Compte-rendu de la réunion de la commission spécialisée de l organisation des soins Séance du 15 octobre 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Compte-rendu de la réunion de la commission spécialisée de l organisation des soins Séance du 15 octobre 2014"

Transcription

1 Compte-rendu de la réunion de la commission spécialisée de l organisation des soins Séance du 15 octobre h15 Le président, M. CLARIS ouvre la séance Membres présents ou ayant donné pouvoir : M. Alain ACHARD - représentant des associations agréées ; M. Bertrand BLASSEL - représentant des établissements publics de santé ; M. Patrick BOISRIVEAUD - représentants de la commission spécialisée médico-social ; M. Christian BRUN - représentant des associations des personnes handicapées ; Mme Corinne BUATOIS - représentant des transporteurs sanitaires ; Mme Mireille CARROT - représentant des organisations syndicales de salariés représentatives ; M. Bruno CHABAL - membre des unions régionales des professionnels de santé ; M. Olivier CLARIS - représentant des établissements publics de santé ; M. Alain COLLOMBET - représentant des établissements publics de santé ; M. Gilles-André CUCHET - représentant des conférences de territoire ; Mme Martine DRENEAU - représentant des organismes œuvrant dans les domaines de l'observation de la santé, de l'enseignement et de la recherche ; M. Marc ELSENER - représentant de la Mutualité française ; Mme Sylvie FILLEY-BERNARD - représentant des établissements privés à but lucratif ; M. Alain FRANCOIS - membre des unions régionales des professionnels de santé ; M. Jean-Marie GAGNEUR - représentant pour les centres de santé, les maisons de santé et les pôles santés ; M. Georges GRANET - représentant de l'ordre des médecins ; M. Pierre-Yves GUEUGNIAUD - médecin responsable d'un service d'aide médicale urgente ou d'une structure d'aide médicale d'urgence et de réanimation ; M. Farid HACINI - représentant des établissements privés à but non lucratif ; M. Henry JOUVE - représentant des organisations syndicales représentatives des exploitants agricoles ; Mme Sidonie LASCOLS - représentant des établissements privés à but non lucratif ; M. Pascal MESSIN - représentant des établissements privés à but lucratif ; M. Jean-Marie MORCANT - représentant des associations agréées ; M. Angelo POLI - représentant des organisations syndicales représentatives de médecins des établissements publics de santé ; Agence Régionale de Santé 241 rue Garibaldi CS Lyon Cedex 03

2 M. Etienne POT - représentant des internes en médecine de la ou des subdivisions situées sur le territoire de la région ; M. Jacques RABUT - président du conseil général ou son représentant ; M. François RIONDET - représentant des réseaux de santé ; M. François ROCHE - représentant des associations de permanence des soins intervenant dans le dispositif de permanence des soins ; Mme Christelle SERILLON - représentant des organisations syndicales de salariés représentatives ; Mme Monique SORRENTINO - représentant des établissements publics de santé ; M. Jean-Claude SOUBRA - représentant des associations de retraités et personnes âgées ; M. Damien THABOUREY - représentant des organismes œuvrant dans le champ de la promotion de la santé, la prévention ou l'éducation pour la santé ; Mme Chantal VINCENDET - représentant des établissements publics de santé ; Représentants ARS : Mme Céline VIGNÉ, directrice, «direction de l efficience de l offre de soins» Mme Corinne MARTINEZ, responsable du Pôle «Modernisation de l Offre de Soins» Mme Stéphanie HIRTZIG, responsable du service «régulation de l offre de soins» Mme Andrée ZEHRINGER, service «régulation de l offre de soins» M. Régis CHAMPAVIER, service «régulation de l offre de soins» Ordre du jour Présentation de la troisième révision du cahier des charges régional de la permanence des soins ambulatoires. Examen de demandes d autorisations sanitaires (activités de soins et équipements matériels lourds). Page 2/37

