Data Mining: Activité hospitalière
|
|
- Sabine Gauvin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Data Mining: Activité hospitalière DIAGNE Sénéba 1, Huai Yuan WAN 2 1. S2IFA 2. DRM
2 Chapitre 1 Clustering : Activité hospitalière 1.1 Présentation des données Le périmètre des données représente ici un fichier unique de données individuelles qui contient des informations relatives à chaque centre hospitalier. Chaque individu représente un centre hospitalier de type : CH1 centre hospitalier 1 CH2 centre hospitalier 2 CH3 centre hospitalier 3 CH4 centre hospitalier 4 CHU centre hospitalier universitaire CLC centre de lutte contre le cancer HL hôpital local PR Établissement privé PSP Établissement participant au service public Les autres variables disponibles pour chaque individu sont les pôles d activité suivants : AA - Digestif AB - Orthopédie, Rhumatologie AC - Uro-néphrologie AD - Système nerveux AE - Cardiologie AF - Vasculaire périphérique AG - Pneumologie AH - ORL, Stomatologie AI - Ophtalmologie AJ - Gynécologie AK - Obstétrique AL - Nouveau-nés AM - Hématologie AN - Chimiothérapie, radiothérapie, transfusion AO - Endocrinologie
3 1.2 Objectif de la classification 3 AP - Tissu cutané et tissu sous-cutané (dont chirurgie obésité) AQ - Brulures AR - Maladies infectieuses (hors VIH) AS - Maladie VIH AU - Traumatismes multiples ou complexes graves AV - Psychiatrie, Toxicologie, Intoxications, Alcool AX - Autres prises en charge AZ - Vasculaire interventionnel 1.2 Objectif de la classification Il s agit de regrouper n individus en k classes de telle sorte que les individus d une même classe soient le plus semblables possible et que les classes soient bien séparées. 1.3 Retraitement des données Il est souhaitable de réaliser des tests de cohérence sur les données avant traitement. Pour cela, nous allons faire une analyse des composantes principales pour ensuite, repérer et éliminer les outliers. Le plugin FactomineR du package Rcmdr de R est utilisé pour faire l ACP. Sur le vecteur de sortie dist qui donne les distances entre chaque individu et l origine du repère, on centre la série de données. Après cela, l origine du repère et le centre de gravité du nuage de points seront confondus. Lorsque cette modification est faite, on aura non plus la distance entre les observations et le point repère (0, 0) mais celle entre chaque individu et le centre de gravité du nuage de points même. On travaille désormais avec le vecteur des distances centré.
4 1.3 Retraitement des données 4 Figure 1.1 Représentation des individus On remarque par exemple que l individu 504 est complètement démarqué du groupe. Par ce procédé, on va essayer donc de repérer les individus qui pourraient fausser les résultats de par leurs caractères spéciaux. Le tableau suivant contient quelques quantiles du vecteur représentant les distances. Quantile 0% 10% 30% 65% 95% 96% 97% 98% 99% 100% Valeur Table 1.1 Quantile des distances Après le quantile à 97%, on remarque une forte croissance ce qui traduit la présence d individu particulier. Arbitrairement, on décide d éliminer tout les individus qui sont après le quantile à 98% c est à dire les individus dont la distance par rapport au centre de gravité du nuage de points est supérieur à Ils sont résumés dans le tableau suivant et sont constitués de 80% de CHU : Type d etablissement CH1 CH2 CH3 CH4 CHU CLC HL pr PSP Nombre Table 1.2 les Outliers Le graphe suivant représente la distribution finale des individus où on observe toujours que les CHU et les CH4 sont démarqués des autres individus.
5 1.4 Nombre de Clusters 5 Figure 1.2 Représentation des individus Vu la particularité des CHU, on décide de les éliminer en totalité du jeu de données. 1.4 Nombre de Clusters Pour déterminer le nombre optimal de clusters qu on va prendre en compte dans notre étude on va étudier plusieurs techniques de calculs Distance intra-classe Le graphe suivant résume la variation de la distance intra-classe pour différents nombre de clusters calculé par k-means.
