeuvre les Nancy tel : Fax Courriel : crhh@chu-nancy.fr Coordonnateur : Dr Marie Françoise Blech mf.blech@chu-nancy.fr, 15

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