3 Troisième révision du cahier des charges régional de la permanence des soins ambulatoires Présentation par Mme le Dr Doriane ARGAUD À l issue de la présentation du diaporama, la discussion s engage. M. CLARIS souhaite des éclaircissements sur trois points : 1 À propos des effecteurs mobiles : Est-ce que ce dispositif a été mis en place dans d'autres régions et à quel coût? Si oui, le coût en Rhône-Alpes est-il similaire? Comment expliquer une telle différence de coût entre les dispositifs «médecin correspondant Samu» et «effecteur mobile»? Mme ARGAUD répond que le dispositif des effecteurs mobiles a été mis en place dans quelques régions, notamment Loire Atlantique, Nord Pas de Calais, Limousin et Picardie. Le forfait d'astreinte est compris entre 500 à 826 par nuit de 20h à 8h selon les régions avec plus ou moins les actes selon les régions. Le coût global de l'expérimentation du dispositif des effecteurs mobiles dans l'ain pendant 6 mois sur un seul grand secteur est de 90 K comprenant la rémunération du médecin (environ 700 = 518 de forfait + 2 actes en moyenne par nuit). La logistique éventuelle transport et hôtelière reste à évaluer dans l'expérimentation. Ramené à l'ensemble de la région, sur la base de 21 grands secteurs en Rhône Alpes, le coût pourrait être de 4 M d' annuel. Pour le médecin il s'agit d'honoraire, le forfait compte en partie le temps de fermeture du cabinet le lendemain matin. L'activité est estimée à 2 actes par nuit environ. Le coût du dispositif est à comparer à l'éventuelle économie générée sur les transports des personnes aux urgences et leur passage aux urgences. La différence de coût entre les deux dispositifs MCS et Effecteur mobile s explique par la taille du secteur d intervention. L effecteur mobile opère sur un secteur très vaste d'un rayon de 45 min environ et peuplé habitants Le forfait compense un cout d'acte plus faible (tarif AM 112 environ). A l'inverse le MCS intervient sur un secteur de petite taille souvent plus petit que le secteur PDSA, l'astreinte est faiblement rémunéré mais le coût de l acte est beaucoup plus élevé (environ 250 ) car cet acte est souvent long et technique (urgence vitale). 2 À propos de la commission des soins urgences et non programmés : Quelle est sa composition et où peut-on prendre connaissance des procès-verbaux des séances? La composition de la commission est transmise aux membres avec le PV. Elle est composée des acteurs des soins urgents et des acteurs de la médecine ambulatoire. La commission s est déjà réunie la première fois le 23 septembre Elle a validé une dizaine de plans d'action et la mise en place de groupes de travail qui sont à pied d œuvre en ce moment et leur travail porte essentiellement sur le volet «articulation PDSA / urgences». Il est prévu qu'elle se réunisse à nouveau début 2015 pour faire un point d'étape sur le travail accompli (Système d'information des SAMU, modélisation de la MIG SAMU, Transport héliporté ) 3 A propos des secteurs de PDSA : Y a-t-il eu des conséquences dommageables liées à la fermeture des 24 secteurs intervenus à ce jour (12 secteurs en décembre 2012 et 12 secteurs en mai 2013) et cela a-t-il suscité des plaintes. Dans les difficultés on peut noter sur le Rhône où 6 secteurs étaient concernés en 2012, il y a eu la démobilisation des médecins en première partie de nuit sur le secteur de Tarare. Nous avons des difficultés sur la réalisation de certains certificats de décès. Cette problématique n'est pas spécifique à la nuit profonde mais due en partie plutôt à la volonté des médecins de ce regrouper en MMG et de ne plus effectuer de visites à domiciles et au fait que le certificat de décès est un acte difficile à facturer car non remboursé par l'am. Page 3/37

4 Auparavant à la charge des collectivités locales, le certificat de décès est actuellement l objet d une réflexion nationale sur sa rémunération par l assurance maladie. Des contacts entre la CNAMTS et le ministère de la santé ont été établis pour définir une rémunération. Le chiffre de 800 pour la rémunération d une astreinte ayant été cité, M. JOUVE en est scandalisé. Il fait remarquer, d une part, que la personne d astreinte se trouve à son domicile et attend d être sollicitée, ce qui n advient pas nécessairement, d autre part, que ce montant équivaut au salaire mensuel de certains de nos concitoyens. Il le met en parallèle avec les prix prohibitifs que réclament certains artisans, plombier ou serrurier, intervenant en situation d urgence. Il est stupéfait d apprendre qu une négociation entre partenaires du secteur de la santé a pu aboutir à un chiffre si élevé, négociation dont le chiffre de départ était lui-même sidérant (1000 semble t-il). Prenant à titre de comparaison les montants en cours aux HCL, M. CLARIS indique qu une garde est payée 465, soit bien moins qu une astreinte de PDSA. Or une personne de garde supporte une sujétion en ayant l obligation d être présente à l hôpital. Il partage l avis de M. JOUVE et estime déraisonnable de verser près de 800 à quelqu un qui attend à son domicile une éventuelle sollicitation. Par contre, le principe selon lequel le travail de nuit qui vient s ajouter au travail de journée doit être indemnisé, lui apparaît logique. À la demande de M. GILLET, absent, M. COLLOMBET fait lecture d une motion de la Fédération Hospitalière de France : - «Les représentants de la FHF-RA à la CSOS ont pris connaissance des divers documents transmis par l ARS le 30 septembre dernier par voie électronique et relatif à une modification du cahier des charges de la PDSA. - Ils prennent acte de la volonté de l ARS Rhône-Alpes de mettre fin aux mesures dérogatoires à l arrêt de la PDSA en nuit profonde qui avaient été prévues. - Il s agit ainsi de procéder à l arrêt de la PDSA en nuit profonde dans l ensemble des secteurs à faible activité et à plus de 30 minutes d un SMUR terrestre, au plus tard le 30 novembre 2014 (lettre de Madame la Directrice générale de l ARS du 30 septembre 2014). - Ils relèvent que cette disposition conduit à faire assurer la mission correspondante en relais par les établissements de santé, sous réserve de la mise en place éventuel d un dispositif de médecins mobiles à titre expérimental, dont ils souhaiteraient, au demeurant, connaître l état d avancement (page 6-4 de l actuel cahier des charges). - Ce relais s effectue en particulier par le déploiement de médecins correspondants de SAMU, rattachés aux établissements de santé. - Ils souhaitent toutefois que cette suppression s effectue en veillant à ce que la permanence des soins assurée par des médecins libéraux dans les centres hospitaliers de proximité ne soit pas mise en péril par cette nouvelle organisation, les intéressés souhaitant légitimement assurer leur service de médecin correspondant de SAMU en parallèle de leur permanence en centre hospitalier de proximité. - Ils demandent, enfin, instamment, au vu de ce dispositif qui impacte 6 des 8 départements rhônealpins, à ce que les gains réalisés par cet arrêt de la PDSA en nuit profonde sur 44 secteurs soient, en tant que de besoin, compensés par l attribution aux établissements de santé concernés, de crédits destinés à faire face à cette mission supplémentaire.» Les chiffres mentionnés au cours de la discussion étant très différents, Mme ARGAUD explique qu ils ne recouvrent pas la même réalité et indique le prix d une astreinte d'effecteur mobile sont des honoraires et non des salaires. Les charges s'y afférents sont plus élevées que celles sur des salaires. L'évaluation du dispositif permettra de déterminer la charge en acte pesant sur le médecin. On attend environ 2 déplacements par nuit. En ce qui concerne les effecteurs mobiles, Mme VIGNÉ confirme qu il convient de distinguer le forfait de 500 et le coût des actes réalisés. Revenant sur la question des conséquences dommageables liées à l arrêt de la permanence des soins dans un secteur qualifié «à faible activité en nuit profonde» sur les ex hôpitaux locaux, elle rappelle que, dans ce type de secteur, moins d'un acte par semaine est réalisé en moyenne, ce qui est particulièrement faible en incluant les actes réalisés dans les hôpitaux locaux. L'ARS a prévu ne compensation financière pour le financement de la continuité des soins dans ces établissements dans le cas où aucun dispositif MCS n'a pu ce mettre en place suite à l'arrêt de la PDSA en nuit profonde. Page 4/37