6 1.4 Nombre de Clusters 6 Figure 1.3 Variation intra-classe Il apparait bien que, quand on prend tout les individus dans la même classe, la variance intra-classe est forte car elle résume tout simplement la variance totale du nuage de point. Les critères de variances inter-classe et intra-classe sont utilisés en classification pour étudier l homogénéité des clusters. La première doit est le plus petit possible afin de s assurer que les individus dans une même classe se ressemblent le plus possible et la seconde le plus grand possible pour garantir une nette séparation entre deux classes différentes. Dans notre premier analyse, ce graphe nous suggère donc de choisir entre 4 et 5 clusters Dendogramme On utilise ici une méthode issue de la classification hiérarchique. Il s agit de de mettre ensemble une suite de partition emboitée les unes dans les autres en regroupant à chaque étape les groupes d individus les plus proches ce qui va constituer une arbre de classification. Connaissant l arbre de classification on pourra en déduire des partitions. Il suffit pour cela de couper l arbre à un certain niveau et de regarder les "branches" qui tombent. La méthode des dendogrammes nous suggère d utiliser 3 à 4 clusters. Les graphes suivants montrent respectivement les regroupements avec 3 et 4 classes.
7 1.4 Nombre de Clusters 7 Figure 1.4 Dendogramme à 4 classes Figure 1.5 Dendogramme à 3 classes Sur le dendogramme à 4 classes, on a une classe (la première) qui est particulière et est composée essentiellement de CH4.Pour rappel, les CH4 étaient le deuxième groupe d individu démarqué des autres dans le graphe de représentation des individus. Pour cela, on choisie donc de regrouper nos individus en 3 classes ce qui nous assure plus de stabilité et un modèle moins sensible à de petites variations.
8 1.5 Classification Conclusion D après ces deux analyses sur le variances intra-classe et les dendogrammes, on décide alors de retenir une partition entre 3 et 4 classes en espérant que cela va nous garantir des clusters optimaux qui vont regrouper des individus semblables. 1.5 Classification Une petite analyse factorielle des correspondances Nous allons construire le tableau de contingence croisant les deux variables qui sont les types d établissement et les pôles d activités. On aura ainsi les effectifs pour chaque couple de variables et cela servira à faire une analyse factorielle des correspondance. Figure 1.6 Analyse factorielle des correspondance plan 1-2
9 1.5 Classification 9 Figure 1.7 Analyse factorielle des correspondance plan 2-3 Le premier fait marquant est que ce sont les centres de lutte contre le cancer qui font plus de Chimiothérapie, radiothérapie, transfusion et sont complètement démarqués des autres pôles d activité. S en suit les établissements privés qui font plus de l ophtalmologie, de la gynécologie, du vasculaire périphérique et interventionnel,... Le premier axe oppose les CLC et CH4 contre les autres et le deuxième axe oppose les CLC et les établissements privés à tout les autres. Dans tout les cas donc, les CLC constituent donc des individus particuliers.
10 1.6 Conclusion Table de classification Comparaison des classifications à 3 et 4 classes Type cluster 1.3 cluster 2.3 cluster 3.3 cluster 1.4 cluster 2.4 cluster 3.4 cluster 4.4 CH CH CH CH CLC HL PR PSP Table 1.3 comparaison partition Comme on pouvait s y attendre (d après l AFC), les CLC sont classés à part dans un cluster (les clusters et 3.4 ) indépendamment de tout les autres types d établissement vu leur particularité de traitement du cancer. S en suit les CH4 qui sont dans les classes 2.3 et 4.4 et qu on retrouve des fois avec un faible effectif d établissement privé. Ceci peut être du par leur proximité dans la représentation des individus dans l AFC sur le plan 2-3. A part ces deux profils particuliers, tout les autres types d établissement se retrouve dans une seule classe. 1.6 Conclusion Dans le cadre de ces travaux sur la classification des type d établissement sur les hôpitaux, on peut retenir donc une partition à 3 classes qui diffère principalement : Les centres de lutte contre le cancer qui s occupent principalement de l activité Chimiothérapie, radiothérapie, transfusion Les centres hospitaliers de type 4 qui s occupent principalement l hématologie Les autres types d établissement qui s occupent en gros des autres types d activités 1. Lire le premier cluster de la partition à 3 classes
Vers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailLa classification automatique de données quantitatives
La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations
Plus en détailSPECIFICATION DES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISES (E.D.I.)
SPECIFICATION DES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISES (E.D.I.) Dernière mise à jour : octobre 2013 Ce document a pour objectif de décrire ce que l OPCA (OPCA 3+) attend du fichier à transmettre par l adhérent.
