Guide d aide au remplissage de la grille de recueil de l audit des pratiques
|
|
- Ghislain Leblanc
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONTACTS Anne-Marie de Sarasqueta Comité de Coordination de l Evaluation Clinique et la Qualité en Aquitaine Hôpital Xavier Arnozan Pessac cedex Myriam Roudaut OMEDIT ARS Aquitaine 103 bis, rue de Belleville Bordeaux cedex anne-marie.de-sarasqueta@ccecqa.asso.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr / Guide d aide au remplissage de la grille de recueil de l audit des pratiques Critère d inclusion des patients dans l étude : Age 75 ans Fibrillation auriculaire (FA) code CIM 10 = I 48 en diagnostic principal ou associé Critère d exclusion des patients : Patients en FA avec valve mécanique cardiaque Séjour < 24h Flutter Mode de recueil des données : Rétrospectif sur dossier des patients inclus. Il s agit des 50 derniers patients inclus de façon consécutive, à partir de la date de recueil fixée par l établissement (fin février- mars). Cette date doit tenir compte du délai moyen d envoi du courrier au médecin traitant et du traitement des dossiers PMSI (un mois environ) Pour chaque dossier sélectionné d après les critères d inclusion et d exclusion, une grille de recueil doit être complétée par un binôme d enquêteurs, dont un médecin prescripteur et/ ou un pharmacien à l aide du dossier patient. Avant de commencer le projet : vérifier que l établissement a bien pris en charge lors de l année 2011 au moins 50 patients en FA correspondant aux critères d inclusion ET d exclusion.
2 Recueil (informations à rechercher à l aide du dossier patient). Code patient : il est constitué : - Du numéro d établissement (donné par le CCECQA et l OMEDIT) : 2 champs - Du numéro de service (donné par l établissement) : 2 champs - Du numéro de patient (donné par l établissement) : 3 champs Remarque : ce numéro permet de retourner au dossier pendant la période de recueil si besoin, et de vérifier l absence impérative de doublons. La correspondance entre le code patient et le dossier du patient peut être répertoriée sur une feuille conservée au sein de l établissement. Date d entrée dans l établissement : il s agit de la date du dernier séjour, à partir de la date fixée pour le recueil dans l établissement Date de naissance : indiquer la date de naissance lors du dernier séjour, à partir de la date fixée pour le recueil dans l établissement. Elle permettra de calculer l âge à la date du séjour. Poids : indiquer le poids du patient lors du séjour du patient. Elle permettra de calculer la clairance de la créatinine du patient. 2 Hospitalisation Hospitalisation programmée : cocher la case s il s agit d une intervention, un bilan, une hospitalisation suite à une consultation dans l établissement Hospitalisation en urgence : cocher la case si l hospitalisation n était pas prévue, si elle a été initiée par exemple suite à un passage par le service des Urgences. Plusieurs cas de figure se présentent : - l hospitalisation a été demandée en urgence : par le généraliste cocher la case par le cardiologue cocher la case ou encore par un autre professionnel (exemple: le patient est arrivé suite à la régulation par la plateforme de santé, par le centre 15, avec le SAMU, les pompiers, appel par lui-même, par un aidant, ), ou encore le patient est venu aux urgences de sa propre initiative cocher la case «Autre» Coordonnées des professionnels de santé L objectif est de connaitre si les coordonnées des professionnels qui ont pris en charge le patient en amont de l hospitalisation, et qui le prendront en aval après la sortie, sont présentes dans le dossier patient. Médecin généraliste Coordonnées présentes dans le dossier Cocher OUI si les coordonnées sont présentes dans le dossier Cocher NON si on ne retrouve pas de trace des coordonnées Cocher NA si le patient a déclaré ne pas avoir de médecin généraliste Possession d un Dossier Médical Personnel (DMP) Cocher OUI si le patient en possède un et que ceci est noté dans le dossier Cocher NR si l information n est pas retrouvée dans le dossier-patient