5 Elle souligne la nécessité impérative de renforcer les cabinets de montagne qui constituent un élément essentiel du renforcement de l offre de soins de premier recours. M. CLARIS s interroge sur les économies attendues de l arrêt d activité sur la totalité des secteurs à faible activité en nuit profonde, soit 68 secteurs au total sur la période décembre 2012 à décembre En réponse, Mme ARGAUD indique le chiffre de 1,146 M, duquel il faudra déduire le coût de créations ou de renfort des maisons médicales et le renfort de la régulation médicale libérale de 600 K dans 3 départements (69; 26; 74) lors de cette 3 ème révision du CCR-PDSA. Revenant sur la motion FHF lue par M. COLLOMBET, M. CLARIS demande que la commission soit tenue informée de la situation des médecins mobiles dans le département de l'ain. Il lui paraît logique qu un financement leur soit accordé s ils ne sont pas investis actuellement des missions de médecin correspondant Samu. M. FRANÇOIS souhaitant connaître le nombre de médecins correspondants Samu (MCS) par secteur, Mme ARGAUD l informe que ce nombre est très variable : jusqu à 5 sur les secteurs comprenant les grandes stations de sports d hiver, mais parfois un seulement. Revenant sur les divers chiffres cités précédemment à propos de la rémunération des astreintes, M. FRANCOIS tempère : une présentation abrupte de chiffres sans explications n a pas de sens. Les montants peuvent évidemment être discutés à condition de tenir compte de tous les paramètres, en particulier les charges des médecins. Le département de l Ain connaissant des difficultés de fonctionnement des MCS, M. RABUT demande si l expérimentation menée dans le département de l Ardèche visant à améliorer l articulation entre SAMU et SDIS s avère concluante. Mme ARGAUD répond par l affirmative. Elle rappelle toutefois le cadre de cette expérimentation. Le département de l Ardèche comprend 13 secteurs de PDSA et environ 50 MCS. Le SDIS fournit le soutien logistique au médecin en mettant à disposition le véhicule avec une infirmière ou un chauffeur à son bord. Ce fonctionnement repose sur un accord organisationnel et financier entre l'ars et le SDIS. Cependant, le donneur d'ordre reste le SAMU. Dans l arc alpin, la configuration est différente et les établissements de santé siègent de SAMU et de SMUR apportent ce soutien logistique. M. SOUBRA remarque tout d abord que cette troisième révision du cahier des charges de la PDSA porte essentiellement sur l aspect financier, ce qu il regrette. La comparaison des chiffres actuels avec ceux d origine fait apparaître à la fois une réduction de l enveloppe d'environ 1,5 M et une augmentation du coût de la régulation. Cependant il n est pas possible de repérer les causes de ces variations car les indemnités versées aux médecins sont aujourd hui noyées dans la masse alors qu elles étaient clairement identifiées auparavant. Sur le plan strictement sanitaire, il s inquiète des conséquences de cette évolution sur la qualité de prise en charge des patients de la région. C est d après lui l aspect principal du sujet et il n est pas abordé comme il le mériterait. Mme ARGAUD explique que la réponse n est pas du tout évidente car elle suppose de réunir préalablement les indices permettant de mesurer les conséquences sur la prise en charge des patients. C est une entreprise de longue haleine, de surcroît sans aucune certitude de parvenir à la démonstration. Le dispositif actuel couvre 101 secteurs à plus de 30 minutes d un SMUR terrestre, ce qui est indéniablement un progrès par rapport à la situation initiale, puisqu alors le dispositif s'effondrait. Par conséquent, le service rendu à la population est indéniablement meilleur que par le passé. De plus, on réarme certains territoires qui avaient arrêté la permanence des soins en nuit profonde. Le système d'information de l'assurance maladie n'était plus accessible aux ARS depuis 2013, il n'a pas été possible de faire une évaluation sur l'activité de la PDSA. Cet accès devrait être possible à nouveau en M. CLARIS est tout à fait conscient de la difficulté de factualiser. Cela s avère pourtant nécessaire afin de pouvoir disposer régulièrement de données chiffrées actualisées. Page 5/37