Plus en détailINFORMATIONS DIVERSES
Nom de l'adhérent : N d'adhérent :.. INFORMATIONS DIVERSES Rubrique Nom de la personne à contacter AD Date de début exercice N BA Date de fin exercice N BB Date d'arrêté provisoire BC DECLARATION RECTIFICATIVE
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailProgramme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers
Programme d Accueil des Etudiants Internationaux Stages Hospitaliers Fidèle à sa tradition humaniste de partage et d ouverture, la faculté de médecine Paris Diderot propose des programmes d accueil aux
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailACP Voitures 1- Méthode
acp=princomp(voit,cor=t) ACP Voitures 1- Méthode Call: princomp(x = voit, cor = T) Standard deviations: Comp.1 Comp.2 Comp.3 Comp.4 Comp.5 Comp.6 2.1577815 0.9566721 0.4903373 0.3204833 0.2542759 0.1447788
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailUne nouvelle ère du soin. Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE
Une nouvelle ère du soin Stratégie horizon 2018 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE ÉDITO Principal acteur dans l offre de soins de la région, le Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse est
Plus en détailAnalyses multivariées avec R Commander (via le package FactoMineR) Qu est ce que R? Introduction à R Qu est ce que R?
Analyses multivariées avec R Commander Analyses multivariées avec R Commander (via le package FactoMineR) Plate-forme de Support en Méthodologie et Calcul Statistique (SMCS) - UCL 1 Introduction à R 2
Plus en détailJURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé
La loi du 13 août 2004 relative à l Assurance Maladie a instauré la possibilité d une prise en charge partielle de l assurance de responsabilité civile professionnelle (RCP) par la CPAM, pour les médecins
Plus en détail1S Modèles de rédaction Enoncés
Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC
Plus en détailManuel pour les Etudiants Internationaux en Médecine 2014-2015
Manuel pour les Etudiants Internationaux en Médecine 2014-2015 Fidèle à sa tradition humaniste de partage et d ouverture, la faculté de médecine Paris Diderot propose des programmes d accueil aux étudiants
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailClassification non supervisée
AgroParisTech Classification non supervisée E. Lebarbier, T. Mary-Huard Table des matières 1 Introduction 4 2 Méthodes de partitionnement 5 2.1 Mesures de similarité et de dissimilarité, distances.................
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCOURS DE DATA MINING 4 : MODELISATION NON-SUPERVISEE CLASSIFICATIONS AUTOMATIQUES
COURS DE DATA MINING 4 : MODELISATION NON-SUPERVISEE CLASSIFICATIONS AUTOMATIQUES EPF 4/ 5 ème année - Option Ingénierie d Affaires et de Projets - Finance Bertrand LIAUDET 4 : Modélisation non-supervisée
Plus en détailOrganisation du Système de Santé en France
Organisation du Système de Santé en France Dr Marion ALBOUY-LLATY Staff de santé publique 5 janvier 2011 Organisation du Système de Soins en France Plan 1. Introduction et Définitions 2. La Demande de
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 4. I Les méthodes et principes... 8
Sommaire INTRODUCTION... 4 I Les méthodes et principes... 8 II Le Centre Hospitalier dans son territoire de santé Constats Objectifs régionaux et perspectives... 11 II 1 Caractéristiques démographiques...
Plus en détailCentres de santé. lien. créent du. Les Etablissements MGEN. Quand les soins. Kinésithérapie. Services. Accessibles. Innovation.