3 Pharmacien d officine habituel correspondant : il s agit du pharmacien d officine habituel (dont les coordonnées sont explicitement inscrites) Cocher OUI si les coordonnées sont présentes dans le dossier Cocher NON si on ne retrouve pas de trace des coordonnées Possession d un Dossier Pharmaceutique (DP) Cocher OUI si le patient en possède un et que ceci est noté dans le dossier Cocher NR si l information n est pas retrouvée dans le dossier-patient Biologiste habituel Cocher OUI si les coordonnées sont présentes dans le dossier (en cas de traitement nécessitant un suivi biologique régulier avant le séjour en établissement de santé) Cocher NON si on ne retrouve pas de trace dans le dossier des coordonnées du biologiste habituel alors que le patient réalisait régulièrement un suivi avant le séjour en établissement de santé Cocher NA si le patient n avait pas de traitement nécessitant un suivi biologique régulier 3 Infirmier Diplômé d Etat (IDE) Cocher OUI si les coordonnées sont présentes dans le dossier (en cas de traitement nécessitant de façon régulière des soins infirmiers avant le séjour en établissement de santé) Cocher NON si on ne retrouve pas de trace dans le dossier de coordonnées de l IDE, alors que le patient utilise de façon régulière des soins infirmiers avant le séjour en établissement de santé. Cocher NA si le patient ne nécessitait pas les soins d un IDE avant le séjour en établissement de santé. A l entrée dans l établissement Avant le passage éventuel par les Urgences. NB : le SAMU est extra-hospitalier. Le patient avait-il des antécédents documentés de FA avant cette hospitalisation? Cocher OUI si le dossier mentionne des éléments faisant penser que la FA était connue à l entrée, par exemple un traitement anticoagulant, un ECG, une hospitalisation antérieure la mentionnant un traitement anti-arythmique (amiodarone, dronedarone ) Cocher NON s il s agit d une FA nouvellement diagnostiquée lors de cette hospitalisation Cocher NON Renseigné (NR) si aucun élément du dossier ne permet de savoir la FA était diagnostiquée avant le séjour considéré. L ensemble du traitement médicamenteux du patient à l entrée est-il tracé dans le dossier patient? Cocher OUI si la trace du traitement d entrée est retrouvé dans le dossier. Cocher NON si le traitement d entrée n a pas été noté dans le dossier.
4 Le patient était-il sous traitement antithrombotique à son entrée dans l établissement (pour FA ou non)? il s agit du traitement de la prévention du risque thromboembolique. Rappel : les différentes classes médicamenteuses pour le traitement ou la prévention thromboembolique AVK Héparines Antiagrégants plaquettaires Autres : autres traitement antithrombotique n ayant pas d indication AMM pour la Fibrillation Auriculaire à ce jour mais prescrit dans le cadre d une autre pathologie et possédant dans ce cadre une indication AMM (exemple : prothèse totale de hanche, ) Si le patient avait un traitement anti thrombotique à son entrée, répondre OUI. Si ce traitement avait un autre objectif que la prévention du risque thromboembolique lié à la fibrillation auriculaire, répondre OUI également. Si le patient n avait pas de traitement anti thrombotique à son entrée, répondre NON. 4 Si oui, sous quel médicament antithrombotique? Si le patient bénéficiait d un traitement antithrombotique à son entrée, préciser lequel en cochant les cases correspondant à : AVK Héparines Antiagrégants plaquettaires Autres Pour les patients sous AVK : Cocher la case si le patient est déjà sous AVK à son entrée - Cocher la case correspondant à la molécule - S il s agit d un traitement AVK non utilisé en France, cocher la case «Autre» et préciser le médicament Date premier INR dans l établissement, et résultat : indiquer la date de première prescription de l INR dans l établissement lors du séjour étudié, et le résultat de ce premier INR Pour les patients sous héparine : Cocher la case si le patient est à l entrée sous héparine non fractionnée, ou sous héparine de bas poids moléculaire (HBPM). Pour les patients sous antiagrégants plaquettaires : Cocher la case si le patient est à l entrée sous acide acétylsalicylique, sous Clopidogrel (Plavix ou génériques), sous Prasugrel (Efient ) ou autre antiagrégant plaquettaire Cocher ensuite la ou les case(s) correspondantes à la ou les molécule(s) concernée(s) Si le patient est sous acide acétylsalicylique, cocher le dosage correspondant Pour les patients sous un autre traitement antithrombotique, cocher la case Autre, puis préciser quel autre traitement antithrombotique. En dehors de la FA, existe-il une pathologie pour laquelle le patient nécessite un traitement antithrombotique : Cocher NON si rien ne laisse supposer dans le dossier une autre pathologie que la FA nécessitant un traitement antithrombotique à son entrée.. Cocher OUI si le dossier mentionne une autre pathologie que la FA pour laquelle le patient nécessite un traitement antithrombotique, et préciser en toutes lettres laquelle.