6 Tout en voulant bien d admettre l amélioration du service rendu à la population, M. ROCHE souhaite nuancer. Le service ne peut pas être rendu de manière identique sur tout le territoire régional puisque l on décide de l'arrêter dans certains endroits sur lesquels, de plus, SOS Médecin n est pas en capacité de prendre le relai. Il en veut pour preuve la diminution du nombre d actes sur ces secteurs. Concernant les rémunérations, il ne lui semble pas logique que le niveau national ne participe pas au financement de la réponse de nuit. Il n est pas opposé par principe à tel type d organisation ou tel autre, pas plus qu aux changements d organisation, mais il refuse que l on ponctionne les moyens alloué à la PDSA au profit de l aide médicale urgente. Plutôt que chercher à réduire l enveloppe consacrée à la PDSA, il conviendrait d assurer une réponse de nuit partout où elle est nécessaire. Quant aux montants consacré à l AMU, 2,2 M lui paraît un bon début mais il estime que ce dispositif nécessiterait 8M pour fonctionner correctement. L ARS s'est engagée à fournir les chiffres de l enveloppe PDSA trimestriellement, elle doit s y tenir et il rejoint sur ce point la demande de M. CLARIS. Enfin, revenant sur la motion FHF lue précédemment par M. COLLOMBET, il rappelle que les missions des établissements de santé ne sont pas les mêmes que celles des acteurs de la PDSA. Pour clarifier le débat, Mme VIGNÉ rappelle que la PDSA est confrontée à deux principaux problèmes : l un démographique, l autre financier. Ces problèmes étant posés, il convient de construire une organisation de l offre de soins capable d assurer la prise en charge des patients dans meilleures conditions. Ce qui revient à tenir compte, dans les différents secteurs de la région, des praticiens qui ne souhaitent plus participer au dispositif et à valoriser les prises en charge que l agence estime nécessaires. À défaut, la charge se reporte sur les hôpitaux, ce qui n est pas souhaitable. Mme VIGNÉ dément cette affirmation selon laquelle les dotations des soins de premier recours sont en baisse. Il n en est rien et d ailleurs ces dotations ont permis de financer les exercices regroupés. Quant à la communication de données chiffrées, les seules qui existent proviennent de l assurance maladie et du FIR, lesquelles ne sont pas trimestrielles. M. ROCHE s interroge sur les raisons de vouloir aujourd hui casser un système qui fonctionne et engendrer des situations intenables, par exemple en secteur de montagne où il sera impossible pour un médecin libéral de prendre en charge toutes les affections, du nez qui coule au bras cassé en passant par l embolie. Mme VIGNÉ conteste ce point de vue : il n y a aucune volonté de casser une organisation et rappelle que la région Rhône-Alpes a été le précurseur du dispositif médecin correspondant Samu. Mme ARGAUD ajoute qu en période de nuit profonde peu d actes sont effectués, que ce soit au titre de l AMU ou de la PDSA. Les médecins peuvent par conséquent être sur les deux dispositifs à la fois. De plus, la participation au dispositif médecin correspondant Samu permet aux jeunes praticiens de s'intégrer dans les secteurs isolés et de créer des liens avec les partenaires de l'urgence, ce dispositif MCS est un facteur d'attractivité pour les jeunes médecins si l'on regarde le succès les stages autonomes en soins primaires ambulatoires supervisés (SASPAS) pratiqués dans ces territoires. M. POT déplore la comparaison entendue précédemment entre la rémunération des médecins et celle des artisans intervenant en situation d urgence. Les jeunes médecins sont certes soucieux de leur niveau de vie mais aussi sensibles à la qualité de leur travail. Considérant que la médecine à options est une voie d'avenir, le maillage proposé lui paraît intéressant surtout pour les jeunes praticiens qui vivent mal d être cantonnés dans une activité spécifique. Dans ces conditions, le statut de médecin correspondant Samu constitue bel et bien un facteur d'intégration. Il souhaite savoir par ailleurs selon quelles modalités les effecteurs mobiles se rendent auprès du patient. Mme ARGAUD répond que le confort et la sécurité du déplacement étant des éléments importants pour les médecins, certains demandent la possibilité d'être accompagnés sur le lieu du patient par un chauffeur. L expérimentation en cours, permettra de dire si le confort et la sécurité facilitent la participation des médecins. M. RIONDET fait remarquer que la réduction constante de l offre de soins à domicile est problématique et créatrice de situations d urgence puisque que les affections bénignes qui auraient pu être enrayées sont susceptibles d évoluer défavorablement. Page 6/37