Services Pas d avance de frais Qualité des soins Médecine spécialisée Accessibles Innovation Mutualiste Kinésithérapie Animateurs Médecine générale Centres de santé Les Etablissements MGEN Quand les soins
Plus en détailPROJET MEDICAL 2012-2016
PROJET MEDICAL 2012-2016 SOMMAIRE INTRODUCTION :...4 I. Le contexte départemental...4 II. La zone d attractivité du CHAC...9 1. UNE STRATEGIE MEDICALE DYNAMIQUE, POUR CONSOLIDER ET DEVELOPPER NOS ACTIVITES...14
Plus en détailLa segmentation à l aide de EG-SAS. A.Bouhia Analyste principal à la Banque Nationale du Canada. Chargé de cours à l UQAM
La segmentation à l aide de EG-SAS A.Bouhia Analyste principal à la Banque Nationale du Canada. Chargé de cours à l UQAM Définition de la segmentation - Au lieu de considérer une population dans son ensemble,
Plus en détailmédecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ET PROTECTION JURIDIQUE Relevé d Informations - Médecins infirmier kinésithérapeute avocat
2015 RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE PROTECTION JURIDIQUE La mutuelle des professions libérales et indépendantes Professions Libérales & Indépendantes médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailLogiciel XLSTAT version 7.0. 40 rue Damrémont 75018 PARIS
Logiciel XLSTAT version 7.0 Contact : Addinsoft 40 rue Damrémont 75018 PARIS 2005-2006 Plan Présentation générale du logiciel Statistiques descriptives Histogramme Discrétisation Tableau de contingence
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailStéphane Tufféry DATA MINING & STATISTIQUE DÉCISIONNELLE. 04/04/2008 Stéphane Tufféry - Data Mining - http://data.mining.free.fr
Stéphane Tufféry DATA MINING & STATISTIQUE DÉCISIONNELLE 1 Plan du cours Qu est-ce que le data mining? A quoi sert le data mining? Les 2 grandes familles de techniques Le déroulement d un projet de data
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailL'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle
L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle Dossier mis à jour le 9 juillet 2013 Les médecins spécialistes libéraux exerçant en établissement de santé peuvent, sous
Plus en détailParticipation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux
Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux HAS réunion des gestionnaires d Organismes agréés 25 novembre 2013 Participation à l Assurance
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailArbres binaires de décision
1 Arbres binaires de décision Résumé Arbres binaires de décision Méthodes de construction d arbres binaires de décision, modélisant une discrimination (classification trees) ou une régression (regression
Plus en détailProjet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring
Projet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring Année académique 2006-2007 Professeurs : Marco Saerens Adresse : Université catholique de Louvain Information Systems
Plus en détailSONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE
SONDAGE NATIONAL SUR LA MÉDECINE PALLIATIVE QUESTIONNAIRE Société canadienne des médecins de soins palliatifs Association médicale canadienne Collège des médecins de famille du Canada Collège royal des
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailLes assurances sociales en Suisse
Dimensions et enjeux / facteurs d influences des assurances sociales Introduction : Alain Berset souhaite bien cerner les perspectives et les enjeux actuels et futurs des assurances sociales, notamment
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailExtraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales
Extraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales Bernard DOUSSET IRIT/ SIG, Université Paul Sabatier, 118 route de Narbonne, 31062 Toulouse cedex 04 dousset@irit.fr 1 Introduction
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailMISSION NATIONALE D EXPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS
MINISTERE DE LA SANTE, ET DE LA PROTECTION SOCIALE MISSION NATIONALE D EPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS Rapport intermédiaire «Organisation de la chirurgie ambulatoire dans les hôpitaux et cliniques» 50,
Plus en détailprojet d établissement
projet d établissement Juin 2010 2010-2014 Synthèse générale du projet d établissement C est dans le contexte nouveau créé, d une part, par la loi HPST qui doit permettre de mettre en place une offre de
Plus en détailIndividus et informations supplémentaires
ADE-4 Individus et informations supplémentaires Résumé La fiche décrit l usage des individus supplémentaires dans des circonstances variées. En particulier, cette pratique est étendue aux analyses inter
Plus en détail5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin. Une mutuelle dédiée aux médecins et à leur famille
Complémentaire santé NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Complémentaire santé + 5 raisons de choisir la
Plus en détailGARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE
Étudiants NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants 5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin Une
Plus en détailAccès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent
Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailIdentification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines
Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Nicolas Beaume Jérôme Mickolajczak Gérard Ramstein Yannick Jacques 1ère partie : Définition de la problématique Les familles de gènes