5 Existe-il d autre(s) pathologie(s) cardiovasculaire(s) associée(s)? Cocher NON si rien ne laisse supposer dans le dossier une autre pathologie cardiovasculaire que la FA Cocher OUI si le dossier mentionne une autre pathologie cardiovasculaire que la FA, et préciser en toutes lettres laquelle ou lesquelles. Lors de l hospitalisation Evaluation du rapport bénéfice/risque du traitement de la prévention du risque thromboembolique 5 La trace dans le dossier, de l évaluation (ou de la ré-évaluation) clairement identifiée de l intérêt d un traitement (ou de l absence de traitement) de la prévention du risque thromboembolique lors de l hospitalisation du patient, est-elle retrouvée? L évaluation ou la ré-évaluation d un traitement de la prévention du risque thromboembolique ne comprend pas les adaptations posologiques. Il s agit de la décision de prévenir ce risque par un traitement antithrombotique, ou de ne pas instaurer de traitement par AVK, ou de remettre en cause le traitement antithrombotique déjà existant, ou encore de changer de médicament antithrombotique. Cocher OUI si on retrouve dans le dossier des éléments relatifs à une évaluation, à une réflexion clairement identifiée sur le bénéfice ou le risque de la mise en place ou du maintien d un traitement antithrombotique dans le dossier, comme par exemple : Calcul d un score de risque Schéma annoté, Contre indications relevées à la mise en place d AVK dans le dossier du patient, Réflexions écrites ou remarques dans le dossier indiquant la nécessité de mettre en place un traitement anticoagulant, Explication sur le traitement dans le dossier, dans la lettre de sortie Remise en cause d un traitement anticoagulant existant Cocher «non renseigné» si on ne retrouve pas d éléments concrets prouvant que cette évaluation a été menée dans le sens d une réflexion sur le bénéfice ou le risque de la mise en place de ce type de traitement. Type de cette évaluation Cocher la case correspondante suivant qu il s agit d une discussion-réflexion écrite dans le dossier ou la lettre de sortie à partir des antécédents du patient, ou/et du calcul d un score. S il s agit d un score, cocher la case correspondante, et noter le résultat (indiquer le chiffre, ou mettre 99 si le résultat du score n est pas mentionné dans le dossier) Eléments présents dans le dossier permettant l évaluation de l intérêt d un traitement antithrombotique (pertinence) Pour chaque item, cocher la case correspondante : OUI ou NON si les éléments concernés sont retrouvés dans le dossier, ou Non renseigné si les éléments concernés ne sont pas retrouvés dans le dossier.
6 Les définitions des items sont issues de : - Ron Pisters, Deirdre A. Lane, Robby Nieuwlaat, Cees B. de Vos, Harry J. G. M. Crijns and Gregory Y. H. Lip. A Novel User-Friendly Score (HAS-BLED) To Assess 1-Year Risk of Major Bleeding in Patients With Atrial Fibrillation : The Euro Heart Survey. Chest 2010;138; European Heart Rhythm A, European Association for Cardio-Thoracic S, Camm AJ, Kirchhof P, Lip GY, Schotten U, et al. Guidelines for the management of atrial fibrillation: the Task Force for the Management of Atrial Fibrillation of the European Society of Cardiology (ESC). Europace Oct;12(10): Gregory Y. H. Lip, Robby Nieuwlaat, Ron Pisters, Deirdre A. Lane and Harry J. G. M. Crijns. Refining Clinical Risk Stratification for Predicting Stroke and Thromboembolism in Atrial Fibrillation Using a Novel Risk Factor-Based Approach : The Euro Heart Survey on Atrial FibrillationChest 2010;137; Insuffisance cardiaque (dysfonction ventriculaire gauche) : la définition est clinique ou basée sur l échocardiographie = Présence d une régurgitation ou d un gradient de pression, avec un retentissement hémodynamique et/ou des symptômes associés 6 Diabète : de type 1 ou de type 2 Antécédent d AVC ou AIT ou embolie périphérique : AVC : déficit neurologique soudain, diagnostiqué par un neurologue, ayant duré plus de 24h, et causé par une ischémie AIT : déficit neurologique soudain, diagnostiqué par un neurologue, ayant duré moins de 24h, et causé par une ischémie. Embolie périphérique : localisation du thrombus ailleurs que : cerveau, cœur, yeux, poumons. Antécédents ou prédisposition au saignement hémorragique ou non, chronique, l anémie peut être un signe d appel Pathologie vasculaire infarctus du myocarde, pathologie vasculaire périphérique, plaque athéromateuse aortique AVC hémorragique / hémorragie cérébrale Déficit neurologique soudain, diagnostiqué par un neurologue, ayant duré plus de 24h, et causé par un saignement Hypertension Contrôlée ou non Traitement antihypertenseur ou non Si oui, préciser : Cocher Oui si la pression systolique >160 mm Hg lors du séjour Cocher Non si la pression systolique 160 mm Hg Cocher NR si on retrouve dans le dossier la notion de HTA, mais sans chiffres tensionnels. Anomalie de la fonction rénale Cocher Oui si la Créatininémie en début de séjour 200 μmol/l (micromol/litre), ou si le patient est dialyse, ou a bénéficié d une transplantation rénale Cocher NON si la Créatininémie n a pas été demandée Cocher NR si la Créatininémie a été demandée et que l on ne retrouve pas le résultat Indiquer la valeur de la Créatininémie (afin de pouvoir calculer la clairance à la créatinine par la formule de Cockcroft)