7 Selon Mme ARGAUD, cette question générale est à la croisée de tous les dispositifs de prise en charge et d évaluation. Elle concerne également la prévention dont l évaluation est compliquée. Comment mesurer l absence de survenue d une situation? Par opposition aux actes réalisés en Samu et qui peuvent être aisément quantifiés. M. RIONDET estime pourtant qu un chiffre est significatif : celui du nombre de patients dépourvus de médecin. Une personne qui ne consulte pas faute de médecin aboutit immanquablement un jour ou l autre aux urgences. Ce type de situation renvoie également au problème de démographie médicale, note Mme ARGAUD. M. CLARIS ajoute qu il arrive de toute manière un moment où les contraintes sont telles que plus aucune solution n est possible. Il cite en exemple la baisse de l Ondam. La discussion venant à dépasser le sujet du jour, il estime que la commission est suffisamment informée et propose de voter sur cette troisième révision du cahier des charges régional de la permanence des soins ambulatoires : M. SOUBRA annonce que les quatre représentants des usagers présents ce jour ne prendront pas part au vote. Ils se réuniront prochainement avec l intention de proposer une motion. M. SOUBRA est par ailleurs volontaire pour siéger à la commission spécialisée médico-sociale en tant que représentant de la CSOS. L avis de la CSOS est favorable : 17 voix pour, 1 voix contre, 10 abstentions. Avis transmis par voie électronique après la CSOS du 15 octobre 2014 Les avis suivants sont annexés au présent procès-verbal. - Conseil Régional de l Ordre des Médecins - Usagers - Caisse Primaire d Assurance Maladie - Mutualité Française Rhône-Alpes Page 7/37

8 DOSSIER N 1 : HOSPICES CIVILS DE LYON. Confirmation et regroupement sur le site unique de l'hôpital Edouard Herriot de l'activité de soins de traitement des grands brûlés exercée auparavant sur les deux sites de l'hôpital Edouard Herriot à Lyon 3ème et de l'hôpital Saint-Joseph Saint-Luc à Lyon 7ème. Actuellement, il existe deux centres de traitement des grands brûlés pour l'inter-région Rhône- Alpes/Auvergne : l'un situé à l'hôpital Édouard Herriot (21 lits) dédiés aux adultes et enfants, l'autre situé au Centre Hospitalier Saint-Joseph-Saint-Luc (15 lits). Ces deux centres accueillent également des patients de Bourgogne et de Franche-Comté. Pour 2013, l'activité globale des deux centres actuels est respectivement de 384 séjours pour HEH et 334 séjours pour centre hospitalier Saint-Joseph-Saint-Luc. L'activité prévisionnelle du futur centre est estimée à 700 séjours. Le regroupement sur un seul site des deux centres de traitement des brûlés est conforme au schéma cible du SIOS qui stipule que : «L enjeu du regroupement des 2 centres de traitement des brûlés en un site unique reposera sur un projet médical commun, ajusté à l activité actuelle en dépit d une réduction du nombre de lits, et intégré à la filière de soins. Les capacités du nouveau centre seront réévaluées en fonction de l activité et de l organisation qui devra être adaptée à un éventuel afflux de patients.». Les deux établissements ont choisi conjointement le pavillon I de l'hôpital Édouard Herriot. Cette localisation permettra une articulation étroite avec les services d'urgences des établissements, ce qui facilitera l'orientation des patients arrivés par les services de porte ou par le SMUR, l'hélistation étant située sur le toit du pavillon. Le centre prendra en charge les adultes et les enfants atteints de brûlures graves. Il disposera de 30 lits répartis sur 3 secteurs : 10 lits de réanimation, 10 lits de surveillance continue dont 6 dédiés à la pédiatrie en secteur individualisé au 2 ème étage, et 10 lits de chirurgie en chambres individuelles avec bloc sanitaire au 1 er étage. Le Centre bénéficiera d'un accès 24H/24 à tous les équipements d'imagerie ainsi qu'au caisson hyperbare. Il sera à proximité de l'établissement Français du Sang et de la banque de tissus, cellules et thérapie cellulaire comprenant les substituts cutanés qui participent aux soins de chirurgie des brûlés. L'autorisation d exercer l'activité de traitement des brûlés sera attribuée aux Hospices Civils de Lyon et gérée par un groupement de coopération sanitaire constitué entre les Hospices Civils de Lyon et le centre hospitalier Saint-Joseph-Saint-Luc. Ne souhaitant pas influencer les débats, MM. CLARIS et M. COLLOMBET quittent la salle. Une fois sortis, M. POLI estime dommage de se priver de personnes compétentes pouvant utilement éclairer le dossier. Mme HIRTZIG explique que le risque de contentieux pour procédure irrégulière entachée de conflit d intérêt est bien réel. Il convient par conséquent d être très scrupuleux sur ce point. Page 8/37