Plus en détailEnquête sur la rémunération des médecins et chirurgiens hospitaliers
Inspection générale des affaires sociales RM2008-147P Enquête sur la rémunération des médecins et chirurgiens hospitaliers RAPPORT TOME I Établi par Laurent CHAMBAUD Mustapha KHENNOUF Christophe LANNELONGUE
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailVecteurs. I Translation. 1. Définition :
Vecteurs I Translation Soit A et B deux points du plan. On appelle translation qui transforme A en B la transformation du plan qui a tout point M associe le point M tel que [AM ] et [BM] aient le même
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailDéroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI
1 Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données Walid AYADI 2 Les étapes d un projet Choix du sujet - Définition des objectifs Inventaire des données existantes Collecte, nettoyage
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailContrat Pluriannuel d'objectifs et de Moyens
Contrat Pluriannuel d'objectifs et de Moyens à effet du : 28/12/2013 ASSISTANCE PUBLIQUE-HOPITAUX DE PARIS 75184 - PARIS CEDEX 04 Numéro Finess juridique : 750712184 N de contrat : 750712184AA Adresse
Plus en détailHistorique. Architecture. Contribution. Conclusion. Définitions et buts La veille stratégique Le multidimensionnel Les classifications
L intelligence économique outil stratégique pour l entreprise Professeur Bernard DOUSSET dousset@irit.fr http://atlas.irit.fr Institut de Recherche en Informatique de Toulouse (IRIT) Equipe Systèmes d
Plus en détailL innovation technologique des entreprises françaises au Brésil
L innovation technologique des entreprises françaises au Brésil Résultats-clefs de l étude de l IPT Rédacteurs : Prof. Raimundo Nonato dos Santos (IPT) Juin 1999. Michel Lévêque Cendotec - Av. Paulista,
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailCommuniqué de presse. Créée il y a 25 ans, l Association Charles Nicolle devient «Fondation reconnue d utilité publique»
Communiqué de presse Lundi 26 novembre 2012 Créée il y a 25 ans, l Association Charles Nicolle devient «Fondation reconnue d utilité publique» Il s agit d un événement majeur dans la vie associative de
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailYANN ROUDAUT - Professeur de l Ecole Française de Poker - roudaut@ecolefrancaisedepoker.fr - 06 28 76 48 93
MODULE LES MATHEMATIQUES DU POKER Probabilités et Notions de Cotes - Partie 1 YANN ROUDAUT - Professeur de l Ecole Française de Poker - roudaut@ecolefrancaisedepoker.fr - 06 28 76 48 93 A/ POKER ET MATHEMATIQUES
Plus en détailTitres et mentions autorisés sur les plaques et ordonnances
Titres et mentions autorisés sur les plaques et ordonnances Juin 2014 TITRES UNIVERSITAIRES ET HONORIFIQUES La loi du 26 janvier 1984 sur l enseignement supérieur permet aux universités de délivrer, sous
Plus en détailParallélisation de l algorithme des k-médoïdes. Application au clustering de courbes.
Parallélisation de l algorithme des k-médoïdes. Application au clustering de courbes. Benjamin Auder 1 & Jairo Cugliari 2 1 Laboratoire LMO. Université Paris-Sud. Bât 425. 91405 Orsay Cedex, France. benjamin.auder@math.u-psud.fr
Plus en détailLe Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.
Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour
Plus en détailLes professions. de santé. à mayotte et à la réunion. au 1er janvier 2012. N 6 Juillet 2012
N 6 Juillet 2012 Les professions de santé à mayotte et à la réunion au 1er janvier 2012 Service Etudes et Statistiques Direction de la Stratégie et de la Performance Agence de Santé Océan Indien 1 Directeur
Plus en détailGroupe Hospitalier de la Mutualité Française
GHMF Groupe Hospitalier de la Mutualité Française NEWSLETTER # 14 Échos du GHMF p.2 Dossier : le CRBVTA, une offre de soins innovante p.4 Développement : le marketing des services hospitaliers p.6 Agenda
Plus en détailLe guide de l assurance responsabilité
Le guide de l assurance responsabilité Questions, réponses et comparatifs, statistiques des plaintes et poursuites, remboursement de la quote-part et liste des primes IL VOUS est obligatoire de souscrire
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détail2èmes Journées Avenir
2èmes Journées Avenir Atelier Découverte D en Télé-rhumatologieT Lyon 25 septembre 2010 Pr Louis Lareng * Pr Arnaud Constantin * Dr Monique Savoldelli * * Travaux du GIP Réseau Télémédecine et es@nté Midi-Pyrénées
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailScénario: Données bancaires et segmentation de clientèle
Résumé Scénario: Données bancaires et segmentation de clientèle Exploration de données bancaires par des méthodes uni, bi et multidimensionnelles : ACP, AFCM k-means, CAH. 1 Présentation Le travail proposé
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailObjectifs. Clustering. Principe. Applications. Applications. Cartes de crédits. Remarques. Biologie, Génomique
Objectifs Clustering On ne sait pas ce qu on veut trouver : on laisse l algorithme nous proposer un modèle. On pense qu il existe des similarités entre les exemples. Qui se ressemble s assemble p. /55
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailAide à la Complémentaire Santé : l offre mutualiste reconnue. Pierre-Jean Gracia réélu Président de la Mutualité Française Midi-Pyrénées.