7 Anomalie de la fonction hépatique Maladie hépatique chronique (ex : cirrhose) ou marqueur biologique montrant un dérangement hépatique (ex : taux de bilirubine 2 fois supérieur à la normale, associé au taux de ASAT/ALAT au moins 3 fois supérieur à la normale Traitement médicamenteux favorisant les saignements Antiagrégants plaquettaires, anti-inflammatoires non stéroïdiens Alcool Consommation excessive : 8 équivalents alcool / semaine INR instable INR > 3 et/ou irrégulier la plupart du temps, ou temps passé dans la dans le zone thérapeutique [2-3] < 60 % Cocher Non Applicable (NA) si le patient n était pas sous AVK pendant le séjour. 7 Antécédents ou risque de chute Appréciation du clinicien ayant assuré la prise en charge du patient, sans seuil minimal du nombre de chute, et renseignée ou non dans le dossier Problème de gestion ou de suivi du traitement par le patient Appréciation du clinicien ayant assuré la prise en charge du patient, faisant penser que le patient aura des difficultés à gérer son traitement AVK, et renseignée ou non dans le dossier Problème de gestion ou de suivi du traitement par son entourage Appréciation du clinicien ayant assuré la prise en en charge du patient, faisant penser que l entourage (aidants: famille, aide à domicile ; infirmier libéral ) aura des difficultés à gérer le traitement AVK du patient dans la mesure où celui-ci ne pourrait pas le faire. Réalisation d un MMS dans l année précédant l hospitalisation MMS : mini mental state, ou examen équivalent, permettant d apprécier les facultés cognitives du patient. Un diagnostic de démence posé par un spécialiste, présent dans le dossier, permet de répondre OUI
8 Première mise sous AVK Cette partie concerne les patients en FA 75 ans qui n étaient pas sous traitement AVK à leur entrée dans l établissement pour ce séjour. Si le patient était déjà sous traitement AVK à leur entrée dans l établissement pour ce séjour : aller directement à la section «Analyse pharmaceutique» de la grille de recueil Si absence d instauration d un traitement AVK pendant l hospitalisation : aller directement à la section «Sortie» Relai d une héparinothérapie : Répondre OUI si le patient a été mis sous AVK après avoir été sous héparine (héparine non fractionnée, ou héparine de bas poids moléculaire), remplir la date de la mise en place de l héparinothérapie et la date d arrêt.. Répondre NON si le patient n était pas sous héparine avant la mise en place du traitement AVK pendant le séjour 8 Si le patient était sous héparinothérapie lorsque le traitement AVK a été initié, il se peut que le patient soit sorti au tout début de l initiation AVK. Répondre OUI ou NON, ou encore non renseigné si on ne retrouve pas de trace de cette information dans le dossier. Date d initiation du traitement AVK : date du premier jour d administration de l AVK pendant le séjour dans l établissement INR avant l initiation du traitement AVK : Cocher OUI si l INR a été demandé et préciser le résultat biologique retrouvé Cocher NON si l INR n a pas été demandé. Médicament AVK : cocher la case correspondant à l AVK prescrit Dose AVK (colonne) : noter la dose prescrite chaque jour au début du traitement Attention : La grille de recueil prévoit 6 jours avant la réalisation du premier INR. Si le premier INR a été réalisé avant le 6 ème jour après la première administration, aller directement à «date INR 1», sans revenir en arrière. A partir du premier INR et pour chaque nouvel INR, compléter la ligne avec la date, le résultat de l INR correspondant, et la dose d AVK prescrite (changement ou non de posologie). Lors du séjour Lors du séjour l ensemble du traitement du patient comprenant un antithrombotique a-t-il fait l objet d une analyse pharmaceutique? cocher la case OUI si un pharmacien a validé l ordonnance (papier ou informatique) et que cette validation est tracée dans le dossier cocher la case NON s il n est pas fait d analyse pharmaceutique au sein du service