9 M. FRANCOIS soutient la position de Mme HIRTZIG. Le potentiel de contentieux est allé croissant ces dernières années. Les arguments juridiques sont primordiaux. Mme MARTINEZ ajoute qu un contentieux est en cours pour ce motif. La réponse de la juridiction permettra de se forger une doctrine sur le sujet. M. POLI fait toutefois remarquer que les débats en CSOS sont confidentiels. Mme HIRTZIG le lui confirme, mais une fois les procès-verbaux validés, ils sont mis en ligne sur le site de l ARS et consultables par tout un chacun. Le promoteur entre dans la salle et explique que le dossier a été déposé à la demande de l ARS et en association étroite avec l hôpital Saint Joseph Saint Luc. M. RABUT souhaitant connaître le statut des personnels, le promoteur répond qu ils seront mis à disposition du GCS de façon tout à fait classique. Quelque peu étonné par l absence des représentants de l hôpital Saint Joseph Saint Luc, M. FRANCOIS demande que le consentement de l établissement partenaire soit confirmé, d autant plus que le regroupement de cette activité phare lui fait craindre un risque de fragilisation de la structure. Le promoteur confirme l accord donné par l hôpital Saint Joseph Saint Luc et relativise l impact du regroupement. Seul est concerné le traitement des grands brûlés qui représente une faible part de l activité de l établissement, à la différence de la prise en charge des brûlés classiques qui n entre pas dans le périmètre du projet. Le rapporteur précise que l activité de traitement des grands brûlés représente environ 60 à 70 séjours par an. Mme LASCOLS ajoute que l activité ne disparaît pas de l hôpital Saint Joseph Saint Luc puisqu elle continuera à être exercée dans le cadre du GCS. Mme MARTINEZ explique que l ensemble des centres de traitement des grands brûlés de France travaillent en collaboration en raison du caractère très spécialisée de cette activité. L existence de deux centres au sein de la même région est une spécificité lyonnaise. Cette évolution vers un regroupement des deux centres a fait l'objet d un accord entre les établissements. Le dimensionnement de la nouvelle structure (30 lits) interpelle M. BLASSEL en ce qu elle est inférieure à la somme des deux capacités actuelles. Il demande si un faible taux d'occupation en est la cause. Le rapporteur répond qu un taux d occupation de 70% permet de répondre à toutes les demandes. Le promoteur ajoute que la présence de réanimation sur le site de l hôpital Édouard Herriot sécurisera la prise en charge des patients. M. BLASSEL fait observer qu au niveau européen, le taux d occupation pour l activité de traitement des grands brûlés est plus élevé afin de pouvoir faire face aux situations catastrophiques. Il souhaite par ailleurs connaître l impact du projet sur les consultations pédiatriques. Le promoteur explique que le futur centre de traitement des brûlés du pavillon I a été dimensionné pour les consultations en général, sans étude spécifique pour les consultations pédiatriques. Mme VIGNÉ rappelle que l aspect principal de l opération de regroupement est l élaboration d un projet médical commun entre les deux établissements. M. BLASSEL demande si le projet médical prévoit la mise en place de téléconsultation. Le promoteur répond par l affirmative. Le promoteur quitte la salle. AVIS DE LA CSOS : Favorable à l'unanimité (30 voix pour). Incompatibilité(s) : MM. CLARIS et COLLOMBET. Page 9/37