mut #4 occitanie juil. 2015 La revue De La MuTuaLITÉ FraNÇaISe MIDI-PYrÉNÉeS Aide à la Complémentaire Santé : l offre mutualiste reconnue. Pierre-Jean Gracia réélu Président de la Mutualité Française Midi-Pyrénées.
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailI.D.S. Systèmes de détection d intrusion - Link Analysis. par: FOUQUIN MATHIEU. responsable: AKLI ADJAOUTE DEVÈZE BENJAMIN.
EPITA SCIA PROMO 2005 14-16 rue Voltaire 94270 Kremlin-Bicêtre I.D.S. Systèmes de détection d intrusion - Link Analysis Juillet 2004 par: DEVÈZE BENJAMIN FOUQUIN MATHIEU responsable: AKLI ADJAOUTE TABLE
Plus en détailIntroduction au datamining
Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des
Plus en détailIle-de-France. Pour votre santé, choisissez les services mutualistes! LES SERVICES DE SOINS ET D ACCOMPAGNEMENT MUTUALISTES
CRéDITS PHOTOS FOTOLIA.COM LES SERVICES DE SOINS ET D ACCOMPAGNEMENT MUTUALISTES Ile-de-France en Pour votre santé, choisissez les services mutualistes! Centres médicaux et dentaires Centres d optique
Plus en détailSPHINX Logiciel de dépouillement d enquêtes
SPHINX Logiciel de dépouillement d enquêtes sphinx50frversion4.doc 1 Les trois stades du SPHINX sont ceux que comporte habituellement toute enquête d opinion: Elaboration du questionnaire (fiche outil
Plus en détailI.R.U.S.S.A. UNIVERSITÉ CHAMPAGNE-ARDENNE INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTÉ
I.R.U.S.S.A. UNIVERSITÉ CHAMPAGNE-ARDENNE INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTÉ I.F.C.S.- C.H.R.U. REIMS Mémoire de fin d études Linda LAMBERT Sous la direction de Monsieur MAUUARIN Jérémy Ingénieur
Plus en détailARGUMENTAIRE SANTE PROTECTION SOCIALE
ARGUMENTAIRE SANTE PROTECTION SOCIALE Le but de cet argumentaire est d'aider chaque communiste à organiser des débats et des initiatives sur les questions de la santé et de la protection sociale. Ces questions
Plus en détail1 - PRESENTATION GENERALE...
Contenu PREAMBULE... 2 INTRODUCTION... 2 1 - PRESENTATION GENERALE... 4 Qualité et optimalité... 8 2 - AGREGATION AUTOUR DE CENTRES MOBILES... 9 2.1 LES BASES DE L'ALGORITHME... 10 2.2 TECHNIQUES CONNEXES...
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détailAnalyse en Composantes Principales
Analyse en Composantes Principales Anne B Dufour Octobre 2013 Anne B Dufour () Analyse en Composantes Principales Octobre 2013 1 / 36 Introduction Introduction Soit X un tableau contenant p variables mesurées
Plus en détailLa structure de la base de données et l utilisation de PAST. Musée Royal de l Afrique Centrale (MRAC Tervuren)
La structure de la base de données et l utilisation de PAST La structure de la base de données données originales SPÉCIMENS Code des spécimens: Identification des spécimens individuels. Dépend du but de
Plus en détailPLAN. Ricco Rakotomalala Tutoriels Tanagra - http://tutoriels-data-mining.blogspot.fr/ 2
Apprentissage non-supervisé ou apprentissage multi-supervisé? Ricco RAKOTOMALALA Tutoriels Tanagra - http://tutoriels-data-mining.blogspot.fr/ PLAN. Classification automatique, typologie, etc.. Interprétation
Plus en détail