9 cocher la case NR s il existe une analyse pharmaceutique mais non tracée dans le dossier Intervention pharmaceutique si analyse pharmaceutique cocher la case NON s il n y a pas eu d intervention pharmaceutique cocher la case Non Renseigné si les interventions ne sont pas tracées dans le dossier. cocher la case OUI si l analyse pharmaceutique a conduit à une intervention pharmaceutique tracée dans le dossier o préciser ensuite la nature de l intervention (adaptation de posologie, signalement d interactions médicamenteuses, suivi des INR ) 9 Evénement indésirable grave en relation avec le traitement antithrombotique cocher la case NON si aucun événement indésirable grave n est survenu pendant le séjour cocher la case OUI si un événement indésirable grave (hémorragie nécessitant la transfusion de culots globulaires ou nécessitant un geste hémostatique urgent (chirurgie, endoscopie, ) ou localisation menaçant le pronostic vital, AVC ischémique, ) est survenu durant l hospitalisation Critères de gravité de l événement indésirable Ils permettent de préciser les conséquences de l événement indésirable lié au traitement antithrombotique (pendant l hospitalisation) Définition : un évènement indésirable est considéré comme grave à partir du moment où il est susceptible d entraîner une prolongation de l hospitalisation d au moins un jour, s il peut être à l origine d un handicap ou d une incapacité à la fin de l hospitalisation ou, bien sûr, s il est associé à une menace vitale ou à un décès. cocher la case correspondante selon que les conséquences de l évènement indésirable grave ont entrainé un retard à la sortie, la mise en jeu du pronostic vital, un handicap ou une incapacité à la sortie, ou le décès du patient. Analyse des causes cocher la case OUI si une démarche approfondie d analyse des causes (REMED, RMM ) a été effectuée à la suite de l événement indésirable grave et préciser cocher la case NR si on en retrouve pas de trace dans le dossier que les causes profondes de l EIG ont été recherchées. NB : un EIG en lien avec la gestion du traitement antithrombotique peut avoir fait l objet d une RMM, mais le compte rendu de la RMM n ayant pas vocation à être dans le dossier patient, on ne peut donc pas retrouver cette information dans le dossier. On peut savoir qu une analyse approfondie des causes a été menée sur l EIG, sans que nécessairement la trace de celle-ci puisse être retrouvée dans le dossier. Il faut donc cocher la case OUI ET la case Non Renseigné.
10 Information / éducation du patient au traitement AVK Cette partie concerne les patients en FA 75 ans qui étaient sous traitement AVK pendant le séjour dans l établissement, soit déjà à l entrée ou soit mis sous AVK pendant l hospitalisation. L éducation du patient à son traitement AVK est également à destination des aidants si les capacités cognitives du patient ne lui permettent pas de gérer son traitement en toute sécurité. Le patient a reçu une information sur son traitement AVK? Répondre OUI si on retrouve la trace d une information donnée sur le traitement AVK dans le dossier patient Répondre non renseignée si on ne retrouve aucune trace d une information donnée sur le traitement AVK dans le dossier patient 10 Le patient a reçu une éducation sur son traitement AVK? Il s agit du stade supérieur à la délivrance de l information sur le traitement. Répondre OUI si on retrouve dans le dossier patient la trace d au moins le début d une éducation donnée sur le traitement AVK, Répondre non renseignée si on ne retrouve aucune trace dans le dossier patient qu au moins le début d une éducation a été donnée sur le traitement AVK Remise d un carnet de suivi des AVK? Répondre OUI si on retrouve dans le dossier patient la trace qu un carnet de suivi des AVK lui a été délivré (il peut s agit du carnet de suivi des AVK de l AFSSAPS, de la Société française de médecine vasculaire, de la société française de cardiologie, ou même d un carnet «maison» permettant le suivi du résultat des INR pratiqués, les adaptations posologiques, les traitements concomitants ) Répondre non renseignée si on ne retrouve aucune trace dans le dossier patient qu un carnet de suivi des AVK ne lui a été délivré Répondre non applicable, si le patient n est pas en mesure de se servir du carnet de suivi (démence,) Si un carnet de suivi des AVK a été remis au patient, lui a-t-on appris à s en servir? Répondre OUI si on retrouve dans le dossier patient des informations des informations relatives à la lecture, à la manipulation du carnet, la notation des résultats, l importance de sa présentation systématique aux professionnels de santé, de faire le dosage des INR toujours dans le même laboratoire...) Répondre non renseignée si on ne retrouve aucune trace dans le dossier patient que l on a appris au patient à s en servir