10 DOSSIER N 2 : CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE SAINT ÉTIENNE. Demande d'autorisation pour pratiquer la radiochirurgie intra et extra cranienne en conditions stéréotaxiques (activité de neurochirurgie) par convention avec l'institut de Cancérologie Lucien Neuwirth à Saint-Priest en jarez. Sur le site de l hôpital Nord, le CHU de Saint-Etienne dispose d une autorisation de neurochirurgie dont la neurochirurgie fonctionnelle cérébrale et la neurochirurgie pédiatrique. Le dernier accélérateur mis en fonctionnement en mars 2014 à l ICLN est de type NOVALIS TRUENEAM STX grâce auquel l ICLN et le CHU ont désormais la possibilité de développer l activité de neuroradiologie-chirurgie en conditions stéréotaxiques qui fait l objet de la présente demande d autorisation. La radio chirurgie en conditions stéréotaxiques est une technique interventionnelle non invasive qui permet de traiter des malformations artério-veineuses, des tumeurs bénignes (neurinome de l'acoustique, méningiomes, adénomes hypophysaires) le plus souvent ou des cancers (métastases cérébrales surtout plus rarement gliomes) sans avoir recours au geste chirurgical. Elle consiste à irradier une zone du cerveau de manière très précise, cette irradiation se faisant avec repérage par cadre stéréotaxique. La radio chirurgie est couverte aujourd hui par trois grands types de système : - Gamma Unit (Gamma Knife), - accélérateur fixe micromultilames à table mobile (Novalis) - et accélérateur robotisé (Cyber Knife). Les accélérateurs ont aussi permis d étendre le principe de la radio chirurgie à l ensemble du système nerveux et à ses enveloppes, soit au système crânio-rachidien. La suppression des cadres invasifs a autorisé de petits fractionnements de dose pour améliorer la tolérance et réduire les risques de radiolésions au tissu sain. Actuellement un seul centre pratique la radiochirurgie en conditions stéréotaxiques dans l inter-région Rhône-Alpes/Auvergne : le CHU de Clermont-Ferrand et le CLCC Jean Perrin, avec un équipement NOVALIS. Les patients envoyés sur Marseille, Lille et Paris sont traités par un appareil GAMMA KNIFE. Le potentiel de patients relevant d une irradiation externe intra crânienne en conditions stéréotaxiques en dose unique avec pose de cadre effractif est de 60 patients par an. Ces patients pourront être traités à l ICLN, grâce à l accélérateur NOVALIS TRUENEAM. L appareil permettra également d effectuer des traitements autres que stéréotaxiques. Pendant la phase de mise en place, une collaboration étroite entre le CHU de Saint-Etienne et l Institut Jean Perrin se poursuivra pendant et après la phase d apprentissage. Les données depuis 2007 montrent une certaine stabilité de l activité, l activité de neurochirurgie du CHU, représentant 14% de l activité régionale. Pour le CHU de Saint-Etienne, le potentiel est de 60 patients par an (données 2012 et 2013), correspondant à un recrutement local sans aucun empiètement sur les autres bassins rhônalpins. L évaluation des besoins pour la région Rhône-Alpes fait état de 300 patients par an (SIOS ), ceci rend discutable l acquisition d un Gamma Knife (possibilité de traiter 1000 patients par an) sauf s il dépasse la couverture de la région Rhône Alpes ou si on augmente le nombre d indications actuelles. La mise en place d un appareil de traitement pour la radio chirurgie stéréotaxique «vraie monodose» nécessite obligatoirement une autorisation de neurochirurgie sur le même site, ce qui est le cas pour le CHU stéphanois et l ICLN, les deux établissements étant situés sur le site de l hôpital Nord. Page 10/37

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Principes généraux de gestion d un cabinet libéral. Dr J.Ph. Masson 8 avril 2014 1

Principes généraux de gestion d un cabinet libéral. Dr J.Ph. Masson 8 avril 2014 1 Principes généraux de gestion d un cabinet libéral Dr J.Ph. Masson 8 avril 2014 1 Le radiologue libéral Aspects médico-économiques, juridiques, responsabilité, assurances,. Structures coopératives : GIE,

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..

Plus en détail

Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique

Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique Pôle Santé Méditerranée Création d une plateforme mutualisée de soins associée à une offre touristique Marseille, le 12 juillet 2011 Fruit d une réflexion et d une vision partagée, le Pôle Santé Méditerranée

Plus en détail

Conférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur...

Conférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur... 1 Sommaire 1 > Relever les défis de la santé du futur... 3 Assurer les missions de santé publique du territoire... 3 Une tradition séculaire en santé publique... 3 Une réponse à la hauteur des besoins

Plus en détail

ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain Ambulancier

ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain Ambulancier www. ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain rraine.fr Ambulancier Définition L ambulancier est un auxiliaire sanitaire pleinement intégré dans la chaîne des soins. En urgence ou sur rendez-vous

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

PROJET DE TÉLÉMEDECINE

PROJET DE TÉLÉMEDECINE PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail

Mieux comprendre la protection sociale

Mieux comprendre la protection sociale Mieux comprendre la protection sociale www.cnrs.fr Direction des ressources humaines Service du développement social Septembre 2010 1 - En préambule Premier volet : ma protection sociale en quelques lignes

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

REGION ILE-DE-FRANCE

REGION ILE-DE-FRANCE REGION ILE-DE-FRANCE CAHIER DES CHARGES REGIONAL FIXANT LES CONDITIONS D ORGANISATION DE LA PERMANENCE DES SOINS AMBULATOIRES Arrêté DGARS du 23 décembre 2013 n DOSMS-2013-160 1 2 PREAMBULE La Loi HPST

Plus en détail

Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées

Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE PREFECTURE DE LA REGION D ILE-DE-FRANCE, PREFECTURE DE PARIS SECRETARIAT GENERAL POUR LES AFFAIRES

Plus en détail

PROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES

PROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES

Plus en détail

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique + La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

M.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003

M.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 REFERENCE : B O N 5070 du 2 janvier 2003 Décret n 2-01-1643 du 2 chaabane 1423 9/10/2002 pris pour l'application de la loi n 16-98 relative au don, au prélèvement et à la transplantation d'organes et de

Plus en détail

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements

Plus en détail

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L AGENCE REGIONALE DE SANTE D ALSACE RELATIF A LA CREATION DE PLACES DE SERVICES DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) ARS Alsace Cité

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007

REPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 REPUBLIQUE FRANCAISE 1 COUR NATIONALE DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 Président : M. DURAND-VIEL Rapporteur : Mme WOLF Commissaire du gouvernement : Mme PICARD