11 Suivi du patient au terme de son hospitalisation Date sortie de l établissement pour le séjour (lire ci-dessous si 2 séjours l un à la suite de l autre) Lieu de sortie Plusieurs lieux de sortie sont possibles : Cocher la case correspondant au lieu de la sortie du patient (1 seule case cochée) 1. Transfert dans un autre établissement Cocher la case correspondante selon qu il s agit d un autre établissement de santé, d un EHPAD, ou encore d un établissement médico-social autre qu un EHPAD. 11 Attention, cela ne comprend pas les transferts dans d autres services du même établissement. Si 2 séjours l un à la suite de l autre, on «fusionne» les 2 dossiers. Remarque d ordre général Quel est le dossier à utiliser si 2 séjours l un après l autre (séjours successifs)? On «fusionne» les 2 deux séjours pour le recueil des données : Si séjour 1 = MCO et séjour 2= SSR : données sur l entrée en séjour MCO et données sur sortie en séjour SSR Si séjour 1 = SSR et séjour 2 = MCO : données sur l entrée en séjour MCO et données sur sortie en séjour SSR Les données sur la pertinence de prescription (notamment sur la phase d évaluation) se prendront plutôt en MCO. 2. Accompagnement en HAD o 3. Sortie à domicile Conditions de vie au domicile : cocher la case correspondante selon les informations notées dans le dossier montrant que l information sur le fait que le patient vit seul ou non à son domicile a été recherchée (notamment dans le dossier de soins infirmiers). Par convention, sont considérées comme «isolées» les personnes n ayant eu que quatre contacts ou moins d ordre privé au cours d une semaine de référence 1. OUI si l on retrouve l information que le patient vit seul NON si l on retrouve l information que le patient ne vit pas seul Non renseigné si l on ne retrouve aucune information. Si le patient sort à domicile avec un traitement AVK : o Gestion du traitement médicamenteux AVK par le patient lui-même cocher la case correspondante selon les informations notées dans le dossier montrant que l information sur le fait que le patient peut gérer ou non seul son traitement AVK a été recherchée (notamment dans le dossier de soins infirmiers). OUI si l on retrouve l information que le patient peut gérer seul son traitement AVK NON si l on retrouve l information que le patient ne peut pas gérer seul son traitement AVK 1 Définition INSEE
12 Non renseigné si l on ne retrouve aucune information. o En cas de réponse NON à la question précédente cocher la ou les case(s) correspondant(s)e si l information est retrouvée dans le dossier (plusieurs réponses possibles), - Son entourage - IDE (libéral(e)), SAD * - auxiliaire de vie - personne cocher Non renseigné si l information n est pas retrouvée dans le dossier. 12 *Si c est une IDE qui gère le traitement AVK du patient à domicile : cocher la case OUI si la prescription pour l IDE à domicile est retrouvée dans le dossier (ou au moins la trace que cette prescription a été faite) cocher la case NON si cette prescription n est pas retrouvée 4. Décès pendant le séjour cocher la case OUI si l on retrouve l information que le décès du patient est en lien avec le traitement antithrombotique. o Dans ce cas, préciser s il s agit d un évènement de type hémorragique ou thrombotique, en cochant la case correspondante. cocher la case NON si l on retrouve l information que le décès du patient n est pas est en lien avec le traitement antithrombotique cocher la case NR si on ne retrouve pas d information sur le lien entre le décès et le traitement antithrombotique Traitement antithrombotique à la sortie Traitement antithrombotique à la sortie de l établissement Si le patient avait un traitement anti thrombotique à sa sortie, répondre OUI.. Si le patient n avait de traitement anti thrombotique à son sortie, répondre NON. o Si NON La ou les contre-indication(s) relative(s) au traitement par AVK a (ont)-elle(s) été analysée(s) puis notée(s) sur le dossier? Si OUI, cocher le(s)quelle(s) : Insuffisance hépatique ou rénale sévère / AVC récent / allergie / syndrome hémorragique / lésions susceptible de saigner/ intervention neurochirurgicale ou oculaire récente / autre et préciser lesquelles en toutes lettres. Noter NON si on ne retrouve pas les contre-indications au traitement AVK notées dans le dossier
13 o Si OUI, sous quel médicament? : préciser lequel en cochant les cases correspondant à : AVK Héparines Antiagrégants plaquettaires Autres Pour les patients sous AVK : Cocher la case correspondant à la molécule Date dernier INR et résultat : il s agit de la date et du résultat du dernier INR prescrit lors du séjour, et cette date n est pas forcément celle de la sortie. 13 Pour les patients sous héparine : Cocher la case si le patient est à sa sortie sous héparine non fractionnée, ou sous héparine de bas poids moléculaire (HBPM). Pour les patients sous antiagrégant plaquettaire : Cocher la case si le patient est à sa sortie sous antiagrégant plaquettaire Cocher ensuite la case correspondante à la molécule : acide acétylsalicylique, Clopidogrel (Plavix et générique), Prasugrel (Efient ), ou autre. Préciser si autre Courrier de sortie Rédaction de la lettre de sortie : Répondre OUI si la lettre est retrouvée dans le dossier Répondre Non renseignée si la lettre n a pas été retrouvée dans le dossier Si la lettre de sortie a été rédigée et retrouvée dans le dossier : La date de recueil doit tenir compte du délai moyen d envoi de la lettre de sortie pour que celle-ci puisse être retrouvée dans le dossier. Informations contenues dans la lettre de sortie sur le traitement de la prévention du risque thromboembolique OUI si l on retrouve des informations sur l évaluation (ou la réévaluation) du bénéfice risque d un traitement de la prévention du risque thromboembolique NON si l on ne retrouve pas d information(s) sur l évaluation (ou la réévaluation) du bénéfice risque d un traitement de la prévention du risque thromboembolique Si le patient sort avec un traitement AVK : La lettre parle de l INR cible ou de la zone thérapeutique de l INR? OUI si l on retrouve des informations sur l INR cible ou sur la zone thérapeutique où doit se situer l INR du patient NON si l on ne retrouve pas d information sur l INR cible ou sur la zone thérapeutique où doit se situer l INR du patient
14 Date de réalisation du prochain INR? idem Mode d envoi de la lettre de sortie : Cocher le ou la case(s) correspondante(s) : donnée au patient par courrier par messagerie sécurisée par DMP Autres : préciser non renseignée 14 La lettre de sortie est adressée au : médecin traitant médecin spécialiste biologiste pharmacien d officine correspondant IDE Prescriptions de sortie Ordonnance de sortie présente dans le dossier du patient cocher la case OUI si l ordonnance de sortie est accessible dans le dossier patient, NON si elle ne s y trouve pas et Non Applicable (NA) si aucune modification de traitement n a été effectuée et que le patient ressort avec son ordonnance d entrée. Information disponible sur l ordonnance si le patient est sous AVK cocher OUI ou NON selon que l ordonnance contient les données INR, les DCI (dénomination commune internationale) ou le nom de spécialité du médicament AVK, la posologie, et la durée du traitement. (Cet item concerne les patients sortant avec un traitement AVK). Prescription pour le laboratoire de biologie : cocher la case OUI si une ordonnance pour les analyses d INR est retrouvée au sein du dossier patient, NON, s il n existe aucune ordonnance dans le dossier NR, si l information n est pas retrouvée dans le dossier-patient Echanges pharmaceutiques établissements de santé/ville cocher NON s il n existe pas d échange d informations ; cocher OUI s il existe un échange d informations entre le pharmacien hospitalier et le pharmacien d officine au sein de votre
15 établissement, et dans ce cas, répondre sur le ou les type(s) de transmission d information en cochant la case correspondante. Echanges pharmaceutiques inter établissements de santé cocher NON s il n existe pas d échange d informations ; cocher OUI s il existe un échange d informations entre les pharmaciens hospitaliers des 2 établissements, et dans ce cas cocher la ou les proposition(s) de transmission d information. 15
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailLivret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT
Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLe rivaroxaban contre la fibrillation auriculaire lorsque la warfarine ne va pas?
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Le rivaroxaban contre la fibrillation auriculaire lorsque la warfarine ne va pas? Mario Wilhelmy et Sarah Janecek Vous voulez prescrire...? Lisez ce qui
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détail28/06/13. Mardi 12 Mars 2013 Pascal Schlesser et Pierre Webert Cardiologues à Saint- Avold
Mardi 12 Mars 2013 Pascal Schlesser et Pierre Webert Cardiologues à Saint- Avold 1 Quelle est la dose recommandée de Xarelto dans la préven;on des ETEV en cas d interven;on chirurgicale orthopédique majeure
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLa fibrillation auriculaire
La fibrillation auriculaire La fibrillation auriculaire (FA ) est l arythmie la plus fréquente. Le système de conduction auriculoventriculaire (A-V) est bombardé de stimulis électriques amenant une réponse
Plus en détailFibrillation auriculaire non valvulaire Du bon usage des anticoagulants oraux directs en médecine générale PHILIPPE VORILHON DMG CLERMONT-FERRAND
Fibrillation auriculaire non valvulaire Du bon usage des anticoagulants oraux directs en médecine générale PHILIPPE VORILHON DMG CLERMONT-FERRAND Déclaration de conflit d'intérêt: aucun Risque de survenue
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailSÉCURISATION DE LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS TRAITÉS PAR DABIGATRAN ET RIVAROXABAN AU CH DE HAGUENAU
SÉCURISATION DE LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS TRAITÉS PAR DABIGATRAN ET RIVAROXABAN AU CH DE HAGUENAU APHAL - 24/09/2013 Dr Sébastien BUFFLER - Cardiologue Audrey FUSS - Interne en pharmacie Contexte
Plus en détailUNIVERSITE DE NANTES