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts

Plus en détail

MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE

MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE Le Ministère de la santé, de la famille Et des personnes handicapées. MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE Le ministre de la santé, de la famille

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

Conclusions de Madame l'avocat général Béatrice De Beaupuis -------------------

Conclusions de Madame l'avocat général Béatrice De Beaupuis ------------------- 1 DEMANDE D AVIS N G 13-70.002 (Art. L. 441-1 du code de l'organisation judiciaire) (Art. 1031-1 à 1031-7 du code de procédure civile) (Art. 706-64 et suiv. du code de procédure pénale) TRIBUNAL DES AFFAIRES

Plus en détail

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Groupement de Coopération Sanitaire. Télésanté Aquitaine REGLEMENT INTERIEUR

Groupement de Coopération Sanitaire. Télésanté Aquitaine REGLEMENT INTERIEUR Groupement de Coopération Sanitaire Télésanté Aquitaine REGLEMENT INTERIEUR Règlement Intérieur du GCS Télésanté Aquitaine document de travail du 24 février 2011 p 1/16 Sommaire Introduction... 4 Chapitre

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle

L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle Dossier mis à jour le 9 juillet 2013 Les médecins spécialistes libéraux exerçant en établissement de santé peuvent, sous

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

TRANSPORT SANITAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 15/09/2014 1

TRANSPORT SANITAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 15/09/2014 1 TRANSPORT SANITAIRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU TRANSPORT SANITAIRE... 4 L'ACTIVITÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 6 LES POINTS DE VIGILANCE DU TRANSPORT SANITAIRE...

Plus en détail

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014 L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,

Plus en détail

Transports sanitaires

Transports sanitaires Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ; MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

LA CONVENTION CONSTITUTIVE DU GCS

LA CONVENTION CONSTITUTIVE DU GCS Fiche technique 1 LA CONVENTION CONSTITUTIVE DU GCS Références : Articles L. 6133-3 et suivants du code de la santé publique (CSP) ; Articles R. 6133-1 et suivants du CSP. L existence du GCS repose sur

Plus en détail

projet d établissement

projet d établissement projet d établissement Juin 2010 2010-2014 Synthèse générale du projet d établissement C est dans le contexte nouveau créé, d une part, par la loi HPST qui doit permettre de mettre en place une offre de

Plus en détail

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux

ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

l'assurance Maladie des salariés sécurité sociale caisse nationale

l'assurance Maladie des salariés sécurité sociale caisse nationale l'assurance Maladie des salariés sécurité sociale caisse nationale Date : 13/12/1999 Origine : DDRI ENSM Réf. : DDRI n 70/1999 ENSM n 41/1999 n / n / MMES et MM les Directeurs - des Caisses Primaires d'assurance

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question.

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question. FOIRE AUX QUESTIONS Appel à projets relatif à la création et/ou à l extension importante d un FAM (Foyer d Accueil Médicalisé) sur le département de l Oise L objet de la présente «Foire aux Questions»

Plus en détail

Les Groupements de coopération

Les Groupements de coopération Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre

Plus en détail

La ventilation des adhérents de notre Association peut se résumer ainsi en 2014 par rapport à l'exercice 2013 (de mai à mai) :

La ventilation des adhérents de notre Association peut se résumer ainsi en 2014 par rapport à l'exercice 2013 (de mai à mai) : 22 rue Robert 69458 LYON CEDEX 06 Tél. : 04 72 83 61 30 Fax : 04 72 83 61 33 E-mail : aplrl@aplrl.asso.fr Madame, Monsieur, Nous vous prions de trouver ci-dessous, le Rapport Moral prévu par l'article

Plus en détail

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE N 2003-103

LETTRE CIRCULAIRE N 2003-103 PARIS, le 09/07/2003 DIRECTION DE LA REGLEMENTATION ET DES ORIENTATIONS DU RECOUVREMENT DIROR LETTRE CIRCULAIRE N 2003-103 OBJET : Mise en oeuvre de la nouvelle réglementation relative à l'évaluation des

Plus en détail

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..

Plus en détail

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale

Plus en détail

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent

Accès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique

Plus en détail

P atients S anté T erritoires

P atients S anté T erritoires H ôpital P atients S anté T erritoires L exercice regroupé dans les services de santé Une action coordonnée des professionnels en faveur des patients De plus en plus de professionnels de santé ont depuis

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.

A l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein. OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière

Plus en détail

Garantie Harmonie Santé Partenaires. Régime général. www.harmonie-mutuelle.fr

Garantie Harmonie Santé Partenaires. Régime général. www.harmonie-mutuelle.fr Garantie Harmonie Santé Partenaires Régime général www.harmonie-mutuelle.fr Votre santé mérite toute notre attention Les avantages de Harmonie Santé Partenaires Le partenariat conclu entre notre mutuelle

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE

CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE CONVENTION DE STAGE OBLIGATOIRE EN FRANCE Entre : L Université Jean Moulin Lyon 3, Etablissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, Représentée par son Président,Monsieur Jacques

Plus en détail