UNIVERSITE DE NANTES FACULTE DE MEDECINE Année 2014 N THESE Pour le DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Diplôme d études spécialisées en médecine générale Par Monsieur MÉAR François-Xavier Né le 24 Février
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailFibrillation atriale et nouveaux anticoagulants oraux
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle Havane 9 h 10 h 30 Fibrillation atriale et nouveaux anticoagulants oraux Modérateur : M. Desnos* Participants : J.M. Davy**, X. Waintraub*** * Unité Clinique -
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 29 février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 29 février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 14 décembre 2011 a fait l objet d une audition le 18 janvier 2012. L avis définitif a
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailCompte-rendu du Comité technique de Pharmacovigilance CT012013083. Séance du 12 novembre 2013
CT012013083 27/11/2013 Direction de la Surveillance Pôle Pharmacovigilance Addictovigilance Dr Evelyne Falip Compte-rendu du Comité technique de Pharmacovigilance CT012013083 Nom du dossier Dossier thématique
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailÉtude NACORA-BR du projet NACORA (nouveaux anticoagulants oraux et risques associés)
Étude en vie réelle du bénéfice/risque à court terme des nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban) chez les patients débutant un traitement et non précédemment traités par des antivitamines
Plus en détailCONFERENCE MENSUELLE DE L AMPPU (section de Metz) LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
CONFERENCE MENSUELLE DE L AMPPU (section de Metz) LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Dr Noura Zannad, Cardiologie Dr Noël Blettner, Gériatrie Hôpital de Mercy CHR Metz-Thionville 14 Janvier 2014 Conflits d intérêts!
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailMEET - Nice Dimanche 8 Juin 2014. Christian BRETON Nancy (France) 1
MEET - Nice Dimanche 8 Juin 2014 Christian BRETON Nancy (France) 1 Le Docteur Christian BRETON déclare les conflits d intérêts suivants : - ASTRA ZENECA, BAYER, BIOPHARMA, BOEHRINGER, DAICHI-SANKYO, MSD,
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailNouveaux AntiCoagulants par Voie Orale. Dr. François PAPON 27 juin 2013
Nouveaux AntiCoagulants par Voie Orale Dr. François PAPON 27 juin 2013 Limites des traitements anticoagulants standards «Nécessité» nouveaux anticoagulants Objectif; se rapprocher de l antithrombotiqueidéal
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détail10èmes journées d'échange entre Urgentistes et Cardiologues de la région Centre-Ouest
10èmes journées d'échange entre Urgentistes et Cardiologues de la région Centre-Ouest 29 et 30 Mai 2015 AOD ET SCA Philippe Castellant CHU de Brest, Département de Cardiologie UBO, EA 4324 ORPHY Femme
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailAntiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie
Antiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie Christophe Meune Service de Cardiologie- Hôpital Avicenne Expérience douloureuse Homme de 56 ans 40 PA Aspirine à faible dose pour un
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailEVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE
EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailCAPACITE DE GERONTOLOGIE MANIEMENT DES ANTICOAGULANTS
CAPACITE DE GERONTOLOGIE MANIEMENT DES ANTICOAGULANTS Professeur Patrick JEGO - Service de Médecine Interne Rennes, mercredi 8 janvier 2014 Monsieur L, 92 ans, passe en FA permanente. Que faites vous?
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailsur le bon usage des médicaments antivitamine K (AVK)
Bon usage Mise au point sur le bon usage des médicaments antivitamine K (AVK) Actualisation MESSAGES CLÉS 1. La prescription ne se conçoit que dans les indications validées, après évaluation individuelle
Plus en détailMédecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse. Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010
Médecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010 Situation clinique : «prévention de la MTEV» Femme, 72 ans, poids = 87 kg, taille = 1,56
Plus en détailUtilisation des anticoagulants à l EHPAD de Marchenoir : Docteur Naudin Patrice. DIU de formation à la fonction de médecin coordonnateur :
Université Paris V Faculté Cochin Port Royal Utilisation des anticoagulants à l EHPAD de Marchenoir : Vers une modification du livret thérapeutique intégrant les nouveaux anticoagulants? Docteur Naudin
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailNACO dans la FA non Valvulaire
NACO dans la FA non Valvulaire VII ème Rencontres chalonnaises Dr Buttard 29/11/2012 INTRODUCTION La consommation des anticoagulants a été multiplié par 2 en 10 ans Les indications de traitement anticoagulants
Plus en détail